Culture Générale
Modérateurs : Modérateurs, Concours IFSI
Re: Entraînement culture générale 2012
Merci beaucoup angelito pour cette correction!!
Je ferais plus attention aux questions la prochaine fois!!
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Montpellier: Admise sur LP!!
ESI 2012/2015!!
Stage: S1 Crèche S2 Gériatrie S3 Médecine Générale S4 Psychiatrie
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Re: Fiches culture générale 2012
Moi ca me va.
Aprés a voir les autres comme elles peuvent s’organiser. Ca me dérange pas d'espacer plus
Aprés a voir les autres comme elles peuvent s’organiser. Ca me dérange pas d'espacer plus

INFIRMIERE D.E
- angelito94
- Insatiable
- Messages : 723
- Inscription : 24 août 2011 11:32
Re: Entraînement culture générale 2012
Pas de soucis mémo mais je viens d'être illuminé XD je mettrai un exercice de commentaire en plusieurs étapes pour nous aider à mieux comprendre la méthode.
Travaillez bien moi le stress monte dans 6 jours je serrai fixé sur mon sort lol je compte sur vous pour me servir d'anti dépresseur si j'ai pas d'oral lol
Si jamais vous voulez mettre des exercices n'hésitez pas !
Cette semaine je ne mettrai pas d'exercices type concours , mais un exercice de résumé, un exercice de synthèse, un exercice (de mots clefs définitions), un exercice de commentaire (étape par étape) , et une toute petite argumentation sur un sujet d'annale ^^.
Profitez de votre week end à fond
Travaillez bien moi le stress monte dans 6 jours je serrai fixé sur mon sort lol je compte sur vous pour me servir d'anti dépresseur si j'ai pas d'oral lol
Si jamais vous voulez mettre des exercices n'hésitez pas !
Cette semaine je ne mettrai pas d'exercices type concours , mais un exercice de résumé, un exercice de synthèse, un exercice (de mots clefs définitions), un exercice de commentaire (étape par étape) , et une toute petite argumentation sur un sujet d'annale ^^.
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ESI 2013-2016 SAINT-ANTOINE AP HP
S1: Chir ortho post op
S2: psychiatrie / IDE scolaire
1ére année validée 60/60ects
S3 : Onco-hémato pédiatrique
S1: Chir ortho post op
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1ére année validée 60/60ects
S3 : Onco-hémato pédiatrique
Re: Entraînement culture générale 2012
merci angelito pour toutes tes analyses et ton investissement c'est vraiment sympa
ne te fais pas de bille je suis sure que dans 6 jours tu seras trop heureuse
bon week end

ne te fais pas de bille je suis sure que dans 6 jours tu seras trop heureuse

bon week end

on y va pour 2012 INCHALLAH que ce sera la bonne annee
On y croit a fond!!!
On y croit a fond!!!
Re: Actualités concours 2012
Cultiver un nouveau départ
Devant un grand panier qu'il est en train de remplir de légumes, Robert sifflote nonchalamment. Il pose son panier derrière lui sur une grande table, sous un tableau noir où des instructions sont inscrites à la craie. Deux hommes passent à côté de lui en vitesse, les bras chargés de sacs en papier ou en toile qu'ils déposent un peu plus loin. Quand il retourne à sa place, Maryse lui souffle quelques indications quant aux légumes à mettre dans le prochain panier. "Elle, elle ne veut pas de radis, t'as qu'à lui ajouter une salade, ou des oignons."
"Elle, elle ne veut pas de radis, t'as qu'à lui ajouter une salade, ou des oignons." © Antonin Sabot / LeMonde.fr
Tous ces gens qui s'affairent autour de lui, et qui préparent des livraisons de paniers de légumes bio pour les adhérents de l'association Le Jardin des Estreys, ce sont des histoires en mouvement, en mutation. Des histoires qui se croisent et souvent se ressemblent, de personnes arrêtées en fin de parcours ou stoppées avant même le départ pour les plus jeunes. "Des gens dégoûtés du travail, déconnectés du travail, ou qui n'y ont jamais été connectés", avance Georges Hantz, le directeur du Jardin des Estreys, qui se propose de les relancer.
L'association est un chantier d'insertion par le travail et fait partie du dispositif national d'insertion par l'activité économique (IAE). Ici 34 bénéficiaires sont embauchés par contrat de 6 mois renouvelables trois fois à cultiver des légumes bio qu'ils vendent sous la forme de paniers réservés à l'année. Pour ce faire, l'association reçoit une aide de 4 000 euros par an et par poste, soit une infime partie des salaires. Pour payer tout le monde, il faut donc produire, et s'insérer véritablement dans l'économie locale. "Et c'est tant mieux", insiste Georges Hantz qui veut montrer aux bénéficiaires qu'il y a un rapport entre la production et le salaire qui leur est payé.
Pour payer tout le monde, il faut donc produire, et s'insérer véritablement dans l'économie locale. © Antonin Sabot / LeMonde.fr
Pourtant, l'idée qui anime le directeur de l'association, c'est que « l'insertion n'est pas une question d'emploi ». Il dit percevoir des problématiques beaucoup plus larges dans la dynamique qui fait que l'on perd ou obtient du travail. "C'est avant tout une question d'intégration, martèle-t-il. Il faut déjà que les gens arrivent à se parler et à vivre entre eux. Nous on les fait se rencontrer, c'est la première marche."
Une première marche qui se transforme parfois en tremplin. Comme pour Maryse Chani par exemple. Aujourd'hui encadrante au sein de l'association elle y est entrée en contrat d'insertion il y trois ans. Parcours classique de la personne qui ne trouve pas sa voie : "A 17 ans, je ne voulais plus entendre parler de l'école", explique-t-elle. Elle commence à travailler pour se payer le permis de conduire puis enchaîne les contrats aidés dans le secrétariat et finit par perdre pied après trois ans à s'occuper de son premier enfant. Elle ne trouvera dès lors que des emplois précaires.
"Les agences d'intérim elles vous testent, testent, testent." © Antonin Sabot / LeMonde.fr
Chômeuse en fin de droit avant d'arriver au jardin des Estreys, elle ne touchait plus que l'allocation de solidarité spécifique (ASS). Soit 200 euros par mois. Ici, elle a cultivé un nouveau départ. Elle est entrée au Jardin pour valider ses compétences en secrétariat et y travaille maintenant comme encadrante à la logistique. Elle explique d'une voix assurée où doit partir chaque panier, réfléchi à de nouveaux débouchés et surtout encadre ceux qui se retrouvent aujourd'hui à bénéficier de l'aide de l'association. "C'est pas une broutille ce qu'on fait !" s'enthousiasme-t-elle, persuadé que si elle avait eu "un autre travail stable", elle se serait mise en plus au bénévolat.
D'autres en sont encore au début de l'histoire du retour vers l'emploi. Ici, ils travaillent 26 heures payées au SMIC, alors certains parviennent à faire de l'intérim en même temps. Parfois, cela leur permet de remettre un pied dans les entreprises. "Les agences d'intérim elles vous testent, testent, testent. Elles vous proposent de toutes petites missions et puis après si ça va... Faut commencer comme ça dans la vie... surtout en ce moment", estime Maryse.
