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ducoron
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Re: Etudiant en Belgique

Message par ducoron »

oui sauf pour sage-femme qui est validée en france :)
sinon peut tu me dire dans quel ecole es tu ? si tu la trouve bien ? et dans quel hôpital vas tu faire ton stage de trois semaine en maternité ?
merci d'avance pour ta réponse
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"La chance ne sourit qu'aux esprits bien préparés" LOUIS PASTEUR
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ducoron
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étude d'infirmier hospitalier et equivalence...

Message par ducoron »

Bonjour,
j'ai une petite question à savoir faut-il demander son equivalence du bac pour s'inscrire en ecole d'infirmière breveté autrement dit hospitalière ? car j'ai vu qu'il n'y avait pas de condition d'accès ... pouvez-vous m'en dire plus ?
y' a t'il des personnes de l'école de l'iesspp de tournai qui pourrai me donner des infos sur leur ecole et justement sur cette histoire d'équivalence ?
merci d'avance !!! :D
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Malthynea
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Re: étude d'infirmier hospitalier et equivalence...

Message par Malthynea »

La réponse à ta question se trouve ici :clin:

http://www.infirmiers.com/concours-ifsi ... 1352301091
"Ce qui ne nous tue pas, nous rend plus fort." Nietzche

IDE 2014 de IFSI CHU Nantes :D
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Amandiiine
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Re: Etudiant en Belgique

Message par Amandiiine »

Sage-femme n'est pas une spécialisation du métier d'IDE :clin:
Ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort.
Eh ben...
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ducoron
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Re: Etudiant en Belgique

Message par ducoron »

:D oui c'est vrai je me suis mal exprimée , je voulais dire qu'après le cursus d'infirmière graduée on pouvais faire deux ans pour faire sage-femme et que c'était reconnu. ou bien faire 4 ans après le bac c'est selon .
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ducoron
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Re: étude d'infirmier hospitalier et equivalence...

Message par ducoron »

oui mais je parlais de la belgique car il y a deux formations distinctes :? merci quand même
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ines.13015
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Re: Entraide étude infirmiers en Belgique

Message par ines.13015 »

mdrrr amandiiine c'est belge ... :lol:
sa ye le site remarche bee je savais pas que sa allait prendre autant de temps je me suis fait une frayeur toute seule :choque:
Enfin bref est-ce que quelqu'un qui a deja etudier en belgique pourrait me dire combien sa va me faire environ par mois si
-je prend ma voiture
-que je v la faire immatriculer là bas
-avec assurance
-essence
-logement (210e /mois)
- et petite courses personnelles
Combiens sa va me revenir par mois environ ??
Rhadouj92
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Re: Diplôme infirmier en Belgique et en France.

Message par Rhadouj92 »

Coucou je ne sais pas si je suis au bon endroit mais je souhaite m'inscrire dans une école d'infirmiére en Belgique cependant j'ai plusieurs question s'y vous pouvez m'aider...

Alors je sais que en Belgique il y a 2 sortes de diplome le Brevet et le Graduat , on ma dis que le Graduat était mieux réputé en France est-ce vrai ?

Aprés les 3 ans d'ecole d'infirmiére (Graduat ou brevet en belgique) on peux ce spécialisé directement ou bien faut -il avoir travailler avant en tant qu'infirmiére ?
Peux t'on ce spécialiser en France avec le Diplome de Belgique ?
Merci.
Rhadouj92
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Re: Différence entre IFSI en france et en Belgique

Message par Rhadouj92 »

Coucou je ne sais pas si je suis au bon endroit mais je souhaite m'inscrire dans une école d'infirmiére en Belgique cependant j'ai plusieurs question s'y vous pouvez m'aider...

Alors je sais que en Belgique il y a 2 sortes de diplome le Brevet et le Graduat , on ma dis que le Graduat était mieux réputé en France est-ce vrai ?

Aprés les 3 ans d'ecole d'infirmiére (Graduat ou brevet) on peux ce spécialisé directement ou bien faut -il avoir travailler avant en tant qu'infirmiére ?

Merci.
Rhadouj92
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Re: Diplôme infirmier en Belgique et en France.

Message par Rhadouj92 »

Coucou je ne sais pas si je suis au bon endroit mais je souhaite m'inscrire dans une école d'infirmiére en Belgique cependant j'ai plusieurs question s'y vous pouvez m'aider...

Alors je sais que en Belgique il y a 2 sortes de diplome le Brevet et le Graduat , on ma dis que le Graduat était mieux réputé en France est-ce vrai ?

