A la télé – « Les infirmières, héroïnes du quotidien » sur direct8
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Re: A la télé – « Les infirmières, héroïnes du quotidien » s
CErtes le dépot de plainte est de plus en plus fréquent...aussi pour mon compte je prefere qu'un acte soit tracé automatiquement plutot que d'oublier de le faire et en subir les conséquences "pénales"...loulic a écrit :Et ? Vous voulez une médaille ?Bonsoir de quelle paroisse parlez vous je suis infirmier depuis 20 ans(j'ai pas mal bourlingué et meme si je ne suis pas IADE je sais intubéVous avez un exemple de ce genre de cas ? Par ailleurs informatisation ou pas, si une famille veut porter plainte pour une raison ou pour une autre rien ne l'empeche de le faire.la famille porte plainte parce qu'elle vous a vu boire un café les seules 5 minutesCool ! Et alors, les petits fours étaient comment ?j'ai meme ete invité au siège à la défense pourquoi pas... j'ai vu ce qu'ils proposent ... et j'ai proposé 10% de mes idées mais bon...
Désolé pas de petits fours un café de la machine ... je ne suis qu'un modeste infirmier qui propose une maquette en flash...
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Re: A la télé – « Les infirmières, héroïnes du quotidien » s
je ne pense pas au contraire , il ne s'agit pas d'abreuver le medecin de données dites normales et sinon tant qu'une action (ex:la prise en compte) n'est pas validée : "elle est ignorée" elle est alors reportée( il a le choix d'un traitement /et report urgent ou non etc.loulic a écrit :Justement moi je trouve votre système pervers. Ainsi le médecin est abreuvé en temps réel d'un flot d'information plus ou moins exploitables sur l'ensemble des patients dont il a la charge : ça n'a aucun intérêt. Et plus grave c'est le meilleur moyen de perdre des informations.Jean-Marc.pocard a écrit : evidemment on peut revenir en arrière choisissons par exemple un glucometer on eput revenir 20 ans en arrière et attendre 1 à 3 minutes pour avoir le résultat l'ecrire a la main le transmettre par téléphone au médecin et c'est vrai qu'autrefois c'etait l'occasion de discuter d'avantage avec le patient pendant ces minutes.j'ai bien compris que vous etes adepte de la saisie et que vous tracez a la main tout ce que vous faites ... pour mon compte, je prefere que la valeur me soit affichée que je la valide et qu'elle soit ainsi transmise au medecin qui lorsqu'il la recoit n'a d'autres choix d'agir puisque l'alerte s'il y a,lui est présenté (et tracée)
elle ne peut pas etre perdue... informatiquement l'information se perd rarement...
Re: A la télé – « Les infirmières, héroïnes du quotidien » s
Ca n'empechera pas les gens de porter plainte s'il le veulent, et pour qu'une faute soit retenue il faudrait prouver l'imputabilité d'un dommage à votre pause café. Donc traçabilité informatique ou papier, ça ne change rien dans ce cas.Jean-Marc.pocard a écrit : CErtes le dépot de plainte est de plus en plus fréquent...aussi pour mon compte je prefere qu'un acte soit tracé automatiquement plutot que d'oublier de le faire et en subir les conséquences "pénales"...
Bref, il doit faire le tri entre des dizaines de chiffres qu'il reçoit en permanence concernant une vingtaine de patient qu'il a en charge simultanément, le tout dissocié d'un contexte clinique.Jean-Marc.pocard a écrit : je ne pense pas au contraire , il ne s'agit pas d'abreuver le medecin de données dites normales et sinon tant qu'une action (ex:la prise en compte) n'est pas validée : "elle est ignorée" elle est alors reportée( il a le choix d'un traitement /et report urgent ou non etc.
Ouais, bien sûr, il y a un chiffre enregistré dans une bécane. Quand je parle de perte d'information, je veux dire qu'en l'absence de priorisation et de contexte, un chiffre isolé risque fort de passer par perte et profit.Jean-Marc.pocard a écrit : elle ne peut pas etre perdue... informatiquement l'information se perd rarement...
