TFE soins palliatifs chez adulte ts âges,vos interrogations
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TFE : Accompagnement d'un patient en fin de vie
Bonjour,
Je suis etudiante infirmière 3eme annee et j'effectue mon TFe sur l'importance de la communication dans l'accompagnement d'un patients en fin de vie dans ses derniers moments
Et serait 'il possible que des infirmieres ayant des expériences dans ce domaine de répondre à mes questions. Merci d'avance.
Dans quel service travaillez vous? Depuis combien de temps êtes vous diplomé?
Comment vous appercevez vous que le patient est "mourant"?
Vous est il arrivé d'accompagner un patient en fin de vie dans ses derniers moments? Si oui, Quelle communication privilégiez vous?
Les silences vous semblent t'ils important dans cette prise en charge?
La communication verbale est elle indispensable?
D'après vous, est ce un rôle IDE d'accompagner ces patients?Pourquoi?
Vous semble t'il difficile d'accompagner un patient "mourant"? Pourquoi?
Merci
Sinon voici mon email en MP
Je suis etudiante infirmière 3eme annee et j'effectue mon TFe sur l'importance de la communication dans l'accompagnement d'un patients en fin de vie dans ses derniers moments
Et serait 'il possible que des infirmieres ayant des expériences dans ce domaine de répondre à mes questions. Merci d'avance.
Dans quel service travaillez vous? Depuis combien de temps êtes vous diplomé?
Comment vous appercevez vous que le patient est "mourant"?
Vous est il arrivé d'accompagner un patient en fin de vie dans ses derniers moments? Si oui, Quelle communication privilégiez vous?
Les silences vous semblent t'ils important dans cette prise en charge?
La communication verbale est elle indispensable?
D'après vous, est ce un rôle IDE d'accompagner ces patients?Pourquoi?
Vous semble t'il difficile d'accompagner un patient "mourant"? Pourquoi?
Merci
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Dernière modification par Juju5544 le 03 mai 2009 18:06, modifié 1 fois.
Raison : Mail supprimé en raison du spam
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Re: TFE : Accompagnement d'un patient en fin de vie
Force est de reconnaître que notre société a désappris ce qu’est le mourir. En effet, le lieu de la mort s’est déplacé du domicile, où le malade décédait entouré des siens, vers les institutions (hôpitaux, maisons de retraite…) où l’on a médicalisé la mort. L’expérience des générations précédentes, le bon sens acquis de la familiarité avec la fin de la vie ont peu à peu disparu. On se tourne vers les professionnels pour mourir.
On exige d’eux compétences, chaleur humaine, soutien et efficacité. Il leur revient donc d’avoir des attitudes et des pratiques appropriées
Qu’il soit redouté, attendu ou souhaité comme une délivrance, le moment de la mort de l’autre est souvent vécu comme une épreuve par ceux qui y assistent. Une épreuve qui suscite des sentiments de peur et d’angoisse.
Définition de la phase terminale
La phase terminale est le moment de la mort. Le décès est imminent et inévitable en l’absence de réanima¬tion. Elle se définit par l’apparition de la défaillance d’une ou plusieurs fonctions vitales. Il est important de ne pas confondre ce terme de « terminal » utilisé parfois simplement pour dire que les traitements spécifiques sont terminés. On entend parfois « maladie terminale » ou « malade terminal ».
La survie se compte en termes de quelques jours, quel¬quefois en heures, mais ne dépasse pas quelques semaines.
Déjà Bichat, en 1800 dans Recherche physiologique sur la vie et la mort, déclarait : « La vie est l’ensemble des fonctions qui résistent à la mort. » Il précisait « l’homme meurt de trois façons : par l’encéphale, par le coeur ou par les poumons », définissant ainsi les trois grandes fonctions nécessaires à la vie.
La phase terminale est donc une bascule dans l’évo¬lution de la maladie annoncée par la défaillance des fonctions vitales : cardiocirculatoire, respiratoire et cé¬rébrale. Cette polydéfaillance est parfois provoquée par un épisode aigu (embolie pulmonaire, occlusion intesti-nale, infection
Sémiologie du mourir
La phase terminale se caractérise cliniquement par l’apparition des signes de régulation neurovégétative.
Mourir est un processus qui se déroule toujours de la même manière mais de façon plus ou moins rapide selon la cause. La mort survient parfois de façon brutale (in¬farctus du myocarde massif, engagement cérébral…).
