Culture Générale
Modérateurs : Modérateurs, Concours IFSI
Re: Fiches culture générale 2012
Seizième et dernier Thème: Le Sport et les Loisirs
Dans les enquêtes réalisées auprès des français, il apparaît que la pratique sportive correspond principalement à la recherche d'une meilleure condition physique.
En France, les hooligans peuvent être interdits de stade.
1 pratiquant de sport sur 4 fait de la compétition.
L'alcool n'est pas toujours considéré comme dopant.
Une liste est publiée inventoriant les produits dopants interdits en compétition.
Les lois sur la dopage s'appliquent aux professionnels et aux amateurs.
Les pourvoyeurs de substances dopantes peuvent être poursuivies sur le plan judiciaire.
En moyenne, les Français disposent de 3h de temps libre par jour.
Le loisir préféré des français est la télévision.
70% des français partent durant l'année.
Dopage: pratique consistant à absorber des substances ou à utiliser des actes médicaux afin d'augmenter artificiellement ses capacités physiques ou mentales.
Equilibre mental: capacité de s'adapter aux diverses situations de la vie, faites de frustrations et de joies, de moments difficiles à traverser ou de problèmes à résoudre.
Hooliganisme; utilisation de la violence pour peser sur le sort d'une rencontre sportive.
Loisirs: activités que l'on effectue durant le temps libre dont on peut disposer.
Pratique sportive: exercice d'un sport, qui est un ensemble d'exercices, le plus souvent physiques, se pratiquant sous forme de jeux individuels ou collectifs.
Temps libre: s'oppose au temps prescrit, i.e. contraint par les occupations habituelles ou les servitudes qu'elles imposent.
Violence: fiche violence et délinquance.
Dans les enquêtes réalisées auprès des français, il apparaît que la pratique sportive correspond principalement à la recherche d'une meilleure condition physique.
En France, les hooligans peuvent être interdits de stade.
1 pratiquant de sport sur 4 fait de la compétition.
L'alcool n'est pas toujours considéré comme dopant.
Une liste est publiée inventoriant les produits dopants interdits en compétition.
Les lois sur la dopage s'appliquent aux professionnels et aux amateurs.
Les pourvoyeurs de substances dopantes peuvent être poursuivies sur le plan judiciaire.
En moyenne, les Français disposent de 3h de temps libre par jour.
Le loisir préféré des français est la télévision.
70% des français partent durant l'année.
Dopage: pratique consistant à absorber des substances ou à utiliser des actes médicaux afin d'augmenter artificiellement ses capacités physiques ou mentales.
Equilibre mental: capacité de s'adapter aux diverses situations de la vie, faites de frustrations et de joies, de moments difficiles à traverser ou de problèmes à résoudre.
Hooliganisme; utilisation de la violence pour peser sur le sort d'une rencontre sportive.
Loisirs: activités que l'on effectue durant le temps libre dont on peut disposer.
Pratique sportive: exercice d'un sport, qui est un ensemble d'exercices, le plus souvent physiques, se pratiquant sous forme de jeux individuels ou collectifs.
Temps libre: s'oppose au temps prescrit, i.e. contraint par les occupations habituelles ou les servitudes qu'elles imposent.
Violence: fiche violence et délinquance.
DE 2015
IBO en Guadeloupe
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Re: Fiches culture générale 2012
c'est très bien kysa je vais prendre des données d'ailleurs
Se faire battre est excusable,se faire surprendre est inexcusable Napoléon
La sagesse de la vie est toujours plus large et plus profonde que celle des hommes Maxime Gorki
ESI 12/15:S1/S2 validés
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- constance36
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Re: Actualités 2012
Prothèses PIP : Des femmes portent plainte contre l'État
Des femmes, opérées pour des raisons esthétiques, qui ne doivent donc pas être indemnisées, vont porter plainte contre l'État pour discrimination.
Retrait d'une prothèse mammaire PIP
Elles seraient une dizaine à porter plainte contre l'État pour discrimaination, selon une information divulguée jeudi par Europe 1. Pourquoi ce mécontentement ? Parce que ces femmes porteuses d'implants mammaires PIP ont été opérées, mais pour des raisons esthétiques. Et dans ce cas, aucune indemnisation n'est à l'ordre du jour.
En effet, seules les patientes ayant subi une intervention dans le cadre de chirurgies reconstructrices bénéficieront du remboursement de nouvelles prothèses. Du coup, la dizaine de victimes dénoncent une stigmatisation de la chirurgie esthétique. Sur l'antenne d'Europe 1, l'une des plaignantes s'est insurgée.
Problème au niveau des contrôles
Elle craint que cette situation polarise les femmes opérées avec, d'un côté, les « vraies victimes », et de l'autre, « les mauvaise victimes ». Sauf que dans les deux cas, il sera indispensable de retirer les prothèses potentiellement dangereuses, et d'en faire poser de nouvelles. Cette plaignante a expliqué avoir décidé de faire pratiquer l'intervention par « souci d'image ». Elle « souffrait trop d'être extrêmement plate », un complexe « qui avait eu des répercussions sur sa santé morale, dépressions etc... »
Ces femmes considèrent par ailleurs que l'État n'a pas effectué les contrôles comme il aurait dû. Elles se disent très déterminées et prêtes à aller jusqu'au bout pour obtenir satisfaction.
Actu France-Soir
Des femmes, opérées pour des raisons esthétiques, qui ne doivent donc pas être indemnisées, vont porter plainte contre l'État pour discrimination.
Retrait d'une prothèse mammaire PIP
Elles seraient une dizaine à porter plainte contre l'État pour discrimaination, selon une information divulguée jeudi par Europe 1. Pourquoi ce mécontentement ? Parce que ces femmes porteuses d'implants mammaires PIP ont été opérées, mais pour des raisons esthétiques. Et dans ce cas, aucune indemnisation n'est à l'ordre du jour.
En effet, seules les patientes ayant subi une intervention dans le cadre de chirurgies reconstructrices bénéficieront du remboursement de nouvelles prothèses. Du coup, la dizaine de victimes dénoncent une stigmatisation de la chirurgie esthétique. Sur l'antenne d'Europe 1, l'une des plaignantes s'est insurgée.
Problème au niveau des contrôles
Elle craint que cette situation polarise les femmes opérées avec, d'un côté, les « vraies victimes », et de l'autre, « les mauvaise victimes ». Sauf que dans les deux cas, il sera indispensable de retirer les prothèses potentiellement dangereuses, et d'en faire poser de nouvelles. Cette plaignante a expliqué avoir décidé de faire pratiquer l'intervention par « souci d'image ». Elle « souffrait trop d'être extrêmement plate », un complexe « qui avait eu des répercussions sur sa santé morale, dépressions etc... »
Ces femmes considèrent par ailleurs que l'État n'a pas effectué les contrôles comme il aurait dû. Elles se disent très déterminées et prêtes à aller jusqu'au bout pour obtenir satisfaction.
