Actualités 2009

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fatiha25
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Re: Actualités 2009

Message par fatiha25 »

Morte à cause de pilules amincissantes?

Hier, 18h39
Le Post LePost


Ce mercredi, le parquet de Bobigny (Seine-Saint-Denis) a ouvert une information judiciaire contre X pour "administration de substances nuisibles ayant entraîné la mort sans intention de la donner".

Que s'est-il passé?

Nicole, une habitante de Sevran est décédée vendredi à l'hôpital d'Aulnay-sous-Bois, d'une embolie pulmonaire, après avoir consommé des gélules amaigrissantes, selon Le Parisien.

La jeune femme de 32 ans suivait depuis une semaine un traitement amincissant à base de pillules qu'elle avait acheté par une connaissance.

Depuis, elle se plaignait d'être victime de malaises récurrents.

Selon les premiers résultats de l'expertise, ces gélules contiennent de la sibutramine, un produit "très dangereux, qui a pu favoriser la survenue d'une embolie pulmonaire", selon une source judiciaire citée sur LeMonde.fr

La jeune femme était mère de deux enfants de 10 ans et 22 mois.
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Re: Actualités 2009

Message par fatiha25 »

Etam retire de la vente des chaussures et bottes chinoises suspectes

Hier, 17h16
AFP


L'enseigne textile Etam a commencé à retirer du marché une paire de bottes et une paire de chaussures fabriquées en Chine et contenant des sachets d'un fongicide soupçonné de provoquer de graves réactions allergiques, a indiqué mercredi l'entreprise à l'AFP.

"Nous avons reçu hier un dossier de la part d'une dermatologue qui a reçu une patiente souffrant d'un eczéma aigu sur le pied apparu après qu'elle ait porté des bottes achetées chez nous. L'allergie serait causée par du diméthylfumarate, qui pourrait avoir été présent dans un sachet humidité placé dans les chaussures", a indiqué une porte-parole d'Etam.

"Nous avons enlevé immédiatement de nos magasins toutes les références de bottes incriminées, ainsi qu'une deuxième paire de chaussures susceptibles de contenir le même produit dans le même sachet", a-t-elle poursuivi.

"Nous avons demandé à tous nos fournisseurs de cesser d'utiliser cette substance. Nous sommes en train de lancer une procédure de rappel sur les produits en question", a-t-elle indiqué, expliquant que l'enseigne tentait de retrouver chaque cliente ayant acheté ces chaussures, grâce notamment à leurs cartes de fidélité.

Les clientes qui rapportent ces bottes en magasin seront remboursées intégralement, a-t-elle dit.

Ces bottes, qui étaient en magasin depuis le 20 octobre, ont été vendues à 881 exemplaires. L'autre paire de chaussures suspecte a été vendue à 192 exemplaires.

"Nous avons envoyé à notre laboratoire la botte, le sachet et la boîte dans laquelle ils se trouvaient pour analyser de quelle substance il s'agit", a expliqué cette porte-parole. "Nous n'avons pas de certitude que l'eczéma est lié à cette substance", a-t-elle dit.

Le produit incriminé est enfermé dans de petits sachets destinés à empêcher les moisissures. Contrairement au gel de silicate, le diméthylfumarate peut rapidement provoquer des eczémas importants, entraînant brûlures et douleurs nécessitant la prises de corticoïdes.

Le diméthylfumarate avait déjà été retrouvé dans des lots de fauteuils chinois ayant causé des allergies et retirés de la vente fin juin par le groupe Conforama.
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Re: Actualités 2009

Message par fatiha25 »

HALDE: halte aux stéréotypes dans les manuels scolaires

il y a 3 heures 16 min
AP Cécile Roux
* Imprimer

Un patron et une secrétaire, des pays d'Afrique présentés sous l'angle de la pauvreté, une personne âgée "impotente" ou membre d'un "club du troisième âge"... Les stéréotypes demeurent dans les manuels scolaires utilisés dans les collèges et lycées.

Sur la base d'une étude consacrée au sujet, la HALDE en appelle aux éditeurs pour assurer une "réelle représentation de la société" dans leurs ouvrages et demande au ministère de l'Education nationale de s'engager en faveur de "la prévention de toutes les formes de stéréotypes".

Dévoilée jeudi, l'étude commandée par la Haute autorité de lutte contre la discrimination et pour l'égalité (HALDE) pointe dans les livres scolaires des représentations éloignées de la réalité, et ce, quelle que soit la discipline étudiée.

