actualité 2012-2013

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minijim
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Message par minijim »

Obésité et Alzheimer
Selon une étude basée sur des souris, des chercheurs ont mis en évidence un lien entre l’obésité et l’aggravation des pathologie sur la mémoire telle que Alzheimer.



L’étude montre un lien entre l’obésité et Alzheimer basé sur la protéine Tau, protéine lié à la dégénérescence mémorielle.

C’est l’accumulation anormale de cette protéine dans les cellules nerveuses du cerveau.



L’étude a consisté à nourrir pendant 5 mois des souris avec un régime spécialement riche en graisse. Ces souris possédaient initialement une neurodégénérescence liée à la protéine Tau. En gros, les souris avaient un terrain favorable pour un Alzheimer.



D’après les chercheurs, les résultats sont transposables à l’homme.

Le débat contre l’obésité devrait de fait être lié aux actions contre Alzheimer de part le lien qui semblerait être démontrée par cette étude.

Les chercheurs continuent leurs analyses pour mieux comprendre les liens entre ces deux pathologies.



Quoi qu’il en soit, cette découverte donne une raison de plus pour lutter contre l’obésité et pousser les gens à mieux manger.



Cet article a été publié le Mercredi 9 janvier 2013 à 10:43 et est classé dans Santé, Sciences, Société. Vous pouvez en suivre les commentaires par le biais du flux RSS 2.0. Vous pouvez laisser un commentaire, ou faire un trackback depuis votre propreÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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Le retour en force des génériques
Publié le : 9 Janvier 2013 par Philippe Berrebi
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Par Philippe Berrebi
Pourquoi docteur.com L’arme de dissuasion a parfaitement fonctionné. Au printemps dernier, l’assurance maladie signe avec les pharmaciens un accord tiers-payant contre génériques. Celui-ci prévoit que les patients qui refusent le générique lorsque le médicament prescrit est substituable doivent faire l’avance des frais.
L’argument financier a fait mouche. Au 26 décembre 2012, indique Vincent Collen dans les Echos, les 22 000 pharmacies avaient distribué des génériques à la place des médicaments de marque dans 83,9% des cas. L’objectif fixé par les pouvoirs publics était de 85%.
Une progression spectaculaire, notent vos journaux, puisque le taux de substitution était de 71% avant la signature de l’accord. Et les syndicats de pharmaciens observent que les départements qui traînaient les pieds ont rejoint le peloton de tête. Paris, les Hauts-de-Seine, les Bouches-du-Rhône et les Alpes-Maritimes ont progressé de 20 points. Au passage, la sécu a économisé 200 millions d’euros.

Reste à savoir si cette embellie sera durable. En 2008, le taux de substitution avait dépassé 80% pour chuter de 10 points par la suite. Car, selon les représentants de la profession, il «règne un climat délétère » sur les génériques. L’Inspection générale des affaires sociales, rappelle le quotidien économique, observait dans un rapport que « des leaders d’opinion » mettaient « en cause régulièrement l’efficacité et la qualité des médicaments génériques » et installaient « durablement dans l’opinion un climat de suspicion ».
En frappant directement au portefeuille des usagers avec cette menace de pénalité, l’assurance maladie sait pertinemment que la crise économique joue en sa faveur.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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Message par minijim »

Contraception : faut-il craindre les pilules de 3ème génération ?
Publié le 08/01/2013 à 11:57
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Envoyer Favoris Depuis quelques jours, les plaintes contre les pilules contraceptives dites de troisième génération se multiplient. Faut-il avoir peur de leurs effets ? Qui est concerné ? Le point avec notre expert, Martin Winckler.
La fronde a été lancée par Marion Larat, courant décembre 2012. Cette jeune femme de 25 ans a décidé de porter plainte contre le directeur général de Bayer pour "atteinte involontaire à l'intégrité de la personne humaine" en raison de son AVC en 2006 - et de son handicap à 65 % depuis - qu'elle impute à sa pilule de troisième génération, Meliane. Marion Larat n'est pas la seule à dénoncer les dangers de ces pilules dites de troisième génération ou quatrième génération : plusieurs plaintes contre des laboratoires pharmaceutiques ont été déposées par des familles en colère. Toutes accusent ces pilules de provoquer des embolies pulmonaires et des thromboses veineuses. Actuellement, 2 millions de femmes sont concernées par ces pilules et se posent des questions sur leur santé et les risques encourus par ce moyen de contraception. Quels sont les véritables dangers ? Faut-il changer de contraception ? Martin Winckler (Dr Marc Zaffran), docteur en médecine et auteur de plusieurs livres sur la contraception (1), revient sur cette polémique qui ne cesse d'enfler.

