racontez vos oraux
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Re: Oral : les questions les plus surprenantes...
ça fait longtemps que cette histoire tourne, il est probable que la question a été aussi posée à son enfantMidnight-Boom a écrit :Dans un de mes bouquins, j'avais lu que si on te demandait "êtes vous vierge ?" il fallait répondre, non je suis verseau. Après je ne sais pas si cette question est une légende ou pas lol ^^Patt a écrit :J'adore ta répartie


Concours IfSI 2014: oral
Coucou tout le monde !! 
Voila, je suis actuellement en prépa infirmière pour passer les concours 2014. J'ai peur de l'oral car je n'ai pas de véritable passion dans la vie, je pratique bien de la zumba, la musculation et la course mais on peut pas dire que cela soit des passions. De plus, j'aimerai bien être dans une association mais je ne sais laquelle choisir. Du coup j'ai un peu peur pour l'oral car je ressemble à madame tout le monde .... :$
Quels conseils me donneriez vous ??
Merci

Voila, je suis actuellement en prépa infirmière pour passer les concours 2014. J'ai peur de l'oral car je n'ai pas de véritable passion dans la vie, je pratique bien de la zumba, la musculation et la course mais on peut pas dire que cela soit des passions. De plus, j'aimerai bien être dans une association mais je ne sais laquelle choisir. Du coup j'ai un peu peur pour l'oral car je ressemble à madame tout le monde .... :$
Quels conseils me donneriez vous ??
Merci

oral concours ifsi
Coucou tout le monde !! 
Voila, je suis actuellement en prépa infirmière pour passer les concours 2014. J'ai peur de l'oral car je n'ai pas de véritable passion dans la vie, je pratique bien de la zumba, la musculation et la course mais on peut pas dire que cela soit des passions. De plus, j'aimerai bien être dans une association mais je ne sais laquelle choisir. Du coup j'ai un peu peur pour l'oral car je ressemble à madame tout le monde .... :$
Quels conseils me donneriez vous ??
Merci

Voila, je suis actuellement en prépa infirmière pour passer les concours 2014. J'ai peur de l'oral car je n'ai pas de véritable passion dans la vie, je pratique bien de la zumba, la musculation et la course mais on peut pas dire que cela soit des passions. De plus, j'aimerai bien être dans une association mais je ne sais laquelle choisir. Du coup j'ai un peu peur pour l'oral car je ressemble à madame tout le monde .... :$
Quels conseils me donneriez vous ??
Merci

Re: oral concours ifsi
Salut !
Est-ce-que intégrer une association te tiens tant à que ça ?
Est-ce-que intégrer une association te tiens tant à que ça ?
ESI 2014 - 2017
Re: Concours IfSI 2014: oral
Bonjour,Caro line a écrit :Coucou tout le monde !!
Voila, je suis actuellement en prépa infirmière pour passer les concours 2014. J'ai peur de l'oral car je n'ai pas de véritable passion dans la vie, je pratique bien de la zumba, la musculation et la course mais on peut pas dire que cela soit des passions. De plus, j'aimerai bien être dans une association mais je ne sais laquelle choisir. Du coup j'ai un peu peur pour l'oral car je ressemble à madame tout le monde .... :$
Quels conseils me donneriez vous ??
Merci
Le jury s'en fiche pas mal des passions des candidats. Je pense pas que tu dois avoir peur de ça. Le jury te jugera d'avantage sur le sujet d'actualité que tu devras traiter devant eux. Il vont surtout essayer de savoir si ta volonté de devenir infirmière est cohérente ou si tu es là un peu par hasard. Si tu dois te démarquer, ne mise par sur tes passions mais d'avantage sur l'explication de ton parcours la cohérence de tes choix et ta vision de l'avenir. Tiens toi au courant de l'actualité et des sujets dans le domaine sanitaire et social.
Cordialement
- Cherry Pie
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Re: Concours IfSI 2014: oral
Hello !
Premièrement, il n'y a pas de passions ou d'activités plus valoriantes que d'autres, tout se vaut. Tu fais du sport, c'est déjà très bien, le jury s'en fiche d'avoir des gens avec plein de passions !
Ensuite, personnellement, ils ne m'ont posé aucune question sur mes activités... J'ai parlé de mon engagement associatif et de mon activité de prof de danse et ils m'ont posé des questions dessus (en lien avec la profession d'IDE), mais ce n'est pas eux qui avaient lancé le sujet. Lors de mon oral, le jury s'est vraiment intéressé à mes motivations, pourquoi je voulais devenir infirmière, s'il y avait eu un élément déclencheur, si je connaissais le domaine médical, si je m'étais déjà occupé de personnes âgées/enfants/malades, si j'avais des idées de service/spécialité pour la suite... Ils s'en foutaient pas mal que je fasse de la peinture, du tricot ou de l'escalade.
N'aie pas peur d'être "madame tout-le-monde" : sois juste toi-même, n'essaye surtout pas de mentir/inventer des trucs/jouer un rôle... Sois naturelle, spontanée, et ça ira très bien. On est tous uniques, on a tous nos particularités, et le jury le remarque, t'inquiètes pas ! Ils ne cherchent pas des originaux ou des gens vraiment hors du commun.
Premièrement, il n'y a pas de passions ou d'activités plus valoriantes que d'autres, tout se vaut. Tu fais du sport, c'est déjà très bien, le jury s'en fiche d'avoir des gens avec plein de passions !

Ensuite, personnellement, ils ne m'ont posé aucune question sur mes activités... J'ai parlé de mon engagement associatif et de mon activité de prof de danse et ils m'ont posé des questions dessus (en lien avec la profession d'IDE), mais ce n'est pas eux qui avaient lancé le sujet. Lors de mon oral, le jury s'est vraiment intéressé à mes motivations, pourquoi je voulais devenir infirmière, s'il y avait eu un élément déclencheur, si je connaissais le domaine médical, si je m'étais déjà occupé de personnes âgées/enfants/malades, si j'avais des idées de service/spécialité pour la suite... Ils s'en foutaient pas mal que je fasse de la peinture, du tricot ou de l'escalade.

N'aie pas peur d'être "madame tout-le-monde" : sois juste toi-même, n'essaye surtout pas de mentir/inventer des trucs/jouer un rôle... Sois naturelle, spontanée, et ça ira très bien. On est tous uniques, on a tous nos particularités, et le jury le remarque, t'inquiètes pas ! Ils ne cherchent pas des originaux ou des gens vraiment hors du commun.
✿✿ IDE en route pour une nouvelle vie à Berlin ! ✿✿
Re: Oraux automne 2013
Chers étudiants, anciens étudiants, voire futurs admis,
Bonne année, :)
J'ai fais quelques années en biologie, mais c'est mon seul point commun avec la médecine.
J'habite tout près de l'IFSI Jean Verdier (10 min) et m'apprête à initier un projet immobilier à destination des étudiants. Avant cela, je souhaiterai connaître les besoins de logement des étudiants à l'institut de formation de Jean Verdier.
