Entraînement culture générale 2012
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Re: Entraînement culture générale 2012
kaiss33 a écrit :bonjour
je vous propose un sujet CG concours 2010, j'ai zappé la première question qui consistait à dégager les idées principales...
La maladie un voyage au bout de soi
Toute annonce d’une maladie grave est un coup de poing. Elle brutalise, révulse et sidère. Rien n’y prépare, rien n’en protège. Installés dans le confort de leur existence à durée indéterminée, les malades et leurs proches se voient soudain confrontés à l’impensé : la précarité de la vie.
Passé le choc de l’annonce, toute personne atteinte d’une maladie grave se trouve confronté à une nécessité vitale : il faut « se battre ». Le corps médical emploie très régulièrement un lexique guerrier, que le malade ne comprend pas toujours. Comment lutter quand on est épuisé par la maladie, assommé par les traitements, voire mutilé par la chirurgie ?
Il est courant qu’un malade tente de devenir expert de sa propre maladie. Il apprend le jargon médical, étudie les statistiques, recueille toutes les informations médicales possibles. Il reprend ainsi le contrôle, passant du statut de « patient » passif à celui de sujet actif. Mais la volonté de savoir se heurte au décalage entre la représentation médicale de la maladie et le vécu du malade. Cette dissonance apparaît invariablement dans les récits de malades : il arrive un moment où ils prennent conscience que la réalité vivante et douloureuse de la maladie déborde de part en part le discours froid et figé de la clinique .
La reconquête de soi doit donc passer par autre chose que la stricte anticipation médicale de l’évolution de la pathologie. Elle suppose de consentir à abandonner son corps aux équipes soignantes, le temps du soin. Les philosophes Claire Marin et Jean-Luc Nancy évoquent tous deux une expérience de « dépossession ». Tout se passe comme s’ils s’étaient trouvés expropriés d’eux-mêmes à mesure que leur corps devenait objet d’analyse, d’auscultation, de palpation, d’expérimentation, de normalisation. Le geste médical tend en prime à morceler ce corps, réduisant l’individu à la défaillance de l’un de ses organes.
Que reste-t-il de cette expérience quand la menace vitale s’éloigne et quand se profile l’horizon d’un « retour à la vie normale » ? La philosophie, depuis Sénèque, insiste sur ce paradoxe : la maladie a pour vertu de réveiller l’existence. Souffrir, c’est ressentir. La vie, qui se déroule comme une évidence quand tout va bien, fait l’objet de questionnements intenses quand le corps se dérobe. La sensibilité explose. Des disputes violentes et des rencontres magnifiques aboutissent à une recomposition du cercle amical. L’état d’esprit à l’égard de l’avenir n’est plus le même : beaucoup d’anciens malades, une fois rétablis, disent vouloir « privilégier l’essentiel », parfois se réaliser dans un tout autre métier, ou vivre dans un tout autre environnement, que ceux d’avant la maladie. Le corps, lui aussi, a changé : les muscles ont fondu ou le corps a gonflé, le visage s’est transformé, un sein ou une prostate ont été sacrifiés sur l’autel de la guérison. L’image de soi s’est brouillée. Pour toutes ces raisons, la guérison biologique ne se résume jamais à un simple retour à la « vie d’avant ». « Guérir n’est pas revenir… », note Georges Canguilhem .
L’une des attitudes les plus communes consiste en une « spiritualisation de la maladie » (Friedrich Nietzsche). Beaucoup d’anciens malades cherchent ainsi à tirer de la maladie une leçon de vie. Forts de leur expérience de la faiblesse, ils déclarent avoir accès à une connaissance plus approfondie de soi, des autres et du monde. L’un des exemples les plus célèbres est celui de Nietzsche, qui affirme être devenu philosophe grâce à la maladie, et même avoir bâti toute sa pensée sur la « volonté de vivre » ressentie au plus près de la mort.