Cependant, schématiquement, on peut distinguer deux moments différents la « phase pré agonique » et la phase agonique »
La phase pré agonique
On peut facilement l’identifier en observant les manifestations cliniques des réflexes neurovégétatifs. La conscience est variable et dépend essentiellement de la qualité de l’oxygénation cérébrale, en dehors d’éven¬tuelles pathologies neurologiques préexistantes. Le malade peut être calme ou agité, conscient ou inconscient.,dans un coma léger ou dans un état de confusion aiguë. S’il peut parler, il décrit parfois des hallucinations visuel¬les ou auditives à thème de mort : il voit par exemple les personnes décédées
…
La fréquence respiratoire s’accélère de façon réflexe. La respiration est plus ou moins efficace pour apporter une bonne oxygénation et des signes de cyanose périphé¬rique peuvent apparaître en particulier au niveau des lèvres et des doigts. L’encombrement bronchique est va¬riable. Son importance dépend de l’état de conscience et d’une éventuelle pathologie respiratoire sous-jacente.
Le pouls s’accélère, devient filant. La tension artérielle est variable à cette phase : elle peut être normale, déjà abaissée ou au contraire élevée du fait de l’hyper¬capnie et des marbrures périphériques. Celles-ci sont bien visibles au niveau des cuisses et traduisent la va¬soconstriction cutanée. Parfois, il existe également une vasoconstriction au niveau du territoire splanchnique qui se traduit par une ischémie du tube digestif entraî¬nant une diarrhée profuse.
Sans réanimation, qui vise à pallier à la défaillance des fonctions vitales, la phase préagonique évolue le plus souvent vers la phase agonique et le décès.
La phase agonique
C’est le moment même du « mourir ». Cette phase est irréversible et aboutit à la mort. Elle se caractérise par l’apparition des premiers signes de décérébration.
Les premiers signes de décérébration apparaissent : coma a réactif, hypotonie, disparition du réflexe cornéen. Il existe d’autres réflexes (occulocéphaliques, occulo¬vestibulaires) qui attestent de la décortication. Mais le cor¬néen est un des plus faciles à rechercher en pratique. Le réflexe normal correspond à une contraction de la pau¬pière et de la pupille (myosis) lorsque l’on touche la cornée avec un morceau de coton ou le coin d’une compresse. On dit qu’il est aboli quand on n’obtient plus de réponse à la stimulation de la cornée. Le myosis est souvent dif¬ficile à constater en raison des traitements morphiniques fréquemment associés. Ceux-ci n’altèrent pas le cligne-ment de la paupière.
La fréquence respiratoire diminue et devient irrégulière. L’encombrement est constant par hypersécrétion bronchique réflexe et contribue à rendre la respiration bruyante : c’est ce qu’on appelle les râles agoniques ou « gasp ». La cyanose s’intensifie.
Le pouls ralentit. La tension est basse voire imprenable, la vasoconstriction se lève et les marbrures disparais¬sent parfois.
La mort clinique légale est définie par l’arrêt des ac¬tivités cardiocirculatoire, respiratoire, encéphalique et neurovégétative.
Pendant la phase agonique, il n’y a pas de conscience, donc pas de perception, donc ni douleur, ni perception de la gêne respiratoire.
.
En phase agonique, les premiers signes de décérébra¬tion signent la mort corticale irréversible et indiquent la disparition des perceptions. Les râles agoniques corres¬pondent à la persistance de réflexes du tronc cérébral. Il s’agit d’une activité purement réflexe.
La phase agonique dure rarement plus de quelques heures.
L’objectif des soins en phase terminale est le confort. Ni les examens complémentaires ni les traitements de sup¬port sont indiqués
Pendant la phase préagonique : traitement de confort et le minimum de soin
On exige d’eux compétences, chaleur humaine, soutien et efficacité. Il leur revient donc d’avoir des attitudes et des pratiques appropriées
Qu’il soit redouté, attendu ou souhaité comme une délivrance, le moment de la mort de l’autre est souvent vécu comme une épreuve par ceux qui y assistent. Une épreuve qui suscite des sentiments de peur et d’angoisse.
Définition de la phase terminale
La phase terminale est le moment de la mort. Le décès est imminent et inévitable en l’absence de réanima¬tion. Elle se définit par l’apparition de la défaillance d’une ou plusieurs fonctions vitales. Il est important de ne pas confondre ce terme de « terminal » utilisé parfois simplement pour dire que les traitements spécifiques sont terminés. On entend parfois « maladie terminale » ou « malade terminal ».
