Culture Générale
Modérateurs : Modérateurs, Concours IFSI
Re: Entraînement culture générale 2012
Pour l'exo sur l'hopital j'essayerais d'y répondre demain, mais grosse journée à la fac, donc je verrais.
Sinon je me suis inscrite pour un stage intensif pendant les vacances d'hiver donc j'espère que ca m'aidera pour les pistes en culture G, et pour l'oral
normalement j'ai une réponse la semaine prochaine 
Sinon je me suis inscrite pour un stage intensif pendant les vacances d'hiver donc j'espère que ca m'aidera pour les pistes en culture G, et pour l'oral


DE 2015
IBO en Guadeloupe
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Re: Actualités 2012
14 millions de vaccins anti-tétaniques
Publié le 20/01/2012, 16h03 par Audrey Achekian
Tel est le nombre de vaccins contre le tétanos qui ont été financés grâce aux opérations proposées par Pampers "1 paquet de couches = 1 vaccin" et "1 like sur Facebook = 1 vaccin". Un bilan plus que positif !
Du 1er novembre au 31 décembre derniers, Pampers lançait son opération "1 paquet de couches = 1 vaccin" ou "1 like sur Facebook = 1 vaccin"pour aider les familles à lutter contre le tétanos.
Cette maladie infectieuse, souvent mortelle, est transmise aux mamans et aux enfants par une plaie profonde ou légère. Elle est souvent contractée par les nourrissons via le cordon ombilical, faute d'accès à des conditions d'hygiènes adéquates.
Des dons concrets !
Votre participation à l'opération Pampers a permis de financer 14 millions de vaccins anti-tétaniques en France. Un joli résultat lorsqu'on sait qu'il y a 5 ans, un bébé mourait du tétanos toutes les 3 minutes dans le monde. Aujourd'hui, ce chiffre est passé à 9 minutes. En tout, 150 millions de mamans et d'enfants ont été vaccinés donc protégés de ce fléau.
Pour continuer à faire baisser ces statistiques, vous pouvez toujours adresser vos dons à l'Unicef.
Audrey Achekian, Journal des Femmes
Publié le 20/01/2012, 16h03 par Audrey Achekian
Tel est le nombre de vaccins contre le tétanos qui ont été financés grâce aux opérations proposées par Pampers "1 paquet de couches = 1 vaccin" et "1 like sur Facebook = 1 vaccin". Un bilan plus que positif !
Du 1er novembre au 31 décembre derniers, Pampers lançait son opération "1 paquet de couches = 1 vaccin" ou "1 like sur Facebook = 1 vaccin"pour aider les familles à lutter contre le tétanos.
Cette maladie infectieuse, souvent mortelle, est transmise aux mamans et aux enfants par une plaie profonde ou légère. Elle est souvent contractée par les nourrissons via le cordon ombilical, faute d'accès à des conditions d'hygiènes adéquates.
Des dons concrets !
Votre participation à l'opération Pampers a permis de financer 14 millions de vaccins anti-tétaniques en France. Un joli résultat lorsqu'on sait qu'il y a 5 ans, un bébé mourait du tétanos toutes les 3 minutes dans le monde. Aujourd'hui, ce chiffre est passé à 9 minutes. En tout, 150 millions de mamans et d'enfants ont été vaccinés donc protégés de ce fléau.
Pour continuer à faire baisser ces statistiques, vous pouvez toujours adresser vos dons à l'Unicef.
Audrey Achekian, Journal des Femmes
ESI 2013-2016 VILLE EVARD à Neuilly sur Marne (93)
Re: Entraînement culture générale 2012
C'est génial!!j'espère que t'auras une réponse positive!On peut se dire tout les deux jours pour nos exercices comme ça ça nous laisse plus de temps?
J'ai décidé d'être heureuse parce que c'est bon pour la santé !
Bordeaux;28ième sur LC
Lannion:admise!!!
Bordeaux;28ième sur LC
Lannion:admise!!!
Re: Entraînement culture générale 2012
Ouais je veux bien pour tous les deux jours, parce que là jviens de me ramasser une tole à la fac mdr, donc faut pas que je néglige trop non plus 
Donc on se dit, une réponse le Lundi, le mercredi et le vendredi, ca te convient?

Donc on se dit, une réponse le Lundi, le mercredi et le vendredi, ca te convient?
DE 2015
IBO en Guadeloupe
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Re: Entraînement culture générale 2012
Ok super!!!ça va être plus facile pour mon organisation aussi!!
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Lannion:admise!!!
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Re: Actualités 2012
Scandale PIP : belles à tout prix
Le Point.fr - Publié le 23/01/2012 à 17:59
Le nombre d'opérations plastiques et esthétiques ne cesse d'augmenter en France. Et pas seulement pour des raisons médicales..
À l'heure où le scandale des prothèses PIP fait rage, le nombre d'opérations plastiques et d'actes de médecine esthétique ne cesse d'augmenter.
À l'heure où le scandale des prothèses PIP fait rage, le nombre d'opérations plastiques et esthétiques ne cesse d'augmenter. Des opérations essentiellement réparatrices ? L'argument ne tient pas la route. Les chiffres parlent d'eux-mêmes : il y aurait aujourd'hui en France environ 10 % d'opérations du sein suite à un cancer, contre 90 % pour de pures raisons esthétiques... Comment expliquer alors un tel besoin de se transformer ? Quel sens donner à ce goût de la métamorphose ? Quels en sont les risques ? C'est ce à quoi le philosophe Jean-François Mattéi a tenté de répondre avec le Dr Henry Delmar dans Philosophie de la chirurgie esthétique (Odile Jacob, 2011). Pour le Point.fr, il revient sur les enjeux d'une société qui se veut belle à tout prix.
Le Point.fr : Vous êtes un spécialiste de philosophie politique. Pourquoi cet intérêt soudain pour la chirurgie esthétique ?