Dès qu'il eut franchi le pont, les fantomes vinrent à sa rencontre.
Édito – Les infirmières fatiguées... de n'être qu'aimées...
Un nouvel article vient d'être publié sur le site Infirmiers.com :
Édito – Les infirmières fatiguées... de n'être qu'aimées...
Vous avez été nombreux à regarder le 16 janvier 2012 le documentaire consacré, une fois encore, aux infirmières, sur direct8 et vos nombreux commentaires – parfois satisfaits, souvent ulcérés ou encore découragés - sur nos différentes zones de libres échanges en témoignent. Intitulé « Les infirmières, héroïnes du quotidien » - l'expression avait été consacrée par le chef de l’État en 2011 - le propos affichait clairement la couleur et allait défendre, à n'en pas douter, ce que le grand public, et plus précisément les usagers de soins, louent de façon permanente en parlant des infirmières : leur engagement, leur courage, leur abnégation, leur vocation... Ah quel beau métier ! Les infirmières ne sont-elles pas premières dans le cœur des Français ?
Alors oui, c'est une caméra plutôt bienveillante qui a suivi quatre de ces « héroïnes », ou en passe de le devenir : une jeune étudiante en soins infirmiers découvrant l'univers impitoyable de la gériatrie, une infirmière aguerrie - et ...
Lire la suite : http://www.infirmiers.com/index.php?opt ... ew=article
Vous pouvez discuter de cet article sur ce topic !
Édito – Les infirmières fatiguées... de n'être qu'aimées...
Vous avez été nombreux à regarder le 16 janvier 2012 le documentaire consacré, une fois encore, aux infirmières, sur direct8 et vos nombreux commentaires – parfois satisfaits, souvent ulcérés ou encore découragés - sur nos différentes zones de libres échanges en témoignent. Intitulé « Les infirmières, héroïnes du quotidien » - l'expression avait été consacrée par le chef de l’État en 2011 - le propos affichait clairement la couleur et allait défendre, à n'en pas douter, ce que le grand public, et plus précisément les usagers de soins, louent de façon permanente en parlant des infirmières : leur engagement, leur courage, leur abnégation, leur vocation... Ah quel beau métier ! Les infirmières ne sont-elles pas premières dans le cœur des Français ?
Alors oui, c'est une caméra plutôt bienveillante qui a suivi quatre de ces « héroïnes », ou en passe de le devenir : une jeune étudiante en soins infirmiers découvrant l'univers impitoyable de la gériatrie, une infirmière aguerrie - et ...
Lire la suite : http://www.infirmiers.com/index.php?opt ... ew=article
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Re: A la télé – « Les infirmières, héroïnes du quotidien » s
Je suis ou plutôt vais bientôt être étudiante en IFSI (la rentrée se fera d'ici quelques jours) et ce reportage, malgré les nombreux points négatifs qui ont été évoqués, m'a beaucoup plu peut-être parce que pour une fois on essaye de montrer la réalité des choses, ou quelque chose qui y ressemble.
Avant de me lancer dans le concours d'entrée à l'école d'inf, je savais plus ou moins ce qui m'attendais en choisissant cette profession. Les horaires à rallonge, le salaire qui n'est pas mirobolant, et les conditions difficiles sans oublier le manque de reconnaissance, voir le mépris que certain(e)s peuvent rencontrer... Et malgré tout cela je ne me vois pas faire autre chose, je souhaite devenir inf.
Certes je n'ai encore aucune expérience, mais j'ai tenté de me faire une idée du métier grâce à un stage, des forums, des discussions avec des infirmières déjà diplômées... avant de pouvoir me faire ma propre opinion en étant "sur le terrain".
Il est vrai que ce reportage ne donne pas forcément envie de devenir inf, il a d'ailleurs raviver quelques craintes que j'avais réussis à enfouir, comme par exemple réussir à gérer vie de famille et vie professionnelle sans que l'une ne vienne trop interférer sur l'autre...