La survie se compte en termes de quelques jours, quel¬quefois en heures, mais ne dépasse pas quelques semaines.
Déjà Bichat, en 1800 dans Recherche physiologique sur la vie et la mort, déclarait : « La vie est l’ensemble des fonctions qui résistent à la mort. » Il précisait « l’homme meurt de trois façons : par l’encéphale, par le coeur ou par les poumons », définissant ainsi les trois grandes fonctions nécessaires à la vie.
La phase terminale est donc une bascule dans l’évo¬lution de la maladie annoncée par la défaillance des fonctions vitales : cardiocirculatoire, respiratoire et cé¬rébrale. Cette polydéfaillance est parfois provoquée par un épisode aigu (embolie pulmonaire, occlusion intesti-nale, infection
Sémiologie du mourir
La phase terminale se caractérise cliniquement par l’apparition des signes de régulation neurovégétative.
Mourir est un processus qui se déroule toujours de la même manière mais de façon plus ou moins rapide selon la cause. La mort survient parfois de façon brutale (in¬farctus du myocarde massif, engagement cérébral…).
Cependant, schématiquement, on peut distinguer deux moments différents la « phase pré agonique » et la phase agonique »
La phase pré agonique
On peut facilement l’identifier en observant les manifestations cliniques des réflexes neurovégétatifs. La conscience est variable et dépend essentiellement de la qualité de l’oxygénation cérébrale, en dehors d’éven¬tuelles pathologies neurologiques préexistantes. Le malade peut être calme ou agité, conscient ou inconscient.,dans un coma léger ou dans un état de confusion aiguë. S’il peut parler, il décrit parfois des hallucinations visuel¬les ou auditives à thème de mort : il voit par exemple les personnes décédées
…
La fréquence respiratoire s’accélère de façon réflexe. La respiration est plus ou moins efficace pour apporter une bonne oxygénation et des signes de cyanose périphé¬rique peuvent apparaître en particulier au niveau des lèvres et des doigts. L’encombrement bronchique est va¬riable. Son importance dépend de l’état de conscience et d’une éventuelle pathologie respiratoire sous-jacente.
Le pouls s’accélère, devient filant. La tension artérielle est variable à cette phase : elle peut être normale, déjà abaissée ou au contraire élevée du fait de l’hyper¬capnie et des marbrures périphériques. Celles-ci sont bien visibles au niveau des cuisses et traduisent la va¬soconstriction cutanée. Parfois, il existe également une vasoconstriction au niveau du territoire splanchnique qui se traduit par une ischémie du tube digestif entraî¬nant une diarrhée profuse.
Sans réanimation, qui vise à pallier à la défaillance des fonctions vitales, la phase préagonique évolue le plus souvent vers la phase agonique et le décès.
La phase agonique
C’est le moment même du « mourir ». Cette phase est irréversible et aboutit à la mort. Elle se caractérise par l’apparition des premiers signes de décérébration.
Les premiers signes de décérébration apparaissent : coma a réactif, hypotonie, disparition du réflexe cornéen. Il existe d’autres réflexes (occulocéphaliques, occulo¬vestibulaires) qui attestent de la décortication. Mais le cor¬néen est un des plus faciles à rechercher en pratique. Le réflexe normal correspond à une contraction de la pau¬pière et de la pupille (myosis) lorsque l’on touche la cornée avec un morceau de coton ou le coin d’une compresse. On dit qu’il est aboli quand on n’obtient plus de réponse à la stimulation de la cornée. Le myosis est souvent dif¬ficile à constater en raison des traitements morphiniques fréquemment associés. Ceux-ci n’altèrent pas le cligne-ment de la paupière.
La fréquence respiratoire diminue et devient irrégulière. L’encombrement est constant par hypersécrétion bronchique réflexe et contribue à rendre la respiration bruyante : c’est ce qu’on appelle les râles agoniques ou « gasp ». La cyanose s’intensifie.
Le pouls ralentit. La tension est basse voire imprenable, la vasoconstriction se lève et les marbrures disparais¬sent parfois.
La mort clinique légale est définie par l’arrêt des ac¬tivités cardiocirculatoire, respiratoire, encéphalique et neurovégétative.