"J'ai 48 ans. Vas trouver une entreprise qui t'embauche à cet âge!" © Antonin Sabot / LeMonde.fr
Jean-Luc est dans ce cas. Au chômage depuis 4 ans pour licenciement économique, il avait "l'impression de tourner en rond". "Mais j'ai 48 ans, dit-il calmement. Vas trouver une entreprise qui t'embauche à cet âge. Déjà 35 ans c'est trop tard. Je cherchais pourtant, je me bouge. Les enveloppes, les timbres, on les paie quand même. Mais pour les trois quart on n'a même pas de réponse." Depuis qu'il est ici, il a l'impression d'avoir plus de valeur aux yeux des employeurs. Il est toujours plus facile de chercher quand on est déjà en activité. Lui à le sentiment de ne pas être juste un chômeur de plus.
Le monde
Devant un grand panier qu'il est en train de remplir de légumes, Robert sifflote nonchalamment. Il pose son panier derrière lui sur une grande table, sous un tableau noir où des instructions sont inscrites à la craie. Deux hommes passent à côté de lui en vitesse, les bras chargés de sacs en papier ou en toile qu'ils déposent un peu plus loin. Quand il retourne à sa place, Maryse lui souffle quelques indications quant aux légumes à mettre dans le prochain panier. "Elle, elle ne veut pas de radis, t'as qu'à lui ajouter une salade, ou des oignons."
"Elle, elle ne veut pas de radis, t'as qu'à lui ajouter une salade, ou des oignons." © Antonin Sabot / LeMonde.fr
Tous ces gens qui s'affairent autour de lui, et qui préparent des livraisons de paniers de légumes bio pour les adhérents de l'association Le Jardin des Estreys, ce sont des histoires en mouvement, en mutation. Des histoires qui se croisent et souvent se ressemblent, de personnes arrêtées en fin de parcours ou stoppées avant même le départ pour les plus jeunes. "Des gens dégoûtés du travail, déconnectés du travail, ou qui n'y ont jamais été connectés", avance Georges Hantz, le directeur du Jardin des Estreys, qui se propose de les relancer.
L'association est un chantier d'insertion par le travail et fait partie du dispositif national d'insertion par l'activité économique (IAE). Ici 34 bénéficiaires sont embauchés par contrat de 6 mois renouvelables trois fois à cultiver des légumes bio qu'ils vendent sous la forme de paniers réservés à l'année. Pour ce faire, l'association reçoit une aide de 4 000 euros par an et par poste, soit une infime partie des salaires. Pour payer tout le monde, il faut donc produire, et s'insérer véritablement dans l'économie locale. "Et c'est tant mieux", insiste Georges Hantz qui veut montrer aux bénéficiaires qu'il y a un rapport entre la production et le salaire qui leur est payé.
Pour payer tout le monde, il faut donc produire, et s'insérer véritablement dans l'économie locale. © Antonin Sabot / LeMonde.fr
Pourtant, l'idée qui anime le directeur de l'association, c'est que « l'insertion n'est pas une question d'emploi ». Il dit percevoir des problématiques beaucoup plus larges dans la dynamique qui fait que l'on perd ou obtient du travail. "C'est avant tout une question d'intégration, martèle-t-il. Il faut déjà que les gens arrivent à se parler et à vivre entre eux. Nous on les fait se rencontrer, c'est la première marche."
Une première marche qui se transforme parfois en tremplin. Comme pour Maryse Chani par exemple. Aujourd'hui encadrante au sein de l'association elle y est entrée en contrat d'insertion il y trois ans. Parcours classique de la personne qui ne trouve pas sa voie : "A 17 ans, je ne voulais plus entendre parler de l'école", explique-t-elle. Elle commence à travailler pour se payer le permis de conduire puis enchaîne les contrats aidés dans le secrétariat et finit par perdre pied après trois ans à s'occuper de son premier enfant. Elle ne trouvera dès lors que des emplois précaires.
"Les agences d'intérim elles vous testent, testent, testent." © Antonin Sabot / LeMonde.fr
Chômeuse en fin de droit avant d'arriver au jardin des Estreys, elle ne touchait plus que l'allocation de solidarité spécifique (ASS). Soit 200 euros par mois. Ici, elle a cultivé un nouveau départ. Elle est entrée au Jardin pour valider ses compétences en secrétariat et y travaille maintenant comme encadrante à la logistique. Elle explique d'une voix assurée où doit partir chaque panier, réfléchi à de nouveaux débouchés et surtout encadre ceux qui se retrouvent aujourd'hui à bénéficier de l'aide de l'association. "C'est pas une broutille ce qu'on fait !" s'enthousiasme-t-elle, persuadé que si elle avait eu "un autre travail stable", elle se serait mise en plus au bénévolat.
D'autres en sont encore au début de l'histoire du retour vers l'emploi. Ici, ils travaillent 26 heures payées au SMIC, alors certains parviennent à faire de l'intérim en même temps. Parfois, cela leur permet de remettre un pied dans les entreprises. "Les agences d'intérim elles vous testent, testent, testent. Elles vous proposent de toutes petites missions et puis après si ça va... Faut commencer comme ça dans la vie... surtout en ce moment", estime Maryse.
"J'ai 48 ans. Vas trouver une entreprise qui t'embauche à cet âge!" © Antonin Sabot / LeMonde.fr
Jean-Luc est dans ce cas. Au chômage depuis 4 ans pour licenciement économique, il avait "l'impression de tourner en rond". "Mais j'ai 48 ans, dit-il calmement. Vas trouver une entreprise qui t'embauche à cet âge. Déjà 35 ans c'est trop tard. Je cherchais pourtant, je me bouge. Les enveloppes, les timbres, on les paie quand même. Mais pour les trois quart on n'a même pas de réponse." Depuis qu'il est ici, il a l'impression d'avoir plus de valeur aux yeux des employeurs. Il est toujours plus facile de chercher quand on est déjà en activité. Lui à le sentiment de ne pas être juste un chômeur de plus.
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Re: Actualités concours 2012
Des entreprises compensent les dégâts causés à la nature
Les premiers contrats ont été signés avec CDC Biodiversité, seul organisme à offrir une telle possibilité.
Deux entreprises viennent de financer la restauration écologique d'un terrain afin de compenser les dégâts qu'elles ont occasionnés par ailleurs. Ainsi, l'Epad Ouest Provence et la société Boussard Nord, après avoir développé l'une et l'autre des plates-formes d'activité dans les Bouches-du-Rhône, ont investi dans la réhabilitation du système écologique du domaine de Cossure à Saint-Martin-de-Crau.
Une grande première, même si la loi qui oblige les entreprises à ce type d'exercice date de 1976. À l'époque, il est vrai, de telles opérations étaient particulièrement difficiles à organiser faute de pouvoir trouver un interlocuteur capable d'offrir un projet de compensation. CDC Biodiversité, créé en 2008, est le premier du genre et «le principe de compensation a été renforcé par les lois Grenelle», explique Philippe Thiévent, le directeur de l'organisme, filiale de la Caisse des dépôts et Consignation. C'est ainsi que, dès sa création, CDC Biodiversité choisit d'investir quelque 12 millions d'euros dans 357 hectares de la plaine de Crau. Une vaste étendue de galets unique en Europe, pâturée depuis plus de 2000 ans par des troupeaux de moutons, jusqu'à ce que des vergers abondamment irrigués y soient plantés avant d'être abandonnés, transformant totalement la faune comme la flore.