Ainsi, les femmes continuent de subir un traitement différencié moins valorisant que les hommes. Sur les illustrations du milieu professionnel par exemple, plus d'un homme sur quatre est présenté en position supérieure (un patron/une secrétaire) ou occupe la fonction considérée comme la plus prestigieuse d'un champ d'activité (un chirurgien/une gynécologue).

Par ailleurs, les personnes d'origine étrangère sont le plus fréquemment montrées dans des situations dévalorisantes et/ou de pauvreté venant notamment renforcer une vision inégalitaire entre Noirs et Blancs; les "seniors" sont eux souvent associés à des représentations liées à la dégénérescence corporelle et à la maladie, que des images positives touchant entre autres à leur rôle citoyen ne parviennent pas à compenser.

Les manuels évoquent aussi rarement le handicap et font "l'impasse" sur le sujet de l'orientation sexuelle, note l'étude qui met également en évidence l'insuffisance d'un lien clair établi par les ouvrages d'instruction civique entre le principe d'égalité et la discrimination.

"Passable mais peut mieux faire compte tenu du talent de l'intéressé", telle est de fait la note attribuée par le président de la HALDE Louis Schweitzer à ces livres.

Les manuels scolaires sont "un domaine important" pour en finir avec les discriminations car "c'est là que les enfants ont l'image que leur projette la société", a-t-il souligné lors d'une conférence de presse à Paris. Mais il a ajouté qu'il n'était pas "étonné" par les résultats de l'étude réalisée entre juin 2007 et mars 2008 par des chercheurs de l'Université Paul-Verlaine de Metz. "On sait tous que les stéréotypes durent et ce que nous voulons, c'est un rythme de changement accéléré" à l'image de "ce qui se passe aux Etats-Unis", a-t-il confié. Et "dire 'le temps résoudra les problèmes' est une réponse inacceptable".

Au même titre que la série télévisée américaine "24 heures Chrono" qui a "montré un président des Etats-Unis noir quelques années avant qu'il n'y ait un candidat noir" à la Maison Blanche, les manuels scolaires doivent être "en avance sur le passé" et "faire apparaître comme normale l'égalité", a observé le président de la HALDE. Pour autant, "il ne s'agit pas d'être irréaliste".

A ses yeux, l'exemple de stéréotype le plus évident, c'est le traitement hommes/femmes. "On est toujours sur les idées d'il y a dix, 20, 30, 50 ans", déplore-t-il. "La femme au foyer, la femme au bureau", "la femme en position d'obéir" face à "l'homme en position d'autorité" dans le domaine professionnel. "Je connais" des femmes "députées", "chirurgiens", "professeurs d'université": "représentons-les!".

Louis Schweitzer considère que l'étude, "utile", a permis aux éditeurs et au ministère de l'Education nationale de prendre conscience qu'"on pouvait accélérer le progrès". Les éditeurs "souhaitent travailler avec nous" pour avancer, a-t-il noté.

Quant au ministère de l'Education nationale, il a fait valoir que la lutte contre les discriminations, notamment l'homophobie, était l'une des dix "priorités" de sa circulaire de rentrée pour 2008/2009. "On demande aux équipes enseignantes d'être particulièrement sensibilisées à ce sujet" et qu'elles se l'approprient "dans leurs classes", a commenté Anne Rebeyrol, chargée de mission à la direction générale de l'enseignement scolaire, en ajoutant que les enseignants bénéficiaient de formations et d'"outils" mis à leur disposition comme des DVD ou des fiches.

Attentive aux suites que donneront les éditeurs et le gouvernement à ses recommandations, la HALDE entend reconduire régulièrement son étude et l'"étendre" aux manuels du primaire, car "les images se forment chez les enfants très jeunes". AP
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Re: Actualités 2009

Message par fatiha25 »

Urgence sanitaire pour les prisons

Hier, 08h01
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Toxicomanies, troubles psychiatriques et trop souvent les deux à la fois… L'état de santé des prisonniers en France, est inquiétant.

C'est le constat dressé par des chercheurs de l'hôpital universitaire Paul Brousse à Villejuif.

Dans 23 prisons françaises, l'équipe du Dr Michael Lukasiewicz est allée à la rencontre de près de 1 000 détenus. Autant de femmes que d'hommes. Chacun a subi un examen médical standardisé, et répondu à une série de questions afin d'évaluer son état de santé mentale.

« Nous avons constaté qu'un prisonnier sur quatre souffrait à la fois de toxicomanie et de troubles psychiatriques plus ou moins sévères » soulignent les auteurs. Entre 74% et 80% de ces détenus seraient dépressifs ou atteints de phobies sociales. Et 30% souffriraient de psychoses sévères. Une réalité préoccupante, qui serait directement liée à l'usage des stupéfiants. En effet « seul un toxicomane sur dix n'était pas atteint d'une pathologie mentale avérée ». Ceci bien évidemment, sans prendre en compte la toxicomanie elle-même.