Aprés les 3 ans d'ecole d'infirmiére (Graduat ou brevet) on peux ce spécialisé directement ou bien faut -il avoir travailler avant en tant qu'infirmiére ?

Merci.
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ducoron
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Re: Diplôme infirmier en Belgique et en France.

Message par ducoron »

bonjour,
de multiple réponses ont déjà été evoqués la fonction rechercher est ton amie ....
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infidanlame
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Dans le bon ou pas !!!!!!

Message par infidanlame »

salut à tous,
je suis étudiante en 2e soins infirmier, je suis belge, j'ai repris après 2 ans d'arrêt et j'ai l'impression d'être un peu perdue, et le fait que les enseignants ont modifié le manière de donner cours, n'a rien arranger.
je suis dans la rédaction de mon premier rapport de stage j'aimerai que vous me disiez sincèrement qu'es ce que vous en pensez. Des idées supplémentaires sont les biens venus aussi.
je vous expose le sujet

Présentation du patient observé pendant 3 jours dans les services :
Prologue :
Vous avez pu retrouver dans cette introduction les informations concernant l’hôpital et le service dans lequel j’ai effectué mes premières de stages en médecine.
Je tenais à apporter une brève précisions sur ce qui va suivre.
Dans ce présent document, je vais présenter un patient de 57 ans, que je désignerais Mr V. pour des raisons de confidentialité.
J’ai pu observer et apporter des soins à Mr V. pendant 2 semaines consécutif que je rapporterai dans l’ensemble afin de relater l’évolution des données. Je reprendrais 3 jours plus précis (le 16,17 et le 26 octobre) pour les informations qui ont besoin de précisions temporels.

Flash sur Mr V. :
Monsieur V. âgée de 57 ans vivait seul dans un appartement à N. Sa femme la quitté il y a 25 ans du à l’addiction à l’éthanol dont souffrait Mr V. Il était sous tutelle judiciaire car il présentait le syndrome de korsakoff. Au dire de son tuteur les derniers temps avant son traumatisme crânien, Mr V. ne buvait plus.
En date du 05 août 2012, Mr V. a été retrouvé inconscient sur la voie publique, avec des lésions compatible à une agression. Admis au urgence de l’hôpital x, le CT-scan1 décrit de nombreuses séquelles neuroligiques, suite à quoi il est transférer à l’hôpital y, pour une prise en charge neurochirurgicale.


Collecte des données médicale :

Motif d’admission : causes et conditions :

Mr V. est admis dans le service de pneumologie dans un contexte d’urgence le 04 octobre 2012 au moment de son transfert entre le service de neurochirurgie et le centre de revalidation de B, Mr V. était pyrétique (40°C), encombré de sécrétions verdâtres et présentait un crépitement à l’auscultation au niveau de la base du poumon droit.

Aspect médical :

• Antécédents médicaux :

- Ethylisme chronique : définit comme une addiction à éthanol contenue dans les boissons alcoolisées. L’OMS reconnait l’éthylisme chronique comme une maladie et le définit comme des troubles mentaux et des troubles du comportement liés à l’utilisation d’alcool.
Mr V. était un éthylique chronique que je qualifierai de pathologique.

- Syndrome de korsakoff : Ensemble de troubles psychiques caractérisé par la perte de la mémoire immédiate, une désorientation temporelle, de fausses reconnaissances et une fabulation.
Le syndrome de Korsakoff est dû à une atteinte bilatérale d'une région du cerveau en général consécutive à une carence en vitamine B1causée par un alcoolisme chronique dans ce cas-ci. Les symptômes consistent en une amnésie grave (perte de mémoire), une apathie et une désorientation En l'absence de traitement rapide, le sujet sombre dans le syndrome de Korsakoff, généralement irréversible, qui provoque un handicap permanent du fait d'importantes pertes de mémoire entraînant l'obligation d'une surveillance continuelle, d’où la désignation d’un tuteur pour surveiller les dépense de Mr V.
L'évolution de la maladie est très lente et le pronostic est très mauvais. Mr V. a reçu une subsistions en vitamine B1, mais pas d’évaluation du traitement.

