Culture Générale
Modérateurs : Modérateurs, Concours IFSI
Re: Fiches culture générale 2012
Merci pour les dates!!!
Montpellier: Admise sur LP!!
ESI 2012/2015!!
Stage: S1 Crèche S2 Gériatrie S3 Médecine Générale S4 Psychiatrie
ESI 2012/2015!!
Stage: S1 Crèche S2 Gériatrie S3 Médecine Générale S4 Psychiatrie
Re: Fiches culture générale 2012
Voic ma fiche sur la citoyenneté, je vais lire les votres pour completer:
Citoyenneté :
Définition :
Renvoie à l’origine au domaine des sciences politiques
individu = citoyen à partir du moment où lui sont distribués des droits civils et politique qui l’intègre à 1 communauté politique.
Concept de citoyenneté = postuler 1 communauté de destin entre des individus et une société organisé.
Citoyenneté = construction historique recouvrent diverses situations selon les époques et les sociétés (=> insertion individu dans société d’accueil) = devenue le fondement légitimité politique moderne, les manifs sont très variés, les atteintes à la citoyenneté sont multiples, radicales et parfosi violente.
Vivre sa citoyenneté au quotidien = difficile.
Caractéristiques :
-Statut juridique : droit et obligation vis-à-vis collectivité politique (statut juridique – citoyen- évolution des droits)
-Ensemble de rôles spé (≠ des rôles privés, pro et éco)
-Ensemble de qualité morales : nécessaire à l’existence bon citoyen = « Civisme »
Etapes :
-Citoyenneté civile : liberté fondamentale (liberté d’expression, égalité devant la justice, droit de propriété…)
-Citoyenneté pratique : participation politique (droit de vote, éligibilité..)
-Citoyenneté sociale : création droit socio-éco (droit à la santé, à la protection contre le chômage, droits syndicaux…)
Au cours des dernières décennies : diversification :
-Essor multiculturalisme : notion de citoyenneté multiculturelle = reconnaissance droit culturel des minorités
-Construction européenne = citoyenneté européenne : traité union européenne, toutes personnes ayant nationalité d’un état membre = citoyen de l’union européenne.
Composants :
-Droits : civil inscrit dans la déclaration des droits de l’homme et du citoyen, politiques, sociaux (instauration instruction libre et gratuite…
-Devoirs : militaire, fiscale, de s’instruire, solidarité
-Participation civique : à la vie démocratique du pays, sens du devoir collectif, dévouement à la chose publique.
Citoyenneté et lien sociale :
Citoyenneté = source du lien social
Dans société démocratique moderne, le lien sociale n’est plus religieux ou dynastique, ni être emble sujet du même roi ou soumis à la même autorité: il est politique.
C’est être citoyen de la même organisation politique : principe légitimité, dans toutes les formes de la vie sociale
-Prééminence de l’individu- citoyen au dépend du collectif
-Contrat sociale passé entre 2 égaux : s’engage à respecter les lois de la république=> en retour garanti la liberté, sécurité et l’égalité des droits.
Valeurs attachées à la citoyenneté :
-Civilité : attitude de respect à l’égard des autres citoyens et à l’égard des bâtiments et lieu d’espace public= reconnaissance mutuelle et tolérante des individus entre eux, respect dignité de la pers humaine => + grande harmonie dans société.
-Civisme : A titre individuel : respecter et faire respecter les lois et les règles + avoir conscience de ses devoirs envers la société => lié au comportement actif du citoyen dans vie quotidienne et publique,=> doit agir pour que l’intérêt général l’emporte sur les intérêts particuliers.
-Solidarité : importante = attitude d’ouverture aux autres = prince républicain de fraternité => consiste à venir en aide aux + démunis (ex : impôt redistributif)
Les formes de citoyenneté :
Citoyenneté = d’un point de vue juridique par la possession de la nationalité française et de ses droits civils et politiques = aussi 1 participation à la vie de la cité.
-Droit de vote = contribution majeure à la société, fait valoir son point de vue, change ou confirme le gouvernement (référendum)
-Adhésion à une asso, 1 syndicat, 1 parti politique : tenter de faire évoluer la société, venir en aide aux autres ou influencer politique nationale
-Comportement de civisme : politesse, respect des biens publics, se faire vacciner, soigner, porter secours à 1 personne.
-Actes de solidarité : au sein d’une famille (solidarité familiale), d’asso, de groupes d’amis (solidarité de proximité) => partage d’argent (dons à des œuvres), de biens (collecte de denrées alimentaire) ou de temps (bénévolat, partage de connaissance, aptitude…) ; Actes de générosité = liens de solidarités intra et inter générationnelle (retraité tuteur de jeune, jeune s’occupant de pers âgées). => structure et équilibre la société.
Citoyenneté :
Définition :
Renvoie à l’origine au domaine des sciences politiques
individu = citoyen à partir du moment où lui sont distribués des droits civils et politique qui l’intègre à 1 communauté politique.
Concept de citoyenneté = postuler 1 communauté de destin entre des individus et une société organisé.
Citoyenneté = construction historique recouvrent diverses situations selon les époques et les sociétés (=> insertion individu dans société d’accueil) = devenue le fondement légitimité politique moderne, les manifs sont très variés, les atteintes à la citoyenneté sont multiples, radicales et parfosi violente.