Ce n'est certes pas la première fois que la détresse psychologique des détenus dans les prisons françaises est montrée du doigt. En 2002 déjà, une enquête conjointe des ministères de la Santé et des Affaires sociales s'alarmait de leur mauvais état de santé. En décembre 2006, c'était au tour du Comité consultatif national d'Ethique pour les Sciences de la Vie et la Santé (CCNE), de publier un avis alarmant sur le sujet. Aujourd'hui, les scientifiques recourent à la presse scientifique internationale pour faire passer le message. Espérons qu'ils gagneront ainsi, en audience !

Source : Alcoholism : Clinical and Experimental Research, 3 novembre 2008
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Re: Actualités 2009

Message par aisse »

fatiha
tu es superbe merci d'etre aussi genereuse
merci pour tous ces sujet d'actualite
franchement merci c du beau travail

et aussi a tous ceux qui ont poster des sujet sur ce site :clin:
en route ..... ET surtout bonne route
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Re: Actualités 2009

Message par fatiha25 »

Cameroun: les rebelles prêts "à garder les otages très longtemps"

LIBREVILLE (AFP) 02/11/2008 12:31

Le commandant Ebi Dari, chef des Bakassi Freedom Fighters qui assure détenir 10 otages enlevés vendredi dans la péninsule de Bakassi, a affirmé samedi à l'AFP que son groupe était prêt "à garder les otages très longtemps". Parmi ces otages, sept sont Français, dont un Franco-Sénégalais, deux sont Camerounais et un autre Tunisien.

"Le gouvernement du Cameroun ne nous a pas encore contactés. S'il ne nous appelle pas, nous garderons les otages pour très longtemps. Nous pouvons les garder très, très longtemps", a affirmé le commandant Dari contacté par téléphone depuis Libreville.

Le chef rebelle n'a pas voulu dévoiler quels étaient les demandes exactes que ferait son mouvement au gouvernement affirmant : "Nous avons envoyé un document il y a trois mois avec nos revendications pour des négociations de paix. Le gouvernement n'a pas répondu".

Demande-t-il l'indépendance de Bakassi ? "Pas exactement", a-t-il répondu laconiquement à l'AFP. Le chef rebelle a réitéré à l'AFP que les otages étaient "bien traités" et précisé qu'on ne pouvait leur parler parce qu'ils se "trouvent dans la forêt hors de la zone de couverture du téléphone".

Sur les onde de la radio française Europe 1, le commandant a démenti vouloir de l'argent : "On ne veut pas d'argent, on ne veut pas d'argent, ça c'est faux". Il a mis en garde les autorités contre une intervention militaire : "Si le Cameroun vient pour ça, ah... Là ça va aller mal pour nos otages. Ils vont tous mourir. S'il essaie, il sait très bien qu'on va le faire, il nous connaît, il ne peut pas faire ça".

Les 10 otages ont été capturés dans la nuit de jeudi à vendredi sur un navire du groupe français Bourbon, le Bourbon Sagitta, opérant sur un terminal pétrolier, au large de la péninsule de Bakassi, à la frontière avec le Nigeria. La France estime qu'il est "de plus en plus crédible" que les BFF détiennent bien les 10 otages, a déclaré samedi le porte-parole du ministère des Affaires étrangères Eric Chevallier.


La péninsule de Bakassi, dont les eaux sont potentiellement riches en pétrole et gaz, est une région de mangrove instable où de nombreux groupes armés sont actifs. Elle a été rétrocédée au Cameroun par le Nigeria le 14 août après quinze ans d'un différend frontalier.

Les Bakassi Freedom Fighters sont des rebelles membres du Niger Delta Defence and Security Council (NDDSC), qui a notamment revendiqué des attaques de juin et juillet dans la péninsule qui avaient coûté la vie à sept soldats camerounais et un sous-préfet.
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Message par fatiha25 »

Inondations: alerte rouge dans le centre-est après des pluies diluviennes

LYON (AFP) 03/11/2008 05:38

Cinq départements du centre-est de la France ont été placés en alerte rouge pour la nuit de dimanche à lundi après les fortes pluies et inondations qui ont frappé la région, où des centaines d'habitants ont été évacués et d'importants axes routiers coupés.

La Haute-Loire, la Loire, l'Allier, la Nièvre et la Saône-et-Loire ont été placés en alerte rouge par Météo France en raison des risques de crue de la Loire. Météo France évoque un "risque de crue majeure sur le fleuve Loire et de crue importante sur l'Allier". L'alerte devait durer jusqu'à lundi matin.

