Culture Générale
Modérateurs : Modérateurs, Concours IFSI
Re: Actualités concours 2012
[EN CHIFFRE] Sida : 34 millions de personnes vivent avec le VIH
Un rapport de l’Onusida indique qu’un meilleur accès aux traitements a eu un effet spectaculaire sur la survie des malades partout dans le monde et permet d’envisager le contrôle de l’épidémie.
Ce nouveau rapport du Programme commun des Nations Unies sur le VIH/sida (ONUSIDA), indique également que les nouvelles infections à VIH et les décès liés au sida sont tombés à leurs plus bas niveaux depuis le pic de l’épidémie. Les nouvelles infections à VIH ont diminué de 21% depuis 1997, et les décès liés au sida de 21% depuis 2005.
Selon des estimations de l’ONUSIDA et de l’OMS, 47% (6,6 millions) des quelque 14,2 millions de personnes éligibles au traitement avaient accès à la thérapie antirétrovirale salvatrice en 2010, soit une augmentation de 1,35 million depuis 2009. Le rapport souligne également qu’il existe des signes avant-coureurs indiquant que le traitement du VIH a un impact important sur le nombre de nouvelles infections à VIH. Des études récentes révèlent ainsi par exemple que le traitement peut être efficace jusqu’à 96% pour prévenir la transmission du VIH au sein des couples.
Pour la première fois, l’institution évoque la possibilité de mettre fin à l’épidémie à condition que les efforts consentis, particulièrement les financements en période de crise, se poursuivent entre 2011 et 2015. A partir de cette date l’Onusida estime que les besoins devraient décroître.
J.I.
Sciences et Avenir.fr
22/11/2011
Un rapport de l’Onusida indique qu’un meilleur accès aux traitements a eu un effet spectaculaire sur la survie des malades partout dans le monde et permet d’envisager le contrôle de l’épidémie.
Ce nouveau rapport du Programme commun des Nations Unies sur le VIH/sida (ONUSIDA), indique également que les nouvelles infections à VIH et les décès liés au sida sont tombés à leurs plus bas niveaux depuis le pic de l’épidémie. Les nouvelles infections à VIH ont diminué de 21% depuis 1997, et les décès liés au sida de 21% depuis 2005.
Selon des estimations de l’ONUSIDA et de l’OMS, 47% (6,6 millions) des quelque 14,2 millions de personnes éligibles au traitement avaient accès à la thérapie antirétrovirale salvatrice en 2010, soit une augmentation de 1,35 million depuis 2009. Le rapport souligne également qu’il existe des signes avant-coureurs indiquant que le traitement du VIH a un impact important sur le nombre de nouvelles infections à VIH. Des études récentes révèlent ainsi par exemple que le traitement peut être efficace jusqu’à 96% pour prévenir la transmission du VIH au sein des couples.
Pour la première fois, l’institution évoque la possibilité de mettre fin à l’épidémie à condition que les efforts consentis, particulièrement les financements en période de crise, se poursuivent entre 2011 et 2015. A partir de cette date l’Onusida estime que les besoins devraient décroître.
J.I.
Sciences et Avenir.fr
22/11/2011
Montpellier: Admise sur LP!!
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Stage: S1 Crèche S2 Gériatrie S3 Médecine Générale S4 Psychiatrie
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Re: Actualités concours 2012
Lancement de la semaine de la sécurité des patients
A l’initiative de la Direction générale de l'offre des soins (DGOS), Xavier Bertrand, ministre de la Santé, a lancé hier la première édition de la Semaine de la sécurité des patients. Cette dernière, qui se tient du 21 au 25 novembre, a pour objectif de sensibiliser patients et professionnels de santé à la sécurité des soins et aux bonnes pratiques dans ce domaine.
Dans le souci d’ouvrir un réel dialogue sur le système de soins en France, les pouvoirs publics ont souhaité lancer une grande campagne aux quatre coins de l’Hexagone. Affiches placardées sur les murs et plaquettes mises à disposition dans les établissements de santé en sont les principaux supports d’information. De nombreuses manifestions sont aussi prévues afin de faciliter le dialogue pas toujours évident entre patients et professionnels de santé, de sensibiliser tout un chacun sur les risques sanitaires, la lutte contre les maladies nosocomiales, etc.
Pour cette première édition, la DGOS a souhaité mettre en avant trois thématiques principales : le bon usage des médicaments, le renforcement du dialogue entre patients et médecins et les situations à risque. Cette semaine devrait permettre d’avoir un autre regard sur le système de soins en France…
Information hospitalière
A l’initiative de la Direction générale de l'offre des soins (DGOS), Xavier Bertrand, ministre de la Santé, a lancé hier la première édition de la Semaine de la sécurité des patients. Cette dernière, qui se tient du 21 au 25 novembre, a pour objectif de sensibiliser patients et professionnels de santé à la sécurité des soins et aux bonnes pratiques dans ce domaine.
Dans le souci d’ouvrir un réel dialogue sur le système de soins en France, les pouvoirs publics ont souhaité lancer une grande campagne aux quatre coins de l’Hexagone. Affiches placardées sur les murs et plaquettes mises à disposition dans les établissements de santé en sont les principaux supports d’information. De nombreuses manifestions sont aussi prévues afin de faciliter le dialogue pas toujours évident entre patients et professionnels de santé, de sensibiliser tout un chacun sur les risques sanitaires, la lutte contre les maladies nosocomiales, etc.
Pour cette première édition, la DGOS a souhaité mettre en avant trois thématiques principales : le bon usage des médicaments, le renforcement du dialogue entre patients et médecins et les situations à risque. Cette semaine devrait permettre d’avoir un autre regard sur le système de soins en France…
Information hospitalière
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Re: Actualités concours 2012
Hépatite C : 70 % de guérison grâce à une nouvelle trithérapie
Le virus de l'hépatite C ne bénéficie malheureusement pas d'un vaccin, comme c'est le cas pour l'hépatite B, et les recherches de traitement sont un espoir pour les 40.000 personnes infectées en France. Une trithérapie à base de nouvelles molécules, les antiprotéases, apporterait 70 % de guérison.
L'arrivée ces derniers mois, pour lutter contre l'hépatite C, d'un nouveau type de molécules, les antiprotéases, permet un véritable bond dans l'efficacité du traitement de la forme la plus fréquente de cette maladie en Europe, avec la perspective de meilleurs taux de guérison, soulignent des spécialistes.
Contrairement à l'hépatite B, il n'existe pas de vaccin contre le virus de l'hépatite C (VHC) qui se transmet essentiellement aujourd'hui par l'usage de drogues injectables.
Le nombre de porteurs chroniques du VHC est estimé en France à près de 400.000 personnes, dont environ 40 % qui l'ignorent. Seulement 12.000 malades sont traités chaque année, indique Patrick Marcellin (hôpital Beaujon, AP-HP). « C'est une maladie lente, mais dont les risques augmentent avec le temps », explique l'hépatologue : une cirrhose apparaît dans les 20 à 30 années qui suivent la contamination chez 20 % des patients. Elle peut évoluer vers une insuffisance hépatique ou un cancer du foie. Chaque année, plus de 2.500 décès sont ainsi imputables au VHC.
Chaque année en France, 2.500 personnes meurent du virus de l'hépatite C
Chaque année en France, 2.500 personnes meurent du virus de l'hépatite C. © Sebastian Kaulitzki, Fotolia
La bithérapie trop peu efficace contre le VHC
Le traitement de l'hépatite C repose sur l'association de deux médicaments, les interférons (qui agissent sur le système immunitaire) et la ribavirine (un antiviral à large spectre). Un traitement lourd, avec des effets secondaires importants (anémie, troubles de l'humeur...). Mais pour les patients infectés par un VHC de type 1 (57 % des infections en France), cette bithérapie ne permet une guérison que dans moins d'un cas sur deux.
