De l'apparition de la violence et de son appréhension
Modérateurs : Modérateurs, Infirmiers - Psychiatrie
Re: De l'apparition de la violence et de son appréhension
Je ne vous parle pas de ce que vous attendez de moi mais ce que vous attendez comme réflexion.
Vous balancez des choses en occultant des "détails" pour faire passer les services de psy pour des incompétents faisant croire qu'ils organisent la sortie d'un patient en plein week end. Vous avancez que vous n'avez pas a appeler les services sur un temps qui n'est pas celui de votre travail puisque vous n'etes pas payé pour cela mais demandez à ce que les services vous appellent sur un temps ou vous ne serez pas payé non plus. Il n'y a rien de constructif dans vos remarques, aucune réflexion professionelles. Juste des constats limités. Vous vous plaignez qu'il n'y a pas de lien mais vous n'en faites pas vous même ne serait ce que dans vos écrits.
Alors s' il vous plait allez ne rien attendre ailleurs.
Vous balancez des choses en occultant des "détails" pour faire passer les services de psy pour des incompétents faisant croire qu'ils organisent la sortie d'un patient en plein week end. Vous avancez que vous n'avez pas a appeler les services sur un temps qui n'est pas celui de votre travail puisque vous n'etes pas payé pour cela mais demandez à ce que les services vous appellent sur un temps ou vous ne serez pas payé non plus. Il n'y a rien de constructif dans vos remarques, aucune réflexion professionelles. Juste des constats limités. Vous vous plaignez qu'il n'y a pas de lien mais vous n'en faites pas vous même ne serait ce que dans vos écrits.
Alors s' il vous plait allez ne rien attendre ailleurs.
Re: De l'apparition de la violence et de son appréhension
En aucun cas, c'est toi qui te pose en incompris et victime, et la psychiatrie avec.brrruno a écrit :faire passer les services de psy pour des incompétents faisant croire qu'ils organisent la sortie d'un patient en plein week end
Je ne relate que ce je constate personnellement dans un un lieu à un moment donné. Loin de moi de faire une généralité qui froisse ta susceptibilité déplacée.
Sinon, il ne s’agit pas d’une sortie organisée mais d’une sortie contre avis médical avec juste une ordonnance et démerde toi..
En effet, il y a un temps pour tout dans l'absolu et je ne suis pas IDEL bénévole H24.brrruno a écrit :Vous avancez que vous n'avez pas a appeler les services sur un temps qui n'est pas celui de votre travail
Néanmoins, le service en question a bien été appelé par nos soins au moins à 2 reprises et la dernière fois 3 jours de suite. Conscience professionnelle oblige...Pas de réponse ni aux IDEL ni à la famille.
Si tu savais où je me les mets tes injonctionsbrrruno a écrit :Alors s' il vous plait allez ne rien attendre ailleurs.

Mais bon, comme je disais le cannabis fonctionne très bien... pour l'instant !
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Re: De l'apparition de la violence et de son appréhension
et seulement douze post plus loin :moutarde a écrit :On ne sait rien de ce patient ni de sa (ses) pathologie(s). Personne ne nous a contacté (ni avant ni depuis…) et c’est la famille qui a été chargée de trouver un cabinet IDEL après la sortie de structure…
Bref, démerde toi !
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Que je les ai appelés ou non n'enlève rien aux conditions de sortie un WE qui ne rentrent aucunement dans un projet de soins.
Il y a peu/pas de coordination et de liaison structure/domicile et pas seulement en psychiatrie.
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Mais vous faites bien de le mettre entre parenthèseLa famille nous a juste expliqué que le patient est bi-polaire et qu'elle ne peut pas/plus gérer le patient (sorti contre avis médical) en tant qu'aidant.
Si vous considérez un "s'il vous plait" comme une injonction je ne sais pas ce qu'il faut penser de vos écrits irrespectueux et mensongers.Si tu savais où je me les mets tes injonctions
Si vous voulez le faire essayez de le faire dans un sujet approprié si vous êtes en mesure d'avoir ce minimum de respect.Je ne relate que ce je constate personnellement dans un un lieu à un moment donné
Pour rappel l'introduction de ce sujet :
Bonjour,
je réédite mon post sur la violence pour réfléchir non pas en terme de responsabilité mais d'action soignante à mettre en place afin de réfléchir sur la violence, son mécanisme de formation, les signaux repères et les soins à mener en amont.
Re: De l'apparition de la violence et de son appréhension
Je ne vois pas d'action soignante globale dans la non PEC du patient dans la situation que je relate.
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Re: De l'apparition de la violence et de son appréhension
Je ne vois pas dans d'intérêt dans vos propos tronqué de leur fait. Si vous ne savez pas ce qu'est une sortie contre avis médical ... vivement la retraite
Re: De l'apparition de la violence et de son appréhension
moutarde a écrit :Je ne vois pas d'action soignante globale dans la non PEC du patient dans la situation que je relate.