Magicmaman : L’Agence Nationale de Sécurité du Médicament vient tout juste d’abandonner l’idée de restreindre la prescription de la pilule 3ème génération aux spécialistes. Comment expliquer cette décision ?
Martin Winckler : Je pense que la "décision" initiale n'en était pas une, c'était une intention, peut-être suggérée par un "expert" très mal informé, ou peut être lancée seulement pour voir comment les professionnels réagiraient. Il y a eu un tel lever de bouclier des généralistes et des épidémiologistes (qui leur ont montré que les spécialistes sont les principaux prescripteurs de ces pilules) qu'ils ont vu que c'était une mauvaise idée. Restreindre une prescription à des "spécialistes", c'est interdire à ceux qui ne le sont pas de la contester et de la rectifier si elle est dangereuse. C'est donc restreindre la sécurité des patient(e)s. En réalité, tous les professionnels de santé et toutes les femmes devraient savoir comment se prescrit une contraception et sur quels critères. Il est en effet illogique d'exiger des femmes qu'elles sachent tout (ou presque) des précautions à prendre quand elles sont enceintes, et de les empêcher de savoir comment se protéger quand elles ne veulent pas l'être !

J'ai vu trop de femmes traitées pour une épilepsie se retrouver enceintes parce que leur neurologue ne leur avait pas dit que le traitement inactivait la pilule, trop de femmes souffrir parce qu'on leur interdisait la prise d'un anti-inflammatoire sous prétexte qu'elles portaient un DIU, et beaucoup d'autres bêtises éructées par des professionnels ignorants. L'ignorance, le cloisonnement des savoirs et des pratiques (et la surspécialisation qui les entretient) sont les pires ennemis des patient(e)s.

En l'occurrence, la bonne attitude, la plus raisonnable et la moins catastrophiste consiste à :
1° à énoncer de nouveau très clairement les règles de prescription et de prudence de ces pilules
2° à les faire connaître à TOUTES les femmes et à tous les professionnels de santé
3° à inciter fortement les médecins à prescrire d'autres méthodes (en particulier DIU et implants)
4° à réduire progressivement la prescription des pilules de 3e génération aux utilisatrices qui ne sont pas à risque et à celles qui ne veulent pas (ou ne peuvent pas utiliser/tolérer) une autre méthode, en pratiquant un bilan de coagulation chaque fois qu'on est dans le doute sur les antécédents de ces femmes. Mais tout cela découle de l'information.

Magicmaman : Avons-nous aujourd’hui à faire à une crise de confiance des femmes envers la pilule de troisième génération et plus largement envers les professionnels gynécologues ? Qu’est-ce qui explique, au-delà des récents scandales ultra-médiatisés, cette méfiance ?
Martin Winckler : Le manque de confiance découle du mépris des professionnels (pas seulement les gynécos, mais beaucoup de médecins, en général), de leur refus de répondre ou de s'engager aux côtés des patient(e)s, du refus de prendre en compte leurs demandes (de DIU, de ligature de trompes, d'accouchement dans de meilleures conditions, d'accouchement par voie basse même après césarienne, d'expulsion sans épisiotomie, etc.). Les femmes lisent et s'informent. Les gynécologues obstétriciens qui font de même et qui ne voient pas leur travail comme un rapport de pouvoir n'ont pas de difficultés avec elles. Ceux et celles qui, en revanche, prennent sans arrêt ombrage du fait qu'une patiente est une personne autonome qui a le droit de faire des choix éclairés, même si ce choix semble mauvais au professionnel, ne sont pas des soignants mais des professionnels paternalistes. C'est ce paternalisme dont les femmes françaises ne veulent plus. Elles me l'écrivent depuis que j'ai publié Contraceptions mode d'emploi en 2001 puis Choisir sa contraception en 2007. Elles me l'écrivent depuis que j'ai publié Le Choeur des femmes. Ces milliers de femmes qui m'ont écrit depuis dix ans ne devraient pas avoir à écrire à un type qui ne peut leur donner que des encouragements verbaux car elles ne trouvent pas de médecin qui respecte leurs questions et leurs désirs. C'est insupportable.


Magicmaman : Que peut-on aujourd’hui conseiller aux femmes qui souhaitent bénéficier d’une contraception respectueuse de qui elles sont, sans danger ?
Martin Winckler : Tout d'abord, de lire et d'échanger le plus possible sur le sujet ; une information gratuite est disponible partout : sur le site choisirsacontraception.fr de l'INPES (commandité par le ministère de la santé) ; sur mon site personnel (www.martinwinckler.com) ; sur le site masexualite.ca des Obstétriciens canadiens (qui sont bien plus respectueux du choix des femmes que les français) et bien d'autres.

Ensuite, ces femmes doivent chercher un médecin (généraliste ou gynécologue) ou une sage-femme (habilitées à prescrire toutes les méthodes, et elles le font très bien) qui les écoute et qui leur présente TOUTES les méthodes et les laissent choisir ou essayer et changer à leur guise.

Enfin, elles doivent faire ce choix en fonction de leur mode de vie, de leurs préférences et de leurs valeurs et du CONFORT qu'elles attendent de leur méthode sans chercher à faire deux choses à la fois. Une pilule c'est pour la contraception. Si elle veulent un traitement de l'acné, il faut qu'elles se fassent prescrire un traitement de l'acné et non pas "une pilule pour l'acné" : c'est grâce à cet argument de marketing qu'on a multiplié inutilement les prescriptions de pilules de 3e génération.

