Monde de rave.

[Kermit]

non Crazyduck et c'est en partie pour celà que je souhaite participer en tant que sapeur pompier à un dispositif de secours lors d'une teuf.

je vais voir de mes yeux ce que pour l'instant je visualise au travers de divers expériences (teufeurs, potes pompiers etc...)

mon opinion je préfère me la forger par moi même en restant loin des jugements de valeurs lus dans la presse par exemple. je serais je pense toujours contre les raves sauvages ou les lieux où circulent énormément de merdes mais je souhaite voir un rassemblement de près

ayant bossé en SMUR (comme ambulancier conducteur VLM) j'ai pu voir de près des OD fatales ou non. donc d'un certain côté si tu veux je suis sensible à la question.

[baddabok]

Tu m'étonnes, par contre du côté des pompiers ton attention risque d'être focalisée sur tout ce qui se passe de mauvais, au détriment de ce que tu pourrais ressentir en simple participant.

Mais il faut prendre en compte le bon comme le mauvais pas vrai ?





Ha, et la supers-star : je te zute.

[fridhu]

" avant la seconde guerre mondiale, la France aimait sa jeunesse... "

Ca se traduisait par quoi exactement STP ? Je pense que c'est vrai effectivement !

La jeunnesse au cour de l'histoire de France a toujours été frondeuse. Elle bouillonnait a peu pres autant que la jeunesse d'aujourd'hui. Et quand elle se lâchait, elle ne prenait aucune précaution pour se moquer des générations précédente, tout autant que des institutions, et des hiérarchies, clergé, noblesse, seigneureries, armée, paysans, bourgeois.

Elle exprimait sa fougue avait la même énergie que la jeunesse d'aujourd'hui a la différence pres qu'elle ne pouvait le faire qu'a des périodes très précises de l'année. les chari-varis organisés le jour de mardi Gras, les grandes fêtes religieuses, les mariages, le bisutages divers... Le reste du temps, la jeunesse qui avait quitté le monde de l'enfance restait soumise a l'autorité familiale, a un patron, a un corps de métier a la religions, et a toutes les pesanteurs sociales. Y'avait pas de révolte car la société autorisait de temps en temps a ce que la pression redescende. mais il y avait tres peu de soupapes.

Il n'y a eu d'opposition entre les générations qu'apres la seconde guerre mondiale. un respect sociale des anciens qui se limite aujourd'hui a un séparatisme entre les générations, séparatisme financier puisque ce sont les plus agés (pas tous) qui disposent du capital tandis que ceux qui sont jeunes ont le plus besoin de fraiche et pas toujours le métier pour en gagner. Avant tout le monde avait du travail, meme au plus fort des crises boursieres et des guerres. Autrefois la promiscuité obligeait les différentes générations a vivre sous un meme toit, a s'entre-aider, a se respecter. ce qui frappe aujourd'hui, c'est la solitude autant celle des jeunes que celle des anciens.

aujourd'hui tout est matière a révolte. Mais je suis bien plus révolté par les communes qui refusent un terrain au gens du voyage que par
l'interdiction d'une rave.

[Kermit]

eh crazyduck, je vais pas gober pour voir ce que ça fait de l'intérieur

mais ce n'est pas faux, je risque d'être focalisé sur les aspects négatifs. compte sur moi j'aurais un oeil le plus objectif possible

le dispositif de secours permet d'assister à la montée en puissance du rassemblement et là c'est intéressant pour moi pour un truc sur lequel je bosse. si les relèves et l'activité le permettent je souhaite en profiter pour sonder un peu l'ambiance, pour voir

[baddabok]

eh crazyduck, je vais pas gober pour voir ce que ça fait de l'intérieur

fais surtout pas ça, moi je me contente d'une bouteille et quelques pets, je tiens moins longtemps "dans le son" mais j'apprécie plus.

[fridhu]

Edmond Hervé, le maire de Rennes, a annoncé qu'il mettait un terrain à disposition d'un organisateur éventuel pour la rave-party en marge des Transmusicales. Il se situe à la Prévalaye. La préfète restera seule juge pour autoriser ou non la manifestation.

Encore une querelle de clocher en vue... Et comment, ou trouver un "organisateur" ?

[baddabok]

Y'a pas un organisateur, plusieurs collectifs gèrent leur emplacement tous de façon autonome, l'information circule et à la date prévue, comme un effet papillon, tout le monde se retrouve au lieu dit.

Pas de soucis de ce côté.