Vivre sa citoyenneté au quotidien = difficile.
Caractéristiques :
-Statut juridique : droit et obligation vis-à-vis collectivité politique (statut juridique – citoyen- évolution des droits)
-Ensemble de rôles spé (≠ des rôles privés, pro et éco)
-Ensemble de qualité morales : nécessaire à l’existence bon citoyen = « Civisme »
Etapes :
-Citoyenneté civile : liberté fondamentale (liberté d’expression, égalité devant la justice, droit de propriété…)
-Citoyenneté pratique : participation politique (droit de vote, éligibilité..)
-Citoyenneté sociale : création droit socio-éco (droit à la santé, à la protection contre le chômage, droits syndicaux…)
Au cours des dernières décennies : diversification :
-Essor multiculturalisme : notion de citoyenneté multiculturelle = reconnaissance droit culturel des minorités
-Construction européenne = citoyenneté européenne : traité union européenne, toutes personnes ayant nationalité d’un état membre = citoyen de l’union européenne.
Composants :
-Droits : civil inscrit dans la déclaration des droits de l’homme et du citoyen, politiques, sociaux (instauration instruction libre et gratuite…
-Devoirs : militaire, fiscale, de s’instruire, solidarité
-Participation civique : à la vie démocratique du pays, sens du devoir collectif, dévouement à la chose publique.
Citoyenneté et lien sociale :
Citoyenneté = source du lien social
Dans société démocratique moderne, le lien sociale n’est plus religieux ou dynastique, ni être emble sujet du même roi ou soumis à la même autorité: il est politique.
C’est être citoyen de la même organisation politique : principe légitimité, dans toutes les formes de la vie sociale
-Prééminence de l’individu- citoyen au dépend du collectif
-Contrat sociale passé entre 2 égaux : s’engage à respecter les lois de la république=> en retour garanti la liberté, sécurité et l’égalité des droits.
Valeurs attachées à la citoyenneté :
-Civilité : attitude de respect à l’égard des autres citoyens et à l’égard des bâtiments et lieu d’espace public= reconnaissance mutuelle et tolérante des individus entre eux, respect dignité de la pers humaine => + grande harmonie dans société.
-Civisme : A titre individuel : respecter et faire respecter les lois et les règles + avoir conscience de ses devoirs envers la société => lié au comportement actif du citoyen dans vie quotidienne et publique,=> doit agir pour que l’intérêt général l’emporte sur les intérêts particuliers.
-Solidarité : importante = attitude d’ouverture aux autres = prince républicain de fraternité => consiste à venir en aide aux + démunis (ex : impôt redistributif)
Les formes de citoyenneté :
Citoyenneté = d’un point de vue juridique par la possession de la nationalité française et de ses droits civils et politiques = aussi 1 participation à la vie de la cité.
-Droit de vote = contribution majeure à la société, fait valoir son point de vue, change ou confirme le gouvernement (référendum)
-Adhésion à une asso, 1 syndicat, 1 parti politique : tenter de faire évoluer la société, venir en aide aux autres ou influencer politique nationale
-Comportement de civisme : politesse, respect des biens publics, se faire vacciner, soigner, porter secours à 1 personne.
-Actes de solidarité : au sein d’une famille (solidarité familiale), d’asso, de groupes d’amis (solidarité de proximité) => partage d’argent (dons à des œuvres), de biens (collecte de denrées alimentaire) ou de temps (bénévolat, partage de connaissance, aptitude…) ; Actes de générosité = liens de solidarités intra et inter générationnelle (retraité tuteur de jeune, jeune s’occupant de pers âgées). => structure et équilibre la société.
Maman de trois filoups, 32a, ESI 2012-2015 St Quentin- Picardie
Laborantine en reconversion
S1: MAS
S2: SSR
S3: Médecine gériatrique
S4: EHPAD
Laborantine en reconversion
S1: MAS
S2: SSR
S3: Médecine gériatrique
S4: EHPAD
Re: Entraînement culture générale 2012
Hello,
Bon alors, je me lance ! C'est ma 1ère fois...n'hésitez pas, j'attends vos critiques, afin que je puisse m'améliorer
Merci !
1/ L'homosexualité face au suicide.
Ce texte traite du suicide. Considéré comme une sujet tabou par notre société, pas assez médiatisé, nous oublions qu'il est la 2ème cause de mortalité chez les 15-24 ans.
La catégorie la plus touchée concerne les homosexuels qui n'acceptent pas le regard que porte la société sur leur identité, et indirectement, entraîne une non-acceptation de leur sexualité. Souvent déconsidérés comme de "vrais" hommes.
Bien que le regard de la société est évolué depuis quelques années et que l'homosexualité est, en quelques sortes, entrée dans les moeurs au sein des grandes villes comme Paris, ce n'est pas le cas partout : Les milieux pauvres, les provinces, sont des lieux où l'homophobie est encore très présente.
Ces homosexuels se renferment dans une autocritique d'eux-même, de leur sexualité, souvent très dure, au sein d'une société qui les "juge" d'une façon beaucoup plus subtil. Tout cela peut mener au suicide dans certains cas.
Fort heureusement, il existe des cellules spécialisées pour aider ces adolescents, les écouter et les comprendre.
2/ 30 % des homosexuels tentent de mettre fin à leurs jours.