- Traumatisme crânien : C’est une lésion du cerveau provoquée par un contact brusque entre la matière cérébrale et la boîte crânienne. Cette lésion endommage les neurones. Notre cerveau a un système de protection contre les chocs, composé du crâne, des méninges contenant le liquide céphalo-rachidien, qui est un coussin pour amortir les chocs.
Les personnes qui ont subi un traumatisme crânien modéré ou sévère peuvent présenter des séquelles neuro-psychologiques qui persistent parfois toute leur vie. Il s’agit d’un handicap qui touche la personnalité, le comportement, les fonctions intellectuelles et cognitives, la mémoire, l’attention…
Dans le cas de Mr V., il a eu un traumatisme crânien sévère le 03 aout 2012 avec une hémorragie intra-parenchymateuse pariéto-temporale droite, hématome extra-dural (HED) pariétal gauche, lié à une fracture de l’os pariétal gauche, sous-dural et sous arachnoïde. une osmothérapie et un drainage ont été effectué en urgence de l’HED G ainsi que des différentes lésions hémorragiques droites, suivis de la mise en place d’une dérivations ventriculaires externe, qui ont provoqué une absence de la perception de la réalité, des troubles du langage, de l’attention, de la coordination de mouvement, et de comportement, bien que ces derniers sont difficilement objectivables vue le syndrome de korsakoff
L’hémorragie intra-parenchymateuse se traduit par l’irruption de sang dans les parenchymes cérébral.
L’hématome extra dural est un épanchement de sang entre un des os du crâne et la dure mère du cerveau.
L’hématome sous- dural est une accumulation de sang entre l’arachnoïde et le feuillet interne de la dure-mère
L’hématome sous-arachnoïdien est une accumulation de sang entre l’arachnoïde et la pie mère.
- Choc septique : d’origine pulmonaire : infection générale à la présence dans le sang, de toxines bactériennes ce qui aboutit à une insuffisance de fonctionnement cardiaque (hypotension systolique inférieure à 90 mm Hg) se caractérisant par une tachycardie, une tachypnée, une et une acidose métabolique, l'ensemble survenant chez un sujet fébrile.
Mr V. a fait au cours de son séjour à l’USI (le 12/09/2012) un choc septique d’origine pulmonaire. Infiltrat pulmonaire droit à la radiographie de thorax. IL a été traité par antibiothérapie.

- Insuffisant respiratoire : c’est une incapacité de l’appareil respiratoire à assumer correctement sa fonction, entraînant une perturbation de l’hémostase. Celle-ci peut –être due à de nombreux facteurs (asthme, mucoviscidose, faiblesse des muscles respiratoires, atteint du tronc cérébral, etc…). Chez Mr v. cela a nécessité une ventilation mécanique via trachéotomie.


- Hypertension artérielle : pathologie cardiovasculaire définie par une augmentation permanente de la pression artérielle. On parle d’hypertension artérielle pour une pression artérielle systolique supérieure à 140 mm Hg et une pression diastolique supérieure à 90 mm Hg. Chez Mr V. elle est équilibrée par la prise quotidienne de Bêta-bloquants.
- Pneumothorax : ce manifeste par une accumulation d’air, dans la cavité pleurale. Cet épanchement d’air peut avoir de nombreuses origines, mais constitue dans tous les cas une urgence médicale, en effet l’air rentrant dans la cavité pleurale décolle la plèvre et pousse sur le poumon, voir le comprime. Il existe différent type de pneumothorax :
 Pneumothorax idiopathique dont l’origine est inconnu
 Pneumothorax spontanée secondaire à une infection à germe
 Pneumothorax secondaire à une rupture d’une bulle d’emphysème.
Dans le cas de Mr V. le pneumothorax est idiopathique, bien qu’on émette l’hypothèse du facteur de risque physionomique (il est grand et filiforme), de plus elle est récidivante.

- Colite à clostridium difficile : la colite est maladie inflammatoire du côlon induite par des toxines bactérien, dans ce cas si elle correspond au clostridium difficile. Souvent associé à la prise d’antibiotique qui favorisent la multiplication de de ces germes et la production de leur toxines. Cette pathologie est hautement contagieuse. Les symptômes les plus fréquents sont une diarrhée importante avec élimination de pseudomembranes, des douleurs abdominales, accompagné de température.
Mr V. a contracté le clostridium difficile début août sur antibiothérapie.




• Antécédents chirurgicaux :
- Trachéotomie : est une intervention chirurgicale qui consiste à inciser au niveau de la face antérieur de la trachée entre les 2e et 4e anneaux cartilagineux afin de créer un accès directe à la trachée. Une canule est placée dans l’orifice crée et ainsi permettre d’assurer une perméabilité des voies aériennes. Dans le cas de Mr B, une canule a été mise en place car il avait besoin d’une ventilation assisté et ce de manière prolongée. Effectivement une ventilation artificielle assistée par trachéotomie est indiqué chez une personne pour qui le fonctionnement défectueux des muscles respiratoires ne permet plus d’assurer les échanges gazeux.
Le 23 octobre, la canule placée a été retiré.
Gastrostomie : une méthode endoscopique qui a pour but la mise en place d’une sonde d’alimentation directement à travers la peau et la paroi de l’estomac, afin de permettre aux patients ne pouvant s’alimenter normalement de recevoir l’apport énergétique nécessaire. Une gastrostomie à été réalisé sur le patient car il faisait des fausse route, donc aucun autres moyens n’était envisageable pour continuer à lui donné un apport énergétique et hydrique.

