TFE maladie Alzheimer, communicat°;identitovigilence
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La violence chez les personnes atteintes de démences de type Alzheimer a comme source une angoisse; c'est le seuloyen ( pour certaines personnes) de l'exprimer.
Au début je voulais faire mon TFE sur l'attitude des soignants face à l'aggressivité des personnes ayant un alzheimer. Comme l'a dit Cedr1c, informes toi sur les mécanismes de défense, fais un entretien avec un psychiatre qui s'occupe de tels patients et lis +++ des documents ou des bouquins sur cette maladie ( il y a beéucoup de documentation sur internet, surtout du côté canadien).Bonne chance!
Au début je voulais faire mon TFE sur l'attitude des soignants face à l'aggressivité des personnes ayant un alzheimer. Comme l'a dit Cedr1c, informes toi sur les mécanismes de défense, fais un entretien avec un psychiatre qui s'occupe de tels patients et lis +++ des documents ou des bouquins sur cette maladie ( il y a beéucoup de documentation sur internet, surtout du côté canadien).Bonne chance!

agrath le troll:(dsl je maitrise pas la fonction citer......
)
en général oui l'equipe sait qui peut etre violent et selon le jour ou le moment de la journée ces patients sont maintenus pour la securité des patients et de l'equipe mais aussi pour qu'elle puisse faire son travail tout simplement
Mais en ce qui concerne le patient qui,alors qu'on parlait de sport s'est arreté brusquement m'a fixée et s'est mis a me frapper
ca a un peu étonné l'equipe car il avait l'habitude de lever la main sur des personnes mais de s'arreter au dernier moment en prenant sur lui........
Voila maintenant quand il fait mine de lever la main tout de suite j'ai le reflexe de me proteger le visage pas top comme reaction


en général oui l'equipe sait qui peut etre violent et selon le jour ou le moment de la journée ces patients sont maintenus pour la securité des patients et de l'equipe mais aussi pour qu'elle puisse faire son travail tout simplement
Mais en ce qui concerne le patient qui,alors qu'on parlait de sport s'est arreté brusquement m'a fixée et s'est mis a me frapper

Voila maintenant quand il fait mine de lever la main tout de suite j'ai le reflexe de me proteger le visage pas top comme reaction



ah j'ai meme pas repondu a la question....
Ca depend des patients la plupart de ceux qui sont "violents" peuvent l'etre avec toute l'equipe puisqu'ils sont dements ils ne choisissent pas de cible ca tombe sur la personne qui est au + pres
Mais pour le patient dont je parle en particulier il n'y a apperemment que sur moi qu'il a été aussi loin
D'ailleurs je ne sais pas si je suis parano ou pas mais j'ai l'impression qu'il me fixe très souvent meme quand on est rassemblés en equipe et qu'il a un comprtement different avec moi.....peut etre qu'il a compris que je n'étais que stagiaire et peut etre pas aussi reactive que le reste de l'equipe ....je ne sais pas trop mais bon je préfère l'eviter meme si ca ne se fait pas

Ca depend des patients la plupart de ceux qui sont "violents" peuvent l'etre avec toute l'equipe puisqu'ils sont dements ils ne choisissent pas de cible ca tombe sur la personne qui est au + pres
Mais pour le patient dont je parle en particulier il n'y a apperemment que sur moi qu'il a été aussi loin
D'ailleurs je ne sais pas si je suis parano ou pas mais j'ai l'impression qu'il me fixe très souvent meme quand on est rassemblés en equipe et qu'il a un comprtement different avec moi.....peut etre qu'il a compris que je n'étais que stagiaire et peut etre pas aussi reactive que le reste de l'equipe ....je ne sais pas trop mais bon je préfère l'eviter meme si ca ne se fait pas


la violence pour la violence, je n'y crois pas, et cela serait considèrer le patient comme un sous animal.
C'est étonnant de ta question sur la violence on est parti sur le sens de la violence comme symptome, et on parle de communication (validation et autres), et de la violence de la situation (patho très violente, et changement de domicile très violent aussi).