Huit autres départements étaient dimanche soir en alerte orange pour un risque de crue: Hérault, Gard, Ardèche, Drôme, Aveyron, Vaucluse, Bouches-du-Rhône et Puy-de-Dôme.

La disparition d'un homme d'une trentaine d'années à Bas-en-Basset (Haute-Loire) s'est révélée une fausse alerte: l'homme localisé à son domicile par les gendarmes a expliqué avoir renoncé à la partie de pêche à laquelle une connaissance l'avait cru parti.

Dans le Rhône, l'A6, entre Paris et Lyon, a été coupée dans le sens nord-sud au niveau de Belleville jusqu'en milieu de matinée, après les pluies diluviennes de la nuit de samedi à dimanche.
AFP Fred Dufour
Un homme devant sa maison inondée à Rive-de-Gier dans la Loire, le 2 novembre 2008
©AFP Fred Dufour

L'A47, après avoir été coupée pendant plusieurs heures dans les deux sens à Givors, entre Saint-Etienne et Lyon, a été entièrement rouverte à la circulation dans la nuit de dimanche à lundi.

Et la circulation des trains sur les lignes Lyon-Saint-Etienne et Saint-Etienne-Roanne restera perturbée au moins jusqu'à mardi.

Une centaine de personnes ont dû être relogées dans le Rhône, a annoncé la préfecture, notamment à l'Arbresle, Châtillon d'Azergues et Brignais.

"A Châtillon d'Azergues, le relais téléphonique est sous 80 centimètres d'eau", laissant le village sans téléphone, a précisé la préfecture.

A Sain-Bel, la rivière Brévenne a emporté une passerelle. "L'eau est montée très très vite et vers 23H00, la rivière a débordé, je n'avais jamais vu ça", a expliqué à l'AFP un habitant, Didier Hernandez. "Au centre-ville, il y a eu un à deux mètres d'eau et de boue dans les rues et les maisons, c'est un carnage", a-t-il ajouté.

Dans la Loire, les sapeurs-pompiers ont dû intervenir plus de 400 fois, essentiellement dans le sud du département, dans les vallées du Gier et de l'Oudaine. Environ 200 personnes ont été évacuées par les pompiers.

A Rive-de-Gier, commune la plus touchée, l'électricité et le téléphone ont été temporairement coupés. La rivière en crue a emporté ou inondé quelque 200 véhicules, ainsi que de nombreux commerces.

Cinq des sept ponts entre Saint-Paul-en-Cornillon et Balbigny ont été fermés préventivement, selon la préfecture.

En Haute-Loire, la montée de la Loire et de ses affluents a provoqué l'évacuation de quelque 500 personnes, coupé des routes et causé d'importants dégâts matériels.

En Ardèche, les interventions des pompiers se sont concentrées sur le centre du département, autour notamment de la commune de Saint-Etienne-de-Lugdarès, où ont été recensés une dizaine de glissements de terrain et 80 centimètres à un mètre d'eau par endroits.

En Lozère, 650 foyers ont été privés d'électricité suite aux intempéries.

Quelque 150 sauveteurs de la sécurité civile ont été envoyés dès samedi en renfort dans le sud.
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Re: Actualités 2009

Message par fatiha25 »

A savoir à propos du suivi du procès du jeune Marc:

Enfant mort de coups: cinq ans avec sursis requis contre deux médecins

DOUAI (AFP) 04/11/2008 11:38

L'avocat général a requis mardi devant les assises du Nord une peine de cinq ans de prison avec sursis et 75.000 euros d'amende à l'encontre de deux médecins accusés de non-assistance à personne en danger dans la mort du petit Marc, 5 ans.
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Re: Actualités 2009

Message par fatiha25 »

Le nombre des tués sur les routes repart à la hausse en octobre

PARIS (AFP) 07/11/2008 22:57

Le nombre des tués sur les routes est reparti à la hausse en octobre, avec un bond de 16,8% (62 personnes décédées en plus) par rapport à octobre 2007, a annoncé vendredi Jean-Louis Borloo, ministre de l'Écologie, parlant de "mauvais résultats".

Même si le nombre des accidents a diminué, c'est la première fois que le nombre de tués sur les routes augmente depuis mai (+12,1 %).

"Ces mauvais résultats rappellent l'importance de la plus grande vigilance afin d'éviter ces drames irréparables et pour épargner des vies", a commenté le ministre, dans un communiqué.

Un sursaut s'impose d'autant que les conditions de la météo automnale engendrent brouillards, gel et parfois même des premières chutes de neige, a précisé le ministère.

