concours printemps 2009

[Petzi]

Petite j'aimais bien l'idée d'être secrétaire d'un grand cabinet (genre avocat) comme dans les films mais c'était juste un jeu, pas un désir.

Par contre mon rêve c'était de devenir égyptologue. Dès que je l'ai étudié en 6ème je vivais que pour ça ! Bouquins sur bouquins, recherches.. Mais bon, fallait un bac L pour l'école où je voulais entrer et puis y a pas trop de débouchés. C'était une passion qui s'est calmée avec le temps même si j'adore toujours autant !

Maintenant que j'ai mûri (si j'le jure ), que je connais le monde du travail, j'ai pu réfléchir sur ce que j'aimais, ce qui collait à mon caractère.

=> Aider les gens
=> Le médical

Et puis au collège, je m'étais déjà dirigée vers le bac SMS pour le métier d'inf et puér. C'était une des rares choses qui éveillait mon intérêt à cette époque ! Faut dire qu'en 3ème tu sais pas toujours ce que tu auras envie de faire une fois adulte. Moi je pensais qu'à jouer au loup et à cache-cache

[Petzi]

Moi je préfère les grandes villes pour les à côtés : logement, activités (ciné, bibliothèque, etc), les restaurants, les transports, les lieux de stage, tout ça !

[Eydis]

Pourquoi ne pas passer les deux ?
Si t'as les moyens, passe les deux, ça augmente les chances
bon courage

[bibouille22]

moi j'ai d'abord voulu faire institutrice lorsque j'étais au collège, puis j'ai voulu faire archéologue spécialisé dans l'Égypte ( petzi ^^ ) mais très peu de débouché , puis j'ai toujours voulu faire une S , donc après j'ai voulu faire zoologiste ( me spécialisé dans les mammifères marins ^^ ) mais 12 ans d'études et pas de débouchés ( décidément mdr ) puis j'ai voulu faire médecine mais je croyais pas en mes capacités ( et ma famille non plus ) donc je me suis dirigé vers le paramédicale et là j'ai hésité entre kiné et infirmière, je me suis dirigé vers ... kiné ^^ je voulais faire kiné sportif mais une fois en prépa, malgré les bonnes notes, je me suis rendu compte que le métier qui me motivé vraiment et me donné envie c'était infirmière

bref beaucoup de changement mais une bonne moitié était des idées de collégiennes ^^

[so_3uphoric]

Je préfère les grandes villes, pour les lieux de stage, leur activités mais aussi car souvent ils remontent plus loin sur liste complémentaire. (ex Flers petite ville: 400 personnes à l'oral pour 61 places, Caen grande ville avec 1200 candidats au départ: 484 personnes à l'oral pour 155 places + une LC qui remonte souvent à 100)

[Myriam-D]

allez je me lance a Villefranche-sur-Saône texte 1 (2009)

L'État lance un plan pour diffuser la "culture" des soins palliatifs
Le monde ; 13.06.08
D'après une interview du Pr. Mino

Les soins palliatifs ne sont ni une abstention thérapeutique , ni seulement le traitement de la douleur pour les derniers jours de la vie .Ils ne sont pas non plus un supplément d'âme passionnel mais une manière spécifique de pratiquer des soins complexes , activement , auprès de personnes qui sont gravement atteintes d'une maladie avec un pronostique fatal ou qui ont en fin de vie.
Leur première visée est de lutter efficacement contre les souffrances physiques , dans une perspective de moins mal être. Ils cherchent aussi à soutenir les personnes malades et leur entourage , dans le respect constant de leur volonté . Leur éthique est de considérer la personne malade , jusqu'au bout , comme un sujet vivant .
C'est le refus de réduire les personnes à leur statut de malade incurable , ou de déjà mourant , et , de ce fait , consciemment ou pas , de les isoler jusqu'à entrainer ce que les sociologues appellent une " mort sociale".
A la question de savoir à quel moment les malades relèvent des soins palliatifs , on répondra que cela varie selon les malades et les services et que c'est toute la difficulté des décisions médicales . Mais ce qu'on peut dire c'est que les soins palliatifs récusent à la fois l'acharnement thérapeutique et l'euthanasie .

