TFE : fin de vie
Modérateurs : Modérateurs, ESI - TFE
-
- Messages : 25
- Inscription : 13 juil. 2006 14:17
aie aie aie



pas lol en fait j'ai plein d'idées mais j'arrive pas à les mettre en plaçe
on a un polycopié mais je trouve ça très léger
les objectifs:
-décrire situation vécues ou observées en stage
-repéré ce qui pose question ou problème
-le formuler par écrit
-dégager un thème de réflexion professionelle
-échangé avec des professionnels et des personnes ressources
-amorcer ou conduire 1 rech documentaire
-utiliser les échanges et concepts pr comprendre le thème
mon projet:
"accompagnement des personnes désorientés en fin de vie "
-comment faire comprendre à cette personne qu'elle va mourir?
-doit on lui faire comprendre?
-dois je montré les aspects techniques et les définitions de la mort désorientation, soin de confort, accompagnement famille
-doit on essayé de la rassuré
-puis je parlé de la douleur et de sa thérapeutique??
en fait j'ai très peur de faire exposé et de ne pas montré mon implication!!!!
pitié aidez moi!!!!
merci d'avance!!!
Wild eyed, I died
And where were you?
I crawled out of the world
Can I stand the night...alone?
And where were you?
I crawled out of the world
Can I stand the night...alone?
theme de TFE
coucou à tous et à toutes
je souhaiterais avoir votre avis, je suis certyes qu'en première année mais je pense déjà au thème de mon TFE que l on debute en seconde année
est ce que le thème des expériences de mort imminente est une bonne idée?
merci d'avance pour vos réactions
bonne continuation pour les etudes et le reste
je souhaiterais avoir votre avis, je suis certyes qu'en première année mais je pense déjà au thème de mon TFE que l on debute en seconde année
est ce que le thème des expériences de mort imminente est une bonne idée?
merci d'avance pour vos réactions
bonne continuation pour les etudes et le reste
-
- Messages : 25
- Inscription : 13 juil. 2006 14:17
reponse a eiko
moi j'attends que se soit vraiment validé
moi c'est sur comment le rire peut aider dans les soins infirmiers durant les examens lourds,
ou bien la presence des parents est elle indispensable lors des soins lourds?
mais j'ai du mal a demarré ma recherche bibliographique en fait.
voila bon courage
moi c'est sur comment le rire peut aider dans les soins infirmiers durant les examens lourds,
ou bien la presence des parents est elle indispensable lors des soins lourds?
mais j'ai du mal a demarré ma recherche bibliographique en fait.
voila bon courage
- zekisscoolette59
- Habitué
- Messages : 69
- Inscription : 12 déc. 2004 13:31
- Localisation : nord
coucou!
un petit passage pour te dire que j'ai réalisé mon TFE sur l'accompagnement en fin de vie.Pas spécialement surle sujet que tu traites mais si tu as des questions je serai ravie d'y répondre.De plus, dans mon service, on accueille de nombreux patients en fin de vie et parfois dont l'entourage ne voit pas ou n'accepte pas l'évolution de la pathologie
voila
à bientot

un petit passage pour te dire que j'ai réalisé mon TFE sur l'accompagnement en fin de vie.Pas spécialement surle sujet que tu traites mais si tu as des questions je serai ravie d'y répondre.De plus, dans mon service, on accueille de nombreux patients en fin de vie et parfois dont l'entourage ne voit pas ou n'accepte pas l'évolution de la pathologie
voila
à bientot

Cherche mode d'emploi pour se dédoubler!
IDE en HAD , j'adore!!!!
IDE en HAD , j'adore!!!!
et tu penserai a quoi toi alors gobo49?
pour moi quand je rentrai dans cette chambre ou que je croisai un membre de la famille dans les couloirs, ils n'avaient que ca a la bouche, le fait qu'elle allait aller mieux, qu'elle allait remarcher.... malgré toutes nos tentatives d'explications, rien n'y fesait et dans les rares moment de conscience de madame L, le doute avait l'air de régner en elle.
personnellement ca ma beaucoup marqué et je peux très bien comprendre l'attitude de cette famille mais j'aimerai vraiment approfindir le sujet, creuser un peu sans passer a côté d'autre chose d'autre donc si tu as des remarques pertinente, je suis tout a fait preneuse et c'est gentil d'avoir émis tes idées.
a bientôt peut etre.
pour moi quand je rentrai dans cette chambre ou que je croisai un membre de la famille dans les couloirs, ils n'avaient que ca a la bouche, le fait qu'elle allait aller mieux, qu'elle allait remarcher.... malgré toutes nos tentatives d'explications, rien n'y fesait et dans les rares moment de conscience de madame L, le doute avait l'air de régner en elle.
personnellement ca ma beaucoup marqué et je peux très bien comprendre l'attitude de cette famille mais j'aimerai vraiment approfindir le sujet, creuser un peu sans passer a côté d'autre chose d'autre donc si tu as des remarques pertinente, je suis tout a fait preneuse et c'est gentil d'avoir émis tes idées.
a bientôt peut etre.