La mise sur le marché de deux molécules nouvelles – Victrelis (substance active : bocéprévir) de Schering-Plough en juillet et Incivo (télaprévir) de Janssen-Cilag en septembre – apporte de nouveaux espoirs aux patients atteints par un VHC de type 1. Ces deux médicaments (comprimés pour Incivo et gélules pour Victrelis) ne remplacent pas le traitement traditionnel, mais s'y ajoutent. Il s'agit d'antiviraux spécifiques au VHC, des antiprotéases qui agissent sur le cycle de multiplication du virus.
Cette trithérapie (interféron + ribavirine + antiprotéase) permet un taux de guérison (pas de virus détectable dans le sang six mois après l'arrêt du traitement) d'environ 70 %, indique Lawrence Serfaty (hôpital Saint-Antoine, AP-HP). Chez des patients déjà traités sans succès par bithérapie, des essais cliniques ont montré qu'elle triplait quasiment le taux de guérison.
Le virus de l'hépatite C (VHC) touche près de 40.000 personnes en France.
Le virus de l'hépatite C (VHC) touche près de 40.000 personnes en France. © Spectral Design, Fotolia
Une trithérapie espoir dans la lutte contre l'hépatite C
Si des effets secondaires supplémentaires sont signalés (éruptions cutanées pour Incivo, problèmes de goût pour Victrelis), la trithérapie permet une « réduction notable » de la durée totale du traitement (24 à 28 semaines contre 48 pour la bithérapie).
La trithérapie est utilisable pour les patients co-infectés par le VHC et le VIH (Sida), en veillant aux problèmes d'interactions médicamenteuses.
Le coût supplémentaire du traitement par antiprotéases est estimé à 100 euros par jour, à mettre en balance, souligne Michel Bonjour, vice-président de l'association SOS hépatites, « à ce qu'il permet d'éviter : une greffe, un cancer, etc. »
M. Bonjour indique cependant avoir « une vraie angoisse » devant le risque que l'accès au traitement soit freiné par l'insuffisance de moyens de prise en charge dans les hôpitaux. Les trithérapies, en effet, demandent davantage de surveillance et ne peuvent être prescrites que par les spécialistes hospitaliers.
Depuis le début en janvier des autorisations temporaires d'utilisation (ATU), qui ont précédé les autorisations de mise sur le marché des antiprotéases, quelque 800 personnes infectées par le VHC ont été traitées par trithérapie en France, selon le Pr Marcellin.
Futura science
Le virus de l'hépatite C ne bénéficie malheureusement pas d'un vaccin, comme c'est le cas pour l'hépatite B, et les recherches de traitement sont un espoir pour les 40.000 personnes infectées en France. Une trithérapie à base de nouvelles molécules, les antiprotéases, apporterait 70 % de guérison.
L'arrivée ces derniers mois, pour lutter contre l'hépatite C, d'un nouveau type de molécules, les antiprotéases, permet un véritable bond dans l'efficacité du traitement de la forme la plus fréquente de cette maladie en Europe, avec la perspective de meilleurs taux de guérison, soulignent des spécialistes.
Contrairement à l'hépatite B, il n'existe pas de vaccin contre le virus de l'hépatite C (VHC) qui se transmet essentiellement aujourd'hui par l'usage de drogues injectables.
Le nombre de porteurs chroniques du VHC est estimé en France à près de 400.000 personnes, dont environ 40 % qui l'ignorent. Seulement 12.000 malades sont traités chaque année, indique Patrick Marcellin (hôpital Beaujon, AP-HP). « C'est une maladie lente, mais dont les risques augmentent avec le temps », explique l'hépatologue : une cirrhose apparaît dans les 20 à 30 années qui suivent la contamination chez 20 % des patients. Elle peut évoluer vers une insuffisance hépatique ou un cancer du foie. Chaque année, plus de 2.500 décès sont ainsi imputables au VHC.
Chaque année en France, 2.500 personnes meurent du virus de l'hépatite C
Chaque année en France, 2.500 personnes meurent du virus de l'hépatite C. © Sebastian Kaulitzki, Fotolia
La bithérapie trop peu efficace contre le VHC
Le traitement de l'hépatite C repose sur l'association de deux médicaments, les interférons (qui agissent sur le système immunitaire) et la ribavirine (un antiviral à large spectre). Un traitement lourd, avec des effets secondaires importants (anémie, troubles de l'humeur...). Mais pour les patients infectés par un VHC de type 1 (57 % des infections en France), cette bithérapie ne permet une guérison que dans moins d'un cas sur deux.
La mise sur le marché de deux molécules nouvelles – Victrelis (substance active : bocéprévir) de Schering-Plough en juillet et Incivo (télaprévir) de Janssen-Cilag en septembre – apporte de nouveaux espoirs aux patients atteints par un VHC de type 1. Ces deux médicaments (comprimés pour Incivo et gélules pour Victrelis) ne remplacent pas le traitement traditionnel, mais s'y ajoutent. Il s'agit d'antiviraux spécifiques au VHC, des antiprotéases qui agissent sur le cycle de multiplication du virus.
Cette trithérapie (interféron + ribavirine + antiprotéase) permet un taux de guérison (pas de virus détectable dans le sang six mois après l'arrêt du traitement) d'environ 70 %, indique Lawrence Serfaty (hôpital Saint-Antoine, AP-HP). Chez des patients déjà traités sans succès par bithérapie, des essais cliniques ont montré qu'elle triplait quasiment le taux de guérison.
Le virus de l'hépatite C (VHC) touche près de 40.000 personnes en France.
Le virus de l'hépatite C (VHC) touche près de 40.000 personnes en France. © Spectral Design, Fotolia
Une trithérapie espoir dans la lutte contre l'hépatite C
Si des effets secondaires supplémentaires sont signalés (éruptions cutanées pour Incivo, problèmes de goût pour Victrelis), la trithérapie permet une « réduction notable » de la durée totale du traitement (24 à 28 semaines contre 48 pour la bithérapie).
La trithérapie est utilisable pour les patients co-infectés par le VHC et le VIH (Sida), en veillant aux problèmes d'interactions médicamenteuses.
Le coût supplémentaire du traitement par antiprotéases est estimé à 100 euros par jour, à mettre en balance, souligne Michel Bonjour, vice-président de l'association SOS hépatites, « à ce qu'il permet d'éviter : une greffe, un cancer, etc. »
M. Bonjour indique cependant avoir « une vraie angoisse » devant le risque que l'accès au traitement soit freiné par l'insuffisance de moyens de prise en charge dans les hôpitaux. Les trithérapies, en effet, demandent davantage de surveillance et ne peuvent être prescrites que par les spécialistes hospitaliers.
Depuis le début en janvier des autorisations temporaires d'utilisation (ATU), qui ont précédé les autorisations de mise sur le marché des antiprotéases, quelque 800 personnes infectées par le VHC ont été traitées par trithérapie en France, selon le Pr Marcellin.
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Re: Entraînement culture générale 2012
Bon voilà mon travail.
1/La Maison bleu à Montréal est une fondation qui accompagne les femmes enceintes vulnérable d'un point de vue sociale.
L'une d'entre elles Melissa après avoir consulté l'infirmière principale et pris en charge par une autre infirmière qui lui propose un encas. Elle l'a questionne alors sur son état et la jeune femme lui avoue alors les violences physiques dont elle est l'objet. L'infirmière qui était là à la naissance de son fils l'encourage alors à partir en lui promettant de l'accompagner dans cette démarche.