Là, on est dans le soin, cela risque d'etre vraiment un travail intéressant si tu arrives à garder ce cap.
Les malades violents gratuitement, et l'absolue non remise en question de ses pratiques(institutionelles et perso) et de la maladie, je laisse cela aux reportages d'M6.
L'infirmier en psy doit travailler avec le symptome, car celui ci à son importance et son utilité pour le patient. J'ai déjà travaillé avec pas mal de patients avec l'étiquette "violents", ou qui avaient commis des homicides, je n'ai jamais eu peur, et je pense que je ne suis pas une éxeption. Quand tu as peur, tu es dans l'affect, et pas dans l'espace thérapeutique donc, tu ne peut donc pas etre aidant et empathique.
C'est étonnant de ta question sur la violence on est parti sur le sens de la violence comme symptome, et on parle de communication (validation et autres), et de la violence de la situation (patho très violente, et changement de domicile très violent aussi).
Là, on est dans le soin, cela risque d'etre vraiment un travail intéressant si tu arrives à garder ce cap.
Les malades violents gratuitement, et l'absolue non remise en question de ses pratiques(institutionelles et perso) et de la maladie, je laisse cela aux reportages d'M6.

- gribouille74
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- Localisation : d'ici et d'ailleurs
je pense que la violence de ce patient était un moyen d'expression et que ce n'tait pas de la violence "pour faire mal".
je pense dvpt différentes parties :
- la maladie alzheimer
- les différents modes de violence (physique, verbal,..)
- les mécanismes de défence (la violence en fait partie)
- le soignant face à cette violence
Si vous voyez d'autres parties, je suis tjs à votre écoute.
Merci
je pense dvpt différentes parties :
- la maladie alzheimer
- les différents modes de violence (physique, verbal,..)
- les mécanismes de défence (la violence en fait partie)
- le soignant face à cette violence
Si vous voyez d'autres parties, je suis tjs à votre écoute.
Merci
- Frédérique
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cedr1c a écrit :il y a aussi la violence que crée l'institution qui est à observer (se retrouver "placé")
En effet voilà une donnée très intéressante car bien souvent l'institution et les soignants sont directement responsables de l'expression des signes d'agressivité des patients atteints de maladie d'Alzheimer.
personne alzheimer
salut a tous,j'aimerai pour mon TEFE parler de la personne alzheimer.
mon point de départ serait : Pour évité l'apparition de l'agressivité chez la personne alzheimer il faut parler doucement et clairement.
Qu'en pensez vous?
A votre avis est ce que je peux partir la dessus?
Merci a tous
bisous et a bientôt
mon point de départ serait : Pour évité l'apparition de l'agressivité chez la personne alzheimer il faut parler doucement et clairement.
Qu'en pensez vous?
A votre avis est ce que je peux partir la dessus?
Merci a tous
bisous et a bientôt
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Re: personne alzheimer
xéna a écrit :mon point de départ serait : Pour évité l'apparition de l'agressivité chez la personne alzheimer il faut parler doucement et clairement.
Qu'en pensez vous?
A votre avis est ce que je peux partir la dessus?
Tout d'abord la situation qui t'as interpellée, c'est ... ? Ton point de départ, c'est OK, oui et après ?
Et ne dis pas une "personne Alzheimer" mais une personne atteinte de maladie d'Alzheimer (Monsieur Alzheimer mérite sa majuscule !). Tu ne dis pas "une personne Charcot" ou "une personne Kahler", n'est-ce pas ?
personne atteinte de la maladie d'alzheimer
coucou,
je sais bien que l'on dit personne atteinte d'alzheimer mais bon passons désolé si tu l'as pri mal.
Mon point de départ est que j'ai fait un stage dans un long séjour fermé (et oui maintenant l'appelation CANTOU a été suprimé) et j'ai constaté que lorsque je parlais calmement a une personne atteinte de la maladie d'alzheimer cela avait tendance a evité qu'elle ne s'énerve alors je voulais savoir si cela pouvais se vérifier ou non. D'ou le sujet de se mémoire.
a bientôt
je sais bien que l'on dit personne atteinte d'alzheimer mais bon passons désolé si tu l'as pri mal.