Jean-François Mattéi : Au départ, je n'y connaissais strictement rien. Comme beaucoup de gens aujourd'hui, j'avais un regard relativement critique sur l'idée que certaines personnes pouvaient éprouver le besoin de modifier leur corps. J'avais pour ami le Dr Henry Delmar, chirurgien esthétique. Lui a axé tout son travail sur l'éthique, moi je me passionnais pour la médecine. Nos regards croisés expliquent un véritable besoin social. L'idée, c'était de comprendre un effet de masse relativement nouveau.
Nouveau ? N'avons-nous pas toujours été tentés de modifier le corps ?
C'est vrai. De tout temps, que ce soit pour des raisons religieuses, guerrières ou sociales, l'homme a ressenti le besoin d'être "beau", idée qu'il associe très souvent à la puissance, à la force, parfois même à la violence. Et, comme si son sexe ne suffisait pas à le définir, il a éprouvé la nécessité d'améliorer la nature. Par le maquillage, la coiffure, le masque... Dans Les Métamorphoses d'Ovide, les hommes se transforment carrément en dieux ! Chez les Égyptiens, les chirurgiens réalisaient déjà des reconstructions du nez et tentaient parfois de reconstituer des visages ou des parties entières de corps abîmés ou mutilés. Chez les Hindous, le traité Sushruta Samhitâ présente les pratiques du chirurgien Sushrata. Lorsque ces pages arrivent en Occident à la fin du XVIIIe siècle, elles donnent véritablement le coup d'envoi de la chirurgie plastique. D'ailleurs, pendant le conflit franco-anglais de 1792 en Inde du Sud, un soldat qui avait le nez et la main coupés se fit opérer selon ces recommandations. L'opération était soit vitale, soit politique. Chez les Byzantins, par exemple, si un homme se retrouvait avec le nez coupé, il ne pouvait plus accéder au pouvoir. Plus tard, à la fin du XIXe siècle, des médecins juifs ont opéré leurs coreligionnaires qui souhaitaient perdre leur nez ethnique pour mieux s'identifier au modèle allemand. La grande actrice Fanny Brice s'est même attiré les foudres de Broadway parce qu'elle avait troqué son nez juif contre un minois américain...
Alors pourquoi s'inquiéter aujourd'hui ?
Parce qu'on assiste actuellement à un phénomène de masse. La pression sociale est devenue insoutenable. Que ce soit sur le Web, à la télévision, sur les affiches publicitaires dans la rue, ou encore dans les films, un idéal de beauté s'impose à nous, et nous renvoie à notre condition humaine, que certains associent à une certaine idée de la médiocrité. La beauté est désormais considérée comme une condition essentielle au bonheur, exactement au même titre que la santé. Et certaines personnes n'hésitent pas à mettre leur vie en danger pour l'atteindre. L'exemple ultime que tout le monde garde en tête, c'est bien sûr Lolo Ferrari et ses trois litres de sérum dans chaque sein. Vous imaginez, elle n'osait même pas prendre l'avion, de peur que sa poitrine n'explose en plein vol ! Pour beaucoup, c'est l'idéologie hédoniste qui prime. Et tant pis si la santé en prend un coup ou si l'opération se transforme en charcutage...
C'est ce que vous inspire le scandale des prothèses PIP ?
Pas tout à fait. J'ai certes un regard très critique sur cette affaire, mais je crois que c'est la médecine en général qui est en cause. Je trouve que les médecins, les chirurgiens, mais aussi les fabricants, ont de plus en plus tendance à traiter le patient comme un simple client, voire comme un objet d'expérimentation. Or, ce sont des sujets de soin, qui méritent un suivi psychologique. C'est ce que propose d'ailleurs le Dr Delmar avec sa méthode "Désirs", qui propose un dialogue avec le médecin, voire une thérapie avant d'envisager toute intervention. Le problème, c'est que la chirurgie esthétique est devenue un véritable marché, une économie, avec toute la perversion que cela implique.
Comme au Brésil, où l'on ne peut plus se balader dans la rue sans croiser des poitrines refaites ?
Absolument. Mais au Brésil, la généralisation, voire la banalisation des opérations, en fait pratiquement un rite de passage. Là-bas, dès l'âge de 16 ou 18 ans, les jeunes filles passent au bistouri pour se faire bomber les fesses (ce qu'on appelle le bum bum) et gonfler les seins. Et pas seulement à Copa Cabana... Les jeunes des favelas ne sont pas en reste. La modification du corps est bien devenue ce que Marcel Mauss appelait "un phénomène social total". Comme le football !
Et que penser des Chinoises et des Japonaises qui se font débrider les yeux pour s'occidentaliser ?
Il faut coûte que coûte atteindre le modèle hollywoodien, "caucasien", comme disent les Américains. Je pense aussi aux Noires qui se font blanchir la peau et défriser les cheveux. Ce qui est dangereux, c'est qu'il s'agit d'une mode. Le danger, c'est de vouloir se transformer systématiquement et sans fin. Et ressembler à l'autre. Cela pose un réel problème d'identité.
Finalement, en recherchant la beauté, c'est la normalité que l'on atteint. N'est-ce pas paradoxal ?
Pendant longtemps, les chirurgiens ont essayé d'imposer des normes standards du visage à partir du nombre d'or. Or, ils se sont rapidement rendu compte que ça ne fonctionnait pas. Trop de symétrie et de précision dans les traits rend le visage figé et sans charme, sans aura.
N'est-ce pas une étape dans un processus plus large qui permettrait à l'homme de se surpasser ?
Mais c'est déjà le cas ! Dans certaines parties du globe, les médecins nagent déjà en plein délire transformationnel. C'est le "cyborg" des Californiens, ces "cybernetic organisms" qui impliquent un nombre phénoménal de colloques, de conférences et d'expériences en tout genre. En fait, il s'agit d'êtres vivants auxquels on pourrait greffer des éléments électroniques ou mécaniques.
Les hommes ne s'acceptent-ils plus comme ils sont ?