Pendant la phase agonique, il n’y a pas de conscience, donc pas de perception, donc ni douleur, ni perception de la gêne respiratoire.
.
En phase agonique, les premiers signes de décérébra¬tion signent la mort corticale irréversible et indiquent la disparition des perceptions. Les râles agoniques corres¬pondent à la persistance de réflexes du tronc cérébral. Il s’agit d’une activité purement réflexe.
La phase agonique dure rarement plus de quelques heures.
L’objectif des soins en phase terminale est le confort. Ni les examens complémentaires ni les traitements de sup¬port sont indiqués
Pendant la phase préagonique : traitement de confort et le minimum de soin
TFE : soins palliatifs en soins généraux (Questionnaire)
pouvez vous le remplir s'il vous plait, j'ai pas eu assez de retour pour faire mon analyse.
merci d'avance
Questionnaire sur les soins palliatifs en service de soins généraux
Je suis étudiante en 3eme année en soins infirmier, ce questionnaire intervient dans le cadre de mon Travail de fin d’études qui porte sur les soins palliatifs en services de soins généraux
1.Dans quel service travaillez-vous ?
2.Depuis combien de temps ?
3.Depuis quand êtes vous diplômé ?
4.Avez-vous déjà été confronté à des patients en fin de vie ?
Oui- non
Si oui, comment l’abordez-vous ?
5.Appréhendez-vous la présence d’un patient en soins palliatifs dans le service ?
Oui – non – pourquoi :
6.Quelles sont vos réactions face a un patient en fin de vie?
7.Avez-vous des réunions d’équipe supplémentaires lorsqu’il y a un patient en fin de vie dans le service ?
Oui- non
8.En discutez-vous entre collègues ?
Oui- non - parfois
9.Un soutien psychologique est-il mit en place dans ces moments là ?
Oui - non
Si oui, sentez-vous le besoin d’y aller ?
Si non, aimeriez-vous qu’il y en ait un ?
10.y a-t-il la mise en place d’une infirmière référente auprès du patient et de sa famille ?
Oui – non
Autre :
11.Faites-vous appel à des équipes extérieures (comme l’équipe mobile de soins palliatif ou des associations) ?
Oui : lesquelles :
Non
12.Prenez-vous en charge la famille lorsqu’elle est présente ?
oui : comment ?
non
et a quel moment ?
a l’annonce, suivi téléphonique, tout au long des soins palliatifs,
13.Avez-vous eu une formation sur les soins palliatifs lors de votre formation initiale ?
Oui - non
Si oui, pensez-vous qu’elle vous aide dans la prise en charge de patients en fin de vie ?
Oui – non – pourquoi ?
14.Pensez-vous qu’une formation en soin palliatif vous serait bénéfique pour améliorer la prise en charge d’un patient en fin de vie ?
oui- non – pourquoi ?
15.Souhaiteriez-vous faire cette formation ?
oui- non- pourquoi ?
merci d'avance
Questionnaire sur les soins palliatifs en service de soins généraux
Je suis étudiante en 3eme année en soins infirmier, ce questionnaire intervient dans le cadre de mon Travail de fin d’études qui porte sur les soins palliatifs en services de soins généraux
1.Dans quel service travaillez-vous ?
2.Depuis combien de temps ?
3.Depuis quand êtes vous diplômé ?
4.Avez-vous déjà été confronté à des patients en fin de vie ?
Oui- non
Si oui, comment l’abordez-vous ?
5.Appréhendez-vous la présence d’un patient en soins palliatifs dans le service ?
Oui – non – pourquoi :
6.Quelles sont vos réactions face a un patient en fin de vie?
7.Avez-vous des réunions d’équipe supplémentaires lorsqu’il y a un patient en fin de vie dans le service ?
Oui- non
8.En discutez-vous entre collègues ?
Oui- non - parfois
9.Un soutien psychologique est-il mit en place dans ces moments là ?
Oui - non
Si oui, sentez-vous le besoin d’y aller ?
Si non, aimeriez-vous qu’il y en ait un ?
10.y a-t-il la mise en place d’une infirmière référente auprès du patient et de sa famille ?
Oui – non
Autre :
11.Faites-vous appel à des équipes extérieures (comme l’équipe mobile de soins palliatif ou des associations) ?
