les conditions des esi
Modérateurs : Modérateurs, ESI
Soyez positifs !!! Acceptez l'idée que certains IFSI soient en phase avec leurs ESI ! 
Les conditions sont très différentes d'une région à l'autre, et même d'une structure à l'autre dans un même département.
Je pense que nous sommes tous d'accord. Les conditions d'encadrement en stage sont le plus souvent désastreuses. Les "droits" des ESI sont régulièrement bafoués (mais les devoirs des ESI sont souvent mis aux oubliettes ....). Le financement de la vie à côté des études est quasi inexistant (mais n'oublions pas que les ESI, contrairement aux AS, ne payent pas les 7000 euros que coûte réellement leur formation)
Et ..... si vous nous disiez exactement ce que vous souhaitez faire resortir de la question initiale ???
Les conditions sont très différentes d'une région à l'autre, et même d'une structure à l'autre dans un même département.
Je pense que nous sommes tous d'accord. Les conditions d'encadrement en stage sont le plus souvent désastreuses. Les "droits" des ESI sont régulièrement bafoués (mais les devoirs des ESI sont souvent mis aux oubliettes ....). Le financement de la vie à côté des études est quasi inexistant (mais n'oublions pas que les ESI, contrairement aux AS, ne payent pas les 7000 euros que coûte réellement leur formation)
Et ..... si vous nous disiez exactement ce que vous souhaitez faire resortir de la question initiale ???
VB - IDE
klaosse a écrit :quand je dit les conditions, c'est sur tout les domaine:
ancadrement a l'ifsi, en stage, les ressource d'information, la qualité de l'enseignement, des locaux, les besoin financier, les aide social, les bourses... tout ça, a quoi sa vous fait penser?
A la vie étudiante en général.............
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klaosse
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- Localisation : vous auriez une boussole svp?
n'oublions pas non plus que les esi depuyis 1992 sont des étudsiants comme les autre qui ont accées (soauf pour les igfsi privé) a un enseignement gratuit... puisque publique.
beaucoups de region sont différente certe mais, on retrouve les meme caracteristique dans chaque région, les esi sont exploité sur beaucoups de stage, combien d'entre nous se sont retrouvé un jour seul dans leur service?? dans combien de service il y a plus d'étudfiants que de professionnelle?? nous sommes aussi déllaissé par toute mles institution qui se rejette la balle en ce qui concerne nos financement, les bourses sont un véritable désastre, nous n'avons pas le droit dans la plupart des région au aide accordé habituellement au autre étudiants, nos bourse ne sont pas réévaluer comme elle devrait l'être et comme elle le sont au crous, une partyie des non boursier aurait une bourse s'il était a la fac avec les meme critére!!! et enfin formaté, nous ne sommes que des étudiants en pleine dictature dans les ifsi, celui qui n'est pas content peu prendre la porte, le conseil technique n'est que de la poudre au yeux, nous ne sommes la que pour etre consulter, nous nb'avons pas de pouvoir décisionnaire sur notre formation, aucun esi fait parti des commisions qui décide des programme d'enseignement, nous ne sommes jamais consulter sur le fonctionnement de nos école!!! et j'en passe encore beaucoups!!!
il ne faut pas oublier que, en juillet aprés la parution du rapporty wauquiez, nous sommes une des filiére les plus en galére, trouvé vous cela normale?
nous sommes les soignants de demain, un soignant mal formé c'est un patient mal soigné!!!!
beaucoups de region sont différente certe mais, on retrouve les meme caracteristique dans chaque région, les esi sont exploité sur beaucoups de stage, combien d'entre nous se sont retrouvé un jour seul dans leur service?? dans combien de service il y a plus d'étudfiants que de professionnelle?? nous sommes aussi déllaissé par toute mles institution qui se rejette la balle en ce qui concerne nos financement, les bourses sont un véritable désastre, nous n'avons pas le droit dans la plupart des région au aide accordé habituellement au autre étudiants, nos bourse ne sont pas réévaluer comme elle devrait l'être et comme elle le sont au crous, une partyie des non boursier aurait une bourse s'il était a la fac avec les meme critére!!! et enfin formaté, nous ne sommes que des étudiants en pleine dictature dans les ifsi, celui qui n'est pas content peu prendre la porte, le conseil technique n'est que de la poudre au yeux, nous ne sommes la que pour etre consulter, nous nb'avons pas de pouvoir décisionnaire sur notre formation, aucun esi fait parti des commisions qui décide des programme d'enseignement, nous ne sommes jamais consulter sur le fonctionnement de nos école!!! et j'en passe encore beaucoups!!!
