Culture Générale

[Memo]

J'étais en train de fermer les pages internet que j'utilisais pour mes recherches quand j'ai vu ça:

Grossesse nerveuse
est une affection qui présente tous les symptômes de la grossesse et qui y ressemble en tout point à l’exception de la présence d’un fœtus.

Cause: Désir important d'avoir un enfant et d'être enceinte

Symptome: nausées, sensation de fatigue, fringales, prise de poids …

Conséquences: Psychique, TS

Solution: Test de grossesse puis suivi psychologique adapté


Couvade chez l'homme:
Touche 20% des hommes

Cause: certains sont très inquiets pour la santé du bébé, d'autres se sentent exclus -toutes les attentions sont pour la mère, la vie tourne autour de son ventre. Enfin, restent ceux qui vivent mal ce tournant de leur vie, doutent de leurs capacités en tant que parent. Donc pour dire qu'ils comptent, s'inquiètent, s'impliquent, partagent, endossent, certains futurs papas somatisent

Symptome: Les mêmes que ceux d'une grossesse

Conséquences: Revient à la normale après l'accouchement

Solution:
Valoriser le rôle de père : le pousser à s'occuper des démarches administratives pour la maternité, la naissance et la crèche, préparer la chambre et les affaires du bébé, les faire-part par exemple... Mais aussi participer activement à la grossesse en vous accompagnant aux rendez-vous médicaux, aux échographies, aux cours de préparation à l'accouchement

[Nanouu]

De rien =) Nanou j'adore ta photo =)

Merciiii !
Super la fiche Mémo je vais essayer de travailler dessus aussi et d'ajouter des trucs
ps : la couvade je connaissais pas

[supercuisto]

bonjour,

moi j'ai déjà entendu parler de couvade (père qui prennent du ventre et des seins, ressentent des douleurs commes les contractions...) mais c'ets vrai que je ne pensais e ne pensais pas non plus que ça touchait autant d'hommes ! 20% c'ets énorme quand meme !!!!

meric pour l'info !

[Siaana]

Merci de recentrer sur le sujet et d'utiliser les topics appropriés/les MP pour vos autres questions

[Memo]

Maternelle : faut-il repérer les enfants en difficulté ?

Une circulaire qui invite les enseignants à cerner les élèves à problèmes suscite des remous.


Repérer les enfants en difficulté dès le plus jeune âge pour ne pas laisser les problèmes s'installer: c'est un des objectifs que s'est fixés la direction de l'enseignement scolaire. Elle le réaffirme à travers la circulaire de rentrée 2012, qui adresse aux enseignants les priorités pour l'année scolaire à venir.

«Pour prévenir les difficultés (des élèves), il faut intervenir, dès le début de la grande section, par des aides différenciées ciblées», explique la circulaire. «Pour mettre en œuvre les programmes de l'école élémentaire, ces domaines sont désormais dotés de repères de progression. L'ensemble constitue une base indispensable à l'accompagnement et à la formation des maîtres.» Autrement dit, le ministère propose aux professeurs des outils concrets pour repérer dès le premier trimestre de grande section de maternelle les élèves qui, déjà, seraient à la peine dans une dizaine de domaines listés par la circulaire: reconnaître à l'oral les mots, les syllabes, les phonèmes (segmenter, discriminer) et connaître les lettres de l'alphabet», «avoir une conscience syntaxique (qui fait quoi, où, quand, comment?)», ou même «s'organiser dans les tâches, planifier».

En octobre 2011, une polémique avait enflammé le monde enseignant après la présentation par le ministère d'un dispositif de repérage des élèves de grande section de maternelle distinguant des élèves «à risques». «Évaluations», «fichage»… les mêmes mots reviennent aujourd'hui dans la bouche de certains pour qualifier les recommandations de la circulaire. Au Snuipp, principal syndicat de professeurs des écoles, on dénonce une «primarisation» de l'école maternelle à travers la préparation à l'apprentissage de la lecture, quand cette école devrait mettre l'accent sur la «socialisation».