Magicmaman : que conseillez-vous de faire aux utilisatrices de ces pilules dites de troisième génération ?
Martin Winckler : Si c'est leur première contraception, et si elles la prennent depuis quelques mois (moins de 2 ans), je leur conseille de s'en faire prescrire rapidement une autre (une pilule 2e génération ou autre chose).

Si elles la prennent depuis plusieurs années et si elles n'ont pas ou d'antécédents familiaux (phlébite, accident thrombo-embolique) chez les femmes de leur famille (soeurs, mère, tantes maternelles, grand-mères) ou de facteur de risque personnel (surpoids important, sédentarité, tabac, plus de 35 ans) , il n'y a pas de danger à la poursuivre. Mais arrivées à 35 ans, je leur conseille de changer de pilule ou de méthode, qu'elles fument ou non.

Si elles prennent ce type de pilule parce qu'on leur a refusé un DIU sous prétexte qu'elles n'ont pas d'enfant, je leur recommande d'aller fermement demander à leur gynéco de changer d'attitude car il leur a fait prendre des risques inutiles et, s'il ou elle ne veut pas entendre raison, je leur conseille de changer de gynéco et de faire clairement savoir autour d'elles pourquoi elles ne veulent plus le/la voir. C'est seulement dans ces conditions que les professionnels indélicats ou maladroits ou mal informés (sans pour autant être malveillants ou stupides) modifieront leurs attitudes.

(1)Le choeur des femmes aux éditions P.O.L, Choisir sa contraception aux



Pour en savoir plus : Contraception : faut-il craindre les pilules de 3ème génération ? - Magicmaman.comÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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L'Auvergne, parmi les régions de France les plus touchées par la grippe et la gastro-entérite
La grippe a déjà attaqué très fort en Auvergne : 11 000 personnes ont été touchées fin 2012. L'épidémie de gastro-entérite devrait se confirmer cette semaine.

Par Evelyne Rimbert
Publié le 08/01/2013 | 12:15, mis à jour le 08/01/2013 | 12:57 237 cas de syndromes grippaux pour 100 000 habitants ont été signalés en Auvergne,fin décembre 2012. Un chiffre au-dessus du seuil épidémique de 176 cas.

ImprimerEnvoyer+ grand+ petitAvec 11 000 personnes frappées par la grippe fin décembre 2012, l'Auvergne est l'une des régions les plus touchées en France. Une grippe sans caractère de gravité mais qui a rempli les cabinets médicaux auvergnats.
Selon les médecins du réseau de surveillance Sentinelles, le seuil épidémique de la grippe a été dépassé, au plan national, la dernière semaine de 2012.
En Auvergne, l'Allier a été le premier département à passer en mode épidémique à cette même période. Actuellement, l'activité grippale est en train de monter en puissance sur l'ensemble de la région. Le pic devrait être dépassé dans les semaines à venir.

L'épidémie de gastro-entérite devrait se confirmer cette semaine

La semaine dernière, 300 cas de diarrhée aiguë pour 100 000 habitants ont été comptabilisés en Auvergne. L'épidémie de gastro-entérite devrait être confirmée cette semaine pour la région Auvergne.
Une gastro-entérite particulièrement virulente cet hiver. En cause, un nouveau type de virus qui a touché et continue à toucher de nombreux enfants.

Au menu également des Auvergnats : la bronchiolite. Un virus qui s'attaque aux jeunes enfants. Une épidémie particulièrement importante le mois dernier et qui commence à faiblir.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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Le "seigneur de l'anneau"
LE MONDE | 08.01.2013 à 16h04
Par Renaud Machart (C'est à voir...)


Calendrier "résolutions" 2010, "tout en rondeurs" pour sensibiliser autrement à la prévention du surpoids et de l'obésité | Capital Image
En regardant, lundi 7 janvier, sur France 3, à 20 h 45, la première partie du diptyque documentaire "Le combat contre l'obésité" (2012), de Jean-Baptiste Gallot et Hervé Brèque, j'ai eu un sentiment de déjà-vu. Le visage du personnage central du film, le charismatique et sympathique docteur Guillaume Bécouarn, qui professe et opère dans la région angevine, ne m'était pas inconnu, et la structuration du récit me rappelait un documentaire similaire vu il y a quelques années. En effet : quelques clics sur Internet m'ont permis de retrouver la trace d'un autre diptyque, signé des deux mêmes auteurs, "Obésité, le poids de la souffrance", qu'avait diffusé France 3 en 2008. On y suivait, sur le même mode narratif et avec les mêmes personnages types, le calvaire débilitant d'obèses morbides, leurs angoisses et leurs espoirs avant la pose d'un anneau gastrique, dit "bypass" (la spécialité du docteur Bécouarn, qui consiste à réduire la jauge de l'estomac), leur transformation, souvent heureuse, mais parfois difficile.
Etaient abordés, en 2008 comme en 2012, les éventuelles complications liées à cette opération aujourd'hui courante mais non sans risques, et la nécessité de constituer, avant l'intervention, un minimum de masse musculaire afin que le corps supporte ces terribles transformations (certains perdent jusqu'à 100 kg en quelques mois), et de se soumettre par la suite à un minimum d'exercices physiques quotidiens. Un long passage de ce nouveau documentaire concernait l'association Obésité sans complexes, où l'on voyait d'anciens très gros se plonger pour la première fois en trente ans dans une piscine, ce que la honte de leur corps et le regard des autres les avaient empêchés de faire.

