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avec le sang on peut faire du boudinLoupiac a écrit :Pour moi, le lait, c'est comme le sang... Je trouve qu'on ne devrait pas le vendre, mais le donner et uniquement pour des causes justes. Mais là, après tout, chacun fait comme il veut..

je trouve ça super, j'y avais pas pensé...Loupiac a écrit :Sinon, oui ! Je fais des flans de lait maternel, du riz et de la semoule au lait maternel, des purées au lait maternel.... etc. Mais uniquement pour mon petit garçon de 9 mois qui passe plusieurs journées par semaine chez la nounou.
mais, il faut être copine avec le tire lait

par contre, je crois que les anticorps ne résistent pas à la cuisson ?
et le lait n'a-t'il pas tendance à cailler?
- Loupiac
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Je ne connais pas bcp d'humains (mais je suis certaine qu'il doit y avoir) qui veulent manger du boudin au sang d'humain
Et non, je ne suis pas la seule martienne ! Il y a, d'ailleurs, bcp de recettes qui circulent sur le net.
Les anticorps ne survivent pas à la cuisson, malheureusement.
CLIC
Par contre, le lait caille, mais dans les mêmes conditions que le lait de vache/brebis/Anesse... Etc. Il se conserve 1 semaine au frigo. Et quand je le cuisine, je garde les entremets 3 jours.
On n'a toujours pas de nouvelles du petit Antoine ?

Et non, je ne suis pas la seule martienne ! Il y a, d'ailleurs, bcp de recettes qui circulent sur le net.
Les anticorps ne survivent pas à la cuisson, malheureusement.
CLIC
Par contre, le lait caille, mais dans les mêmes conditions que le lait de vache/brebis/Anesse... Etc. Il se conserve 1 semaine au frigo. Et quand je le cuisine, je garde les entremets 3 jours.
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le consommateur est vraiment pris pour un c**!
Changement d'emballage, recettes modifiées, diminution du contenu: les fabricants de produits alimentaires, soucieux de préserver leurs marges, utilisent divers procédés pour camoufler les hausses des prix, relève le magazine "60 millions de consommateurs" à paraître jeudi.
Il faut "être un consommateur sacrément avisé" pour remarquer ces pratiques, souligne le mensuel. Même les statistiques officielles ont bien du mal à les détecter, ajoute le magazine de l'Institut national de la consommation, qui va lancer jeudi un observatoire de "l'inflation masquée".
Au moment où la plupart des Français peinent à boucler leur budget, le magazine explique dans son enquête, citant des marques, les procédés les plus fréquemment utilisés pour doper les prix "sans que cela saute aux yeux du client". L'un des plus utilisés est la diminution du produit.
Le magazine mentionne les biscuits "Prince" de Lu qui ne pèsent plus que 300 grammes contre 330 avant l'été. Jockey de Danone a aussi réduit les quantités: 850 g de fromage blanc contre un kilo ou les petits pots désormais à 90 g contre 100 g auparavant.
Les barres chocolatées Mars avaient eu la même idée quelques mois plus tôt, relève le mensuel.
"Au début de l'année, tout le monde a cogité pour anticiper les hausses des matières premières" comme le blé et le lait, raconte un chef de produit de l'industrie agroalimentaire, cité dans l'enquête. "Sur certains produits, décision a été prise de changer de grammage plutôt que d'augmenter le tarif unitaire", ajoute-t-il.
Une autre stratégie consiste à changer l'emballage, un procédé qui "ouvre la voie à de très jolies augmentations pour le client", souligne le mensuel.
Des chewings-gums vendus chez Aldi sous la marque Feel Free sont ainsi passés de 13,75 à 20,73 euros dans leur nouveau conditionnement. Le mensuel cite aussi les fabricants de sucre en poudre dont les emballages sont désormais des sachets plastiques de 750 g ou encore l'huile d'olive Lesieur, longtemps conditionnée en litre, qui s'est vue flanquer d'une petite soeur de 75 cl en 2006.
La troisième méthode, "probablement la plus pernicieuse", est la modification de la recette. Il s'agit de remplacer des ingrédients onéreux par des matières premières moins chères ou de changer la composition pour abaisser le coût de revient. Le mensuel précise que les changements de recettes semblent être "surtout l'apanage des premiers prix ou du hard discount".
"En général il n'y a augmentation de prix que quand il y a un changement de recette, donc quand il y a une valeur ajoutée au produit", a déclaré à l'AFP, Jean-René Buisson, président de l'Association nationale des industries alimentaires (Ania).
Selon M. Buisson, qui se dit "réticent sur la qualité des enquêtes" du magazine de l'INC, les consommateurs "sont extrêmement vigilants à la variation des prix mais ils acceptent de payer plus cher des produits qui ont une vraie valeur ajoutée ou une valeur nutritionnelle supérieure" à celle du produit précédent.
Contactée par l'AFP, la Fédération du commerce et de la distribution (FCD) n'avait pas commenté en fin d'après-midi cette enquête de l'INC.
Dernière mise à jour le: Mardi 23 Septembre 2008,
"si vous êtes innocent de la tête que vous avez,
vous êtes responsables de la gueule que vous faites."
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- Loupiac
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Communiqué de Presse de la CoFAM
Depuis ce printemps, les médias ont régulièrement souligné les pratiques industrielles parfois dangereuses autour des produits de puériculture pour nourrissons. On entend parler de Mélamine dans le lait pour nourrissons en Chine,
de Bisphénol dans le plastique de certains biberons en France, de produits toxiques dans les pommades pour nourrissons dans les boites-cadeaux données aux mères en maternité.
La CoFAM (Coordination Française pour l'Allaitement Maternel) tient à préciser qu'il n'y a pas de Mélamine dans le lait maternel ni de Bisphénol dans les seins.
Gardons un peu de bon sens et restons simples !
Dr Marc PILLIOT, Pédiatre
Président de la CoFAM
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- Anne.
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Moi ce qui me révolte concernant le lait à la mélanine c'est que les autorités chinoises auraient été averties début août mais qu'elles ont passé l'info sous silence (laissant ainsi des milliers de nourrissons se nourrir de lait frelaté pendant plus d'un mois) pour ne pas nuire aux JO
Corruption quand tu nous tient...

