Le rôle des aidants naturels est aujourd'hui encouragé. S'ils constituent effectivement une aide précieuse pour la personne malade et pour l'équipe soignante, ils peuvent aussi devenir une gêne pour celle-ci, par exemple lorsque leur angoisse et leur trop grande volonté de bien faire (quand "le mieux est l'ennemi du bien") perturbent la relation du professionnel avec la personne malade, voire ses gestes techniques.
À partir d'une observation menée avec une très grande rigueur à propos d'une patiente atteinte d'un cancer du sein métastasé, Loïc Payoux a mené une réflexion passionnante sur le sujet, qui lui a valu d'excellentes notes de son jury.
PRÉVENTION
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PROTOCOLES DE SOINS
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Infirmiers de nuit en EHPAD : un dispositif qui fait ses preuves mais peu répandu