Oui, c'est l'éternelle insatisfaction de la condition humaine. Elle est incontestablement symptomatique d'un certain mal-être. Mais je crois qu'au-delà de ça se cache le refus de vieillir, et le refus de la finitude. C'est le principe même du Dasein de Heidegger : l'homme est fini dans le temps et dans l'espace. Aujourd'hui, il ne pense qu'à court-circuiter cette idée...
Le Point.fr - Publié le 23/01/2012 à 17:59
Le nombre d'opérations plastiques et esthétiques ne cesse d'augmenter en France. Et pas seulement pour des raisons médicales..
À l'heure où le scandale des prothèses PIP fait rage, le nombre d'opérations plastiques et d'actes de médecine esthétique ne cesse d'augmenter.
À l'heure où le scandale des prothèses PIP fait rage, le nombre d'opérations plastiques et esthétiques ne cesse d'augmenter. Des opérations essentiellement réparatrices ? L'argument ne tient pas la route. Les chiffres parlent d'eux-mêmes : il y aurait aujourd'hui en France environ 10 % d'opérations du sein suite à un cancer, contre 90 % pour de pures raisons esthétiques... Comment expliquer alors un tel besoin de se transformer ? Quel sens donner à ce goût de la métamorphose ? Quels en sont les risques ? C'est ce à quoi le philosophe Jean-François Mattéi a tenté de répondre avec le Dr Henry Delmar dans Philosophie de la chirurgie esthétique (Odile Jacob, 2011). Pour le Point.fr, il revient sur les enjeux d'une société qui se veut belle à tout prix.
Le Point.fr : Vous êtes un spécialiste de philosophie politique. Pourquoi cet intérêt soudain pour la chirurgie esthétique ?
Jean-François Mattéi : Au départ, je n'y connaissais strictement rien. Comme beaucoup de gens aujourd'hui, j'avais un regard relativement critique sur l'idée que certaines personnes pouvaient éprouver le besoin de modifier leur corps. J'avais pour ami le Dr Henry Delmar, chirurgien esthétique. Lui a axé tout son travail sur l'éthique, moi je me passionnais pour la médecine. Nos regards croisés expliquent un véritable besoin social. L'idée, c'était de comprendre un effet de masse relativement nouveau.
Nouveau ? N'avons-nous pas toujours été tentés de modifier le corps ?
C'est vrai. De tout temps, que ce soit pour des raisons religieuses, guerrières ou sociales, l'homme a ressenti le besoin d'être "beau", idée qu'il associe très souvent à la puissance, à la force, parfois même à la violence. Et, comme si son sexe ne suffisait pas à le définir, il a éprouvé la nécessité d'améliorer la nature. Par le maquillage, la coiffure, le masque... Dans Les Métamorphoses d'Ovide, les hommes se transforment carrément en dieux ! Chez les Égyptiens, les chirurgiens réalisaient déjà des reconstructions du nez et tentaient parfois de reconstituer des visages ou des parties entières de corps abîmés ou mutilés. Chez les Hindous, le traité Sushruta Samhitâ présente les pratiques du chirurgien Sushrata. Lorsque ces pages arrivent en Occident à la fin du XVIIIe siècle, elles donnent véritablement le coup d'envoi de la chirurgie plastique. D'ailleurs, pendant le conflit franco-anglais de 1792 en Inde du Sud, un soldat qui avait le nez et la main coupés se fit opérer selon ces recommandations. L'opération était soit vitale, soit politique. Chez les Byzantins, par exemple, si un homme se retrouvait avec le nez coupé, il ne pouvait plus accéder au pouvoir. Plus tard, à la fin du XIXe siècle, des médecins juifs ont opéré leurs coreligionnaires qui souhaitaient perdre leur nez ethnique pour mieux s'identifier au modèle allemand. La grande actrice Fanny Brice s'est même attiré les foudres de Broadway parce qu'elle avait troqué son nez juif contre un minois américain...
Alors pourquoi s'inquiéter aujourd'hui ?
Parce qu'on assiste actuellement à un phénomène de masse. La pression sociale est devenue insoutenable. Que ce soit sur le Web, à la télévision, sur les affiches publicitaires dans la rue, ou encore dans les films, un idéal de beauté s'impose à nous, et nous renvoie à notre condition humaine, que certains associent à une certaine idée de la médiocrité. La beauté est désormais considérée comme une condition essentielle au bonheur, exactement au même titre que la santé. Et certaines personnes n'hésitent pas à mettre leur vie en danger pour l'atteindre. L'exemple ultime que tout le monde garde en tête, c'est bien sûr Lolo Ferrari et ses trois litres de sérum dans chaque sein. Vous imaginez, elle n'osait même pas prendre l'avion, de peur que sa poitrine n'explose en plein vol ! Pour beaucoup, c'est l'idéologie hédoniste qui prime. Et tant pis si la santé en prend un coup ou si l'opération se transforme en charcutage...
C'est ce que vous inspire le scandale des prothèses PIP ?
Pas tout à fait. J'ai certes un regard très critique sur cette affaire, mais je crois que c'est la médecine en général qui est en cause. Je trouve que les médecins, les chirurgiens, mais aussi les fabricants, ont de plus en plus tendance à traiter le patient comme un simple client, voire comme un objet d'expérimentation. Or, ce sont des sujets de soin, qui méritent un suivi psychologique. C'est ce que propose d'ailleurs le Dr Delmar avec sa méthode "Désirs", qui propose un dialogue avec le médecin, voire une thérapie avant d'envisager toute intervention. Le problème, c'est que la chirurgie esthétique est devenue un véritable marché, une économie, avec toute la perversion que cela implique.
Comme au Brésil, où l'on ne peut plus se balader dans la rue sans croiser des poitrines refaites ?
Absolument. Mais au Brésil, la généralisation, voire la banalisation des opérations, en fait pratiquement un rite de passage. Là-bas, dès l'âge de 16 ou 18 ans, les jeunes filles passent au bistouri pour se faire bomber les fesses (ce qu'on appelle le bum bum) et gonfler les seins. Et pas seulement à Copa Cabana... Les jeunes des favelas ne sont pas en reste. La modification du corps est bien devenue ce que Marcel Mauss appelait "un phénomène social total". Comme le football !