La réhabilitation du site a permis de générer des « unités de biodiversité ». «Une unité de biodiversité équivaut à un hectare et son prix est calé sur le prix de revient de la réparation», précise encore Philippe Thiévent. C'est ainsi que l'Epad a investi dans la réhabilitation de 50 hectares. L'unité valait alors 35 000 euros, aujourd'hui elle en vaudrait 38 000. Le contrat signé entre les deux parties est de trente ans.
CDC Biodiversité reste propriétaire du terrain et l'Epad, de son côté, achète des services : la sécurisation du foncier, les travaux de génie écologique et la gestion du suivi écologique. Même si, au-delà des trente ans, l'Epad est libéré de ses obligations, «CDC Biodiversité s'engage à maintenir la qualité écologique du site. Il n'est pas question de le laisser se transformer en lotissements», insiste Philippe Thiévent .
Aujourd'hui, CDC Biodiversité a investi dans d'autres terrains. «Nous avons passé un accord avec une coopérative agricole afin de transformer 100 hectares de maïs en prairie naturelle et la restauration du cours d'eau voisin. Et on paye les agriculteurs comme s'ils avaient cultivé du maïs», raconte encore le directeur de CDC Biodiversité. Parallèlement, une vingtaine de contrats sont en cours avec des entreprises ayant besoin de respecter la loi de compensation.
Reste que tout ceci est encore relativement confidentiel. Un très grand nombre d'entreprises qui tombent sous le coup préfèrent ignorer leurs obligations. Tant qu'il n'y aura pas un processus de contrôle, cela n'a guère de raisons de changer. Sans oublier ceux qui critiquent ce genre de mécanisme. En offrant aux entreprises une possibilité de se dédouaner, on les encouragerait à faire plus ou moins n'importe quoi, estiment-ils. Un constat que réfute Philippe Thiévent : «Ce système de compensation qui est arrivé avec CDC Biodiversité il y a trois ans n'a provoqué aucun appel d'air», assure-t-il.
Le figaro
Les premiers contrats ont été signés avec CDC Biodiversité, seul organisme à offrir une telle possibilité.
Deux entreprises viennent de financer la restauration écologique d'un terrain afin de compenser les dégâts qu'elles ont occasionnés par ailleurs. Ainsi, l'Epad Ouest Provence et la société Boussard Nord, après avoir développé l'une et l'autre des plates-formes d'activité dans les Bouches-du-Rhône, ont investi dans la réhabilitation du système écologique du domaine de Cossure à Saint-Martin-de-Crau.
Une grande première, même si la loi qui oblige les entreprises à ce type d'exercice date de 1976. À l'époque, il est vrai, de telles opérations étaient particulièrement difficiles à organiser faute de pouvoir trouver un interlocuteur capable d'offrir un projet de compensation. CDC Biodiversité, créé en 2008, est le premier du genre et «le principe de compensation a été renforcé par les lois Grenelle», explique Philippe Thiévent, le directeur de l'organisme, filiale de la Caisse des dépôts et Consignation. C'est ainsi que, dès sa création, CDC Biodiversité choisit d'investir quelque 12 millions d'euros dans 357 hectares de la plaine de Crau. Une vaste étendue de galets unique en Europe, pâturée depuis plus de 2000 ans par des troupeaux de moutons, jusqu'à ce que des vergers abondamment irrigués y soient plantés avant d'être abandonnés, transformant totalement la faune comme la flore.
La réhabilitation du site a permis de générer des « unités de biodiversité ». «Une unité de biodiversité équivaut à un hectare et son prix est calé sur le prix de revient de la réparation», précise encore Philippe Thiévent. C'est ainsi que l'Epad a investi dans la réhabilitation de 50 hectares. L'unité valait alors 35 000 euros, aujourd'hui elle en vaudrait 38 000. Le contrat signé entre les deux parties est de trente ans.
CDC Biodiversité reste propriétaire du terrain et l'Epad, de son côté, achète des services : la sécurisation du foncier, les travaux de génie écologique et la gestion du suivi écologique. Même si, au-delà des trente ans, l'Epad est libéré de ses obligations, «CDC Biodiversité s'engage à maintenir la qualité écologique du site. Il n'est pas question de le laisser se transformer en lotissements», insiste Philippe Thiévent .
Aujourd'hui, CDC Biodiversité a investi dans d'autres terrains. «Nous avons passé un accord avec une coopérative agricole afin de transformer 100 hectares de maïs en prairie naturelle et la restauration du cours d'eau voisin. Et on paye les agriculteurs comme s'ils avaient cultivé du maïs», raconte encore le directeur de CDC Biodiversité. Parallèlement, une vingtaine de contrats sont en cours avec des entreprises ayant besoin de respecter la loi de compensation.
Reste que tout ceci est encore relativement confidentiel. Un très grand nombre d'entreprises qui tombent sous le coup préfèrent ignorer leurs obligations. Tant qu'il n'y aura pas un processus de contrôle, cela n'a guère de raisons de changer. Sans oublier ceux qui critiquent ce genre de mécanisme. En offrant aux entreprises une possibilité de se dédouaner, on les encouragerait à faire plus ou moins n'importe quoi, estiment-ils. Un constat que réfute Philippe Thiévent : «Ce système de compensation qui est arrivé avec CDC Biodiversité il y a trois ans n'a provoqué aucun appel d'air», assure-t-il.
Le figaro
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Re: Actualités concours 2012
Les Français, tous bénévoles !
Avec la seule motivation d’être utile, un Français adulte sur trois s’implique dans des actions bénévoles. Toute la semaine, leur engagement a été mis à l’honneur
Qui a dit que les Français n’étaient pas généreux ? Avec un adulte sur trois engagé dans une action de bénévolat, l’Hexagone se classe dixième sur 27 pays européens. Bonne nouvelle, nous sommes même de plus en plus nombreux à nous engager : le nombre de personnes menant des actions bénévoles a bondi de 23 % entre 1999 et 2005. Alors que l’Union européenne a fait de 2011 l’année du bénévolat et du volontariat, un collectif d’une centaine d’associations a fait vivre depuis lundi la première Semaine de l’engagement lancée par le ministère de l’Education nationale.
Selon l’enquête du Centre d’analyse stratégique (CAS), le bénévole type est un cadre quadragénaire diplômé du supérieur. Mais l’organisme décrypte également les raisons les plus fréquentes pour lesquelles les Français s’engagent. En tête des motivations, la volonté d’être utile, sans espérer une contrepartie autre que symbolique, comme la reconnaissance ou la fierté. Sans surprise, viennent ensuite la volonté de défendre des valeurs de citoyenneté, de don de soi et d’engagement.
Un tremplin vers l’emploi ?
Mais pour d’autres, le bénévolat prend une autre dimension. C’est l’occasion de « tester une vocation » : en effectuant quelques heures d’accompagnement en maison de retraite, la jeune femme qui rêve d’être aide-soignante découvrira une réalité parfois dure à vivre, ou confirmera son choix. En quête de sens, de nombreux Français y trouvent aussi le moyen de « contrebalancer l’exercice d’un métier peu épanouissant », ou, dans le cas de retraités, de continuer à faire vivre leurs compétences, décrypte le CAS.