il ne faut pas oublier que, en juillet aprés la parution du rapporty wauquiez, nous sommes une des filiére les plus en galére, trouvé vous cela normale?
nous sommes les soignants de demain, un soignant mal formé c'est un patient mal soigné!!!!
deux choses instruisent l'homme de toute sa nature: l'instinct et l'expérience.(Pascal)
Tu as un avis bien noir sur notre formation et notre statut tout de même.
C'est dommage que tu penses ça, même si certaines choses que tu dis ne sont pas fausse. Ce qu'il faut voir c'est que,...normalement, nous avons choisis de faire cette formation il faut voir le bon côté. C'est un métier formidable, à mon avis.
Je suis d'accord certains lieu de stage et certaine personne se permettent beaucoup avec nous mais il faut encaisser et en tirer profit. Plus on nous en fait baver plus on voit ce qu'on ne voudra surtout pas être plus tard.
Nous n'avons que 3 ans 1/2 à tenir, après nous serons un peu plus libre, un peu moins "utilisé". Mais je ne généralise pas, je suis en deuxième année et étant donné que j'ai redoublé ma première année j'en suis à ce jour à mon 10 ème stage. Sur 10 stages seulement 2 se sont mal passés. J'en ai retiré beaucoup. Il ne faut pas se laisser "ronger" par la formation, elle n'est pas facile c'est une chose, mais n'oublions surtout pas que nous l'avons choisi. Et que nous pouvons faire bouger les choses en tant que soignants de demain.
C'est dommage que tu penses ça, même si certaines choses que tu dis ne sont pas fausse. Ce qu'il faut voir c'est que,...normalement, nous avons choisis de faire cette formation il faut voir le bon côté. C'est un métier formidable, à mon avis.
Je suis d'accord certains lieu de stage et certaine personne se permettent beaucoup avec nous mais il faut encaisser et en tirer profit. Plus on nous en fait baver plus on voit ce qu'on ne voudra surtout pas être plus tard.
Nous n'avons que 3 ans 1/2 à tenir, après nous serons un peu plus libre, un peu moins "utilisé". Mais je ne généralise pas, je suis en deuxième année et étant donné que j'ai redoublé ma première année j'en suis à ce jour à mon 10 ème stage. Sur 10 stages seulement 2 se sont mal passés. J'en ai retiré beaucoup. Il ne faut pas se laisser "ronger" par la formation, elle n'est pas facile c'est une chose, mais n'oublions surtout pas que nous l'avons choisi. Et que nous pouvons faire bouger les choses en tant que soignants de demain.
c'est exactement ca !
Il faut je pense encaisser pour mieux pouvoir se rendre compte de ce qu'il ne faut pas faire...
et puis je pense aussi que c'est une sorte de test...on veut nous tester pour savoir si nous avons "les nerfs adaptés a un tel métier"...
c'est peu être aussi un manque de confiance des IDE elles ont vachement de boulot si en plus elles doivent jouer les maitresses...
cela ne veut pas dire qu'il faut tout accepter ya des limites....
pour ce qui est des bourses je suis d'accord avec klaosse....
Ils ne font pas le moindre effort pour nous aider... et ils vont se plaindre que les hopitaux manquent d'IDE...
J'ai fait une demande de bourse , j'ai été obligé (par exaspération) de leur taper un scandale au téléphone car ils n'arrivaient pas a faire un changement d'adresse...
Enfin ya aussi des bons cotés... comme le dit Akane...et nous avons choisit cette formation...alors soyons fort(e)s et déterminé(e)s ca sera je pense la meilleure réponse a leur donner...
Il faut je pense encaisser pour mieux pouvoir se rendre compte de ce qu'il ne faut pas faire...
et puis je pense aussi que c'est une sorte de test...on veut nous tester pour savoir si nous avons "les nerfs adaptés a un tel métier"...
c'est peu être aussi un manque de confiance des IDE elles ont vachement de boulot si en plus elles doivent jouer les maitresses...
cela ne veut pas dire qu'il faut tout accepter ya des limites....
pour ce qui est des bourses je suis d'accord avec klaosse....