Pourtant je pense qu'il est nécessaire de montrer ces difficultés, ces problèmes... car se lancer dans une formation pour devenir inf en se voilant la face en pensant que tout est beau et rose n'est pas une solution.
En effet il y a des mauvais côtés dans tout métier mais je pense qu'il faut en être conscient pour ne pas abandonné et savoir les gérer au mieux, même si cela reste compliqué. Je pense par exemple à certaines lycéennes plus jeunes que moi à qui j'ai eu l'occasion de parler et qui n'ont absolument aucunes idées du métier, ni même de la formation, même pas une idée générale, ce que je trouve aberrant alors qu'elles sont déjà ou presque inscrites pour les concours d'entrée.
Avec toute les technologies auxquelles on a accès, pour discuter et s'informer, je ne trouve pas normal qu'elles n'est pas eu la curiosité de s'informer un minimum... a se demander si elles veulent vraiment devenir inf ou si c'est un choix comme un autre, histoire de faire quelque chose.
Pourtant pour être inf il faut le vouloir pas le subir, non?
Voila pourquoi je pense que montrer de temps à autres des reportages tel que celui ci est une bonne chose.
Après chacun son avis sur la question bien sur.
Bonne soirée.
Avant de me lancer dans le concours d'entrée à l'école d'inf, je savais plus ou moins ce qui m'attendais en choisissant cette profession. Les horaires à rallonge, le salaire qui n'est pas mirobolant, et les conditions difficiles sans oublier le manque de reconnaissance, voir le mépris que certain(e)s peuvent rencontrer... Et malgré tout cela je ne me vois pas faire autre chose, je souhaite devenir inf.
Certes je n'ai encore aucune expérience, mais j'ai tenté de me faire une idée du métier grâce à un stage, des forums, des discussions avec des infirmières déjà diplômées... avant de pouvoir me faire ma propre opinion en étant "sur le terrain".
Il est vrai que ce reportage ne donne pas forcément envie de devenir inf, il a d'ailleurs raviver quelques craintes que j'avais réussis à enfouir, comme par exemple réussir à gérer vie de famille et vie professionnelle sans que l'une ne vienne trop interférer sur l'autre...
Pourtant je pense qu'il est nécessaire de montrer ces difficultés, ces problèmes... car se lancer dans une formation pour devenir inf en se voilant la face en pensant que tout est beau et rose n'est pas une solution.
En effet il y a des mauvais côtés dans tout métier mais je pense qu'il faut en être conscient pour ne pas abandonné et savoir les gérer au mieux, même si cela reste compliqué. Je pense par exemple à certaines lycéennes plus jeunes que moi à qui j'ai eu l'occasion de parler et qui n'ont absolument aucunes idées du métier, ni même de la formation, même pas une idée générale, ce que je trouve aberrant alors qu'elles sont déjà ou presque inscrites pour les concours d'entrée.
Avec toute les technologies auxquelles on a accès, pour discuter et s'informer, je ne trouve pas normal qu'elles n'est pas eu la curiosité de s'informer un minimum... a se demander si elles veulent vraiment devenir inf ou si c'est un choix comme un autre, histoire de faire quelque chose.
Pourtant pour être inf il faut le vouloir pas le subir, non?
Voila pourquoi je pense que montrer de temps à autres des reportages tel que celui ci est une bonne chose.
Après chacun son avis sur la question bien sur.
Bonne soirée.
Re: A la télé – « Les infirmières, héroïnes du quotidien » s
savez-vous pourquoi l'infirmière est première dans le coeur des français?
je suis en train de bosser sur mon mémoire sur la fin de vie et la souffrance que cela peut engendrer chez les soignants. j'ai commencé à faire quelques recherches de photos sur internet pour ma page de garde. j'ai tapé (à tout hasard) "infirmière" sur google image... je vous laisse le plaisir de voir ce qui s'y trouve !