La jeune femme originaire d'une ile des Caraibes à déjà été victime de maltraitance tant psychologique que physique. Elle a alors immigré au Canada où elle a accouché de son fils.
2/Intro: Périnatalité sociale: Prendre en compte l'environnement sociale de la femme enceinte
Pédiatrie sociale: Prendre en compte l’environnement sociale de l'enfant.
Traiter les différents maux de santé sans oublier les différents problèmes sociaux.
La phrase propose un plan en deux partie non? Périnatalité sociale et pédiatrie sociale
_Périnatalité sociale:
Accompagnement des femmes enceintes:
-Face aux violences: Soutien psychologique, accompagnement dans les démarches administratives...
-Face aux maladies: Les répercussions sur psychologique: honte dans certains pays d'Afrique d'avoir des maladies tel que le Sida synonyme d'infidélité pour eux. Les femmes doivent se cacher pour prendre les traitements....
-Face aux difficultés économiques: a t elle assez à manger? a t elle un endroit ou vivre?.....
_Pédiatrie sociale:
Accompagnement des enfants et prise en compte de leur famille
-Face à l'éducation: aider dans la prise en charge d'enfant violent, en difficulté scolaire...
-Face à la maladie: Enfant handicapé, aide à l'acceptation de la maladie...
-Face aux difficultés économique...
3/
Causes:
Vulnérabilité physique: Maladie de l'enfant ou de la femme
Vulnérabilité psychologique: Problème sociaux: Violence physique(coups, blessure, homicide) ou psychologique , Problème financiers: Dû au chômage
Conséquences:
Physique: prise de traitement ,dans le pire des cas IMG ou choix de la mère de continuer la grossesse... Importance de la famille si la mère meurt adoption... Si le bébé est handicapé: besoin d'aide pour l'élever, de soutien autant financier que moral...
Psychologique: la famille, les proches: d'un point de vue psychologique (aide la reprendre confiance en soi...) et financier (aide en liquide ou matériel: garde des enfants, partage d'un logement...)
Préventions:
Par le personnel soignant:
_Informe la femme battue des recours qu'elle peut avoir mais n'est pas obligé de le signaler comme pour les personnes mineures.
_Ensemble de test DPI, DPN, suivi de la grossesse dans les PMI...
Par les associations: informe sur les solutions possible, l'accompagnement.
Par le Législation: Loi IMG, Obligation d'habitation mise à disposition pour les femmes battues au moins une par département, report de l'age du mariage de 15 à 18 ans.
Actualité: Bracelet électronique pour violence conjugale
Pas super, hein. J'ai du mal ces temps ci avec la CG. Je crois que je vais mettre ça de côté pendant un certain temps. Je reviendrais peut être dessus le week end prochain....
Exercice 23 (série 2)
Questions :
1) Reformulez le texte , sans discours direct et indirect en une quinzaine de lignes.
2) Expliquez la phrase suivante :
" On y fait de la «périnatalité sociale» de la même façon que le Dr Gilles Julien fait de la «pédiatrie sociale»."
3) " femmes enceintes vulnérables et leur famille" , Argumentez sous la forme de causes conséquences et préventions.
Votre rédaction ne dépassera pas les 30 lignes.
1/La Maison bleu à Montréal est une fondation qui accompagne les femmes enceintes vulnérable d'un point de vue sociale.
L'une d'entre elles Melissa après avoir consulté l'infirmière principale et pris en charge par une autre infirmière qui lui propose un encas. Elle l'a questionne alors sur son état et la jeune femme lui avoue alors les violences physiques dont elle est l'objet. L'infirmière qui était là à la naissance de son fils l'encourage alors à partir en lui promettant de l'accompagner dans cette démarche.
La jeune femme originaire d'une ile des Caraibes à déjà été victime de maltraitance tant psychologique que physique. Elle a alors immigré au Canada où elle a accouché de son fils.
2/Intro: Périnatalité sociale: Prendre en compte l'environnement sociale de la femme enceinte
Pédiatrie sociale: Prendre en compte l’environnement sociale de l'enfant.
Traiter les différents maux de santé sans oublier les différents problèmes sociaux.
La phrase propose un plan en deux partie non? Périnatalité sociale et pédiatrie sociale
_Périnatalité sociale:
Accompagnement des femmes enceintes:
-Face aux violences: Soutien psychologique, accompagnement dans les démarches administratives...
-Face aux maladies: Les répercussions sur psychologique: honte dans certains pays d'Afrique d'avoir des maladies tel que le Sida synonyme d'infidélité pour eux. Les femmes doivent se cacher pour prendre les traitements....
-Face aux difficultés économiques: a t elle assez à manger? a t elle un endroit ou vivre?.....
_Pédiatrie sociale:
Accompagnement des enfants et prise en compte de leur famille
-Face à l'éducation: aider dans la prise en charge d'enfant violent, en difficulté scolaire...
-Face à la maladie: Enfant handicapé, aide à l'acceptation de la maladie...
-Face aux difficultés économique...
3/
Causes:
Vulnérabilité physique: Maladie de l'enfant ou de la femme
Vulnérabilité psychologique: Problème sociaux: Violence physique(coups, blessure, homicide) ou psychologique , Problème financiers: Dû au chômage
Conséquences:
Physique: prise de traitement ,dans le pire des cas IMG ou choix de la mère de continuer la grossesse... Importance de la famille si la mère meurt adoption... Si le bébé est handicapé: besoin d'aide pour l'élever, de soutien autant financier que moral...
Psychologique: la famille, les proches: d'un point de vue psychologique (aide la reprendre confiance en soi...) et financier (aide en liquide ou matériel: garde des enfants, partage d'un logement...)
Préventions:
Par le personnel soignant:
_Informe la femme battue des recours qu'elle peut avoir mais n'est pas obligé de le signaler comme pour les personnes mineures.
_Ensemble de test DPI, DPN, suivi de la grossesse dans les PMI...
Par les associations: informe sur les solutions possible, l'accompagnement.
Par le Législation: Loi IMG, Obligation d'habitation mise à disposition pour les femmes battues au moins une par département, report de l'age du mariage de 15 à 18 ans.
Actualité: Bracelet électronique pour violence conjugale
Pas super, hein. J'ai du mal ces temps ci avec la CG. Je crois que je vais mettre ça de côté pendant un certain temps. Je reviendrais peut être dessus le week end prochain....
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Re: Entraînement culture générale 2012
Merci angelito94 et Memo.
En faite c'est parce que moi dans mon intro je "marque" bien les choses avec notamment pour annoncer le plan je met "Dans un premier temps [...] et dans un second temps [...] " Alors du coup j'ai une autre question. Est ce que ma façon de faire et correcte ou bien trop scolaire ?
Ce sont mes souvenir de cours de français de BTS qui reviennent. Mais c'est sans doute trop scolaire.
En faite c'est parce que moi dans mon intro je "marque" bien les choses avec notamment pour annoncer le plan je met "Dans un premier temps [...] et dans un second temps [...] " Alors du coup j'ai une autre question. Est ce que ma façon de faire et correcte ou bien trop scolaire ?
Ce sont mes souvenir de cours de français de BTS qui reviennent. Mais c'est sans doute trop scolaire.
Re: Actualités concours 2012
Saint-Ouen : Halte au trafic de drogue
Une centaine d'habitants de Saint-Ouen (Seine-Saint-Denis) a manifesté samedi dans les rues de la ville pour dire "stop au trafic de drogue" qui continue d'empoisonner la ville, malgré une importante mobilisation policière.
