Suppression de l'ONI
Modérateurs : Modérateurs, Infirmiers - ONI
Re: Suppression de l'ONI
Jusqu'à preuve du contraire, les syndicats ne faisaient pas partie des partenaires sociaux et ne négociaient rien du tout.
Tiens, cela fonctionne aussi comme cela
Tiens, cela fonctionne aussi comme cela

Mais j'aime mon métier
infirmière est un métier qui se mérite !!!
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Re: Suppression de l'ONI
A ton bon vouloir... Parole de spécialiste ?Prosper a écrit :Jusqu'à preuve du contraire, les syndicats ne faisaient pas partie des partenaires sociaux et ne négociaient rien du tout.
Tiens, cela fonctionne aussi comme cela
Re: Suppression de l'ONI
L'expérience mon ami, l'expérience
Mais j'aime mon métier
infirmière est un métier qui se mérite !!!
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Re: Suppression de l'ONI
L'ordre infirmier français est tellement aimé et populaire dans son propre pays que des organismes clones étrangers sont appelés à la rescousse pour tenter de sauver le vilain petit canard qui se noie : pathétique et désespéré...
Re: Suppression de l'ONI
Entièrement d'accord.pierioda a écrit : Et retravaillons ensemble, (la majorité j'entends) pour proposer un organe commun. pas un syndicat. Un ordre, je pense qu'il en faut un, ne serait ce que pour avoir une véritable voie de communication avec les autres professions médicales et paramédicales, mais aussi avec les autorités à tous les niveaux.
Je reste convaincu qu'il nous faut un ordre rassembleur. Mais pas celui-ci, plus celui-ci.
Confraternellement,
Pierre
Les IDE n'ont aucune visibilité ni aucune crédibilité au niveau des instances gouvernementales.
Et ce ne sont pas les 5% d'IDE syndiquées qui vont peser bien lourd (source: ACTUSOINS) en admettant que ce soit efficace.
Tu m'étonnes !!execho a écrit :Boycott du Conseil Supérieur de la Fonction Publique Hospitalière;5 mai;déclaration CGT-FO-SUD-UNSA. Entre autre, les syndicats demandent au gouvernement de s'engager dans une loi d'abrogation des ordres infirmiers.
Les luttes de pouvoir étaient plus qu'évidentes...et voyantes!
Un "ennemi" neutralisé...un!
"Il suffit de nous regarder pour voir comment une forme de vie intelligente peut se développer d'une manière que nous n'aimerions pas rencontrer."
Stephen HAWKING
Stephen HAWKING
Re: Suppression de l'ONI
c'est pathétique un tel raisonnement,les mêmes qui jouent les scandalisés devant des dictatures ne sont pas gênés de montrer leur haine du syndicalisme:le syndicalisme on est pour, mais dans les autres pays?.Les infirmiers ont eut l'intuition du caractère profondément anti démocratique de laisser s'installer un ordre à tribunal spécial,corporatiste dans le sens le plus nauséeux du terme.Comme le disait Eusèbe,les tenants de l'ordre ont préparés le replis par la construction du collège infirmier;je dirais:mais lâchez nous .Ce qui compte objectivement c'est le rejet du concept même,ça,c'est fait.Mais la bête est toujours vivante,les infirmières et leurs organisations veillent.
Re: Suppression de l'ONI
Ce qui est très drôle, c'est ce concept d'ordre tourné vers l'avenir et dont les éminences visionnaires n'ont pas vu la suppression arriver : il aurait peut-être fallu, en lieu et place de conseillers en tout et rien, grassement payés, recruter un marabout efficace.
Et cet ordre, prétendument destiné à rassembler les infirmiers en exercice, ne souffrirait-il pas d'être dirigé par un retraité ?
Il semble que l'action de s'imposer en faisant le vide (d'opposants) autour de soi ait été testée par l'organisation ordinale : la dissolution d'un syndicat anti-ordre n'a-t-elle pas été récemment demandée par le conseil national à la justice ? Dissolution refusée pour le syndicat mais acceptée pour l'organisation demandeuse : l'arroseur arrosé !!
Précisons enfin que l'action syndicale établit un rapport de force dans le but de faire aboutir des revendications : la suppression des ordres en est une, et il est normal pour cela de se donner les moyens d'y parvenir.
Et comme le dit execho, on sait ce qu'est un système sans opposition.
