A l'aide TFE émotions???
Modérateurs : Modérateurs, ESI - TFE
Je trouve quand même que c'est le serpent qui se mord la queuemimi67 a écrit :lors de notre 1ere guidance tfe, les formateurs m'ont dit que je partais du préjugé que les soignants ont des emotions. ils veulent que je le prouve, et que je démontre pourquoi. mais pour moi ca coule de source que les soignants ont des emotions lors d'une relation avec le soigné, mais comment le prouver sans tomber dans les prejugés comme ils disent???

Qui n'a pas de préjugé ?
Qui n'a pas d'émotion ?
Ce sont deux termes qui caractérisent l'être humain... l'absence d'émotion est pathologique
Je ne souhaite pas t'induire en erreur, surtout que personne d'autre ne s'exprime sur la question ce qui est bien dommage pour toi.
Comment se débarrasser des préjugés : par la réflexion et l’esprit critique, mais nous ne pouvons pas faire cela seuls car la pression sociale est importante et c’est notre culture qui est en jeu (les valeurs de la société et notre mode d'éducation entre autre...).
Parce que nous sommes des êtres humains, nous éprouvons des sentiments et même en plaçant le curseur des préjugés au minimum, nous éprouvons encore des émotions.
Quelqu’un qui n’éprouve rien en face d’une autre personne est quelqu’un de figé, qui n’exprime rien, qui ne renvoie rien de lui-même, de ce qu’il pense, de ce que l’autre lui renvoie dans la communication, c’est quelqu’un qui ne sait pas communiquer (penser aux différents niveaux de la communication) Or nous avons besoin du miroir de l’autre pour nous reconnaître.
Justement en relisant ici, je me souviens d’avoir lu un livre il y a quelques années dont le titre est "le non-dit des émotions" (C.Olivenstein)
Deux liens qui me semblent interessants :


La pensée vole, et les mots vont à pieds.
apres reflexion, peut etre que je pourrai plus baser mon etude sur les moens qui sont mis en place par les IDE (ou les cadres) pour reussir a contenir leurs emotions. je pourrai donc parler de la distance therapeutique, des formations proposées et parler brievement de la notion de macdonalisation des soins qu'il existe au canada et qui peut peut etre ariver en france.t'en pense quoi?
en fait, j'aimerais bien arriver a faire un lien entre la notion de "prescription emotionnelle "( en trouvant un autre mot) et le fait que les emotio,s sont naturelles et donc quasi impossibles a gerer.
j'aimerais mettre ene avant le paradoxe qu'il y a entre l'hopital qui veut la nuetralité emotionnelle et le veritable ressenti des IDE. qu'est ce que t'en pense?
tu crois que je peux trouver une question de depart qui relit ces deux theme?Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
en fait, j'aimerais bien arriver a faire un lien entre la notion de "prescription emotionnelle "( en trouvant un autre mot) et le fait que les emotio,s sont naturelles et donc quasi impossibles a gerer.
j'aimerais mettre ene avant le paradoxe qu'il y a entre l'hopital qui veut la nuetralité emotionnelle et le veritable ressenti des IDE. qu'est ce que t'en pense?
tu crois que je peux trouver une question de depart qui relit ces deux theme?Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
C'est une bonne idée surtout qu'il y a beaucoup de ressources à exploiter...mimi67 a écrit : apres reflexion, peut etre que je pourrai plus baser mon etude sur les moens qui sont mis en place par les IDE (ou les cadres) pour reussir a contenir leurs emotions. je pourrai donc parler de la distance therapeutique, des formations proposées et parler brievement de la notion de macdonalisation des soins qu'il existe au canada et qui peut peut etre ariver en france.t'en pense quoi?
Tu veux dire impossible à gérer par les autres, car pour nous-même il y a toujours moyen de gérer. [édit] Et encore je veux dire que la gestion peut se faire par l'accompagnement, ce que je ne comprends pas, c'est comment on peut gérer en codifiant les émotions comme si elles pouvaient être identique en chaque circonstance... elles varient suivant les individus...mimi67 a écrit : en fait, j'aimerais bien arriver a faire un lien entre la notion de "prescription emotionnelle "( en trouvant un autre mot) et le fait que les emotio,s sont naturelles et donc quasi impossibles a gerer.
Je pense que le lien peut se faire par la formation et la connaissance de soi mais ça a peu à voir avec ce que les canadiens appellent "la precription émotionnelle".
J'en pense que dire que l'hôpital veut une "neutralité émotionnelle" est subjectif car je n'ai rien trouvé dans ce sens au sens strict du mot neutralité, je parlerai plutôt de "juste distance" (tout aussi subjectif" qui se rapproche plus de l'empathie préconisée dans la relation d'aide ou dans la "relation d'accompagnement" expression que pour ma part, je préfère employer (aide pour moi est trop vague, fourre tout)mimi67 a écrit : j'aimerais mettre ene avant le paradoxe qu'il y a entre l'hopital qui veut la nuetralité emotionnelle et le veritable ressenti des IDE. qu'est ce que t'en pense?
tu crois que je peux trouver une question de depart qui relit ces deux theme?
En ce qui concerne la question de départ, je crois qu'il serait bien que quelqu'un d'autre vienne donner son avis ...