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Tout cela est frappé au coin du bon sens. Mais il manque cependant à ce documentaire la distance, la variété de témoignages, le point de vue d'autres médecins qui permettraient de jeter un regard plus complexe sur ce phénomène. Non qu'on doute de l'expertise du docteur Bécouarn, mais quatre documentaires en cinq ans consacrés à son activité et à ses succès finissent par paraître un rien hagiographiques.

Par ailleurs, comme souvent dans ce type de sujets sur l'obésité, la part psychologique n'est pas assez prise en compte : la plupart des patients du docteur Bécouarn avouent la souffrance due à leur dépendance à la nourriture, mais rien de réellement déterminant n'est dit à ce sujet, sur lequel on aurait aimé entendre le point de vue de psychothérapeutes spécialistes des comportements alimentaires compulsifs.

Enfin, on souhaiterait, de la part du service public, un type de récit plus sobre et qui se démarque plus nettement des usages de la télé-réalité. On ne va pas reprocher aux malades de pleurer devant la caméra, mais aux documentaristes d'avoir souscrit à des illustrations sonores de séries télévisées : rythmique guillerette avec marimba quand le ton est léger, grandes tenues synthétisées, avec quelques notes de piano égrenées quand le récit devient poignant. La graisse sonore est moins dangereuse que celle qui gagne nos corps, mais quelle engeance...Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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Les dépenses de santé ont marqué le pas en 2012
Les remboursements des soins n’ont progressé que de 0,5% sur les onze premiers mois de 2012, selon l’Assurance-maladie. Les dépenses de médicaments et d’arrêt de travail sont même en recul.

Diane Lacaze
Le 09/01/2013 à 10:20 - + Imprimer
cet article réagir La fièvre des dépenses de santé retombe (DR)
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Le déficit abyssal de la Sécurité sociale commercerait-il tout doucement à se résorber ? Les chiffres, publiés mardi 8 janvier par l’Assurance-maladie, montrent en effet un recul des dépenses de santé.

Sur les onze premiers mois de 2012, les remboursements de soins de ville du régime général sont quasiment stables, avec une légère progression de 0,5%.

Des postes sont d’ailleurs en recul. Tout d’abord, les dépenses de médicaments se replient de 0,8%, "l’augmentation de la délivrance de médicaments génériques a un impact sensible depuis quatre mois", explique dans son communiqué l’Assurance-maladie.

Les remboursements de soins de médecins et dentistes sont stables sur les onze premiers mois de l’année par rapport à la même période de l’année précédente. Ensuite, les dépenses d’arrêt de travail baissent de 1,6% "du fait, notamment, de la modification des règles de calcul intervenues dans le cadre de la loi de financement de la sécurité sociale pour 2012". Enfin, les dépenses d’analyses médicales diminuent de 2% à fin octobre, sous l’effet des baisses tarifaires.

Néanmoins, ces chiffres sont à nuancer. Si l'on se réfère aux dates des soins facturés, qui reflètent mieux l'évolution de la consommation que les dates de remboursement, la hausse des dépenses pour l’ensemble des soins de ville atteint 1,8% à fin septembre.

De plus, il faut encore prendre en compte les 450 millions d'euros de primes pour les médecins qui auront atteint des objectifs de santé publique et de maîtrise des prescriptionsÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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Santé : Téléphones portables, de nouvelles preuves concernant les risques sur la santé Publié le 9 janvier 2013 à 10:53 par Zeke|Partager
Téléphone portable
Un rapport du groupe de travail BioInitiative vient d’annoncer que de nouvelles preuves concernant le risque des technologies sans fil et les ondes électromagnétiques, tels que les portables sur la santé.



1800 études ont été analysés pour réaliser ce rapport. Les risques se porteraient sur les enfants, les femmes enceintes et les futurs parents.



Le rapport met en évidence le fait que les ondes électromagnétiques augmenteraient le risque de développer un gliome, une tumeur cérébrale maligne ou une tumeur du nerf acoustique.

Le rapport préconise le classement dans ces ondes comme cancérigène.

Le débat se relance sur l’impact de tous ces objets sur notre santé.



Ces ondes pourraient selon les résultats des études, altérer les spermatozoïdes au niveau de l’ADN provoquant des problèmes chez les futurs enfants.

Chez les enfants, l’hyperactivité pourrait se développer avec les ondes. L’autisme pourrait également être accru par l’augmentation de ces ondes électromagnétiques.