Mon point de départ est que j'ai fait un stage dans un long séjour fermé (et oui maintenant l'appelation CANTOU a été suprimé) et j'ai constaté que lorsque je parlais calmement a une personne atteinte de la maladie d'alzheimer cela avait tendance a evité qu'elle ne s'énerve alors je voulais savoir si cela pouvais se vérifier ou non. D'ou le sujet de se mémoire.
a bientôt

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Mais non Xéna, je ne l'ai pas mal pris comme tu dis... et bien sûr que tu peux vérifier que, face à un patient agressif, le calme est la meilleure des approches afin d'éviter une escalade de difficultés. D'ailleurs de nombreuses recommandations sur "comment aborder un patient atteint de la maladie d'Alzheimer" existent et je t'en propose un échantillon.
Le malade peut présenter soit des troubles du comportement négatifs (apathie, indifférence), soit des troubles d’agitation liés à de l’anxiété (besoin de marcher). Quand il essaie de se faire comprendre mais qu’il n’y parvient pas, il peut devenir agressif. En effet, il n’est pas conscient de sa déficience et se voit tout à fait normal, il ne nous comprend pas et ne peut pas se faire comprendre. Et puis, toujours oublier ce qui vient de se passer explique que le sujet soit en situation d’angoisse permanente. Alors il ne faut surtout pas ajouter à son état de stress, mais tenter de le rassurer. C’est pourquoi il est important que l’entourage essaie de communiquer avec le malade, sans crier, mais en parlant normalement, en articulant et en répétant si nécessaire. Quand le malade s’agite, chercher patiemment pourquoi. A-t-il mal ? A-t-il soif ? Est-il souffrant ? Il est important de garder le contact avec lui par le regard et le toucher, de lui parler même s’il ne répond pas et d’expliquer ce que l’on fait. Il comprend plus qu’il n’en a l’air et il reste sensible aux tonalités et à la musique de la parole. Il est également sensible au climat affectif qui règne autour de lui.
Retenez son attention Abordez la personne malade en vous placant bien face à elle. Touchez-lui délicatement la main ou le bras afin d'attirer son attention. Dites son nom et éventuellement rappelez-lui qui vous êtes. Avant de lui parler, attendez qu'elle soit prête à vous écouter. Evitez toute source de distraction et veillez à diminuer le bruit ambiant. Regardez-la droit dans les yeux Captez son regard et ne le quittez plus. Vous l'aiderez ainsi à comprendre ce que vous lui dites. Parlez calmement et clairement Choisissez des mots simples et des phrases courtes. Parlez lentement et toujours amicalement de facon rassurante. Inutile d'élever la voix, même si elle a du mal à vous entendre. Un seul message à la fois Ayez des conversations simples en évitant notamment les phrases qui mélangent plusieurs actions ou idées. Formulez vos questions de facon très concrète et simplifiez ses choix. Privilégiez toujours les questions qui demandent une réponse par " oui " ou par " non ", aux questions ouvertes. Par exemple, il est préférable de lui demander si elle veut de la soupe pour le dîner, plutôt que ce qu'elle souhaite manger au dîner. Répétez les informations importantes Si la personne malade n'a pas compris le message, répétez-le en utilisant les mêmes mots. Montrez les choses La gestuelle aide considérablement à la compréhension. Autant que possible, accompagnez vos paroles des gestes correspondants. Par exemple, le moment venu d'aller se laver, montrez la serviette de toilette, le savon ou le shampoing. Soyez attentif Observez bien ses réactions et ses expressions, qui révèlent sa compréhension. En cas de réponses inadaptées, essayez de réagir en tenant compte de son humeur et de ses sentiments du moment. Soyez rassurant Ne lui montrez pas votre inquiétude à son sujet. Plus vous serez calme et apaisé, plus le malade se sentira rassuré. Choisissez les bons moments Le meilleur moment pour communiquer est généralement celui où la personne atteinte d'Alzheimer s'exprime spontanément. De plus, le message passe mieux lorsque c'est elle-même qui a abordé le sujet. Finalement, le plus difficile pour elle est de répondre à une question qui ne vient pas d'elle, car elle sait qu'on attend sa réponse, ce qui est très angoissant. Au fil du temps, vous apprendrez peu à peu à vous comprendre… Et bien entendu, toute personne mérite respect et ne cesse d'avoir besoin d'affection et d'amour.