En 2011, c'est le constat qui en ressort. Soit quasiment 1 homo sur 3 tente de se suicider car il a l'impression d'évoluer dans une société qui ne l'accepte pas réellement.
Vivre homosexuel n'est pas chose aisée dans tous les domaines, notamment dans les cités, ou certaines communautés religieuses où toute homosexualité est bannie, mais également considérée comme "anormale".
Le contexte familial y joue également pour beaucoup. La place de l'homme, l'image d'un être viril et responsable ne colle pas, pour beaucoup, avec l'homosexualité
Il est difficile pour ces jeunes de parler de leur sexualité, du fait que la société la juge comme une chose honteuse, quelque chose qui "n'entre pas dans les cases", ils se sentent donc exclus, rejetés. C'est pourquoi ils estiment que le suicide est la solution de "facilité".
Ce chiffre alarmant de 30 % montre combien notre société doit encore se perfectionner à ce niveau là, car il existe un profond mal-être pour ces gens considérés comme différents au nom d'une sexualité qu'ils n'ont pas choisi.
Celle-ci, a bien entendu "changer" son regard sur les homosexuels, mais les considère toujours comme une identité à part, comme si l'être humain se définissait en fonction de sa sexualité et non de son être.
3/ Nous avons souvent tendance, dans notre société, à stigmatiser. Souvent à généraliser les êtres humains selon leur race, leur appartenance social, religieuse ou sexuelle. Tout cela, uniquement, par méconnaissance du sujet ou de la personne. La peur de l'inconnu est belle et bien présente, une peur qui peut se transformer dès lors qu'on accepte de la comprendre.
la phrase du docteur David, en rapport avec les jeunes en difficulté psychique avec leur sexualité qui intentent à leur vie, nous explique la simplicité de l'écoute, de la compréhension et de l'aide que l'on peut apporter à ces jeunes.
Est-ce que la réalité est aussi évidente et utopique ?
Comprendre les jeunes homosexuels dans leur tentative de suicide est une solution qui peut paraître tout à fait envisageable.
La tentative de suicide est un cri d'alarme de la part de l'adolescent, pour montrer qu'il souffre, qu'il a besoin qu'on l'écoute, qu'on l'aide et qu'on le comprenne.
La phase de l'adolescence et du jeune adulte est une phase importante dans le développement personnel. Réussir à se réaliser, passe également par une adolescence "réussie". Hors cette période n'est jamais chose facile. Souvent, l'adolescent, fragile à cette période, se rebelle, se cache, change. Ajouter à cela, une homosexualité "honteuse" par rapport à une société stigmatisante, fait alors tomber directement dans un cercle vicieux, qui peut mener facilement au suicide.
La compréhension et l'écoute est l'une des clés pour aider ces jeunes dans leur mal-être. Essayer de se mettre à leur place, sans les juger, et se rendre compte de leur souffrance.
Nous l'avons vu, être à l'écoute et comprendre ces jeunes qui intentent à leur vie, est une étape indispensable pour leur guérison.
Effectivement, l'aide est également nécessaire, mais est-elle suffisante ?
Aider le jeune à s'accepter. L'acceptation passe par une meilleur connaissance de soi. A l'âge de l'adolescence, celui-ci se cherche encore souvent. Il est donc assez difficile de savoir qui on est. C'est une période de doutes et souvent de manque de confiance en soi.
Chose sur laquelle, l'adolescent peut travailler dans ce genre d'unité. Les psychologues, ainsi que les psychothérapeutes préconisent des méthodes TCC (Thérapie Cognitivo-comportementale) qui va aider le patient à aller mieux, par des exercices au quotidien de mise en situation ou autre. Dans le cas de l'adolescent sujet à une/des tentatives de suicide, et étant dans ce genre d'unité (10 à a 15 jours), il est évident que la durée est bien trop courte pour ce genre de thérapie qui s'étale sur 6 mois à 1 an.
Des "aides" médicales peuvent alors être utilisées, comme les antidépresseurs.
Le problème est que cela amène souvent à une dépendance et "soigne" le patient mais ne le guérit pas.
Le problème de ces jeunes, est bien plus profond. Une écoute attentive, une compréhension sans jugement, peuvent leur faire le plus grand bien.
Seulement, cela ne suffit pas toujours.
Les médicaments n'étant pas le remède miracle, la solution peut se trouver, effectivement dans des centres d'unité comme celui du Docteur David si et seulement si un réel suivi personnalisé et sur la durée est possible, d'au moins 6 mois à plusieurs années.
La réalité des choses n'est pas aussi évidente qu'on peut le lire dans la phrase du Docteur David. Si tel était le cas, le taux de suicide et de récidives des adolescents homos ou non ne serait pas aussi important.
Bon alors, je me lance ! C'est ma 1ère fois...n'hésitez pas, j'attends vos critiques, afin que je puisse m'améliorer

1/ L'homosexualité face au suicide.
Ce texte traite du suicide. Considéré comme une sujet tabou par notre société, pas assez médiatisé, nous oublions qu'il est la 2ème cause de mortalité chez les 15-24 ans.
La catégorie la plus touchée concerne les homosexuels qui n'acceptent pas le regard que porte la société sur leur identité, et indirectement, entraîne une non-acceptation de leur sexualité. Souvent déconsidérés comme de "vrais" hommes.