Le rapport demande un changement des seuils légaux pour la protection de la population.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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santé - chr metz-thionville
Metz : la maternité déménage lundi
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L’hôpital-maternité de Metz entamera son déménagement à Mercy ce lundi 14 janvier. Photo Maury GOLINI
Le CHR Metz-Thionville engage la 3e phase de son déménagement, du 14 au 25 janvier, après le transfert des activités de l’hôpital Bon-Secours de Metz sur le site de Mercy en juin et septembre/octobre derniers.

En effet, l’hôpital-maternité de Metz entamera son déménagement à Mercy ce lundi 14 janvier dans le bâtiment accueillant les activités femme, mère-enfant, bâtiment qui jouxte l’hôpital principal de Mercy.

Cette structure de 156 lits et places et de 40 M€ regroupe les activités de gynécologie, d’obstétrique, de pédiatrie, de néonatologie, ainsi que le centre de planification familiale et le centre de procréation médicalement assistée.

L’hôpital femme-mère-enfant est le fruit du regroupement des activités du CHR et de l’ancien hôpital maternité Sainte-Croix (Etablissement privé adhérent de la FEHAP) et dont l’intégration a été effective au 1er janvier 2009.

Un planning et une organisation spécifiques ont été mis en place pour le déménagement. Les patientes transférées seront transportées par VSL ou ambulances selon leur état de santé et accompagnés par les équipes de l’hôpital-maternité de Metz. Durant cette période de déménagement, l’hôpital-maternité de Metz maintiendra sa mission de service public et la prise en charge médicale, obstétricale, et chirurgicale 7 jours/7 et 24h/24 des futures mamans, patientes et enfants en néonatologie.

« À compter du jeudi 24 janvier, 8h, les accouchements auront lieu à Mercy, et non plus à Sainte-Croix », indique Dominique Peljak, directeur général adjoint du CHR.

Quelque 300 employés, une cinquantaine de patientes et parturientes, et une vingtaine de bébés sont concernés par le déménagement.

L. B.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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Santé publique - Contamination par les rats
75 cas de leptospirose en 2012
La cellule interrégionale d'épidémiologie à La Réunion et Mayotte (CIRE) a recensé 75 cas de leptospirose au cours de l'année 2012, indique l'agence régionale de santé (ARS) ce mardi 8 janvier 2013. 74 cas de cette maladie grave, principalement transmise à l'homme par les rats, ont été confirmés. 73 de ces malades ont été hospitalisés et 29 d'entre eux sont passés en service de réanimation. "Malgré des formes très sévères ayant entrainé des hospitalisations longues et pour 3 patients des séquelles rénales, aucun décès n'a été enregistré sans doute du fait de la précocité du diagnostic et de la qualité de la prise en charge hospitalière" commente l'ARS (Photo : www.dinosoria.com).
Posté par IPR il y a 8 heures

L’âge moyen des malades était de 40 ans et les hommes représentaient 95% des malades hospitalisés, note la CIRE. Elle souligne que "depuis les premières études sur la maladie en 2002, les femmes ne représentent que 5% du total des cas recensés".

La CIRE ajoute qu'une exposition "domiciliaire" est retrouvée pour 81% des patients. À savoir : présence de rats (71%), logements insalubres (20%), élevage d'animaux à domicile (40%), jardinage (47%), usage d’eau non traitée (6%). Pour les malades présentant une exposition professionnelle, 86 % appartiennent à une profession à risque avec la répartition suivante : agriculteurs (55%), spécialistes des espaces verts (15%), bâtiment (10%) et autres (6%).

L’existence d’une blessure favorise la pénétration du germe, remarque la CIRE. Ainsi "42% des patients présentaient une blessure lors de la période d’exposition, 60% n’utilisaient aucune protection, 26% une protection partielle, 4% une protection complète dans le cadre professionnel seulement, et 11% une protection dans le travail et les loisirs" énumère la cellule épidémiologie. "Lorsqu’une seule hypothèse de contamination a pu être identifiée, l’exposition en eau douce a été retenue pour 20% des cas'" ajoute-t-elle.

Les leptospires sont des bactéries susceptibles d’infecter un grand nombre de mammifères sauvages (rongeurs et insectivores : rats, tangues, musaraignes, etc.) et domestiques (bovins, ovins, caprins, porcs, chiens) qui les évacuent dans leur urine. Les bactéries peuvent survivre plusieurs mois dans un milieu humide et chaud.

Les leptospires sont responsables de manifestations cliniques allant du syndrome de la grippe bénigne à des défaillances multi viscérale potentiellement mortelle. La leptospirose débute après une incubation de 4 à 19 jours, par l’apparition brutale d’une fièvre avec frissons, myalgies, céphalées, troubles digestifs fréquents puis évolue en septicémie avec atteintes viscérales : hépatique, rénale, méningée, pulmonaire… "

Les renseignements recueillis auprès de 101 malades soulignent "le polymorphisme de la leptospirose à la phase initiale" indique la CIRE en citant : syndrome grippal (49%), fièvre isolée (18%), association d’asthénie (fatigue) majeure, céphalées, myalgies,et/ou arthralgie sans fièvre initiale (18%), myalgies arthralgies isolées (5%) et autres signes (10%).