«Beaucoup de collègues sont terriblement hypocrites, déplore Claire, institutrice dans le Val-d'Oise. Dans notre école, où certains élèves ont beaucoup de mal non seulement pour les apprentissages mais même pour les règles de base de la vie en groupe, nous savons très bien dès la maternelle quels sont ceux qui auront des difficultés plus tard. Alors, autant le dire et agir. Or, il y a des jeunes collègues qui sont totalement démunis, et qui se disent que le gamin qui ne reconnaît pas les sons en grande section s'améliorera l'année suivante au CP. Le gamin prend du retard, et ne rattrape jamais.»

Comprendre le principe de l'écriture alphabétique

Le repérage des élèves en difficulté semble en fait l'exemple même du faux problème. Le premier argument des opposants consiste à dire que les enseignants le font déjà. Le deuxième porte sur la nature même du travail à effectuer en école maternelle. Pour l'heure, la grande majorité des enseignants y pratique une initiation à l'écrit qui s'appuie sur un départ global. Apprendre dès la moyenne section de maternelle à reconnaître «oiseau» ou «papillon» dans une série de mots écrits risque surtout d'embrouiller des enfants qui n'ont pas encore compris le principe de l'écriture alphabétique. «L'institutrice de ma fille leur demande de reconnaître le mot “skateboard”, témoigne ainsi Christophe, jeune chef d'entreprise lorrain. Franchement, en grande section, alors qu'ils ne connaissent pas toutes les lettres, quel est l'intérêt?»

Des outils devraient être proposés aux enseignants avant la rentrée pour compléter la circulaire. Ils contiendront des exercices de manipulation des phonèmes, pour que les enfants identifient les sons qui construisent chaque mot, constituent une base pour une approche progressive du code alphabétique. Les élèves en difficulté doivent ensuite être suivis soit en petit groupe, soit en «aide personnalisée». Rien là qui puisse ressembler au «fichage» d'enfants qu'on enfermerait dans leur échec.
Le Figaro

[Memo]

Mieux vaut ne pas déclencher l'accouchement sans raison

Par Martine Perez, - le 01/04/2012
Le déclenchement de l'accouchement pour des raisons de confort augmente le risque de complications, selon une enquête australienne.

Beaucoup de femmes, en accord avec leur médecin, choisissent pour des raisons de confort de programmer le moment du déclenchement de l'accouchement. Pour éviter que cela se passe la nuit, dans l'urgence, en l'absence de l'obstétricien choisi ou pour que le conjoint puisse être présent…

Une enquête de l'Université d'Adélaïde (Australie), publiée le 29 mars dans une revue spécialisée (Acta Obstetricia et Gynecologica Scandinavica), révèle que l'induction du travail en fin de grossesse, lorsqu'elle n'est pas nécessaire pour des raisons médicales, augmente le risque de complications.

28.000 naissances analysées

Le Dr Rosalie Grivell a examiné, pour connaître l'impact de ce déclenchement sur la suite de l'accouchement, les données concernant 28.000 naissances dans le sud de l'Australie entre 2006 et 2008. Elle a comparé l'issue de la grossesse pour celles qui avaient choisi par convenance personnelle une induction de l'accouchement et celles qui avaient préféré laisser faire la «nature».

Au terme de l'analyse, il apparaît que le risque de césarienne est plus important en cas de déclenchement. Il y a 67 % de délivrance chirurgicale en plus chez les femmes qui avaient choisi un accouchement programmé. De surcroît, le risque que le nouveau-né ait besoin de soins à la naissance augmente de 64 % en cas d'induction (avec 44 % de traitements médicaux supplémentaires).

«Prendre conscience des risques à déclencher un travail»

«Notre recherche vise à mieux comprendre le moment optimal et la gestion du travail d'accouchement pour les femmes présentant une grossesse non compliquée, assure Rosalie Grivell. Nous espérons que notre enquête fasse prendre conscience des risques à déclencher un travail, plutôt que d'attendre qu'il se déclenche seul. En l'absence de problème particulier pour la mère et l'enfant, il vaut vraiment mieux éviter l'induction du travail.»