Trouvez-vous facilement un logement agréable proche de l'hôpital ? Quelle sont vos préférences de logement en terme de superficie, budget, location individuelle ou collocation, temps de transport, location meublée ou non...
Bref, les logements seraient prêts pour cet été si cela peut aider les étudiants de l'IFSI à suivre leur formation en toute quiétude à 10 min de leur studio dans une résidence pavillonnaire calme.
Xavier
Bonne année, :)
J'ai fais quelques années en biologie, mais c'est mon seul point commun avec la médecine.
J'habite tout près de l'IFSI Jean Verdier (10 min) et m'apprête à initier un projet immobilier à destination des étudiants. Avant cela, je souhaiterai connaître les besoins de logement des étudiants à l'institut de formation de Jean Verdier.
Trouvez-vous facilement un logement agréable proche de l'hôpital ? Quelle sont vos préférences de logement en terme de superficie, budget, location individuelle ou collocation, temps de transport, location meublée ou non...
Bref, les logements seraient prêts pour cet été si cela peut aider les étudiants de l'IFSI à suivre leur formation en toute quiétude à 10 min de leur studio dans une résidence pavillonnaire calme.
Xavier
- sugarcubes
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Sujet Oral
Bonjour Ci dessous mon traitement du sujet oral 2009 n°2:
Sujet Oral IFSI 2009 La mémoire est-elle un voyage dans le temps ?
Dans un premier temps, je souhaiterai aborder la distinction que l’on peut faire entre mémoire et souvenir. Nous pourrons alors dans un second temps nous attacher à la notion de voyage dans le temps au sein de la mémoire et du souvenir.
La mémoire permet de réagir. Elle surgit instinctivement selon les besoins. Elle apporte une corrélation dans notre esprit entre les différents éléments. Ainsi le « rouge » fait surgir l’association à l’image d’une fraise qui elle-même nous renvoie au parfum qu’elle dégage.
Il apparaît judicieux d’en dénombrer ses déclinaisons : la mémoire visuelle, auditive, olfactive, gustative, et sensitive… sans que la liste en soit exhaustive.
La mémoire est la base de tout apprentissage.
La notion de souvenir est plus complexe. On fait appel à nos souvenirs pour se resituer dans une action. Le souvenir est construit par l’association d’éléments de mémoire qui donne vie à une situation passée.
Dans le souvenir, le « je » se personnalise. Ainsi nous devenons spectateur de nos actions passées aux quelles nous faisons appel pour divers raisons. L’appel au souvenir est une action délibérée de
l’être.
Le voyage dans le temps serait-il une action volontaire de l’être lorsqu'il en appel au souvenir ? Tout laisse à croire que tel en est le cas. On se souvient de l’enfance qui se projette plus ou moins loin. On se souvient de faits d’actualités mais nos souvenirs ne sont pas pour autant les seuls à nous projeter dans le temps.
La mémoire nous y transporte sans que nous le réalisions et sans que ce soit une action volontaire de notre part. En effet, nous intégrons de fait, de par nos apprentissages, le fonctionnement des éléments qui nous entourent. Certains éléments de connaissance deviennent presque intrinsèques, ainsi nous intégrons les connaissances de nos ancêtres qui de par leurs agissements nous évitent certaines labeurs d’apprentissage. Nous savons que certains éléments
sont indigestes, non pas par ce que nous en avons fait l’expérience mais bien par ce que nos ancêtres de par leur expérience nous ont transmis leur sélectivité.
Il y a donc bien un voyage dans le temps au travers de la mémoire et du souvenir mais nous devons retenir qu’ils ne se situent pas dans le même registre.
L’un se situe dans la mémoire des événements, l’autre dans la mémoire associative.
--------------------------------------------------------------------
Réponse construite à partir de la lecture du livre "l'envole de la conscience".
Sujet Oral IFSI 2009 La mémoire est-elle un voyage dans le temps ?
Dans un premier temps, je souhaiterai aborder la distinction que l’on peut faire entre mémoire et souvenir. Nous pourrons alors dans un second temps nous attacher à la notion de voyage dans le temps au sein de la mémoire et du souvenir.
La mémoire permet de réagir. Elle surgit instinctivement selon les besoins. Elle apporte une corrélation dans notre esprit entre les différents éléments. Ainsi le « rouge » fait surgir l’association à l’image d’une fraise qui elle-même nous renvoie au parfum qu’elle dégage.
Il apparaît judicieux d’en dénombrer ses déclinaisons : la mémoire visuelle, auditive, olfactive, gustative, et sensitive… sans que la liste en soit exhaustive.
La mémoire est la base de tout apprentissage.
La notion de souvenir est plus complexe. On fait appel à nos souvenirs pour se resituer dans une action. Le souvenir est construit par l’association d’éléments de mémoire qui donne vie à une situation passée.
Dans le souvenir, le « je » se personnalise. Ainsi nous devenons spectateur de nos actions passées aux quelles nous faisons appel pour divers raisons. L’appel au souvenir est une action délibérée de
l’être.
Le voyage dans le temps serait-il une action volontaire de l’être lorsqu'il en appel au souvenir ? Tout laisse à croire que tel en est le cas. On se souvient de l’enfance qui se projette plus ou moins loin. On se souvient de faits d’actualités mais nos souvenirs ne sont pas pour autant les seuls à nous projeter dans le temps.
La mémoire nous y transporte sans que nous le réalisions et sans que ce soit une action volontaire de notre part. En effet, nous intégrons de fait, de par nos apprentissages, le fonctionnement des éléments qui nous entourent. Certains éléments de connaissance deviennent presque intrinsèques, ainsi nous intégrons les connaissances de nos ancêtres qui de par leurs agissements nous évitent certaines labeurs d’apprentissage. Nous savons que certains éléments
sont indigestes, non pas par ce que nous en avons fait l’expérience mais bien par ce que nos ancêtres de par leur expérience nous ont transmis leur sélectivité.
Il y a donc bien un voyage dans le temps au travers de la mémoire et du souvenir mais nous devons retenir qu’ils ne se situent pas dans le même registre.
L’un se situe dans la mémoire des événements, l’autre dans la mémoire associative.
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Réponse construite à partir de la lecture du livre "l'envole de la conscience".
Dernière modification par sugarcubes le 16 févr. 2014 09:17, modifié 1 fois.
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questions oral
Bonjour, me voilà en pleine révision pour le concours et je souhaiterai avoir un peu d'aide sur des question que l'on pourrai me poser à l'oral et auquelles je ne saurai répondre
- Pourquoi infirmière et pas aide soignante ?
- Quelles est la différence de responsabilités d'une infirmière et d'une aide soignante
- Pourquoi vous et pas une autre ?
- pourquoi cet ifsi et pas un autre ?
merci de vos réponses
a bientôt
- Pourquoi infirmière et pas aide soignante ?
- Quelles est la différence de responsabilités d'une infirmière et d'une aide soignante
- Pourquoi vous et pas une autre ?
- pourquoi cet ifsi et pas un autre ?
merci de vos réponses
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- sugarcubes
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Re: Sujet Oral
Sujet oral Ifsi 2009 N° 215
La carrière professionnelle d’une infirmière dure en moyenne 10 ans.