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Je ne vois pas le lien avec le sujet ... je vous propose d'ouvrir un sujet dans lequel vous pourrez déverser votre fiel à l'encontre de la psychiatrie.Bonjour,
je réédite mon post sur la violence pour réfléchir non pas en terme de responsabilité mais d'action soignante à mettre en place afin de réfléchir sur la violence, son mécanisme de formation, les signaux repères et les soins à mener en amont.
Re: De l'apparition de la violence et de son appréhension
Tu proposes et on dispose
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Re: De l'apparition de la violence et de son appréhension
Non je demande poliment et vous continuez dans un manque de respect le plus total. Mais à voir la plus part de vos messages le repect n'est pas quelque chose qui vous importe. Comme quoi ce n'est pas l'apanage de la jeunesse. Certaines valeurs sont perdues depuis bien longtemps.
Au fait un CMPP n'est pas un CMP. Ces structures ne dépendent pas de l'hôpital alors le "dossier" du patient ils vont l'attendre longtemps. Mais sans doute comme le reste vous n'en avez rien à faire. La dictature selon moutarde il n'y a rien de telle.
Au fait un CMPP n'est pas un CMP. Ces structures ne dépendent pas de l'hôpital alors le "dossier" du patient ils vont l'attendre longtemps. Mais sans doute comme le reste vous n'en avez rien à faire. La dictature selon moutarde il n'y a rien de telle.
Re: De l'apparition de la violence et de son appréhension
brrruno a écrit :brrruno a écrit :je vous propose d'ouvrir un sujet dans lequel vous pourrez déverser votre fiel à l'encontre de la psychiatrie.Non je demande poliment et vous continuez dans un manque de respect le plus totalmoutarde a écrit :Tu proposes et on dispose

Je réitère que je n'ai rien contre la psychiatrie ni contre les professionnels de santé qui exercent dans ce secteur. Je n'ai aucune difficulté relationnelle avec mes collègues de ce secteur hormis Dupont et Dupont...

Mais à chaque fois que j'évoque un problème ou interviens, tu te prends pour le Cheval Blanc de la psychiatrie que tu représentes fort mal au demeurant.
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Re: De l'apparition de la violence et de son appréhension
Et pourtant c'est toujours ce que vous faites. Mais c'est bien essayé que de retourner la situation
Re: De l'apparition de la violence et de son appréhension
Bonjour,
Permettez moi de vous exposer MES APPREHENSIONS, bien que le sujet premier relève d'un tout autre registre.
J'ai lu les différents échanges et me retrouve seule face à mon questionnement (je suis pour ainsi dire novice).
Je viens de m'inscrire sur ce forum afin d'échanger avec des professionnels de santé intervenant dans des Unités pour Malades Difficiles (UMD) Je ne connais que trop peu ce milieu.
La semaine passée, j'ai candidaté pour un poste d'éducatrice spécialisée en Hôpital Psychiatrique, en Unités de Soins Intensifs et Sécurisés plus précisément. Trois jours après, je visitais les lieux....
Dès demain, je dois pouvoir me positionner sur l'éventualité d'une prise de poste pour début avril.
Le caractère urgent de cette prise de poste vient renforcer mes appréhensions premières. Déjà que...
Cette visite a soulevait en moi bien des questions de tout ordre (éthique, en matière de compétences et de possibilités...)
De plus, mon expérience dans le secteur de la psychiatrie me paraît bien maigre!
En effet, récemment diplômée, j'ai effectué un stage de quelques mois au sein d'une unité de réhabilitation psychosociale accompagnant des personnes atteintes de troubles psychiatriques et/ou porteuses d'un handicap. Le cadre était très différent!
Pouvez- vous dès aujourd'hui, s'il vous plaît, me faire part de vos témoignages et expériences. J'ai lu bien des choses effrayantes. Qu'en est-il de cette appréhension vive que j'éprouve et qui me quitte difficilement depuis cette proposition de poste? Puis- je espérer qu'une période d'intégration suffisse à atténuer cette peur? Ou dois- je renoncer à cette proposition?
J'ai lu bien des articles effrayants mais reste tout de même partagée dans ma prise de décision.
Merci par avance.
Permettez moi de vous exposer MES APPREHENSIONS, bien que le sujet premier relève d'un tout autre registre.
J'ai lu les différents échanges et me retrouve seule face à mon questionnement (je suis pour ainsi dire novice).
Je viens de m'inscrire sur ce forum afin d'échanger avec des professionnels de santé intervenant dans des Unités pour Malades Difficiles (UMD) Je ne connais que trop peu ce milieu.
La semaine passée, j'ai candidaté pour un poste d'éducatrice spécialisée en Hôpital Psychiatrique, en Unités de Soins Intensifs et Sécurisés plus précisément. Trois jours après, je visitais les lieux....
Dès demain, je dois pouvoir me positionner sur l'éventualité d'une prise de poste pour début avril.
Le caractère urgent de cette prise de poste vient renforcer mes appréhensions premières. Déjà que...
Cette visite a soulevait en moi bien des questions de tout ordre (éthique, en matière de compétences et de possibilités...)
De plus, mon expérience dans le secteur de la psychiatrie me paraît bien maigre!