Et que penser des Chinoises et des Japonaises qui se font débrider les yeux pour s'occidentaliser ?
Il faut coûte que coûte atteindre le modèle hollywoodien, "caucasien", comme disent les Américains. Je pense aussi aux Noires qui se font blanchir la peau et défriser les cheveux. Ce qui est dangereux, c'est qu'il s'agit d'une mode. Le danger, c'est de vouloir se transformer systématiquement et sans fin. Et ressembler à l'autre. Cela pose un réel problème d'identité.
Finalement, en recherchant la beauté, c'est la normalité que l'on atteint. N'est-ce pas paradoxal ?
Pendant longtemps, les chirurgiens ont essayé d'imposer des normes standards du visage à partir du nombre d'or. Or, ils se sont rapidement rendu compte que ça ne fonctionnait pas. Trop de symétrie et de précision dans les traits rend le visage figé et sans charme, sans aura.
N'est-ce pas une étape dans un processus plus large qui permettrait à l'homme de se surpasser ?
Mais c'est déjà le cas ! Dans certaines parties du globe, les médecins nagent déjà en plein délire transformationnel. C'est le "cyborg" des Californiens, ces "cybernetic organisms" qui impliquent un nombre phénoménal de colloques, de conférences et d'expériences en tout genre. En fait, il s'agit d'êtres vivants auxquels on pourrait greffer des éléments électroniques ou mécaniques.
Les hommes ne s'acceptent-ils plus comme ils sont ?
Oui, c'est l'éternelle insatisfaction de la condition humaine. Elle est incontestablement symptomatique d'un certain mal-être. Mais je crois qu'au-delà de ça se cache le refus de vieillir, et le refus de la finitude. C'est le principe même du Dasein de Heidegger : l'homme est fini dans le temps et dans l'espace. Aujourd'hui, il ne pense qu'à court-circuiter cette idée...
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Bordeaux;28ième sur LC
Lannion:admise!!!
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Re: Actualités 2012
Lancement d'une campagne contre le harcèlement à l'école
- Publié le 24/01/2012 à 06:53
Le ministère de l'Education nationale lance mardi une campagne "Agir contre le harcèlement à l'école", afin de combattre via internet et la télévision un phénomène touchant un élève sur dix en primaire et au collège.
Trois petits films "viraux" très réalistes, présentant des situations de harcèlement entre élèves et mettant en garde contre leurs effets, sont diffusés à partir de mardi sur internet, notamment via les plateformes vidéos Dailymotion et YouTube.
Des spots TV plus courts, diffusés sur France Télévisions, et un site internet (www.Agircontreleharcelementalecole.gouv.fr) viendront compléter cette campagne destinée à "lever le tabou" sur ce phénomène et à "responsabiliser" élèves, parents et personnels de l'Education nationale pour le combattre.
Le message diffusé est que "le harcèlement à l'école peut avoir des conséquences sérieuses: perte de confiance, troubles psychologiques, dépression, conduites suicidaires".
"Si la France a pris conscience du problème plus tardivement que d'autres pays, l'implication de grands médias dans cette campagne devrait maintenant créer un cercle vertueux", a expliqué à l'AFP le chercheur Eric Debarbieux, à l'origine de l'initiative avec le ministre de l'Education nationale Luc Chatel.
La campagne sera présentée lors d'une conférence de presse par Jean-Michel Blanquer, directeur général de l'enseignement scolaire (Dgesco), et Alexandre Montay, délégué à la communication du ministère.
AFP
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Lannion:admise!!!
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Re: Actualités 2012
Obésité : les sucres et les graisses, action directe sur notre second cerveau…
D’après des chercheurs français, un régime riche en graisses et en sucres pourrait inhiber la destruction des neurones du système nerveux entérique. Observé chez la souris, ce processus pourrait ralentir le vieillissement naturel de ce second cerveau et être un des facteurs favorisant l’obésité, en diminuant la sensation de satiété. C’est ce que relate un article qui vient d’être publié dans le Journal of Physiology.
Le long de notre tube digestif existe un système nerveux dit entérique (SNE), composé de plus de 100 millions de neurones. En raison de son importance, il est souvent considéré par la communauté scientifique comme notre « second cerveau ». Il a comme principale mission de réguler les fonctions digestives, telles la motricité digestive, l’absorption des nutriments, ou le contrôle des fonctions de la barrière intestinale. Bien qu'il joue un rôle important dans la régulation de la prise alimentaire et du stockage des différents éléments qui la constituent, il n' est que très peu étudié.
C’est afin de pallier ce manque de connaissance sur le SNE, que Michel Neunlist, Raphaël Moriez et leurs collègues de l’Institut national de santé et de recherche médicale ont étudié son fonctionnement chez des souris. Ils ont ainsi découvert qu’un régime riche en graisses et en sucres agissait comme une fontaine de jouvence sur les neurones du SNE en empêchant leur destruction. Très vite, il y a surpopulation de ces neurones qui seraient alors trop efficaces et entraîneraient une accélération de la "vidange" gastrique. En fonctionnant toujours à plein régime, comme chez les jeunes souriceaux, le système s’emballerait et inciterait l’organisme à une prise alimentaire toujours importante en diminuant notamment les signaux de la satiété. Ces derniers sont censés augmenter avec l’âge, en raison de besoins nutritionnels moins importants. Sous l’effet neuroprotecteur des graisses et des sucres, notre organisme reste persuadé qu’il est jeune et continue à s’alimenter à plein régime, ce qui entraîne le développement de l’obésité.
Cette découverte pourrait ainsi ouvrir la voie à de nouvelles approches nutritionnelles qui auraient comme objectif de mieux contrôler ce « second cerveau ».
iNFORMATION HOSPITALIERE
D’après des chercheurs français, un régime riche en graisses et en sucres pourrait inhiber la destruction des neurones du système nerveux entérique. Observé chez la souris, ce processus pourrait ralentir le vieillissement naturel de ce second cerveau et être un des facteurs favorisant l’obésité, en diminuant la sensation de satiété. C’est ce que relate un article qui vient d’être publié dans le Journal of Physiology.