plus qu'un an!!!!!!
merci zekisscoolette59, j'y penserai sérieusement si je me retrouve dans une impasse ou si des questions me titillent.
mais en attendant tu pourrait me dire ce qui est fait dans ton service quand une situation pareille se présente, qu'est ce que vous mettez en place?
moi ce que j'ai vu c'était du soutien par les médecins avec souvent un relai parce que ces situations même si elle sont courante dans ce service ne sont pas facile a gérer, une proposition d'onco psychologue et un soutien psychologique pour le patient et sa famille ei ils le souhaitent.
et sinon qu'est ce que tu penses de ce déni en tant que professionnel de santé?
je te remercie par avance et te dis j'espère a bientôt.
mais en attendant tu pourrait me dire ce qui est fait dans ton service quand une situation pareille se présente, qu'est ce que vous mettez en place?
moi ce que j'ai vu c'était du soutien par les médecins avec souvent un relai parce que ces situations même si elle sont courante dans ce service ne sont pas facile a gérer, une proposition d'onco psychologue et un soutien psychologique pour le patient et sa famille ei ils le souhaitent.
et sinon qu'est ce que tu penses de ce déni en tant que professionnel de santé?
je te remercie par avance et te dis j'espère a bientôt.

plus qu'un an!!!!!!
Eiko a écrit :et tu penserai a quoi toi alors gobo49?
jje trouve que l'élément central de ta situation est l'annonce de la prise en charge palliative.
Comment la prise en charge devient-elle palliative?
ne serait ce donc pas le point de départ de la discordance de point de vueEiko a écrit :les médecins décident en commité que plus aucun traitement n'est envisageable ormis des soins de confort
comment l'annonce est-elle réalisée?
Eiko a écrit :les médecins voient la famille qui est d'origine arabe. une interprète est donc demandée. les médecins exposent la situation de fin de vie de madame L et explique que plus aucun ttt curatif n'est envisagé
l'annonce d'une mauvaise nouvelle doit-elle s'effectuer de cette manière? où se trouve la patiente, la personne de confiance, l'écoute du malade, de la famille, la décision de la patiente ou de la personne de confiance.....
le déni a ses multiples raisons et c'est un mécanisme de défense, une posture mentale face à l'intolérable qu'il faut respecter. Il était certainement déjà présent avant l'annonce de cette mauvaise nouvelle. Néamoins je me questionne sur cette annonce et sur la manière d'appréhender ce difficile virage, quand la prise en charge devient palliative.
merci gobo49 d'avoir répondu.
pour commencer je n'étais pas encore sur l'unité de stage quand la première annoce palliative a été faite, je ne peux donc pas dire comment elle a été faite, si c'était en chambre avec tout le monde ou dans la salle des familles avec les médecins, ce que je sais c'est que quand moi je suis arrivée a plusieurs reprises les médecins sont retournés en chambre pour expliquer a toutes les personnes présente : famille et patiente dans quelle situation médicale se trouvait madame L et pourquoi on ne fesait plus rien : situation trop avancée et soins trop invasif par rapport a la souffrance de madame L. les médecins ont expliqué a plusieurs reprise que les soins palliatif ne signifiait pas qu'on ne ferait plus rien mais qu'on ferait tout pour que madame L se sente bien, qu'elle n'ait pas mal, qu'elle soit confortable, d'où la pompe a morphine....
ce que je trouve d'interpellant c'est que la famille n'a jamais évolué, ils sont toujours resté dans le déni, il n'y a jamais eu de colère ou de dépression, meme si je sais que chacun chemine a son rythme et que rien n'est linéaire, je pense que tout a été fait pour aider psychologiquement cette patiente et son entourage, elle est restée un bon mois voir un peu plus je crois dans le service avant de décéder, ce qui est plus ou moins long par rapport a tous les autres décès auquel j'ai assisté, mais la je n'ai vraiment vu aucune évolution mise a part celle de la patiente.
voila.merci
pour commencer je n'étais pas encore sur l'unité de stage quand la première annoce palliative a été faite, je ne peux donc pas dire comment elle a été faite, si c'était en chambre avec tout le monde ou dans la salle des familles avec les médecins, ce que je sais c'est que quand moi je suis arrivée a plusieurs reprises les médecins sont retournés en chambre pour expliquer a toutes les personnes présente : famille et patiente dans quelle situation médicale se trouvait madame L et pourquoi on ne fesait plus rien : situation trop avancée et soins trop invasif par rapport a la souffrance de madame L. les médecins ont expliqué a plusieurs reprise que les soins palliatif ne signifiait pas qu'on ne ferait plus rien mais qu'on ferait tout pour que madame L se sente bien, qu'elle n'ait pas mal, qu'elle soit confortable, d'où la pompe a morphine....
ce que je trouve d'interpellant c'est que la famille n'a jamais évolué, ils sont toujours resté dans le déni, il n'y a jamais eu de colère ou de dépression, meme si je sais que chacun chemine a son rythme et que rien n'est linéaire, je pense que tout a été fait pour aider psychologiquement cette patiente et son entourage, elle est restée un bon mois voir un peu plus je crois dans le service avant de décéder, ce qui est plus ou moins long par rapport a tous les autres décès auquel j'ai assisté, mais la je n'ai vraiment vu aucune évolution mise a part celle de la patiente.
