Culture Générale

[Memo]

Entre inquiétudes et félicitations : réactions après le rapport sur l'autisme de la Haute autorité de santé


Recours intensif aux méthodes éducatives et comportementales "recommandé", approches psychanalytiques et psychothérapie institutionnelle "non consensuelles", "opposition formelle" à la technique des enveloppements humides (packing), à l'exception des essais cliniques autorisés. Les recommandations de bonnes pratiques sur la prise en charge des enfants et adolescents souffrant de troubles envahissants du développement (TED), publiées jeudi 8 mars,par la Haute Autorité de santé (HAS) et l'Agence nationale de l'évaluation et de la qualité des établissements et services sociaux et médico-sociaux (Anesm), suscitent des réactions dans le milieu associatif, politique et psychiatrique.
■Le Collectif Autisme, qui rassemble les six fédérations d'associations de parents d'enfants autistes les plus représentatives en France (Asperger Aide France, Autisme France, Autistes sans frontières, Sésame Autisme, Pro Aid Autisme et La Fondation Autisme), note que "seules sont recommandées par la HAS dans le cadre de l'accompagnement des personnes autistes les approches éducatives ayant fait la preuve de leur efficacité". Il regrette cependant "que les approches psychanalytiques soient seulement qualifiées de 'non consensuelles', alors qu'aucune étude scientifique ne valide ces pratiques et qu'elles ne correspondent en rien aux besoins des usagers, pourtant un pilier de la construction des recommandations". Le Collectif précise qu'il sera "particulièrement attentif à ce que des approches dites 'intégratives', sans aucun contenu, ne servent pas à imposer indirectement la psychanalyse ou la psychothérapie institutionnelle, qui ne figurent pas dans les pratiques recommandées".
■L'association Vaincre l'autisme, qui a fait de l'interdiction du packing son cheval de bataille, "félicite la HAS pour la sortie de son rapport". Elle estime que celui-ci, "respectueux des droits et besoins des personnes atteintes et, surtout, tenant compte des dernières avancées scientifiques, médicales et pédagogiques internationales, doit désormais être diffusé à large échelle pour ne pas rester lettre morte". Et appelle les pouvoirs publics à en tirer "les conclusions qui s'imposent, à commencer par donner une suite à notre demande de moratoire contre le packing".
■Daniel Fasquelle, député (UMP) du Pas-de-Calais, auteur d'une proposition de loi visant à interdire l'approche psychanalytique dans le champ de l'autisme, constate que la HAS "donne enfin raison aux parents, qui revendiquent depuis de nombreuses années la possibilité de recourir à des stratégies éducatives ou comportementales". Il déplore cependant "que la HAS ait reculé sous les pressions corporatistes du lobby psychanalytique, puisqu'elle a simplement choisi de classer les pratiques d'inspiration psychanalytique dans les 'interventions globales non consensuelles'". L'absence de données sur leur efficacité, à la différence des méthodes éducatives et comportementales, aurait dû, selon lui, "les faire figurer dans les pratiques non recommandées, au même titre que les régimes sans gluten, certains sédatifs et d'autres méthodes n'ayant pas fait la preuve scientifique de leur utilité".
■ La Fédération française de psychiatrie (FFP-CNPP), "dans le contexte actuel de mise en cause de la pédopsychiatrie et de la psychanalyse", rappelle "l'importance, dans le processus médical, de la remise en question constante des connaissances et leur fragilité". Elle précise que "toute affirmation concernant des thérapies, quelles qu'elles soient, même présentées comme ayant une efficacité prouvée ou réfutée a priori, demande à être confrontée à la pratique sur la durée et à de nouvelles études envisageant l'ensemble de la complexité de la question".
■ Le professeur Pierre Delion, chef du service de psychiatrie de l'enfant et de l'adolescent du CHRU de Lille et principal promoteur français du packing, estime que le rapport de l'HAS est "une catastrophe pour les enfants autistes qui bénéficient du packing et leurs parents". Considérant cette décision "contraire à la réalité scientifique, clinique et thérapeutique", il précise que l'HAS "se disqualifie gravement", et empêche la réalisation de la recherche entreprise pour évaluer l'efficacité de cette technique, "en soumettant les chercheurs concernés à un paradoxe difficile à dépasser, puisqu'il les oblige à demander à des parents l'autorisation d'inclure leur enfant dans une recherche visant à prouver l'efficacité d'une technique qu'elle interdit par ailleurs".

Catherine Vincent
Le monde

[mel73]

J'aimerai savoir ce que vous pensez de ce sujet.