Qu’en Pensez-vous ?
Afin d’aborder la problématique de la durée moyenne de 10 ans pour la carrière professionnelle des IDE, je souhaiterais proposer deux approches parmi toutes celles que présente le sujet. La première approche présentant le profil des étudiants en soins infirmiers et la seconde visant à observer les aspects professionnels amenant les IDE à stopper leurs activités.
Tout d’abord, il apparait important de prendre en considération le type de population que représentent les étudiants en soins infirmiers. Ainsi, nous pourrons en faire ressortir quelques points clés. Le premier qui n’est pas l’un des moindres est le fait que « l’ESI » est majoritairement une femme comme le montrent les chiffres présentés par la DREES en 2006 : « 25 000 femmes pour 4 000 hommes ». De plus, les IFSI présentent une moyenne d’âge de leurs étudiants de 30 ans et comptent dans leurs effectifs des jeunes femmes de 19/24 ans ainsi que des profils de 35/45 ans.
Pour la première tranche, il est observé que la maternité de ce qui sera souvent le premier enfant présente des besoins en termes de flexibilité d’horaires que la jeune IDE ne retrouve pas dans son activité. Cette incompatibilité des horaires avec une vie familiale naissante se présente alors comme le premier point de rupture. Puis pour la seconde tranche, celle des 35/45 ans, elle apparait principalement composée de personnes ayant déjà eu une activité professionnelle qui entament une reconversion. Cette reconversion étant motivée par un plan professionnel bien défini et vise ainsi l’évolution vers les postes qui s’ouvrent à l’IDE (formation, prévention, cadre de santé, …).
Dans ce second temps, nous pouvons nous concentrer sur les raisons qui motiveraient cette durée moyenne de 10 ans de carrière. Et même si la promotion et la maternité peuvent justifier certaines ruptures, elles n’en sont pas pour autant les seules causes. En effet, il est important de ne pas omettre la fin d’activité pour la tranche la plus haute, mais aussi les facteurs liés à la pratique de l’activité IDE. Ainsi la fatigue professionnelle doit elle aussi être considérée. Horaires décalés, nuit et week end, rationalisation des équipes faisant face à une augmentation de la population vieillissante nécessiteuse de soins peuvent avoir raison des motivations et de l’enthousiasme qui caractérisent les IDE. Cette Taylorisation des activités éloignant parfois les activités de soins des idéaux humanistes.
Il apparait donc des causes variées aux facteurs difficilement maitrisables que sont l’âge, les évènements qui rythment la vie, mais aussi des points plus alarmants tels que l’épuisement professionnel. Mais ce turn-over n’est-il pas le gage de la motivation des personnels soignant ?
La carrière professionnelle d’une infirmière dure en moyenne 10 ans.
Qu’en Pensez-vous ?
Afin d’aborder la problématique de la durée moyenne de 10 ans pour la carrière professionnelle des IDE, je souhaiterais proposer deux approches parmi toutes celles que présente le sujet. La première approche présentant le profil des étudiants en soins infirmiers et la seconde visant à observer les aspects professionnels amenant les IDE à stopper leurs activités.
Tout d’abord, il apparait important de prendre en considération le type de population que représentent les étudiants en soins infirmiers. Ainsi, nous pourrons en faire ressortir quelques points clés. Le premier qui n’est pas l’un des moindres est le fait que « l’ESI » est majoritairement une femme comme le montrent les chiffres présentés par la DREES en 2006 : « 25 000 femmes pour 4 000 hommes ». De plus, les IFSI présentent une moyenne d’âge de leurs étudiants de 30 ans et comptent dans leurs effectifs des jeunes femmes de 19/24 ans ainsi que des profils de 35/45 ans.
Pour la première tranche, il est observé que la maternité de ce qui sera souvent le premier enfant présente des besoins en termes de flexibilité d’horaires que la jeune IDE ne retrouve pas dans son activité. Cette incompatibilité des horaires avec une vie familiale naissante se présente alors comme le premier point de rupture. Puis pour la seconde tranche, celle des 35/45 ans, elle apparait principalement composée de personnes ayant déjà eu une activité professionnelle qui entament une reconversion. Cette reconversion étant motivée par un plan professionnel bien défini et vise ainsi l’évolution vers les postes qui s’ouvrent à l’IDE (formation, prévention, cadre de santé, …).
Dans ce second temps, nous pouvons nous concentrer sur les raisons qui motiveraient cette durée moyenne de 10 ans de carrière. Et même si la promotion et la maternité peuvent justifier certaines ruptures, elles n’en sont pas pour autant les seules causes. En effet, il est important de ne pas omettre la fin d’activité pour la tranche la plus haute, mais aussi les facteurs liés à la pratique de l’activité IDE. Ainsi la fatigue professionnelle doit elle aussi être considérée. Horaires décalés, nuit et week end, rationalisation des équipes faisant face à une augmentation de la population vieillissante nécessiteuse de soins peuvent avoir raison des motivations et de l’enthousiasme qui caractérisent les IDE. Cette Taylorisation des activités éloignant parfois les activités de soins des idéaux humanistes.
Il apparait donc des causes variées aux facteurs difficilement maitrisables que sont l’âge, les évènements qui rythment la vie, mais aussi des points plus alarmants tels que l’épuisement professionnel. Mais ce turn-over n’est-il pas le gage de la motivation des personnels soignant ?
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Re: Sujet Oral
Sujet oral Ifsi 2009 n°20
Une nouvelle épidémie invisible existe. Dépression, tentatives de suicides, épuisement professionnel, accidents du travail. Le travail nuirait il à la santé ?
Afin d’aborder la problématique de l’impact du travail sur la santé, je choisi d’observer 2 axes parmi la multitude qui se présentent à nous. Dans un premier temps nous pourrons donc nous attarder sur le travail santé dans ce qu’il apporte de positif puis nous nous pencherons sur le travail toxique et ses effets pervers.
En effet, le travail est source de liens sociaux qui se créaient au gré des rencontres offertes par le milieu professionnel. Ainsi le lieu de travail apparait comme l’un des milieux favorisant les rencontres amenant amitiés, parfois l’union et se présente alors comme un facteur important de lutte contre l’isolement.
De plus, le travail favorise la réalisation du soi pour ceux qui y développent la base de leur épanouissement personnel et professionnel. L’activité professionnelle est alors vécue comme source de plaisir. Ce Travail plaisir que l’on croise dans les milieux associatif où l’activité est réalisée dans un objectif non concurrentiel.
Cependant, parfois ce même plaisir se transforme en éléments anxiogènes allant jusqu’à rendre le travail toxique. Ainsi certains travailleurs placent leurs objectifs de carrière professionnelle au premier plan de leur vie et usent alors toute leur énergie, jusqu’à l’épuisement.
Le carriérisme n’apparait pourtant pas comme le seul trait du travail qui en invoque le pouvoir pathogène. Les éléments de pression hiérarchique pour les uns, les pressions clientèles pour les autres, le sentiment de ne plus réussir à faire face aux objectifs se font sources de maux dont la seule « dépression » ne saurait être l’ultime méandre.