Ils ne font pas le moindre effort pour nous aider... et ils vont se plaindre que les hopitaux manquent d'IDE...
J'ai fait une demande de bourse , j'ai été obligé (par exaspération) de leur taper un scandale au téléphone car ils n'arrivaient pas a faire un changement d'adresse...
Enfin ya aussi des bons cotés... comme le dit Akane...et nous avons choisit cette formation...alors soyons fort(e)s et déterminé(e)s ca sera je pense la meilleure réponse a leur donner...
Faut pas parler aux cons ca les instruit...
Stage humanitaire en Afrique ?? Bien sur !!!
On y Va!!!
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Leopold Anasthase
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Je voulais répondre à klaosse. Concernant tous les problèmes de financement, je suis d'accord avec vous : c'est la croix et la galère. La solution la plus simple reste le financement familial, papa maman vous payent vos études. La deuxième voie royale est la promotion professionnelle, mais c'est de plus en plus dur : il faut trouver un emploi non qualifié à l'hôpital, y travailler suffisament longtemps pour pouvoir se présenter au concours interne, et après ces années qui nous ont éloigné de l'école, concourir contre d'autres qui en sortent.
Le pire, c'est les autres, ceux qui galèrent pour monter un financement genre cif, fpa etc. Les organismes se renvoient la balle, faut-il démissionner, faut-il se faire licencier (et comment, si l'employeur est safisfait de vous ?)...
Résultat des courses, il y aurait un ési sur dix en situation de précarité, qui jongle entre les stages, les cours, les gardes d'enfant, la caisse du supermarché, la nuit et les vacances dans une maison de retraite... On les reconnaît facilement : ils/elles s'endorment en cours...
Concernant les conditions d'encadrement, je veux bien qu'il y ait des problèmes, mais ça n'est pas une raison pour repeindre tout le monde.
1) Il y a des jours, et même des périodes où il n'y a pas de stagiaires. Donc aucun service ne tourne grâce aux stagiaires (mais certains services les utilisent comme force d'appoint).
2) En tant qu'ési, on a un nombre restreint de patients, et on ne les prend quasiment jamais en charge totalement. Ça nous laisse largement le temps de participer aux corvées (les lits, les pots de pisse...) et de se rendre disponible pour d'autres choses. Dites vous bien qu'une fois diplômé, au niveau de la charge de travail, ça sera pire.
3) Je ne me suis jamais retrouvé tout seul dans une salle en trois ans d'étude. Et si ça m'était arrivé une fois, j'aurais tout fait pour que ça ne se reproduise pas. Et là, on en arrive à un problème crucial : il y a ce qu'on vous demande, et ce que vous acceptez (en écrivant ça, je pense au film "Le jouet", avec Pierre Richard).
L'encadrement des étudiants est une facette de notre métier. Pourtant, à aucun moment nous n'y sommes préparés.
Le pire, c'est les autres, ceux qui galèrent pour monter un financement genre cif, fpa etc. Les organismes se renvoient la balle, faut-il démissionner, faut-il se faire licencier (et comment, si l'employeur est safisfait de vous ?)...
Résultat des courses, il y aurait un ési sur dix en situation de précarité, qui jongle entre les stages, les cours, les gardes d'enfant, la caisse du supermarché, la nuit et les vacances dans une maison de retraite... On les reconnaît facilement : ils/elles s'endorment en cours...
Concernant les conditions d'encadrement, je veux bien qu'il y ait des problèmes, mais ça n'est pas une raison pour repeindre tout le monde.
1) Il y a des jours, et même des périodes où il n'y a pas de stagiaires. Donc aucun service ne tourne grâce aux stagiaires (mais certains services les utilisent comme force d'appoint).
2) En tant qu'ési, on a un nombre restreint de patients, et on ne les prend quasiment jamais en charge totalement. Ça nous laisse largement le temps de participer aux corvées (les lits, les pots de pisse...) et de se rendre disponible pour d'autres choses. Dites vous bien qu'une fois diplômé, au niveau de la charge de travail, ça sera pire.