Le ras-le-bol est généralisé. La population de Saint-Ouen (Seine-Saint-Denis) est arrivée à saturation. La raison de cette colère : le trafic de drogue. Du coup, une centaine d'habitants de la vile a manifesté, ce samedi, dans les rues. « Stop à la violence ! Stop à la drogue ! La drogue est une violence, Saint-Ouen sans drogue » était-il possible de lire ou d'entendre au cours de la mobilisation. Comme un symbole, le premier cortège de cette « marche interquartier » est parti du quartier Arago-Emile Zola, aux portes de Paris. C'est en effet ici que la mainmise des trafiquants sur des parties communes d'immeubles et certains endroits publics avait conduit la direction d'une école maternelle à déplacer l'entrée de l'établissement.
Une réserve de citoyens pour y rémédier ?
La manifestation a eu lieu alors même qu'il y a peu le nombre de forces de l'ordre envoyées sur place venait d'augmenter. En effet, lors d'une visite à Saint-Ouen le 31 octobre, le ministre de l'Intérieur Claude Guéant avait annoncé le renfort d'une « section de CRS (...) pour qu'il y ait une présence policière 24 heures sur 24 » et « nettoyer ce quartier du deal de drogue ». La situation est donc prise très au sérieux par les autorités publiques. Claude Guéant avait également annoncé son intention d'ouvrir la réserve de la police aux « citoyens » pour participer aux « médiation, prévention, surveillance générale » de quartiers.
« Nous voulons dire au préfet et à M. Guéant que ce n'est pas assez, que la répression toute seule, ce n'est pas la solution. Une semaine après l'arrivée de la police, les dealers se sont déplacés ailleurs », a déclaré Abdallah Fraygui, président de l'amicale des locataires du quartier Arago-Emile Zola, à l'origine de la mobilisation des habitants depuis plusieurs mois. « Il y a beaucoup de policiers à Saint-Ouen et le trafic continue. Que faut-il donc ? Dans les rues de la ville, (il faut) autant d'éducateurs, d'enseignants qui viennent parler aux jeunes et les ramènent vers le chemin de l'école », a plaidé de son côté la maire (PCF) de Saint-Ouen, Jacqueline Rouillon.
La mobilisation des habitants « est une rivière qui est en train de devenir un grand fleuve. En étant unis et nombreux, les trafiquants vont partir », a-t-elle espérée. Et d'ajouter : « Si on crie assez fort, nous aurons des éducateurs et des enseignants (...) et nos quartiers, nos bas d'immeubles (retrouveront) la tranquillité et la sérénité auxquelles ils ont droit ».
France soir
Une centaine d'habitants de Saint-Ouen (Seine-Saint-Denis) a manifesté samedi dans les rues de la ville pour dire "stop au trafic de drogue" qui continue d'empoisonner la ville, malgré une importante mobilisation policière.
Le ras-le-bol est généralisé. La population de Saint-Ouen (Seine-Saint-Denis) est arrivée à saturation. La raison de cette colère : le trafic de drogue. Du coup, une centaine d'habitants de la vile a manifesté, ce samedi, dans les rues. « Stop à la violence ! Stop à la drogue ! La drogue est une violence, Saint-Ouen sans drogue » était-il possible de lire ou d'entendre au cours de la mobilisation. Comme un symbole, le premier cortège de cette « marche interquartier » est parti du quartier Arago-Emile Zola, aux portes de Paris. C'est en effet ici que la mainmise des trafiquants sur des parties communes d'immeubles et certains endroits publics avait conduit la direction d'une école maternelle à déplacer l'entrée de l'établissement.
Une réserve de citoyens pour y rémédier ?
La manifestation a eu lieu alors même qu'il y a peu le nombre de forces de l'ordre envoyées sur place venait d'augmenter. En effet, lors d'une visite à Saint-Ouen le 31 octobre, le ministre de l'Intérieur Claude Guéant avait annoncé le renfort d'une « section de CRS (...) pour qu'il y ait une présence policière 24 heures sur 24 » et « nettoyer ce quartier du deal de drogue ». La situation est donc prise très au sérieux par les autorités publiques. Claude Guéant avait également annoncé son intention d'ouvrir la réserve de la police aux « citoyens » pour participer aux « médiation, prévention, surveillance générale » de quartiers.
« Nous voulons dire au préfet et à M. Guéant que ce n'est pas assez, que la répression toute seule, ce n'est pas la solution. Une semaine après l'arrivée de la police, les dealers se sont déplacés ailleurs », a déclaré Abdallah Fraygui, président de l'amicale des locataires du quartier Arago-Emile Zola, à l'origine de la mobilisation des habitants depuis plusieurs mois. « Il y a beaucoup de policiers à Saint-Ouen et le trafic continue. Que faut-il donc ? Dans les rues de la ville, (il faut) autant d'éducateurs, d'enseignants qui viennent parler aux jeunes et les ramènent vers le chemin de l'école », a plaidé de son côté la maire (PCF) de Saint-Ouen, Jacqueline Rouillon.
La mobilisation des habitants « est une rivière qui est en train de devenir un grand fleuve. En étant unis et nombreux, les trafiquants vont partir », a-t-elle espérée. Et d'ajouter : « Si on crie assez fort, nous aurons des éducateurs et des enseignants (...) et nos quartiers, nos bas d'immeubles (retrouveront) la tranquillité et la sérénité auxquelles ils ont droit ».
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Re: Actualités concours 2012
Implants mammaires : Deux autres cas révélés
Deux autres femmes connaissent de sérieux problèmes de santé suite à la pose d'implants Poly Implants Prothèse.
Nouveau rebondissement dans « l'affaire » des implants mammaires. Selon Le Parisien – Aujourd'hui en France, deux femmes connaissent de sérieux problèmes de santé suite à la pose d'implants Poly Implants Prothèse (PIP).
L'une d'elle, Laetitia, âgée de 36 ans, s'était fait poser des implants en Espagne. « J’ai ressenti de grandes douleurs il y a six mois. J’avais de gros ganglions sous le bras. La prothèse avait rompu. J’ai pris rendez-vous chez un autre chirurgien le 21 octobre. Il m’a dit que le gel de silicone s’était répandu partout dans mon organisme, vers la clavicule, entre les seins, vers les côtes », explique-t-elle au quotidien.
Numéro vert
Cette information sème le trouble. Après le décès d'Edwige Ligonèche la semaine dernière, les autorités sanitaires s'étaient voulues rassurantes, affirmant que les femmes porteuses de prothèses PIP ne courraient pas de danger majeur. L'association des victimes, pour sa part, considère que les 30.000 femmes concernées doivent toutes être réopérées.
Le parquet de Marseille a reçu pas moins de 2.000 plaintes de femmes porteuses de prothèse PIP depuis l'annonce du décès d' Edwige Ligonèche. Une enquête pour « blessures et homicide involontaire » a été ouverte. Un numéro vert, le 0800 636 636, a été mis en service par l'agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps) vendredi. Le numéro fonctionnera du lundi au samedi, de 9 à 19 heures. L'objectif : répondre aux différentes interrogations qui ne devraient pas manquer...
France soir
Deux autres femmes connaissent de sérieux problèmes de santé suite à la pose d'implants Poly Implants Prothèse.
Nouveau rebondissement dans « l'affaire » des implants mammaires. Selon Le Parisien – Aujourd'hui en France, deux femmes connaissent de sérieux problèmes de santé suite à la pose d'implants Poly Implants Prothèse (PIP).