Et cet ordre, prétendument destiné à rassembler les infirmiers en exercice, ne souffrirait-il pas d'être dirigé par un retraité ?
Il semble que l'action de s'imposer en faisant le vide (d'opposants) autour de soi ait été testée par l'organisation ordinale : la dissolution d'un syndicat anti-ordre n'a-t-elle pas été récemment demandée par le conseil national à la justice ? Dissolution refusée pour le syndicat mais acceptée pour l'organisation demandeuse : l'arroseur arrosé !!
Précisons enfin que l'action syndicale établit un rapport de force dans le but de faire aboutir des revendications : la suppression des ordres en est une, et il est normal pour cela de se donner les moyens d'y parvenir.
Et comme le dit execho, on sait ce qu'est un système sans opposition.
Re: Suppression de l'ONI
Moi ce qui m'amuse beaucoup (enfin façon de parler...) c'est que je me suis syndiquée cette année pour la première fois pour me DÉFENDRE de l'ONI (et oui je pèse mes mot en utilisant ce terme) suite à ses menaces et harcèlement.
L'ONI je n'était pas contre au début, naïve jeune diplômée que j'étais.
Je ne savais pas vraiment ce que c'était, et je le voyais plutôt comme quelque chose ressemblant à un syndicat, qui avait pour but de nous retenir, accompagner et réfléchir sur comment améliorer notre profession.
Seulement je me suis rendue compte que ça n'avais rien a voir avec un syndicat, car eux quand je les sollicite pour des questions concernant mes droits au travail ils ne me répondent pas "cherchez sur google" (véridique... et ne me parlais pas de la "l'ancienne mouture" c'était la nouvelle).
Alors oui un organe pour rassembler, sur le papier c'est une bonne idée, mais comment voulez vous rassembler les gens en les contraignant a adhérer?
J'entend beaucoup aussi que nous somme la seule profession à ne pas avoir un ordre installé. Et la je me dit "what?! ". Parce qu'il me semble, n'en déplaise à certains, que l'ordre des kinés à traîné de nombreux kinés devant les tribunaux pour les forcer à s'inscrire, et que j'entends de plus en plus de médecins qui remettent en cause leur propre ordre.
Je ne remet pas en causes les personnes qui soutiennent l'ONI. Je pense que la majorité est convaincu de son bien fondé et veut faire évoluer la profession positivement, mais on voit bien que cela ne fonctionne pas, et que contraindre n'apportera jamais rien de bon...
L'ONI je n'était pas contre au début, naïve jeune diplômée que j'étais.
Je ne savais pas vraiment ce que c'était, et je le voyais plutôt comme quelque chose ressemblant à un syndicat, qui avait pour but de nous retenir, accompagner et réfléchir sur comment améliorer notre profession.
Seulement je me suis rendue compte que ça n'avais rien a voir avec un syndicat, car eux quand je les sollicite pour des questions concernant mes droits au travail ils ne me répondent pas "cherchez sur google" (véridique... et ne me parlais pas de la "l'ancienne mouture" c'était la nouvelle).
Alors oui un organe pour rassembler, sur le papier c'est une bonne idée, mais comment voulez vous rassembler les gens en les contraignant a adhérer?
J'entend beaucoup aussi que nous somme la seule profession à ne pas avoir un ordre installé. Et la je me dit "what?! ". Parce qu'il me semble, n'en déplaise à certains, que l'ordre des kinés à traîné de nombreux kinés devant les tribunaux pour les forcer à s'inscrire, et que j'entends de plus en plus de médecins qui remettent en cause leur propre ordre.
Je ne remet pas en causes les personnes qui soutiennent l'ONI. Je pense que la majorité est convaincu de son bien fondé et veut faire évoluer la profession positivement, mais on voit bien que cela ne fonctionne pas, et que contraindre n'apportera jamais rien de bon...
Dernière modification par gymmiss le 06 mai 2015 08:17, modifié 1 fois.
Re: Suppression de l'ONI
Racontegymmiss a écrit :Moi ce qui m'amuse beaucoup (enfin façon de parler...) c'est que je me suis syndiquée cette année pour la première fois pour me DÉFENDRE de l'ONI (et oui je pèse mes mot en utilisant ce terme) suite à ses menaces et harcèlement.
Mais j'aime mon métier
infirmière est un métier qui se mérite !!!
infirmière est un métier qui se mérite !!!
Re: Suppression de l'ONI
Je n'ai rien de "nouveau" à raconter que ce que la plupart ont déjà dit sur le forum.