Les précautions à prendre pour éviter la maladie sont les suivantes :

− dans la mesure du possible, se protéger par le port de bottes et de gants lors d’une activité à risque (agriculture, élevage, jardinage, pêche en eau douce, chasse…);

− éviter de se baigner en eau douce lorsqu’on est porteur de plaies (ou protéger les plaies en utilisant des pansements imperméables) et limiter les contacts des muqueuses avec l’eau ;

− éviter de marcher pieds nus ou en chaussures ouvertes sur des sols boueux ;

− consulter sans délai un médecin en cas d’apparition des symptômes en lui signalant l’activité à risque pratiquée.

Ces mesures sont à renforcer durant la saison des pluies.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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Concours kiné et orthophoniste : des olympiades pour tester son niveau
L'IRSS, une prépa privée aux concours du social et du paramédical, organise durant deux jours en Bretagne une simulation des concours d'entrée en écoles de kiné ou d'orthophonie. Des olympiades ouvertes à tous : lycéens, étudiants en première année de médecine ou déjà en prépa.
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Chaque année, des milliers d'étudiants tentent les concours d'entrée dans les écoles de kiné et d'orthophonie... mais seul un petit pourcentage réussit à s'y faire une place, souvent après une année intensive en prépa privée. C'est ce qui a incité l'une de ces prépas, l'IRSS, l'Institut régional sport et santé, à proposer une simulation intensive aux concours.

L'initiative, lancée en 2012, est reproduite en 2013 et elle n'est pas réservée aux inscrits à l'IRSS mais est ouverte à tous les futurs candidats des concours kiné et orthophonie 2013 ! Pendant 2 jours, les élèves passent des concours blancs en kiné ou orthophonie. Au programme : une série d’épreuves originales de type QCM pour tester ses connaissances et se situer par rapport aux autres.

"Cette répétition générale unique permet aux élèves de se mettre en condition réelle de concours mais aussi de se confronter les uns aux autres : lycéens, étudiants en première année médecine ou en classe prépa, désireux d’accéder aux concours de kiné et orthophonie”, explique Jacky Pohu, responsable de l’école IRSS de Cholet.

A l’issue des épreuves, les candidats obtiennent les corrigés d’épreuves et un classement officiel par voie électronique. Précision importante : ces "olympiades" ont lieu en Bretagne, à Rennes, Cholet et NantesÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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Re: actualité 2012-2013

Message par minijim »

Un paon de Genève, suspect n°1 dans la flambée d’une épizootie
8 janvier


Un paon de Genève, suspect n°1 dans la flambée d’une épizootie
Une chaîne humaine pour sauver les éléphantes Baby et Népal
Brigitte Bardot menace de devenir russe pour la cause de deux éléphants
Quand on lutte avec des alligators pour sauver leurs oeufs
Préservez le foie de votre chien et de votre chat
Aux USA, le bison fait son retour pour rétablir un écosystème naturel
Des pigeons attaqués par des poissons dans le Tarn
Une grâce présidentielle pour sauver deux éléphants à Lyon
Aux USA, le bison fait son retour pour rétablir un écosystème naturel
Brigitte Bardot menace de devenir russe pour la cause de deux éléphants
Quand on lutte avec des alligators pour sauver leurs oeufs
Un paon de Genève, suspect n°1 dans la flambée d’une épizootie

Des pigeons attaqués par des poissons dans le Tarn
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Une grâce présidentielle pour sauver deux éléphants à Lyon
Préservez le foie de votre chien et de votre chat
Un paon de Genève, suspect n°1 dans la flambée d’une épizootie
Une cinquantaine de chiots maltraités dans la Meuse

Selon vous, les 2 éléphantes de Lyon, Baby et Népal..




..doivent être soignées
..doivent être euthanasiées


Patrick Rollo
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335 articles Henri de Miebenthal
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Patrick Rollo
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0Un paon de Genève, suspect n°1 dans la flambée d’une épizootieVictimes de la maladie de Newcastle, hautement contagieuse pour de nombreuses espèces d’oiseaux mais sans impact réel pour l’homme, 140 poules d’une ferme de la campagne genevoise, en Suisse, ont été mises à mort et leurs œufs détruits. On suspecte un paon, originaire d’un jardin botanique et qui a été vendu à l’exploitation, d’avoir déclenché l’épizootie. Des analyses sont en cours pour cerner au plus près le parcours du virus.

Les volatiles de Suisse ne sont décidément pas en forme. Après l’hécatombe des pigeons morts à Genève il y a deux ans (non pas empoisonnés, mais à cause de la maladie de Newcastle comme on le saura plus tard), c’est au tour des poules des environs de cette ville d’être mises à mal. Le 7 janvier dernier, pas moins de 140 poules pondeuses d’une exploitation du canton de Genève ont du être gazées, et leurs œufs détruits, en raison d’une épizootie. La maladie de Newcastle, aussi appelée "pseudopeste aviaire", hautement redoutée dans les élevages avicoles, a en effet été diagnostiquée dans une ferme de la commune de Meinier (non loin du lac Léman d’un côté, et à proximité de la frontière française de l’autre) lors de prélèvements de surveillance effectués le 24 décembre dernier.