Actu France-Soir
Infirmière depuis le 17/07/2015
En réanimation neurologique
En réanimation neurologique
Re: Actualités 2012
Anti-avortement : La 8e "Marche pour la vie" a lieu ce dimanche 22/01/2012
La huitième marche contre l'avortement, organisée par un collectif d'associations pro-vie, se déroule ce dimanche à Paris. Objectif : interpeller les candidats à la présidentielle. Marine Le Pen reste à distance, tandis que Bruno Gollnisch et Christine Boutin s'associent à la manifestation.
Un foetus interpèle sur son droit à vivre les candidats à la présidentielle (extrait du dossier de presse)
Les militants pro-vie se sont donné rendez-vous ce dimanche 22 janvier à 14h30, place de la République. La huitième « Marche pour la vie » rassemblera des particuliers et des délégations venues d'Europe et d'Afrique ainsi que des hommes politiques, répondant à l'appel du collectif « En marche pour la vie » qui regroupe une quinzaine d'associations. Le cortège traversera la capitale pour rejoindre l'Opéra vers 17h30.
L'abrogation de la loi Veil réclamée
Leur message : « convaincre l'opinion publique de la nécessité d'abolir l'avortement.» Les associations, notamment soutenues par 28 évêques, réclament ainsi « l'abrogation de la loi Veil de 1975 » et le rétablissement du « délit de provocation à l'avortement ».
A moins de 100 jours de la présidentielle, l'objectif est aussi d'interpeller les candidats à l'Élysée. « Quel candidat me laissera vivre ? », questionne ainsi un foetus figurant sur le dossier de presse de l'évènement.
Le FN n'apporte pas son soutien officiel
Marine le Pen, la présidente du Front national (FN) qui s'est dite favorable au déremboursement de l'avortement, a cependant indiqué que « son parti ne soutenait pas officiellement cette manifestation ». Ce qui n'empêchera pas « un certain nombre de cadres et d'élus du FN de s'y rendre », a-t-elle précisé à l'AFP.
Bruno Gollnisch s'associe à la manifestation pro-vie
Le député européen Bruno Gollnisch, qui incarne l'aile dure du FN, a quant à lui apporté son « entier soutien à la Marche pour la vie ». Il regrette néanmoins de ne pas pouvoir y participer en raison de « ses engagements politiques qui le retiennent dans le sud de la France ».
Christine Boutin et Carl Lang se rendront à la marche
En revanche, Christine Boutin, la présidente du Parti chrétien-démocrate (PCD) et candidate à l'élection présidentielle, a annoncé qu'elle se rendrait à cette marche. Tout comme Carl Lang, le leader du Parti de la France (PDF).
La huitième marche contre l'avortement, organisée par un collectif d'associations pro-vie, se déroule ce dimanche à Paris. Objectif : interpeller les candidats à la présidentielle. Marine Le Pen reste à distance, tandis que Bruno Gollnisch et Christine Boutin s'associent à la manifestation.
Un foetus interpèle sur son droit à vivre les candidats à la présidentielle (extrait du dossier de presse)
Les militants pro-vie se sont donné rendez-vous ce dimanche 22 janvier à 14h30, place de la République. La huitième « Marche pour la vie » rassemblera des particuliers et des délégations venues d'Europe et d'Afrique ainsi que des hommes politiques, répondant à l'appel du collectif « En marche pour la vie » qui regroupe une quinzaine d'associations. Le cortège traversera la capitale pour rejoindre l'Opéra vers 17h30.
L'abrogation de la loi Veil réclamée
Leur message : « convaincre l'opinion publique de la nécessité d'abolir l'avortement.» Les associations, notamment soutenues par 28 évêques, réclament ainsi « l'abrogation de la loi Veil de 1975 » et le rétablissement du « délit de provocation à l'avortement ».
A moins de 100 jours de la présidentielle, l'objectif est aussi d'interpeller les candidats à l'Élysée. « Quel candidat me laissera vivre ? », questionne ainsi un foetus figurant sur le dossier de presse de l'évènement.
Le FN n'apporte pas son soutien officiel
Marine le Pen, la présidente du Front national (FN) qui s'est dite favorable au déremboursement de l'avortement, a cependant indiqué que « son parti ne soutenait pas officiellement cette manifestation ». Ce qui n'empêchera pas « un certain nombre de cadres et d'élus du FN de s'y rendre », a-t-elle précisé à l'AFP.
Bruno Gollnisch s'associe à la manifestation pro-vie
Le député européen Bruno Gollnisch, qui incarne l'aile dure du FN, a quant à lui apporté son « entier soutien à la Marche pour la vie ». Il regrette néanmoins de ne pas pouvoir y participer en raison de « ses engagements politiques qui le retiennent dans le sud de la France ».
Christine Boutin et Carl Lang se rendront à la marche
En revanche, Christine Boutin, la présidente du Parti chrétien-démocrate (PCD) et candidate à l'élection présidentielle, a annoncé qu'elle se rendrait à cette marche. Tout comme Carl Lang, le leader du Parti de la France (PDF).
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Re: Actualités 2012
Chromosomes : derniers secrets
Le Point.fr - Publié le 20/01/2012 à 16:22
La façon dont ces supports de l'information génétique se replient interviendrait dans le développement des cancers.
Depuis quatre ans, une vingtaine d'équipes dans le monde tentaient de comprendre le mode de repliement des chromosomes. © SINTESI / SIPA
Le patrimoine génétique d'une personne ne se résume pas à la somme de ses multiples gènes. L'architecture de ses chromosomes, qui portent les gènes, serait aussi un facteur-clé pour le bon fonctionnement des cellules. Cela fait longtemps que les chercheurs en sont persuadés. La preuve vient d'être apportée par Giacomo Cavalli et ses collègues de l'Institut de génétique humaine (CNRS) - en collaboration avec des chercheurs de l'institut Weizmann en Israël. Leurs travaux permettent de mieux comprendre ce qui se passe dans le noyau de nos cellules. Ils ont été publiés dans la version en ligne de la revue Cell du 19 Janvier 2012.
Pour parvenir à ces découvertes, les chercheurs ont figé les contacts à l'intérieur des chromosomes ou entre eux (avec un dérivé du formol qui arrête toute activité cellulaire) avant de déterminer la séquence des gènes (autrement dit chacun des "mots" formés par leurs composants) impliqués dans ces relations. Avec cette technique, ils ont analysé l'ensemble du matériel génétique de la mouche du vinaigre (la drosophile). Cet insecte a un génome quinze fois plus petit que le nôtre. Résultat : l'équipe a pu y identifier 118 millions de zones de contact ! L'analyse de ces dernières leur a permis ensuite d'établir des cartes d'interaction très détaillées.