Le long de notre tube digestif existe un système nerveux dit entérique (SNE), composé de plus de 100 millions de neurones. En raison de son importance, il est souvent considéré par la communauté scientifique comme notre « second cerveau ». Il a comme principale mission de réguler les fonctions digestives, telles la motricité digestive, l’absorption des nutriments, ou le contrôle des fonctions de la barrière intestinale. Bien qu'il joue un rôle important dans la régulation de la prise alimentaire et du stockage des différents éléments qui la constituent, il n' est que très peu étudié.
C’est afin de pallier ce manque de connaissance sur le SNE, que Michel Neunlist, Raphaël Moriez et leurs collègues de l’Institut national de santé et de recherche médicale ont étudié son fonctionnement chez des souris. Ils ont ainsi découvert qu’un régime riche en graisses et en sucres agissait comme une fontaine de jouvence sur les neurones du SNE en empêchant leur destruction. Très vite, il y a surpopulation de ces neurones qui seraient alors trop efficaces et entraîneraient une accélération de la "vidange" gastrique. En fonctionnant toujours à plein régime, comme chez les jeunes souriceaux, le système s’emballerait et inciterait l’organisme à une prise alimentaire toujours importante en diminuant notamment les signaux de la satiété. Ces derniers sont censés augmenter avec l’âge, en raison de besoins nutritionnels moins importants. Sous l’effet neuroprotecteur des graisses et des sucres, notre organisme reste persuadé qu’il est jeune et continue à s’alimenter à plein régime, ce qui entraîne le développement de l’obésité.
Cette découverte pourrait ainsi ouvrir la voie à de nouvelles approches nutritionnelles qui auraient comme objectif de mieux contrôler ce « second cerveau ».
iNFORMATION HOSPITALIERE
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Bordeaux;28ième sur LC
Lannion:admise!!!
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Re: Actualités 2012
Seul un couple sur deux consultant pour infertilité masculine parvient à enfanter
LEMONDE.FR avec AFP | 23.01.12
L'étude conduite par l'équipe de Marie Walschaerts et Louis Bujan (Université de Toulouse, groupe de recherche en fertilité humaine) a permis d'évaluer le taux de succès du projet parental chez les couples ayant été suivis au centre de stérilité masculine de Toulouse de 2000 à 2004.
Seul un couple sur deux consultant pour une infertilité d'origine masculine réussit à avoir un enfant montre une étude française mise en ligne lundi 23 janvier par la revue Human Reproduction. L'âge de l'homme supérieur à 35 ans apparaît comme un facteur majeur de risque d'échec.
On estime qu'entre 9 % et 14 % des couples dans les pays développés auront des difficultés à concevoir. En France, un couple sur sept consulte pour une infertilité, l'origine du problème se partageant entre l'homme et la femme. La majorité des études ayant évalué jusqu'ici les résultats d'assistance médicale à la procréation (AMP) ont pris en compte principalement la composante féminine. La plupart ont par ailleurs concerné le devenir des couples inscrits dans un programme de fécondation in vitro (FIV), et non pas des couples consultant, en amont, un centre d'infécondité.
L'étude conduite par l'équipe de Marie Walschaerts et Louis Bujan (Université de Toulouse, groupe de recherche en fertilité humaine) a permis d'évaluer le taux de succès du projet parental chez les couples ayant été suivis au centre de stérilité masculine de Toulouse de 2000 à 2004. Une enquête par questionnaire téléphonique effectuée en 2008 a permis de préciser la situation de ces couples, quatre années au moins après l'arrêt de leur prise en charge.
"CONSULTER PLUS TÔT"
Parmi les 1 131 répondants (65 % des 1 735 couples joints par téléphone), 56 % étaient devenus parents (60 % en incluant l'adoption). Ces couples ont eu un enfant grâce à une grossesse naturelle dans 16 % des cas, grâce à un traitement médical ou chirurgical dans 8 % des cas, et grâce à une AMP dans 32 % des cas (dont 4 % dans un autre centre). Sur l'ensemble des 1 735 couples, le taux cumulé de succès est estimé à 48 %, basé sur une hypothèse qualifiée de "réaliste" par Marie Walschaerts.
Les auteurs de l'étude soulignent que le taux cumulé de succès atteint 64 % pour les hommes et les femmes âgés de moins de 35 ans, contre seulement 31 % chez les couples plus âgés. "L'âge de l'homme ressort réellement et le taux de succès n'est pas lié uniquement à l'âge de la femme", a précisé Marie Walschaerts. Ces résultats devraient "encourager les couples à consulter plus tôt", a-t-elle ajouté.
L'étude a été financée par l'Agence de la biomédecine. Le Pr Bujan est le président de la Fédération des Cecos (Centre d'étude et de conservation des œufs et du sperme humains). Human Reproduction est une publication de la Société européenne de reproduction et d'embryologie humaine (ESHRE).
LEMONDE.FR avec AFP | 23.01.12
L'étude conduite par l'équipe de Marie Walschaerts et Louis Bujan (Université de Toulouse, groupe de recherche en fertilité humaine) a permis d'évaluer le taux de succès du projet parental chez les couples ayant été suivis au centre de stérilité masculine de Toulouse de 2000 à 2004.
Seul un couple sur deux consultant pour une infertilité d'origine masculine réussit à avoir un enfant montre une étude française mise en ligne lundi 23 janvier par la revue Human Reproduction. L'âge de l'homme supérieur à 35 ans apparaît comme un facteur majeur de risque d'échec.
On estime qu'entre 9 % et 14 % des couples dans les pays développés auront des difficultés à concevoir. En France, un couple sur sept consulte pour une infertilité, l'origine du problème se partageant entre l'homme et la femme. La majorité des études ayant évalué jusqu'ici les résultats d'assistance médicale à la procréation (AMP) ont pris en compte principalement la composante féminine. La plupart ont par ailleurs concerné le devenir des couples inscrits dans un programme de fécondation in vitro (FIV), et non pas des couples consultant, en amont, un centre d'infécondité.