Le nombre des blessés a connu une hausse de 6,5% (10.047 contre 9.430) mais celui des blessés hospitalisés a diminué de 17,3% (580 personnes de moins qu'un an auparavant).

Le nombre des accidents corporels enregistre en revanche une diminution, avec un repli de 5,8% (7.201 contre 7.646).

Dominique Bussereau, secrétaire d'État chargé des Transports, a déploré "des chiffres très mauvais" qui s'expliquent moins par le mauvais temps que "toujours par beaucoup de vitesse en trop et certainement l'alcool", sur Europe 1.

"J'appelle à la vigilance pour le week-end du 11 novembre", a-t-il ajouté, avant d'avertir : "les sanctions seront lourdes. Il n'y aura aucune indulgence".

Michèle Merli, déléguée interministérielle à la Sécurité routière, a mis en avant une "augmentation des vitesses moyennes", pour expliquer ce rebond.

"Mécaniquement il y a toujours une relation entre le nombre d'accidents et la vitesse", a-t-elle rappelé à l'AFP, dans un entretien téléphonique.

Ce coup d'accélérateur des automobilistes pourrait s'expliquer en partie par la diminution du prix de l'essence.

"Est-ce que cela est dû à la diminution du prix de l'essence et donc à une augmentation du kilométrage et peut-être aussi de la vitesse ,", s'est en effet interrogé Chantal Perrichon, présidente de la Ligue contre la violence routière, interrogée par téléphone.

"Est-ce que l'on reprend les habitudes antérieures ?" Tout en posant la question, elle a souhaité davantage de recul avant de se prononcer, attendant de disposer de chiffres non-encore disponible sur la consommation d'essence.

Même prudence, de la part de Mme Merli : "Nous n'avons pas les éléments qui nous permettent de le savoir", a-t-elle dit, même si "on peut le supposer".

Pour elle c'est surtout un défaut de vigilance qui est à l'origine de ces résultats. "On a annoncé beaucoup de bons chiffres au cours des derniers mois. Peut-être le fait d'avoir annoncé de bons chiffres laissent penser que la bataille est gagné".

Reste que ce mauvais mois a érodé la tendance baissière observée depuis le début de l'année.

Sur les dix premiers mois de l'année, la diminution du nombre des personnes tuées sur les routes a atteint 7,0%. Elle était encore de -10,5% pour les neuf premiers mois de l'année.

"Mais si la tendance reste celle des derniers mois, la baisse totale devrait dépasser les 8%", a ajouté vendredi l'Observatoire national interministériel de sécurité routière.

Le gouvernement maintient toutefois sa fourchette de prévision pour l'année: "On a toujours cet objectif de -8 à -10%", du nombre des tués, a confirmé vendredi Mme Merli : "on espère que tout le monde se ressaisira pour cette fin d'année".
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Re: Actualités 2009

Message par fatiha25 »

Les agriculteurs manifestent pour leur pouvoir d'achat, Barnier promet plan d'urgence

PARIS (AFP) 07/11/2008 17:42


Des milliers d'agriculteurs ont protesté vendredi dans toute la France pour la défense de leur pouvoir d'achat, poussant le gouvernement à annoncer la mise en place d'un plan d'urgence dès le 12 novembre.

Quelque 10.000 agriculteurs ont participé aux actions sur tout le territoire et aucun incident n'a été enregistré, a assuré un porte parole de la fédération nationale des syndicats d'exploitants agricoles (FNSEA).

Face à la mobilisation, le ministre de l'Agriculture, Michel Barnier, s'est engagé à la mise en place d'un "plan d'urgence pour l'agriculture" dès le 12 novembre, dans le cadre de la conférence sur les revenus des agriculteurs.

"Ce plan apportera des réponses concrètes et rapides aux difficultés actuelles par des allègements de charges financières et sociales et des mesures exceptionnelles pour les éleveurs ovins", a expliqué le ministre.

Le président de la FNSEA, Jean-Michel Lemétayer, a réagi aux annonces du ministre, en réclamant des mesures "plus concrètes" pour répondre à "l'attente forte" des exploitants, qui réclament "clairement de la monnaie sonnante et trébuchante" pour les aider à traverser les difficultés.
AFP Mychele Daniau
Des agriculteurs manifestent à l'appel de la FNSEA et des Jeunes Agriculteurs du Calvados sur le parking d'un supermarché, le 7 novembre 2008 à Ifs
©AFP Mychele Daniau

Le coup d'envoi des actions avait été donné jeudi soir dans l'Ouest où plusieurs centaines de manifestants ont défilé au Mans avec leurs tracteurs, recouverts de banderoles proclamant "Travailler 365 jours par an mérite un salaire décent".