c'est de cette infirmière que les français sont fans ! pas de la vraie, ils ne connaissent pas vraiment le métier. preuve en est que tous les étudiants découvrent le métier en posant les pieds en stage. et que les patients ne savent pas toujours faire la différence entre AS, IDE, diet', assistante sociale, psychologue, ergo...
et puis chaque fois qu'on parle d'infirmière dans un magazine quelconque, on a toujours droit à une godiche avec un grand sourire, bien coiffée, maquillée, pas fatiguée, avec une belle blouse repassée et un beau stylo 4 couleurs sous son stétho... comme dans urgences.
je suis en train de bosser sur mon mémoire sur la fin de vie et la souffrance que cela peut engendrer chez les soignants. j'ai commencé à faire quelques recherches de photos sur internet pour ma page de garde. j'ai tapé (à tout hasard) "infirmière" sur google image... je vous laisse le plaisir de voir ce qui s'y trouve !
c'est de cette infirmière que les français sont fans ! pas de la vraie, ils ne connaissent pas vraiment le métier. preuve en est que tous les étudiants découvrent le métier en posant les pieds en stage. et que les patients ne savent pas toujours faire la différence entre AS, IDE, diet', assistante sociale, psychologue, ergo...
et puis chaque fois qu'on parle d'infirmière dans un magazine quelconque, on a toujours droit à une godiche avec un grand sourire, bien coiffée, maquillée, pas fatiguée, avec une belle blouse repassée et un beau stylo 4 couleurs sous son stétho... comme dans urgences.
S1 : Ehpad > OK
S2 : Chir Ortho + Psy > OK
S3 : Ehpad + SSIAD > OK
S4 : Med gastro + Néonat > OK
S5 : Psy + Psy + Psy
S6 : Rééducation + Ehpad
S+ : SSR
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S4 : Med gastro + Néonat > OK
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Re: A la télé – « Les infirmières, héroïnes du quotidien » s
Ta formatrice devrait revoir le sens du mot vocation :pti_gg a écrit :Je me rappellerais toujours d'un de nos premiers cours a l'IFSI : "Histoire de l'Infirmière" : notre formatrice nous a dit : "aux entretiens, tous ceux qui disent que le métier d'infirmier(e) est leur vocation, on leur demande s'ils travailleraient 24h/24, 7 jours/7, 365 jours/ ans, et tout cela, gratuitement, car c'est la définition concrète du mot vocation"
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En libéral c'est tous les jours que tu crée et fidélise ta clientèle...c'est un engagement, chacun est libre d'organiser son travail en fonction des besoins de ses clients et de siens. Certains ne refusent jamais d'effectuer un soin car ils partent du principe que la personne doit être soignée même si cette prise en charge alourdie leur tournée et la notion de "SERVICE" prend alors tout son sens.Sources Larousse:
■Littéraire. Destination d'un être, ce vers quoi sa nature ou le destin semblent l'appeler : La vocation maternelle de la femme.
■Destination privilégiée de quelque chose, d'un pays, d'un groupe, du fait de sa nature, de ses caractéristiques : La vocation touristique d'une région.
■Inclination, penchant particulier pour un certain genre de vie, un type d'activité : Avoir la vocation du célibat. Avoir une vocation artistique.
■Acte par lequel Dieu prédestine tout homme à un rôle déterminé, qui constitue sa fin personnelle, en particulier destination, appel au sacerdoce ou à la vie religieuse.
Si House dit "c'est un Wegener" c'est peut-être un wegener ou ce n'est peut-être pas un wegener! En libé dans l'arrière pays grassois.