Bien que le regard de la société est évolué depuis quelques années et que l'homosexualité est, en quelques sortes, entrée dans les moeurs au sein des grandes villes comme Paris, ce n'est pas le cas partout : Les milieux pauvres, les provinces, sont des lieux où l'homophobie est encore très présente.
Ces homosexuels se renferment dans une autocritique d'eux-même, de leur sexualité, souvent très dure, au sein d'une société qui les "juge" d'une façon beaucoup plus subtil. Tout cela peut mener au suicide dans certains cas.
Fort heureusement, il existe des cellules spécialisées pour aider ces adolescents, les écouter et les comprendre.
2/ 30 % des homosexuels tentent de mettre fin à leurs jours.
En 2011, c'est le constat qui en ressort. Soit quasiment 1 homo sur 3 tente de se suicider car il a l'impression d'évoluer dans une société qui ne l'accepte pas réellement.
Vivre homosexuel n'est pas chose aisée dans tous les domaines, notamment dans les cités, ou certaines communautés religieuses où toute homosexualité est bannie, mais également considérée comme "anormale".
Le contexte familial y joue également pour beaucoup. La place de l'homme, l'image d'un être viril et responsable ne colle pas, pour beaucoup, avec l'homosexualité
Il est difficile pour ces jeunes de parler de leur sexualité, du fait que la société la juge comme une chose honteuse, quelque chose qui "n'entre pas dans les cases", ils se sentent donc exclus, rejetés. C'est pourquoi ils estiment que le suicide est la solution de "facilité".
Ce chiffre alarmant de 30 % montre combien notre société doit encore se perfectionner à ce niveau là, car il existe un profond mal-être pour ces gens considérés comme différents au nom d'une sexualité qu'ils n'ont pas choisi.
Celle-ci, a bien entendu "changer" son regard sur les homosexuels, mais les considère toujours comme une identité à part, comme si l'être humain se définissait en fonction de sa sexualité et non de son être.
3/ Nous avons souvent tendance, dans notre société, à stigmatiser. Souvent à généraliser les êtres humains selon leur race, leur appartenance social, religieuse ou sexuelle. Tout cela, uniquement, par méconnaissance du sujet ou de la personne. La peur de l'inconnu est belle et bien présente, une peur qui peut se transformer dès lors qu'on accepte de la comprendre.
la phrase du docteur David, en rapport avec les jeunes en difficulté psychique avec leur sexualité qui intentent à leur vie, nous explique la simplicité de l'écoute, de la compréhension et de l'aide que l'on peut apporter à ces jeunes.
Est-ce que la réalité est aussi évidente et utopique ?
Comprendre les jeunes homosexuels dans leur tentative de suicide est une solution qui peut paraître tout à fait envisageable.
La tentative de suicide est un cri d'alarme de la part de l'adolescent, pour montrer qu'il souffre, qu'il a besoin qu'on l'écoute, qu'on l'aide et qu'on le comprenne.
La phase de l'adolescence et du jeune adulte est une phase importante dans le développement personnel. Réussir à se réaliser, passe également par une adolescence "réussie". Hors cette période n'est jamais chose facile. Souvent, l'adolescent, fragile à cette période, se rebelle, se cache, change. Ajouter à cela, une homosexualité "honteuse" par rapport à une société stigmatisante, fait alors tomber directement dans un cercle vicieux, qui peut mener facilement au suicide.
La compréhension et l'écoute est l'une des clés pour aider ces jeunes dans leur mal-être. Essayer de se mettre à leur place, sans les juger, et se rendre compte de leur souffrance.
Nous l'avons vu, être à l'écoute et comprendre ces jeunes qui intentent à leur vie, est une étape indispensable pour leur guérison.
Effectivement, l'aide est également nécessaire, mais est-elle suffisante ?
Aider le jeune à s'accepter. L'acceptation passe par une meilleur connaissance de soi. A l'âge de l'adolescence, celui-ci se cherche encore souvent. Il est donc assez difficile de savoir qui on est. C'est une période de doutes et souvent de manque de confiance en soi.
Chose sur laquelle, l'adolescent peut travailler dans ce genre d'unité. Les psychologues, ainsi que les psychothérapeutes préconisent des méthodes TCC (Thérapie Cognitivo-comportementale) qui va aider le patient à aller mieux, par des exercices au quotidien de mise en situation ou autre. Dans le cas de l'adolescent sujet à une/des tentatives de suicide, et étant dans ce genre d'unité (10 à a 15 jours), il est évident que la durée est bien trop courte pour ce genre de thérapie qui s'étale sur 6 mois à 1 an.
Des "aides" médicales peuvent alors être utilisées, comme les antidépresseurs.
Le problème est que cela amène souvent à une dépendance et "soigne" le patient mais ne le guérit pas.
Le problème de ces jeunes, est bien plus profond. Une écoute attentive, une compréhension sans jugement, peuvent leur faire le plus grand bien.
Seulement, cela ne suffit pas toujours.
Les médicaments n'étant pas le remède miracle, la solution peut se trouver, effectivement dans des centres d'unité comme celui du Docteur David si et seulement si un réel suivi personnalisé et sur la durée est possible, d'au moins 6 mois à plusieurs années.