Expliquez et justifier la dernière phrase de ce texte (entre 15 à 20 lignes)

Voila pour le 1er sujet

[Elyanna]

Moi je voulais faire prof ou instit puis avocate, mais ce n'était pas des projets sérieux, c'était des idées comme ça.

Depuis le collège j'ai toujours voulu faire militaire, puis après j'ai réfléchi à ce qui me correspondait réellement et infirmière était un métier qui me plaisait vraiment... Donc j'ai décidé de m'y mettre à fond...

(Oui, quand on voit les métiers que j'ai voulu faire, c'est toujours pour aider les autres : prof, instit.. avocate, j'ai abandonné car je me sentais pas de défendre des criminels par exemple, militaire puis infirmière !)

[Myriam-D]

a Villefranche-sur-Saône texte 2 en 2009

"On n'est pas reconnu"
les grands dossiers des sciences humaines n°12-2008

Si dans votre entourage vous connaissez quelqu'un qui dans son travail s'estime reconnu à sa juste valeur ,vous tenez un oiseau rare .
C'est la cas d' Ali Saïd .
A. Saïd , venu des quartier nord de Marseille , a contracté le virus de l'étude des virus à l'age de 17 ans . Le Bac en poche , il s'est lancé à corps perdu dans la recherche ; Puis il a accumulé les publications , les prestigieux prix scientifiques , de la Chancellerie , des universités de Paris , de l'académie nationale de médecine ou de l'académie des sciences . Le résultat est plaisant à entendre : " Ces distinctions sont une reconnaissance de la qualité du travail effectué . J'en ai tiré de la fierté , l'assurance que je ne travaillais pas pour rien . C'est important , la reconnaissance . Elle vous donne l'énergie et l'envie de continuer ".
Mais pour un Saïd , combien d'aigris , de déçus , de désabusés ?


Considérez-vous que la reconnaissance soit un facteur déterminant de la motivation au travail ? ( 15 à 20 lignes)

Voilà , vous aurez la suite plus tard

[lLilie57]

quand j'étais petite j'étais fascinée par les dinosaures
alors je voulais faire un métier en rapport. rêve d'enfant ^^

ensuite c'était dessinatrice, tout le monde me disait que je dessinais trop bien, mais je me suis rendu compte que je dessinais SEULEMENT bien, par rapport à d'autres artistes ( enfin quand je vois la tête de certains dessins animés d'aujourd'hui je me dit que j'aurai pu faire mieux..... )
et puis c'était + un passe temps, je me voyait pas dessiner tout les jours tout le temps.

puis, il y a eu institutrice, car j'ai adoré l'école primaire lol et j'avais envie de faire la faire adorer à d'autres enfants, sauf que l'école et le programme ne sont plus ce qu'ils étaient....

voilà !

[lili417]

moi je voulai être sage-femme
c'est pareil, j'ai laissée tomber quand j'ai vu qu'il fallait faire médecine

ensuite, j'ai voulu être puéricultrice et en 4ème, j'ai su qu'il fallai faire les 3ans d'infirmières donc j'ai commencée à m'interressée au métier

et maintenant, je ne veut plus être puéricultrice mais rester infirmière

[Pez]

oui je parlais du courrier final après les résultats d'admission, il n'y a pas de courrier juste après l'oral ^^

shit ! merci

[cess3333]

salut!!


ça fait deux fois que j'essaie d'envoyer un mess, mais ça passe pas, c'est peut être trop long, je vais faire plus court..

En gros, j'ai la phobie des hôpitaux...

Et non, ce n'est pas une blague malheureusement.

Je travaille en tant que monitrice éducatrice dans un foyer d'accueil médicalisé.C'est là ou je me suis vraiment rendue compte, que j'étais très épanouie dans la relation soignant soigné, et qu'il fallait que j'aille plus loin dans ma démarche relationnelle.