Les répétitions : La personne atteinte d'Alzheimer peut répéter inlassablement les mêmes mots et gestes. Ce comportement est involontaire, mais souvent très stressant pour celui qui s'en occupe. Vous pouvez essayer de la distraire en lui proposant des activités simples ou en changeant de sujet. Mais la meilleure solution consiste à ignorer ce comportement. La méfiance et les accusations Parfois, la personne malade ne comprend plus ce qui se passe autour d'elle. S'installe alors une suspicion qui porte sur tout son entourage, avec des accusations de vouloir lui faire du mal, des accusations de vol, etc. Inutile de vous lancer dans de grandes discussions, vous devez simplement la rassurer. Dites-lui bien qu'elle est en sécurité et que personne n'essaye de lui faire du mal ou de la voler. Dites-lui également que vous comprenez qu'elle soit contrariée, et changez de sujet afin de lui faire penser à autre chose. La colère Les explosions de colère à propos de sujets totalement inhabituels ne sont ni intentionnelles, ni préméditées, elles sont attribuables aux effets de la maladie. Restez calme et soyez rassurant. Tentez de distraire la personne malade ou laissez-la tranquille afin qu'elle se calme. Le cas échéant, quittez tout simplement les lieux ou allez chercher de l'aide.
http://www.e-sante.fr
Le malade peut présenter soit des troubles du comportement négatifs (apathie, indifférence), soit des troubles d’agitation liés à de l’anxiété (besoin de marcher). Quand il essaie de se faire comprendre mais qu’il n’y parvient pas, il peut devenir agressif. En effet, il n’est pas conscient de sa déficience et se voit tout à fait normal, il ne nous comprend pas et ne peut pas se faire comprendre. Et puis, toujours oublier ce qui vient de se passer explique que le sujet soit en situation d’angoisse permanente. Alors il ne faut surtout pas ajouter à son état de stress, mais tenter de le rassurer. C’est pourquoi il est important que l’entourage essaie de communiquer avec le malade, sans crier, mais en parlant normalement, en articulant et en répétant si nécessaire. Quand le malade s’agite, chercher patiemment pourquoi. A-t-il mal ? A-t-il soif ? Est-il souffrant ? Il est important de garder le contact avec lui par le regard et le toucher, de lui parler même s’il ne répond pas et d’expliquer ce que l’on fait. Il comprend plus qu’il n’en a l’air et il reste sensible aux tonalités et à la musique de la parole. Il est également sensible au climat affectif qui règne autour de lui.