Ce n’est donc pas le travail en lui-même qui apparait nuisible à la santé mais bien la façon dont il est abordé de part tous ses excès et c’est bien lorsqu’il devient toxique qu’il présente alors des risques aux mêmes titres que tout autres abus. L’homme serait-il incapable de limité son investissement lorsque la fougue l’emporte sur la raison ?
Une nouvelle épidémie invisible existe. Dépression, tentatives de suicides, épuisement professionnel, accidents du travail. Le travail nuirait il à la santé ?
Afin d’aborder la problématique de l’impact du travail sur la santé, je choisi d’observer 2 axes parmi la multitude qui se présentent à nous. Dans un premier temps nous pourrons donc nous attarder sur le travail santé dans ce qu’il apporte de positif puis nous nous pencherons sur le travail toxique et ses effets pervers.
En effet, le travail est source de liens sociaux qui se créaient au gré des rencontres offertes par le milieu professionnel. Ainsi le lieu de travail apparait comme l’un des milieux favorisant les rencontres amenant amitiés, parfois l’union et se présente alors comme un facteur important de lutte contre l’isolement.
De plus, le travail favorise la réalisation du soi pour ceux qui y développent la base de leur épanouissement personnel et professionnel. L’activité professionnelle est alors vécue comme source de plaisir. Ce Travail plaisir que l’on croise dans les milieux associatif où l’activité est réalisée dans un objectif non concurrentiel.
Cependant, parfois ce même plaisir se transforme en éléments anxiogènes allant jusqu’à rendre le travail toxique. Ainsi certains travailleurs placent leurs objectifs de carrière professionnelle au premier plan de leur vie et usent alors toute leur énergie, jusqu’à l’épuisement.
Le carriérisme n’apparait pourtant pas comme le seul trait du travail qui en invoque le pouvoir pathogène. Les éléments de pression hiérarchique pour les uns, les pressions clientèles pour les autres, le sentiment de ne plus réussir à faire face aux objectifs se font sources de maux dont la seule « dépression » ne saurait être l’ultime méandre.
Ce n’est donc pas le travail en lui-même qui apparait nuisible à la santé mais bien la façon dont il est abordé de part tous ses excès et c’est bien lorsqu’il devient toxique qu’il présente alors des risques aux mêmes titres que tout autres abus. L’homme serait-il incapable de limité son investissement lorsque la fougue l’emporte sur la raison ?
Dernière modification par sugarcubes le 16 févr. 2014 09:18, modifié 1 fois.
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Re: Sujet Oral
Au travers de l’article de Jean François Dortier paru dans le magazine Sciences Humaines en février 2007, nous découvrons les effets destructeurs de la mondialisation sur les cultures et l’effacement des traditions au profit des sociétés modernes.
C’est afin de mieux appréhender les notions du terme de « culture » qu’il apparait judicieux de développer ses déclinaisons relatives aux connaissances, aux traditions ainsi qu’àl’unité.
En effet, la culture des peuples ou d’un ensemble de population vient à se découvrir au travers de ses connaissances et de sa capacité à les transmettre.
Transmission parfois orale, parfois écrite, mais toujours cumulative associant les connaissances anciennes voir ancestrales à celles récemment acquises permettant la sauvegarde d’un patrimoine historique, techniques ou bien même social.
Ces connaissances qui ne peuvent souvent pas être dissociées des traditions propres aux peuples. Traditions culinaires, vestimentaires ou musicales. Ces traditions qui transmettent un savoir-faire, un savoir-vivre et qui pérennisent les aspects caractéristiques des peuples, permettant leur reconnaissances aisées et leurs associations symboliques.
Symboles de reconnaissance des individus entre eux, amenant à l’unité du peuple ou l’appartenance à un groupe. Symboles permettant aux individus de se reconnaître entre eux et de mener un dessein global commun et progressiste.
La culture est donc bien le poumon d’un peuple et la base de son identité. La culture est une richesse, un patrimoine collectif de l’individu, source de ses connaissances et de la survie de ses traditions. La culture est bien plus qu’une absorption effréné de données, c’est la capacité à pouvoir retransmettre des valeurs et des connaissances amenant à l’autonomie individuelle et au respect de l’Autre .
C’est afin de mieux appréhender les notions du terme de « culture » qu’il apparait judicieux de développer ses déclinaisons relatives aux connaissances, aux traditions ainsi qu’àl’unité.
En effet, la culture des peuples ou d’un ensemble de population vient à se découvrir au travers de ses connaissances et de sa capacité à les transmettre.
Transmission parfois orale, parfois écrite, mais toujours cumulative associant les connaissances anciennes voir ancestrales à celles récemment acquises permettant la sauvegarde d’un patrimoine historique, techniques ou bien même social.
Ces connaissances qui ne peuvent souvent pas être dissociées des traditions propres aux peuples. Traditions culinaires, vestimentaires ou musicales. Ces traditions qui transmettent un savoir-faire, un savoir-vivre et qui pérennisent les aspects caractéristiques des peuples, permettant leur reconnaissances aisées et leurs associations symboliques.
Symboles de reconnaissance des individus entre eux, amenant à l’unité du peuple ou l’appartenance à un groupe. Symboles permettant aux individus de se reconnaître entre eux et de mener un dessein global commun et progressiste.
La culture est donc bien le poumon d’un peuple et la base de son identité. La culture est une richesse, un patrimoine collectif de l’individu, source de ses connaissances et de la survie de ses traditions. La culture est bien plus qu’une absorption effréné de données, c’est la capacité à pouvoir retransmettre des valeurs et des connaissances amenant à l’autonomie individuelle et au respect de l’Autre .
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Re: Sujet Oral
Questions Éthiques
« Ainsi, des questions éthiques sont posées par ces situations nouvelles auxquelles le personnel soignant se retrouve confronté ».
Dans son article « Questions Ethiques », l’auteur ML s’intéresse aux problématiques morales émergeant suite à l’avancée de la médecine et plus précisément des techniques de réanimation néonatale. Les progrès médicaux réduisant le taux de mortalité néonatale au détriment parfois des séquelles postérieur aux détresses vitales.
« Ainsi, des questions éthiques sont posées par ces situations nouvelles auxquelles le personnel soignant se retrouve confronté ».
L’éthique est plus précisément la bioéthique (l’éthique de la vie) trouve son sens au travers des articles de réflexion publié par le CCNE (comité consultatif national d’éthique), ce dernier définissant les bases de la Science Morale tout en y précisant les limites auxquelles elle se heurte.
En effet le CCNE, créé en 1983 ouvre la réflexion sur « l’humanité que nous souhaitons vivre ». La bioéthique branche de l’éthique, cette Science morale ne s’oppose ni aux sciences techniques bien que médicales ou de soin, ni au Droit mais vise à assurer la dignité de l’homme tout au long de son existante. Ces réflexions sur la vie soumissent aux citoyens abordent les sujets de société tel que la fin de vie, l’euthanasie, les PMA post décès mais aussi les questions de l’assistance sexuel pour les handicapés, ainsi que les enjeux éthiques de la neuro-imagerie fonctionnelle.