Son expérience rejoint celle que vivent aujourd’hui de nombreux malades : il apparaît vital de réinscrire la maladie dans la cohérence d’une existence personnelle, d’« en faire quelque chose » pour la renaissance à venir. Cela peut passer par l’écriture, l’art, la spiritualité, un engagement associatif…
Une autre attitude, qui succède parfois à la précédente, consiste à chercher les clés pour guérir de la guérison. Il ne s’agit plus de « faire quelque chose » de sa maladie, mais au contraire d’en faire le deuil. Non pas rayer la maladie de son histoire, mais la restituer à sa juste place : une parenthèse douloureuse, subie et non voulue, qui doit se refermer. Dans les hôpitaux, des services psychologiques peuvent accompagner les anciens patients.
Il ne s’agit pas tant de guérir que de vivre, ni tant de « privilégier l’essentiel » que de renouer avec l’accessoire, petits conflits et jolies saveurs qui tissent la trame du quotidien.
Questions :
2. « consentir à abandonner son coprs aux équipes soignantes. » Que vous évoque cette phrase extraite du texte ?
3. « guérir n'est pas revenir. » et « Il ne s’agit pas tant de guérir que de vivre, ni tant de « privilégier l’essentiel » que de renouer avec l’accessoire, petits conflits et jolies saveurs qui tissent la trame du quotidien. » Que vous suggèrent ces deux phrases ? Commentez votre propos.
2/ En effet, après l'annonce de la maladie, le patient pour guérir doit accepter de faire les examens cliniques (par le toucher: palpation,..), biologiques (prise de sang,...) mais aussi les chirurgies. En effet, c'est comme s'il devait abandonner son corps aux soignants pour se faire soigner. Le patient se sent alors "déposséder" de son corps et a l'impression que son corps n'est autre qu'un objet pour l'équipe soignante. De plus, le patient ne comprend pas grand chose de ce que les médecins veulent faire: il se laisse faire. Il faut donc privilégier dans ces moments difficiles (d’annonce d’une maladie grave) le dialogue et la mise en place de psychologues voire d'associations (cas du cancer par ex).
3/ Après la maladie (guérie), le malade se sent mieux au niveau physique mais aussi psychologique. Il voit la vie tout autrement et ses valeurs changent.
1- Pendant la maladie:
- le patient souffre, a des douleurs, fatigué
- n'a plus de vie sociale (ne voit plus ses amis,..): solitude
- plus de vie professionnelle
- la famille est présente à coté de lui (la plupart du temps)
- son moral est au plus bas
- l'espoir de guérir / peur de la mort
2-Changement des mentalités après la maladie:
- le patient guéri n'est plus comme avant: il "comprend" que la santé est essentielle: il fait + attention à ses habitudes de vie (alimentation, sport,...) va augmenter son capital santé
- il sait ce qu'est la solitude et donc va s'entourer encore + pour ne plus avoir à être seul
- va changer de voie professionnelle car ses valeurs ont changé (+ de valeurs humaines): travail dans la santé, humanitaire,...
- passer + de temps avec sa famille qui était présente à coté de lui (voit l'importance de la famille)
- faire du bénévolat: associations...
- faire + d'activités ludiques, culturelles,...
("des petits gestes" qui vont lui faire du bien: aller au cinéma, partager un bon repas entre amis,...)
Le patient souffrant d’une maladie grave voit sa vie basculée par l'annonce de sa maladie. Solitude, douleurs, épuisements du aux traitements,... son moral est au plus bas. Durant cette période, il va comprendre que la vie est courte et qu'elle vaut la peine d’être vécue. Il va après la guérison changer de voie professionnelle pour se lancer dans la santé voire l’humanitaire, faire du bénévolat, passer plus de temps avec ses proches,... Ses valeurs ont changé. (pas d'ouverture trouvée!)