Retenez son attention Abordez la personne malade en vous placant bien face à elle. Touchez-lui délicatement la main ou le bras afin d'attirer son attention. Dites son nom et éventuellement rappelez-lui qui vous êtes. Avant de lui parler, attendez qu'elle soit prête à vous écouter. Evitez toute source de distraction et veillez à diminuer le bruit ambiant. Regardez-la droit dans les yeux Captez son regard et ne le quittez plus. Vous l'aiderez ainsi à comprendre ce que vous lui dites. Parlez calmement et clairement Choisissez des mots simples et des phrases courtes. Parlez lentement et toujours amicalement de facon rassurante. Inutile d'élever la voix, même si elle a du mal à vous entendre. Un seul message à la fois Ayez des conversations simples en évitant notamment les phrases qui mélangent plusieurs actions ou idées. Formulez vos questions de facon très concrète et simplifiez ses choix. Privilégiez toujours les questions qui demandent une réponse par " oui " ou par " non ", aux questions ouvertes. Par exemple, il est préférable de lui demander si elle veut de la soupe pour le dîner, plutôt que ce qu'elle souhaite manger au dîner. Répétez les informations importantes Si la personne malade n'a pas compris le message, répétez-le en utilisant les mêmes mots. Montrez les choses La gestuelle aide considérablement à la compréhension. Autant que possible, accompagnez vos paroles des gestes correspondants. Par exemple, le moment venu d'aller se laver, montrez la serviette de toilette, le savon ou le shampoing. Soyez attentif Observez bien ses réactions et ses expressions, qui révèlent sa compréhension. En cas de réponses inadaptées, essayez de réagir en tenant compte de son humeur et de ses sentiments du moment. Soyez rassurant Ne lui montrez pas votre inquiétude à son sujet. Plus vous serez calme et apaisé, plus le malade se sentira rassuré. Choisissez les bons moments Le meilleur moment pour communiquer est généralement celui où la personne atteinte d'Alzheimer s'exprime spontanément. De plus, le message passe mieux lorsque c'est elle-même qui a abordé le sujet. Finalement, le plus difficile pour elle est de répondre à une question qui ne vient pas d'elle, car elle sait qu'on attend sa réponse, ce qui est très angoissant. Au fil du temps, vous apprendrez peu à peu à vous comprendre… Et bien entendu, toute personne mérite respect et ne cesse d'avoir besoin d'affection et d'amour.
Les répétitions : La personne atteinte d'Alzheimer peut répéter inlassablement les mêmes mots et gestes. Ce comportement est involontaire, mais souvent très stressant pour celui qui s'en occupe. Vous pouvez essayer de la distraire en lui proposant des activités simples ou en changeant de sujet. Mais la meilleure solution consiste à ignorer ce comportement. La méfiance et les accusations Parfois, la personne malade ne comprend plus ce qui se passe autour d'elle. S'installe alors une suspicion qui porte sur tout son entourage, avec des accusations de vouloir lui faire du mal, des accusations de vol, etc. Inutile de vous lancer dans de grandes discussions, vous devez simplement la rassurer. Dites-lui bien qu'elle est en sécurité et que personne n'essaye de lui faire du mal ou de la voler. Dites-lui également que vous comprenez qu'elle soit contrariée, et changez de sujet afin de lui faire penser à autre chose. La colère Les explosions de colère à propos de sujets totalement inhabituels ne sont ni intentionnelles, ni préméditées, elles sont attribuables aux effets de la maladie. Restez calme et soyez rassurant. Tentez de distraire la personne malade ou laissez-la tranquille afin qu'elle se calme. Le cas échéant, quittez tout simplement les lieux ou allez chercher de l'aide.
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personne atteinte de la maladie d'Alzheimer
Merci Frédérique pour tous ces points d'informations très important pour cette pathologie.
Mais du coup je suis perdue, si cela se vérifie déja et que cela à été démontrer il me reste à trouver une nouvelle hypothèse pour mon mémoire et là je te dirais franchement que je sais plus quoi trouver.
peut etre a tu une idée pour m'aider car tu as l'air très renseigner sur le sujet.
Il est vrai que je n'ai fait qu'un stage dans un long séour fermé mais pourtant je sais que je veux travailler dans se domaine.
Mais là je sèche, tous es fait pour le bien etre du patient et cette maladie à été vu de long en large même si malheureusement il n'y a pas de traitement. Alors comment peut on trouver un problème ou tout a été mis en place pour les supprimer?
merci
Mais du coup je suis perdue, si cela se vérifie déja et que cela à été démontrer il me reste à trouver une nouvelle hypothèse pour mon mémoire et là je te dirais franchement que je sais plus quoi trouver.

peut etre a tu une idée pour m'aider car tu as l'air très renseigner sur le sujet.
Il est vrai que je n'ai fait qu'un stage dans un long séour fermé mais pourtant je sais que je veux travailler dans se domaine.
Mais là je sèche, tous es fait pour le bien etre du patient et cette maladie à été vu de long en large même si malheureusement il n'y a pas de traitement. Alors comment peut on trouver un problème ou tout a été mis en place pour les supprimer?
merci
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- Frédérique
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Ce n'est pas parce qu'un fait a été vérifié que tu ne peux pas l'aborder, loin de là. Qui plus est, si le sujet te plaît beaucoup alors il te faut le traiter. Tu auras d'une part du plaisir à le faire et d'autre part, tu ne manqueras pas de biblio, ce qui te facilitera le travail.