Cancers
Ces cartes montrent que les chromosomes sont organisés en domaines contenant un ou plusieurs gènes. Ces domaines correspondent soit à des zones actives (avec des gènes qui donnent lieu à la production de protéines), soit à des régions inactives. Grâce aux compétences en mathématiques de l'équipe israélienne d'Amos Tanay, les chercheurs ont pu ensuite développer un modèle informatique capable de prédire assez fidèlement l'architecture, le "repliement" des chromosomes dans les noyaux cellulaires. Depuis quatre ans, une vingtaine d'équipes dans le monde tentaient de mettre au point une technique permettant d'arriver à ce résultat.
Ces travaux indiquent que les domaines inactifs ont tendance à former des contacts avec d'autres domaines inactifs, souvent proches sur le même chromosome, alors que les domaines actifs entrent en contact avec d'autres domaines actifs lointains ou proches et éventuellement sur d'autres chromosomes. Ils vont permettre de mieux comprendre les différences de repliement des chromosomes selon les types de cellules (cellules de foie, de muscle, nerveuse, etc.) et l'importance de cette architecture dans la survenue de cancers.
Le Point.fr - Publié le 20/01/2012 à 16:22
La façon dont ces supports de l'information génétique se replient interviendrait dans le développement des cancers.
Depuis quatre ans, une vingtaine d'équipes dans le monde tentaient de comprendre le mode de repliement des chromosomes. © SINTESI / SIPA
Le patrimoine génétique d'une personne ne se résume pas à la somme de ses multiples gènes. L'architecture de ses chromosomes, qui portent les gènes, serait aussi un facteur-clé pour le bon fonctionnement des cellules. Cela fait longtemps que les chercheurs en sont persuadés. La preuve vient d'être apportée par Giacomo Cavalli et ses collègues de l'Institut de génétique humaine (CNRS) - en collaboration avec des chercheurs de l'institut Weizmann en Israël. Leurs travaux permettent de mieux comprendre ce qui se passe dans le noyau de nos cellules. Ils ont été publiés dans la version en ligne de la revue Cell du 19 Janvier 2012.
Pour parvenir à ces découvertes, les chercheurs ont figé les contacts à l'intérieur des chromosomes ou entre eux (avec un dérivé du formol qui arrête toute activité cellulaire) avant de déterminer la séquence des gènes (autrement dit chacun des "mots" formés par leurs composants) impliqués dans ces relations. Avec cette technique, ils ont analysé l'ensemble du matériel génétique de la mouche du vinaigre (la drosophile). Cet insecte a un génome quinze fois plus petit que le nôtre. Résultat : l'équipe a pu y identifier 118 millions de zones de contact ! L'analyse de ces dernières leur a permis ensuite d'établir des cartes d'interaction très détaillées.
Cancers
Ces cartes montrent que les chromosomes sont organisés en domaines contenant un ou plusieurs gènes. Ces domaines correspondent soit à des zones actives (avec des gènes qui donnent lieu à la production de protéines), soit à des régions inactives. Grâce aux compétences en mathématiques de l'équipe israélienne d'Amos Tanay, les chercheurs ont pu ensuite développer un modèle informatique capable de prédire assez fidèlement l'architecture, le "repliement" des chromosomes dans les noyaux cellulaires. Depuis quatre ans, une vingtaine d'équipes dans le monde tentaient de mettre au point une technique permettant d'arriver à ce résultat.
Ces travaux indiquent que les domaines inactifs ont tendance à former des contacts avec d'autres domaines inactifs, souvent proches sur le même chromosome, alors que les domaines actifs entrent en contact avec d'autres domaines actifs lointains ou proches et éventuellement sur d'autres chromosomes. Ils vont permettre de mieux comprendre les différences de repliement des chromosomes selon les types de cellules (cellules de foie, de muscle, nerveuse, etc.) et l'importance de cette architecture dans la survenue de cancers.
Infirmière depuis le 17/07/2015
En réanimation neurologique
En réanimation neurologique
Re: Actualités 2012
Devant l'afflux de nouveaux utilisateurs, Free Mobile connaît déjà quelques couacs...
Il y a un peu plus d’une semaine, Free faisait son entrée fracassante sur le marché de la téléphonie mobile en proposant notamment des forfaits à prix cassés, à 2 et 19,99 euros par mois (0 et 15,99 euros pour les abonnés Free). La ruée vers ces tarifs alléchants n’a pas tardé, mais tout ne s’est pas toujours passé comme prévu. Contactés par 20 Minutes, de nouveaux utilisateurs racontent leurs fortunes diverses.
La plupart d’entre eux se sont jetés sur les nouveaux forfaits dès leur annonce, le 10 janvier, mais ont dû attendre le lendemain avant d’accéder au site de Free. «Il faut être patient», confie Hugo, qui s’attendait à un tel débordement de l’opérateur. Même constat pour Mathieu, dont la première commande n’a pas été prise en compte: «Je savais qu’ils allaient essuyer les plâtres, c’est classique.»
«Ils ne te disent pas vraiment le délai»
Contrairement à tous nos autres interlocuteurs, ce Parisien de 37 ans n’était pas intéressé que par les prix «défiant toute concurrence», mais par l’usage de la 3G. «Cela ouvre des perspectives, c’est là-dessus que je veux voir comment ça marche.» En attendant, très peu ont reçu leur carte SIM, après plus d’une semaine d’attente.
«Tu peux voir les différentes étapes sur ton compte, mais ils ne te disent pas vraiment le délai», détaille Hugo. C’est ainsi que ce jeune diplômé de 26 ans s’est retrouvé avec sa portabilité (transfert de son numéro d’un opérateur à un autre) effectuée lundi avant même que sa carte SIM ne lui parvienne.
«Aujourd’hui, je me retrouve sans téléphone»
Même problème pour Cora, qui a pris trois abonnements d’un coup, «pour aller plus vite» et remplacer ses lignes professionnelles. «Etant abonnée Free ADSL, je pensais être servie en première, mais aujourd’hui, je me retrouve sans téléphone», explique cette Marseillaise de 36 ans, qui ne peut même plus joindre le service après-vente, que tous nos témoins vouent déjà aux gémonies.
«Je les ai appelés dimanche parce que mon compte utilisateur ne marchait pas, mais ils avaient perdu mon dossier et il leur fallait 48 heures pour le retrouver», raconte Aurèle, qui a ensuite eu toutes les peines du monde à joindre l’opérateur mercredi: «Le temps d’attente était estimé à moins de dix minutes, j’ai attendu une heure et demie avant de raccrocher, puis encore 25 minutes un peu plus tard, alors que l’attente était estimée à moins d’une minute.»