Je pense que je n'ai pas bien répondu et que j'ai fais du hors-sujet mais je poste quand même mes réponses. Qu'auriez-vous mis dans "idées principales"?
Mes réponses aux idées principales: (corrigez-moi svp!! je suis nulle pour trouver les idées principales!)
- le malade atteint d'une maladie grave apprend beaucoup de choses sur sa maladie
- le malade se sent dépossédé de son corps
- le malade change de vision quant à l'avenir (changement de voie professionnelle, etc,...)
- il vit un changement de l'image de soi
- le patient tire une leçon de la vie à travers la maladie
- le patient doit faire le deuil de sa maladie à travers une activité (l'écriture,..)
J'ai trouvé ce sujet très intéressant puique moi-meme quand j'étais hospitalisée, j'avais l'impression d'etre "un objet" pour les soignant (ce n'était pas une amaldie grave mais bon...): ils venaient me voir, faisaient les tests, m'envoyer en radiographie, etc... j'étais assommée par les médicaments, les injections, j’avais mal, toujours envie de dormir,... je n’arrivais meme plus à ouvrir les yeux pour écouter le médecin.

Re: Entraînement culture générale 2012
re
par rapport au sujet : la maladie, un voyage au bout de soi
vous avez des points interessants, ce que je peux rajouter à cela:
pr la question 2 bon certes le corps est depersonnalisé devient objet ..etc mais peut etre parler aussi du climat confiance dans le rapport soignants-soignés..
pour la question 3, à mon avis ça ne parle que de l'aprés maladie!! perso j'aurai parlé en premier temps de ce qui change chez la personne sur le plan personnel psychologique social..etc et ds un second temps évoquer la prevention..Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
par rapport au sujet : la maladie, un voyage au bout de soi
vous avez des points interessants, ce que je peux rajouter à cela:
pr la question 2 bon certes le corps est depersonnalisé devient objet ..etc mais peut etre parler aussi du climat confiance dans le rapport soignants-soignés..
pour la question 3, à mon avis ça ne parle que de l'aprés maladie!! perso j'aurai parlé en premier temps de ce qui change chez la personne sur le plan personnel psychologique social..etc et ds un second temps évoquer la prevention..Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Promo 52 ifsi Kléber
Re: Entraînement culture générale 2012
Questions :
2. « consentir à abandonner son coprs aux équipes soignantes. » Que vous évoque cette phrase extraite du texte ?
3. « guérir n'est pas revenir. » et « Il ne s’agit pas tant de guérir que de vivre, ni tant de « privilégier l’essentiel » que de renouer avec l’accessoire, petits conflits et jolies saveurs qui tissent la trame du quotidien. » Que vous suggèrent ces deux phrases ? Commentez votre propos.
2. Cette phrase l'évoque une certaine réalité dure à "avaler" pour les patients. En effet lorsqu'un patient est malade il donne entièrement son corps au médecin, il subit les analyses permettant d'identifier ce qui ne va pas. Le terme "abandon" est ici fais exprès il donne une connotation négative du fait que le patient a l'impression qu'on ne lui demande pas son avis, qu 'on lui prend de force, qu'il part de lui même. Cela renvoi au lexique trop compliqué qu'emploi certains médecins avec leurs patients.
3. "Guérir n'est pas revenir" signifie que même si le malade est guérit il faut qu'il apprenne à revenir à une vie normale. Cela est souvent très dur, prenons l'exemple de quelqu'un atteint du cancer et qui est à l'hôpital depuis 6 mois, il est très dur de revenir à une vie normal, une vie où les soignants ne sont plus là. Où le rythme de l'hôpital n'est plus présent (heures des repas par exemple).
Pour la deuxième phrase j ai un peu plus de mal ... Je dirai que après ne maladie grave le patient se rend plus compte de la valeur de la vie et veut privilégier les actes simples de celle - ci.
Dites moi ce que vous en pensez
ps : sujet trèèès intéressant, j'ai beaucoup aimé le thème malgré la difficulté.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
2. « consentir à abandonner son coprs aux équipes soignantes. » Que vous évoque cette phrase extraite du texte ?
3. « guérir n'est pas revenir. » et « Il ne s’agit pas tant de guérir que de vivre, ni tant de « privilégier l’essentiel » que de renouer avec l’accessoire, petits conflits et jolies saveurs qui tissent la trame du quotidien. » Que vous suggèrent ces deux phrases ? Commentez votre propos.
2. Cette phrase l'évoque une certaine réalité dure à "avaler" pour les patients. En effet lorsqu'un patient est malade il donne entièrement son corps au médecin, il subit les analyses permettant d'identifier ce qui ne va pas. Le terme "abandon" est ici fais exprès il donne une connotation négative du fait que le patient a l'impression qu'on ne lui demande pas son avis, qu 'on lui prend de force, qu'il part de lui même. Cela renvoi au lexique trop compliqué qu'emploi certains médecins avec leurs patients.
3. "Guérir n'est pas revenir" signifie que même si le malade est guérit il faut qu'il apprenne à revenir à une vie normale. Cela est souvent très dur, prenons l'exemple de quelqu'un atteint du cancer et qui est à l'hôpital depuis 6 mois, il est très dur de revenir à une vie normal, une vie où les soignants ne sont plus là. Où le rythme de l'hôpital n'est plus présent (heures des repas par exemple).
Pour la deuxième phrase j ai un peu plus de mal ... Je dirai que après ne maladie grave le patient se rend plus compte de la valeur de la vie et veut privilégier les actes simples de celle - ci.
Dites moi ce que vous en pensez

