Votre avis?

[caqui13]

Mdr vos commentairrs sont franchement flippants.
Il est clair que légalementtu n'aurais pas du, même avec toutes les explications du monde, on n'adapte pas une posologie de son porpre chef...
Maintenan tu as agi cartu t'es senti en da nger... C'est aussi le danger de l'interim malheureusement, tu te retrouves livré à toi même dans des établissements inconnus sans aucun soutien d ela structure. C'est là qu'il fzut savoir jusqu'où on peut aller ou pas..

Cherie , on voit que tu sors de l ecole .....,
Moi les 50 gttes de Loxapac , se transforme vite en 100 .....

[BerruK]

Oui j' ai été trop honnête. Je me suis dis qu avec la gravité de la situation il fallait faire qqch, sinon je me assure une petite tranquillité un jour et le lendemain rebelote. Ça me servira de leçon

[Lenalan]

Même posologie aux urgences quand on avait des mecs en pré-DT, avec B1-B6....

[lafolldingue]

Mdr vos commentairrs sont franchement flippants.
Il est clair que légalementtu n'aurais pas du, même avec toutes les explications du monde, on n'adapte pas une posologie de son porpre chef...
Maintenan tu as agi cartu t'es senti en da nger... C'est aussi le danger de l'interim malheureusement, tu te retrouves livré à toi même dans des établissements inconnus sans aucun soutien d ela structure. C'est là qu'il fzut savoir jusqu'où on peut aller ou pas..

Cherie , on voit que tu sors de l ecole .....,
Moi les 50 gttes de Loxapac , se transforme vite en 100 .....

Oui je suis un peu cuicui les petits oiseaux... Mdr.
Oups désolée pour les fautes de frappe j'en ai mal aux yeux !

[Lenalan]

Peut-être que je sors de l'école aussi mais je ne donne rien sans prescription ni n'augmente les doses, et j'espère ne pas le faire même dans 10 ans....

[caqui13]

Peut-être que je sors de l'école aussi mais je ne donne rien sans prescription ni n'augmente les doses, et j'espère ne pas le faire même dans 10 ans....

La on parle de 10 mgs de Seresta , comme le doliprane , moi les 500 mgrs je les donne sans prescription , ou le Duphalac
Je crois que si je tel au médecin de garde pour 1 Doliprane , il m insulte ....

[Leopold Anasthase]

Je crois que si je tel au médecin de garde pour 1 Doliprane , il m insulte ....

Hé hé, c'est un vrai problème, si on le regarde de façon plus globale. En fait, pour le médecin, la bonne infirmière est celle qui ne l'appelle pas. Et c'est pareil à tous les niveaux, pour le médecin sénior, le bon interne est celui qui ne l'appelle pas, etc.

Mais finalement, si l'infirmière n'appelle pas le médecin, il n'est pas au courant de ce qu'elle fait sans lui demander son avis, ou de ce qu'elle passe sous silence « pour ne pas le déranger ».

Il y a pas mal d'années, je travaillais de nuit dans un service de cardiologie médicale. Les infirmières du service avaient pris l'habitude de distribuer des médicaments pour dormir aux patients. Il existait plusieurs niveaux, celles qui proposaient, celles qui attendaient que le patient demande. L'acte était totalement banalisé. Et d'ailleurs, on ne parlait pas de médicament, mais de « petite pilule », de « cachou » pour dormir. Quant j'ai remis cette pratique en cause, je me suis attiré les foudres de tout le monde, patients, collègues, et médecins que je « dérangeait » pour ça. Au bout d'un an, le problème était réglé : les médecins du service avaient pris l'habitude de demander aux patients s'ils avaient des problèmes de sommeil, s'ils prenaient régulièrement ou occasionnellement des médicaments pour ça, et les prescriptions étaient rédigées et correspondaient à des décisions médicales.