Plus surprenant, certains confient leur désir d’acquérir une expérience ou des compétences professionnelles par ce biais. Bien vu : le Centre d’analyse stratégique préconise d’ailleurs d’impliquer Pôle emploi et de sensibiliser les employeurs pour valoriser les activités bénévoles. Car celles-ci faciliteraient l’insertion professionnelle, voire déboucheraient parfois sur de vrais emplois. Le bénévolat, un tremplin ? Ceux qui s’y adonnent en sont convaincus. Le CAS va même plus loin : selon son enquête, cette démarche améliore le bien-être, et fait reculer le taux de mortalité et de dépression, notamment chez les seniors. Alors, lancez-vous !
Pour trouver une action bénévole près de chez vous, consultez le portail de France Bénévolat www.francebenevolat.org
France doir
Avec la seule motivation d’être utile, un Français adulte sur trois s’implique dans des actions bénévoles. Toute la semaine, leur engagement a été mis à l’honneur
Qui a dit que les Français n’étaient pas généreux ? Avec un adulte sur trois engagé dans une action de bénévolat, l’Hexagone se classe dixième sur 27 pays européens. Bonne nouvelle, nous sommes même de plus en plus nombreux à nous engager : le nombre de personnes menant des actions bénévoles a bondi de 23 % entre 1999 et 2005. Alors que l’Union européenne a fait de 2011 l’année du bénévolat et du volontariat, un collectif d’une centaine d’associations a fait vivre depuis lundi la première Semaine de l’engagement lancée par le ministère de l’Education nationale.
Selon l’enquête du Centre d’analyse stratégique (CAS), le bénévole type est un cadre quadragénaire diplômé du supérieur. Mais l’organisme décrypte également les raisons les plus fréquentes pour lesquelles les Français s’engagent. En tête des motivations, la volonté d’être utile, sans espérer une contrepartie autre que symbolique, comme la reconnaissance ou la fierté. Sans surprise, viennent ensuite la volonté de défendre des valeurs de citoyenneté, de don de soi et d’engagement.
Un tremplin vers l’emploi ?
Mais pour d’autres, le bénévolat prend une autre dimension. C’est l’occasion de « tester une vocation » : en effectuant quelques heures d’accompagnement en maison de retraite, la jeune femme qui rêve d’être aide-soignante découvrira une réalité parfois dure à vivre, ou confirmera son choix. En quête de sens, de nombreux Français y trouvent aussi le moyen de « contrebalancer l’exercice d’un métier peu épanouissant », ou, dans le cas de retraités, de continuer à faire vivre leurs compétences, décrypte le CAS.
Plus surprenant, certains confient leur désir d’acquérir une expérience ou des compétences professionnelles par ce biais. Bien vu : le Centre d’analyse stratégique préconise d’ailleurs d’impliquer Pôle emploi et de sensibiliser les employeurs pour valoriser les activités bénévoles. Car celles-ci faciliteraient l’insertion professionnelle, voire déboucheraient parfois sur de vrais emplois. Le bénévolat, un tremplin ? Ceux qui s’y adonnent en sont convaincus. Le CAS va même plus loin : selon son enquête, cette démarche améliore le bien-être, et fait reculer le taux de mortalité et de dépression, notamment chez les seniors. Alors, lancez-vous !
Pour trouver une action bénévole près de chez vous, consultez le portail de France Bénévolat www.francebenevolat.org
France doir
Montpellier: Admise sur LP!!
ESI 2012/2015!!
Stage: S1 Crèche S2 Gériatrie S3 Médecine Générale S4 Psychiatrie
ESI 2012/2015!!
Stage: S1 Crèche S2 Gériatrie S3 Médecine Générale S4 Psychiatrie
Re: Actualités concours 2012
Ce qu’on sait sur les dangers du portable
Les études se suivent et ne se ressemblent pas sur les dangers éventuels causés par l’utilisation du portable. Mais que sait-on réellement à ce sujet?
Le téléphone portable accroît-il le risque de cancer du cerveau? Depuis huit ans, plus d’un millier d’enquêtes épidémiologiques ont tenté de répondre à cette question. Après avoir analysé toutes ces études, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) avait conclu en mai dernier que le portable était « peut-être cancérogène ». Mais voilà qu’une nouvelle étude danoise, publiée hier par le « British Medical Journal », affirme le contraire! Par mesure de précaution, les autorités sanitaires françaises conseillent pour leur part d’utiliser un kit mains libres. Voici le point sur ce que l’on sait à l’heure actuelle.
L’étude danoise conclut qu’il n’y a pas plus de cancers chez les abonnés
L’étude pilotée par Patricia Frei, de la Société danoise du cancer, a été conduite sur 358403 personnes, abonnées ou pas à un service de téléphonie mobile. Leur état de santé a été suivi pendant dix-huit ans. Sur ce panel, 10729 personnes ont contracté une tumeur du système nerveux central, mais les taux de gliomes (un type de tumeur cérébrale) et de méningiomes étaient similaires chez les abonnés au portable et chez les autres. L’étude ne fait donc apparaître aucun lien entre l’apparition d’un cancer du cerveau et l’utilisation d’un mobile, même chez les personnes abonnées depuis plus de treize ans.
L’OMS pointe des risques accrus de gliome chez les gros utilisateurs
Chercheur au centre international de recherche sur le cancer de Lyon (Circ), qui dépend de l’OMS, Robert Baan estime que les résultats de l’étude danoise ne remettent pas en cause le caractère « potentiellement » cancérogène des portables. « La faiblesse de cette étude est qu’elle ne prend pas en compte l’intensité d’utilisation du mobile chez les abonnés, souligne le scientifique. Or on sait que le risque de gliome augmente chez les utilisateurs les plus intensifs (NDLR : plus de trente minutes par jour pendant dix ans). Mieux vaut donc être prudent en avertissant la population de ce risque potentiel plutôt que d’envoyer des messages rassurants aux usagers, car les gliomes peuvent mettre trente ans à se déclarer et le pire est peut-être à venir. »
Mieux vaut limiter au maximum le contact avec l’oreille
Pour le directeur général adjoint de l’Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses), « cette étude ne change rien à la position et aux recommandations de l’OMS, qui conseille de limiter l’usage du portable pour les enfants et d’utiliser au maximum une oreillette », souligne le professeur Gérard Lasfargue. « Pour diminuer les risques d’exposition aux ondes électromagnétiques, il faut éloigner au maximum le portable de la tête », rappelle Robert Baan. « Cela vaut aussi pour les téléphones sans fil à la maison, qui fonctionnent avec le même type d’ondes », souligne Kerstin Stenberg, membre d’une coalition internationale d’associations qui luttent contre les ondes électromagnétiques.
De nouvelles études sur les enfants
Exclus jusqu’ici des études épidémiologiques, plusieurs milliers d’enfants et d’adolescents seront suivis pendant cinq ans dans le cadre de l’étude internationale Mobikids pour évaluer le risque de tumeurs cérébrales chez les jeunes usagers de téléphones mobiles. Une autre étude, baptisée Cosmos, se penchera pendant plusieurs années sur l’état de santé de 250000 utilisateurs adultes de technologies sans fil. « Il y a déjà eu suffisamment d’études alarmantes évoquant les risques liés au portable pour que l’Europe renforce ses recommandations de précaution, estime l’eurodéputée écologiste Michèle Rivasi. On ne peut pas rester dans le statu quo, et nous militerons lors d’une prochaine réunion à Bruxelles, le 16 novembre, pour que soient revus à la baisse les niveaux d’exposition de la population aux ondes. »
Le Parisien
Les études se suivent et ne se ressemblent pas sur les dangers éventuels causés par l’utilisation du portable. Mais que sait-on réellement à ce sujet?
