histoire à la crotte
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Re: histoire à la crotte
Hash a écrit :
LA CROTTE TIME OUT :
C'est quand tu es en train de faire une bonne crotte dans les toilettes publiques et que tu dois t'arrêter car tu ne veux pas que la personne d'à côté t'entende. . .
c'est ma préférée, du vécu récent, au tribunal de la cour des assises (où j'ai été jurée) à la pause, les chiottes donnaient sur le couloir où quelques personnes fumaient sans se parler, bonjour l'angoisse
pardon les filles


- soeur Hing
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margot31 a écrit :Typhaine76 a écrit :tout en finesse![]()
remarquez mon cousin m'a bien refilez un diaporama avec les bruitages siou plé sur les epts alors bon.....![]()
ça me rappelle une chanson de gainsbourg, avec de bruitages de ce style
Evgueni Sokolov
Les écrivains écrivent peut-être pour cautériser à l'aide de mots les silences inconcevables et insupportables de l'enfance.
R.Montero
R.Montero
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Haaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa !!!!!!!!!!!!
Ben moi j'ai adoré !
Je me suis tellement marrée que j'en ai eu la larme à l'oeil et la nuque en vrac !
Et quand j'en li certaines qui se la jouent farouche...ben j'me marre encore plus...à croire qu'elle ont "le coeur de l'océan" à la place du derche...M'enfin....
Si vous le souhaitez, je m'en vais donc de ce pas vous raconter une petite histoire personnelle.Mais je préviens d'abord les âmes sensibles qui se crispent à la lecture de ce genre de discussion, afin qu'elles n'en lisent pas davantage, car cela risquerait de les constiper ad vitam aeternam...
Bon.
C'était lors d'une séance de crotte dure. Une rebelle. Une de celle qui vous arrache le cul pendant des minutes interminables...Une de celle qui vous fait transpirer et vous met au bord du torticoli tellement vous en pouvez plus de pousser hainggggrhooooo !
La garce s'obstine à vous fendre l'anus...et c'est vrai, c'est tellement vrai, on dirait vraiment qu'elle est de travers ! Et elle vous en veut vraiment...
Telle un caillou ou je ne sais pas, vous la sentez...hooo oui vous la sentez bien...mais rien n'y fait vous avez beau essayer une autre position, mettre vos mains en appui sur vos genou en soulevant le cul au dessus de la cuvette...elle reste coincée... Hoooo...Bon sang! se décidera t-elle jamais à descendre d'un seul millimettre ???
Alors, une idée un peu saugrenue peut-être, je l'admet, vous vient à l'esprit...Il faut dire que le temps passe...et que les collègues passent aussi, chacun leur tour, venant crocheter la poignée de la porte, attendant quelques secondes puis repartant un peu énervé, vous le sentez au bruit de leurs pas sur le carrelage....Donc, il vous vient cette idée peu commune... essayer de la faire remonter...En ce disant que si on y arrive, on pourra toujours revenir chier plus tard...
En espèrant qu'elle soit plus molle...héhéhé...hé oui...la nature humaine quelque fois se sent pousser des ailes...
Machine arrièèèèère, toute !
Ben j'ai essayé et c'est pas facile...
Au bout d'un moment bizarrement je me suis rendue compte que je venais de prendre conscience de l'existance de mon périnée, et je me suis dit ma foi, ce n'est pas chose perdue...mais la merde était toujours en place.
Alors on se dit bon...et si, plutôt que de la faire remonter, j'essayais de sectionner la chose. Se servir de son cul comme d'une pince Monseigneur...Moui....
Ben j'ai essayé et c'est pas facile non plus...
Même si l'on s'imagine le fion bordé de lames...ça ne suffit pas...
Au bout d'un moment , et en desespoir de cause, après avoir renoncé à l'idée d'aller la chercher avec les doigts, je me suis dit:
"allez ! On y croit !"
et là, putain j'ai respiré comme une locomotive, j'ai poussé inspiré soufflé poussé inspiré poussé comme une malade et avec la rage au ventre !! Je me disais je t'aurai garce ! Je vais pas me lancer emmerder par une merde ! et Hooooooooooo bon sang vous me croirez pas mes amis mais au moment où la chose c'est libérée: hiiii !!!!!
J'ai poussé une espèce de cri strident assez affreux et qui vous fait vous rendre compte à quel point on est petit en ce bas monde....et c'est auusi à ce moment là que j'ai entendu mon chef me demander:
Ca va Cocotte ???
Hooooooooooooooo noooooooooon, ça n'allait pas...J'avais les yeux mouillés qui sortaient des orbites et je ventilait comme une pauv' fille en pleine crise de spasmo...Hoooo Quelle honte....
J'ai mis du temps à me relever et j'avais sur l'arrière de mes cuisses la lunette des chiottes gravée à vie ...
Sans parler des fourmies dans les pieds qui faisaient que je pouvais pas poser les deux par terre en même temps....
Le deuxième moment fort de cette histoire, c'est lorsque j'ai voulu tirer la chasse....Pour virer cette misérable petite crotte ( Il va sans dire que je me suis bien gardée de pousser encore après sa chute, des fois qui y'en aurait encore une derrière...)
La chasse d'eau ne fonctionnait pas...
Mon chef à fait preuve d'une grande humanité envers moi ce jour là...
Quand je suis sortie des chiottes, il m'a regardé avec un regard plein de compassion et j'ai lu sur son visage un genre de " on sait ce que c'est, oui, c'est dur, c'est pas facile"...J'ai même cru qu'il allait me donner une petite tape sur l'épaule, mais comme je le disais, il a fait preuve de beaucoup d'humanité et s'est contenté d'un: " Ca va aller quand même ?"
J'ai rien répondu...juste un petit rictus ridicule...
Mais quelques fois, les silences en disent beaucoup plus que de longs discours...