Oui : lesquelles :
Non
12.Prenez-vous en charge la famille lorsqu’elle est présente ?
oui : comment ?
non
et a quel moment ?
a l’annonce, suivi téléphonique, tout au long des soins palliatifs,
13.Avez-vous eu une formation sur les soins palliatifs lors de votre formation initiale ?
Oui - non
Si oui, pensez-vous qu’elle vous aide dans la prise en charge de patients en fin de vie ?
Oui – non – pourquoi ?
14.Pensez-vous qu’une formation en soin palliatif vous serait bénéfique pour améliorer la prise en charge d’un patient en fin de vie ?
oui- non – pourquoi ?
15.Souhaiteriez-vous faire cette formation ?
oui- non- pourquoi ?
Dernière modification par Juju5544 le 27 mai 2009 20:37, modifié 1 fois.
Raison : Titre modifié
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- Messages : 4
- Inscription : 02 nov. 2009 11:52
TFE : accompagnement des familles en soins palliatifs
Bonjour voila ma question de recherche est celle ci: l'accompagnement des familles dans le projet de soin organisé par l'equipe soignante améliore t-il la prise en charge d'une personne en fin de vie dans une unité de soins palliatifs?
alors voila mes formatrices m'ont demandées de preciser un peu plus ma question de recherche notamment au niveau de la place de la famille dans le projet de soins qu'est ce que j'allais réellement étudier et a vrai dire je suis un peu perdue j'aurai aimé savoir si vous pouviez m'aider concernant des ouvrages qui me serait utile de lire et pouvant m'aider a detailler ma question de recherche!
sachant que j'ai deja lu "la mort intime" de marie de hennezel, ou si vous avez des conseils a me donner ayant peut etre du vécu dans ce domaine la ou ayant eté stagiaire dans les USP?
Je suis à votre écoute concernant les conseils que vous pouvez m'apporter merci d'avance.
alors voila mes formatrices m'ont demandées de preciser un peu plus ma question de recherche notamment au niveau de la place de la famille dans le projet de soins qu'est ce que j'allais réellement étudier et a vrai dire je suis un peu perdue j'aurai aimé savoir si vous pouviez m'aider concernant des ouvrages qui me serait utile de lire et pouvant m'aider a detailler ma question de recherche!
sachant que j'ai deja lu "la mort intime" de marie de hennezel, ou si vous avez des conseils a me donner ayant peut etre du vécu dans ce domaine la ou ayant eté stagiaire dans les USP?
Je suis à votre écoute concernant les conseils que vous pouvez m'apporter merci d'avance.
Re: tfe: l'accompagnement des familles en soins palliatifs
Je comprend le souhait de tes formatrices car le sujet est plus que vaste. Il peut notamment contenir l'information de la famille, son accueil (lit d'appoint, salon des familles, salle à manger pour réunir le patient et les siens), sa participation aux soins (aide à la toilette, aide à la prise du repas, présence lors des examens, de la visite), sa participation dans le choix de la thérapeutique (soulagement de la douleur), la personnalisation de la chambre,l'aménagement des horaires de visites, l'aide psychologique (par les soignants, les psychologues, les religieux, les associations), les conseils pour prévoir les obsèques et vivre après le décès...
Un sujet très riche et très intense.
Comme association et publications, je te conseille JALMALV : jusqu'à la mort accompagner la vie
Législation : loi du 9/06/99 (droit d'accès aux SP), circulaire du 19/02/2002 (organisation et accompagnement des SP), loi du 4/3/2002 (droit des malades), le programme national des développement des SP
Lecture : "Putain de silence" P et S Vigand, "Le scaphandre et le papillon" J D Bauby
Bon courage à toi et bonnes recherches
Bon courage
Un sujet très riche et très intense.
Comme association et publications, je te conseille JALMALV : jusqu'à la mort accompagner la vie
Législation : loi du 9/06/99 (droit d'accès aux SP), circulaire du 19/02/2002 (organisation et accompagnement des SP), loi du 4/3/2002 (droit des malades), le programme national des développement des SP
Lecture : "Putain de silence" P et S Vigand, "Le scaphandre et le papillon" J D Bauby
Bon courage à toi et bonnes recherches

Bon courage
étudiante puer à Angers en 2010
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- Inscription : 02 nov. 2009 11:52
Re: tfe: l'accompagnement des familles en soins palliatifs
merci beaucoup pour ta réponse mais a vrai dire le fait de preciser m'inquiete un peu car j'aurai voulu traiter
-le fait que la famille aider le soignant car elle connait l'histoire du patient,les moyens dont il dispose pour s'exprimer,sesressentis...