L'étude conduite par l'équipe de Marie Walschaerts et Louis Bujan (Université de Toulouse, groupe de recherche en fertilité humaine) a permis d'évaluer le taux de succès du projet parental chez les couples ayant été suivis au centre de stérilité masculine de Toulouse de 2000 à 2004. Une enquête par questionnaire téléphonique effectuée en 2008 a permis de préciser la situation de ces couples, quatre années au moins après l'arrêt de leur prise en charge.
"CONSULTER PLUS TÔT"
Parmi les 1 131 répondants (65 % des 1 735 couples joints par téléphone), 56 % étaient devenus parents (60 % en incluant l'adoption). Ces couples ont eu un enfant grâce à une grossesse naturelle dans 16 % des cas, grâce à un traitement médical ou chirurgical dans 8 % des cas, et grâce à une AMP dans 32 % des cas (dont 4 % dans un autre centre). Sur l'ensemble des 1 735 couples, le taux cumulé de succès est estimé à 48 %, basé sur une hypothèse qualifiée de "réaliste" par Marie Walschaerts.
Les auteurs de l'étude soulignent que le taux cumulé de succès atteint 64 % pour les hommes et les femmes âgés de moins de 35 ans, contre seulement 31 % chez les couples plus âgés. "L'âge de l'homme ressort réellement et le taux de succès n'est pas lié uniquement à l'âge de la femme", a précisé Marie Walschaerts. Ces résultats devraient "encourager les couples à consulter plus tôt", a-t-elle ajouté.
L'étude a été financée par l'Agence de la biomédecine. Le Pr Bujan est le président de la Fédération des Cecos (Centre d'étude et de conservation des œufs et du sperme humains). Human Reproduction est une publication de la Société européenne de reproduction et d'embryologie humaine (ESHRE).
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Re: Actualités 2012
Dépassements d'honoraires : reprise des pourparlers
Publié le 23/01/2012
Selon Les Echos , les syndicats de médecins libéraux, les complémentaires santé et la Caisse nationale d'assurance maladie (Cnam) ont renoué le dialogue, vendredi dernier, sur les dépassements d'honoraires des chirurgiens, anesthésistes et obstétriciens libéraux. Alors que la loi de financement de la Sécurité sociale leur fixait jusqu'à hier pour parvenir à un accord, les partenaires ont finalement décidé de poursuivre les pourparlers, avec une nouvelle donne, indiquent Les Echos.
En effet, le directeur de la Cnam, Frédéric Van Roekeghem, a annoncé qu'il était prêt à revaloriser les honoraires des chirurgiens et obstétriciens exerçant en secteur 1. Non chiffrée, cette revalorisation sur trois ans serait limitée à 10%. "Elle permettrait de réduire l'ampleur du problème des dépassements pour les patients et constitue un geste en direction des mutuelles, qui réclament cette revalorisation", avance Vincent Collen des Echos. Si la Mutualité est certes favorable à une revalorisation de certains tarifs médicaux, elle pose au préalable comme condition la régulation des dépassements d'honoraires. Comme le remarque d'ailleurs Les Echos, "cette hausse est conditionnée à la conclusion d'un accord pour limiter les dépassements des tarifs des praticiens du secteur 2.
Ce qui est loin d'être certain, tant les négociateurs on eu du mal à s'entendre jusqu'à présent".
Autre mesure évoquée vendredi : l'assurance maladie propose d'instaurer des sanctions pour les médecins qui pratiquent des dépassements jugés "excessifs" en rapport avec la situation financière des patients, De son côté, l'Union nationale des organismes d'assurance maladie complémentaire (Unocam) souhaite que le gouvernement introduise une modification législative pour que les complémentaires santé puissent choisir de rembourser ou non les dépassements dans le cadre du secteur optionnel. Une nouvelle séance de négociations est prévue en fin de semaine.
De son côté, François Hollande a annoncé hier son intention "d'encadrer les dépassements d'honoraires", lors de son premier meeting de campagne au Bourget (Les Echos, page 2). Le candidat socialiste a également promis de "combattre les déserts médicaux", d'instaurer une nouvelle tarification qui "conforte l'hôpital public" et a pris l'engagement qu'à la fin de son mandat, "personne ne soit à plus de trente minutes d'un lieu de traitement des urgences médicales", rapporte le site lemonde.fr.
RTT à l'hôpital : signature d'un accord
Le ministre de la Santé a annoncé qu'un accord-cadre visant à régler la question des jours de RTT accumulés par les médecins hospitaliers serait signé ce soir avec les syndicats. Cet accord leur laissera la possibilité "soit de les prendre, soit de les mettre sur un compte-épargne temps, soit de se les faire payer", a précisé Xavier Bertrand, invité de l'émission "Le Grand Rendez-vous" sur Europe 1. Il s'agit de faciliter l'apurement des quelque deux millions de journées de RTT amassées depuis l'instauration, en 2002, des 35 heures à l'hôpital. La loi prévoit qu'elles soient soldées au bout de dix ans.
Pour Le Parisien/Aujourd'hui (page
, le gouvernement "ouvre très grand son porte-monnaie". En effet, il serait prêt à débourser près de 480 millions d'euros sur quatre ans pour financer les jours de RTT non pris, soit "plus que pour les mesures d'urgence annoncées lors du Sommet social de la semaine dernière", souligne ce quotidien. Chaque médecin ne pourra se faire payer plus de 80 jours sur quatre ans. Mais, "à raison de 300 euros la journée, le cadeau atteint quand même jusqu'à 24.000 euros par médecin hospitalier !", relève Le Parisien/Aujourd'hui.
