TFE sur Schizophrénie, groupe de parole, prise en charge

[augusta]

Tu peux (je n'ai que 4 mois de pratique donc vois si ça t'intéresse quand même).

[kekeso]

Tu peux (je n'ai que 4 mois de pratique donc vois si ça t'intéresse quand même).

Au fait, je galère pour avoir l'autorisation pour distribuer mon questionnaire. Dit moi, est ce que je peux déposer dans ton service ?

Ce n'est pas un problème même si t'as que 4 mois de pratique. par contre, un petit détail, je ne sais pas comment joindre un doc sur forum ?? peux tu envoyer ton mail ??? ca sera cool

[elizeos]

Un nouvel article vient d'être publié sur le site Infirmiers.com :
TFE - Le corps du schizophrène face à l’injection de neuroleptique





En septembre 2011, Sylvie d’Hulst alors étudiante en 3e année à l’Institut de formation en soins infirmiers de Pamiers (promotion 2008-2011) soutenait avec succès son travail de fin d’études (TFE) sur le thème « Le corps du schizophrène face à l’injection de neuroleptique. Elle souhaite aujourd’hui le partager avec la communauté d’Infirmiers.com et nous l’en remercions.
Sylvie d’Hulst introduit ainsi son travail de recherche : « Dès le milieu de la deuxième année de mes études en soins infirmiers, mon intérêt pour la psychiatrie, déjà présent dès mon entrée en institut de formation, s’est accentué. Les stages en Centre Médico-Psychologique et epédopsychiatrie ont été pour moi une révélation. Entre curiosité pour des pathologies comme les psychoses, empathie envers des patients souvent stigmatisés, et l’intérêt porté à un travail alliant entre autres observation et relationnel, j’ai le sentiment de pouvoir donner le meilleur de moi-même dans cette spécialité. Les schizophrénies ...

Lire la suite : http://www.infirmiers.com/index.php?opt ... ew=article

Vous pouvez discuter de cet article sur ce topic !

[emeliine]

Bonjour à toutes et à tous!
Actuellement étudiante en 3ème année à l'IFSI, j'aurais besoin de votre aide dans le cadre de mon travail de fin d'étude.
J'ai décidé de traiter du rôle de l'IDE exerçant au sein d'un CMP dans l'accompagnement des familles dont l'enfant est atteint de schizophrénie.
Je recherche donc des infirmiers (ères) exerçant en CMP pour répondre à mon questionnaire.
Merci d'avance

[emeliine]

Bonjour à toutes et à tous!
Actuellement en 3ème année en IFSI, j'aurais besoin de votre aide dans le cadre de mon travail de fin d'étude.
J'ai décidé de traiter du rôle de l'IDE exerçant au sein d'un CMP dans l'accompagnement des familles dont l'enfant est atteint de schizophrénie.
Je recherche donc des infirmiers (ères) pour répondre à mon questionnaire.
Merci d'avance

[ptiteflo3809]

Je t'ai répondu en MP!

[Mequiero Esperanza]

Bonjour à tous,

Aujourd'hui je sollicite votre participation à un questionnaire, dans le cadre de mon TFE. Mon questionnaire s'adresse au IDE Psy ou au IDE ayant une expérience en psychiatrie, particulièrement en lien avec la schizophrénie. Je remercie d'avance tous ceux qui prendront le temps de répondre à ce questionnaire. Vu les difficultés rencontrées pour joindre les professionnelles de santé je me trouve un peu en retard quant au timing de mon TFE. Je vous remercie infiniment d'y répondre assez rapidement. Encore merci...



o Que représente pour vous la sexualité en milieu psychiatrique ?

o Éprouvez-vous des réticences face à ce sujet, à quoi sont elle dues ?
o La manière d’aborder le sujet dépend t’elle de la pathologie du patient ?


o Est-il plus facile d’aborder le sujet plus avec les patients « conscient de leur pathologie » qu’avec ceux qui n’ont « aucune conscience de leur maladie » ?

o Quel est le rôle joué de l’infirmière dans la prise en charge et l’accompagnement des schizophrènes, au regard du vécu et de la perception de leur sexualité ?
o Cela occasionne-t-il un mal être ?
o Le travail en équipe pluridisciplinaire permettrait-il de prendre efficacement en soin ce mal-être ?
o La sexualité à-t-elle sa place dans le projet de vie/soin d’un patient ?

o Pensez-vous avoir un rôle dans l’éducation à la sexualité des patients ou dans l’accompagnement de leurs relations amoureuses ?

o Avez-vous déjà été confrontés à des situations où il devient essentiel d’aborder le sujet avec des malades schizophrènes?

o Avez-vous déjà entendu parler d’atelier d’éducation à la vie sociale et sexuelle pour les adultes atteints de schizophrénie ? Qu’en pensez-vous ?

[claclapsy]

Bonjour !

J'ai effectué mon TFE sur la rupture de traitement par NLP chez la personne schizophréne suivie en CMP.

Dans mon analyse et ma conclusion, j'ai ouvert sur l'éducation thérapeutique chez la personne schizophréne (vraiment par rapport au traitement). J'aimerais savoir ce qu'en pense les professionnels de psy... Car cela tend à se developper et les avis diverges.

J'aimerais etre "calée" sur le sujet pour ma soutenance !