Pour avoir travaillé en institution gériatrique, j'ai pu constater tout comme toi, je suppose, que les tâches a y faire sont assez harassantes, le rythme des journées pénible. Les soins sont lourds, peu gratifiants et le stress psychologique est intense (beaucoup de patients déments, confus, désorientés...des cris, du bruit, des odeurs...) Bref, souvent le timing est serré, X toilettes, X assistances au repas, X changes, X distributions de traitements...et ...Tout cela à faire dans un temps record ! Les soignants sont souvent épuisés, manquent de patience et se doivent souvent d'imposer aux patients leur rythme effréné afin de pouvoir "boucler" leur journée. Ce qui est incompatible avec les besoins des personnes atteintes de maladie d'Alzheimer qui elles, ont besoin de calme, de temps...Les PA bousculées dans leur propre rythme deviennent plus agitées, plus angoissées, sur la défensive. Les soignants s'épuisent encore plus physiquement et moralement. Ce qui pourrait être ta problématique si tu as vécu ça, toi aussi, bien sûr.
L'hypothèse pourrait être : En personnalisant les soins, en respectant le rythme des patients atteints de maladie d'Alzheimer, en adaptant notre prise en charge au quotidien, en proposant et non pas en imposant nos actes, en reconsidérant l'organisation de nos soins au sein de l'institution, on améliore notre relation à l'autre en l'enrichissant, on reconnait l'autre dans ses différences, on gagne en sérénité. Par ailleurs, les patients n'étant plus "malmenés", deviennent plus coopérants et plus tranquilles et l'ambiance générale y gagne en légéreté.
Tu pourrais alors parler de ce qui t'intéresse, la qualité de la relation mais aussi traiter de la personnalisation des soins...la toilette que l'on fait l'après-midi parce que le matin la personne est trop agitée, la prise de sang que l'on reporte au lendemain pour les mêmes raisons...
Qu'en penses-tu ?
Pour avoir travaillé en institution gériatrique, j'ai pu constater tout comme toi, je suppose, que les tâches a y faire sont assez harassantes, le rythme des journées pénible. Les soins sont lourds, peu gratifiants et le stress psychologique est intense (beaucoup de patients déments, confus, désorientés...des cris, du bruit, des odeurs...) Bref, souvent le timing est serré, X toilettes, X assistances au repas, X changes, X distributions de traitements...et ...Tout cela à faire dans un temps record ! Les soignants sont souvent épuisés, manquent de patience et se doivent souvent d'imposer aux patients leur rythme effréné afin de pouvoir "boucler" leur journée. Ce qui est incompatible avec les besoins des personnes atteintes de maladie d'Alzheimer qui elles, ont besoin de calme, de temps...Les PA bousculées dans leur propre rythme deviennent plus agitées, plus angoissées, sur la défensive. Les soignants s'épuisent encore plus physiquement et moralement. Ce qui pourrait être ta problématique si tu as vécu ça, toi aussi, bien sûr.
L'hypothèse pourrait être : En personnalisant les soins, en respectant le rythme des patients atteints de maladie d'Alzheimer, en adaptant notre prise en charge au quotidien, en proposant et non pas en imposant nos actes, en reconsidérant l'organisation de nos soins au sein de l'institution, on améliore notre relation à l'autre en l'enrichissant, on reconnait l'autre dans ses différences, on gagne en sérénité. Par ailleurs, les patients n'étant plus "malmenés", deviennent plus coopérants et plus tranquilles et l'ambiance générale y gagne en légéreté.
Tu pourrais alors parler de ce qui t'intéresse, la qualité de la relation mais aussi traiter de la personnalisation des soins...la toilette que l'on fait l'après-midi parce que le matin la personne est trop agitée, la prise de sang que l'on reporte au lendemain pour les mêmes raisons...
Qu'en penses-tu ?