En Vendée, plusieurs dizaines d'exploitants agricoles sont passés à l'action en bloquant jeudi et vendredi sept sites du département (trois grandes surfaces, deux laiteries et deux abattoirs).

En Mayenne, plusieurs dizaines d'agriculteurs ont installé une mini-ferme (volaille, vaches laitières, porcs et lapins) devant la préfecture de Laval, distribuant des tracts pour informer les passants.

Plusieurs supermarchés ont également été bloqués au nord de Rennes et dans le Maine-et-Loire, où les agriculteurs avaient également prévu d'organiser un "pique-nique géant" au pied de la préfecture.

"Nous sommes très inquiets pour l'avenir de nos jeunes qui s'installent. Toutes les filières sont en crise", a expliqué Jean-Paul Texier, éleveur en Ile-et-Vilaine.

En Bourgogne, la mobilisation a commencé dès 04H00 du matin par le blocage d'une laiterie dans l'Yonne. Elle s'est poursuivi à Mâcon, où une cinquantaine d'éleveurs ovins et bovins de Saône-et-Loire se sont rassemblés devant la préfecture.

Plusieurs actions étaient aussi prévues devant les grandes surfaces de la région avec des distributions de tracts pour "informer les consommateurs sur la réalité des prix des produits" agricoles.

Près de Bordeaux, une soixantaine d'agriculteurs réclamant "plus de prix rémunérateurs" ont été reçus par un représentant du préfet.

En Ile-de-France, plusieurs dizaines de militants ont manifesté devant le siège de l'UMP à Paris, réclamant notamment la démission du ministre de l'Agriculture.

Dans un contexte de forte volatilité des prix et au moment où industriels et distributeurs négocient les prix de vente des produits agricoles, les exploitants souhaitent, au travers de cette vaste mobilisation, alerter gouvernement, entreprises agroalimentaires, grande distribution et consommateurs sur les difficultés "insoutenables" qu'ils rencontrent.

M. Lemétayer a appelé à une meilleure régulation des marchés agricoles, réclamant sur Europe 1 que cette question soit abordée lors de la réunion des dirigeants du G20 le 15 novembre à Washington.
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Publié le 06/11/2008 à 15:32 - Modifié le 06/11/2008 à 15:47 Le Point.fr
Vache folle : un expert établit un lien entre la mort de victimes et leur alimentation

Par Chloé Durand-Parenti (avec agence)

Vache folle : un expert établit un lien entre la mort de victimes et leur alimentation

L'expert judiciaire, Jean-Louis Thillier, a enquêté pendant deux ans sur les habitudes alimentaires de neuf victimes françaises, décédées de la maladie de Creutzfeldt-Jakob entre 1996 et 2006

Une expertise judiciaire, remise cet été à la juge Marie-Odile Bertella-Geffroy, en charge du dossier de la vache folle, établit pour la première fois un lien entre la mort de personnes décédées de la maladie de Creutzfeldt-Jakob et leur alimentation. Selon Le Parisien qui a révélé le contenu du document, ce rapport de plus de 400 pages a été transmis ces derniers jours aux avocats des familles parties civiles.

L'expert judiciaire, le docteur Jean-Louis Thillier, immunopathologiste, a enquêté pendant deux ans sur les habitudes alimentaires des neuf victimes françaises, décédées entre 1996 et 2006 de la maladie de Creutzfeldt-Jakob, et dont les familles se sont portées parties civiles devant la justice française. Dans ses conclusions, il affirme, selon les cas étudiés, qu'il est "certain" ou bien qu'il est "possible" que la victime soit "décédée d'une maladie de Creutzfeldt-Jakob acquise par transmission alimentaire de l'agent de l'encéphalopathie spongiforme bovine (ESB)". Dans l'ensemble des cas, Jean-Louis Thillier estime que la contamination se serait "effectuée possiblement par des produits bon marché tels que les hamburgers, les saucisses et pâtés à la viande ou les raviolis", rapporte Le Parisien.

Des connaissances suffisantes pour agir dès 1991

"Cette expertise est intéressante dans la mesure où elle donne aux familles une première réponse d'expert", estime Me Bernard Fau, avocat de parties civiles. "Ces conclusions sont tirées de renseignements pris a posteriori sur les habitudes alimentaires des victimes", souligne l'avocat qui justifie ainsi les nuances apportées par l'expert sur certains cas. De son côté, Jeanne Goerrian, secrétaire nationale de l'association des victimes de la maladie de Creutzfeldt-Jakob, contactée par lepoint.fr, affiche un certain scepticisme, s'étonnant notamment que l'expert ne soit pas, en l'espèce, un spécialiste des maladies à prion. "Bien sûr, je respecte le choix qui a été fait. Je suis du côté des victimes mais je ne voudrais pas qu'on leur donne de fausses certitudes. Car établir scientifiquement un lien de causalité est une chose très délicate."