ps : sujet trèèès intéressant, j'ai beaucoup aimé le thème malgré la difficulté.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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Re: Entraînement culture générale 2012
oui j'ai remarqué par la suite que pour la question 2 que je n'avais pas mis la relation patient-soignant! et pour la question 3, je ne savais pas vraiment quoi mettre pour faire 2 parties: pour ta ère partie: ok mais dans prévention, tu voulais mettre quoi?: les solutions?kaiss33 a écrit :re
par rapport au sujet : la maladie, un voyage au bout de soi
vous avez des points interessants, ce que je peux rajouter à cela:
pr la question 2 bon certes le corps est depersonnalisé devient objet ..etc mais peut etre parler aussi du climat confiance dans le rapport soignants-soignés..
pour la question 3, à mon avis ça ne parle que de l'aprés maladie!! perso j'aurai parlé en premier temps de ce qui change chez la personne sur le plan personnel psychologique social..etc et ds un second temps évoquer la prevention..
peux tu me dire ce que t'aurais mis dans les idées principales?
Nanouu: la 2 est correcte mais pas la 3! tu fais du hors sujet: on emploie "revenir" pas pour revenir à une vie normale mais le patient après que la maladie soit guérie ne "revient" plus à sa vie antérieure pas du fait de la difficulté de revenir à une vie normale mais du fait qu'il a appris beaucoup sur lui, sur ce qu'il voulait vraiment: sa perception de la vie a changé et donc il ne revient plus en arrière: il change, subit des transformations ... et peut changer complètement de vie professionnelle (par ex: avant la maladie il était comptable: après, il a acquis des valeurs humaines etc... et devient infirmier) J'espère que tu m'as compris! en gros, ce texte nous dit que la perception du patient change (ça ressemble un peu à de la philosophie tout ça).Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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Re: Entraînement culture générale 2012
Dites moi, je vous lis et je me demandais lorsque vous répondez aux questions vous sortez les infos de vos petits têtes ou bien vous vous aidez de vos fiches/internet ?
Non parce que si vous maitrisez tout ses sujets par coeur sans document sur lequel vous appuyez, je vais vraiment m'inquiéter ...
Je suis mal si c'est le cas. Car je trouve que les sujets/questions posés vont vraiment dans le détail.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Non parce que si vous maitrisez tout ses sujets par coeur sans document sur lequel vous appuyez, je vais vraiment m'inquiéter ...