«Il faut savoir ce que tu achètes, ça ne me paraît pas anormal»
Estimant qu’il s’agissait d’une «peine perdue», Agathe préfère attendre sans tenter de joindre le service après-vente, même si elle n’a «plus aucune nouvelle» depuis un message il y a quelques jours lui indiquant que sa carte SIM lui avait été envoyée. Cela «choque un peu» cette Rennaise de 29 ans, également étonnée du mode d’engagement: «A part un RIB, on ne me demande aucun justificatif, aucune demande de prélèvement, je n’ai rien signé.» Pour Agathe, c’est donc «le flou artistique». Et de prévenir: «S’ils me demandent tout après, je laisse tomber, j’annule tout.»
Cependant, malgré l’impatience et la colère de certains, les autres finissent par relativiser. «Cela m’a gonflé sur le moment, j’étais super aigri, mais il y a tellement de gens qui appellent», tempère Aurèle. De son côté, Cora ne «regrettera pas si ça marche bien». Pour Mathieu, qui peut «rester une semaine sans être joignable», «il faut savoir ce que tu achètes, ça ne me paraît pas anormal.»
Corentin Chauvel
20minutes
Il y a un peu plus d’une semaine, Free faisait son entrée fracassante sur le marché de la téléphonie mobile en proposant notamment des forfaits à prix cassés, à 2 et 19,99 euros par mois (0 et 15,99 euros pour les abonnés Free). La ruée vers ces tarifs alléchants n’a pas tardé, mais tout ne s’est pas toujours passé comme prévu. Contactés par 20 Minutes, de nouveaux utilisateurs racontent leurs fortunes diverses.
La plupart d’entre eux se sont jetés sur les nouveaux forfaits dès leur annonce, le 10 janvier, mais ont dû attendre le lendemain avant d’accéder au site de Free. «Il faut être patient», confie Hugo, qui s’attendait à un tel débordement de l’opérateur. Même constat pour Mathieu, dont la première commande n’a pas été prise en compte: «Je savais qu’ils allaient essuyer les plâtres, c’est classique.»
«Ils ne te disent pas vraiment le délai»
Contrairement à tous nos autres interlocuteurs, ce Parisien de 37 ans n’était pas intéressé que par les prix «défiant toute concurrence», mais par l’usage de la 3G. «Cela ouvre des perspectives, c’est là-dessus que je veux voir comment ça marche.» En attendant, très peu ont reçu leur carte SIM, après plus d’une semaine d’attente.
«Tu peux voir les différentes étapes sur ton compte, mais ils ne te disent pas vraiment le délai», détaille Hugo. C’est ainsi que ce jeune diplômé de 26 ans s’est retrouvé avec sa portabilité (transfert de son numéro d’un opérateur à un autre) effectuée lundi avant même que sa carte SIM ne lui parvienne.
«Aujourd’hui, je me retrouve sans téléphone»
Même problème pour Cora, qui a pris trois abonnements d’un coup, «pour aller plus vite» et remplacer ses lignes professionnelles. «Etant abonnée Free ADSL, je pensais être servie en première, mais aujourd’hui, je me retrouve sans téléphone», explique cette Marseillaise de 36 ans, qui ne peut même plus joindre le service après-vente, que tous nos témoins vouent déjà aux gémonies.
«Je les ai appelés dimanche parce que mon compte utilisateur ne marchait pas, mais ils avaient perdu mon dossier et il leur fallait 48 heures pour le retrouver», raconte Aurèle, qui a ensuite eu toutes les peines du monde à joindre l’opérateur mercredi: «Le temps d’attente était estimé à moins de dix minutes, j’ai attendu une heure et demie avant de raccrocher, puis encore 25 minutes un peu plus tard, alors que l’attente était estimée à moins d’une minute.»
«Il faut savoir ce que tu achètes, ça ne me paraît pas anormal»
Estimant qu’il s’agissait d’une «peine perdue», Agathe préfère attendre sans tenter de joindre le service après-vente, même si elle n’a «plus aucune nouvelle» depuis un message il y a quelques jours lui indiquant que sa carte SIM lui avait été envoyée. Cela «choque un peu» cette Rennaise de 29 ans, également étonnée du mode d’engagement: «A part un RIB, on ne me demande aucun justificatif, aucune demande de prélèvement, je n’ai rien signé.» Pour Agathe, c’est donc «le flou artistique». Et de prévenir: «S’ils me demandent tout après, je laisse tomber, j’annule tout.»
Cependant, malgré l’impatience et la colère de certains, les autres finissent par relativiser. «Cela m’a gonflé sur le moment, j’étais super aigri, mais il y a tellement de gens qui appellent», tempère Aurèle. De son côté, Cora ne «regrettera pas si ça marche bien». Pour Mathieu, qui peut «rester une semaine sans être joignable», «il faut savoir ce que tu achètes, ça ne me paraît pas anormal.»
Corentin Chauvel
20minutes
Dernière modification par kysa le 22 janv. 2012 09:59, modifié 1 fois.
DE 2015
IBO en Guadeloupe
IBO en Guadeloupe
Re: Actualités 2012
Après le site le plus connu au monde de direct download et son alter ego pour le streaming, MegaVideo, d'autres, qui fonctionnent sur le même principe, sont menacés. Petit tour d'horizon...
Le direct download et le streaming bientôt totalement à terre? Megaupload, ainsi que Megavideo appartenant au même groupe, ont été rendus inaccessibles jeudi par la justice américaine, conséquence de poursuites contre plusieurs responsables du site après une opération pilotée par le FBI. «20 Minutes» fait le tour des sites qui fonctionnent de la même façon, et qui pourraient bientôt se trouver sous le coup de la justice française ou américaine.
Direct download
RapidShare
MegaUpload down, RapidShare devient le site le plus connu pour le direct download (les internautes récupèrent des fichiers mis en ligne par d’autres sur les serveurs du site en cliquant sur un simple lien). Il faut simplement s’inscrire - gratuitement – pour pouvoir uploader des fichiers sans restriction de taille. Comme sur MegaUpload, il est possible de souscrire à un abonnement ( «RapidPro », de 9,99€ pour un mois à 99,90€ pour deux ans) pour accélerer la vitesse de téléchargement, ainsi que pour obtenir un cryptage de ses téléchargement et de ses fichiers stockés.
Fileserve
Même principe que pour le précédents, Fileserve propose lui aussi d’uploader, stocker et télécharger des fichiers. Dans sa version «anonyme», c’est-à-dire sans enregistrement, le site n’offre aucune possibilité de stockage, mais permet d’effectuer des uploads, dans la limite d’1GB chaque. Une version avec identification gratuite permet en plus d’avoir 500GB de stockage et une conservation des fichiers sur les serveurs du site 60 jours. Dans sa version «Premium», les uploads sont plus rapides et limités à 2GB, et les fichiers uploadés sont stockés indéfiniement.