La réalité des choses n'est pas aussi évidente qu'on peut le lire dans la phrase du Docteur David. Si tel était le cas, le taux de suicide et de récidives des adolescents homos ou non ne serait pas aussi important.
IDE
Re: Fiches culture générale 2012
MErci pour vos fiches et miss pour les dates 
Sixela, ca va mieux la motivation ?

Sixela, ca va mieux la motivation ?
INFIRMIERE D.E
Re: Actualités concours 2012
Grippe H1N1 : une co-infection avec des staphylocoques a accru la mortalité chez les enfants
D’après une étude menée aux Etats-Unis, qui vient d’être publiée dans la revue Pediatrics, en 2009, le risque de mortalité chez les enfants atteints par le virus de la grippe H1N1 était multiplié par huit, quand ils étaient co-infectés avec des staphylocoques dorés résistants aux antibiotiques (MRSA).
En 2009 lors de la pandémie grippale liée au virus H1N1, de nombreux médecins avaient mis en garde contre les risques d’une co-infection avec d’autres agents pathogènes qui entrainaient chez les jeunes de graveS défaillanceS, mais jusqu’à présent aucune étude n’avait permis de le montrer.
C’est maintenant chose faite. Adrienne Randolph et ses collègues de l‘Hôpital des enfants de Boston ont étudié les dossiers médicaux de 838 enfants qui ont tous été admis dans des services d’urgences d’hôpitaux pédiatriques sur le sol américains entre avril 2009 et avril 2010 suite à une probable infection au virus H1N1. La plupart d’entre eux souffrait lors de leur arrivée aux urgences de graves troubles respiratoires. 75 d’entre eux sont décédés des suites de la grippe dans les deux semaines qui ont suivi leur hospitalisation. Si certains des enfants avaient de problèmes de santé chroniques (asthme, système immunitaire déficient, etc.), plus d’un tiers d’entre eux était en parfaite santé.
Les différentes analyses menées par les chercheurs, leurs ont permis de constater qu’une co-infection avec des MRSA était un facteur déterminant qui augmentait sérieusement les risques de développer une pneumonie et de graves défaillances respiratoires pouvant entrainer la mort chez de jeunes enfants grippés.
Alors que les experts prévoient, cette année, un risque d’épidémie grippale due au virus H1N1, les résultats de cette étude soulignent l’importance de vacciner les jeunes contre la grippe…
Article écrit le 2011-11-07 par Olivier Frégaville-Arcas - Information hospitalière
D’après une étude menée aux Etats-Unis, qui vient d’être publiée dans la revue Pediatrics, en 2009, le risque de mortalité chez les enfants atteints par le virus de la grippe H1N1 était multiplié par huit, quand ils étaient co-infectés avec des staphylocoques dorés résistants aux antibiotiques (MRSA).
En 2009 lors de la pandémie grippale liée au virus H1N1, de nombreux médecins avaient mis en garde contre les risques d’une co-infection avec d’autres agents pathogènes qui entrainaient chez les jeunes de graveS défaillanceS, mais jusqu’à présent aucune étude n’avait permis de le montrer.
C’est maintenant chose faite. Adrienne Randolph et ses collègues de l‘Hôpital des enfants de Boston ont étudié les dossiers médicaux de 838 enfants qui ont tous été admis dans des services d’urgences d’hôpitaux pédiatriques sur le sol américains entre avril 2009 et avril 2010 suite à une probable infection au virus H1N1. La plupart d’entre eux souffrait lors de leur arrivée aux urgences de graves troubles respiratoires. 75 d’entre eux sont décédés des suites de la grippe dans les deux semaines qui ont suivi leur hospitalisation. Si certains des enfants avaient de problèmes de santé chroniques (asthme, système immunitaire déficient, etc.), plus d’un tiers d’entre eux était en parfaite santé.
Les différentes analyses menées par les chercheurs, leurs ont permis de constater qu’une co-infection avec des MRSA était un facteur déterminant qui augmentait sérieusement les risques de développer une pneumonie et de graves défaillances respiratoires pouvant entrainer la mort chez de jeunes enfants grippés.
Alors que les experts prévoient, cette année, un risque d’épidémie grippale due au virus H1N1, les résultats de cette étude soulignent l’importance de vacciner les jeunes contre la grippe…
Article écrit le 2011-11-07 par Olivier Frégaville-Arcas - Information hospitalière
ESI 2013-2016 VILLE EVARD à Neuilly sur Marne (93)
Re: Actualités concours 2012
Maladies cardiaques : pour votre cœur, faites un don
Jusqu’au 6 novembre, la Fédération française de cardiologie fait appel à votre générosité pour la troisième année consécutive avec les Donocoeur. Le but de l’opération est de sensibiliser le grand public aux maladies cardiaques, mais aussi de soutenir la recherche afin de permettre aux personnes touchées par ce type de pathologie d’avoir une meilleure qualité de vie.
Chaque année, 147 000 français succombent des suites d’une maladie cardiovasculaire, soit plus de 400 personnes par jour. Actuellement c’est la première cause de mortalité chez les femmes et la deuxième chez les hommes. D’après la Fédération française de cardiologie (FFC), il est nécessaire de sensibiliser le public à ce type de pathologie et surtout, de l’inciter à tester son cœur régulièrement.