3) Je ne me suis jamais retrouvé tout seul dans une salle en trois ans d'étude. Et si ça m'était arrivé une fois, j'aurais tout fait pour que ça ne se reproduise pas. Et là, on en arrive à un problème crucial : il y a ce qu'on vous demande, et ce que vous acceptez (en écrivant ça, je pense au film "Le jouet", avec Pierre Richard).
mcflyvm a écrit :c'est peu être aussi un manque de confiance des IDE elles ont vachement de boulot si en plus elles doivent jouer les maitresses...
L'encadrement des étudiants est une facette de notre métier. Pourtant, à aucun moment nous n'y sommes préparés.
Mais si, Léopold, certains IFSI font de sacrés efforts pour préparer les futurs diplômés à encadrer !
klaosse, votre jugement est tronqué. Tout d'abord, le statut d'étudiant n'a été obtenu par vos aînés qu'en ..... 2000 ! Eh oui, avant, vous étiez élèves !
Arrêtez de dire que les études sont payantes en IFSI privé. C'est faux. Les droits d'inscription sont plus élevés à la Croix Rouge que dans le public. Ca c'est vrai. Mais nulle part les ESi ne financent les 7000 euros que coutent leur formation.
En ce qui concerne l'exploitation .... désolée, mais je ne trouve toujours pas de solution pour vous faire apprendre le métier sans vous mettre en stage. Que des structures en profitent et en abusent, je suis d'accord. Mais pas toutes. L'exploitation est limitée. Voûs êtes peut-être dans une région sinistrée. c'est dommage, mais sachez que ce n'est pas la norme.
En ce qui concerne les financements, Léopold a tout dit. Mais je vous trouve assez injuste avec les IFSI qui se décarcassent pour aider les étudiants à boucler leur budget. Et il y en a !!!
Quand à la dictature des IFSI, même si c'est encore vrai dans quelques établissement, laissez moi quand même un peu rire derrière mon écran. Savez vous que c'est moi, formateur, qui pousse les étudiants à adhérer à la FNESI ??? Que c'est moi qui ait été longtemps le relai ? Que le nombre d'étudiants à s'interesser au BDE, à la FNESI et autres se comptent sur les doigts d'une seule main ? Que je dois régulièrement, en catimini, leur redonner leurs droits et devoirs pour qu'ils puissent se défendre ???? Alors dictature, peut être, mais laxisme et désengagement total des étudiants, certainement !!!
Vous voulez être décisionnaire ? Eh bien participez à la vie de l'IFSI. Vous verrez l'envers du décors. Vous changerez probablement de discours ...
klaosse, votre jugement est tronqué. Tout d'abord, le statut d'étudiant n'a été obtenu par vos aînés qu'en ..... 2000 ! Eh oui, avant, vous étiez élèves !
Arrêtez de dire que les études sont payantes en IFSI privé. C'est faux. Les droits d'inscription sont plus élevés à la Croix Rouge que dans le public. Ca c'est vrai. Mais nulle part les ESi ne financent les 7000 euros que coutent leur formation.
En ce qui concerne l'exploitation .... désolée, mais je ne trouve toujours pas de solution pour vous faire apprendre le métier sans vous mettre en stage. Que des structures en profitent et en abusent, je suis d'accord. Mais pas toutes. L'exploitation est limitée. Voûs êtes peut-être dans une région sinistrée. c'est dommage, mais sachez que ce n'est pas la norme.
En ce qui concerne les financements, Léopold a tout dit. Mais je vous trouve assez injuste avec les IFSI qui se décarcassent pour aider les étudiants à boucler leur budget. Et il y en a !!!
Quand à la dictature des IFSI, même si c'est encore vrai dans quelques établissement, laissez moi quand même un peu rire derrière mon écran. Savez vous que c'est moi, formateur, qui pousse les étudiants à adhérer à la FNESI ??? Que c'est moi qui ait été longtemps le relai ? Que le nombre d'étudiants à s'interesser au BDE, à la FNESI et autres se comptent sur les doigts d'une seule main ? Que je dois régulièrement, en catimini, leur redonner leurs droits et devoirs pour qu'ils puissent se défendre ???? Alors dictature, peut être, mais laxisme et désengagement total des étudiants, certainement !!!
