concours printemps 2009

[marlynette]

"Un homme ivre, menotté, deux heures, aux urgences, c'est un spectacle pitoyable", déplore Olivier Tonnerre. Après, c'est la cellule de dégrisement et une demi-heure de paperasse. "Pour Concarneau, c'est pire! L'hôpital est à Quimper... Une IPM (procédure d'ivresse publique et manifeste), et de plus un policier n'est disponible pour une agression ou un accident", peste le policier. Et puis, il y a les récidivistes "A Nantes, il y en a un qu'on a eu trente fois en dix mois!"
"Dans nos fourgons, pas de matériel de premiers secours. Pas de ceinture, ni de brancard". Les "clients" sont allongés directement sur le sol... "S'ils vomissent, on donne, au mieux, un coup de jet d'eau. Jamais de désinfectant." Ils gardent en mémoire cet homme de 47 ans, embarqué récemment. En plein coma éthylique "il a failli y passer avant l'hôpital. Qu'est-ce qu'on aurait dit?"
Et que faire pour gagner du temps? "En évitant la case hôpital, on épargne déjà deux heures. Il suffit que l'État mette des sous pour payer la présence d'un médecin au commissariat, comme on tente de faire à Rennes et Saint-brieuc. Après, pour la sanction, pourquoi ne pas se contenter d'un timbre-amende plutôt que d'une procédure?"

En quoi l'approche du policier diffère t-elle sensiblement d'une approche sanitaire dans le traitement de l'ivresse publique?

[marlynette]

Les soucis de santé et de finances, ou la perte des êtres chers peuvent entrainer la dépression chez la personne agée surtout à noël. La société américaine de gériatrie offre des conseils pour les aider à lutter contre les idées noires pendant cette période de vacances.
-Essayer de sortir souvent. Demander de l'aide à la famille et aux amis pour aller aux fêtes et aux événements, ou les inviter à venir chez vous.
-Se porter volontaire. Aider les autres peut vous remonter le moral.
-Ne pas boire trop d'alcool, ce qui peut baisser l'humeur.
-Accepter et exprimer ses sentiments. Si on parle de ses sentiments, on commence à comprendre la raison pour laquelle on est triste.
-Reconnaitre les signes annonciateurs de la dépression qui incluent: la tristesse prolongée, la perte d'intérêt ou de plaisir, les changements d'appétit ou de poids, el sommeil plus prolongé,pleurer souvent, l'agitation ou la fatigue constante,le sentiment de nullité, la réflexion lente, et les pensées de suicide.
-Souvent les gens ne savent pas qu'ils sont dépressifs. Ne pas hésiter à parler avec un médecin pour se faire traiter.

Parmi les 6 conseils donnés, sélectionnez en 2 qui vous paraissent comme le plus et le moins pertinent? Pour chacun d'entre eux, vous expliciterez votre choix.

[Gengis]

Il s'agit bel et bien d'une phobie du milieu hospitalier,

pas forcément... à moins que tu aies fait une analyse dans ce sens
ça peut être du à un sentiment de ne pas contrôler la situation... je peux détailler demain si besoin

[marlynette]

Et pour finir...

Il n'est pas besoin d'être un grand clerc en démographie pour avoir perçu qu'au cours du dernier quart de siècle les modèles familiaux se sont profondément modifiés. Mesurer l'ampleur de ces modifications, telle est la fonction du statisticien. Il y parvient à travers des observation diverses, celles des recensements, de l'état civil et, de plus en plus souvent, grâce à des enquêtes spécifiques. Il peut ainsi montrer que jamais dans l'histoire des populations, de tels changements ne s'étaient produits en si peu de temps. Il semble qu'une sorte de raz de marée ait bouleversée pour des millions d'hommes l'espace de leur vie privé. Tel est le constat.
Comment, dès lors, ne pas se poser la question de savoir quels facteurs ont pu produire un tel mouvement. Nous entrons ici dans un registre des interprétations et chacun est tenté de rendre compte suivant son idéologie des transformations observées et mesurées. Tous, et non pas seulement le spécialiste, veulent savoir ce qui s'est passé.

Décrivez, après les avoir identifiés, 2 de ces nouveaux modèles familiaux dont il s'agit dans ce texte?

[cess3333]

salut blablae, oui, effectivement, je consulte depuis un moment pour me debarasser de cette peur...en fait la derniere etape de ma therapie consiste a me familiariser avec ce milieu, donc des que je peux , je vais a l'hosto, je marche dans les couloirs, je monte et descends les escaliers, bon, tampis si le personnel me prend pour une dingue...si ça peut me permettre d'acceder a mon objectif en toute sérénité...pour l'instant, on va dire que ça marche plutot pas mal...


Geinis, oui, je veux bien que tu developpe, ça m'interesse cette idée de ne pas mmaitriser la situation ,car on m'en a deja parlé ,mais je n'ai pas poursuivi dans ce sens, si tu veux discuter en mp,no prob, sinon ca ne me derange pas de mettre ce genre de peur sur le forum, si je ne le fais pas avec mes futurs collègues, alors qui pourra me comprendre!!!!

[cess3333]

heu pardon j'a iecorché ton pseudo Gengis!!