Des échantillons des volailles ont été prélevés pour analyses, dont les résultats devraient être dévoilés dans le courant de la semaine. Selon les vétérinaires, aucun symptôme clinique n’aurait été détecté chez les poules des autres exploitations environnantes. La maladie de Newcastle, qui est hautement contagieuse et se transmet de manière aérogène ou par contact direct, avait jusqu’ici plutôt épargné les volailles de Suisse. Le virus naturel est probablement diffusé par les oiseaux migrateurs, mais les épizooties chez la volaille semblent liées aux pratiques avicoles. Comme le souligne le vétérinaire cantonal Jérôme Föllmi « l’infection s’avère parfois très rapide, entraînant la mort subite de l’animal. Et si la maladie se développe, les symptômes sont la fièvre, une apathie prononcée, une anorexie, voire des difficultés respiratoires ou des paralysies locales ».

Quoiqu’il arrive, pas d’inquiétude particulière pour l’homme, qui ne court pas grand danger. Dans le cas le plus critique, un individu en contact avec les animaux malades pourra développer, au pire, une conjonctivite. Une enquête a été entamée par des vétérinaires du canton pour déterminer la provenance du virus, et une piste a déjà été établie : elle mène à un paon du jardin botanique de Genève. Gilles Nussbaum, responsable du parc animalier de ce jardin botanique, s’explique : « Nous avions vendu un de nos paons, l’an dernier, à la ferme de Meinier où a eu lieu la contamination ». Depuis cette révélation, des vétérinaires effectuent des prises de sang sur des paons mais aussi des poules et des canards du parc.

Inquiet, Jérôme Föllmi attend les résultats des analyses avec angoisse : « Si les résultats s’avéraient positifs, il faudrait tirer des conclusions sur les oiseaux du parc. D’un autre côté, on ne peut absolument pas contrôler le passage des oiseaux indigènes ». Le virus peut affecter tous les lieux où vivent des oiseaux. Et, comme le rappelle très justement le vétérinaire, les oiseaux d’appartement, comme les canaris et les perruches, ne sont pas à l’abri. Pour l’heure, la Suisse ne procède pas à la vaccination des volailles, comme c’est le cas dans les pays frontaliers. Mais un projet de loi sur les épizooties, et qui serait votée courant 2013, pourrait changer la donne.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
minijim
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Re: actualité 2012-2013

Message par minijim »

Psychiatrie. Privé et public collaborent
9 janvier 2013 - Réagir à cet article
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.La clinique privée Pen an Dalar,de Guipavas, et l'hôpital de Landerneau, ont signé hier après-midi une convention de coopération dans le domaine de la psychiatrie.

La clinique privée Pen an Dalar, installée route de Paris, à la sortie de Guipavas, et l'hôpital Ferdinand-Grall de Landerneau travaillent ensemble depuis de nombreuses années dans le domaine de la psychiatrie. La clinique de Guipavas a été créée en 1947 et a rejoint le groupe «Générale de Santé» en l'an 2000. Cet établissement privé dispose de 107 lits en hospitalisation complète, d'une dizaine de lits d'hospitalisation de nuit et d'une dizaine de places en centre de jour. L'établissement, où travaillent près de 100 salariés, accueille de 130 à 140 patients par jour et totalise plus de 40.000 journées d'hospitalisation par an. L'hôpital Ferdinand-Grall dispose de son côté, à Landerneau, de47lits en hospitalisation complète, dans un bâtiment indépendant à proximité de l'hôpital général, de 15 places en accueil de jour et quatre lits en accueil de nuit, dans deux lieux situés dans le centre-ville. L'hôpital de Landerneau fait partie du secteur 13 et ses30salariés prennent en charge 1.400 personnes environ dans l'année.

Hospitalisation sous contrainte

Les deux établissements travaillent déjà ensemble, notamment pour traiter les urgences et pour assurer la prise en charge des patients hospitalisés sous contrainte. La clinique de Pen an Dalar n'accepte eneffet que les patients adultes dont les troubles psychiatriques sont compatibles avec une hospitalisation libre. «Il est important que les différentes structures spécialisées dans le domaine de la psychiatrie communiquent entre elles et travaillent ensemble, ont expliqué hier les responsables de la clinique de Pen an Dalar et de l'hôpital Ferdinand-Grall. Le travail en réseau est nécessaire pour le bien-être des patients et surtout pour assurer la continuité des soins». La collaboration entre la clinique privée et l'hôpital public «marche très bien» et «la convention est une mise en évidence de ce fonctionnement. Elle va nous donner les moyens d'étendre cette pratique et de travailler dans de bien meilleures conditions». Pour les médecins et les infirmières, la convention représente «l'officialisation d'un travail quotidien, obligatoire pour les patients quidoivent être pris en charge aulong cours. Ils sont souvent suivis sur des mois, voire des années. Il n'y a pas d'opposition entre les différents services, c'est un travail en complémentarité sur le long terme pour proposer aux patients la prise en charge la plus adaptée». Le renforcement des relations entre les deux partenaires, en adéquation avec le plan régional de santé, va donc faciliter les échanges et le suivi des patients à Guipavas et Landerneau, dans l'établissement qui leur convient le mieux.