Re: Entraînement culture générale 2012
Pour ma part je le fait sans mes fiches, parce que sinon ce n'est pas un bon entrainement.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
DE 2015
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Re: Entraînement culture générale 2012
kysa, quelle est ta "technique". Je suis perdu pour la CG. Je ne sais aps comment réviser. A part lire mes fiches, en retenir les idées principales. Apprendre les définitions de chacune de mes fiches. Je ne vois pas quoi faire d'autre
Si je peux avoir des conseils ca m'aiderai beaucoup !Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.

Si je peux avoir des conseils ca m'aiderai beaucoup !Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Re: Entraînement culture générale 2012
Bon alors après les techniques dépendent de chacun, mais moi j'ai ré-écris mes fiches et après à force de faire des sujets, on se rend compte que seulement quelques chiffres sont utiles et qu'il n'y a pas besoin de savoir tout dans le détail mais avoir une bonne idée générale de comment ça se passe ou les arguments pour ou contre suffit généralement. Après là je devrais recevoir mes notes de Culture G de ma prépa intensive donc je verrais si ma technique est bonne, mais normalement, pour l'écrit, les principaux chiffres sont quasiment donnés dans l'article 
Après c'est relire continuellement mes fiches, histoire de toujours avoir en tête comment ça se passe dans le général.
Mais bon, après je sais que j'ai une mémoire visuelle et que je retiens facilement les choses, donc tout dépend de ton type de mémoire et si tu arrive à englober pleins d'info sans tout mélangé ensuite.
Il faut dire, que je n'ai pas de soucis au niveau des tests psycho, donc je n'ai que la culture G à travailler
Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.

Après c'est relire continuellement mes fiches, histoire de toujours avoir en tête comment ça se passe dans le général.
Mais bon, après je sais que j'ai une mémoire visuelle et que je retiens facilement les choses, donc tout dépend de ton type de mémoire et si tu arrive à englober pleins d'info sans tout mélangé ensuite.
Il faut dire, que je n'ai pas de soucis au niveau des tests psycho, donc je n'ai que la culture G à travailler

DE 2015
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Re: Entraînement culture générale 2012
D'accord merci pour la correctionstepit42 a écrit :Nanouu: la 2 est correcte mais pas la 3! tu fais du hors sujet: on emploie "revenir" pas pour revenir à une vie normale mais le patient après que la maladie soit guérie ne "revient" plus à sa vie antérieure pas du fait de la difficulté de revenir à une vie normale mais du fait qu'il a appris beaucoup sur lui, sur ce qu'il voulait vraiment: sa perception de la vie a changé et donc il ne revient plus en arrière: il change, subit des transformations ... et peut changer complètement de vie professionnelle (par ex: avant la maladie il était comptable: après, il a acquis des valeurs humaines etc... et devient infirmier) J'espère que tu m'as compris! en gros, ce texte nous dit que la perception du patient change (ça ressemble un peu à de la philosophie tout ça).


+1 pour kysa moi non plus je n'utilise pas mes fiches sinon aucun interêt !Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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Re: Entraînement culture générale 2012
kysa a écrit :Bon alors après les techniques dépendent de chacun, mais moi j'ai ré-écris mes fiches et après à force de faire des sujets, on se rend compte que seulement quelques chiffres sont utiles et qu'il n'y a pas besoin de savoir tout dans le détail mais avoir une bonne idée générale de comment ça se passe ou les arguments pour ou contre suffit généralement. Après là je devrais recevoir mes notes de Culture G de ma prépa intensive donc je verrais si ma technique est bonne, mais normalement, pour l'écrit, les principaux chiffres sont quasiment donnés dans l'article
Après c'est relire continuellement mes fiches, histoire de toujours avoir en tête comment ça se passe dans le général.
Mais bon, après je sais que j'ai une mémoire visuelle et que je retiens facilement les choses, donc tout dépend de ton type de mémoire et si tu arrive à englober pleins d'info sans tout mélangé ensuite.
Il faut dire, que je n'ai pas de soucis au niveau des tests psycho, donc je n'ai que la culture G à travailler
pas de soucis pour les tests psycho!