MediaFire
Encore plus simple, Mediafire propose de rendre le cloud computing encore plus facile. Le site propose d’uploader de la façon la plus simple possible: le «drag-and-drop». Chaque upload ne doit pas excéder 200MB dans la version gratuite, et 4GB dans sa version payante pour les particuliers (9$ par mois, soit 6,96€). En revanche, il ne faut que 30 secondes pour se créer un compte, et l’enregistrement n’est pas obligatoire pour télécharger ou uploader.
Streaming
VidéoBB
En version gratuite, VideoBB permet, comme MegaVideo, de visionner en ligne des vidéos, mais dans la limite de 72 minutes. En version payante (9,99€ par mois à 59,99 par an), l’avantage permet de visionner les vidéos sans limite de temps, sans publicité et avec une meilleure qualité.
Mixture
Site de streaming à l’origine, Mixture a développé un système complet de cloud computing. Désormais, il est possible de visionner des vidéos (dans la limite de 40 minutes pour la version gratuite), mais aussi de conserver fichiers audio, image ou documents. La version gratuite permet de stocker 30GB de fichiers, alors que la payante (de 9,99 par mois à 93,60€ pour deux ans) permet un stockage illimité.
Bérénice Dubuc
20minutes
Le direct download et le streaming bientôt totalement à terre? Megaupload, ainsi que Megavideo appartenant au même groupe, ont été rendus inaccessibles jeudi par la justice américaine, conséquence de poursuites contre plusieurs responsables du site après une opération pilotée par le FBI. «20 Minutes» fait le tour des sites qui fonctionnent de la même façon, et qui pourraient bientôt se trouver sous le coup de la justice française ou américaine.
Direct download
RapidShare
MegaUpload down, RapidShare devient le site le plus connu pour le direct download (les internautes récupèrent des fichiers mis en ligne par d’autres sur les serveurs du site en cliquant sur un simple lien). Il faut simplement s’inscrire - gratuitement – pour pouvoir uploader des fichiers sans restriction de taille. Comme sur MegaUpload, il est possible de souscrire à un abonnement ( «RapidPro », de 9,99€ pour un mois à 99,90€ pour deux ans) pour accélerer la vitesse de téléchargement, ainsi que pour obtenir un cryptage de ses téléchargement et de ses fichiers stockés.
Fileserve
Même principe que pour le précédents, Fileserve propose lui aussi d’uploader, stocker et télécharger des fichiers. Dans sa version «anonyme», c’est-à-dire sans enregistrement, le site n’offre aucune possibilité de stockage, mais permet d’effectuer des uploads, dans la limite d’1GB chaque. Une version avec identification gratuite permet en plus d’avoir 500GB de stockage et une conservation des fichiers sur les serveurs du site 60 jours. Dans sa version «Premium», les uploads sont plus rapides et limités à 2GB, et les fichiers uploadés sont stockés indéfiniement.
MediaFire
Encore plus simple, Mediafire propose de rendre le cloud computing encore plus facile. Le site propose d’uploader de la façon la plus simple possible: le «drag-and-drop». Chaque upload ne doit pas excéder 200MB dans la version gratuite, et 4GB dans sa version payante pour les particuliers (9$ par mois, soit 6,96€). En revanche, il ne faut que 30 secondes pour se créer un compte, et l’enregistrement n’est pas obligatoire pour télécharger ou uploader.
Streaming
VidéoBB
En version gratuite, VideoBB permet, comme MegaVideo, de visionner en ligne des vidéos, mais dans la limite de 72 minutes. En version payante (9,99€ par mois à 59,99 par an), l’avantage permet de visionner les vidéos sans limite de temps, sans publicité et avec une meilleure qualité.
Mixture
Site de streaming à l’origine, Mixture a développé un système complet de cloud computing. Désormais, il est possible de visionner des vidéos (dans la limite de 40 minutes pour la version gratuite), mais aussi de conserver fichiers audio, image ou documents. La version gratuite permet de stocker 30GB de fichiers, alors que la payante (de 9,99 par mois à 93,60€ pour deux ans) permet un stockage illimité.
Bérénice Dubuc
20minutes
DE 2015
IBO en Guadeloupe
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Re: Actualités 2012
Peut-on se fier à la médecine 2.0 ?
Le Point.fr - Publié le 21/01/2012 à 13:04 - Modifié le 22/01/2012 à 01:13
Muni d'un téléphone intelligent, bardé d'applis dédiées à la santé, connecté à des médecins en ligne, notre corps est-il entre de bonnes mains ?
De nouveaux sites proposent de mettre en relation des médecins et des internautes anxieux. © Jaubert / Sipa
Une petite tache sur la peau ? Pas d'inquiétude : pour 4 euros, photographiez vos grains de beauté, le téléphone analyse leur risque d'évolution en mélanome. Vous voulez savoir pourquoi vous avez des ganglions dans la gorge ? Quelques euros et vous voilà rassuré. Ou pas. Quant à votre vue qui baisse : rien de plus simple. Une carte de crédit et vous voilà face à votre écran de téléphone comme devant un ophtalmo en train de lire les lettres "ZRTLVA" de l'oeil droit... Depuis quelques mois, des dizaines d'applications de conseils médicaux fleurissent.
Et c'est devenu un vrai business. Wengo, l'un des leaders français du conseil par téléphone (soutien scolaire, soutien juridique, etc.), est ainsi l'un des premiers à s'être lancé dans l'aventure de la médecine, avec "Wengo santé", qui propose une mise en relation avec "des médecins, inscrits au Conseil de l'ordre des médecins". Rassurant. Le site précise tout de même que "la conversation avec le professionnel de santé ne peut en aucun cas se substituer à une consultation avec votre médecin traitant". Encore heureux ! Car il ne s'agit pas de médecine, mais bien de conseil.
Conseiller n'est pas prescrire
La loi est stricte. Pour lutter contre la désertification médicale ou pour permettre un meilleur accès de certains patients à des prestations de santé spécialisées, la télémédecine a été encouragée, révolutionnant le diagnostic, la prise en charge et le traitement des malades isolés. L'utilisation des nouvelles technologies pour mettre en relation des patients et des médecins est encadrée par un décret depuis le mois d'octobre 2010 : sont ainsi considérées comme "actes de télémédecine" la téléconsultation, la téléexpertise, la télésurveillance médicale et la téléassistance médicale encadrées par des médecins. Mais en matière de conseil, c'est le vide juridique. Les fournisseurs de service ont donc sauté sur l'occasion.