John Sutton
MUTUALITE.FR
Publié le 23/01/2012
Selon Les Echos , les syndicats de médecins libéraux, les complémentaires santé et la Caisse nationale d'assurance maladie (Cnam) ont renoué le dialogue, vendredi dernier, sur les dépassements d'honoraires des chirurgiens, anesthésistes et obstétriciens libéraux. Alors que la loi de financement de la Sécurité sociale leur fixait jusqu'à hier pour parvenir à un accord, les partenaires ont finalement décidé de poursuivre les pourparlers, avec une nouvelle donne, indiquent Les Echos.
En effet, le directeur de la Cnam, Frédéric Van Roekeghem, a annoncé qu'il était prêt à revaloriser les honoraires des chirurgiens et obstétriciens exerçant en secteur 1. Non chiffrée, cette revalorisation sur trois ans serait limitée à 10%. "Elle permettrait de réduire l'ampleur du problème des dépassements pour les patients et constitue un geste en direction des mutuelles, qui réclament cette revalorisation", avance Vincent Collen des Echos. Si la Mutualité est certes favorable à une revalorisation de certains tarifs médicaux, elle pose au préalable comme condition la régulation des dépassements d'honoraires. Comme le remarque d'ailleurs Les Echos, "cette hausse est conditionnée à la conclusion d'un accord pour limiter les dépassements des tarifs des praticiens du secteur 2.
Ce qui est loin d'être certain, tant les négociateurs on eu du mal à s'entendre jusqu'à présent".
Autre mesure évoquée vendredi : l'assurance maladie propose d'instaurer des sanctions pour les médecins qui pratiquent des dépassements jugés "excessifs" en rapport avec la situation financière des patients, De son côté, l'Union nationale des organismes d'assurance maladie complémentaire (Unocam) souhaite que le gouvernement introduise une modification législative pour que les complémentaires santé puissent choisir de rembourser ou non les dépassements dans le cadre du secteur optionnel. Une nouvelle séance de négociations est prévue en fin de semaine.
De son côté, François Hollande a annoncé hier son intention "d'encadrer les dépassements d'honoraires", lors de son premier meeting de campagne au Bourget (Les Echos, page 2). Le candidat socialiste a également promis de "combattre les déserts médicaux", d'instaurer une nouvelle tarification qui "conforte l'hôpital public" et a pris l'engagement qu'à la fin de son mandat, "personne ne soit à plus de trente minutes d'un lieu de traitement des urgences médicales", rapporte le site lemonde.fr.
RTT à l'hôpital : signature d'un accord
Le ministre de la Santé a annoncé qu'un accord-cadre visant à régler la question des jours de RTT accumulés par les médecins hospitaliers serait signé ce soir avec les syndicats. Cet accord leur laissera la possibilité "soit de les prendre, soit de les mettre sur un compte-épargne temps, soit de se les faire payer", a précisé Xavier Bertrand, invité de l'émission "Le Grand Rendez-vous" sur Europe 1. Il s'agit de faciliter l'apurement des quelque deux millions de journées de RTT amassées depuis l'instauration, en 2002, des 35 heures à l'hôpital. La loi prévoit qu'elles soient soldées au bout de dix ans.
Pour Le Parisien/Aujourd'hui (page

John Sutton
MUTUALITE.FR
J'ai décidé d'être heureuse parce que c'est bon pour la santé !
Bordeaux;28ième sur LC
Lannion:admise!!!
Bordeaux;28ième sur LC
Lannion:admise!!!
Re: Actualités 2012
Un autre article sur l'accord des RTT de l'hopital...
Hôpital : l'État va payer 480 millions d'euros pour les RTT
Le Point.fr - Publié le 23/01/2012 à 10:58
Le gouvernement français va débourser au moins 480 millions d'euros sur 4 ans pour rémunérer les jours de récupération des médecins hospitaliers accumulés depuis 2002 après le passage à la semaine de travail de 35 heures hebdomadaires, écrit, lundi, Le Parisien-Aujourd'hui en France. Un accord doit être signé lundi soir entre les syndicats et le ministère de la Santé pour résorber les quelque deux millions de jours de "RTT" accumulés depuis une décennie, ce qui permettrait à certains médecins de recevoir jusqu'à 24 000 euros, assure le journal.
Dimanche, le ministre de la Santé Xavier Bertrand avait parlé d'un accord ouvrant plusieurs options. "Je signerai un accord-cadre avec les syndicats de praticiens, pour trouver la solution, en leur laissant la possibilité soit de prendre (les jours de RTT), soit de les mettre sur un compte épargne-temps, soit de se les faire payer", avait-il dit. Le projet de décret, que Le Parisien dit avoir consulté, est jugé par le journal très favorable pour les médecins hospitaliers puisque diverses modalités ouvriraient la possibilité de toucher de confortables enveloppes, en lieu et place d'une obligation de prendre les jours de congé.
L'accord est signé à moins de trois mois de l'élection présidentielle. La réforme des 35 heures est une des cibles favorites du président Nicolas Sarkozy, qui y voit l'origine d'une partie des problèmes du pays. L'hôpital, du fait d'horaires à rallonge et de recrutements insuffisants lors de la réforme, est souvent décrit comme le lieu où l'application de la réduction du temps de travail s'est faite avec le plus de difficultés.
lepoint.fr
Hôpital : l'État va payer 480 millions d'euros pour les RTT
Le Point.fr - Publié le 23/01/2012 à 10:58
Le gouvernement français va débourser au moins 480 millions d'euros sur 4 ans pour rémunérer les jours de récupération des médecins hospitaliers accumulés depuis 2002 après le passage à la semaine de travail de 35 heures hebdomadaires, écrit, lundi, Le Parisien-Aujourd'hui en France. Un accord doit être signé lundi soir entre les syndicats et le ministère de la Santé pour résorber les quelque deux millions de jours de "RTT" accumulés depuis une décennie, ce qui permettrait à certains médecins de recevoir jusqu'à 24 000 euros, assure le journal.