-ou l'aide de la famille concernant les decisions que prend le patient pour améliorer son confort de fin de vie..
mais ces deux idées la regroupent differents domaines!!aie c'est dur!
meerci quand meme pour tes informations avis aux autres administrateurs de ce forum j'ecoute vos conseils!merci
-le fait que la famille aider le soignant car elle connait l'histoire du patient,les moyens dont il dispose pour s'exprimer,sesressentis...
-ou l'aide de la famille concernant les decisions que prend le patient pour améliorer son confort de fin de vie..
mais ces deux idées la regroupent differents domaines!!aie c'est dur!
meerci quand meme pour tes informations avis aux autres administrateurs de ce forum j'ecoute vos conseils!merci
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- Inscription : 02 nov. 2009 11:52
Re: TFE : l'accompagnement des familles en soins palliatifs
voila aprs rendez vous avec mes formatrices, celles ci m'ont demandées de reformuler ma question en mettant le mot "infirmiere" dedans afin de pouvoir se demander quel role il a vis a vis de la situation j'ai donc trouvé cette question:
comment l'infirmiere fait-elle participer la famille dans le projet de soin afin d'améliorer la prise en charge de la personne en fin de vie dans une unité de soins palliatifs? qu'en pensez vous? merci de vos reponses
comment l'infirmiere fait-elle participer la famille dans le projet de soin afin d'améliorer la prise en charge de la personne en fin de vie dans une unité de soins palliatifs? qu'en pensez vous? merci de vos reponses
- augusta
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Re: TFE : l'accompagnement des familles en soins palliatifs
Quelle peut être la place de la famille dans la PEC infirmière d'un patient en fin de vie en soins palliatifs?
Dans quelle mesure la famille d'un patient en fin de vie en soins palliatifs peut aider la PEC infirmière?
Comment l'infimière peut-elle intégrer la famille dans sa PEC d'un patient en fin de vie en soins palliatifs?
Dans quelle mesure la famille d'un patient en fin de vie en soins palliatifs peut aider la PEC infirmière?
Comment l'infimière peut-elle intégrer la famille dans sa PEC d'un patient en fin de vie en soins palliatifs?
"Penser, c'est penser jusqu'où on pourrait penser différemment" Michel Foucault
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Re: TFE : l'accompagnement des familles en soins palliatifs
merci pour ton aide la 3eme est plus appropriée!
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TFE :Accompagnement familles chez des patients en fin de vie
Bonjour a tous,
je suis étudiante infirmière en 3 ème année
et je réalise mon mémoire sur l'accompagnement des familles chez des patients en f in de vie. Je rencontre un problème dans mes recherches sur le terrain car je ne trouve pas de famille qui on un proche en fin de vie ou on connu cette situation, pour repondre a mon questionnaire.
J'ai déjà contacter des associations de bénévoles, qui aurait pu vivre en tant que bénévoles cette situation mais on ne m'a donné suite. Et il me semble difficile d'interroger des familles qui traverse cela. (ca fait déplacer).
Donc si quelqu'un peut m'orienter, merci d'avance.
je suis étudiante infirmière en 3 ème année

J'ai déjà contacter des associations de bénévoles, qui aurait pu vivre en tant que bénévoles cette situation mais on ne m'a donné suite. Et il me semble difficile d'interroger des familles qui traverse cela. (ca fait déplacer).
Donc si quelqu'un peut m'orienter, merci d'avance.
Re: Accompagnement des familles chez des patients en fin de vie
je ne peux pas t'orienter vers des personnes en fin de vie
, par contre, côté documentation, y'a des choses intéressantes, notamment La Mort Intime de Marie de Hennezel. Un recueil de témoignages sur les soins palliatifs, la fin de vie et cie. Ce bouquin est relativement court et il a eu un très large succès. Si ça peut t'aider...
Bon courage!

Bon courage!

Infirmière diplômée d'état, première vague du référentiel 2009!
-
- Messages : 2
- Inscription : 08 févr. 2010 14:56
...de l'aide pour un memoire!
Bonjour je suis étudiante infirmière en 3 ème année je réalise mon memoire sur l'accompagnement des familles chez des personnes en fin de vie. J' ai créée un questionnaire destiné à des familles qui ont un proche en fin de vie ou vécu cette situation. Cependant je n'arrive pas à trouver des familles pouvant repondre a mon questionnaire.