Re: Entraînement culture générale 2012
Les test je m'en sors bien aussi même si certains sont encore difficiles pour moi à faire donc je continue à m'entrainer mais la culture gé j'ai l'impression de ne vraiment pas m'en sortir...
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Infirmière DE (Nov 2015)
A la recherche d'un poste...
En mode préparation du concours infirmière scolaire 2016 !!

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Re: Entraînement culture générale 2012
Je suis rassurée alors. Je ne connais pas par coeur mes fiches mais seulement les grands points et les avantages/inconvéniants;les pour/les contres... Après pour ce qui est des chiffres et des dates, j'ai vraiment beaucoup de mal a les retenir. Mais bon, je sais qu'il n'est pas essentiel de les connaitre pour le concours donc je ne m'inquiéte pas pour ca.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Re: Entraînement culture générale 2012
Salut à tous!!
J'ai pas eu trop le temps de me connecter ces temps ci. Alors je vous mets mon travail sur le texte "la maladie un voyage au bout de soi". Je regarde vos réponses tout de suite après!!
1/Dégager les idées principales
=>L'annonce de la maladie
=>La réaction du malade: Il faut se battre
=>Décalage entre 2 réalité: celle vue par le médecin et celle vécu par le malade
=>Le patient toujours objet de soin
=>La rémission n'est pas un retour à la vie d'avant
=>La maturité que les patient en retire sur un plan psychologique
=>Besoin de faire quelque chose de concret de sa vie
=>Deuil de la maladie
Pour conclure, la relation médecin-patient est cruciale pour une bonne prise en charge du malade.
En effet, il existe une série de conséquences physiques qu'elles soient temporaires, les séquelles dû à l’hospitalisation de longue durée entrainant la fonte des muscles et la difficulté à se tenir debout, ou qu'elles soient définitives, suite à des opérations tel que la masectomie. Et il existe aussi de nombreuses conséquences psychiques. Après l'annonce de la maladie comme après l'annonce de la rémission, l'individu fait face à une série d'étapes le conduisant du déni à l'acceptation parallèlement à plusieurs émotions allant de la peur à la joie. Une fois la rémission commencé, le malade auparavant si entouré par l'équipe médicale se retrouve seul. Il doit alors accepter les conséquences issue de l'opération et avancer.
Or la maladie a eu des conséquences socio professionel importante. En effet d'un point de vue professionnel, les traitements souvent trop lourd poussent les patients atteint à demander des mi temps thérapeutique ou des réaménagement de poste ou même à arrêter leur travail. Et une fois la maladie vaincue, ils doivent retrouver un travail, le même si possible ou un différent suite à des séquelles physique définitive ou à un changement d'orientation.
Ainsi, guérir n'est pas revenir en arrière car c'est impossible. Mais bel et bien d'aller de l'avant malgré les conséquences issues de la maladie.
Mais rien que le fait de retourner chez eux et de retrouver des lieux et des visages familiers leur apportera un grand réconfort. Quand l'auteur dit qu'"il ne s'agit pas tant de guérir que de vivre", le cas des patients de soins palliatif l'illustre parfaitement. Plusieurs hôpitaux mettent en place des projets de vie qui correspondent le plus souvent à organiser le retour d'une personne chez elle. Ce n'est pas la guérison qui leur est proposé mais vivre les derniers moments pleinement et non enfermé dans une chambre d’hôpital coupé de tout.
Ainsi, ce n'est pas guérir le plus important mais vivre les petites choses du quotidien.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
J'ai pas eu trop le temps de me connecter ces temps ci. Alors je vous mets mon travail sur le texte "la maladie un voyage au bout de soi". Je regarde vos réponses tout de suite après!!