- caducee1717
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Re: A la télé – « Les infirmières, héroïnes du quotidien » s
Il y à un moment donné où l'équilibre est nécessaire, et alourdir sa tournée simplement par notion d'engagement et de service (où a tu trouvé cette notion?) trouve ses limites en terme de qualité des soins justement, ce qui est tout simplement le contraire de ce que tu essaie d'expliquer... Si j'ai 60 patients dans ma tournée je ne pourrai pas leur accorder toute l'attention qu'ils méritent car je devrai respecter un rythme tel, entre trajets et soins, que ma journée s'en trouvera inévitablement "découpée en rondelles" pour satisfaire tout le monde...sauf que moi, en rentrant chez moi, je ne le serai pas car j'aurai amputé mes soins de leur substance la plus importante : le relationnel...En libéral c'est tous les jours que tu crée et fidélise ta clientèle...c'est un engagement, chacun est libre d'organiser son travail en fonction des besoins de ses clients et de siens. Certains ne refusent jamais d'effectuer un soin car ils partent du principe que la personne doit être soignée même si cette prise en charge alourdie leur tournée et la notion de "SERVICE" prend alors tout son sens.
Soigner un personne c'est veiller à lui apporter des soins de qualité, et le soin ce n'est pas uniquement l'acte en lui-même...
souriez...et vous recevrez autant en retour
Re: A la télé – « Les infirmières, héroïnes du quotidien » s
Bonsoir Caducée40 et merci de ton échange.caducee40 a écrit :Il y à un moment donné où l'équilibre est nécessaire, et alourdir sa tournée simplement par notion d'engagement et de service (où a tu trouvé cette notion?) trouve ses limites en terme de qualité des soins justement, ce qui est tout simplement le contraire de ce que tu essaie d'expliquer... Si j'ai 60 patients dans ma tournée je ne pourrai pas leur accorder toute l'attention qu'ils méritent car je devrai respecter un rythme tel, entre trajets et soins, que ma journée s'en trouvera inévitablement "découpée en rondelles" pour satisfaire tout le monde...sauf que moi, en rentrant chez moi, je ne le serai pas car j'aurai amputé mes soins de leur substance la plus importante : le relationnel...
Soigner un personne c'est veiller à lui apporter des soins de qualité, et le soin ce n'est pas uniquement l'acte en lui-même...
Même avec une tournée ultra chargée je n'ai jamais "amputé mes soins d'une substance importante : le relationnel" et apporté des soins de qualité malgré le rythme soutenu que ce soit un acte simple ou complexe! Il faut cesser de voir les IDELS dont la charge de travail est parfois importante comme des "extraterrestres" ou des "infirmières qui bâclent leur travail et effectuent leurs actes de façon expéditive en occultant le relationnel"!!! Chacun exerce sa profession dans ses limites personnelles : que chacun de nous connait rapidement!!!! ce qui est valable pour moi, ne l'est pas forcément pour toi ou pour une autre. Le tout c'est de bien les connaitre et de ne pas les dépasser.......car là oui il y aurait un danger pour le soignant comme pour le soigné.
Quant à la "notion de service" dans le libéral elle est clairement définie par les études économistes sur les professions indépendantes (pour la notre lire le rapport du DREES).
Si House dit "c'est un Wegener" c'est peut-être un wegener ou ce n'est peut-être pas un wegener! En libé dans l'arrière pays grassois.
Re: A la télé – « Les infirmières, héroïnes du quotidien » s
Je partage totalement l'avis de caducee40.
L'IDEL apparemment ne connait pas ses limites et/ou les dépassent. Les années lui feront probablement regretter si elle continue à ce rythme.
Après, je ne vois pas en quoi la notion de service prend + de sens (et quel sens d'ailleurs ?) sur une tournée chargée et alourdie par l'acceptation de soins supplémentaires.
D'autres au contraire, refusent pour ne pas faire comme dans le reportage du soins à la chaine et/ou à pas d'heure.... Sont-ils/elles moins "engagé(e)s" ?desernil a écrit :Certains ne refusent jamais d'effectuer un soin car ils partent du principe que la personne doit être soignée
L'IDEL apparemment ne connait pas ses limites et/ou les dépassent. Les années lui feront probablement regretter si elle continue à ce rythme.
Après, je ne vois pas en quoi la notion de service prend + de sens (et quel sens d'ailleurs ?) sur une tournée chargée et alourdie par l'acceptation de soins supplémentaires.