Est ce qu'une infirmière rencontre des familles dans cette situation?
Est-il possible de leur faire parvenir mon questionnaire?
S'il vous plait aidez moi! je suis coincée.
Merci.
Est ce qu'une infirmière rencontre des familles dans cette situation?
Est-il possible de leur faire parvenir mon questionnaire?
S'il vous plait aidez moi! je suis coincée.
Merci.
Re: TFE :Accompagnement familles chez des patients en fin de vie
bonjour !
je suis infirmiere dans un service d'hématologie pédiatrique donc nous nous devons malheureusement souvent accompagner des familles qui vont perdre leur enfant. Tu pourrais peut être envoyer tes questionnaires au personnel travaillant dans ce type de service car ce sont des enfants que nous connaissons, il est donc difficile de faire leur deuil et d'accompagner leur famille en même temps... Ce n'est qu'une suggestion, mais qui pourrait apporter beaucoup à ton travail je pense. En revanche, lorsque j'étais étudiante j'avais voulu interroger des familles et on me l'avait fortement déconseillé... Surtout que, comme tu dis, cela serait un peu "déplacé"
je suis infirmiere dans un service d'hématologie pédiatrique donc nous nous devons malheureusement souvent accompagner des familles qui vont perdre leur enfant. Tu pourrais peut être envoyer tes questionnaires au personnel travaillant dans ce type de service car ce sont des enfants que nous connaissons, il est donc difficile de faire leur deuil et d'accompagner leur famille en même temps... Ce n'est qu'une suggestion, mais qui pourrait apporter beaucoup à ton travail je pense. En revanche, lorsque j'étais étudiante j'avais voulu interroger des familles et on me l'avait fortement déconseillé... Surtout que, comme tu dis, cela serait un peu "déplacé"
- elise.andrea
- Messages : 8
- Inscription : 11 févr. 2010 18:10
Re: TFE :Accompagnement familles chez des patients en fin de vie
Moi si tu veux je peux y répondre...
Je fais parti de ces familles là. Enfin ON (ma famille et moi) a fait parti de ces familles là.
Si t'as besoin, je t'envoie mon mail.
A bientot !!
Je fais parti de ces familles là. Enfin ON (ma famille et moi) a fait parti de ces familles là.
Si t'as besoin, je t'envoie mon mail.

A bientot !!
Diplomée de 2012...
Infirmière globe-trotteuse.
En route vers un nouvel avenir pro !
Infirmière globe-trotteuse.
En route vers un nouvel avenir pro !
Re: TFE :Accompagnement familles chez des patients en fin de vie
Bonjour
En tant que infirmière coordinatrice d'un service de soins à domicile ( actuellement retraitée), nous avons avec l'équipe soignante ( aides soignantes du service et professionnels libéraux ) accompagné de nombreux patients, surtout des personnes âgées en fin de vie, et leur famille à domicile.
Ce que nous souhaitions, c'était de permettre aux personnes qui le souhaitaient et à leur famille de rester à la maison même parfois jusqu'aux obsèques, comme cela se faisait couramment il y a encore peu de temps.
Ce travail d''accompagnement avait fait l'objet d'une formation spécifique dans le service adaptée aux besoins des professionnels qui intervenaient.
Il est tout à fait possible de m'envoyer votre questionnaire ou de se contacter en message privé si vous le souhaitez.
En tant que infirmière coordinatrice d'un service de soins à domicile ( actuellement retraitée), nous avons avec l'équipe soignante ( aides soignantes du service et professionnels libéraux ) accompagné de nombreux patients, surtout des personnes âgées en fin de vie, et leur famille à domicile.
Ce que nous souhaitions, c'était de permettre aux personnes qui le souhaitaient et à leur famille de rester à la maison même parfois jusqu'aux obsèques, comme cela se faisait couramment il y a encore peu de temps.
Ce travail d''accompagnement avait fait l'objet d'une formation spécifique dans le service adaptée aux besoins des professionnels qui intervenaient.
Il est tout à fait possible de m'envoyer votre questionnaire ou de se contacter en message privé si vous le souhaitez.
"créer, non posséder,
oeuvrer, non retenir,
accroître, non dominer."
oeuvrer, non retenir,
accroître, non dominer."