Même si elle régit un ordre moral, elle n’est pas pour autant en opposition avec le Droit et ses limites mais en ouvre une nouvelle dimension. Effectivement, le fait de légiférer sur un thème tel que l’avortement n’a pas eu pour effet d’en supprimer la moralité et ses enjeux. Si la loi a permis la légalisation de l’acte en encadrant ses conditions d’accès, elle laisse cependant chacun libre sur les enjeux moraux et leur perception. L’éthique se conjugue donc à la première personne du singulier selon le CCNE ; reflet des positions morales individuelles des citoyens.
L’éthique en tant que base de réflexion peut aussi apparaître comme un frein à la recherche, un garde-fou. Il en est ainsi pour les recherches sur le clonage reproductif et son texte éthique en interdisant l’application à l’espèce humaine assurant ainsi la diversité des individus résultant de la reproduction sexuée.
La prise en compte de la notion d’éthique tout au long de la chaîne de soins est une évolution majeure de ces 30 dernières années. Le travail du CCNE permet donc de faciliter la prise de décision relative à ce questionnement qui taraude le personnel soignant. Mais cette morale individuelle en évolution constante saura-t-elle répondre aux enjeux de la médecine d’urgence ?
« Ainsi, des questions éthiques sont posées par ces situations nouvelles auxquelles le personnel soignant se retrouve confronté ».
Dans son article « Questions Ethiques », l’auteur ML s’intéresse aux problématiques morales émergeant suite à l’avancée de la médecine et plus précisément des techniques de réanimation néonatale. Les progrès médicaux réduisant le taux de mortalité néonatale au détriment parfois des séquelles postérieur aux détresses vitales.
« Ainsi, des questions éthiques sont posées par ces situations nouvelles auxquelles le personnel soignant se retrouve confronté ».
L’éthique est plus précisément la bioéthique (l’éthique de la vie) trouve son sens au travers des articles de réflexion publié par le CCNE (comité consultatif national d’éthique), ce dernier définissant les bases de la Science Morale tout en y précisant les limites auxquelles elle se heurte.
En effet le CCNE, créé en 1983 ouvre la réflexion sur « l’humanité que nous souhaitons vivre ». La bioéthique branche de l’éthique, cette Science morale ne s’oppose ni aux sciences techniques bien que médicales ou de soin, ni au Droit mais vise à assurer la dignité de l’homme tout au long de son existante. Ces réflexions sur la vie soumissent aux citoyens abordent les sujets de société tel que la fin de vie, l’euthanasie, les PMA post décès mais aussi les questions de l’assistance sexuel pour les handicapés, ainsi que les enjeux éthiques de la neuro-imagerie fonctionnelle.
Même si elle régit un ordre moral, elle n’est pas pour autant en opposition avec le Droit et ses limites mais en ouvre une nouvelle dimension. Effectivement, le fait de légiférer sur un thème tel que l’avortement n’a pas eu pour effet d’en supprimer la moralité et ses enjeux. Si la loi a permis la légalisation de l’acte en encadrant ses conditions d’accès, elle laisse cependant chacun libre sur les enjeux moraux et leur perception. L’éthique se conjugue donc à la première personne du singulier selon le CCNE ; reflet des positions morales individuelles des citoyens.
L’éthique en tant que base de réflexion peut aussi apparaître comme un frein à la recherche, un garde-fou. Il en est ainsi pour les recherches sur le clonage reproductif et son texte éthique en interdisant l’application à l’espèce humaine assurant ainsi la diversité des individus résultant de la reproduction sexuée.
La prise en compte de la notion d’éthique tout au long de la chaîne de soins est une évolution majeure de ces 30 dernières années. Le travail du CCNE permet donc de faciliter la prise de décision relative à ce questionnement qui taraude le personnel soignant. Mais cette morale individuelle en évolution constante saura-t-elle répondre aux enjeux de la médecine d’urgence ?
Dernière modification par sugarcubes le 16 févr. 2014 09:18, modifié 1 fois.
ESI 2014/2017
S1 - EHPAD - Unité Protégée
S2 - CHIRURGIE GENERALE & SSR ORTHO
S1 & S2 Validés. 60/60 ECTS
S3 - CMP / IME
S4 - SSR / EHPAD
http://esirochefort.com/
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Re: Sujet Oral
Institut de Formation en Soins Infirmiers de Savoie. Culture générale -
Épreuve de sélection en vue de l'admissibilité – Session du 16 mars 2011
Le Premier ministre François Fillon a attribué mardi 23 novembre le label de Grande Cause nationale pour 2011 au collectif d’associations "Pas de solitude dans une France fraternelle", constitué autour de la Société de Saint-Vincent-de-Paul. La canicule de 2003 avait révélé au grand jour la solitude dans laquelle se trouvaient des milliers de personnes âgées, décédées du fait de cet isolement. Aujourd’hui, une étude réalisée par la Fondation de France
témoigne de ce mal profond qui touche toute la société. Souffrir de la solitude, c’est quand on ne manque à personne, c’est avoir la sensation de disparaître aux yeux du monde. Cela touche des personnes de tous les âges et de toutes les catégories sociales. L’étude de la Fondation de France pour la première fois apporte des chiffres concrets sur l’étendue du phénomène.
Étude de la Fondation de France
Cette étude pionnière sur le sujet a été réalisée auprès de 4000 personnes âgées de 18 ans et plus selon la méthode de quotas (âge, sexe, catégorie socioprofessionnelle, territoire). Les données de l’enquête de la Fondation de France publiée en juillet 2010 font frémir.4 millions de personnes en France souffriraient de solitude, soit 9% de la population nationale. Pas de liens amicaux, familiaux ni amoureux, ni de relations de voisinage. 11% des Français se considèrent comme « seuls ». 1 Français sur 10 a moins de 3 conversations personnelles par an.
La solitude ne doit pas être ressentie comme un mal bénin. 5% des Français en souffrent véritablement, du fait d’une impossibilité de communiquer, de tisser des liens avec autrui, de partager des émotions. En conséquent, les personnes seules éprouvent en plus souvent le sentiment d’inutilité, de culpabilité, de détresse, de dégoût de soi, ce qui débouchera parfois par des pulsions suicidaires. 2 millions de personnes ressentent la solitude comme une
souffrance aigue. La difficulté est de sortir de cette situation d’isolement. Ainsi, 80% des personnes isolées le sont depuis longtemps. L’engrenage est tel que ces personnes ont du mal à se projeter, à s’en sortir. Et plus le temps passe, plus cela devient compliqué. Une solitude qui touche tous les âges
Il serait faux de considérer la solitude comme un mal qui touche uniquement les personnes âgées. S’il est vrai que les personnes de plus de 75 ans répondent à hauteur de 16% être en état de solitude, les plus jeunes aussi ne sont pas épargnés désormais.