L'une d'elle, Laetitia, âgée de 36 ans, s'était fait poser des implants en Espagne. « J’ai ressenti de grandes douleurs il y a six mois. J’avais de gros ganglions sous le bras. La prothèse avait rompu. J’ai pris rendez-vous chez un autre chirurgien le 21 octobre. Il m’a dit que le gel de silicone s’était répandu partout dans mon organisme, vers la clavicule, entre les seins, vers les côtes », explique-t-elle au quotidien.
Numéro vert
Cette information sème le trouble. Après le décès d'Edwige Ligonèche la semaine dernière, les autorités sanitaires s'étaient voulues rassurantes, affirmant que les femmes porteuses de prothèses PIP ne courraient pas de danger majeur. L'association des victimes, pour sa part, considère que les 30.000 femmes concernées doivent toutes être réopérées.
Le parquet de Marseille a reçu pas moins de 2.000 plaintes de femmes porteuses de prothèse PIP depuis l'annonce du décès d' Edwige Ligonèche. Une enquête pour « blessures et homicide involontaire » a été ouverte. Un numéro vert, le 0800 636 636, a été mis en service par l'agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps) vendredi. Le numéro fonctionnera du lundi au samedi, de 9 à 19 heures. L'objectif : répondre aux différentes interrogations qui ne devraient pas manquer...
France soir
Montpellier: Admise sur LP!!
ESI 2012/2015!!
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Re: Actualités concours 2012
Sondage : 61% des Français favorables au vote des étrangers
Selon notre enquête BVA, une nette majorité de Français se dit favorable au droit de vote des étrangers non communautaires pour les municipales. Mais la droite est décidée à bloquer ce projet de la gauche.
A en juger par les résultats de notre sondage BVA, Martine Aubry avait raison de se précipiter, le soir même de la victoire de la gauche au Sénat, pour mettre en haut de la pile le droit de vote des étrangers non communautaires aux élections municipales. Selon notre enquête, 61% des Français approuvent aujourd’hui cette proposition émise il y a plus de trente ans par les socialistes. Elle est même plébiscitée à 75% dans l’électorat de gauche. Aubry aurait donc eu tort de se gêner.
Ils ne pourront devenir ni maire ni adjoint
Le texte rédigé par les sénateurs socialistes est d’ailleurs mesuré : il ne s’agit que d’offrir aux étrangers extracommunautaires (les Européens ayant déjà cette faculté) résidant depuis plus de cinq ans — en situation régulière — sur le territoire national le droit de vote et d’éligibilité au conseil municipal. Mais ils ne pourront en aucun cas devenir maire, ni adjoint mais au mieux de simples conseillers municipaux. Ils ne pourront pas non plus participer à l’élection du maire par le conseil municipal. Même avec ces restrictions, le texte risque cependant d’être à nouveau bloqué lorsqu’il reviendra, cette fois, sur le bureau de l’Assemblée. Car après avoir un moment tergiversé — à l’image de Nicolas Sarkozy — les responsables de la droite y sont résolument opposés. Le chef de l’Etat juge désormais cette proposition « hasardeuse » et François Fillon répète qu’il s’y opposera « de toutes ses forces ».
Pour justifier un tel refus, alors que près de la moitié de ses propres électeurs sont favorables à l’évolution proposée — laquelle a déjà cours, sous des formes diverses, dans plusieurs pays en Europe —, la droite agite le chiffon rouge du communautarisme. Le droit de vote serait le cheval de Troie des fondamentalistes musulmans pour s’introduire dans les mairies. Si l’argument peut être examiné, il cache mal un objectif plus prosaïque : tenter de récupérer les voix du Front national. Au risque de se fâcher avec l’aile la plus libérale des électeurs UMP et centristes. Visiblement, Sarkozy a fait ses comptes.
Le Parisien
Selon notre enquête BVA, une nette majorité de Français se dit favorable au droit de vote des étrangers non communautaires pour les municipales. Mais la droite est décidée à bloquer ce projet de la gauche.
A en juger par les résultats de notre sondage BVA, Martine Aubry avait raison de se précipiter, le soir même de la victoire de la gauche au Sénat, pour mettre en haut de la pile le droit de vote des étrangers non communautaires aux élections municipales. Selon notre enquête, 61% des Français approuvent aujourd’hui cette proposition émise il y a plus de trente ans par les socialistes. Elle est même plébiscitée à 75% dans l’électorat de gauche. Aubry aurait donc eu tort de se gêner.
Ils ne pourront devenir ni maire ni adjoint
Le texte rédigé par les sénateurs socialistes est d’ailleurs mesuré : il ne s’agit que d’offrir aux étrangers extracommunautaires (les Européens ayant déjà cette faculté) résidant depuis plus de cinq ans — en situation régulière — sur le territoire national le droit de vote et d’éligibilité au conseil municipal. Mais ils ne pourront en aucun cas devenir maire, ni adjoint mais au mieux de simples conseillers municipaux. Ils ne pourront pas non plus participer à l’élection du maire par le conseil municipal. Même avec ces restrictions, le texte risque cependant d’être à nouveau bloqué lorsqu’il reviendra, cette fois, sur le bureau de l’Assemblée. Car après avoir un moment tergiversé — à l’image de Nicolas Sarkozy — les responsables de la droite y sont résolument opposés. Le chef de l’Etat juge désormais cette proposition « hasardeuse » et François Fillon répète qu’il s’y opposera « de toutes ses forces ».
Pour justifier un tel refus, alors que près de la moitié de ses propres électeurs sont favorables à l’évolution proposée — laquelle a déjà cours, sous des formes diverses, dans plusieurs pays en Europe —, la droite agite le chiffon rouge du communautarisme. Le droit de vote serait le cheval de Troie des fondamentalistes musulmans pour s’introduire dans les mairies. Si l’argument peut être examiné, il cache mal un objectif plus prosaïque : tenter de récupérer les voix du Front national. Au risque de se fâcher avec l’aile la plus libérale des électeurs UMP et centristes. Visiblement, Sarkozy a fait ses comptes.
Le Parisien
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Re: Fiches culture générale 2012
Salut tout le monde!!
Je voulais vous proposer de mettre les fiches en pause le temps que tout le monde rattrape son retard...
On fera le reste plus tard. Parce que c'est dommage qu'on soit que deux trois à poster nos fiches...
Dites moi ce que vous en pensez!!
Je voulais vous proposer de mettre les fiches en pause le temps que tout le monde rattrape son retard...
On fera le reste plus tard. Parce que c'est dommage qu'on soit que deux trois à poster nos fiches...
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Re: Fiches culture générale 2012
Bonjour tout le monde,
J'ai une question par rapport aux nombreuses fiches que vous poster. Vous les apprennez par coeur ou faut-il juste en retenir les idées générales ?
Car cela fait bcp d'infos à engranger si on ajoute toutes les lois etc
Bonne révision à tous !!
J'ai une question par rapport aux nombreuses fiches que vous poster. Vous les apprennez par coeur ou faut-il juste en retenir les idées générales ?
Car cela fait bcp d'infos à engranger si on ajoute toutes les lois etc
Bonne révision à tous !!
IDE 2015 !!!!!
Re: Actualités concours 2012
Biberons stérilisés à l'oxyde d'éthylène :
"ce n'est que la partie émergée de l'iceberg"
28-11-11 à 10:57 Réagir
Suite à la publication d'un dossier du Nouvel Observateur dénonçant l'utilisation de "biberons toxiques", les tétines stérilisées à l'oxyde d'éthylène vont être retirées des maternités. Cependant , pour Olivier Toma, du Comité pour le développement durable en santé, cette affaire "n'est que la partie émergée de l’iceberg".