Enfin, l'expert, par ailleurs co-auteur de l'ouvrage Le Procès de la vache folle n'aura pas lieu , dénonce l'absence de réactions des autorités sanitaires françaises qui disposaient, selon lui, de connaissances scientifiques suffisantes pour prendre des mesures de protection adéquates dès le premier cas déclaré de bovin atteint de l'ESB en 1991. "En fait, il a fallu attendre 10 ans", affirme-t-il. "Marquée par une forte tradition agricole et un État très présent", la France en a oublié son "rôle de garante de la sécurité des produits alimentaires", estime notamment le docteur Thillier. Pour mémoire, au printemps 1996, la France a toutefois déjà suspendu, à titre conservatoire, ses importations de bovins vivants, de viande bovine et de tous produits d'origine bovine en provenance de Grande-Bretagne (foyer de l'épidémie).
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Re: Actualités 2009

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Une grande enquête européenne sur les étiquettes alimentaires

Par Anne Jeanblanc


Une étude paneuropéenne du Conseil européen de l'information sur l'alimentation (EUFIC), présentée lors du premier congrès européen sur l'alimentation qui aura lieu en Slovénie le 8 novembre, apporte de précieuses informations en matière de comportement alimentaire. Réalisée auprès d'environ 17 300 personnes interrogées en France, en Allemagne, en Hongrie, en Pologne, en Suède et au Royaume-Uni, dans des supermarchés ou chez elles, elle montre que 18 % des Européens seulement (entre 27 % au Royaume-Uni et 9 % en France) consultent régulièrement les informations nutritionnelles présentes sur l'emballage au magasin.

Et pourtant, les consommateurs savent en général retrouver, dans les systèmes d'étiquetage, les informations nutritionnelles dont ils ont besoin. D'ailleurs, au moins la moitié des personnes interrogées dans l'ensemble des pays étudiés ont pu à répondre à des questions liées à l'interprétation des repères nutritionnels journaliers et d'autres informations nutritionnelles sur les étiquettes. L'étude a également montré que nous passons en moyenne 30 secondes à choisir un produit. En comparant avec des travaux précédents, ce laps de temps est bien plus élevé qu'auparavant. Et c'est l'achat de yaourts, de céréales pour le petit-déjeuner et de plats préparés qui prend le plus de temps.

Dans quatre des six pays, les consommateurs recherchent le plus souvent les informations sur le nombre de calories. Mais les Britanniques regardent en premier les matières grasses. Les Suédois, eux, veulent d'abord connaître la teneur en sucre et en graisse, puis les calories. Les informations sur les graisses et le sucre apparaissent dans le top trois dans tous les pays, alors que le sel apparaît dans le top cinq de l'Allemagne et du Royaume-Uni uniquement. Enfin, ce travail indique que nous avons souvent tendance à sous-estimer le nombre de calories que nous brûlons dans le cadre de nos activités quotidiennes. À peine 28 % des Suédois et 11 % des Polonais sont parvenus à estimer avec précision le nombre de calories dépensées lors d'une marche rapide. Les Français ne font guère mieux...
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fatiha25
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Re: Actualités 2009

Message par fatiha25 »

Publié le 05/11/2008 à 13:01 Le Point.fr
Des tomates mauves contre le cancer

Par Anne Jeanblanc



On connaît tous les tomates rouges, orangées et vertes, mais pas encore les mauves. C'est normal car de tels légumes génétiquement modifiés viennent tout juste d'être créés par des chercheurs européens. Leur but n'était pas de fabriquer une nouvelle espèce, mais de produire un aliment très enrichi en anthocyanes. Ces pigments, abondants dans les végétaux bleus et mauves (comme le raisin noir, les mûres, les airelles, les aubergines...), sont notamment connus pour leurs propriétés antioxydantes ainsi que pour leur capacité à protéger contre certains types de cancers et maladies dégénératives liées à l'âge.

Naturellement, la tomate est riche en lycopène, un autre antioxydant aux effets bénéfiques prouvés, mais elle ne contient pas d'anthocyanine. Les chercheurs ont donc introduit dans ces légumes deux gènes provenant de la fleur "gueule-de-loup". Ils ont réussi à obtenir la plus forte teneur en anthocyanes décrite jusqu'à présent dans des tomates. Ils ont ensuite donné des tomates, soit mauves soit normales, à des souris, elles aussi génétiquement modifiées pour devenir prédisposées au cancer. Et la survie a été nettement plus longue - de 30 % en moyenne - chez les animaux nourris avec les tomates mauves qu'avec des rouges, preuve de leur effet protecteur.