Craniectomie décompressive : Mr V. a été traité par osmothérapie lors de son hyper tension intra crânienne, qui consiste en l’administration d’un soluté hypertonique par perfusion, qui va diminuer le contenu de l’eau intracérébral par osmolarité et donc la pression intracrânienne. Cette technique à viser une préparation à la craniectomie décompressive.
La craniectomie décompressive est un acte chirurgical qui consiste en la réalisation d’un volet crânien associé à une plastie d’agrandissement de la dure-mère afin d’augmenter le volume intracrânien (trois trous sont forés dans le crâne et on scie en rejoignant c’est trous afin extraire l’os), afin d’augmenter le volume crânien.

• Examens subis :

- Prise de sang ou biologie clinique: recueil de sang dans un tube, selon une technique bien codifié par l’introduction d’une aiguille dans une veine. Le sang sera analysé en laboratoire selon la prescription du médecin. Demandé pour calculer le taux ce CRP, l’albumine, les hématocrites, la glycémie à jeun, l’acide urique, l’antibiogramme (qui permet au médecin de choisir l’antibiotique le plus efficace sur l’infection en cause), …
Chez Mr V. la prise de sang du 16/10/2012 à relève :
 une CRP : 15, sa valeur normal est en dessous de 10, plq 628 et une HB 7.7 GR 2.8 (ces 2 derniers données étant la manifestation d'une anémie inflammatoire)

- EMU : examen microscopique des urines, étudiant l’urine d’un patient et détermine la numérotation des hématies, leucocytes, la présence ou non de cristaux, de germes,….
Fréquemment utilisé pour détecter une infection urinaire. L’EMU du patient n’a rien révélé de particulier.

- Examen des expectorations : examen microscopique des matières, provenant des poumons, qui sont rejetées par la bouche lors de toux. Examens demandé suite à un encombrement du patient, les expectorations ont été prélevées par aspiration au niveau de la canule trachéale, elles étaient muco-purulente et abondantes sans présenté une odeur particulière. Les résultats n’étaient pas parvenus avant la fin de ma période de stage.

- Fibroscopie bronchique: est une exploration bronchique proximale à l’aide d’un fibroscope introduit par les voies aériennes supérieures. Cet examen est explorateur ou thérapeutique. Le fibroscope est composé d’un faisceau optique qui va permettre la conduction d’une image et d’un conduit qui permet l’introduction des différents instruments en fonctions des examens à réaliser.
• Diagnostic pendant l’hospitalisation :

Réaction inflammatoire chronique à corps étrangers en cours identification au niveau du lobe inférieur et moyen du poumon droit.
• Allergies :
Le patient ne présente aucune allergie connue.
traitement :
Duovent 4x/j
Amlor 5mg 1x/j
Nexiam 40mg 1x/j
Clexane 40mg 1x/j
Bisoprolol 5mg 1x/j
Lysomucil 400mg 1x/j
haldol 5 gttes SN
Observation de Mr V. selon les 14 besoins de Virginia Henderson :

1. Le besoin de respirer :
Le patient possède une canule trachéale par laquelle il reçoit 1 litre O2.
Le 16 octobre 2012 :
Première rencontre avec Mr V., rentrant dans sa chambre pour prendre ses paramètres, je constate que Mr V. a retirer sa sonde à oxygène. Je le redresse directement, et réinstalle le patient dans une position semi-couchée pour favoriser une meilleur respiration et relève sa SaO2 et constate que celle-ci est 88% à air ambiant, je lui remets immédiatement sa sonde et reste près du patient pour prendre le reste des paramètres et m’assurer que sa SaO2 remonte.
Mr V. est fortement encombré, lorsqu’il toussait des expectorations purulentes, verdâtre et assez abondante sont sortie de sa canule, j’en ai avisé directement l’infirmière qui est venue l’aspirer.
Mr V. a souvent une position peu facilitante pour sa respiration, en raison de ses séquelles neurologique, Il s’affaissait sans arrêt dans son lit, à ce moment sa position entrave une bonne expansion pulmonaire.