9% de la population âgée de 40 à 49 ans se trouve en état d’isolement objectif, c’est-à-dire sans aucun lien social (familial, amoureux, amical, professionnel). Parmi les 4 millions de Français qui ressentent la solitude, 1 million a moins de 50 ans et 2 millions moins de 60 ans.
il s’agit là de données tout à fait préoccupantes, puisque les seniors arriveraient mieux à faire le deuil de leur vie sociale. Pour ce qui est des 40-60 ans, la solitude s’accompagne souvent d’une grande détresse. Odile de Laurence, responsable de l’Observatoire de la Fondation de France, tire la sonnette d’alarme : « La grande majorité de ces personnes a perdu contact
avec son entourage suite à une rupture familiale ou à la perte de son travail, pour la plupart il y a déjà plusieurs années. Et beaucoup vivent dans la précarité. Cet isolement touche autant les citadins que les ruraux, et cela dès l’âge de 40 ans. Quand ces résultats sont sortis, nous avons pris un coup de massue sur la tête. Il faut absolument réagir. »
Une perte des liens sociaux à tous les niveaux 19% des Français n’ont pas de relations amicales régulières, c’est-à-dire qu’ils ne sont amenés à rencontrer leurs amis ou à échanger avec eux à distance, que deux à trois fois par an. 9%
des Français déclarent n’avoir aucun ami.
Les liens familiaux aussi se réduisent. 33% des Français ne rencontrent pas les membres de leur famille au-delà de quelque fois dans l’année. Les liens professionnels sont difficiles à tisser : 20% des Français estiment qu’il ne leur est pas possible de développer une relation amicale au travail, c’est-à-dire que dans le cadre de leur travail, il ne leur arrive jamais de d’aborder d’autres sujets que le travail. 1 Français sur 2 n’entretient aucune relation de voisinage.
Pour 56% des Français, l’isolement objectif est associé à une rupture familiale (divorce, décès du conjoint, départ des enfants). Ensuite, la perte d’emploi, un déménagement, un changement dans la vie professionnelle affecte aussi profondément le réseau social. 14 % des personnes associent leur isolement à la perte de leur emploi.
Une inégalité face à l’isolement
Les personnes ayant un revenu faible sont plus facilement touchées par la situation d’isolement. Les personnes dont le revenu est inférieur à 1000 euros ont 4 fois plus de chances d’être en situation d’isolement objectif. Il a été établi, grâce à l’enquête, que la corrélation entre pauvreté et isolement est forte, de même qu’entre capital social et capital économique.
Les catégories les plus touchées par l’isolement et la solitude sont les personnes âgées seules et dépendantes, les foyers monoparentaux précaires suite au départ des enfants, les couples « repliés » qui n’ont pas développé de liens autres que celui du conjoint, les personnes malades, les personnes en situation de handicap, les travailleurs pauvres et les travailleurs indépendants.
Un fait important que l’enquête souligne est la très faible disparité du point de vue géographique. Les personnes se sentent aussi seules en ville qu’en campagne.
Si l’isolement objectif se définit comme une absence de contact social réelle, 11% de la population français se dit en état d’isolement bien que disposant d’importants liens sociaux.
Bien des Français peuvent avoir un travail, des amis, un partenaire de vie et se sentir seuls pour autant. La plupart d’entre eux s’accorderont à dire qu’il s’agit là d’un phénomène en aggravation. Il apparaît évident que le phénomène de solitude semble bien plus étendu qu’il n’en paraît.
Une réaction des autorités semblait opportune face à ce mal contemporain. Ainsi, la lutte contre la solitude a obtenu le label Grande cause nationale 2011.
Question n°1 - 3 points
Reformuler le thème du texte en une phrase.
Question n°2 - 6 points
Relever les principales caractéristiques de la solitude évoquées dans le texte. Votre
réponse doit être rédigée.
Question n°3 - 9 points
Comment pouvez-vous expliquer l'aggravation de cet état de solitude ? Argumenter.
Question n°1
La solitude, un mal hexagonal labélisé Grande Cause Nationale 2011.
Question n°2
Dans cet article, l’auteur présente l’attribution le 23 novembre par François Fillon du titre de grande cause nationale pour l’année 2011 au collectif d’associations « Pas de solitude dans une France fraternelle » faisant suite à la canicule de l’été 2003 et de la publication des résultats de l’étude de la Fondation France.
Cette étude pionnière sur le sujet, réalisée selon la méthode des quotas révèle des chiffres alarmants : « 4 millions de personnes souffriraient de solitude ».
L’auteur précise les points clés de cette étude et notamment que cette situation de solitude ne doit pas être vécu comme un mal bénin car il débouche parfois sur des pulsions suicidaires.
Situation dont il est de plus difficile de sortir si on la laissé s’établir dans le temps.
L’étude précise par ailleurs que cette solitude touche tous les âges et qu’il serait faux de considérer qu’elle ne touche que les personnes âgées.
L’étude de la situation laisse apparaitre l’appauvrissement des liens sociaux mais aussi des causes inégalitaires telles que le faible revenu, le handicap, la dépendance ainsi que les travailleurs pauvres et les travailleurs indépendants.
L’enquête souligne cependant une très faible disparité du point de vue géographique.
L’auteur concluant que la réaction des autorités semblait opportune, permettant ainsi la classification au label de Grande Cause Nationale 2001 de la Solitude.
Question n°3
Dans son article relatif à l’attribution du label « Grande Cause Nationale 2011 » au collectif d’association « pas de solitude dans une France fraternelle », l’auteur nous présente les résultats alarmants liés à la solitude dans l’hexagone que révèle l’étude de la Fondation France.
Pour comprendre l’aggravation, il apparait judicieux de se pencher sur l’évolution de notre société et de la déconstruction de ses liens sociaux.
En effet, le processus d’évolution de la société n’est pas inéluctable mais tend à accroitre l’état de solitude de l’individu.
Le développement d’internet a permis de rompre les distances mais a supprimé les relations de proximité.
Ainsi on achète ses livres en ligne délaissant le libraire de quartier. Les courses se commandent sur la toile et se livrent au drive limitant drastiquement les temps d’échange et de relation à l’autre.
Les traditions orales ont disparues, les traditionnelles rencontres de village ne sont plus que légendes et même si les réseaux sociaux ont explosés ces dernières années, ils n’ont pas pour autant donnés réalité aux 1200 amis ou « Followers » de votre profil numérique.
Les relations semblent éphémères, associables à du consommable et les échanges restent souvent superficiels ne permettant pas la création de liens profonds tel que l’amitié le ferait.
Ainsi, s’observe la déconstruction progressive des liens sociaux, des échanges, oubliant que l’on en vit que par l’intérêt que l’on porte à l’autre et au regard bienveillance que ce dernier porte sur nous.
Cadence intense de la vie ; Aller vite pour passer à autre chose sans jamais prendre le temps nécessaire pour se poser et observer ce monde qui nous entoure.
Les médias surenchérissent l’information visant souvent à la stigmatisation de l’autre, celui qui nous est étranger plutôt que d’œuvrer à ouvrir les esprits sur les richesses de la rencontre avec son prochain, cet inconnu qui pourrait nous apporter tant par sa différence.