Dans cette enquête, il apparaît aussi que le taux le plus faible de complications pour la mère et l'enfant se situe lorsque le travail spontané se produit entre la 38e et la 39e semaine d'aménorrhée.
Le Figaro

[Memo]

Cruiser, Gaucho, Regent : Ces insecticides qui tuent les abeilles

Le Cruiser est sur la sellette, des années après l'interdiction du Gaucho et du Regent en France. Ces trois insecticides, autorisés dans de nombreux pays, sont accusés d'entrainer une surmortalité des abeilles.


Les abeilles subissent une hécatombe. Le taux de mortalité de ces pollinisateurs est en chute libre aux Etats-Unis et en Europe depuis les années 1990. Ce risque de disparition est une catastrophe pour l'écosystème, car ces insectes assurent les trois quarts de la pollinisation des cultures fruitières et légumières partout dans le monde, par exemple les fruits à coque, le concombre, le melon, la pastèque ou encore le cacao. Si bien que l'on estime que 35% des ressources alimentaires mondiales dépendent des abeilles.




Une étude démontre les dangers du Cruiser

Les entomologistes avancent différentes hypothèses pour expliquer le phénomène, notamment l'utilisation de certains pesticides, l'apparition de virus, la pollution ou même les ondes magnétiques. Une nouvelle étude accuse en particulier le Cruiser. Ces travaux, publiés jeudi 29 mars dans la revue scientifique américaine Science, démontrent que ce pesticide perturbe la capacité des abeilles à retrouver leur ruche, multipliant par 2 ou 3 leur risque de mourir.

Le soir même de cette publication, le ministre de l'Agriculture a annoncé avoir demandé à l'Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses) de rendre un avis avant la fin du mois de mai pour confirmer, ou non, les dangers présentés par cet insecticide. « Si ces nouvelles données étaient confirmées, l'autorisation de mise sur le marché du Cruiser OSR serait retirée », a-t-il indiqué.

Le Cruiser pourrait donc disparaitre des cultures françaises, quelques années après l'interdiction du Gaucho et du Régent, tout aussi redoutés par les apiculteurs ces dernières années.

Interdiction du Cruiser ? Réponse d'ici le 31 mai 2012

Le Cruiser, fabriqué par la société suisse Syngenta, est utilisé en France depuis 2007 pour les cultures de maïs. Ce produit qui contient du thiaméthoxam est destiné à protéger les semences des larves de taupins (un coléoptère qui ravage les cultures). Un avis de l'Anses sur la dangerosité du produit est attendu d'ici le 31 mai. En fonction des conclusions de cette instance officielle, le ministère décidera de prolonger son autorisation ou de l'interdire une bonne fois pour toute.

Suspension du Gaucho sur le tournesol en 1999

Le Gaucho a commencé à être employé en France en 1994 en tant qu'enrobage des semences de tournesols. Comme pour le Cruiser, les apiculteurs ont considéré qu'il était en partie responsable de la surmortalité des abeilles. En vertu du principe de précaution, il a été suspendu sur le tournesol en 1999, avant d'être également interdit sur le maïs en 2004.

Suspension du Régent en 2004

Le Régent TS est fabriqué par la société BASF. Cet insecticide, utilisé pour le traitement des semences de maïs, a été lui aussi accusé de décimer les abeilles. Sa commercialisation a été suspendue en France en 2004, mais il reste autorisé dans de nombreux pays, notamment les Etats-Unis.
France soir

[Memo]

Junk food : Facteur de dépression ?

La consommation fréquente de "malbouffe" augmenterait de près de 51% le risque de souffrir d'une dépression.