Le 23 octobre, la canule trachéale de Mr V. fut retirée. Mr V. a eu des lunettes a oxygène avec toujours une administration d’un litre d’O2. Elles furent retirer le 25 octobre, ce jour la personne avait une saturation en oxygène en hémoglobine de 98% (ce qui est dans les normes)

Dimensions biophysiologique :
La physionomie et les antécédents médicaux de Mr V. le prédispose à un pneumothorax récidivant, donc une vigilance particulière que je réaborderai dans les plans des soins est à prescrire.

La dimension biophysiologique :
Rythme cardiaque :
Le patient présentait un rythme régulier tous les jours d’observations
Amplitude cardiaque :
Pour les 3 jours les pouls était bien frappé.

Fréquence cardiaque :
- 16 octobre 2012 → 76 battements/min
- 17 octobre 2012 → 80 battements/min
- 26 octobre 2012→ 74 battements/min

Pression artérielle :
- 16 octobre 2012 → 120/70 mmHg
- 17 octobre 2012 → 120/60 mmHg
- 26 octobre 2012 → 130/70 mmHg
-
Sensation de perception à la respiration :
Malgré ses désaturations assez constante, vue son manque de coopérations dans le soin, le patient ne se plaignait pas. Son état confusionnel peut expliquer qu’il n’y trouve aucune gêne.

Fréquence respiratoire : 16 cycles par minute en moyenne pour les différents jours d’observation.
Amplitude respiratoire : superficielle et symétrique. Une respiration superficielle n’est pas systématiquement associée à une bradypnée, dans ce cas-ci elle serait plus susceptible d’être lié au facteur d’immobilité. L’immobilité prolongée entraine un ralentissement de la respiration, laquelle se fait de façon plus superficielle à cause de la diminution des besoins en oxygène

La SaO2 :
- Le 16 octobre 2012 : 88% à air ambiant
- Le 16 octobre 2012 : 94% à 1LO2 (un peu en dessous de la moyenne mais liée à l’anémie inflammatoire et à la surinfection.
- Le 26 octobre 2012 : 98% à air ambiant → tout à fait dans les normes 3 jours post extraction de canule.
Coloration de la peau :
La peau de Mr était assez pâle, et ces extrémités rafraichies, les patient ce découvrait souvent, la coloration de la peau peut être lié à l’anémie.
infidanlame
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Aide pour rapport de stage Belgique

Message par infidanlame »

Présentation du patient observé pendant 3 jours dans les services :
Prologue :
Vous avez pu retrouver dans cette introduction les informations concernant l’hôpital et le service dans lequel j’ai effectué mes premières de stages en médecine.
Je tenais à apporter une brève précisions sur ce qui va suivre.
Dans ce présent document, je vais présenter un patient de 57 ans, que je désignerais Mr V. pour des raisons de confidentialité.
J’ai pu observer et apporter des soins à Mr V. pendant 2 semaines consécutif que je rapporterai dans l’ensemble afin de relater l’évolution des données. Je reprendrais 3 jours plus précis (le 16,17 et le 26 octobre) pour les informations qui ont besoin de précisions temporels.

Flash sur Mr V. :
Monsieur V. âgée de 57 ans vivait seul dans un appartement à N. Sa femme la quitté il y a 25 ans du à l’addiction à l’éthanol dont souffrait Mr V. Il était sous tutelle judiciaire car il présentait le syndrome de korsakoff. Au dire de son tuteur les derniers temps avant son traumatisme crânien, Mr V. ne buvait plus.
En date du 05 août 2012, Mr V. a été retrouvé inconscient sur la voie publique, avec des lésions compatible à une agression. Admis au urgence de l’hôpital x, le CT-scan1 décrit de nombreuses séquelles neuroligiques, suite à quoi il est transférer à l’hôpital y, pour une prise en charge neurochirurgicale.


Collecte des données médicale :

Motif d’admission : causes et conditions :

Mr V. est admis dans le service de pneumologie dans un contexte d’urgence le 04 octobre 2012 au moment de son transfert entre le service de neurochirurgie et le centre de revalidation de B, Mr V. était pyrétique (40°C), encombré de sécrétions verdâtres et présentait un crépitement à l’auscultation au niveau de la base du poumon droit.

Aspect médical :

• Antécédents médicaux :

- Ethylisme chronique : définit comme une addiction à éthanol contenue dans les boissons alcoolisées. L’OMS reconnait l’éthylisme chronique comme une maladie et le définit comme des troubles mentaux et des troubles du comportement liés à l’utilisation d’alcool.
Mr V. était un éthylique chronique que je qualifierai de pathologique.