1/Dégager les idées principales
=>L'annonce de la maladie
=>La réaction du malade: Il faut se battre
=>Décalage entre 2 réalité: celle vue par le médecin et celle vécu par le malade
=>Le patient toujours objet de soin
=>La rémission n'est pas un retour à la vie d'avant
=>La maturité que les patient en retire sur un plan psychologique
=>Besoin de faire quelque chose de concret de sa vie
=>Deuil de la maladie
Abandonner son corps au personnel soignant revient à rendre le patient objet de soin et non acteur de sa maladie. Une série de loi a alors été voté pour remettre le patient au cœur du soin. Ainsi, les lois Kouchner et Leonetti visent à réaffirmer les droits des malades. En effet, les professionnel de santé sont tenus de délivrer à leurs patients les informations concernant leurs maladies de manière claire et spécifique dans les cas où les malades sont sourds ou tout simplement si il ne parle qu'un français approximatif. Ces informations doivent permettre au patient de donner au médecin son consentement éclairé. Mais malgré les informations issue du médecin et les recherches du patient, il sera dur pour lui de comprendre le jargon médical. C'est pourquoi, la relation de confiance qui s'installe entre le patient et le médecin est très importante. C'est au médecin de proposer les choix possibles au patient en lui donnant son avis sur ceux qui lui conviendraient le mieux mais c'est au patient de choisir quel traitement il prendra. Ainsi, le patient doit avoir confiance dans son médecin et les traitements qu'il lui proposera. Tandis que le médecin devra faire confiance aux informations que lui donnera le patient sur les conséquences du traitement pour pouvoir l'adapter en cas de complication.2. « consentir à abandonner son coprs aux équipes soignantes. » Que vous évoque cette phrase extraite du texte ?
Pour conclure, la relation médecin-patient est cruciale pour une bonne prise en charge du malade.
La maladie entraine des conséquences physiques et psychologiques mais aussi socio-professionel.3. « guérir n'est pas revenir. »
En effet, il existe une série de conséquences physiques qu'elles soient temporaires, les séquelles dû à l’hospitalisation de longue durée entrainant la fonte des muscles et la difficulté à se tenir debout, ou qu'elles soient définitives, suite à des opérations tel que la masectomie. Et il existe aussi de nombreuses conséquences psychiques. Après l'annonce de la maladie comme après l'annonce de la rémission, l'individu fait face à une série d'étapes le conduisant du déni à l'acceptation parallèlement à plusieurs émotions allant de la peur à la joie. Une fois la rémission commencé, le malade auparavant si entouré par l'équipe médicale se retrouve seul. Il doit alors accepter les conséquences issue de l'opération et avancer.
Or la maladie a eu des conséquences socio professionel importante. En effet d'un point de vue professionnel, les traitements souvent trop lourd poussent les patients atteint à demander des mi temps thérapeutique ou des réaménagement de poste ou même à arrêter leur travail. Et une fois la maladie vaincue, ils doivent retrouver un travail, le même si possible ou un différent suite à des séquelles physique définitive ou à un changement d'orientation.
Ainsi, guérir n'est pas revenir en arrière car c'est impossible. Mais bel et bien d'aller de l'avant malgré les conséquences issues de la maladie.
Les malades qui suivent de lourdes thérapies ont souvent du mal à se déplacer et à manger.En effet, les médicaments ayant de nombreux effets secondaires tendent à les fatiguer plus que nécessaire et à leur faire perdre l'appétit. Ainsi, il est difficile pour eux de sortir de l'hôpital que ce soit pour des raisons professionnel ou personnel. Cependant, une fois sortie de l’hôpital après une bonne rééducation ils pourront de nouveau devenir autonome et vivre leur vie tranquillement en reprenant leurs sorties.« Il ne s’agit pas tant de guérir que de vivre, ni tant de « privilégier l’essentiel » que de renouer avec l’accessoire, petits conflits et jolies saveurs qui tissent la trame du quotidien. »
Mais rien que le fait de retourner chez eux et de retrouver des lieux et des visages familiers leur apportera un grand réconfort. Quand l'auteur dit qu'"il ne s'agit pas tant de guérir que de vivre", le cas des patients de soins palliatif l'illustre parfaitement. Plusieurs hôpitaux mettent en place des projets de vie qui correspondent le plus souvent à organiser le retour d'une personne chez elle. Ce n'est pas la guérison qui leur est proposé mais vivre les derniers moments pleinement et non enfermé dans une chambre d’hôpital coupé de tout.
Ainsi, ce n'est pas guérir le plus important mais vivre les petites choses du quotidien.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Montpellier: Admise sur LP!!
ESI 2012/2015!!
Stage: S1 Crèche S2 Gériatrie S3 Médecine Générale S4 Psychiatrie
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Stage: S1 Crèche S2 Gériatrie S3 Médecine Générale S4 Psychiatrie
Re: Entraînement culture générale 2012
Stepit!!
La 3ème question tu as traité les deux citations ensemble?? Si tu pouvais juste me remettre les arguments pour la deuxième citation...Qui était vraiment pas facile!!
Ensuite pour les idées principales je trouve que tu t'en ai bien tiré il n'y a pas de Hors Sujet pour moi.
Kaiss 33!!
Quand tu dis que la question 3 ne parle que d'après la maladie je ne suis pas totalement d'accord. Je pense qu'il parler un peu du vécu de la maladie et du traitement pour pouvoir passer aux conséquences. Mais je suis d'accord qu'il ne faut pas s'attarder sur le sujet!!
Pour ta deuxième partie prévention tu voulais parler de la prévention de la récidive???
Et je voulais savoir si tu avais une correction ou un plan sur les questions parce que je sais que dans certaines prépas ils retraitent des sujets déjà tombé et qu'ils donnent des petites corrections...
En tout cas merci pour le texte!!
Nannou!!
Je n'avais pas pensée la deuxième question comme toi. "Revenir à la vie normale" mais comme Stepit "Revenir à la vie d'avant". Mais je pense que tu aurais pu en parler dans ta conclusion...Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
La 3ème question tu as traité les deux citations ensemble?? Si tu pouvais juste me remettre les arguments pour la deuxième citation...Qui était vraiment pas facile!!
Ensuite pour les idées principales je trouve que tu t'en ai bien tiré il n'y a pas de Hors Sujet pour moi.