Le téléphone portable accroît-il le risque de cancer du cerveau? Depuis huit ans, plus d’un millier d’enquêtes épidémiologiques ont tenté de répondre à cette question. Après avoir analysé toutes ces études, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) avait conclu en mai dernier que le portable était « peut-être cancérogène ». Mais voilà qu’une nouvelle étude danoise, publiée hier par le « British Medical Journal », affirme le contraire! Par mesure de précaution, les autorités sanitaires françaises conseillent pour leur part d’utiliser un kit mains libres. Voici le point sur ce que l’on sait à l’heure actuelle.
L’étude danoise conclut qu’il n’y a pas plus de cancers chez les abonnés
L’étude pilotée par Patricia Frei, de la Société danoise du cancer, a été conduite sur 358403 personnes, abonnées ou pas à un service de téléphonie mobile. Leur état de santé a été suivi pendant dix-huit ans. Sur ce panel, 10729 personnes ont contracté une tumeur du système nerveux central, mais les taux de gliomes (un type de tumeur cérébrale) et de méningiomes étaient similaires chez les abonnés au portable et chez les autres. L’étude ne fait donc apparaître aucun lien entre l’apparition d’un cancer du cerveau et l’utilisation d’un mobile, même chez les personnes abonnées depuis plus de treize ans.
L’OMS pointe des risques accrus de gliome chez les gros utilisateurs
Chercheur au centre international de recherche sur le cancer de Lyon (Circ), qui dépend de l’OMS, Robert Baan estime que les résultats de l’étude danoise ne remettent pas en cause le caractère « potentiellement » cancérogène des portables. « La faiblesse de cette étude est qu’elle ne prend pas en compte l’intensité d’utilisation du mobile chez les abonnés, souligne le scientifique. Or on sait que le risque de gliome augmente chez les utilisateurs les plus intensifs (NDLR : plus de trente minutes par jour pendant dix ans). Mieux vaut donc être prudent en avertissant la population de ce risque potentiel plutôt que d’envoyer des messages rassurants aux usagers, car les gliomes peuvent mettre trente ans à se déclarer et le pire est peut-être à venir. »
Mieux vaut limiter au maximum le contact avec l’oreille
Pour le directeur général adjoint de l’Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses), « cette étude ne change rien à la position et aux recommandations de l’OMS, qui conseille de limiter l’usage du portable pour les enfants et d’utiliser au maximum une oreillette », souligne le professeur Gérard Lasfargue. « Pour diminuer les risques d’exposition aux ondes électromagnétiques, il faut éloigner au maximum le portable de la tête », rappelle Robert Baan. « Cela vaut aussi pour les téléphones sans fil à la maison, qui fonctionnent avec le même type d’ondes », souligne Kerstin Stenberg, membre d’une coalition internationale d’associations qui luttent contre les ondes électromagnétiques.
De nouvelles études sur les enfants
Exclus jusqu’ici des études épidémiologiques, plusieurs milliers d’enfants et d’adolescents seront suivis pendant cinq ans dans le cadre de l’étude internationale Mobikids pour évaluer le risque de tumeurs cérébrales chez les jeunes usagers de téléphones mobiles. Une autre étude, baptisée Cosmos, se penchera pendant plusieurs années sur l’état de santé de 250000 utilisateurs adultes de technologies sans fil. « Il y a déjà eu suffisamment d’études alarmantes évoquant les risques liés au portable pour que l’Europe renforce ses recommandations de précaution, estime l’eurodéputée écologiste Michèle Rivasi. On ne peut pas rester dans le statu quo, et nous militerons lors d’une prochaine réunion à Bruxelles, le 16 novembre, pour que soient revus à la baisse les niveaux d’exposition de la population aux ondes. »
Le Parisien
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Re: Actualités concours 2012
Première élection libre en Tunisie
Dix mois après la chute de Ben Ali, les Tunisiens vont élire une Assemblée constituante. 130 partis sont en lice.
«Nous allons vivre une journée historique. Pas question de la rater. » Sur l’avenue Habib-Bourguiba, les « Champs-Elysées » de Tunis, Rafika, jolie étudiante de 23 ans, distribue, avec un grand sourire, les tracts du Mouvement Citoyenneté, l’un des… 130 partis nés dans la foulée de la chute de Ben Ali, le 14 janvier dernier. Demain, 7 millions et demi de citoyens vont se rendre aux urnes pour choisir entre 1500 listes et élire les 217 membres de l'Assemblée constituante, qui devra dans un délai d’un an rédiger une nouvelle Constitution, voter des lois, choisir un président et un gouvernement. Viendront ensuite des élections générales.
Une commission indépendante de 16 membres, pilotée par Kamel Jendoubi, ancien président du Réseau euroméditerranéen, personnage réputé « irréprochable », a été chargée d’organiser la consultation. Chaque liste a eu droit à son spot télévisé. Et les candidats, afin de respecter une stricte égalité des temps de parole, n’ont pas le droit de s’adresser à la presse internationale. Mille deux cents observateurs, dont 700 venus de l’étranger, seront à pied d’œuvre demain dans les 27 circonscriptions. Parmi eux, l’ancien diplomate et conseiller d’Etat Yves Doutriaux ou l’ancienne ministre (sous Chirac) Tokia Saïfi.
Une inquiétude, l’abstention
Le scrutin de listes à la proportionnelle avec répartition au plus fort reste fait craindre un émiettement des voix. « Beaucoup vont se perdre », redoute Khadidja Ben Hassine, 59 ans, professeure d’université et candidate à la Manouba, un quartier du gouvernorat de Tunis, du Pôle démocratique moderniste qui rassemble plusieurs partis plutôt à gauche. Nombre de petites listes indépendantes ne se présentent que dans un quartier. Autre inquiétude, une très forte abstention. « Mes copains et moi, nous n’allons pas voter, rigole ManaI Fathi, étudiant en finances, ce n’est pas ça qui nous donnera du boulot! » « C’est la première fois que les Tunisiens votent librement. J’ai peur que la participation ne dépasse pas 50%, s’inquiète Samy Ghorbal, conseiller politique du PDP, le Parti démocratique progressiste, d’un opposant de toujours à Ben Ali, Nejib Chebbi. Mais comparée à celle des élections américaines, ce n’est pas si mal! »
Emergent de ce foisonnement de listes : Ennahda, le parti islamiste de Rached Ghannouchi, le grand favori, crédité, selon les sondages, de 20 à 50% des suffrages ; le PDP, le Pôle démocratique moderniste, dont Ettadjid, l’ancien Parti communiste, est le fer de lance ; le Forum démocratique (Ettakatol) de Mustapha Ben Jaffar. Mais il faut également compter avec tous les anciens du RCD, l’ancien parti de Ben Ali, dont beaucoup ont créé des listes indépendantes. La vraie bataille commencera après le vote, lors de l’inévitable constitution de coalitions.
Le Parisien
Dix mois après la chute de Ben Ali, les Tunisiens vont élire une Assemblée constituante. 130 partis sont en lice.
«Nous allons vivre une journée historique. Pas question de la rater. » Sur l’avenue Habib-Bourguiba, les « Champs-Elysées » de Tunis, Rafika, jolie étudiante de 23 ans, distribue, avec un grand sourire, les tracts du Mouvement Citoyenneté, l’un des… 130 partis nés dans la foulée de la chute de Ben Ali, le 14 janvier dernier. Demain, 7 millions et demi de citoyens vont se rendre aux urnes pour choisir entre 1500 listes et élire les 217 membres de l'Assemblée constituante, qui devra dans un délai d’un an rédiger une nouvelle Constitution, voter des lois, choisir un président et un gouvernement. Viendront ensuite des élections générales.
