TFE rechute patient alcoolique et relation soignant-soigné
Modérateurs : Modérateurs, ESI - TFE
bonne question
Salut!!
ta question m'int'resse bcp c'est un peu mon sujet de TFE à l'envers. Mon sujet c'est comment favoriser l'adhésion aux soins d' un patient alcoolo dépendant? En fait tout le problème est qu'on ne peut pas aider une personne qui ne le veut pas ou qui n'a pas conscience d'avoir besoin d'aide. Je crois enfin il me semble qu'on ne devrait pas se sentir impuissant. Il faut faire le deuil de notre toute puissance on est pas des sauveurs. C'est sur c'est facil à dire!!
Avec cette population notre objectif doit rester humble, i l faut se montrer à l'écoute et ne faire aucun jugement, bon ça je suppose que je ne t'apprend rien. Il faut aider la personne à parler, parler de sa rencontre avec le produit, de sa relation avec lui et de sa souffrance. Car une personne alcoolo dépendante est avant tout qq'un qui a honte. Surtout que dans notre société, y compris dans notre future profession, l'alcoolisme est encore mal vu tout en sachant que ça ne fait que 20 ans que s'est considérer comme une maladie....Je sais pas si je peut t'aider car moi aussi je suis en plein questionnement . Si tu veux fait moi part de tes nouvelles questions ou réflexions. MERCI et bon courage à toi!!!!
ta question m'int'resse bcp c'est un peu mon sujet de TFE à l'envers. Mon sujet c'est comment favoriser l'adhésion aux soins d' un patient alcoolo dépendant? En fait tout le problème est qu'on ne peut pas aider une personne qui ne le veut pas ou qui n'a pas conscience d'avoir besoin d'aide. Je crois enfin il me semble qu'on ne devrait pas se sentir impuissant. Il faut faire le deuil de notre toute puissance on est pas des sauveurs. C'est sur c'est facil à dire!!
Avec cette population notre objectif doit rester humble, i l faut se montrer à l'écoute et ne faire aucun jugement, bon ça je suppose que je ne t'apprend rien. Il faut aider la personne à parler, parler de sa rencontre avec le produit, de sa relation avec lui et de sa souffrance. Car une personne alcoolo dépendante est avant tout qq'un qui a honte. Surtout que dans notre société, y compris dans notre future profession, l'alcoolisme est encore mal vu tout en sachant que ça ne fait que 20 ans que s'est considérer comme une maladie....Je sais pas si je peut t'aider car moi aussi je suis en plein questionnement . Si tu veux fait moi part de tes nouvelles questions ou réflexions. MERCI et bon courage à toi!!!!
TFE sevrage éthylique et sentiment d'impuissance
Je suis élève IDE (ancienne aide-soignante) en 3ème Années et prépare donc mon TFE. J'aurais besoin d'aide pour ce dernier sachant que je ne suis pas trés douée dans ce domaine....!!
Ma question de départ est : l' IDE peut-elle soigner une patiente en sevrage éthylique sans développer un sentiment d'impuissance?
Or je m'inquiète un peu car je dois travailler actuellement sur les concepts et suis un peu perdu...J 'ai besoin d'aide...une bonne âme accepterait-elle de me renseigner??? Cordialement. Mme TINEL (maman de 2 efts:9 ans et 5 ans).
[Titre modifié => Juju5544]
Ma question de départ est : l' IDE peut-elle soigner une patiente en sevrage éthylique sans développer un sentiment d'impuissance?
Or je m'inquiète un peu car je dois travailler actuellement sur les concepts et suis un peu perdu...J 'ai besoin d'aide...une bonne âme accepterait-elle de me renseigner??? Cordialement. Mme TINEL (maman de 2 efts:9 ans et 5 ans).
[Titre modifié => Juju5544]
Le problème premier est celui de ta question: on peut y répondre par "oui", or une question de TFE ne doit pas ammener a une réponse aussi nette.
Je pencherais plutôt pour une question du type: "Dans quelle mesure l'IDE peut-elle soigner une patiente en sevrage éthylique sans développer un sentiment d'impuissance?". le chgt est minime et pourtant, il change ts le sens de ta question.
En ce qui concerne les concepts, j'irais chercher autour de ceux ci:
représentations sociales
mécanismes de défenses
transfert-contre transfert
Comprends tu pkoi je te propose cet éventail de concepts?
Bye et bon courage
PS:
tu devrais bien définir ton expression "sentiment d'impuissance" pour éviter l'ecueil possible du jugement de valeur.
deuxio pkoi "une patiente"
troisio: pourrais tu exposer la situation de stage qui t'as fait penser a ce sujet?
Je pencherais plutôt pour une question du type: "Dans quelle mesure l'IDE peut-elle soigner une patiente en sevrage éthylique sans développer un sentiment d'impuissance?". le chgt est minime et pourtant, il change ts le sens de ta question.
En ce qui concerne les concepts, j'irais chercher autour de ceux ci:



Comprends tu pkoi je te propose cet éventail de concepts?

Bye et bon courage

PS:



Dernière modification par invite584 le 02 mars 2006 16:49, modifié 1 fois.
"A force de contempler l'abyme, l'abyme te contemple"-Nietzsche
concernant les problèmes alcool, j'évoquerait aussi les notions de prendre soin (en faisant les liens avec guérir, ce qui n'est jamais le cas dans ce genre de probleme et la rechute, qui s'inscrit dans un processus de soin)
je sais pas si je suis clair...
pour le reste, totalement d'accord avec argrath, bon courage pour la suite, et tiens nous informés
je sais pas si je suis clair...
pour le reste, totalement d'accord avec argrath, bon courage pour la suite, et tiens nous informés

"rechute" alcoolique
pas encore le tefe mais bon, rapport de stage en santé pub: pouvez-vous m'indiquer des ref bibliographique sur la realcoolisation et ses facteurs déclenchants MERCI a tous 

rechute patient alcoolique et influence /relat° soignant-soi
Bonjour,
dans le cadre de mon TFE, j'aimerais que vous m'apportiez votre ressenti sur :
-La "toute puissance soignante" mise à mal suite aux nombreuses rechutes
-comment prenez vous les rechutes? Avez vous envie de revoir votre prise en charge à leur suite ou pensez vous que cela sintègre au processus?
-COmment garder sa motivation à la suite des échecs thérapeutiques que sont les rechutes?
Je vous remercie bcp de l'aide que vous pourrez m'apporter car c'est un mémoire que je dois retravailler et je pédale dans la semoule!
merci!
marie
dans le cadre de mon TFE, j'aimerais que vous m'apportiez votre ressenti sur :
-La "toute puissance soignante" mise à mal suite aux nombreuses rechutes
-comment prenez vous les rechutes? Avez vous envie de revoir votre prise en charge à leur suite ou pensez vous que cela sintègre au processus?
-COmment garder sa motivation à la suite des échecs thérapeutiques que sont les rechutes?
Je vous remercie bcp de l'aide que vous pourrez m'apporter car c'est un mémoire que je dois retravailler et je pédale dans la semoule!
merci!
marie
Bretonne exilée à Paris.
Il peut-être bon d'être con, on y apprend plus qu'à prétendre tout savoir
Il peut-être bon d'être con, on y apprend plus qu'à prétendre tout savoir