La pensée vole, et les mots vont à pieds.
dans son livre, catherine mercadier parle de neutralité emotionnelle préconisée par l'hopital. mais c vrai que j'ai trouvé cette expression seulement dans son bouquin. tu crois que je dois quand meme trouver un autre mot?Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Je ne peux pas te répondre, n'ayant pas lu le livre (ceci dit j'envisage de le faire)mimi67 a écrit :dans son livre, catherine mercadier parle de neutralité emotionnelle préconisée par l'hopital. mais c vrai que j'ai trouvé cette expression seulement dans son bouquin. tu crois que je dois quand meme trouver un autre mot?
Toutefois je pense que le mot "neutralité" peut prêter à confusion en ce domaine.
En cherchant le titre de mme Mercadier, je suis tombé sur cette bibliographie qui me semble interessante.
La collection "Pratiquer" de chez Lamarre est à mon avis bien faite (j'en ai lu quelques-uns)Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
La pensée vole, et les mots vont à pieds.
la bibliographie que tu as mise en lien est justement le livre de catherine mercadier dont je t'ai parlé (ou elle evoque la neutralité emotionnelle). par contre as tu un lien pour la collection pratiquer car je ne trouve rien.merci!Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
mimi67 a écrit :la bibliographie que tu as mise en lien est justement le livre de catherine mercadier dont je t'ai parlé (ou elle evoque la neutralité emotionnelle). par contre as tu un lien pour la collection pratiquer car je ne trouve rien.merci!