Guy PellenÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
minijim
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Re: actualité 2012-2013

Message par minijim »

La Cour suprême des États-Unis refuse de se saisir d'un recours contre le financement public des recherches sur les cellules souches embryonnaires.

Sans faire de commentaire, la Cour a rejeté la plainte de deux chercheurs qui plaidaient que ce financement allait à l'encontre de la loi fédérale qui interdit la création et la destruction d'embryons à des fins de recherche scientifique. Les deux chercheurs en question font des travaux sur des cellules adultes et non sur l'embryon.

La décision de lundi de la Cour suprême vient mettre un terme à une longue saga judiciaire sur le sujet.

Sous la présidence de George W. Bush, la recherche avait été interdite pendant huit ans pour des raisons morales et religieuses. Pendant cette période, la recherche privée sur ce type de cellules avait toutefois pu progresser. Puis, en mars 2009, le président Barack Obama avait réautorisé la recherche sur les cellules souches embryonnaires, jusqu'à ce qu'en août 2010, un tribunal fédéral de Washington la suspende provisoirement en attendant qu'une cour statue sur le fond.

Le financement public avait finalement été autorisé par la Cour d'appel fédérale en avril 2011. Celle-ci avait notamment statué que le financement public d'un projet utilisant des cellules souches provenant d'un embryon n'était pas problématique « puisqu'une cellule souche n'est pas un embryon et ne peut pas se développer pour devenir un être humain ».

L'Agence américaine de la santé se réjouit

La décision de lundi a été immédiatement saluée par l'agence fédérale de la santé, la National Institute of Health (NIH).

Les travaux sur les cellules souches représentent un espoir de nouveaux traitements médicaux pour plusieurs patients et chercheurs. « Les patients et leurs familles qui attendent de nouveaux traitements pour remplacer leurs cellules perdues lors d'une maladie ou d'un accident, ou qui pourraient bénéficier de nouveaux médicaments issus de recherches sur les cellules souches embryonnaires peuvent être assurés que le NIH continuera d'aider ces recherches prometteuses », a d'ailleurs assuré lundi le NIH.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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Re: actualité 2012-2013

Message par minijim »

voila pour aujourd'hui si vous trouvez d'autre article faites les passer ici ca aide bien pour les revisions :clin:Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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Re: actualité 2012-2013

Message par minijim »

L'épidémie de gastro-entérite atteint son pic
Mots clés : Gastro-entérite, Épidémies hivernales
Par Service infographie du Figarolefigaro.fr - le 10/01/2013
INFOGRAPHIE - Après le franchissement du seuil épidémique il y a deux semaines, le virus hivernal circule dans toute la France.
L'épidémie de gastro-entérite a bien démarré et conduit en deux semaines près d'un demi-million de personnes à consulter un médecin généraliste, a annoncé mercredi le réseau de surveillance Sentinelles-Inserm. Conséquence: selon son modèle de prévision basé sur des données historiques, «le niveau d'activité des diarrhées aiguës devrait commencer à diminuer cette semaine».
Les régions les plus touchées la semaine dernière étaient: Midi-Pyrénées (627 cas pour 100.000 habitants), Languedoc-Roussillon (555), Limousin (514), Aquitaine (509), Centre (482), Nord-Pas-de-Calais (463), Haute-Normandie (440) et Poitou-Charentes (410).

Les cas recensés ne présentaient pas de critère particulier de gravité - seuls 0,6% des malades ont été hospitalisés.
Les bébés plus fragilesLa gastro-entérite virale se manifeste par des diarrhées, des vomissements, des crampes abdominales et parfois une légère fièvre. Elle est très contagieuse. Elle peut se transmettre directement - de personne à personne - ou indirectement, par l'intermédiaire de l'eau ou d'aliments contaminés. Pour s'en prémunir, les médecins conseillent de se laver les mains régulièrement, notamment en sortant des toilettes, avant et après avoir changé un bébé, avant et après les repas et, pendant leur préparation, à chaque changement d'aliment. Il faut également éviter de porter à la bouche la cuillère d'un enfant ou de boire dans le verre d'autrui.
La plupart des personnes atteintes se rétablissent en l'espace de un à trois jours, avec du repos et une alimentation adaptée. Les adultes n'ont pas forcément besoin de consulter s'ils veillent à bien s'hydrater (eau additionnée de sucre et de sel, soupe). En revanche, les bébés et les jeunes enfants, plus sensibles au virus, doivent être présentés à un médecin afin d'éviter tout risque de deshydratation sévère. Des solutés de réhydratation orale sont disponibles en pharmacie et remboursés sur prescription. Il vaut toujours mieux en avoir d'avance quand on a un jeune enfant. Les personnes âgées, vulnérables, doivent également faire l'objet d'une attention renforcée.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Verrouillé