Kaiss 33!!
Quand tu dis que la question 3 ne parle que d'après la maladie je ne suis pas totalement d'accord. Je pense qu'il parler un peu du vécu de la maladie et du traitement pour pouvoir passer aux conséquences. Mais je suis d'accord qu'il ne faut pas s'attarder sur le sujet!!

Pour ta deuxième partie prévention tu voulais parler de la prévention de la récidive???
Et je voulais savoir si tu avais une correction ou un plan sur les questions parce que je sais que dans certaines prépas ils retraitent des sujets déjà tombé et qu'ils donnent des petites corrections...

En tout cas merci pour le texte!!

Nannou!!
Je n'avais pas pensée la deuxième question comme toi. "Revenir à la vie normale" mais comme Stepit "Revenir à la vie d'avant". Mais je pense que tu aurais pu en parler dans ta conclusion...Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Montpellier: Admise sur LP!!
ESI 2012/2015!!
Stage: S1 Crèche S2 Gériatrie S3 Médecine Générale S4 Psychiatrie
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Re: Entraînement culture générale 2012
Memo a écrit :Stepit!!
La 3ème question tu as traité les deux citations ensemble?? Si tu pouvais juste me remettre les arguments pour la deuxième citation...Qui était vraiment pas facile!!
Ensuite pour les idées principales je trouve que tu t'en ai bien tiré il n'y a pas de Hors Sujet pour moi.![]()
je pense que effectivement je les ai traité ensemble