Une commission indépendante de 16 membres, pilotée par Kamel Jendoubi, ancien président du Réseau euroméditerranéen, personnage réputé « irréprochable », a été chargée d’organiser la consultation. Chaque liste a eu droit à son spot télévisé. Et les candidats, afin de respecter une stricte égalité des temps de parole, n’ont pas le droit de s’adresser à la presse internationale. Mille deux cents observateurs, dont 700 venus de l’étranger, seront à pied d’œuvre demain dans les 27 circonscriptions. Parmi eux, l’ancien diplomate et conseiller d’Etat Yves Doutriaux ou l’ancienne ministre (sous Chirac) Tokia Saïfi.
Une inquiétude, l’abstention
Le scrutin de listes à la proportionnelle avec répartition au plus fort reste fait craindre un émiettement des voix. « Beaucoup vont se perdre », redoute Khadidja Ben Hassine, 59 ans, professeure d’université et candidate à la Manouba, un quartier du gouvernorat de Tunis, du Pôle démocratique moderniste qui rassemble plusieurs partis plutôt à gauche. Nombre de petites listes indépendantes ne se présentent que dans un quartier. Autre inquiétude, une très forte abstention. « Mes copains et moi, nous n’allons pas voter, rigole ManaI Fathi, étudiant en finances, ce n’est pas ça qui nous donnera du boulot! » « C’est la première fois que les Tunisiens votent librement. J’ai peur que la participation ne dépasse pas 50%, s’inquiète Samy Ghorbal, conseiller politique du PDP, le Parti démocratique progressiste, d’un opposant de toujours à Ben Ali, Nejib Chebbi. Mais comparée à celle des élections américaines, ce n’est pas si mal! »
Emergent de ce foisonnement de listes : Ennahda, le parti islamiste de Rached Ghannouchi, le grand favori, crédité, selon les sondages, de 20 à 50% des suffrages ; le PDP, le Pôle démocratique moderniste, dont Ettadjid, l’ancien Parti communiste, est le fer de lance ; le Forum démocratique (Ettakatol) de Mustapha Ben Jaffar. Mais il faut également compter avec tous les anciens du RCD, l’ancien parti de Ben Ali, dont beaucoup ont créé des listes indépendantes. La vraie bataille commencera après le vote, lors de l’inévitable constitution de coalitions.
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Re: Actualités concours 2012
A Narbonne, la police met des PV à... la police
L’arroseur arrosé ! Plusieurs policiers ont été verbalisés ces derniers jours pour stationnement gênant aux abords du commissariat ou pour avoir omis de glisser une pièce dans l’horodateur. Un incident tout à fait anecdotique, les fonctionnaires étant soumis à la loi, comme n’importe quel citoyen.
"Un PV de trop"
Mais le syndicat Unsa en fait une question de principe : "Même si c’est un PV, c’est un de trop !". Non que son secrétaire départemental, Laurent Aspe, réfute cette égalité de traitement face au code la route. Mais il estime que "c’est la goutte d’eau qui fait déborder le vase".
Explication : "La police vit des moments difficiles. Les conditions de travail ne sont pas bonnes. Du fait de la Révision générale des politiques publiques (RGPP) avec le non-remplacement d’un fonctionnaire sur deux qui part à la retraite, la pression pour les résultats et l’impossibilité de pourvoir plusieurs postes de gradés".
"Ras-le-bol général"
Le syndicaliste pense "qu’il y a d’autres priorités" dans un contexte de "ras-le-bol général" et que ces verbalisations constituent "une pression supplémentaire" pour ses collègues. Laurent Aspe est d’autant plus remonté que des demandes d’indulgence formulées par les contrevenants auprès de leur chef ont été refusées.
De son côté, le commissaire justifie sa décision par sa volonté que "les policiers montrent l’exemple en se garant correctement, car il y avait des abus". Jérémie Bosse-Platière insiste sur le fait que "cela fait six mois que je leur ai demandé de faire des efforts. Et j’ai communiqué par l’intermédiaire d’une note de service et de réunions avec les syndicats et les chefs d’unité".
Des efforts
"Certains ont fait des efforts, d’autres pas. Aussi il y a eu des verbalisations que l’on compte sur les doigts d’une main". Un parking réservé à la police, doté d’une centaine de places, étant impossible à aménager en centre-ville, les policiers récalcitrants seront bien obligés de se conformer à ces nouvelles dispositions.
Midi libre
L’arroseur arrosé ! Plusieurs policiers ont été verbalisés ces derniers jours pour stationnement gênant aux abords du commissariat ou pour avoir omis de glisser une pièce dans l’horodateur. Un incident tout à fait anecdotique, les fonctionnaires étant soumis à la loi, comme n’importe quel citoyen.
"Un PV de trop"
Mais le syndicat Unsa en fait une question de principe : "Même si c’est un PV, c’est un de trop !". Non que son secrétaire départemental, Laurent Aspe, réfute cette égalité de traitement face au code la route. Mais il estime que "c’est la goutte d’eau qui fait déborder le vase".
Explication : "La police vit des moments difficiles. Les conditions de travail ne sont pas bonnes. Du fait de la Révision générale des politiques publiques (RGPP) avec le non-remplacement d’un fonctionnaire sur deux qui part à la retraite, la pression pour les résultats et l’impossibilité de pourvoir plusieurs postes de gradés".
"Ras-le-bol général"
Le syndicaliste pense "qu’il y a d’autres priorités" dans un contexte de "ras-le-bol général" et que ces verbalisations constituent "une pression supplémentaire" pour ses collègues. Laurent Aspe est d’autant plus remonté que des demandes d’indulgence formulées par les contrevenants auprès de leur chef ont été refusées.
De son côté, le commissaire justifie sa décision par sa volonté que "les policiers montrent l’exemple en se garant correctement, car il y avait des abus". Jérémie Bosse-Platière insiste sur le fait que "cela fait six mois que je leur ai demandé de faire des efforts. Et j’ai communiqué par l’intermédiaire d’une note de service et de réunions avec les syndicats et les chefs d’unité".
Des efforts
"Certains ont fait des efforts, d’autres pas. Aussi il y a eu des verbalisations que l’on compte sur les doigts d’une main". Un parking réservé à la police, doté d’une centaine de places, étant impossible à aménager en centre-ville, les policiers récalcitrants seront bien obligés de se conformer à ces nouvelles dispositions.
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Re: Actualités concours 2012
Le 30 juin 2012 le Minitel aura 30 ans et s'éteindra définitivement
Le Minitel doit s'éteindre définitivement le 30 juin 2012, date anniversaire des 30 ans de son lancement commercial, après avoir équipé jusqu'à neuf millions de foyers dans l'Hexagone, et même s'il a encore enregistré en 2010 plus de 46 millions d'appels.
"Révolution télématique"
France Télécom Orange a repoussé à plusieurs reprises la fin du terminal muet, notamment pour permettre aux derniers éditeurs de migrer vers les services internet. Vanté à ses débuts comme une "révolution télématique", avec des terminaux dédiés, solides, et à partir desquels on accédait à un réseau vidéotexte, il a connu son apogée en 2002, équipant alors neuf millions de foyers et entreprises.