Dimanche, le ministre de la Santé Xavier Bertrand avait parlé d'un accord ouvrant plusieurs options. "Je signerai un accord-cadre avec les syndicats de praticiens, pour trouver la solution, en leur laissant la possibilité soit de prendre (les jours de RTT), soit de les mettre sur un compte épargne-temps, soit de se les faire payer", avait-il dit. Le projet de décret, que Le Parisien dit avoir consulté, est jugé par le journal très favorable pour les médecins hospitaliers puisque diverses modalités ouvriraient la possibilité de toucher de confortables enveloppes, en lieu et place d'une obligation de prendre les jours de congé.
L'accord est signé à moins de trois mois de l'élection présidentielle. La réforme des 35 heures est une des cibles favorites du président Nicolas Sarkozy, qui y voit l'origine d'une partie des problèmes du pays. L'hôpital, du fait d'horaires à rallonge et de recrutements insuffisants lors de la réforme, est souvent décrit comme le lieu où l'application de la réduction du temps de travail s'est faite avec le plus de difficultés.
lepoint.fr
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Bordeaux;28ième sur LC
Lannion:admise!!!
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Re: Actualités 2012
Facebook donne l'impression d'être moins heureux que les autres
Les réseaux sociaux tels que Facebook favorisent une évaluation négative de son bonheur relatif, selon une étude, publiée dans la revue Cyberpsychology, Behavior and Social Networking, menée auprès de jeunes adultes.
Hui-Tzu Grace Chou et Nicholas Edge du département de sociologie de l'Université Utah Valley ont interrogé 425 étudiants sur leur niveau de bonheur et celui de leurs amis. Environ 95 % utilisaient Facebook, en moyenne, 5 heures par semaine et depuis deux ans et demi.
Plus ils passaient de temps sur Facebook, plus ils avaient tendance à croire que les autres étaient plus heureux qu'eux. La corrélation était plus forte pour ceux qui utilisaient le réseau depuis plus longtemps et ceux qui avaient beaucoup d'amis qu'ils ne connaissaient pas vraiment.
Les photos soigneusement choisies de personnes souriantes et heureuses transmettent, cumulativement, un message trompeur, commente Hui-Tzu Grace Chou. Regarder ces photos heureuses donne l'impression que les autres sont toujours heureux et qu'ils ont toujours une bonne vie.
Alors qu'en ce qui concerne les amis à l'extérieur des réseaux sociaux, il est plus facile de savoir qu'ils ont des hauts et des bas. Mais une étude publiée en 2010 montrait, même par rapport à des personnes relativement proches côtoyées en dehors des réseaux, une tendance à sous-estimer la prévalence d'émotions négatives et à surestimer celle d'émotions positives.
psychomedia
Les réseaux sociaux tels que Facebook favorisent une évaluation négative de son bonheur relatif, selon une étude, publiée dans la revue Cyberpsychology, Behavior and Social Networking, menée auprès de jeunes adultes.
Hui-Tzu Grace Chou et Nicholas Edge du département de sociologie de l'Université Utah Valley ont interrogé 425 étudiants sur leur niveau de bonheur et celui de leurs amis. Environ 95 % utilisaient Facebook, en moyenne, 5 heures par semaine et depuis deux ans et demi.
Plus ils passaient de temps sur Facebook, plus ils avaient tendance à croire que les autres étaient plus heureux qu'eux. La corrélation était plus forte pour ceux qui utilisaient le réseau depuis plus longtemps et ceux qui avaient beaucoup d'amis qu'ils ne connaissaient pas vraiment.
Les photos soigneusement choisies de personnes souriantes et heureuses transmettent, cumulativement, un message trompeur, commente Hui-Tzu Grace Chou. Regarder ces photos heureuses donne l'impression que les autres sont toujours heureux et qu'ils ont toujours une bonne vie.
Alors qu'en ce qui concerne les amis à l'extérieur des réseaux sociaux, il est plus facile de savoir qu'ils ont des hauts et des bas. Mais une étude publiée en 2010 montrait, même par rapport à des personnes relativement proches côtoyées en dehors des réseaux, une tendance à sous-estimer la prévalence d'émotions négatives et à surestimer celle d'émotions positives.
psychomedia
J'ai décidé d'être heureuse parce que c'est bon pour la santé !
Bordeaux;28ième sur LC
Lannion:admise!!!
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Re: Fiches culture générale 2012
je suis tout fait d'accord avec kysa. N'oublie pas que pour l'écrit c'est pas grave si tu n'arrives pas à mettre des connaissances ce sont des professeurs de français qui corrigent et ils regardent la syntaxe ,ta façon de rédiger , ta compréhension etc...
Evidemment c'est toujours mieux de mettre des connaissances

Evidemment c'est toujours mieux de mettre des connaissances

Se faire battre est excusable,se faire surprendre est inexcusable Napoléon
La sagesse de la vie est toujours plus large et plus profonde que celle des hommes Maxime Gorki
ESI 12/15:S1/S2 validés
La sagesse de la vie est toujours plus large et plus profonde que celle des hommes Maxime Gorki
ESI 12/15:S1/S2 validés
Re: Fiches culture générale 2012
Zackfair a écrit :je suis tout fait d'accord avec kysa. N'oublie pas que pour l'écrit c'est pas grave si tu n'arrives pas à mettre des connaissances ce sont des professeurs de français qui corrigent et ils regardent la syntaxe ,ta façon de rédiger , ta compréhension etc...
Evidemment c'est toujours mieux de mettre des connaissances
Faux...
Pour les correcteurs, cela peut-être n'importe qui, des professionnels de santé, un prof de culture générale et pas qu'un professeur de français.
Oui ils regardent la syntaxe, la conjugaison puisque c'est sur 5 points généralement..mais une épreuve de culture générale veut dire qu'il faut avoir des connaissances, de l'actualité sanitaire & sociale ...

S1 : EHPAD
S2 : Long séjour
Re: Fiches culture générale 2012
Exact:)kysa a écrit :L'actualité ne suffit pas d'elle même, il faut un travail de fond pour avoir les connaissance s de bases pour maitriser l'actualités et en comprendre les différentes facettes et les différents enjeux.

S1 : EHPAD
S2 : Long séjour