Mon but: devenir puer et travailler en PMI. c'est très sincèrement ce que je veux faire de ma vie.

Le problème, je tombe dans les pommes une fois sur deux dans les hôpitaux...je ne sais pas pourquoi.

Pourtant les populations avec lesquelles je bosse, sont en grande souffrance, les milieux sont médicalisés, donc je vois la souffrance du patient , de sa famille, de ses enfants, ..et j'y fais face sans souci.
Niveau soin, je vois le sang, je rassure les enfants quand une infirmière les piquent, je ne crains pas du tout la vue du sang, des piqures,des tuyaux...

Il s'agit bel et bien d'une phobie du milieu hospitalier,surtout quand il faut monter plusieurs étages, j'étouffe, tout tourne, et je m'écroule.


Je sais, ça parait ambigu, d'avoir fait ce choix et d'être phobique des hôpitaux, le métier ne me fait pas peur et m'attire beaucoup, mais c'est les 37 mois de formation et de stages a l'hosto...qui m'empêchent de dormir depuis quelques jours....

Quelq'un est il dans cette situation????

[blablae]

coucou!desolé je ne suis pas dans ta situation...;

mais je pense que tu peux etre infirmiere puisque tu n'as pas peur du sang,des tuyaux....eh oui c'est le lieu et non pas la fonction:c'est déjà un bon point de départ

je crois que tu peux te débarrasser de ta phobie ,plutot génante mais pas insurmontable ,si tu te prends en main

tu as consulté pour ça? (pardon pour ce genre de question génante )

[marlynette]

A la demande de juju je vais vous postez les sujets de laon du 15 avril:

Dans une brochure destiné aux professionnels de santé, et mise en ligne le 17 février, l'institut national du cancer et la direction générale de la santé dressent l'état des connaissances sur les liens entre nutrition et cancer et listent les facteurs de risque et de protection (...)
Vive les fruits, les légumes et l'allaitement. La consommation quotidienne d'au moins 5 fruits et légumes variés (au minimum 400g/jour), sans privilégier un aliment plutôt qu'un autre) et d'aliments riches en fibres diminuent le risque de cancer. Pour prévenir le cancer, l'allaitement maternel (si possible jusqu'à 6 mois) bénéficie à la mère et à l'enfant.
Pas de ilos superflus. L'objectif est de maintenir un poids normal (indice de masse corporelle IMC - compris entre 18,5 et 25 kg/m²). Afin de prévenir le surpoids et l'obésité, l'INCA nous recommande de pratiquer, au mois 5 fois par semaine, au moins 30 minutes d'activité physique d'intensité modéré (marche rapide) ou 3 fois par semaine d'activité élevé (jogging). Une augmentation de l'IMC de 5 points correspond à une hausse du risque de cancer allant de 8% (sein) à 55% (œsophage).

Pour chacun des conseils données par l'INCA, citez et justifiez un facteur qui eput freiner en France son application concrète?

[marlynette]

La délégation régionale de l'INSEE vient d'établir le bilan de l'année 2007. Le Nord- Pas de calais conserve ses spécificités.
Avec 56 200 naissances l'and ernier dans la région, le niveau de la natalité reste élevé. Le Nord-Pas-de-calais conserve un bonus nataliste: on y enregistre 7,2% des naissances alors qu'il ne pèse que 6,6% de la population. Le Nord-Pas-de calais reste une terre de famille nombreuses: 20% des bébés de l'an dernier sont des "petits troisièmes" ou plus, ce qui n'est le cas que de 15% des naissances ailleurs.
Parmi les bébés régionaux de 2007, 4,5% ont des mamans de moins de 20 ans. Cette proposition tombe de 2,5% dans l'Hexagone.
L'espérance de vie des Nordistes ne rejoint pas celle des français en dépit des progrès. Elle est de 82 ans pour les femmes, 74 ans pour les hommes, trois ans sous les indicateurs nationaux.

Rappelez de manière concise sans utiliser de chiffre les spécificités de la région Nord-Pas-de calais.