- Syndrome de korsakoff : Ensemble de troubles psychiques caractérisé par la perte de la mémoire immédiate, une désorientation temporelle, de fausses reconnaissances et une fabulation.
Le syndrome de Korsakoff est dû à une atteinte bilatérale d'une région du cerveau en général consécutive à une carence en vitamine B1causée par un alcoolisme chronique dans ce cas-ci. Les symptômes consistent en une amnésie grave (perte de mémoire), une apathie et une désorientation En l'absence de traitement rapide, le sujet sombre dans le syndrome de Korsakoff, généralement irréversible, qui provoque un handicap permanent du fait d'importantes pertes de mémoire entraînant l'obligation d'une surveillance continuelle, d’où la désignation d’un tuteur pour surveiller les dépense de Mr V.
L'évolution de la maladie est très lente et le pronostic est très mauvais. Mr V. a reçu une subsistions en vitamine B1, mais pas d’évaluation du traitement.

- Traumatisme crânien : C’est une lésion du cerveau provoquée par un contact brusque entre la matière cérébrale et la boîte crânienne. Cette lésion endommage les neurones. Notre cerveau a un système de protection contre les chocs, composé du crâne, des méninges contenant le liquide céphalo-rachidien, qui est un coussin pour amortir les chocs.
Les personnes qui ont subi un traumatisme crânien modéré ou sévère peuvent présenter des séquelles neuro-psychologiques qui persistent parfois toute leur vie. Il s’agit d’un handicap qui touche la personnalité, le comportement, les fonctions intellectuelles et cognitives, la mémoire, l’attention…
Dans le cas de Mr V., il a eu un traumatisme crânien sévère le 03 aout 2012 avec une hémorragie intra-parenchymateuse pariéto-temporale droite, hématome extra-dural (HED) pariétal gauche, lié à une fracture de l’os pariétal gauche, sous-dural et sous arachnoïde. une osmothérapie et un drainage ont été effectué en urgence de l’HED G ainsi que des différentes lésions hémorragiques droites, suivis de la mise en place d’une dérivations ventriculaires externe, qui ont provoqué une absence de la perception de la réalité, des troubles du langage, de l’attention, de la coordination de mouvement, et de comportement, bien que ces derniers sont difficilement objectivables vue le syndrome de korsakoff
L’hémorragie intra-parenchymateuse se traduit par l’irruption de sang dans les parenchymes cérébral.
L’hématome extra dural est un épanchement de sang entre un des os du crâne et la dure mère du cerveau.
L’hématome sous- dural est une accumulation de sang entre l’arachnoïde et le feuillet interne de la dure-mère
L’hématome sous-arachnoïdien est une accumulation de sang entre l’arachnoïde et la pie mère.
- Choc septique : d’origine pulmonaire : infection générale à la présence dans le sang, de toxines bactériennes ce qui aboutit à une insuffisance de fonctionnement cardiaque (hypotension systolique inférieure à 90 mm Hg) se caractérisant par une tachycardie, une tachypnée, une et une acidose métabolique, l'ensemble survenant chez un sujet fébrile.
Mr V. a fait au cours de son séjour à l’USI (le 12/09/2012) un choc septique d’origine pulmonaire. Infiltrat pulmonaire droit à la radiographie de thorax. IL a été traité par antibiothérapie.

- Insuffisant respiratoire : c’est une incapacité de l’appareil respiratoire à assumer correctement sa fonction, entraînant une perturbation de l’hémostase. Celle-ci peut –être due à de nombreux facteurs (asthme, mucoviscidose, faiblesse des muscles respiratoires, atteint du tronc cérébral, etc…). Chez Mr v. cela a nécessité une ventilation mécanique via trachéotomie.


- Hypertension artérielle : pathologie cardiovasculaire définie par une augmentation permanente de la pression artérielle. On parle d’hypertension artérielle pour une pression artérielle systolique supérieure à 140 mm Hg et une pression diastolique supérieure à 90 mm Hg. Chez Mr V. elle est équilibrée par la prise quotidienne de Bêta-bloquants.
- Pneumothorax : ce manifeste par une accumulation d’air, dans la cavité pleurale. Cet épanchement d’air peut avoir de nombreuses origines, mais constitue dans tous les cas une urgence médicale, en effet l’air rentrant dans la cavité pleurale décolle la plèvre et pousse sur le poumon, voir le comprime. Il existe différent type de pneumothorax :
 Pneumothorax idiopathique dont l’origine est inconnu
 Pneumothorax spontanée secondaire à une infection à germe
 Pneumothorax secondaire à une rupture d’une bulle d’emphysème.
Dans le cas de Mr V. le pneumothorax est idiopathique, bien qu’on émette l’hypothèse du facteur de risque physionomique (il est grand et filiforme), de plus elle est récidivante.