[Eydis]

Ha, si, j'ai quand même profondément voulu être psy...
Je voulais écouter les autres...
Et je suis allée en Biologie, j'avais démarré une licence pro laboratoire sans grande conviction...
J'ai tout arrêté, je me suis posée, j'ai pris un an pour réfléchir à ce que je voulais vraiment faire, pour pas me planter 5 fois de suite, être sûre de moi, et être sûre que le métier me convienne (même si de ça, on ne peut pas être sûr avant d'avoir démarré les études...).

[Juju5544]

Merci pour les sujets.
J'attends la suite du concours de Villefranche sur Saône

[pippin]

Enfant je souhaitais être artiste peintre ou chanteur d'opéra, puis archéologue.
En troisième j'ai voulu devenir assistant social mais le conseiller d'orientation me l'avais complètement déconseillé.

[badgirl359]

Il me semble pas l'avoir vu, mais dans le doute je demande, j'ai le sujet du concours de la correze si ça vous interesse juju5544.

Bonne journée a tous

[Eydis]

Lol

Et maintenant, nous voilà tous à vouloir être infirmiers...

[artsamie]

pour ma part etant petite je voulais etre medecin generaliste.j'ai laissé tomber mon "reve" au college car nulle en sciences.

après j'ai voulu faire tous les metiers.j'etais perdu.j'ai fait un bac stt car c'etait technique avec un peu de theorie.

j'ai voulu faire inf sur le tard, car j'avais completement delaissé le coté medical, persuadée que ca n'etait plus pour moi.mais il s'est rappelé à moi lol.je n'ai pas voulu me lancer avant car j'avais la trouille de ne pas etre à la hauteur face au etudes et à la responsabilité du metier.c à la suite de mon boulot en ehpad cette année que je me suis lancée.

voila pour moi

[blablae]

salut à vous deux!

en fait étouffer,dans un lieu précis ,une situation répétitive ,ça me rapelle des reves bizarres;pas vraiment des cauchmards mais une sensation de mal etre.

les ayant noté ,meme si c'est les memes :errer dans un batiment ,un quartier ou une ville sans trouver ce qu'on cherche ,avec un sentiment,j'ai compris que c'était lié à l'angoisse de l'avenir ,tourner en rond dans ma vie..
et je te passe les reves de tsunamis qui me poursuivent et ceux ou je suis aphone...

cess:
tiens tu le journal de tes "petits coups de pompe"ça pourrait etre interessant.dates,intensité,sensation,lieux précis,schémas.....,ça aide à mieux maitriser ce qui se passe.a+

[Gengis]

Il s'agit bel et bien d'une phobie du milieu hospitalier,

pas forcément... à moins que tu aies fait une analyse dans ce sens
ça peut être du à un sentiment de ne pas contrôler la situation... je peux détailler demain si besoin

me revoilou

je vais essayer d'expliquer ce que j'en sais
En préambule je dirai que moi aussi je ne supporte pas les hôpitaux et pourtant j'y exerce depuis 35 ans
Je ne supporte pas les hôpitaux quand j'y vais sans ma casquette d'IDE... en visite pour la famille, des proches voire pour moi-même... je suis mal à l'aise, je trouve que ça pue, qu'il y a de bizarres odeurs...j'ai même ressenti cela dans un hosto où je travaillais et où j'allais concomitemment voir un de mes proches hospitalisé... je n'avais pas le même ressenti et pourtant je foulais les mêmes couloirs

Je ne vais pas parler pour toi puisque je ne te connais pas, mais on peut faire un parallèle

Quand on exerce un métier au contact du public, on exerce de par ses qualification un certain contrôle, certains parlent de pouvoir... qui peuvent nous rassurer quant à la maitrise des situations diverses...
En dehors de son propre milieu, il peut sembler qu'il n'y ait point de salut (inconsciemment) cela conduit souvent à un manque de confiance en soi et aussi envers les autres...
Le fait de rester dans le contrôle conduit souvent à des difficultés à déléguer, à travailler en équipe... des difficultés relationnelles invivables dans des métiers où le travail d'équipe est primordial...c'est pour cela que c'est important de se pencher sur cette notion

Mais on ne peut pas exercer ce contrôle dans des situations qui bien que similaires peuvent nous échapper et c'est là qu'il faut accepter de lâcher prise, de laisser la place aux autres, à ceux dont c'est le rôle ou l'attribution et d'en parler aussi et surtout, il n'est jamais judicieux de refouler ses émotions

Je sais, ça parait ambigu, d'avoir fait ce choix et d'être phobique des hôpitaux, le métier ne me fait pas peur et m'attire beaucoup, mais c'est les 37 mois de formation et de stages a l'hosto...qui m'empêchent de dormir depuis quelques jours....

ambigu pas forcément à mon sens, choisir un métier d'aidant (au sens large quel qu'il soit) est souvent une quête de se "réparer" soi-même...même inconsciemment.
ceci dit c'est vrai qu'il vaut mieux regler le "problème" avant d'enclencher les études où forcément tu ne sera pas décisionnaire de tes actes au moins au début en terme d'initiative.
Mais j'ai lu que tu parlais de thérapie alors j'espère que tu es sur la bonne voie être sur la bonne voie

[krys191]

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