« T'as pas la frite ? », « t'as pas l'air dans ton assiette ? ». Les personnes qui consomment fréquemment de la junk food entendraient plus souvent ces phrases. Une étude menée à l'Université de Las Palmas de Gran Canarias (Iles Canaries) et publiée dans la revue Public Health Nutrition révèle en effet que ceux qui consomment de la « malbouffe » sont plus de deux fois plus exposés au risque de faire une dépression qui ceux qui ont une alimentation plus équilibrée. Ceci serait notamment dû aux graisses contenues dans ces aliments.




Pas de fruits et légumes

Pour parvenir à ces conclusions, les chercheurs ont considéré que la « malbouffe » était notamment composée de plats déjà préparés et vendus en grandes surfaces, de beignets, de viennoiseries, de pizzas, de hot-dogs et de hamburgers. L'un des auteurs de l'étude, Almudena Sanchez-Villegas, a expliqué que plus la consommation de ce type d'aliments était importante, plus le risque de souffrir de dépression était élevé.

L'étude a par ailleurs mis en évidence le fait que les personnes qui consomment fréquemment de la « malbouffe » étaient le plus souvent célibataires et sédentaires. Mais aussi que leur alimentation comprenait, de manière générale, peu de fruits et légumes et peu de poisson, qu'ils étaient fumeurs de tabac et effectuaient des semaines de travail de plus de 45 heures.

Près de 9.000 personnes n'ayant jamais souffert de dépression et n'ayant jamais pris d'antidépresseurs ont été étudiées pendant en moyenne six mois pour mener cette étude. Plus de la moitié ont ensuite été diagnostiquées en dépression. Certaines ont même dû commencer à suivre un traitement pendant l'étude. Plus de 120 millions de personnes souffrent de dépression à travers le monde.
France soir

[Memo]

Développement durable : La crise peut changer nos modes de vie

La semaine du développement durable se tient du 1er au 7 avril. Alors que son thème principal est l'éco-consommation, pour 9 Français sur 10 la crise est l'occasion de changer de mode de vie et de consommation, selon une enquête publiée ce lundi.

Le ministère de l'écologie a donné dimanche le coup d'envoi de la Semaine du développement durable. L'éco-consommation est le principal thème de cette 10e édition qui se déroulera jusqu'à samedi. Expositions, animations, projections de films, randonnées, conférences, festivals… plus de 3.700 activités sont proposées au public partout en France. Vous pouvez consulter le programme région par région sur le site de la Semaine du développement durable.




33% veulent changer le système

Alors que les organisateurs invitent les citoyens à devenir des « consom'acteurs » pour mieux préserver la planète et les ressources naturelles, une enquête annuelle révèle que près de 9 Français sur 10 veulent changer leur mode de consommation. Précisément, 88% des sondés estiment que la crise économique devrait être l'occasion de changer de mode de vie et de consommation, selon ce baromètre 2012 de la consommation responsable du cabinet conseil Ethicity publié ce lundi.

8 % d'irréductibles parmi les consommateurs

Pour autant, la volonté de changement reste modérée pour 57% des Français qui ne souhaitent pas changer les fondements du système de la société actuelle mais juste en revoir certains aspects. Pour 33% la crise a cependant montré la nécessité de changer ce système considéré comme non viable et donc de repartir de zéro. Seuls 8% d'irréductibles pensent qu'il faut préserver nos modes de vie actuels.

« Les gens prennent conscience qu'il faut se serrer la ceinture, mais il y a quand même une volonté de vivre mieux », a expliqué Gilles Degroote, directeur associé d'Ethicity. Cela se traduit par des gestes quotidiens destinés à gaspiller moins et consommer de manière plus responsable.

Dans la pratique, le bien-être de la famille, la santé et le coût de la vie restent les premières préoccupations des consommateurs. En quatrième position, le besoin d'être heureux a gagné 6 points par rapport au baromètre 2011. La perception de l'impact social positif de la façon de consommer a augmenté de 9 points en un an, l'impact économique a gagné 12 points et l'impact environnemental 5 points.