- Colite à clostridium difficile : la colite est maladie inflammatoire du côlon induite par des toxines bactérien, dans ce cas si elle correspond au clostridium difficile. Souvent associé à la prise d’antibiotique qui favorisent la multiplication de de ces germes et la production de leur toxines. Cette pathologie est hautement contagieuse. Les symptômes les plus fréquents sont une diarrhée importante avec élimination de pseudomembranes, des douleurs abdominales, accompagné de température.
Mr V. a contracté le clostridium difficile début août sur antibiothérapie.




• Antécédents chirurgicaux :
- Trachéotomie : est une intervention chirurgicale qui consiste à inciser au niveau de la face antérieur de la trachée entre les 2e et 4e anneaux cartilagineux afin de créer un accès directe à la trachée. Une canule est placée dans l’orifice crée et ainsi permettre d’assurer une perméabilité des voies aériennes. Dans le cas de Mr B, une canule a été mise en place car il avait besoin d’une ventilation assisté et ce de manière prolongée. Effectivement une ventilation artificielle assistée par trachéotomie est indiqué chez une personne pour qui le fonctionnement défectueux des muscles respiratoires ne permet plus d’assurer les échanges gazeux.
Le 23 octobre, la canule placée a été retiré.
Gastrostomie : une méthode endoscopique qui a pour but la mise en place d’une sonde d’alimentation directement à travers la peau et la paroi de l’estomac, afin de permettre aux patients ne pouvant s’alimenter normalement de recevoir l’apport énergétique nécessaire. Une gastrostomie à été réalisé sur le patient car il faisait des fausse route, donc aucun autres moyens n’était envisageable pour continuer à lui donné un apport énergétique et hydrique.

Craniectomie décompressive : Mr V. a été traité par osmothérapie lors de son hyper tension intra crânienne, qui consiste en l’administration d’un soluté hypertonique par perfusion, qui va diminuer le contenu de l’eau intracérébral par osmolarité et donc la pression intracrânienne. Cette technique à viser une préparation à la craniectomie décompressive.
La craniectomie décompressive est un acte chirurgical qui consiste en la réalisation d’un volet crânien associé à une plastie d’agrandissement de la dure-mère afin d’augmenter le volume intracrânien (trois trous sont forés dans le crâne et on scie en rejoignant c’est trous afin extraire l’os), afin d’augmenter le volume crânien.

• Examens subis :

- Prise de sang ou biologie clinique: recueil de sang dans un tube, selon une technique bien codifié par l’introduction d’une aiguille dans une veine. Le sang sera analysé en laboratoire selon la prescription du médecin. Demandé pour calculer le taux ce CRP, l’albumine, les hématocrites, la glycémie à jeun, l’acide urique, l’antibiogramme (qui permet au médecin de choisir l’antibiotique le plus efficace sur l’infection en cause), …
Chez Mr V. la prise de sang du 16/10/2012 à relève :
 une CRP : 15, sa valeur normal est en dessous de 10, plq 628 et une HB 7.7 GR 2.8 (ces 2 derniers données étant la manifestation d'une anémie inflammatoire)

- EMU : examen microscopique des urines, étudiant l’urine d’un patient et détermine la numérotation des hématies, leucocytes, la présence ou non de cristaux, de germes,….
Fréquemment utilisé pour détecter une infection urinaire. L’EMU du patient n’a rien révélé de particulier.

- Examen des expectorations : examen microscopique des matières, provenant des poumons, qui sont rejetées par la bouche lors de toux. Examens demandé suite à un encombrement du patient, les expectorations ont été prélevées par aspiration au niveau de la canule trachéale, elles étaient muco-purulente et abondantes sans présenté une odeur particulière. Les résultats n’étaient pas parvenus avant la fin de ma période de stage.