Un succès qui a éclipsé les autres expériences similaires dans le monde qui ont fait long feu, comme en Grande-Bretagne, mais qui n'a cependant pas permis au Minitel français de s'exporter au-delà des frontières françaises. "Le Minitel n'a pas évolué comme nous aurions espéré qu'il évoluât", constate aujourd'hui amèrement Gérard Théry, directeur général des télécommunications de 1974 à 1981, qui a lancé l'aventure Minitel.
Fin 2010, le service comptait encore quelque 1,7 million d'utilisateurs. Il ne restait plus que 810 000 terminaux classiques en circulation mais le service était par ailleurs utilisé sur ordinateur par 950 000 usagers, grâce à un logiciel lancé en 2000. L'ensemble des services s'éteindront le 30 juin 2012.
30 millions d'euros de chiffre d'affaire en 2010
Le chiffre d'affaires du Minitel a atteint son point culminant à la fin des années 1990 avec un milliard d'euros de revenus, mais il n'a cessé de décliner depuis. Il est tombé l'an dernier à 30 millions d'euros brut.
Le Minitel ne permettait plus l'accès qu'à 1 880 services fin 2010 (dont 37% de services pratiques comme 3617 Argus, 23% de services bancaires, 27% de services pour les professionnels et 13% de jeux), loin des 25 000 proposés en 1996-1997. Aujourd'hui il n'est ainsi plus possible d'acheter un billet Air France ou SNCF, ni de consulter les services de Météo France, fermés en juin.
Et pour ceux qui souhaitent se séparer de leur terminal muet, Orange propose de le ramener à la boutique la plus proche. Il finira démantelé et recyclé.
Le midi libre
Le Minitel doit s'éteindre définitivement le 30 juin 2012, date anniversaire des 30 ans de son lancement commercial, après avoir équipé jusqu'à neuf millions de foyers dans l'Hexagone, et même s'il a encore enregistré en 2010 plus de 46 millions d'appels.
"Révolution télématique"
France Télécom Orange a repoussé à plusieurs reprises la fin du terminal muet, notamment pour permettre aux derniers éditeurs de migrer vers les services internet. Vanté à ses débuts comme une "révolution télématique", avec des terminaux dédiés, solides, et à partir desquels on accédait à un réseau vidéotexte, il a connu son apogée en 2002, équipant alors neuf millions de foyers et entreprises.
Un succès qui a éclipsé les autres expériences similaires dans le monde qui ont fait long feu, comme en Grande-Bretagne, mais qui n'a cependant pas permis au Minitel français de s'exporter au-delà des frontières françaises. "Le Minitel n'a pas évolué comme nous aurions espéré qu'il évoluât", constate aujourd'hui amèrement Gérard Théry, directeur général des télécommunications de 1974 à 1981, qui a lancé l'aventure Minitel.
Fin 2010, le service comptait encore quelque 1,7 million d'utilisateurs. Il ne restait plus que 810 000 terminaux classiques en circulation mais le service était par ailleurs utilisé sur ordinateur par 950 000 usagers, grâce à un logiciel lancé en 2000. L'ensemble des services s'éteindront le 30 juin 2012.
30 millions d'euros de chiffre d'affaire en 2010
Le chiffre d'affaires du Minitel a atteint son point culminant à la fin des années 1990 avec un milliard d'euros de revenus, mais il n'a cessé de décliner depuis. Il est tombé l'an dernier à 30 millions d'euros brut.
Le Minitel ne permettait plus l'accès qu'à 1 880 services fin 2010 (dont 37% de services pratiques comme 3617 Argus, 23% de services bancaires, 27% de services pour les professionnels et 13% de jeux), loin des 25 000 proposés en 1996-1997. Aujourd'hui il n'est ainsi plus possible d'acheter un billet Air France ou SNCF, ni de consulter les services de Météo France, fermés en juin.
Et pour ceux qui souhaitent se séparer de leur terminal muet, Orange propose de le ramener à la boutique la plus proche. Il finira démantelé et recyclé.
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Re: Entraînement culture générale 2012
Bien sûr que tu l'auras Angelito!!! Y a pas de raison!!
Si toi tu l'as pas, personne ne l'aura!!
Courage!!
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Re: Actualités concours 2012
Une élève de l'EDHEC meurt d'une méningite : les étudiants lillois doivent se faire vacciner
La jeune fille décédée étudiait à l'EDHEC, à Croix-Roubaix.Ses camarades ont été incités à la vigilance.
L'Agence régionale de santé (ARS) a lancé une alerte à tous les étudiants de la métropole lilloise. Ils sont invités à se faire vacciner contre la méningite C, qui a provoqué un décès, jeudi : une étudiante de l'EDHEC à Croix-Roubaix. Un autre cas a été détecté à la Skéma à Lille.
Elle se prénommait Kawtar. Elle avait 20 ans. Cette étudiante en première année à l'EDHEC est décédée jeudi des suites d'une méningite de type C. « Un vrai traumatisme », concède Bruno Mayeur, le directeur des études de l'école de commerce croisienne.
La maladie se serait déclarée il y a une quinzaine de jours. Dès que l'EDHEC a été prévenue, « nous avons suivi toutes les préconisations de l'ARS, tant en termes de prévention que de communication ». Un message a été adressé à tous les étudiants du campus, soit 2 500 personnes (EDHEC et ESPEME).
Il y a un an, déjà...
Hier, dans une école pratiquement désertée pour cause de vacances, les rares étudiants expliquaient avoir eu connaissance de cet appel à la vigilance. Un message plus précis encore à l'annonce du décès.
Pour Bruno Mayeur, cette procédure et la gestion humaine d'un tel événement étaient déjà bien connues. Il y a un an, pratiquement jour pour jour, une étudiante en deuxième année de l'école avait été hospitalisée pour une méningite, sans connaître le même destin fatal. Elle faisait partie de ces quatre jeunes, dont trois de l'Université catholique de Lille, qui avaient contracté la maladie. Le seuil épidémique atteint, une vaste campagne de vaccination avait été lancée auprès de 20 000 étudiants.
« Au retour des vacances, nous la mettrons en place ici, avec le Centre polyvalent de santé universitaire (CPSU) », insiste le directeur des études de l'EDHEC. Certains élèves ont déjà été vaccinés l'an dernier et d'autres se sont rapprochés de leur médecin traitant.
Du côté de l'ARS, le message est clair : tous les étudiants doivent se faire vacciner (jusqu'à l'âge de 24 ans révolus). La souche qui a tué Kawtar est la même que celle qui avait sévi à l'automne 2010 parmi les étudiants de la métropole lilloise. Et un autre cas a été détecté il y a une semaine chez un étudiant de la Skéma (ex-ESC) à Lille, non mortel. Le patient fréquentait les mêmes lieux que la victime de l'EDHEC. Les analyses diront s'il s'agit de la même souche.
La bactérie provoquant la méningite C survit dans la gorge de porteurs sains. Elle se transmet par échanges de postillons et gouttelettes lors de contacts rapprochés (à moins d'un mètre) et longs (plus d'une heure). « Se faire la bise ou discuter 5 ou 10 minutes ne suffit pas », souligne le Dr Carole Benbrahim-Berthelot, responsable du pôle veille et sécurité sanitaire à l'ARS.