Quelle différence entre le "téléconseil" et les forums en ligne, où l'on trouve toutes sortes de recommandations ? "On y glane effectivement le même genre d'informations, auxquelles on ne peut pas vraiment se fier", note le docteur Urbejtel, de MG France, le premier syndicat de médecins généralistes. "Que ce soit sur l'un ou l'autre des supports, on n'est pas certain d'obtenir deux fois de suite la même réponse, et il faudra de toute façon consulter son docteur."
En revanche, l'une des différences bien réelles avec les forums, c'est le prix. Car ces "consultations" - comme elles sont souvent appelées - sont payantes. Le dernier-né des sites de téléconseil, Francemedecin.fr, qui a vu le jour en décembre, propose ainsi de donner des recommandations aux internautes sans qu'ils aient à se déplacer. Pour profiter de ce service, rien de plus simple : il suffit de s'inscrire, d'enregistrer sa question et d'entrer la tranche horaire à laquelle le médecin pourra rappeler, éventuellement de joindre à leur "dossier" des documents médicaux (radio, ordonnance, résultats d'analyse) et... de payer : 3 euros la minute par téléphone, 13 euros par conseil envoyé par e-mail.
Dérive ?
"Si le patient n'oublie pas d'aller consulter son médecin in fine, il n'y a pas de risque. Sauf réelle urgence, comme un infarctus par exemple, le téléconseil rend les mêmes services qu'un livre", constate le docteur Urbejtel. "D'ailleurs, nos grands-mères avaient le Larousse médical pour parer à leurs angoisses, notre époque donne priorité à l'interactivité." Et certaines applications ne jouent d'ailleurs pas d'autre rôle que celui d'un livre, comme celles qui aident les patients à s'organiser et à suivre rigoureusement leurs traitements (contre le diabète, par exemple) ou ces logiciels, utiles en voyage, de "traducteurs de médicaments", qui permettent de connaître le nom des remèdes à l'étranger.
Avec le vieillissement de la population, le marché du "conseil" sur Internet ou par smartphone a donc de beaux jours devant lui. Et pour cause : chez les plus de 60 ans, l'intérêt pour les nouvelles technologies explose. Mais certains s'inquiètent d'une possible dérive tant que la loi reste floue : faut-il encadrer les "conseils" médicaux ? Comment contrecarrer les influences commerciales, et notamment celle des laboratoires pharmaceutiques ? Comment faire la chasse aux charlatans ? Armé de téléphones qui peuvent sauver la vie, et de conseillers en ligne à même de nous transformer en apprentis-docteurs, notre corps n'est pas forcément entre de mauvaises mains, du moins, tant qu'on a la santé...
Le Point.fr - Publié le 21/01/2012 à 13:04 - Modifié le 22/01/2012 à 01:13
Muni d'un téléphone intelligent, bardé d'applis dédiées à la santé, connecté à des médecins en ligne, notre corps est-il entre de bonnes mains ?
De nouveaux sites proposent de mettre en relation des médecins et des internautes anxieux. © Jaubert / Sipa
Une petite tache sur la peau ? Pas d'inquiétude : pour 4 euros, photographiez vos grains de beauté, le téléphone analyse leur risque d'évolution en mélanome. Vous voulez savoir pourquoi vous avez des ganglions dans la gorge ? Quelques euros et vous voilà rassuré. Ou pas. Quant à votre vue qui baisse : rien de plus simple. Une carte de crédit et vous voilà face à votre écran de téléphone comme devant un ophtalmo en train de lire les lettres "ZRTLVA" de l'oeil droit... Depuis quelques mois, des dizaines d'applications de conseils médicaux fleurissent.
Et c'est devenu un vrai business. Wengo, l'un des leaders français du conseil par téléphone (soutien scolaire, soutien juridique, etc.), est ainsi l'un des premiers à s'être lancé dans l'aventure de la médecine, avec "Wengo santé", qui propose une mise en relation avec "des médecins, inscrits au Conseil de l'ordre des médecins". Rassurant. Le site précise tout de même que "la conversation avec le professionnel de santé ne peut en aucun cas se substituer à une consultation avec votre médecin traitant". Encore heureux ! Car il ne s'agit pas de médecine, mais bien de conseil.
Conseiller n'est pas prescrire
La loi est stricte. Pour lutter contre la désertification médicale ou pour permettre un meilleur accès de certains patients à des prestations de santé spécialisées, la télémédecine a été encouragée, révolutionnant le diagnostic, la prise en charge et le traitement des malades isolés. L'utilisation des nouvelles technologies pour mettre en relation des patients et des médecins est encadrée par un décret depuis le mois d'octobre 2010 : sont ainsi considérées comme "actes de télémédecine" la téléconsultation, la téléexpertise, la télésurveillance médicale et la téléassistance médicale encadrées par des médecins. Mais en matière de conseil, c'est le vide juridique. Les fournisseurs de service ont donc sauté sur l'occasion.
Quelle différence entre le "téléconseil" et les forums en ligne, où l'on trouve toutes sortes de recommandations ? "On y glane effectivement le même genre d'informations, auxquelles on ne peut pas vraiment se fier", note le docteur Urbejtel, de MG France, le premier syndicat de médecins généralistes. "Que ce soit sur l'un ou l'autre des supports, on n'est pas certain d'obtenir deux fois de suite la même réponse, et il faudra de toute façon consulter son docteur."
En revanche, l'une des différences bien réelles avec les forums, c'est le prix. Car ces "consultations" - comme elles sont souvent appelées - sont payantes. Le dernier-né des sites de téléconseil, Francemedecin.fr, qui a vu le jour en décembre, propose ainsi de donner des recommandations aux internautes sans qu'ils aient à se déplacer. Pour profiter de ce service, rien de plus simple : il suffit de s'inscrire, d'enregistrer sa question et d'entrer la tranche horaire à laquelle le médecin pourra rappeler, éventuellement de joindre à leur "dossier" des documents médicaux (radio, ordonnance, résultats d'analyse) et... de payer : 3 euros la minute par téléphone, 13 euros par conseil envoyé par e-mail.
Dérive ?
"Si le patient n'oublie pas d'aller consulter son médecin in fine, il n'y a pas de risque. Sauf réelle urgence, comme un infarctus par exemple, le téléconseil rend les mêmes services qu'un livre", constate le docteur Urbejtel. "D'ailleurs, nos grands-mères avaient le Larousse médical pour parer à leurs angoisses, notre époque donne priorité à l'interactivité." Et certaines applications ne jouent d'ailleurs pas d'autre rôle que celui d'un livre, comme celles qui aident les patients à s'organiser et à suivre rigoureusement leurs traitements (contre le diabète, par exemple) ou ces logiciels, utiles en voyage, de "traducteurs de médicaments", qui permettent de connaître le nom des remèdes à l'étranger.