[Jo_bis]

La on parle de 10 mgs de Seresta ,

J'ai bossé en post-cure : la dose était de 2 Seresta 50, 4 fois par jour (prescrits par le médecin alcoologue), soit 400mg par jour.
Alors, un Seresta 10...autant dire rien.

[sorciere de lune]

La question n'est pas de savoir si la dose était adéquate, c'est de savoir comment t'en sortir alors que tu es manifestement en faute professionnelle.

Tu peux expliquer comment tu t'es retrouvé dans ce cas, et tant que personne n'a porté plainte tu ne risques rien à part te griller auprès de l'agence d'intérim et du service.

As-tu tracé cette distribution de médicament, même dans un mail?
Parce que là, tu es dedans.
Je suppose que tu as tracé précisément les actes du patient, l'aide que tu as demandé sans la recevoir... tout ça... pour te couvrir un minimum?

Il est probable que tu sois vu pour un recadrage, je te souhaite que ça s’arrête là parce que quand c'est l'établissement qui te met en difficulté, il n'est pas juste que tu prennes tout dans la tête (pardonnes le tu confraternel!)

[test164211]

.
Courage a toi, je sais que c est pas evident, tu veux faire au mieux et au final tu te retrouves ds une situation compliquée.

[Leopold Anasthase]

Par exemple les internes prescrivent souvent du paracétamol 500mg. Quand tu leurs dis que ca suffit pas, ils te disent "Bah donne leur en plus" donc tu prends l habitude de donner du 1000mg. Bon ca encore...Les traitements nuit pareil. A force de te faire défoncer car tu as osé reveiller le dr ou que tu te mets une dizaine d ide a dos car tu demandes une presc pr de l imovane, bah quand ton patient est cortiqué et te dis qu il en prend d d'habitude, tu finis par le donner. En plus dans mon service on se grille seule, car on cible. Donc on ecrit noir sur blanc qu on a donne tel ou tel comprimé sans prescription. Ca a du m arriver 2 ou 3 fois mais ca me stresse vraiment. Je compte bien en parler a la reunion car les anciennes se jettent sur nous chaque fois quand on appelle le dr pr rien (Selon elles).

Ça me rappelle la bataille que j'ai menée. En fait, on vous la fait à l'envers. Ça n'est pas à l'IDE de prescrire un traitement pour le sommeil. Mais quand on le présente comme ça, on s'attire les foudres des collègues et des médecins.

Du coup, j'avais trouvé une autre façon de présenter les choses. Je ne m'estime pas compétent pour prescrire le bromazepam, lorazepam, zopiclone ou autre benzodiazétruc et apparenté. De plus, si personne n'est mort d'avoir mal dormi une nuit, un patient peut mourir pour avoir reçu un traitement qui ne lui convenait pas (par allergie, ou en aggravant une insuffisance respiratoire par exemple). Il suffit de tenir bon quelques nuits en expliquant au patient que vous ne pouvez pas lui donner un médicament qui ne lui est pas prescrit, mais qu'il peut demander à ce que ça lui soit prescrit au médecin qui s'occupe de lui. S'il demande à ce qu'on appelle le médecin de nuit, vous pouvez lui conseiller d'attendre, et vous pouvez aussi transmettre sa demande au médecin. Il n'y a rien d'anormal à demander au médecin de répondre à une demande du patient. Le médecin peut choisir de ne pas se déplacer, vous l'écrivez.

L'avantage de cette technique, c'est qu'elle apporte une solution au problème. Dans le service où j'ai travaillé, un an plus tard, on n'imaginait pas qu'une infirmière (voire une aide-soignante, ça arrivait aussi) donne un somnifère de son propre chef.

Le problème, dans l'histoire que raconte BerruK, c'est qu'on peut désigner une tête à couper, la sienne, mais que ça ne résout pas le problème.