voila.merci
plus qu'un an!!!!!!
Eiko a écrit :ce que je sais c'est que quand moi je suis arrivée a plusieurs reprises les médecins sont retournés en chambre pour expliquer a toutes les personnes présente
l'annonce d'une mauvaise nouvelle n'est pas une question de temps passé, ni même de nombre de personnes
Eiko a écrit :ce que je trouve d'interpellant c'est que la famille n'a jamais évolué, ils sont toujours resté dans le déni [...] je n'ai vraiment vu aucune évolution
quand tu dis n'a jamais évolué, on dirait plutot que tu trouves que ça n'a jamais évolué dans le sens de ce qu'aurait souhaité les soignants. Etiez vous en mesure de saisir l'évolution de cette famille de manière objective et empathique?
salut hell.
je peux essayer de te répondre. j'espère que ca pourra un peu te guider.
je pense que la personne qui va mourrir en est plus ou moins consciente, si elle t'en parle tu peux lui en parler ou lui proposer un soutien psy ou son médecin, si elle t'en parle pas c dur d'emmener le sujet, même si on te di a l'école qu'un patient doit tout savoir sur son état de santé y a des choses qui sont plus simple a dire que d'autres, mais je pense que ca tu a déja du t'en rendre compte par toi meme. par contre en ce qui concerne le fait de la rassurer je pense que c'est important sans forcément mettre des mots mais par ta simple présence ou par un regard ou un contact, tu as beaucoup de possibilité en non verbal pour exprimer ce que tu veux faire ressentir sans forcément y mettre des mots.
en ce qui concerne la douleur et ses thérapeutique je pense qu'en fin de vie c'est primordial puisqu'on privilégie les soins de confort et le bien être du patient, donc a mon avis tu peu pas passer outre cette partie de ton sujet, il te manquerait un point important.
pour les définitions et aspects techniques, tu peux en parler dans le pôle recherche documentaire, ca appuiera tes idées et soutiendra ton discours.
quand a ton implication, si tu t'introduit dans ton sujet quand tu décrit ta situation en employant le "je" ou "les ide et moi meme"....., tu montrera que tu a été observateur mais aussi acteur de ta situation et quand tu va develloper ton sujet tu peux faire un e partie ou tu traitera tes facilités et tes difficultés par exemple et la tu pourra dire ce que tu as ressentie, si ca a été dur, si ca ta remise en question et expliquer comment tu as fait pour gérer ces nouvelles émotioons comme en parler a l'équipe ou autre, enfin ce que tu as mis en place toi meme pour "comprendre". je pense que ca montrera ton implication.
voila, j'espère qsue je t'aurait un peu aidé, fait des liens entre tes parties, n'hésite pas a illustrer tes propos par des exemple concret et maitrîse bien ton sujet, après ca devrait bien se passer je pense.
n'hésite pas.
a bientôt.
je peux essayer de te répondre. j'espère que ca pourra un peu te guider.
je pense que la personne qui va mourrir en est plus ou moins consciente, si elle t'en parle tu peux lui en parler ou lui proposer un soutien psy ou son médecin, si elle t'en parle pas c dur d'emmener le sujet, même si on te di a l'école qu'un patient doit tout savoir sur son état de santé y a des choses qui sont plus simple a dire que d'autres, mais je pense que ca tu a déja du t'en rendre compte par toi meme. par contre en ce qui concerne le fait de la rassurer je pense que c'est important sans forcément mettre des mots mais par ta simple présence ou par un regard ou un contact, tu as beaucoup de possibilité en non verbal pour exprimer ce que tu veux faire ressentir sans forcément y mettre des mots.
en ce qui concerne la douleur et ses thérapeutique je pense qu'en fin de vie c'est primordial puisqu'on privilégie les soins de confort et le bien être du patient, donc a mon avis tu peu pas passer outre cette partie de ton sujet, il te manquerait un point important.
pour les définitions et aspects techniques, tu peux en parler dans le pôle recherche documentaire, ca appuiera tes idées et soutiendra ton discours.
quand a ton implication, si tu t'introduit dans ton sujet quand tu décrit ta situation en employant le "je" ou "les ide et moi meme"....., tu montrera que tu a été observateur mais aussi acteur de ta situation et quand tu va develloper ton sujet tu peux faire un e partie ou tu traitera tes facilités et tes difficultés par exemple et la tu pourra dire ce que tu as ressentie, si ca a été dur, si ca ta remise en question et expliquer comment tu as fait pour gérer ces nouvelles émotioons comme en parler a l'équipe ou autre, enfin ce que tu as mis en place toi meme pour "comprendre". je pense que ca montrera ton implication.
voila, j'espère qsue je t'aurait un peu aidé, fait des liens entre tes parties, n'hésite pas a illustrer tes propos par des exemple concret et maitrîse bien ton sujet, après ca devrait bien se passer je pense.
n'hésite pas.
a bientôt.

plus qu'un an!!!!!!