Vous voulez être décisionnaire ? Eh bien participez à la vie de l'IFSI. Vous verrez l'envers du décors. Vous changerez probablement de discours ...
VB - IDE
Résultat des courses, il y aurait un ési sur dix en situation de précarité, qui jongle entre les stages, les cours, les gardes d'enfant, la caisse du supermarché, la nuit et les vacances dans une maison de retraite... On les reconnaît facilement : ils/elles s'endorment en cours...
Tiens, tu parles de moi?! .enfin je me console en me disant qu'il n'y a plus (en principe) que 2 mois à tenir !
Tiens, tu parles de moi?!
.enfin je me console en me disant qu'il n'y a plus (en principe) que 2 mois à tenir !Nymphirmière au pays de Brest
Oui mais on a pas trop le choix. Il est vrais que c'est dommage de voir certains ESI somnoler en cours, et, étant donné que j'en suis, je peux vous dire que ça ne me plais pas non plus. Mais tout être humain à ses limites. Je travaille depuis deux ans tous les week end, jours fériés et vacances pour pouvoir vivre à côté des études. Et oui car on le sait l'école n'est pas payante mise à part l'inscription, mais il y a un loyer, de la nourriture, de l'essence, des factures.... et bien d'autres choses à payer à côté. Quand on a pas papa et maman pour aider on se débrouille comme on peut et on est pret à s'épuiser physiquement pour faire le métier que l'on désire. Parce que ce n'est pas avec ce que donne les bourses qu'on peut subvenir à nos besoins.
Perso, je vous assure que si je pouvais... je ne travaillerais pas à côté des cours et je pourrais me concentrer d'autant plus sur ma formation.
Perso, je vous assure que si je pouvais... je ne travaillerais pas à côté des cours et je pourrais me concentrer d'autant plus sur ma formation.
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Norma Colle
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Concernant l'encadrement des ESI je continue à dire que celui-ci est de bien meilleure qualité que celui que j'ai connu (bon çà remonte à la nuit des temps 
), je persiste et signe en disant que les ESI ne sont plus les larbins que nous étions à l'époque ...des anecdotes j'en aurai à la pelle ! Les ESI sont beaucoup plus intégrés dans les équipes, écoutés, considérés....(ils ont même le droit au café 
...et oui çà a l'air de rien mais les "vieux" ,comme moi ,vous le certifieront rares étaient les fois où les élèves avaient le droit d'aller à la pause...même pas un 24 décembre en pédiatrie quand toute l'équipe trinquait , vous, vous étiez en salle de soins pour répondre au téléphone...souvenir souvenir)
Bon je ne dis pas que tout est rose maintenant surtout du côté financier ....mais en aucun cas , dans mon service, les ESI ne sont utilisés comme du personnel en poste: ceux-ci sont toujours encadrés par un IDE et celà représente un sacré travail (les jours où le taff déborde je préfèrerais(si j'avais le choix) rouler seule car tuteurer n'est pas un gage de gain de temps pour l'IDE ...)
Mais chaque ESI non encore conscient de cette charge de travail que représente l'encadrement reverra ses critiques lorsqu'il sera IDE ... la roue tournera inexorablement...
), je persiste et signe en disant que les ESI ne sont plus les larbins que nous étions à l'époque ...des anecdotes j'en aurai à la pelle ! Les ESI sont beaucoup plus intégrés dans les équipes, écoutés, considérés....(ils ont même le droit au café ...et oui çà a l'air de rien mais les "vieux" ,comme moi ,vous le certifieront rares étaient les fois où les élèves avaient le droit d'aller à la pause...même pas un 24 décembre en pédiatrie quand toute l'équipe trinquait , vous, vous étiez en salle de soins pour répondre au téléphone...souvenir souvenir)
Bon je ne dis pas que tout est rose maintenant surtout du côté financier ....mais en aucun cas , dans mon service, les ESI ne sont utilisés comme du personnel en poste: ceux-ci sont toujours encadrés par un IDE et celà représente un sacré travail (les jours où le taff déborde je préfèrerais(si j'avais le choix) rouler seule car tuteurer n'est pas un gage de gain de temps pour l'IDE
...)