Les consommateurs accordent de pus en plus d'importance à l'information sur les produits, notamment le lieu de fabrication et les composants. Si bien que 85% des sondés ont assuré privilégier les entreprises ayant préservé une implantation locale, tandis que 76% ont regretté le manque d'informations sur les conditions de fabrication.

"Le changement ne viendra pas des politiques"

« En comparant l'enquête aux sondages politique de la campagne électorale ce message de volonté de changement montre que les gens prennent conscience que cela ne viendra pas des politiques, mais bien des individus et des entreprises », analyse Gilles Degroote.

Les Français prétendent avoir amorcé le changement, à commencer par le tri des déchets qui serait systématiquement effectué par 79% d'entre eux, selon leurs déclarations. En outre 47% veillent à réduire leur consommation d'énergie, 45% celle d'eau et 49% évitent les produits trop emballés. Seuls 28% pensent à diminuer leur consommation de papier.

L'enquête menée par voie postale auprès d'un panel représentatif de 4.055 personnes âgées de 15 à 74 ans entre le 20 février et le 16 mars 2012 par Kantar Média et TNS Sofres.
France soir

[Memo]

Et dernière petite info j'ai appris qu'il existait des brigades du bruit à Paris je crois que c'est les Pierrots de la nuit ceux sont des comédiens, mimes, chanteurs.... Qui sensibilisent aux nuisances sonores

D'après ce que j'ai compris...
J'essaierais de vous trouver un article plus tard dans la journée!!

[Memo]

Je vous ai pas oublier!!


Inspirées par un dispositif qui a déjà fait ses preuves à Barcelone et Vienne, les Pierrots de la Nuit sont des équipes d'artistes et de médiateurs qui sillonnent les rues de Paris pour inciter les clients des bars et restaurants à baisser d'un ton. Découvrez ces véritables « brigades d'interventions artistiques nocturnes »...

Utiliser le verbe, la comédie, le mime ou la danse pour sensibiliser les riverains, les responsables des établissements, les usagers de la nuit ? Telle est la mission novatrice des Pierrots de la Nuit, ces nouvelles « brigades d’intervention artistiques nocturnes » qui sensibilisent le public de nuit aux nuisances sonores.

L’originalité de la méthode surprend et interpelle… Les noctambules s’interrogent : qui sont-ils ? Que font-ils et pourquoi ? L’art de rue n’est pas ressenti comme une agression, en revanche il force l’écoute et le respect. Eux-mêmes l’expliquent très bien : « le silence n’est pas une répression mais une forme de partage »

Lancé par l’association A.M.U.O.N (Association de Médiation pour un Usage Optimal de la Nuit), le dispositif Les Pierrots de la Nuit est une forme unique et innovante de médiation à la fois nocturne, artistique et sociale visant à concilier la vie festive des nuits parisiennes et la quiétude des riverains afin de promouvoir un vivre-ensemble plus harmonieux. Il a été imaginé suite à la tenue des Etats Généraux de la Nuit en novembre 2010 (voir plus bas) et des bons retours des villes ayant mis en place ce dispositif chez elle (Barcelone, Tarragone ou encore Vienne).

En expérimentation depuis plusieurs mois dans les quartiers à forte activité festive - comme Pigalle, la Butte-aux-Cailles ou Oberkampf - les "Pierrots de la Nuit" vont désormais passer à la vitesse supérieure et couvrir environ 15 quartiers plusieurs fois par semaine : peut-être les croiserez-vous très prochainement ?



Qui sont les Pierrots de la Nuit ?
Les Pierrots de la Nuit fonctionnent en trinômes, composés d’un duo d’artistes et d’un médiateur social.

Aujourd’hui, l’équipe comprend 37 artistes sélectionnés et formés par l’association, qui viennent d’horizons artistiques différents : mimes, danseurs, clowns, comédiens.

Pour les accompagner, une dizaine de médiateurs de rue sont présents tout au long du parcours pour renseigner, sensibiliser et prévenir les éventuels conflits. Ils sont issus du CMFM (Centre de Médiation et de Formation à la Médiation) et disposent tous de compétences linguistiques (espagnol, anglais, italien, allemand, arabe) afin de faciliter la communication du message envers les personnes de passage dans la capitale
La mairie de paris

[kysa]

merci mémo!