En effet, récemment diplômée, j'ai effectué un stage de quelques mois au sein d'une unité de réhabilitation psychosociale accompagnant des personnes atteintes de troubles psychiatriques et/ou porteuses d'un handicap. Le cadre était très différent!
Pouvez- vous dès aujourd'hui, s'il vous plaît, me faire part de vos témoignages et expériences. J'ai lu bien des choses effrayantes. Qu'en est-il de cette appréhension vive que j'éprouve et qui me quitte difficilement depuis cette proposition de poste? Puis- je espérer qu'une période d'intégration suffisse à atténuer cette peur? Ou dois- je renoncer à cette proposition?
J'ai lu bien des articles effrayants mais reste tout de même partagée dans ma prise de décision.
Merci par avance.
Re: De l'apparition de la violence et de son appréhension
J'ai mal aux yeux en me relisant.
Désolée pour ces fautes, je me reprends par correction.
"Cette visite a soulevé...
cela suffise..."
Merci de vos réponses

Désolée pour ces fautes, je me reprends par correction.
"Cette visite a soulevé...
cela suffise..."
Merci de vos réponses
Re: De l'apparition de la violence et de son appréhension
Bonjour,
c'est à mon avis bien difficile de vous répondre, et ce n'est sûrement pas à quelqu'un d'autre que vous de faire ce choix. Tout ce que je peux vous dire, c'est qu'il faut se méfier de ce que l'on peut parfois lire. La violence dans les services de psychiatrie bien entendu que ça existe ; mais tout comme ça existe à l'extérieur. Ce n'est pas du quotidien, ou alors l'institution va bien mal.
Par contre c'est de la visite des locaux, de l'entretien que vous avez passé concernant le travail proposé que vous pourrez vous poser ces questions. A mettre bien entendu en lien avec ce que vous cherchez.
La place des éducateurs spécialisés n'est pas évidente en psychiatrie, il faut aussi s'interroger sur les motivations de l'équipe à vous accueillir. Le mieux pour ça c'est peut être de demander une nouvelle rencontre avec du personnel du service concerné : psychiatre, infirmier ou cadre et le responsable du personnel socio-éducatif.
Bonne réflexion.
c'est à mon avis bien difficile de vous répondre, et ce n'est sûrement pas à quelqu'un d'autre que vous de faire ce choix. Tout ce que je peux vous dire, c'est qu'il faut se méfier de ce que l'on peut parfois lire. La violence dans les services de psychiatrie bien entendu que ça existe ; mais tout comme ça existe à l'extérieur. Ce n'est pas du quotidien, ou alors l'institution va bien mal.
Par contre c'est de la visite des locaux, de l'entretien que vous avez passé concernant le travail proposé que vous pourrez vous poser ces questions. A mettre bien entendu en lien avec ce que vous cherchez.
La place des éducateurs spécialisés n'est pas évidente en psychiatrie, il faut aussi s'interroger sur les motivations de l'équipe à vous accueillir. Le mieux pour ça c'est peut être de demander une nouvelle rencontre avec du personnel du service concerné : psychiatre, infirmier ou cadre et le responsable du personnel socio-éducatif.
Bonne réflexion.
- augusta
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Re: De l'apparition de la violence et de son appréhension
Bonjour,
Du même avis que Bruno, vous seule avait le pouvoir de décider.
Vous avez tout de même postulé pour ce poste en psychiatrie, il doit bien y avoir une raison.
Vous dites avoir peur, appréhender.....mais n'est-ce pas normal avant une prise de poste?
Je pense que le plus simple serait d'accepter....puisque rien ne vous obligera à poursuivre si vous ne vous adaptiez pas à ce nouvel environnement.
Du même avis que Bruno, vous seule avait le pouvoir de décider.
Vous avez tout de même postulé pour ce poste en psychiatrie, il doit bien y avoir une raison.
Vous dites avoir peur, appréhender.....mais n'est-ce pas normal avant une prise de poste?
Je pense que le plus simple serait d'accepter....puisque rien ne vous obligera à poursuivre si vous ne vous adaptiez pas à ce nouvel environnement.
"Penser, c'est penser jusqu'où on pourrait penser différemment" Michel Foucault
Re: De l'apparition de la violence et de son appréhension
Il me semble pour ma part que dans un lieu avec "sécurisé" dans l'intitulé, et que la relation à l'autre est pensée sur le registre de la sécurité, de la violence potentielle et de la "gestion de l'agressivité", il ne peut que y avoir de l'agressivité et pour ma part je fuis ces lieux.
Maintenant il est impossible de préjuger plus que cela de ce qui se passe dans ce service sans y avoir travaillé. Malheureusement, ou heureusement, vous allez devoir trancher dans un acte par rapport à votre inquiétude.
Maintenant il est impossible de préjuger plus que cela de ce qui se passe dans ce service sans y avoir travaillé. Malheureusement, ou heureusement, vous allez devoir trancher dans un acte par rapport à votre inquiétude.
"La plus grande proximité, c'est d'assumer le lointain de l'autre."
J. Oury
J. Oury