- Fibroscopie bronchique: est une exploration bronchique proximale à l’aide d’un fibroscope introduit par les voies aériennes supérieures. Cet examen est explorateur ou thérapeutique. Le fibroscope est composé d’un faisceau optique qui va permettre la conduction d’une image et d’un conduit qui permet l’introduction des différents instruments en fonctions des examens à réaliser.
• Diagnostic pendant l’hospitalisation :

Réaction inflammatoire chronique à corps étrangers en cours identification au niveau du lobe inférieur et moyen du poumon droit.
• Allergies :
Le patient ne présente aucune allergie connue.
traitement :
Duovent 4x/j
Amlor 5mg 1x/j
Nexiam 40mg 1x/j
Clexane 40mg 1x/j
Bisoprolol 5mg 1x/j
Lysomucil 400mg 1x/j
haldol 5 gttes SN
Observation de Mr V. selon les 14 besoins de Virginia Henderson :

1. Le besoin de respirer :
Le patient possède une canule trachéale par laquelle il reçoit 1 litre O2.
Le 16 octobre 2012 :
Première rencontre avec Mr V., rentrant dans sa chambre pour prendre ses paramètres, je constate que Mr V. a retirer sa sonde à oxygène. Je le redresse directement, et réinstalle le patient dans une position semi-couchée pour favoriser une meilleur respiration et relève sa SaO2 et constate que celle-ci est 88% à air ambiant, je lui remets immédiatement sa sonde et reste près du patient pour prendre le reste des paramètres et m’assurer que sa SaO2 remonte.
Mr V. est fortement encombré, lorsqu’il toussait des expectorations purulentes, verdâtre et assez abondante sont sortie de sa canule, j’en ai avisé directement l’infirmière qui est venue l’aspirer.
Mr V. a souvent une position peu facilitante pour sa respiration, en raison de ses séquelles neurologique, Il s’affaissait sans arrêt dans son lit, à ce moment sa position entrave une bonne expansion pulmonaire.

Le 23 octobre, la canule trachéale de Mr V. fut retirée. Mr V. a eu des lunettes a oxygène avec toujours une administration d’un litre d’O2. Elles furent retirer le 25 octobre, ce jour la personne avait une saturation en oxygène en hémoglobine de 98% (ce qui est dans les normes)

Dimensions biophysiologique :
La physionomie et les antécédents médicaux de Mr V. le prédispose à un pneumothorax récidivant, donc une vigilance particulière que je réaborderai dans les plans des soins est à prescrire.

La dimension biophysiologique :
Rythme cardiaque :
Le patient présentait un rythme régulier tous les jours d’observations
Amplitude cardiaque :
Pour les 3 jours les pouls était bien frappé.

Fréquence cardiaque :
- 16 octobre 2012 → 76 battements/min
- 17 octobre 2012 → 80 battements/min
- 26 octobre 2012→ 74 battements/min

Pression artérielle :
- 16 octobre 2012 → 120/70 mmHg
- 17 octobre 2012 → 120/60 mmHg
- 26 octobre 2012 → 130/70 mmHg
-
Sensation de perception à la respiration :
Malgré ses désaturations assez constante, vue son manque de coopérations dans le soin, le patient ne se plaignait pas. Son état confusionnel peut expliquer qu’il n’y trouve aucune gêne.

Fréquence respiratoire : 16 cycles par minute en moyenne pour les différents jours d’observation.
Amplitude respiratoire : superficielle et symétrique. Une respiration superficielle n’est pas systématiquement associée à une bradypnée, dans ce cas-ci elle serait plus susceptible d’être lié au facteur d’immobilité. L’immobilité prolongée entraine un ralentissement de la respiration, laquelle se fait de façon plus superficielle à cause de la diminution des besoins en oxygène

La SaO2 :
- Le 16 octobre 2012 : 88% à air ambiant
- Le 16 octobre 2012 : 94% à 1LO2 (un peu en dessous de la moyenne mais liée à l’anémie inflammatoire et à la surinfection.
- Le 26 octobre 2012 : 98% à air ambiant → tout à fait dans les normes 3 jours post extraction de canule.
Coloration de la peau :
La peau de Mr était assez pâle, et ces extrémités rafraichies, les patient ce découvrait souvent, la coloration de la peau peut être lié à l’anémie.
etyncel
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ifsi belgique

Message par etyncel »

Bonjour a tousssss!!!

J'aimerais m inscrire en Belgique pour être infirmière depuis les DOM mais je ne sais choisir entre st Elizabeth ou Ave Maria ou autres pouvez-vous me donner vos avis??? svp
:?
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augusta
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Re: Dans le bon ou pas !!!!!!

Message par augusta »

Comment dire si c'est "dans le bon ou pas" quand on ne sait pas ce que c'est?
Donc c'est quoi ce texte?
"Penser, c'est penser jusqu'où on pourrait penser différemment" Michel Foucault
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