Cette dématérialisation de la communication amoindri petit à petit les temps et le nombre de moment d’échange remplissant la vie et supprimant la solitude morale.
Ne plus se sentir seul au milieu des autres, ce paradoxe de la vie citadine où tant de monde est rassemblé et où tout est à portée de mains.
Tout pousse à croire que la trop grande disponibilité des réponses aux besoins repousse la nécessité de la relation humaine.
Le challenge des prochaines décennies ne serait-il pas de rendre l’humanité et l’identité de l’individu perdu durant plus de 50 ans d’urbanisation et d’uniformisation des cultures citadines ?
Épreuve de sélection en vue de l'admissibilité – Session du 16 mars 2011
Le Premier ministre François Fillon a attribué mardi 23 novembre le label de Grande Cause nationale pour 2011 au collectif d’associations "Pas de solitude dans une France fraternelle", constitué autour de la Société de Saint-Vincent-de-Paul. La canicule de 2003 avait révélé au grand jour la solitude dans laquelle se trouvaient des milliers de personnes âgées, décédées du fait de cet isolement. Aujourd’hui, une étude réalisée par la Fondation de France
témoigne de ce mal profond qui touche toute la société. Souffrir de la solitude, c’est quand on ne manque à personne, c’est avoir la sensation de disparaître aux yeux du monde. Cela touche des personnes de tous les âges et de toutes les catégories sociales. L’étude de la Fondation de France pour la première fois apporte des chiffres concrets sur l’étendue du phénomène.
Étude de la Fondation de France
Cette étude pionnière sur le sujet a été réalisée auprès de 4000 personnes âgées de 18 ans et plus selon la méthode de quotas (âge, sexe, catégorie socioprofessionnelle, territoire). Les données de l’enquête de la Fondation de France publiée en juillet 2010 font frémir.4 millions de personnes en France souffriraient de solitude, soit 9% de la population nationale. Pas de liens amicaux, familiaux ni amoureux, ni de relations de voisinage. 11% des Français se considèrent comme « seuls ». 1 Français sur 10 a moins de 3 conversations personnelles par an.
La solitude ne doit pas être ressentie comme un mal bénin. 5% des Français en souffrent véritablement, du fait d’une impossibilité de communiquer, de tisser des liens avec autrui, de partager des émotions. En conséquent, les personnes seules éprouvent en plus souvent le sentiment d’inutilité, de culpabilité, de détresse, de dégoût de soi, ce qui débouchera parfois par des pulsions suicidaires. 2 millions de personnes ressentent la solitude comme une
souffrance aigue. La difficulté est de sortir de cette situation d’isolement. Ainsi, 80% des personnes isolées le sont depuis longtemps. L’engrenage est tel que ces personnes ont du mal à se projeter, à s’en sortir. Et plus le temps passe, plus cela devient compliqué. Une solitude qui touche tous les âges
Il serait faux de considérer la solitude comme un mal qui touche uniquement les personnes âgées. S’il est vrai que les personnes de plus de 75 ans répondent à hauteur de 16% être en état de solitude, les plus jeunes aussi ne sont pas épargnés désormais.
9% de la population âgée de 40 à 49 ans se trouve en état d’isolement objectif, c’est-à-dire sans aucun lien social (familial, amoureux, amical, professionnel). Parmi les 4 millions de Français qui ressentent la solitude, 1 million a moins de 50 ans et 2 millions moins de 60 ans.
il s’agit là de données tout à fait préoccupantes, puisque les seniors arriveraient mieux à faire le deuil de leur vie sociale. Pour ce qui est des 40-60 ans, la solitude s’accompagne souvent d’une grande détresse. Odile de Laurence, responsable de l’Observatoire de la Fondation de France, tire la sonnette d’alarme : « La grande majorité de ces personnes a perdu contact
avec son entourage suite à une rupture familiale ou à la perte de son travail, pour la plupart il y a déjà plusieurs années. Et beaucoup vivent dans la précarité. Cet isolement touche autant les citadins que les ruraux, et cela dès l’âge de 40 ans. Quand ces résultats sont sortis, nous avons pris un coup de massue sur la tête. Il faut absolument réagir. »
Une perte des liens sociaux à tous les niveaux 19% des Français n’ont pas de relations amicales régulières, c’est-à-dire qu’ils ne sont amenés à rencontrer leurs amis ou à échanger avec eux à distance, que deux à trois fois par an. 9%
des Français déclarent n’avoir aucun ami.
Les liens familiaux aussi se réduisent. 33% des Français ne rencontrent pas les membres de leur famille au-delà de quelque fois dans l’année. Les liens professionnels sont difficiles à tisser : 20% des Français estiment qu’il ne leur est pas possible de développer une relation amicale au travail, c’est-à-dire que dans le cadre de leur travail, il ne leur arrive jamais de d’aborder d’autres sujets que le travail. 1 Français sur 2 n’entretient aucune relation de voisinage.
Pour 56% des Français, l’isolement objectif est associé à une rupture familiale (divorce, décès du conjoint, départ des enfants). Ensuite, la perte d’emploi, un déménagement, un changement dans la vie professionnelle affecte aussi profondément le réseau social. 14 % des personnes associent leur isolement à la perte de leur emploi.
Une inégalité face à l’isolement
Les personnes ayant un revenu faible sont plus facilement touchées par la situation d’isolement. Les personnes dont le revenu est inférieur à 1000 euros ont 4 fois plus de chances d’être en situation d’isolement objectif. Il a été établi, grâce à l’enquête, que la corrélation entre pauvreté et isolement est forte, de même qu’entre capital social et capital économique.
Les catégories les plus touchées par l’isolement et la solitude sont les personnes âgées seules et dépendantes, les foyers monoparentaux précaires suite au départ des enfants, les couples « repliés » qui n’ont pas développé de liens autres que celui du conjoint, les personnes malades, les personnes en situation de handicap, les travailleurs pauvres et les travailleurs indépendants.
Un fait important que l’enquête souligne est la très faible disparité du point de vue géographique. Les personnes se sentent aussi seules en ville qu’en campagne.
Si l’isolement objectif se définit comme une absence de contact social réelle, 11% de la population français se dit en état d’isolement bien que disposant d’importants liens sociaux.
Bien des Français peuvent avoir un travail, des amis, un partenaire de vie et se sentir seuls pour autant. La plupart d’entre eux s’accorderont à dire qu’il s’agit là d’un phénomène en aggravation. Il apparaît évident que le phénomène de solitude semble bien plus étendu qu’il n’en paraît.
Une réaction des autorités semblait opportune face à ce mal contemporain. Ainsi, la lutte contre la solitude a obtenu le label Grande cause nationale 2011.
Question n°1 - 3 points
Reformuler le thème du texte en une phrase.
Question n°2 - 6 points
Relever les principales caractéristiques de la solitude évoquées dans le texte. Votre
réponse doit être rédigée.
Question n°3 - 9 points
Comment pouvez-vous expliquer l'aggravation de cet état de solitude ? Argumenter.