Dans le but de permettre à tous de mieux connaître l’état de son cœur et de faire un point de ses connaissances sur cet organe vital, des cardiologues ont mis au point un test, baptisé « j’aime mon cœur », hébergé sur le site de la FFC.
Depuis plusieurs jours, des spots télé et radios, des encarts dans la presse, relayent l’information et devraient permettre de réduire les risques, selon le souhait de FFC.
Au cours de cette année, la fédération a déjà investi plus de 1,4 million d'euros pour aider des chercheurs dans leurs travaux. Et grâce à votre générosité, elle souhaite, dans les mois à venir, aider d’autres équipes dont les thématiques sont la génétique, les maladies des valves et les technologies 3D, afin de permettre aux patients de bénéficier d’une prise en charge moins invasive.
Pour plus d’information sur les maladies cardiaques, n’hésitez pas à vous rendre sur le site de la FFC (www.ferecardio.com)… et si le cœur vous en dit, au détour d’un "clic"… faites un don…
Article écrit le 2011-11-04 par Olivier Frégaville-Arcas - Information hospitalière
Jusqu’au 6 novembre, la Fédération française de cardiologie fait appel à votre générosité pour la troisième année consécutive avec les Donocoeur. Le but de l’opération est de sensibiliser le grand public aux maladies cardiaques, mais aussi de soutenir la recherche afin de permettre aux personnes touchées par ce type de pathologie d’avoir une meilleure qualité de vie.
Chaque année, 147 000 français succombent des suites d’une maladie cardiovasculaire, soit plus de 400 personnes par jour. Actuellement c’est la première cause de mortalité chez les femmes et la deuxième chez les hommes. D’après la Fédération française de cardiologie (FFC), il est nécessaire de sensibiliser le public à ce type de pathologie et surtout, de l’inciter à tester son cœur régulièrement.
Dans le but de permettre à tous de mieux connaître l’état de son cœur et de faire un point de ses connaissances sur cet organe vital, des cardiologues ont mis au point un test, baptisé « j’aime mon cœur », hébergé sur le site de la FFC.
Depuis plusieurs jours, des spots télé et radios, des encarts dans la presse, relayent l’information et devraient permettre de réduire les risques, selon le souhait de FFC.
Au cours de cette année, la fédération a déjà investi plus de 1,4 million d'euros pour aider des chercheurs dans leurs travaux. Et grâce à votre générosité, elle souhaite, dans les mois à venir, aider d’autres équipes dont les thématiques sont la génétique, les maladies des valves et les technologies 3D, afin de permettre aux patients de bénéficier d’une prise en charge moins invasive.
Pour plus d’information sur les maladies cardiaques, n’hésitez pas à vous rendre sur le site de la FFC (www.ferecardio.com)… et si le cœur vous en dit, au détour d’un "clic"… faites un don…
Article écrit le 2011-11-04 par Olivier Frégaville-Arcas - Information hospitalière
ESI 2013-2016 VILLE EVARD à Neuilly sur Marne (93)
Re: Entraînement culture générale 2012
Merci angelito je ferais l'exo dans la semaine!!
Je jeterais un oeil à ce que tu as posté après mati. Pour pas que ça m'influence...

Je jeterais un oeil à ce que tu as posté après mati. Pour pas que ça m'influence...

Montpellier: Admise sur LP!!
ESI 2012/2015!!
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Re: Fiches culture générale 2012
Oui ça va mieux merci, je reprend doucement, mais quand les filoups sont à l'école c'est quand même plus facile! Mais j'ais un gros retard à rattraper!
Maman de trois filoups, 32a, ESI 2012-2015 St Quentin- Picardie
Laborantine en reconversion
S1: MAS
S2: SSR
S3: Médecine gériatrique
S4: EHPAD
Laborantine en reconversion
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S4: EHPAD
Re: Fiches culture générale 2012
LA, tu es a la discrimination ? (ca va je pensais avoir plus de choses que ca et en fait le plan ce fait biensixela95 a écrit :Oui ça va mieux merci, je reprend doucement, mais quand les filoups sont à l'école c'est quand même plus facile! Mais j'ais un gros retard à rattraper!

T'inquiete ca va aller ! C'est sur qu'une fois a l'école, tu as plus de temps ! Ils y vont tous ?
Tu as commencés les Maths ?
INFIRMIERE D.E
Re: Fiches culture générale 2012
Oui sur le forum j'en suis à la discrimination, mais j'ais pas fait enfant - ado-personnes âgées et famille.
Pour les math j'attend encore un peu , je voudrais me mettre à jour en culture G.
Pour les math j'attend encore un peu , je voudrais me mettre à jour en culture G.
Maman de trois filoups, 32a, ESI 2012-2015 St Quentin- Picardie
Laborantine en reconversion
S1: MAS
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S3: Médecine gériatrique
S4: EHPAD
Laborantine en reconversion
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Re: Fiches culture générale 2012
Ah oui j'ai oublié ceux la
Ok d'acc, ca te va le planning, comme on l'a organisé ?

Ok d'acc, ca te va le planning, comme on l'a organisé ?