Les chercheurs espèrent maintenant identifier les mécanismes exacts par lesquels ces anthocyanines agissent. Ils déclarent également vouloir étudier leurs effets chez des hommes volontaires et tenter de découvrir d'autres substances voisines, susceptibles de protéger également contre certains cancers ou d'autres maladies chroniques. Ce qui leur permettrait d'émettre des recommandations précises en matière de nutrition. Quant aux tomates mauves, ce n'est pas demain que l'on en trouvera sur les étals des marchés...
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Re: Actualités 2009

Message par fatiha25 »

Publié le 03/11/2008 à 08:24 - Modifié le 03/11/2008 à 14:05 Le Point.fr
Greffe : les dons d'organe en Chine

Par Anne Jeanblanc

Le chiffre circulait depuis longtemps : 90 % des organes transplantés en Chine proviendraient de condamnés à mort exécutés. Il vient d'être officiellement confirmé par le vice-ministre de la Santé chinois, Jiefu Huang, dans une tribune ouverte publiée par la revue scientifique The Lancet . Mais l'homme politique se veut rassurant : des garde-fous ont été mis en place pour s'assurer notamment du consentement écrit des donneurs et de la non-implication des équipes de transplantation avant la mort.

Toutefois, Jiefu Huang semble surtout désireux de montrer les efforts réalisés par la Chine, au cours des dernières années, pour améliorer la qualité médicale, chirurgicale et éthique des greffes d'organes dans son pays. Le nombre de structures habilitées à réaliser des prélèvements et des transplantations a très nettement diminué et des lois bannissant "le tourisme de la transplantation" ont été adoptées. Cela a eu pour conséquence une réduction du nombre de telles opérations pratiquées en Chine depuis 2004, mais avec 11.000 organes greffés en 2006 (alors que 5.000 exécutions auraient été réalisées, ce qui indique qu'une majorité des condamnés auraient "donné" leurs organes), ce pays reste aujourd'hui à la deuxième place mondiale en nombre absolu de transplantations.

Le Journal international de médecine , qui a enquêté sur le sujet, rappelle que la communauté scientifique internationale s'étonne de la rapidité avec laquelle des greffons peuvent être obtenus dans ce pays. D'ailleurs, les rapports d'ONG et d'observateurs indépendants évoquent les sites Internet d'hôpitaux chinois sur lesquels étaient présents, ces dernières années, des messages (souvent traduits en anglais et en russe) vantant la célérité des équipes de transplantation. Selon eux, il est possible de trouver un rein compatible en une semaine. Car, pour éviter toute perte de temps, les médecins peuvent se rendre sur le lieu de l'exécution et attendre dans un camion stérile pour prélever les organes juste après l'exécution.
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Re: Actualités 2009

Message par Amtaro »

Publié le 09/11/2008, Le journal du dimanche.

Mort selon l'hopital, en vie pour sa famille.

Molt Brody avait 12 ans. Il est mort mardi dernier d'une tumeur au cerveau. C'est la version du Children Nationnal Medical Center, l'hôpital des enfants de Washington.
Sauf que les poumons et le coeur du jeune homme, qui est en était de mort cérébrale, fonctionnent encore grâce à des appareils et à des traitements. Selon sa famille, des juifs orthodoxes de New York, Molt est donc encore en vie, et il ne faut pas le débrancher, contrairement à ce que souhaitent les médecins.

"Le problème juridique est le suivant: les parents sont profondément religieux et, d'après leur foi, une personne est morte quand son coeur et ses poumons cessent de fonctionner. Si cette personne n'est pas morte, elle doit recevoir un traitement médical" a expliqué l'avocat des Brody?


Son âme a - t - elle déjà quitté son corps?


Selon e rabbin Reichman, dans la loi orthodoxe juive, la mort est définie comme le moment ou l'âme quitte le corps.
"Mais aucun scientifique ni même aucun être humain n'est capable de déterminer à quel moment cela se produit. Alors il faudra trouver une définition médicale."

Demain à la demande de l'hôpital, c'est un tribunal local de la capital qui va devoir se pencher sur ce cas sans précédent. Décider si l'on doit débrancher l'enfant des appareils de ventilation qui maintiennent sa respiration, et cesser de lu administrer des traitements stimulants les battements de son coeur.

Molt, troisième d'une fratrie de sept, est tombé malade il y a 6 ans et a subi une intervention pour une tumeur au cerveau, mais son état a empiré.
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