Ben moi j'ai adoré !
Je me suis tellement marrée que j'en ai eu la larme à l'oeil et la nuque en vrac !
Et quand j'en li certaines qui se la jouent farouche...ben j'me marre encore plus...à croire qu'elle ont "le coeur de l'océan" à la place du derche...M'enfin....
Si vous le souhaitez, je m'en vais donc de ce pas vous raconter une petite histoire personnelle.Mais je préviens d'abord les âmes sensibles qui se crispent à la lecture de ce genre de discussion, afin qu'elles n'en lisent pas davantage, car cela risquerait de les constiper ad vitam aeternam...
Bon.
C'était lors d'une séance de crotte dure. Une rebelle. Une de celle qui vous arrache le cul pendant des minutes interminables...Une de celle qui vous fait transpirer et vous met au bord du torticoli tellement vous en pouvez plus de pousser hainggggrhooooo !
La garce s'obstine à vous fendre l'anus...et c'est vrai, c'est tellement vrai, on dirait vraiment qu'elle est de travers ! Et elle vous en veut vraiment...
Telle un caillou ou je ne sais pas, vous la sentez...hooo oui vous la sentez bien...mais rien n'y fait vous avez beau essayer une autre position, mettre vos mains en appui sur vos genou en soulevant le cul au dessus de la cuvette...elle reste coincée... Hoooo...Bon sang! se décidera t-elle jamais à descendre d'un seul millimettre ???
Alors, une idée un peu saugrenue peut-être, je l'admet, vous vient à l'esprit...Il faut dire que le temps passe...et que les collègues passent aussi, chacun leur tour, venant crocheter la poignée de la porte, attendant quelques secondes puis repartant un peu énervé, vous le sentez au bruit de leurs pas sur le carrelage....Donc, il vous vient cette idée peu commune... essayer de la faire remonter...En ce disant que si on y arrive, on pourra toujours revenir chier plus tard...
En espèrant qu'elle soit plus molle...héhéhé...hé oui...la nature humaine quelque fois se sent pousser des ailes...
Machine arrièèèèère, toute !
Ben j'ai essayé et c'est pas facile...
Au bout d'un moment bizarrement je me suis rendue compte que je venais de prendre conscience de l'existance de mon périnée, et je me suis dit ma foi, ce n'est pas chose perdue...mais la merde était toujours en place.
Alors on se dit bon...et si, plutôt que de la faire remonter, j'essayais de sectionner la chose. Se servir de son cul comme d'une pince Monseigneur...Moui....
Ben j'ai essayé et c'est pas facile non plus...
Même si l'on s'imagine le fion bordé de lames...ça ne suffit pas...
Au bout d'un moment , et en desespoir de cause, après avoir renoncé à l'idée d'aller la chercher avec les doigts, je me suis dit:
"allez ! On y croit !"
et là, putain j'ai respiré comme une locomotive, j'ai poussé inspiré soufflé poussé inspiré poussé comme une malade et avec la rage au ventre !! Je me disais je t'aurai garce ! Je vais pas me lancer emmerder par une merde ! et Hooooooooooo bon sang vous me croirez pas mes amis mais au moment où la chose c'est libérée: hiiii !!!!!
J'ai poussé une espèce de cri strident assez affreux et qui vous fait vous rendre compte à quel point on est petit en ce bas monde....et c'est auusi à ce moment là que j'ai entendu mon chef me demander:
Ca va Cocotte ???
Hooooooooooooooo noooooooooon, ça n'allait pas...J'avais les yeux mouillés qui sortaient des orbites et je ventilait comme une pauv' fille en pleine crise de spasmo...Hoooo Quelle honte....
J'ai mis du temps à me relever et j'avais sur l'arrière de mes cuisses la lunette des chiottes gravée à vie ...
Sans parler des fourmies dans les pieds qui faisaient que je pouvais pas poser les deux par terre en même temps....
Le deuxième moment fort de cette histoire, c'est lorsque j'ai voulu tirer la chasse....Pour virer cette misérable petite crotte ( Il va sans dire que je me suis bien gardée de pousser encore après sa chute, des fois qui y'en aurait encore une derrière...)
La chasse d'eau ne fonctionnait pas...
Mon chef à fait preuve d'une grande humanité envers moi ce jour là...
Quand je suis sortie des chiottes, il m'a regardé avec un regard plein de compassion et j'ai lu sur son visage un genre de " on sait ce que c'est, oui, c'est dur, c'est pas facile"...J'ai même cru qu'il allait me donner une petite tape sur l'épaule, mais comme je le disais, il a fait preuve de beaucoup d'humanité et s'est contenté d'un: " Ca va aller quand même ?"
J'ai rien répondu...juste un petit rictus ridicule...
Mais quelques fois, les silences en disent beaucoup plus que de longs discours...

Derrière les nuages, le ciel est toujours bleu.