Je n'ai pas l'impression d'être une grande criminelle, je veux juste travailler paisiblement grâce au diplôme que j'ai obtenu honnêtement, et qui me donne les compétences pour ça.
De plus j'aimerai comprendre pourquoi toutes les infirmières qui sont autours de moi et qui elle n'ont jamais cotisé sont tranquille? Vive l'équité (je ne souhaite pas qu'on les embête, mais qu'on me laisse tranquille moi, au même titre qu'elles!)
Je n'ai pas l'impression d'être une grande criminelle, je veux juste travailler paisiblement grâce au diplôme que j'ai obtenu honnêtement, et qui me donne les compétences pour ça.
De plus j'aimerai comprendre pourquoi toutes les infirmières qui sont autours de moi et qui elle n'ont jamais cotisé sont tranquille? Vive l'équité (je ne souhaite pas qu'on les embête, mais qu'on me laisse tranquille moi, au même titre qu'elles!)
Dernière modification par gymmiss le 12 mai 2015 07:53, modifié 1 fois.
Re: Suppression de l'ONI
Ceux qui disent ceci sont des menteurs ou des ignorants et peut-être les 2.gymmiss a écrit :J'entend beaucoup aussi que nous somme la seule profession à ne pas avoir un ordre installé.
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Re: Suppression de l'ONI
Execho, je vais le dire définitivement et clairement, je me tairai ensuite sur ce topic :execho a écrit :c'est pathétique un tel raisonnement,les mêmes qui jouent les scandalisés devant des dictatures ne sont pas gênés de montrer leur haine du syndicalisme:le syndicalisme on est pour, mais dans les autres pays?.Les infirmiers ont eut l'intuition du caractère profondément anti démocratique de laisser s'installer un ordre à tribunal spécial,corporatiste dans le sens le plus nauséeux du terme.Comme le disait Eusèbe,les tenants de l'ordre ont préparés le replis par la construction du collège infirmier;je dirais:mais lâchez nous .Ce qui compte objectivement c'est le rejet du concept même,ça,c'est fait.Mais la bête est toujours vivante,les infirmières et leurs organisations veillent.
Les syndicats et l'ONI, je m'en fous, à un point dont vous n'avez pas idée.
Je ne suis ni "pro" ni "anti" trucmuche, je m'en bat le coquillard.
Pour moi c'est bonnet blanc et blanc bonnet.
Ce ne sont que des querelles de chapelle, des manipulations intestines qui ne feront jamais avancer quoi que ce soit, depuis que ça existe, ce serait déjà fait, et force est de constater que rien n'a été fait : le monde hospitalier (et extra hospitalier) s'enfonce dans une mouise de plus en plus grave et profonde.
Voilà, je me tais maintenant.
"Il suffit de nous regarder pour voir comment une forme de vie intelligente peut se développer d'une manière que nous n'aimerions pas rencontrer."
Stephen HAWKING
Stephen HAWKING
Re: Suppression de l'ONI
Merci !Jo_bis a écrit : Voilà, je me tais maintenant.
Dès qu'il eut franchi le pont, les fantomes vinrent à sa rencontre.
Re: Suppression de l'ONI
bonjour a tous,
petit bemol pour jo bis:effectivement rien ou pas grand chose n'est fait pour nous aider,et surtout pas par les politiques.neanmoins je dois te rappeler que contrairement a beaucoup de professions,nous, nous sommes requisitionnes en cas de greve pour continuer a faire vivre la bete donc on ne fait chier personne.on peut faire greve tant qu'on veut,ca serait comme pisser dans un violon.alors si un ONI s'y met en plus...
petit bemol pour jo bis:effectivement rien ou pas grand chose n'est fait pour nous aider,et surtout pas par les politiques.neanmoins je dois te rappeler que contrairement a beaucoup de professions,nous, nous sommes requisitionnes en cas de greve pour continuer a faire vivre la bete donc on ne fait chier personne.on peut faire greve tant qu'on veut,ca serait comme pisser dans un violon.alors si un ONI s'y met en plus...
Re: Suppression de l'ONI
J.C.Cambadélis dans une question au ministère de la santé le 13 avril 2010,avait l'air de comprendre le rejet infirmier par rapport à l'ordre.Premier secrétaire du PS ,on attend avec impatience ses consignes vers les députés PS à ce sujet.N'étant pas au gouvernement c'est l'occasion de montrer son sens critique.