Lamarre n'a apparement pas de site particulier, c'est étonnant.
Mais la collection "pratiquer" pour ce qui concerne ton sujet est présente dans le lien... pour les autres il faut chercher au cas par cas (en dehors de ceux pour le relationnel, il en existe en responsabilité, éthique, personnes âgées... pour ceux que j'ai lu)
J'ai trouvé aussi >>>ici<<<... merci gogoleÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
La pensée vole, et les mots vont à pieds.
-
- Messages : 6
- Inscription : 11 févr. 2006 19:12
neutralité
moi je ne pense pas qu'il ne faut pas montrer ses émotions, mais plutôt qu'il faut savoir les gerer.
Tu te rends compte ne pas montrer ses émotions cela voudrait dire que nous sommes des robots... et à ce moment là je pense que nous ne prendrions plus en compte le patient en tant que personne à part entière mais plutot en tant qu'objet de soin!
Il faut arriver a savoir quelles emotions on peut laisser transparaitre, pour permettre la mise en place d'une relation avec le patient, et lesquelles il faut occulter, pour ne pas destabiliser le patient.
Attention, une nuance pour ton TFE, le fait de vouloir se proteger à tout prix de nos émotions c'est un symptôme de l'épuissement professionnelle!!!
Je pense qu'il faut rester humain, naturel mais de faire attention de ne pas aller trop loin.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Tu te rends compte ne pas montrer ses émotions cela voudrait dire que nous sommes des robots... et à ce moment là je pense que nous ne prendrions plus en compte le patient en tant que personne à part entière mais plutot en tant qu'objet de soin!
Il faut arriver a savoir quelles emotions on peut laisser transparaitre, pour permettre la mise en place d'une relation avec le patient, et lesquelles il faut occulter, pour ne pas destabiliser le patient.
Attention, une nuance pour ton TFE, le fait de vouloir se proteger à tout prix de nos émotions c'est un symptôme de l'épuissement professionnelle!!!
Je pense qu'il faut rester humain, naturel mais de faire attention de ne pas aller trop loin.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
ide en psy
j'ai une nouvelle situation: je suis en stage en rea en ce moment et samedi dernier un jeune de 21 ans (mon age) est arrivé pour AVP pieton vcontre voiture (il etait le pieton). résultat trauma cranien, contusions multiples, oedeme de cornée.... ils avaient réussi a le stabiliser jusqu'a mercredi. SA mere etait rassurée et nous a demandé de le remettre vite sur pied. mais dans la nuit de mercredi a jeudi, l'IDE l'a découvert en mydriase billatérale... ce qui signifie la plupart du temps la mort encephalique. ses parents ont ete prevenu le jeudi matin (je travaillais du matin) et ils sont arrivé avec la soeur, la copine. c'etait terrible parce qu'ils etaient tous en larmes (logique) et pour nous c'etait vraiment dur de retenir les notres. toutes les ide du secteur etaient sous le choc, et quand on a fait les trans a celle de l'aprem elle lui a dit "physiquement ce matin ce n'etait pas dur, mais psychologiquement c'etait terrible". depuis j'arrete pas de repenser a toute cette famille et je me suis sentie un epu impuissante face a eux. alors je suis ent rain de me demander si je pourrais pas poser la question suivante "comment l'IDE peut elle gerer ses emotions face a une famille endeuillée?"
t'en pense quoi?Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
t'en pense quoi?Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Je pense que la question ne se pose pas ainsi, il s'agit de trouver un juste milieu dans la gestion entre ce que le malade nous renvoie et ce que nous somme capables d'entendre et de renvoyer à notre tour.miniaustin a écrit : ...
Il faut arriver a savoir quelles emotions on peut laisser transparaitre, pour permettre la mise en place d'une relation avec le patient, et lesquelles il faut occulter, pour ne pas destabiliser le patient.
Je ne comprends pas, tu peux développer ?miniaustin a écrit :Attention, une nuance pour ton TFE, le fait de vouloir se proteger à tout prix de nos émotions c'est un symptôme de l'épuissement professionnelle!!!
Effectivement tu peux reformuler ainsi, mais des situations tu risques d'en rencontrer d'autres et je pense qu'il faudra que tu te poses un jour.mimi67 a écrit : .... alors je suis ent rain de me demander si je pourrais pas poser la question suivante "comment l'IDE peut elle gerer ses emotions face a une famille endeuillée?"
t'en pense quoi?
En revanche, j'ai un doute : est-ce possible de faire un tfe sur une relation soignant/famille, d'où le malade est absent (au moins physiquement ...et pout cause) ?
J'ai ptète dis une bêtise ?