INFIRMIERE D.E
Re: Fiches culture générale 2012
oui oui t'inquiete pas pour moi
biz
biz
Maman de trois filoups, 32a, ESI 2012-2015 St Quentin- Picardie
Laborantine en reconversion
S1: MAS
S2: SSR
S3: Médecine gériatrique
S4: EHPAD
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S3: Médecine gériatrique
S4: EHPAD
Re: Actualités concours 2012
Dépression sous influence génétique et psychologique
Quinze jours après la journée européenne de la dépression, des chercheurs français du CNRS dévoilent de nouveaux mécanismes qui pourraient expliquer les états dépressifs et anxieux. Des facteurs psychologiques, environnementaux, et une composante génétique seraient directement impliqués dans la survenue de ces troubles, d’après les travaux publiés dans la revue Human Brain Mapping.
Malgré de nombreuses découvertes notamment au cours de ces dernières décennies, le cerveau et son fonctionnement restent encore une terre inconnue que les scientifiques du monde entier essayent d’explorer pas à pas. Afin de mieux comprendre quels facteurs influencent ce dernier et entraînent un état dépressif, Philippe Fossati et ses collègues du Centre "émotion-remédiation et réalité virtuelle" (CNRS / UPMC / CHU Pitié-Salpêtrière) se sont intéressés à l’amygdale (structure du cerveau impliquée dans l’analyse des émotions et dont l’activité est particulièrement élevée chez les personnes dépressives et anxieuses), et à son fonctionnement.
Suite à différentes analyses et observations, les chercheurs ont constaté que ces deux noyaux du système limbique pouvaient être modulés en fonction d'un gène, de l'histoire personnelle et de l'activité cognitive des sujets. Ces données leur ont permis de découvrir qu’en fonction de la copie du gène 5-HTTLPR (forme longue ou courte), les patients ne réagiront pas de la même façon à une psychothérapie. Ainsi, le gène pourrait influencer la réponse de la personne en état dépressif ou anxieux.
Si des travaux précédents avaient déjà montré que 5-HTTLPR, gène codant pour le transporteur de la sérotonine, pouvait être impliqué dans la survenue ou non de la dépression, l’équipe de Philippe Fossati a voulu en savoir plus sur le rôle de ce dernier et a réalisé des IRM cérébrales fonctionnelles sur 45 sujets sains, porteurs ou non de la forme courte du gène. Chaque participant a suivi des tests basés sur l’observation de photographies, et il devait chaque fois décrire l’émotion qu'elles lui procuraient par rapport à sa propre histoire, ou juste mentionner si la vue lui était agréable ou non. Les chercheurs ont constaté que chez les personnes possédant la forme courte du gène, l’activité de l’amygdale était plus élevée lorsque la vue d’une image était associée à leur vécu, d’autant plus que l’événement auquel ils faisaient référence était récent.
Les travaux menés par les chercheurs français soulignent l’importance du patrimoine génétique dans nos réactions et dans le fonctionnement de notre cerveau, mais surtout, que l’ensemble de ces mécanismes est modulé par notre état psychologique et par l’environnement.
Article écrit le 2011-11-03 par Olivier Frégaville-Arcas - Information hospitalière
Quinze jours après la journée européenne de la dépression, des chercheurs français du CNRS dévoilent de nouveaux mécanismes qui pourraient expliquer les états dépressifs et anxieux. Des facteurs psychologiques, environnementaux, et une composante génétique seraient directement impliqués dans la survenue de ces troubles, d’après les travaux publiés dans la revue Human Brain Mapping.
Malgré de nombreuses découvertes notamment au cours de ces dernières décennies, le cerveau et son fonctionnement restent encore une terre inconnue que les scientifiques du monde entier essayent d’explorer pas à pas. Afin de mieux comprendre quels facteurs influencent ce dernier et entraînent un état dépressif, Philippe Fossati et ses collègues du Centre "émotion-remédiation et réalité virtuelle" (CNRS / UPMC / CHU Pitié-Salpêtrière) se sont intéressés à l’amygdale (structure du cerveau impliquée dans l’analyse des émotions et dont l’activité est particulièrement élevée chez les personnes dépressives et anxieuses), et à son fonctionnement.
Suite à différentes analyses et observations, les chercheurs ont constaté que ces deux noyaux du système limbique pouvaient être modulés en fonction d'un gène, de l'histoire personnelle et de l'activité cognitive des sujets. Ces données leur ont permis de découvrir qu’en fonction de la copie du gène 5-HTTLPR (forme longue ou courte), les patients ne réagiront pas de la même façon à une psychothérapie. Ainsi, le gène pourrait influencer la réponse de la personne en état dépressif ou anxieux.
Si des travaux précédents avaient déjà montré que 5-HTTLPR, gène codant pour le transporteur de la sérotonine, pouvait être impliqué dans la survenue ou non de la dépression, l’équipe de Philippe Fossati a voulu en savoir plus sur le rôle de ce dernier et a réalisé des IRM cérébrales fonctionnelles sur 45 sujets sains, porteurs ou non de la forme courte du gène. Chaque participant a suivi des tests basés sur l’observation de photographies, et il devait chaque fois décrire l’émotion qu'elles lui procuraient par rapport à sa propre histoire, ou juste mentionner si la vue lui était agréable ou non. Les chercheurs ont constaté que chez les personnes possédant la forme courte du gène, l’activité de l’amygdale était plus élevée lorsque la vue d’une image était associée à leur vécu, d’autant plus que l’événement auquel ils faisaient référence était récent.