(Bruno Lévy/Sipa)
RéagirDans son édition du 17 novembre, le Nouvel Observateur dénonçait la stérilisation de tétines et de biberons avec un produit normalement interdit pour les produits alimentaires, l'oxyde d'éthylène, un gaz cancérogène. Le lendemain, le ministère de la Santé annonçait le retrait des lors incriminés et "le déploiement progressif de solutions alternatives" dans les maternités et hôpitaux. Cependant, pour Olivier Toma, président du C2ds, cette affaire "n'est que la partie émergée de l’iceberg".
Le Comité pour le développement durable en santé (C2ds) est une association à but non lucratif regroupant des professionnels de santé. Il a déjà fait campagne pour des produits médicaux sans phtalates.
Sciences et avenir.fr: Que pensez de la polémique actuelle sur les biberons et les tétines stérilisés à l'oxyde d'éthylène utilisés dans les maternités?
Olivier Toma: C’est proprement surréaliste, les autorités sont au courant de la situation depuis plusieurs années. Le C2DS a écrit au Ministère de la Santé et à l’Afssaps pour les avertir et demander des consignes, nos lettres sont restées sans réponses. Aujourd’hui la polémique touche certaines maternités qui distribuent des biberons, tétines ou téterelles stérilisés à l’oxyde d’éthylène. Mais il faut bien comprendre que ces produits ont une autorisation de mise sur le marché (AMM), ils sont validés par l’Etat, c’est donc à lui de prendre ses responsabilités.
Qu’attendez-vous concrètement des autorités?
Qu’on nous dise si ces produits représentent un danger réel. Si c’est non, très bien, on en prend acte. Si c’est oui, alors il est intolérable qu'ils conservent leurs AMM. Ceci dit, la toxicité de l’oxyde d’éthylène est avérée, ce n’est pas pour rien qu’il a été retiré de l’industrie agroalimentaire. L’épisode des biberons ne représentent d’ailleurs que la partie émergée de l’iceberg.
C’est-à-dire?
Et bien, beaucoup de dispositifs médicaux, cathéters, tubulures, prothèses, sont stérilisés à l’oxyde d’éthylène. La plupart du temps les personnes qui les utilisent n'en sont pas conscientes et pourtant elles encourent le plus de risques. Imaginez une infirmière en bloc opératoire qui passe sa journée à ouvrir des instruments et des kits contenant de l’oxyde d’éthylène, elle est sous le coup d’une multi-exposition régulière. Que risque-t-elle ? Personne ne le sait vraiment puisqu’on est incapable de savoir combien de ces dispositifs circulent dans les hôpitaux. Aucun recensement n’a été effectué de manière systématique.
Que faut-il faire alors?
D’abord améliorer l’étiquetage des produits, placer clairement des avertissements sur les emballages individuels et non plus sur le carton que reçoit le magasinier et qu’il déballe lui-même. Ces étiquettes doivent être lues et comprises par les utilisateurs : tous les professionnels de santé devraient donc recevoir une formation à la toxicologie.
Pour les matériels traités à l’oxyde d’éthylène, il existe d’autres méthodes de stérilisation techniquement applicables à la plupart d’entre eux. Dans les rares cas où cela n’est pas possible, il est impératif de mettre à disposition des utilisateurs des consignes de sécurité claires.
Après les épisodes du bisphénol A et de l’oxyde d’éthylène, élargir la réflexion sur la thématique de la toxicité des produits de santé semble aussi nécessaire?
Evidemment, en commençant par se poser les bonnes questions. Je m’explique: une tétine à usage unique dans un emballage individuel, est-il nécessaire qu’elle soit stérile ? Un bébé au sein n’est pas dans un environnement stérile et tout se passe bien. Je comprends qu’on veuille limiter au maximum les risques mais ne substituons pas un problème hypothétique par un danger bien réel.
Aujourd'hui, seules les crises ou les scandales font réagir les autorités. Pourtant de nombreuses autres substances toxiques circulent dans les hôpitaux et officines. Je parle là des phtalates qui entrent dans la composition de nombreux dispositifs médicaux quotidiennement utilisés ou encore des parabens présents dans des centaines de médicaments. Ces composés, classés cancérogènes, mutagènes et reprotoxiques doivent être retirés. Nous plaidons pour la création d’un indice de substitution afin de savoir quelle molécule remplace telle ou telle substance toxique et de s’assurer qu’elle est bien elle-même inoffensive.
On parle d’impact sanitaire mais aussi environnemental?
Pour chaque dispositif, ou médicament, il est important de prendre en compte son cycle de vie, de la conception au recyclage. Et de raisonner en terme de développement durable, en évaluant ses impacts sanitaires et, bien sûr, environnementaux. L’histoire des tétines illustre aussi cet aspect environnemental, si on doit les retirer : que faire des stocks ? On ne peut pas les jeter puisque c’est dangereux et les distributeurs n’ont pas prévu de circuit de récupération ni de recyclage. Là aussi, l’Etat doit fournir des réponses.
Propos recueillis par Joël Ignasse
Sciences et avenir.fr
28/11/11
"ce n'est que la partie émergée de l'iceberg"
28-11-11 à 10:57 Réagir
Suite à la publication d'un dossier du Nouvel Observateur dénonçant l'utilisation de "biberons toxiques", les tétines stérilisées à l'oxyde d'éthylène vont être retirées des maternités. Cependant , pour Olivier Toma, du Comité pour le développement durable en santé, cette affaire "n'est que la partie émergée de l’iceberg".
(Bruno Lévy/Sipa)
RéagirDans son édition du 17 novembre, le Nouvel Observateur dénonçait la stérilisation de tétines et de biberons avec un produit normalement interdit pour les produits alimentaires, l'oxyde d'éthylène, un gaz cancérogène. Le lendemain, le ministère de la Santé annonçait le retrait des lors incriminés et "le déploiement progressif de solutions alternatives" dans les maternités et hôpitaux. Cependant, pour Olivier Toma, président du C2ds, cette affaire "n'est que la partie émergée de l’iceberg".
Le Comité pour le développement durable en santé (C2ds) est une association à but non lucratif regroupant des professionnels de santé. Il a déjà fait campagne pour des produits médicaux sans phtalates.
Sciences et avenir.fr: Que pensez de la polémique actuelle sur les biberons et les tétines stérilisés à l'oxyde d'éthylène utilisés dans les maternités?
Olivier Toma: C’est proprement surréaliste, les autorités sont au courant de la situation depuis plusieurs années. Le C2DS a écrit au Ministère de la Santé et à l’Afssaps pour les avertir et demander des consignes, nos lettres sont restées sans réponses. Aujourd’hui la polémique touche certaines maternités qui distribuent des biberons, tétines ou téterelles stérilisés à l’oxyde d’éthylène. Mais il faut bien comprendre que ces produits ont une autorisation de mise sur le marché (AMM), ils sont validés par l’Etat, c’est donc à lui de prendre ses responsabilités.
Qu’attendez-vous concrètement des autorités?
Qu’on nous dise si ces produits représentent un danger réel. Si c’est non, très bien, on en prend acte. Si c’est oui, alors il est intolérable qu'ils conservent leurs AMM. Ceci dit, la toxicité de l’oxyde d’éthylène est avérée, ce n’est pas pour rien qu’il a été retiré de l’industrie agroalimentaire. L’épisode des biberons ne représentent d’ailleurs que la partie émergée de l’iceberg.
C’est-à-dire?