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- Loupiac
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Désernil a écrit :non c'est une vénusienneaugusta a écrit :re-beurk!
j'ai jamais entendu parler de gateaux faits avec son lait pour son bébé![]()
t'as des copines qui font pareil.....ou t'es la seule martiennemais maternellement maternante


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Anne. a écrit :Moi ce qui me révolte concernant le lait à la mélanine c'est que les autorités chinoises auraient été averties début août mais qu'elles ont passé l'info sous silence (laissant ainsi des milliers de nourrissons se nourrir de lait frelaté pendant plus d'un mois) pour ne pas nuire aux JO
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- 4611samsara
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justement je me faisais cette reflexion: quand ils ne peuvent plus augmenter les prix, ils diminuent les portionsgwen56 a écrit :le consommateur est vraiment pris pour un c**!
Changement d'emballage, recettes modifiées, diminution du contenu: les fabricants de produits alimentaires, soucieux de préserver leurs marges, utilisent divers procédés pour camoufler les hausses des prix, relève le magazine "60 millions de consommateurs" à paraître jeudi.
Il faut "être un consommateur sacrément avisé" pour remarquer ces pratiques, souligne le mensuel. Même les statistiques officielles ont bien du mal à les détecter, ajoute le magazine de l'Institut national de la consommation, qui va lancer jeudi un observatoire de "l'inflation masquée".
Au moment où la plupart des Français peinent à boucler leur budget, le magazine explique dans son enquête, citant des marques, les procédés les plus fréquemment utilisés pour doper les prix "sans que cela saute aux yeux du client". L'un des plus utilisés est la diminution du produit.
Le magazine mentionne les biscuits "Prince" de Lu qui ne pèsent plus que 300 grammes contre 330 avant l'été. Jockey de Danone a aussi réduit les quantités: 850 g de fromage blanc contre un kilo ou les petits pots désormais à 90 g contre 100 g auparavant.
Les barres chocolatées Mars avaient eu la même idée quelques mois plus tôt, relève le mensuel.
"Au début de l'année, tout le monde a cogité pour anticiper les hausses des matières premières" comme le blé et le lait, raconte un chef de produit de l'industrie agroalimentaire, cité dans l'enquête. "Sur certains produits, décision a été prise de changer de grammage plutôt que d'augmenter le tarif unitaire", ajoute-t-il.
Une autre stratégie consiste à changer l'emballage, un procédé qui "ouvre la voie à de très jolies augmentations pour le client", souligne le mensuel.
Des chewings-gums vendus chez Aldi sous la marque Feel Free sont ainsi passés de 13,75 à 20,73 euros dans leur nouveau conditionnement. Le mensuel cite aussi les fabricants de sucre en poudre dont les emballages sont désormais des sachets plastiques de 750 g ou encore l'huile d'olive Lesieur, longtemps conditionnée en litre, qui s'est vue flanquer d'une petite soeur de 75 cl en 2006.
La troisième méthode, "probablement la plus pernicieuse", est la modification de la recette. Il s'agit de remplacer des ingrédients onéreux par des matières premières moins chères ou de changer la composition pour abaisser le coût de revient. Le mensuel précise que les changements de recettes semblent être "surtout l'apanage des premiers prix ou du hard discount".
"En général il n'y a augmentation de prix que quand il y a un changement de recette, donc quand il y a une valeur ajoutée au produit", a déclaré à l'AFP, Jean-René Buisson, président de l'Association nationale des industries alimentaires (Ania).
Selon M. Buisson, qui se dit "réticent sur la qualité des enquêtes" du magazine de l'INC, les consommateurs "sont extrêmement vigilants à la variation des prix mais ils acceptent de payer plus cher des produits qui ont une vraie valeur ajoutée ou une valeur nutritionnelle supérieure" à celle du produit précédent.
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Dernière mise à jour le: Mardi 23 Septembre 2008,

j'ai aussi ramarqué qu'ils vendaient des croissants au tournesol, bien moins cher que le beurre

l'huile d'olive en mini bouteille, le coca-col* en bouteille de 1,25l au lieu de 1,5l, les eufs vendus à la dizaines aussi...
et on a toujours l'impression qu'ils embrouillent l'affichage et les prospectus publicitaires pour qu'on ait l'impression de faire une bonne affaire tout en se faisant entuber... en beauté!
et dire qu'il y a des types très intelligents et très chèrement payés pour calculer tous ces procédés de propagande et d'agencement des grandes surfaces qui ne visent qu'à une chose, nous faire dépenser plus que ce qu'il est nécéssaire, plus que ce que l'on a besoin et surtout plus que ce que l'on pourrait se permettre

et dire qu'on appelle ça du "pouvoir" d'achat


- ryosaeba3006
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