Re: A la télé – « Les infirmières, héroïnes du quotidien » s
-Ah bon!! tu n'irais pas faire un soin à 23h?moutarde a écrit :Je partage totalement l'avis de caducee40.D'autres au contraire, refusent pour ne pas faire comme dans le reportage du soins à la chaine et/ou à pas d'heure.... Sont-ils/elles moins "engagé(e)s" ?desernil a écrit :Certains ne refusent jamais d'effectuer un soin car ils partent du principe que la personne doit être soignée
L'IDEL apparemment ne connait pas ses limites et/ou les dépassent. Les années lui feront probablement regretter si elle continue à ce rythme.
Après, je ne vois pas en quoi la notion de service prend + de sens (et quel sens d'ailleurs ?) sur une tournée chargée et alourdie par l'acceptation de soins supplémentaires.
-Je n'ai pas insinué que celles qui effectuaient moins de soins étaient moins engagées!
- Comment en quelques minutes de reportage peux-tu analyser que "L'IDEL apparemment ne connait pas ses limites et/ou les dépassent"?
- quand à regretter dans quelques années......çà l'avenir nous le dira......mais ce que je peux te dire c'est que je préfère effectuer 70h en libé que 35h à l'hôpital.....chacune sa voie!!
- Quand à cette fameuse "notion de service" lit le rapport du DREES et tu t'en feras une idée bien précise.
Bonne soirée.
Si House dit "c'est un Wegener" c'est peut-être un wegener ou ce n'est peut-être pas un wegener! En libé dans l'arrière pays grassois.
Re: A la télé – « Les infirmières, héroïnes du quotidien » s
À la fin du reportage, elle ne semble pas respirer le bonheur quand elle est table avec ses parents car 95 h/semaine ne laisse plus guère de temps pour autre chose...
Après, faire hgt/insuline à 5h et plus de 22 h... Ou encore faire les courses ? Sans façon.
Après, faire hgt/insuline à 5h et plus de 22 h... Ou encore faire les courses ? Sans façon.
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Re: A la télé – « Les infirmières, héroïnes du quotidien » s
Ca veut dire qu' elle bosse 6j/7 et au moins 16h par jour !moutarde a écrit :À la fin du reportage, elle ne semble pas respirer le bonheur quand elle est table avec ses parents car 95 h/semaine ne laisse plus guère de temps pour autre chose...
Après, faire hgt/insuline à 5h et plus de 22 h... Ou encore faire les courses ? Sans façon.

Je n' ai pas vu ce reportage, car ça ne m'intéresse plus .
marie-pierre
Re: A la télé – « Les infirmières, héroïnes du quotidien » s
haricot vert a écrit :Ca veut dire qu' elle bosse 6j/7 et au moins 16h par jour !moutarde a écrit :À la fin du reportage, elle ne semble pas respirer le bonheur quand elle est table avec ses parents car 95 h/semaine ne laisse plus guère de temps pour autre chose...
Après, faire hgt/insuline à 5h et plus de 22 h... Ou encore faire les courses ? Sans façon.![]()
Je n' ai pas vu ce reportage, car ça ne m'intéresse plus .



moutarde le Lundi 23 Jan 2012 0:17
À la fin du reportage, elle ne semble pas respirer le bonheur quand elle est table avec ses parents car 95 h/semaine ne laisse plus guère de temps pour autre chose...
Après, faire hgt/insuline à 5h et plus de 22 h... Ou encore faire les courses ? Sans façon.


Bonne journée.
Si House dit "c'est un Wegener" c'est peut-être un wegener ou ce n'est peut-être pas un wegener! En libé dans l'arrière pays grassois.
Re: A la télé – « Les infirmières, héroïnes du quotidien » s
En tout cas moi je lui laisse son job,ses journées de 15h, son plein journalier, ses pneus toutes les 6 semaines, sa vie quasi entièrement axée sur son job... et ses larmes qu'elle a du mal à contenir.
Je parle même pas des charges sociales+ taxes en tant que célibataire sans enfants.
Je parle même pas des charges sociales+ taxes en tant que célibataire sans enfants.