Et bien, beaucoup de dispositifs médicaux, cathéters, tubulures, prothèses, sont stérilisés à l’oxyde d’éthylène. La plupart du temps les personnes qui les utilisent n'en sont pas conscientes et pourtant elles encourent le plus de risques. Imaginez une infirmière en bloc opératoire qui passe sa journée à ouvrir des instruments et des kits contenant de l’oxyde d’éthylène, elle est sous le coup d’une multi-exposition régulière. Que risque-t-elle ? Personne ne le sait vraiment puisqu’on est incapable de savoir combien de ces dispositifs circulent dans les hôpitaux. Aucun recensement n’a été effectué de manière systématique.
Que faut-il faire alors?
D’abord améliorer l’étiquetage des produits, placer clairement des avertissements sur les emballages individuels et non plus sur le carton que reçoit le magasinier et qu’il déballe lui-même. Ces étiquettes doivent être lues et comprises par les utilisateurs : tous les professionnels de santé devraient donc recevoir une formation à la toxicologie.
Pour les matériels traités à l’oxyde d’éthylène, il existe d’autres méthodes de stérilisation techniquement applicables à la plupart d’entre eux. Dans les rares cas où cela n’est pas possible, il est impératif de mettre à disposition des utilisateurs des consignes de sécurité claires.
Après les épisodes du bisphénol A et de l’oxyde d’éthylène, élargir la réflexion sur la thématique de la toxicité des produits de santé semble aussi nécessaire?
Evidemment, en commençant par se poser les bonnes questions. Je m’explique: une tétine à usage unique dans un emballage individuel, est-il nécessaire qu’elle soit stérile ? Un bébé au sein n’est pas dans un environnement stérile et tout se passe bien. Je comprends qu’on veuille limiter au maximum les risques mais ne substituons pas un problème hypothétique par un danger bien réel.
Aujourd'hui, seules les crises ou les scandales font réagir les autorités. Pourtant de nombreuses autres substances toxiques circulent dans les hôpitaux et officines. Je parle là des phtalates qui entrent dans la composition de nombreux dispositifs médicaux quotidiennement utilisés ou encore des parabens présents dans des centaines de médicaments. Ces composés, classés cancérogènes, mutagènes et reprotoxiques doivent être retirés. Nous plaidons pour la création d’un indice de substitution afin de savoir quelle molécule remplace telle ou telle substance toxique et de s’assurer qu’elle est bien elle-même inoffensive.
On parle d’impact sanitaire mais aussi environnemental?
Pour chaque dispositif, ou médicament, il est important de prendre en compte son cycle de vie, de la conception au recyclage. Et de raisonner en terme de développement durable, en évaluant ses impacts sanitaires et, bien sûr, environnementaux. L’histoire des tétines illustre aussi cet aspect environnemental, si on doit les retirer : que faire des stocks ? On ne peut pas les jeter puisque c’est dangereux et les distributeurs n’ont pas prévu de circuit de récupération ni de recyclage. Là aussi, l’Etat doit fournir des réponses.
Propos recueillis par Joël Ignasse
Sciences et avenir.fr
28/11/11
Maman de trois filoups, 32a, ESI 2012-2015 St Quentin- Picardie
Laborantine en reconversion
S1: MAS
S2: SSR
S3: Médecine gériatrique
S4: EHPAD
Laborantine en reconversion
S1: MAS
S2: SSR
S3: Médecine gériatrique
S4: EHPAD
Re: Fiches culture générale 2012
Retiens les idées générales!! Normalement tu les retiens facilement en faisant ta fiche.atellys a écrit :Bonjour tout le monde,
J'ai une question par rapport aux nombreuses fiches que vous poster. Vous les apprennez par coeur ou faut-il juste en retenir les idées générales ?
Car cela fait bcp d'infos à engranger si on ajoute toutes les lois etc
Bonne révision à tous !!
Ensuite à force de les lire encore et encore tu te rappeleras de certains détails.
Mais apprendre par coeur... pour moi ça sera pas possible.


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Re: Fiches culture générale 2012
memo, c'est une tres bonne idée qu'on fasse une pause pour que l'on puisse rattraper le retard.
je vais continuer de faire mes fiches en retard et des que j'en ai finis une je la met sur le forum pour completer les tiennes
je vais continuer de faire mes fiches en retard et des que j'en ai finis une je la met sur le forum pour completer les tiennes

ESI 2013-2016 VILLE EVARD à Neuilly sur Marne (93)
Re: Fiches culture générale 2012
PRISON
15 Novembre : journée mondiale des écrivains en prison.
Principale réponse face à la délinquance et aux crimes.
Privation de liberté et de citoyenneté = seule réponse à une infraction majeur. Mais droit de vote par procuration et droit à la retraite.
Définition :
Infraction : violation de la loi.
Crime : infraction la + grave (cours d’assisse) de la réclusion à la perpétuité.
Détenu : pers incarcérée ou maintenue en captivité suite à un délit ou un crime.
Notion qui regroupe les condamnés ou les prévenus.
Pop carcérale : détenus dans les établissements carcéraux ou sous contrôle pénitentiaire (bracelet électronique).
Casier judiciaire : cela permet de recenser les actes délictueux et de conserver une trace.
Différents établissements :
Maisons d’arrêt : prévenus et condamnées dont le reliquat de peine est inférieur à 1 an.
Maisons centrales : longues peines et détenus dangereux.
Centre de détention : peine plus courtes ou possibilité de réinsertion.
Centres de semi-liberté : exercent une activité professionnelle ou formation et dors le soir en prison.
Objectifs de la politique carcérale :
Punir
Réinsérer
Missions de l’incarcération :
Préserver la société d’individus dangereux pour les autres.
Soulager les victimes par rapport aux préjudices subis.
Préparer le retour à la société.
Problèmes :
Surpopulation :
o Politique pénale plus répressive.
o Développement de courtes incarcérations.
o Fréquence des détentions provisoires dues à la lenteur des procédures judiciaires.
o Rareté des réductions de peines.
Vétusté.
De plus en plus de violences en prison :
o Mauvaise santé physique.
o Toxicomane.
o Suivi médical et psychologique insuffisant.
o Manque d’activités.
o Rupture des liens familiaux.
Augmentation de la délinquance sexuelle et des infractions liés à la toxicomanie.
Suppression de la grâce présidentielle par Sarkozy.
Multiplication des comparutions immédiates.
Limite les visites de l’entourage.
Parloirs espacé.
Conséquences :
Effet traumatisant.
Incompréhension, sentiment d’injustice et d’abandon.
Effondrement moral.
Sentiment de honte et de désespoir.
Suicide.
Inactivités physiques et intellectuels.
Détresse psychologique.
Mineurs : loi respectée avec un recours aux peines de prisons limitées (de courte durée).
Bénéficie d’activités éducatrices, 20h d’enseignements/ semaine.
Détention provisoire : 13 ans.
Sanction éducative : 10 ans.
DATES :
1981 : suppression de la peine de mort en France.
2002 : détention de mineurs de – de 16 ans.
2003 : double peine.
CHIFFRES :
113% de densité carcérale.
59 000 détenus soit 9 000 en surnombre.
15 000 détenus en attente de jugement et 47 000 condamnés.
8 hommes sur 10 rentrent en prison avec des troubles psychiques.
70% des détenus sont impliqués dans une nouvelle condamnation dans les 6 ans qui suivent la remise en liberté.
2009 : 122 suicides en prison.
2009 : 6 centres pénitentiaires pour mineurs ont été construit et 1 pour les adultes.
675 mineurs.
6 000 personnes ont des peines aménagées avec un bracelet électronique ou semi-liberté (travail ou formation).
50% des détenus ont moins de 30 ans.
20% d’origine étrangère.
50% entrant ont au moins 1 maladie.