Avec le vieillissement de la population, le marché du "conseil" sur Internet ou par smartphone a donc de beaux jours devant lui. Et pour cause : chez les plus de 60 ans, l'intérêt pour les nouvelles technologies explose. Mais certains s'inquiètent d'une possible dérive tant que la loi reste floue : faut-il encadrer les "conseils" médicaux ? Comment contrecarrer les influences commerciales, et notamment celle des laboratoires pharmaceutiques ? Comment faire la chasse aux charlatans ? Armé de téléphones qui peuvent sauver la vie, et de conseillers en ligne à même de nous transformer en apprentis-docteurs, notre corps n'est pas forcément entre de mauvaises mains, du moins, tant qu'on a la santé...
Infirmière depuis le 17/07/2015
En réanimation neurologique
En réanimation neurologique
Re: Actualités 2012
ECONOMIE - La souplesse de navigation pousse à la consommation...
Les sites d’e-commerce ont trouvé leurs poules aux œufs d’or. Pour les achats en ligne, les utilisateurs de tablettes sont les internautes les plus rentables. Ils ont dépensé 21% de plus par achat que les utilisateurs d'ordinateurs fixes et portables et même 54 % de plus que les détenteurs de smartphones, selon une étude menée par Adobe aux Etats-Unis auprès de 150 cybermarchands.
Pourquoi une telle différence selon les supports? Selon Adobe, les propriétaires d’une tablette ont des revenus supérieurs aux autres acheteurs en ligne et ils l’utilisent davantage le week-end, quand ils ont donc plus de temps pour faire leurs courses en ligne. La souplesse de navigation d’une tablette pousse aussi à la consommation.
L’an dernier, ils dépensaient en moyenne 123 dollars à chaque achat contre 102 dollars pour les acheteurs sur PC et 80 dollars pour ceux d’un smartphone.
«Les résultats de cette étude indiquent que les tablettes sont devenues un canal incontournable que les professionnels du marketing doivent aborder de front. Il est important d'optimiser la stratégie de vente en ligne pour les tablettes en 2012 afin de ne pas négliger un segment de clientèle en pleine croissance et extrêmement rentable», avance Brad Rencher, senior vice president et general manager, Adobe Digital Marketing Business.
En effet, 4% des visites sur les sites d’e-commerce se font aujourd’hui depuis une tablette, contre seulement 1% il y a un an.
M.B.
20minutes
Les sites d’e-commerce ont trouvé leurs poules aux œufs d’or. Pour les achats en ligne, les utilisateurs de tablettes sont les internautes les plus rentables. Ils ont dépensé 21% de plus par achat que les utilisateurs d'ordinateurs fixes et portables et même 54 % de plus que les détenteurs de smartphones, selon une étude menée par Adobe aux Etats-Unis auprès de 150 cybermarchands.
Pourquoi une telle différence selon les supports? Selon Adobe, les propriétaires d’une tablette ont des revenus supérieurs aux autres acheteurs en ligne et ils l’utilisent davantage le week-end, quand ils ont donc plus de temps pour faire leurs courses en ligne. La souplesse de navigation d’une tablette pousse aussi à la consommation.
L’an dernier, ils dépensaient en moyenne 123 dollars à chaque achat contre 102 dollars pour les acheteurs sur PC et 80 dollars pour ceux d’un smartphone.
«Les résultats de cette étude indiquent que les tablettes sont devenues un canal incontournable que les professionnels du marketing doivent aborder de front. Il est important d'optimiser la stratégie de vente en ligne pour les tablettes en 2012 afin de ne pas négliger un segment de clientèle en pleine croissance et extrêmement rentable», avance Brad Rencher, senior vice president et general manager, Adobe Digital Marketing Business.
En effet, 4% des visites sur les sites d’e-commerce se font aujourd’hui depuis une tablette, contre seulement 1% il y a un an.
M.B.
20minutes
DE 2015
IBO en Guadeloupe
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Re: Entraînement culture générale 2012
Salut Kysa!!kysa a écrit :Moi je veux bien participer à tes question mouchou, c'est toujours bon à prendre
Par quel thème on commence?je dois les avoir à peu près tous...
J'ai décidé d'être heureuse parce que c'est bon pour la santé !
Bordeaux;28ième sur LC
Lannion:admise!!!
Bordeaux;28ième sur LC
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- constance36
- Forcené
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- Inscription : 09 janv. 2012 10:34
Re: Actualités 2012
L'épidémie de gastro-entérite est confirmée
Le Point.fr - Publié le 18/01/2012 à 12:01
Plus de 389 000 personnes ont déjà consulté leur médecin en deux semaines.
Le seuil épidémique a été franchi pour la deuxième semaine consécutive en France métropolitaine. © Anne-Christine Poujoulat / AFP
Le début de l'épidémie de gastro-entérite se confirme en France métropolitaine, avec en deux semaines 389 000 personnes qui ont déjà consulté leur médecin généraliste pour ce motif, selon le réseau de surveillance Sentinelles-Inserm. Le niveau des cas devrait continuer à augmenter cette semaine, prévoit le réseau. En métropole, la semaine dernière, les nouveaux cas de diarrhée aiguë vus en consultation de médecine générale ont été estimés à 315 pour 100 000 habitants - soit 200 000 nouveaux cas -, au-dessus du seuil épidémique (283 cas pour 100 000 habitants) pour la seconde semaine consécutive, note le réseau dans son dernier bulletin.
"Ceci confirme l'arrivée de l'épidémie de gastro-entérite en France métropolitaine", dont le début daterait du 2 janvier, ajoutent les responsables de Sentinelles. Pour détecter ces épidémies de diarrhée aiguë, les épidémiologistes utilisent un second modèle de détection qui repose sur les ventes de quatre classes familles de médicaments (antidiarrhéiques "absorbant" ou non, antinauséeux, et inhibiteurs de la motilité intestinale) fournies par la société IMS Health.
La semaine dernière, deux de ces quatre classes de médicaments ont atteint un seuil de vente correspondant à un niveau épidémique. Ce qui renforce la confirmation de l'épidémie. Les régions les plus touchées la semaine dernière étaient la Provence-Alpes-Côte d'Azur (579 cas pour 100 000 habitants), le Limousin (501), la Haute-Normandie (497), la Champagne-Ardenne (448) et le Nord-Pas-de-Calais (442). L'âge médian des cas était de 25 ans (de 4 mois à 87 ans). Le pourcentage d'hospitalisation a été estimé à 0,3 % par le réseau qui n'a pas relevé de tableaux cliniques présentant des signes particuliers de gravité. Les médecins rappellent que les lavages répétés des mains constituent une arme efficace contre la propagation des germes responsables de ce type d'épidémie.
Le Point.fr - Publié le 18/01/2012 à 12:01
Plus de 389 000 personnes ont déjà consulté leur médecin en deux semaines.