Que pensez vous de cela ? La pratiquez vous ? Avez des exemples d'ouvrages ? D'articles ? de sites qui pourrait m'aider ? SVP

Merci d'avance

[Sokoah]

Bonjour,

Actuellement en 3éme année, je suis en ce moment en pleine rédaction de mon tfe.
mon sujet est : la prise en charge de patients schizophrènes en activités thérapeutiques à médiation.
Après de nombreux questionnement, je souhaite axer ma problématique sur l'importance de la place du soignant dans ce type d'activité. J'ai choisi le terme de « place » car :
Il permet de recouvrir la notion de place physique, de proximité corporelle qu'occupe le soignant lors d'une activité thérapeutique à médiation. Il recouvre également la position psychologique et l'état d'esprit dans laquelle se trouve le soignant face à l'être soigné, sa place dans la relation à l'autre. Nous pouvons également nous demander quelle position occupe le soignant par rapport au médiateur qu'il emploie lors de ses activités. Pour finir, comment se définie le statut et le rôle du soignant au sein de l'institution qui l'emploie mais aussi au sein de l'équipe pluridisciplinaire.

Cependant j'ai du mal à formuler ma problématique, je suis partie sur : En quoi la place du soignant est elle déterminante dans la prise en charge d'un patient schizophrène en activité thérapeutique à médiation ?

Le terme de déterminant : car exposition à la parte de crédibilité, au rupture du lien de confiance établie avec le patient en cas de comportement inadapté de la part du soignant. (échec dans le maintien du cadre thérapeutique par exemple)

J'ai l'impression de partir sur des présupposés, de partir d'une question qui améne une réponse évidente et je n'arrive pas à formuler mes hypothèses.

Merci de votre aide.

[augusta]

Oui c'est ce que je ressens aussi!
Ta réflexion est intéressante, mais manque d'objectivité à mon sens.

Je n'utiliserais pas le terme "determinant". La place du soignant auprès du patient en général est déterminante (cf relation soignant/soigné), certes, mais en psy (et notamment lors d'activités socio-thérapeuthiques), je trouve ce mot inadapté.
Qu'en penses-tu?

[Sokoah]

Je te remercie tout d'abord pour ta réponse.

Je cherche à savoir tout l'enjeux qui se trame derrière cette place du soignant.
Et si cette place va impacter de manière à ce que l'activité prenne un tournant décisif ou si cette place ne fait que l'influencer sans changer fondamentalement l'impact de l'activité.
Arrives tu à me suivre ?

Dans le sens aussi ou dans un soin somatique, la place du soignant ne va pas changer fondamentalement l'impact que va avoir une piqure par exemple.. bien qu'il puisse agir sur l'angoisse ou la peur que procure le soin ou la maladie.

J'ai pensé aussi formuler de cette façon : La place du soignant peut elle être déterminante dans la PEC (...) ?

Mon formateur m'a validé ma problématique mais moi, comme je l'expose, elle ne me satisfait pas.
Penses tu que je dois me limiter à changer le terme de "déterminant" ?

merci d'avance

[Sokoah]

ou peut être devrais je formuler ainsi : en quoi la place du soignant impacte t elle la PEC (..) ?

[augusta]

Vraiment tu dois suivre ton formateur...

Cela dit, plus tu vas travailler sur ton TFE, plus tu voudras affiner, plus tu sentiras ce que tu dois affiner.
Donc pour moi (mais mon avis ne veut pas dire grand chose lol), j'enléverais effectivement le mot "determinant".
La question que tu proposes avec le terme "impacter" me plait beaucoup plus, enfin ça me semble mieux adapté

Je suis d'accord avec toi, en soins G, la posture du soignant va jouer un rôle (enfin ça peut) sur la douleur, l'angoisse etc...
En psy, et au cours d'une acitivité la place du soignant ne peut pas tout (une activité peut être loupée malgré toute la bonne volonté du soignant, malgré tout son investissement, expérience etc...parce que le patient peut être aux prises avec sa pathologie...tout simplement).
Donc la place du soignant ne peut pas être determinante à mon sens.

[Lindouille]

Bonjour à tous et à toutes ,

Voila suite à mon dernier stage réalisé au S4 de ma formation (en psychiatrie intra hospitalier), j'ai rencontré une patiente diagnostiquée schizophréne depuis de nombreuses années pour qui l'hospitalisation demeure la seule issue de lieu d'accueil à cause de son âge (elle a 54 ans)
Dés l'obtention de mon DE, je compte bien travailler en psychiatrie pour adultes. C'est pourquoi, j'ai envie d'aborder la question de la chronicité de l'hospitalisation concernant les patients schizophrénes. (il s'agit de mon thème)
Afin de m'éclaicir dans mon travail, je souhaite obtenir des petits témoignages, remarques ou autres qui pourrait m'aider dans mes questionnements et dans mon travail.
Mes questions:
Avez-vous déjà rencontré ce type de patient durant votre stage/profession?
Qu'avez-vous pensé de sa situation? (ressenti)
Quels sont les facteurs qui ont conduit à cette situation?
Que faisait-il de ses journées? (activités, permissions...)
.
Vous aurez compris que je ne suis qu'au tout début de mon travail...
Toute information serait nécessaire


En vous remerciant par avance!

Lindouillllleee

[augusta]

Pour commencer il y a un truc que je trouve curieux: es-tu réellement sûre que la patiente dont tu parles "est hospitalisée à cause de son âge"?
Penses-tu réellement qu'une patiente atteinte de schizophrénie est hospitalisée au long cours à cause de son âge?
Parce que là...ça part mal déjà