Mais chaque ESI non encore conscient de cette charge de travail que représente l'encadrement reverra ses critiques lorsqu'il sera IDE ... la roue tournera inexorablement...
Dernière modification par Norma Colle le 25 sept. 2006 13:15, modifié 1 fois.
C'est vrai que l'encadrement des esi est une charge pour les ide et qu'ils n'y sont pas préparés mais cela fait partie de leur travail et constitue une obligation
Quand bien meme ce ne serait pas le cas la simple notion de respect de la personne,d'accueil, d'aide aux personnes en apprentissage et en difficulté devrait faire tilt chez ceux qui se conduisent mal
Ma mère par exemple travaille dans un milieu qui accueille nombre de stagiaires et déplore l'attitude de la plupart voire de tous ses collegues vis a vis de ces derniers, car encadrer un stagiaire représente une charge mais est parfaitement réalisable pour qui veut bien s'y atteler.........
Si les ide ont le temps de prendre le café et de faire des pauses ce que j'ai vu assez souvent au service des urgences ou j'ai travaillé c'est qu'elles ont le temps d' encadrer les esi
Après c'est une question non plus de "charge de travail"car qui n'en a pas toujours trop? mais d'éducation, de savoir vivre, d'altruisme, de professionalisme...............
Notions qui sont vite oubliées lorsque se pose le "choix" qui ne devrait pas en etre un de prendre en charge de facon convenable un esi ou de vivre sa petite vie dans son coin sans s'en soucier ou pire en se défoulant dessus du fait de ses frustrations
Bref si certains ide sont très corrects d'autres ne le sont pas du tout et il est vrai que les esi n'ont souvent d'autres ressources en cas de probleme que d'aller se cacher pour pleurer un bon coup ou encaisser en attendant patiemment la fin du stage ce qui parait assez inadmissible
A quand la notation des équipes par les esi, et les sanctions vis a vis de ceux qui n'assument pas leurs responsabilités ou pratiquent le harcèlement moral
Je suis quand meme choquée de voire que rien n'est fait pour assurer aux esi des conditions de stage humaines et que les esi eux memes ne soient pas choqués quand des stages se passent mal mais considèrent ca comme un apprentissage ou un passage obligé
Il n'en est rien et accepter les dérapages de certains ide revient a reconnaitre le statut "zero" des esi du moins vis a vis des terrains de stage.........................
Quand bien meme ce ne serait pas le cas la simple notion de respect de la personne,d'accueil, d'aide aux personnes en apprentissage et en difficulté devrait faire tilt chez ceux qui se conduisent mal
Ma mère par exemple travaille dans un milieu qui accueille nombre de stagiaires et déplore l'attitude de la plupart voire de tous ses collegues vis a vis de ces derniers, car encadrer un stagiaire représente une charge mais est parfaitement réalisable pour qui veut bien s'y atteler.........
Si les ide ont le temps de prendre le café et de faire des pauses ce que j'ai vu assez souvent au service des urgences ou j'ai travaillé c'est qu'elles ont le temps d' encadrer les esi
Après c'est une question non plus de "charge de travail"car qui n'en a pas toujours trop?
mais d'éducation, de savoir vivre, d'altruisme, de professionalisme...............
Notions qui sont vite oubliées lorsque se pose le "choix" qui ne devrait pas en etre un de prendre en charge de facon convenable un esi ou de vivre sa petite vie dans son coin sans s'en soucier ou pire en se défoulant dessus du fait de ses frustrations
Bref si certains ide sont très corrects d'autres ne le sont pas du tout et il est vrai que les esi n'ont souvent d'autres ressources en cas de probleme que d'aller se cacher pour pleurer un bon coup ou encaisser en attendant patiemment la fin du stage ce qui parait assez inadmissible
A quand la notation des équipes par les esi, et les sanctions vis a vis de ceux qui n'assument pas leurs responsabilités ou pratiquent le harcèlement moral
Je suis quand meme choquée de voire que rien n'est fait pour assurer aux esi des conditions de stage humaines et que les esi eux memes ne soient pas choqués quand des stages se passent mal mais considèrent ca comme un apprentissage ou un passage obligé
Il n'en est rien et accepter les dérapages de certains ide revient a reconnaitre le statut "zero" des esi du moins vis a vis des terrains de stage.........................
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Norma Colle
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