Le seuil épidémique a été franchi pour la deuxième semaine consécutive en France métropolitaine. © Anne-Christine Poujoulat / AFP
Le début de l'épidémie de gastro-entérite se confirme en France métropolitaine, avec en deux semaines 389 000 personnes qui ont déjà consulté leur médecin généraliste pour ce motif, selon le réseau de surveillance Sentinelles-Inserm. Le niveau des cas devrait continuer à augmenter cette semaine, prévoit le réseau. En métropole, la semaine dernière, les nouveaux cas de diarrhée aiguë vus en consultation de médecine générale ont été estimés à 315 pour 100 000 habitants - soit 200 000 nouveaux cas -, au-dessus du seuil épidémique (283 cas pour 100 000 habitants) pour la seconde semaine consécutive, note le réseau dans son dernier bulletin.
"Ceci confirme l'arrivée de l'épidémie de gastro-entérite en France métropolitaine", dont le début daterait du 2 janvier, ajoutent les responsables de Sentinelles. Pour détecter ces épidémies de diarrhée aiguë, les épidémiologistes utilisent un second modèle de détection qui repose sur les ventes de quatre classes familles de médicaments (antidiarrhéiques "absorbant" ou non, antinauséeux, et inhibiteurs de la motilité intestinale) fournies par la société IMS Health.
La semaine dernière, deux de ces quatre classes de médicaments ont atteint un seuil de vente correspondant à un niveau épidémique. Ce qui renforce la confirmation de l'épidémie. Les régions les plus touchées la semaine dernière étaient la Provence-Alpes-Côte d'Azur (579 cas pour 100 000 habitants), le Limousin (501), la Haute-Normandie (497), la Champagne-Ardenne (448) et le Nord-Pas-de-Calais (442). L'âge médian des cas était de 25 ans (de 4 mois à 87 ans). Le pourcentage d'hospitalisation a été estimé à 0,3 % par le réseau qui n'a pas relevé de tableaux cliniques présentant des signes particuliers de gravité. Les médecins rappellent que les lavages répétés des mains constituent une arme efficace contre la propagation des germes responsables de ce type d'épidémie.
Infirmière depuis le 17/07/2015
En réanimation neurologique
En réanimation neurologique
Re: Entraînement culture générale 2012
J'ai limite envie de suivre l'ordre de mes fiches dans mon bouquin (MegaGuide chez Masson), comme ça y'aura un fil conducteur. Si tu es ok, je ferais la liste dans l'ordre pour commencer les exercices 

DE 2015
IBO en Guadeloupe
IBO en Guadeloupe
Re: Entraînement culture générale 2012
0k ça me va!
Je n'ai pas ce livre mais apparemment il est super!
...c'est parti pour ta ptite liste!
Je n'ai pas ce livre mais apparemment il est super!
...c'est parti pour ta ptite liste!

J'ai décidé d'être heureuse parce que c'est bon pour la santé !
Bordeaux;28ième sur LC
Lannion:admise!!!
Bordeaux;28ième sur LC
Lannion:admise!!!
Re: Entraînement culture générale 2012
Oui moi je le trouve super bien fait et plutôt complet 
1- La protection sociale et ses institutions
2- Les enjeux de la protection sociale
3- L'hôpital
4- La prévention
5- Les risques sanitaires et l'hygiène individuelle
6- L'hygiène alimentaire
7- Nutrition, santé et société
8- Les maladies évitables
9- Les accidents et les morts violentes
10- Les drogues licites
11- Les drogues illicites
12- Les autres dépendances
13- Le handicap
14- Ethique et pratiques médicales à l'occasion de la conception de la naissance
15- Ethique et pratiques médicales en cours et en fin de vie
16- Ethique et recherche médicale
17- La démographie française
18- Le vieillissement démographique
19- Environnement et santé
20- Villes et banlieues
21- Les familles sociologiques contemporaines
22- Les rôles de la famille
23- L'enfance
24- L'adolescence
25- L'homme et la femme
26- La personne âgée
27- Les différentes manifestations de la citoyenneté
28- Les atteintes à la citoyenneté
29- La lutte contre les discriminations
30- Les violences institutionnelles et familiales
31- Les violences juvéniles et scolaires
32- La violence internationale
33- Le travail
34- La souffrance au travail
35- Sport, santé et déviances du sport
36- Les loisirs
Comme certaines fiches regroupent plusieurs sous thème on peut se dire d'essayer de faire 3 exercices par fiche, qu'en penses-tu?

1- La protection sociale et ses institutions
2- Les enjeux de la protection sociale
3- L'hôpital
4- La prévention
5- Les risques sanitaires et l'hygiène individuelle
6- L'hygiène alimentaire
7- Nutrition, santé et société
8- Les maladies évitables
9- Les accidents et les morts violentes
10- Les drogues licites
11- Les drogues illicites
12- Les autres dépendances
13- Le handicap
14- Ethique et pratiques médicales à l'occasion de la conception de la naissance
15- Ethique et pratiques médicales en cours et en fin de vie
16- Ethique et recherche médicale
17- La démographie française
18- Le vieillissement démographique
19- Environnement et santé
20- Villes et banlieues
21- Les familles sociologiques contemporaines
22- Les rôles de la famille
23- L'enfance
24- L'adolescence
25- L'homme et la femme
26- La personne âgée
27- Les différentes manifestations de la citoyenneté
28- Les atteintes à la citoyenneté
29- La lutte contre les discriminations
30- Les violences institutionnelles et familiales
31- Les violences juvéniles et scolaires
32- La violence internationale
33- Le travail
34- La souffrance au travail
35- Sport, santé et déviances du sport
36- Les loisirs
Comme certaines fiches regroupent plusieurs sous thème on peut se dire d'essayer de faire 3 exercices par fiche, qu'en penses-tu?
DE 2015
IBO en Guadeloupe
IBO en Guadeloupe
Re: Entraînement culture générale 2012
Oui ça ferai un bon entrainement!
Par contre je ne sais pas si j'aurai assez de questions,enfin d'exercices,tu en as aussi toi?Ton livre c'est le nouveau qui vient de sortir en janvier?
La plupart des questions que j'ai sont pour des réponses de 10 15lignes,sinon j'ai aussi des petites questions qui sont plus des contrôles de connaissances(pour voir si on connait bien nos fiches,je trouve ça pas mal aussi
).
Par contre je ne sais pas si j'aurai assez de questions,enfin d'exercices,tu en as aussi toi?Ton livre c'est le nouveau qui vient de sortir en janvier?
La plupart des questions que j'ai sont pour des réponses de 10 15lignes,sinon j'ai aussi des petites questions qui sont plus des contrôles de connaissances(pour voir si on connait bien nos fiches,je trouve ça pas mal aussi

J'ai décidé d'être heureuse parce que c'est bon pour la santé !
Bordeaux;28ième sur LC
Lannion:admise!!!
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