35% sont toxicomanes.
85% des cellules font 11m3 à 3 personnes.
En sortant :
o 30% sont pas soutenus.
o 60% pas de travail.
o 15% pas de logement.
65 000 personnes incarcérées pour 51 000 places → surpopulation de 200%.
40% des détenus sont des prévenus.
En 20 ans, pop carcérale à augmenter de 60%.
115 détenus se suicident en prison par an.
LOI PENITENTIAIRE 2009 :
Le condamné est sanctionné et nécessite de préparer l’insertion et la réinsertion.
Conseil d’évaluation dans chaque structure.
Réserve civile pénitentiaires.
Dignité des personnes détenues.
Informations aux détenus lors de son admission de ses droits et obligations.
Respect des libertés de conscience d’opinion et de religion.
Obligation d’activité du détenu.
Respect de la vie privée et familiale.
Réglementation des fouilles.
Mineurs : activité à caractère éducatif.
Semi-liberté si travail, vie de famille, traitement médical.
Tte pers mise en examen présumée innocente est libre.
SOLUTIONS :
Peine de substitution : travail d’intérêt général, bracelet électronique, amende, sursis, placement extérieur.
Ouverture de nouvelles prisons.
2002 : Loi Perben : suspension de peine pour raison médicale.
15 Novembre : journée mondiale des écrivains en prison.
Principale réponse face à la délinquance et aux crimes.
Privation de liberté et de citoyenneté = seule réponse à une infraction majeur. Mais droit de vote par procuration et droit à la retraite.
Définition :
Infraction : violation de la loi.
Crime : infraction la + grave (cours d’assisse) de la réclusion à la perpétuité.
Détenu : pers incarcérée ou maintenue en captivité suite à un délit ou un crime.
Notion qui regroupe les condamnés ou les prévenus.
Pop carcérale : détenus dans les établissements carcéraux ou sous contrôle pénitentiaire (bracelet électronique).
Casier judiciaire : cela permet de recenser les actes délictueux et de conserver une trace.
Différents établissements :
Maisons d’arrêt : prévenus et condamnées dont le reliquat de peine est inférieur à 1 an.
Maisons centrales : longues peines et détenus dangereux.
Centre de détention : peine plus courtes ou possibilité de réinsertion.
Centres de semi-liberté : exercent une activité professionnelle ou formation et dors le soir en prison.
Objectifs de la politique carcérale :
Punir
Réinsérer
Missions de l’incarcération :
Préserver la société d’individus dangereux pour les autres.
Soulager les victimes par rapport aux préjudices subis.
Préparer le retour à la société.
Problèmes :
Surpopulation :
o Politique pénale plus répressive.
o Développement de courtes incarcérations.
o Fréquence des détentions provisoires dues à la lenteur des procédures judiciaires.
o Rareté des réductions de peines.
Vétusté.
De plus en plus de violences en prison :
o Mauvaise santé physique.
o Toxicomane.
o Suivi médical et psychologique insuffisant.
o Manque d’activités.
o Rupture des liens familiaux.
Augmentation de la délinquance sexuelle et des infractions liés à la toxicomanie.
Suppression de la grâce présidentielle par Sarkozy.
Multiplication des comparutions immédiates.
Limite les visites de l’entourage.
Parloirs espacé.
Conséquences :
Effet traumatisant.
Incompréhension, sentiment d’injustice et d’abandon.
Effondrement moral.
Sentiment de honte et de désespoir.
Suicide.
Inactivités physiques et intellectuels.
Détresse psychologique.
Mineurs : loi respectée avec un recours aux peines de prisons limitées (de courte durée).
Bénéficie d’activités éducatrices, 20h d’enseignements/ semaine.
Détention provisoire : 13 ans.
Sanction éducative : 10 ans.
DATES :
1981 : suppression de la peine de mort en France.
2002 : détention de mineurs de – de 16 ans.
2003 : double peine.
CHIFFRES :
113% de densité carcérale.
59 000 détenus soit 9 000 en surnombre.
15 000 détenus en attente de jugement et 47 000 condamnés.
8 hommes sur 10 rentrent en prison avec des troubles psychiques.
70% des détenus sont impliqués dans une nouvelle condamnation dans les 6 ans qui suivent la remise en liberté.
2009 : 122 suicides en prison.
2009 : 6 centres pénitentiaires pour mineurs ont été construit et 1 pour les adultes.
675 mineurs.
6 000 personnes ont des peines aménagées avec un bracelet électronique ou semi-liberté (travail ou formation).
50% des détenus ont moins de 30 ans.
20% d’origine étrangère.
50% entrant ont au moins 1 maladie.
35% sont toxicomanes.
85% des cellules font 11m3 à 3 personnes.
En sortant :
o 30% sont pas soutenus.
o 60% pas de travail.
o 15% pas de logement.
65 000 personnes incarcérées pour 51 000 places → surpopulation de 200%.
40% des détenus sont des prévenus.
En 20 ans, pop carcérale à augmenter de 60%.
115 détenus se suicident en prison par an.
LOI PENITENTIAIRE 2009 :
Le condamné est sanctionné et nécessite de préparer l’insertion et la réinsertion.
Conseil d’évaluation dans chaque structure.
Réserve civile pénitentiaires.
Dignité des personnes détenues.
Informations aux détenus lors de son admission de ses droits et obligations.
Respect des libertés de conscience d’opinion et de religion.
Obligation d’activité du détenu.
Respect de la vie privée et familiale.
Réglementation des fouilles.
Mineurs : activité à caractère éducatif.
Semi-liberté si travail, vie de famille, traitement médical.
Tte pers mise en examen présumée innocente est libre.
SOLUTIONS :
Peine de substitution : travail d’intérêt général, bracelet électronique, amende, sursis, placement extérieur.
Ouverture de nouvelles prisons.
2002 : Loi Perben : suspension de peine pour raison médicale.
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Re: Fiches culture générale 2012
HOOLIGANISME
Définition :
Dérive extrême du sport.
Violence des foules sportives dans les stades.
Raisons :
L’âge des supporters.
Absence de relation entre clubs de supporters et dirigeant du supporter.
Embourgeoisement de sportifs.
CHIFFRES :
602 interpellations dont 203 dans les stades.
Augmentation de 96%.
572 interdits de stade sur la France.
14 SIR (Section d’Intervention Rapide) pour lutter contre les hooligans.
LOIS :
1993 : violence dans les stades.
Juin 2006 : loi sur la prévention des violences lors des manifestations sportives :
o 5 ans de prison et 75 000€ d’amende.
o Dissolution de tout groupement ou discrimination lors des manifestations sportives.
Lutte :
Modification des infrastructures.
Stadiers pour signaler les troubles.
Condamnation des supporters en infraction.
Définition :
Dérive extrême du sport.
Violence des foules sportives dans les stades.
Raisons :
L’âge des supporters.
Absence de relation entre clubs de supporters et dirigeant du supporter.
Embourgeoisement de sportifs.
CHIFFRES :
602 interpellations dont 203 dans les stades.
Augmentation de 96%.
572 interdits de stade sur la France.
14 SIR (Section d’Intervention Rapide) pour lutter contre les hooligans.
LOIS :
1993 : violence dans les stades.
Juin 2006 : loi sur la prévention des violences lors des manifestations sportives :
o 5 ans de prison et 75 000€ d’amende.
o Dissolution de tout groupement ou discrimination lors des manifestations sportives.
Lutte :
Modification des infrastructures.
Stadiers pour signaler les troubles.
Condamnation des supporters en infraction.
ESI 2013-2016 VILLE EVARD à Neuilly sur Marne (93)