Les travaux menés par les chercheurs français soulignent l’importance du patrimoine génétique dans nos réactions et dans le fonctionnement de notre cerveau, mais surtout, que l’ensemble de ces mécanismes est modulé par notre état psychologique et par l’environnement.
Article écrit le 2011-11-03 par Olivier Frégaville-Arcas - Information hospitalière
ESI 2013-2016 VILLE EVARD à Neuilly sur Marne (93)
Re: Fiches culture générale 2012
Courage les filles!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! 

Montpellier: Admise sur LP!!
ESI 2012/2015!!
Stage: S1 Crèche S2 Gériatrie S3 Médecine Générale S4 Psychiatrie
ESI 2012/2015!!
Stage: S1 Crèche S2 Gériatrie S3 Médecine Générale S4 Psychiatrie
Re: Fiches culture générale 2012
voici avec un peu de retard ma fiche sur l'exclusion
EXCLUSION
Exclusion synonyme d’inadaptation sociale plus que de pauvreté.
Définition :
Marginalisation, rejet, mise à l’écart d’un certain nombre de personnes par la collectivité.
Intégration : processus ethnologique durant lequel une personne initialement étrangère devient membre dans une communauté.
Causes :
Chômage
Mutation familiale.
Logement santé.
Conséquences :
Chômeurs
Illettrisme
SDF
Violence
Victimes :
SDF
Repris de justice
Handicapés
Immigrés
L’exclusion :
Résulte d’un affaiblissement de la cohésion sociale.
Liée à une moindre intégration sociale.
SOLUTIONS :
Plan de cohésion sociale 2004 :
o Mobilisation pour l’emploi en faveur des jeunes.
o Versement d’une prime de cohésion sociale pour le recrutement en contrat d’avenir de chômeurs de très longue durée.
o Baisse des charges pour les petits chômeurs.
o Augmentation des logements sociaux.
o Favoriser l’accès à la propriété (prêt à taux zéro ou la maison à 100 000€).
o Plan d’hébergement d’urgence et d’insertion.
o Promouvoir l’égalité des chances entre les territoires.
o Rénover l’accueil et l’intégration des populations immigrées.
o Lutter contre les discriminations.
Plan de cohésion sociale 2005 :
o Contrat d’avenir ou contrat insertion revenu minimum d’activité ouvert aux bénéficiaires de minima sociaux.
o Contrat d’accompagnement dans l’emploi ou nouveau contrat initiative emploi pour les personnes demandeuses d’emploi en difficulté.
Loi solidarité et renouvellement urbain :
Augmentation des logements sociaux (20% minimum).
Loi Borloo (janvier 2005) :
o responsabilité totale de l’exclusion au chômage.
o Mesures permettant d’assurer le retour à l’emploi.
Loi contre les exclusions (1998) : reconnaissance du rôle important des entreprises d’insertion, des ass intermédiaires et les régies de quartiers dans la lutte contre les exclusions et dans le développement de solidarités communautaires.
Campement solidaire.
Loi Dalo 2010 (logement) : elle définit les personnes prioritaires à loger d’urgence
EXCLUSION
Exclusion synonyme d’inadaptation sociale plus que de pauvreté.
Définition :
Marginalisation, rejet, mise à l’écart d’un certain nombre de personnes par la collectivité.
Intégration : processus ethnologique durant lequel une personne initialement étrangère devient membre dans une communauté.
Causes :
Chômage
Mutation familiale.
Logement santé.
Conséquences :
Chômeurs
Illettrisme
SDF
Violence
Victimes :
SDF
Repris de justice
Handicapés
Immigrés
L’exclusion :
Résulte d’un affaiblissement de la cohésion sociale.
Liée à une moindre intégration sociale.
SOLUTIONS :
Plan de cohésion sociale 2004 :
o Mobilisation pour l’emploi en faveur des jeunes.
o Versement d’une prime de cohésion sociale pour le recrutement en contrat d’avenir de chômeurs de très longue durée.
o Baisse des charges pour les petits chômeurs.
o Augmentation des logements sociaux.
o Favoriser l’accès à la propriété (prêt à taux zéro ou la maison à 100 000€).
o Plan d’hébergement d’urgence et d’insertion.
o Promouvoir l’égalité des chances entre les territoires.
o Rénover l’accueil et l’intégration des populations immigrées.
o Lutter contre les discriminations.
Plan de cohésion sociale 2005 :
o Contrat d’avenir ou contrat insertion revenu minimum d’activité ouvert aux bénéficiaires de minima sociaux.
o Contrat d’accompagnement dans l’emploi ou nouveau contrat initiative emploi pour les personnes demandeuses d’emploi en difficulté.
Loi solidarité et renouvellement urbain :
Augmentation des logements sociaux (20% minimum).
Loi Borloo (janvier 2005) :
o responsabilité totale de l’exclusion au chômage.
o Mesures permettant d’assurer le retour à l’emploi.
Loi contre les exclusions (1998) : reconnaissance du rôle important des entreprises d’insertion, des ass intermédiaires et les régies de quartiers dans la lutte contre les exclusions et dans le développement de solidarités communautaires.
Campement solidaire.
Loi Dalo 2010 (logement) : elle définit les personnes prioritaires à loger d’urgence
ESI 2013-2016 VILLE EVARD à Neuilly sur Marne (93)