Question n°1
La solitude, un mal hexagonal labélisé Grande Cause Nationale 2011.
Question n°2
Dans cet article, l’auteur présente l’attribution le 23 novembre par François Fillon du titre de grande cause nationale pour l’année 2011 au collectif d’associations « Pas de solitude dans une France fraternelle » faisant suite à la canicule de l’été 2003 et de la publication des résultats de l’étude de la Fondation France.
Cette étude pionnière sur le sujet, réalisée selon la méthode des quotas révèle des chiffres alarmants : « 4 millions de personnes souffriraient de solitude ».
L’auteur précise les points clés de cette étude et notamment que cette situation de solitude ne doit pas être vécu comme un mal bénin car il débouche parfois sur des pulsions suicidaires.
Situation dont il est de plus difficile de sortir si on la laissé s’établir dans le temps.
L’étude précise par ailleurs que cette solitude touche tous les âges et qu’il serait faux de considérer qu’elle ne touche que les personnes âgées.
L’étude de la situation laisse apparaitre l’appauvrissement des liens sociaux mais aussi des causes inégalitaires telles que le faible revenu, le handicap, la dépendance ainsi que les travailleurs pauvres et les travailleurs indépendants.
L’enquête souligne cependant une très faible disparité du point de vue géographique.
L’auteur concluant que la réaction des autorités semblait opportune, permettant ainsi la classification au label de Grande Cause Nationale 2001 de la Solitude.
Question n°3
Dans son article relatif à l’attribution du label « Grande Cause Nationale 2011 » au collectif d’association « pas de solitude dans une France fraternelle », l’auteur nous présente les résultats alarmants liés à la solitude dans l’hexagone que révèle l’étude de la Fondation France.
Pour comprendre l’aggravation, il apparait judicieux de se pencher sur l’évolution de notre société et de la déconstruction de ses liens sociaux.
En effet, le processus d’évolution de la société n’est pas inéluctable mais tend à accroitre l’état de solitude de l’individu.
Le développement d’internet a permis de rompre les distances mais a supprimé les relations de proximité.
Ainsi on achète ses livres en ligne délaissant le libraire de quartier. Les courses se commandent sur la toile et se livrent au drive limitant drastiquement les temps d’échange et de relation à l’autre.
Les traditions orales ont disparues, les traditionnelles rencontres de village ne sont plus que légendes et même si les réseaux sociaux ont explosés ces dernières années, ils n’ont pas pour autant donnés réalité aux 1200 amis ou « Followers » de votre profil numérique.
Les relations semblent éphémères, associables à du consommable et les échanges restent souvent superficiels ne permettant pas la création de liens profonds tel que l’amitié le ferait.
Ainsi, s’observe la déconstruction progressive des liens sociaux, des échanges, oubliant que l’on en vit que par l’intérêt que l’on porte à l’autre et au regard bienveillance que ce dernier porte sur nous.
Cadence intense de la vie ; Aller vite pour passer à autre chose sans jamais prendre le temps nécessaire pour se poser et observer ce monde qui nous entoure.
Les médias surenchérissent l’information visant souvent à la stigmatisation de l’autre, celui qui nous est étranger plutôt que d’œuvrer à ouvrir les esprits sur les richesses de la rencontre avec son prochain, cet inconnu qui pourrait nous apporter tant par sa différence.
Cette dématérialisation de la communication amoindri petit à petit les temps et le nombre de moment d’échange remplissant la vie et supprimant la solitude morale.
Ne plus se sentir seul au milieu des autres, ce paradoxe de la vie citadine où tant de monde est rassemblé et où tout est à portée de mains.
Tout pousse à croire que la trop grande disponibilité des réponses aux besoins repousse la nécessité de la relation humaine.
Le challenge des prochaines décennies ne serait-il pas de rendre l’humanité et l’identité de l’individu perdu durant plus de 50 ans d’urbanisation et d’uniformisation des cultures citadines ?
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Re: Oral & présentation
Salut, je relance la sujet un peu!
Je n'ai pas encore passé mes écrits mais je préfère préparé un peu à l'avance ma présentation à l'oral car je suis une personne très réservée quand il s'agit de faire un entretien!
Voilà ma présentation:
Bonjour, je m'appelle Mathilde B., j'ai 19 ans et je suis titulaire d'un baccalauréat Economique et Social et du Diplôme d'Etat Italien, équivalent de notre baccalauréat français.
//Présentation du sujet donné//
J'ai découvert le métier d'infirmière en effectuant des recherches sur un métier dans le milieu infantile. J'ai la volonté de devenir Infirmière-Puéricultrice et la formation que votre école propose me permettrait d'atteindre mon vœu.
Ma passion pour la danse et la photographie me permette d'évacuer le stress de la journée et de passer du temps à m'épanouir. J'effectue la danse depuis dix ans et la photographie depuis deux ans. Depuis septembre 2013 je fais du bénévolat auprès de la communauté Emmaüs de T. et aussi auprès de ma professeur de danse en l'aidant quatre cours par semaine avec des enfants âgées de 3 a 12 ans. J'aime donner du temps pour les autres ce qui est une des mes principales qualités, je pense aussi être à l'écoute d'autrui et consciencieuse dans mon travail. Cependant je suis aussi impatiente mais cela peut être un avantage dans la profession afin d'effectuer mon travail rapidement mais bien. Je suis spontanée ce qui peut être gênant pour certaines personnes mais que je considère aussi comme une qualité étant donné que la franchise peut servir dans la profession d'infirmière.
Je n'ai pas encore passé mes écrits mais je préfère préparé un peu à l'avance ma présentation à l'oral car je suis une personne très réservée quand il s'agit de faire un entretien!
Voilà ma présentation:
Bonjour, je m'appelle Mathilde B., j'ai 19 ans et je suis titulaire d'un baccalauréat Economique et Social et du Diplôme d'Etat Italien, équivalent de notre baccalauréat français.
//Présentation du sujet donné//
J'ai découvert le métier d'infirmière en effectuant des recherches sur un métier dans le milieu infantile. J'ai la volonté de devenir Infirmière-Puéricultrice et la formation que votre école propose me permettrait d'atteindre mon vœu.
Ma passion pour la danse et la photographie me permette d'évacuer le stress de la journée et de passer du temps à m'épanouir. J'effectue la danse depuis dix ans et la photographie depuis deux ans. Depuis septembre 2013 je fais du bénévolat auprès de la communauté Emmaüs de T. et aussi auprès de ma professeur de danse en l'aidant quatre cours par semaine avec des enfants âgées de 3 a 12 ans. J'aime donner du temps pour les autres ce qui est une des mes principales qualités, je pense aussi être à l'écoute d'autrui et consciencieuse dans mon travail. Cependant je suis aussi impatiente mais cela peut être un avantage dans la profession afin d'effectuer mon travail rapidement mais bien. Je suis spontanée ce qui peut être gênant pour certaines personnes mais que je considère aussi comme une qualité étant donné que la franchise peut servir dans la profession d'infirmière.
Concours printemps 2015, me voilà!