Elle entend « remobiliser les étudiants pour qu'ils se fassent vacciner afin d'éviter un troisième cas ». L'année dernière, seulement 30 % l'avaient fait. Or il faut atteindre au moins 85 % pour que la bactérie cesse de circuler. D'où l'alerte lancée aussi à tous les médecins de France et la préparation d'une nouvelle campagne de vaccination à Lille, où l'on dispose de stocks et attend 2 000 doses supplémentaires.
La vaccination est gratuite et depuis jeudi, « beaucoup d'étudiants se sont présentés au centre de prévention santé de la Catho ».
LA voix du Nord
La jeune fille décédée étudiait à l'EDHEC, à Croix-Roubaix.Ses camarades ont été incités à la vigilance.
L'Agence régionale de santé (ARS) a lancé une alerte à tous les étudiants de la métropole lilloise. Ils sont invités à se faire vacciner contre la méningite C, qui a provoqué un décès, jeudi : une étudiante de l'EDHEC à Croix-Roubaix. Un autre cas a été détecté à la Skéma à Lille.
Elle se prénommait Kawtar. Elle avait 20 ans. Cette étudiante en première année à l'EDHEC est décédée jeudi des suites d'une méningite de type C. « Un vrai traumatisme », concède Bruno Mayeur, le directeur des études de l'école de commerce croisienne.
La maladie se serait déclarée il y a une quinzaine de jours. Dès que l'EDHEC a été prévenue, « nous avons suivi toutes les préconisations de l'ARS, tant en termes de prévention que de communication ». Un message a été adressé à tous les étudiants du campus, soit 2 500 personnes (EDHEC et ESPEME).
Il y a un an, déjà...
Hier, dans une école pratiquement désertée pour cause de vacances, les rares étudiants expliquaient avoir eu connaissance de cet appel à la vigilance. Un message plus précis encore à l'annonce du décès.
Pour Bruno Mayeur, cette procédure et la gestion humaine d'un tel événement étaient déjà bien connues. Il y a un an, pratiquement jour pour jour, une étudiante en deuxième année de l'école avait été hospitalisée pour une méningite, sans connaître le même destin fatal. Elle faisait partie de ces quatre jeunes, dont trois de l'Université catholique de Lille, qui avaient contracté la maladie. Le seuil épidémique atteint, une vaste campagne de vaccination avait été lancée auprès de 20 000 étudiants.
« Au retour des vacances, nous la mettrons en place ici, avec le Centre polyvalent de santé universitaire (CPSU) », insiste le directeur des études de l'EDHEC. Certains élèves ont déjà été vaccinés l'an dernier et d'autres se sont rapprochés de leur médecin traitant.
Du côté de l'ARS, le message est clair : tous les étudiants doivent se faire vacciner (jusqu'à l'âge de 24 ans révolus). La souche qui a tué Kawtar est la même que celle qui avait sévi à l'automne 2010 parmi les étudiants de la métropole lilloise. Et un autre cas a été détecté il y a une semaine chez un étudiant de la Skéma (ex-ESC) à Lille, non mortel. Le patient fréquentait les mêmes lieux que la victime de l'EDHEC. Les analyses diront s'il s'agit de la même souche.
La bactérie provoquant la méningite C survit dans la gorge de porteurs sains. Elle se transmet par échanges de postillons et gouttelettes lors de contacts rapprochés (à moins d'un mètre) et longs (plus d'une heure). « Se faire la bise ou discuter 5 ou 10 minutes ne suffit pas », souligne le Dr Carole Benbrahim-Berthelot, responsable du pôle veille et sécurité sanitaire à l'ARS.
Elle entend « remobiliser les étudiants pour qu'ils se fassent vacciner afin d'éviter un troisième cas ». L'année dernière, seulement 30 % l'avaient fait. Or il faut atteindre au moins 85 % pour que la bactérie cesse de circuler. D'où l'alerte lancée aussi à tous les médecins de France et la préparation d'une nouvelle campagne de vaccination à Lille, où l'on dispose de stocks et attend 2 000 doses supplémentaires.
La vaccination est gratuite et depuis jeudi, « beaucoup d'étudiants se sont présentés au centre de prévention santé de la Catho ».
LA voix du Nord
INFIRMIERE D.E
Re: Actualités concours 2012
Elle accouche et passe 13 jours avec une compresse oubliée dans le ventre
Une jeune maman a passé 13 jours avec une compresse dans le ventre, oubliée par l'équipe chirurgicale qui l'a accouchée par césarienne de son second enfant à l'hôpital de Cahors, a raconté son conjoint samedi.
La maternité de Cahors concède un "événement indésirable grave" au quotidien La Dépêche du Midi. Il aurait pu coûter la vie à une jeune maman. La jeune femme de 29 ans avait subi une césarienne le 7 octobre et accouché d'un garçon en bonne santé, a expliqué le père à l'AFP sous couvert de l'anonymat. Elle a regagné son domicile une semaine plus tard mais très rapidement, son état de santé s'est dégradé. "Elle se plaignait de forts maux de ventre et puis les douleurs sont devenues intolérables", a dit son conjoint.
Le 19 octobre, elle est transportée aux urgences, où un scanner et une radio révèlent la présence d'une compresse dans son ventre. Opérée à nouveau en urgence, la jeune femme, déjà mère d'une petite fille de quatre ans, souffre d'une péritonite post-opératoire ainsi que de problèmes respiratoires et se trouve en soins intensifs, a ajouté le papa.
La direction du service a indiqué que l'équipe médicale avait été débriefée par souci de transparence vis à vis de la famille et afin qu'un tel incident ne se produise plus. Le papa, qui travaille à son compte, se dit "en colère" mais ne sait pas encore quelles suites donner à l'incident. Il a expliqué que l'hôpital allait lui fournir à partir de mardi et pendant une semaine une garde à domicile pour s'occuper de ses enfants afin qu'il puisse continuer de travailler.
TF1 News
Une jeune maman a passé 13 jours avec une compresse dans le ventre, oubliée par l'équipe chirurgicale qui l'a accouchée par césarienne de son second enfant à l'hôpital de Cahors, a raconté son conjoint samedi.
La maternité de Cahors concède un "événement indésirable grave" au quotidien La Dépêche du Midi. Il aurait pu coûter la vie à une jeune maman. La jeune femme de 29 ans avait subi une césarienne le 7 octobre et accouché d'un garçon en bonne santé, a expliqué le père à l'AFP sous couvert de l'anonymat. Elle a regagné son domicile une semaine plus tard mais très rapidement, son état de santé s'est dégradé. "Elle se plaignait de forts maux de ventre et puis les douleurs sont devenues intolérables", a dit son conjoint.
Le 19 octobre, elle est transportée aux urgences, où un scanner et une radio révèlent la présence d'une compresse dans son ventre. Opérée à nouveau en urgence, la jeune femme, déjà mère d'une petite fille de quatre ans, souffre d'une péritonite post-opératoire ainsi que de problèmes respiratoires et se trouve en soins intensifs, a ajouté le papa.
La direction du service a indiqué que l'équipe médicale avait été débriefée par souci de transparence vis à vis de la famille et afin qu'un tel incident ne se produise plus. Le papa, qui travaille à son compte, se dit "en colère" mais ne sait pas encore quelles suites donner à l'incident. Il a expliqué que l'hôpital allait lui fournir à partir de mardi et pendant une semaine une garde à domicile pour s'occuper de ses enfants afin qu'il puisse continuer de travailler.
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