[Mag12]

merci memo je lis ts les jours vos infos

[william57]

Servier a testé le Mediator comme coupe-faim
Par le figaro.fr - le 01/04/2012
Des essais cliniques, retrouvés lors de perquisitions au siège du laboratoire Servier, montrent que le Mediator a été testé sur des êtres humains comme coupe-faim, contrairement à ce que le laboratoire a jusqu'ici affirmé.
La perquisition dans les locaux de Servier a apporté la preuve que le laboratoire a bien testé sur des êtres humains son médicament Mediator comme coupe-faim, selon Le Journal du dimanche . L'entreprise avait jusqu'à présent toujours nié avoir effectué de telles recherches. L'hebdomadaire cite des extraits sans ambiguïté de trois rapports médicaux réalisés entre 1968 et 1973, dont il a obtenu copie.
«Le 780 SE (ou Mediator) peut être considéré comme un anorexique des plus satisfaisants et mérite d'être retenu comme adjuvant des plus précieux dans le traitement de l'obésité», indique l'un de ces rapports, rédigé en septembre 1971 après des essais sur 64 personnes obèses. «L'introduction de ce produit nous paraît un progrès certain dans la thérapeutique de l'obésité», attestait un an et demi plus tard un autre rapport, après expérimentation sur 31 sujets.
Dès 1968, un premier document du même type évoquait «62,5% d'excellents résultats» dans des «cures d'amaigrissement» réalisées «grâce à cet anorexique». Me Hervé Temime, l'avocat du patron fondateur du laboratoire Jacques Servier, réagit dans l'hebdomadaire en interrogeant: «Dans les années 1970, si le groupe Servier avait eu entre les mains un coupe-faim d'une telle efficacité, pourquoi ne l'aurait-il pas mis sur le marché?» «Ces produits n'étaient frappés d'aucune interdiction à l'époque, bien au contraire», ajoute-t-il.

Un témoignage accablant
Ces informations du JDD confirment un témoignage qu'avait publié LeFigaro dès septembre 2011. Une femme médecin, gynécologue, raconte dans une lettre comment, en toute confiance, elle a prescrit le Mediator comme coupe-faim et se l'est également administré à elle-même: «Pendant des années, le laboratoire Servier envoyait plusieurs fois par an leur déléguée médicale vanter l'indication majeure du Mediator et son efficacité dans l'excès pondéral ; et dans la foulée, très généreusement, elle laissait un bon nombre de boîtes d'échantillons gratuits à distribuer. J'avoue en avoir pris, comme toutes les femmes, ayant à l'approche des beaux jours 3 à 5 kilos à perdre, et ce pendant des années. Et là où le bât blesse, c'est qu'en toute confiance, convaincue de l'efficacité et de l'innocuité de cette indication promue par la déléguée du laboratoire Servier en personne, je l'ai aussi prescrit à mes patientes pendant des années.»
Le Mediator, qui contient une molécule coupe-faim, le benfluorex, a été indiqué pendant trente ans, d'abord contre l'excès de graisses du sang, puis comme traitement adjuvant chez les diabétiques en surpoids, avant d'être retiré du marché fin 2009. Il a en fait été largement prescrit pour maigrir. Utilisé par cinq millions de personnes en France, ce médicament est à l'origine de graves lésions des valves cardiaques et pourrait être responsable d'au moins 500 à 2000 décès. Un premier procès pénal dans cette affaire se tiendra du 14 mai au 6 juillet devant le tribunal correctionnel de Nanterre.

[william57]

Voila comme ça vous avez des news du Médiator et pis ce qu'il y a de bien dans cet article c que à la fin il résume l'histoire.
Il oublie juste que c Irène Frachon une pneumologue qui a révélé le scandale du Médiator.
Voili voilou