La pensée vole, et les mots vont à pieds.
-
- Messages : 6
- Inscription : 11 févr. 2006 19:12
et bien je pense que de vouloir se proteger à tout prix,le fait d'instaurer une carapace emotionelle autour de soi, peut etre (bien sur pas fatalement, mais avec certain paramètre devant exister dans la relation) un signe d'épuisement face à une relation ou une prise en charge devenant trop lourde emotionnellement...
en lisant l'ouvrage du DR michel delbroucke (éviter l'épuissement professionnel), je me suis rendue compte que bien souvent, lorsque nous sommes face à des prise en charge difficile, nous voulons inconsciement mettre en place une distance avecle patient, bien sur c'est une piste à étudier, et pas une piste à valider, je pense qu'il est interessant d'en parler...Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
en lisant l'ouvrage du DR michel delbroucke (éviter l'épuissement professionnel), je me suis rendue compte que bien souvent, lorsque nous sommes face à des prise en charge difficile, nous voulons inconsciement mettre en place une distance avecle patient, bien sur c'est une piste à étudier, et pas une piste à valider, je pense qu'il est interessant d'en parler...Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
ide en psy
Je pense qu'il ne faut pas confondre les causes et les conséquences...miniaustin a écrit : et bien je pense que de vouloir se proteger à tout prix,le fait d'instaurer une carapace emotionelle autour de soi, peut etre (bien sur pas fatalement, mais avec certain paramètre devant exister dans la relation) un signe d'épuisement face à une relation ou une prise en charge devenant trop lourde emotionnellement...
Je n'ai pas lu ce bouquin sur le sujet, (mais j'en ai lu d'autres). La distance à mettre en place, c'est ce que nous avons appelé la distance relationnelle ou plutôt la distance thérapeutique (dans le soin) et je pense que le mieux est de la mettre en place de façon consciente et adaptée (à la situation)... c'est mieux de ne pas attendre de voir arriver le syndrome d'épuisement (ou de surmenage)Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.miniaustin a écrit : en lisant l'ouvrage du DR michel delbroucke (éviter l'épuissement professionnel), je me suis rendue compte que bien souvent, lorsque nous sommes face à des prise en charge difficile, nous voulons inconsciement mettre en place une distance avecle patient, bien sur c'est une piste à étudier, et pas une piste à valider, je pense qu'il est interessant d'en parler...
La pensée vole, et les mots vont à pieds.
je suis d'accord avec gengis, la distance thérapeutique fait partie du travail infirmier pour avooir une relation adaptée avec le patient. je ne pense pas que cette distance est due a l'epuisement professionel mais elle sert (a mon avis) a l'eviter.
est ce que tu crois qu'il faut que je base mon etude sur un service en particulier (genre des services difficiles :la réa, l'onco) ou généraliser a tous les services?
avec toutes ces infos, tout ce que j'ai déja lu je ne sais plus de quoi je devrais parler précisément. a ton avis ma question de départ devrait porter sur quoi?Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
est ce que tu crois qu'il faut que je base mon etude sur un service en particulier (genre des services difficiles :la réa, l'onco) ou généraliser a tous les services?
avec toutes ces infos, tout ce que j'ai déja lu je ne sais plus de quoi je devrais parler précisément. a ton avis ma question de départ devrait porter sur quoi?Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
A l'éviter je ne sais pas, mais elle y concourent effectivement.mimi67 a écrit :je suis d'accord avec gengis, la distance thérapeutique fait partie du travail infirmier pour avooir une relation adaptée avec le patient. je ne pense pas que cette distance est due a l'epuisement professionel mais elle sert (a mon avis) a l'eviter.
J'ai déjà dit que je ne connaissais pas la méthodologiemimi67 a écrit :est ce que tu crois qu'il faut que je base mon etude sur un service en particulier (genre des services difficiles :la réa, l'onco) ou généraliser a tous les services?

Je pense que c'est possible de partir d'un service en particulier et en développant, d'arriver à une situation générale (en fait il me semble que c'est le but ?)


Je pense que tu devrais te recentrer sur ce que tu as envi de développer, ce où tu te sens plus à l'aise, où tu as le plus de références (et aussi de vécu) personnelsmimi67 a écrit :avec toutes ces infos, tout ce que j'ai déja lu je ne sais plus de quoi je devrais parler précisément. a ton avis ma question de départ devrait porter sur quoi?
Cala tourne autour de la relation avec le malade, de la difficulté de mettre en place une relation qui soit "humaine", et "thérapeutique" à la fois....sans que l'investissement émotionnel personnel ne soit trop couteux... on en revient toujours à la distance thérapeutique, à toi de voir...
Je ne sais pas quoi te dire de plus concernant la question de départ

La pensée vole, et les mots vont à pieds.
je pense centrer mon sujet sur les services de rea ou je parlerai non seulement des emotions ressenti par les soignants face aux patients, mais aussi du stress qu'engendre le travail dans un service comme celui ci et leur répercutions dans le soin au patient.ensuite je pourrai dévelloper les moyens mis en oeuvre pour gérer ces emotions (distance therapeutique, formations). apres je pourrai peut etre parler du paradoxe qu'il existe entre le fait que l'hopital souhaite (en quelque sorte) gerer nos emotions mais que celles ci sont incontrolables par quelqu'un d'autre que par soit meme.t'en pense quoi?
j'arrive tjs pas a trouver ma question de départ mais je pense que je devrais y arriver!Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
j'arrive tjs pas a trouver ma question de départ mais je pense que je devrais y arriver!Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.