[Lenalan]

Quand ils en auront marre qu'on les appelle pour 1 imovane ou un doliprane (ce que je fais sans aucun scrupule ) ils se décideront à prescrire correctement (c'est leur boulot, pas le mien de décider quelle dose je donne) ou se mettront devant une feuille blanche et feront des protocoles. C'est comme ça qu'on avance et qu'on se protège, ainsi que nos collègues, pas en faisant ce qu'on veut sans tracer pour éviter de se faire couper la tête.
Vous avez envie de voir des collègues intérimaires se faire convoquer et griller dans leur boite d'intérim parce que le médecin n'a pas fait son boulot de prescripteur? Moi non. Donc c'est clair: je donne uniquement sur prescription ou sur protocole. Tant qu'il n'y en a pas, je les fais chier (et il peut rien dire, puisqu'il sait que sans prescription on a le droit de rien, s'il se plaint à la cadre ou autre, on est totalement légitime dans notre demande). Je vous garantis que très rapidement ils font.

[lafolldingue]

Je n'avais aucun scrupule non plus à enquiquiner le médecin quand j'étais de nuit... Même pour un doliprane non prescrit.... Oui on m'a rit au nez mais la seule fois où je me suis dit "oh bah tant pis pour 1g de paracétamol"ça va, le médecin a juste pas renouvelé l'ordo car le patient sort demain... " et bien le patient avait une cytolyse hépatique.
Je sais que je suis peut être trop disciplinée, ca ne plaisait pas trop à certains de mes anciens collègues...

Pour ce qui est du problème central, je ne vois pas trop quelle solution trouver pour t'en sortir mise à part assumer ce qui s'est passé, ce qui semble être ton cas. Par contre mettre le point sur la surveillance régulière du patient surtout ! Si tu as été violenté ou insulté par ce patient, je te conseille fortement d'aller à la gendarmerie déposer une main courante. C'est ton droit, sevrage ou pas, la violence n'a pas à être banalisée.

[Lenalan]

Et le plus dégueulasse c'est de se retrouver dans ces situations minables et encore de se faire convoquer, comme si c'était pas assez de stress d'être laissé sans rien au risque de se prendre un pain.....

Quand les médecins comprennent qu'on est vraiment sérieuse quand on dit qu'on ne donnera pas un duphalac ni un doliprane s'il n'y a rien de prescrit, et qu'en plus on signale à la cadre qu'il n'y a aucun protocole ni aucune prescription, en quelques jours (ou quelques mois ) ils nous font de beaux protocoles "constipation" "douleur ou fièvre" bien rangés dans un classeur. Et à l'entrée des patients on a un beau panel de "si besoin", sans même qu'on leur demande, ils savent que la chieuse ne donnera rien (avec un peu de chance on déteint sur les collègues et tout le monde leur met la pression)

[sorciere de lune]

Mdr vos commentairrs sont franchement flippants.
Il est clair que légalementtu n'aurais pas du, même avec toutes les explications du monde, on n'adapte pas une posologie de son porpre chef...
Maintenan tu as agi cartu t'es senti en da nger... C'est aussi le danger de l'interim malheureusement, tu te retrouves livré à toi même dans des établissements inconnus sans aucun soutien d ela structure. C'est là qu'il fzut savoir jusqu'où on peut aller ou pas..

Cherie , on voit que tu sors de l ecole .....,
Moi les 50 gttes de Loxapac , se transforme vite en 100 .....

Je trouve le commentaire de caqui13 extrêmement condescendant, surtout pour quelqu’un qui manifestement fait de la faute professionnelle une fierté.
J’ai plus de 20 ans de carrière et je n’ai jamais donné de médicaments non prescrits.
Si on veut décider du traitement d’un patient on fait médecine.
Sinon on reste dans les limites de sa fonction.
Je suis fière de mon diplôme, je tiens a le garder. Et je ne le crois pas plus maline que les autres, donc je sais où sont les limites de ma compétence (et non, on n'est Pas compétent pour prescrire, même quand on a l’habitude de voir un type de situation.)