<<Être sage : savoir qu'on ne sait pas >> (Platon)

Intro : Je promets de ne plus affirmer que les deux ans de philosophie que j'ai fais au lycée ne me seront jamais utiles dans mon parcours professionnel. Et Léa j'adore ta réponse à ce sujet.

I) SAGESSE ET SAVOIR
- Definition :
Le terme "sagesse" se traduit par les notions de bien et de mal et la capacité à engendrer une réflexion.
Le terme "savoir" correspond à l'acquisition des connaissances.
- On peut noter une première nuance entre les deux termes. La sagesse dépend de l'individu et de son contexte : les mœurs, le courant de pensée auquel il appartient, sa culture,sa religion et ainsi est changeante selon l'époque.
( La sagesse d'un épicurien ne sera pas la même que celle d'un chrétien par exemple)
Or le savoir, donc le fait d'avoir des connaissances a une notion (je dirais) de "vérité universelle". En effet : 1+1 sera toujours égal à deux (oui je sais mauvais exemple!), la Terre sera toujours une planète tellurique, perdre quelqu'un qu'on aime fera toujours mal.
- Cependant ces deux termes sont étroitement liés. Premièrement, l'un comme l'autre ils ne sont pas innés, mais s'acquiert : "Si jeunesse savait, si vieillesse pouvait". Deuxièmement,la sagesse s'acquiert par l'expérience. Comme l'expérience apporte un "savoir", le savoir semble indissociable de la sagesse. Ce qui nous conduit à l'analyse de la problématique.

II) ANALYSE
- Si l'on suppose que le savoir est nécessaire à la sagesse. La réciproque n'est cependant pas forcément vrai. Connaitre quelque chose ne veut pas forcément dire qu'on sait réfléchir.Par exemple si on transmet un même savoir à deux personnes différentes (la colonisation exemple), ils n'en feront pas le même usage. La sagesse suppose donc que derrière une connaissance, il y ait une réflexion.
- D'où l'importance de la deuxième partie de la phrase " c'est savoir qu'on ne sait pas". Le sage peut, en effet être dénué de toute instruction (donc de connaissances) mais peut savoir réfléchir,se poser des questions : avoir un raisonnement. Le sage sera donc conscient qu'il "ne sait pas", mais la réflexion sera là, or c'est un cheminement indispensable à la sagesse.
exemple : Les doyens des villages, nos grands-parents sont généralement moins instruits que nous, mais nous prenons toujours à cœur les conseils et les avis des anciens.
- On peut néanmoins réfuter cette philosophie, car le savoir ne réside par uniquement dans l'instruction, mais aussi dans l'expérience. En ce sens, les anciens ont un savoir supérieur au notre : Les anciennes savent ce qu'était la vie avant le droit de vote des femmes, l'ancien sera mieux faire son métier que le débutant par exemple.

CCL : Le lien et la nuance entre la sagesse et le savoir est subtile, mais il est certain que le temps joue un rôle essentiel dans l'apprentissage des deux choses. L'étude de ce sujet à constitué les 9min45 les plus longues de ma courte existence

[Memo]

Gels pour les mains : Ils enivrent les enfants

Les gels hydro-alcooliques seraient responsables d'intoxications et même d'états d'ébriété chez les plus jeunes enfants.


Des gels qui agissent comme du poison. Une étude réalisée par les Centres antipoison et de toxicovigilance pour l'Afssaps a récemment révélé que les gels pour les mains seraient responsables d'intoxications chez les enfants. Les analyses ont en effet montré qu'en 2009, « 248 cas d'exposition aux produits hydro-alcooliques pour lavage des mains ont entraîné des symptômes » comme des irritations, un état de somnolence ou d'agitation et même d'ébriété. Dans plus de la moitié des cas, le produit avait été ingéré tandis que 35% des cas il avait été en contact avec les yeux. Pire, plus de 50% des personnes souffrant de ces symptômes étaient âgées de moins de quatre ans.




2,2 g/l à seulement quatre ans

La revue Prescrire rapporte ainsi le cas d'une petite fille de moins de cinq ans qui a été « présentée à un service d'urgence après avoir ingéré environ 170 ml d'une solution hydro-alcoolique pour les mains. Elle était hypnotique mais consciente. Une heure après l'ingestion, l'alcoolémie était de 2,2 g/l. Après une nuit d'observation les symptômes se sont amendés ». Dans son rapport publié en mars dernier, l'Afssaps a, quant à elle, indiqué que « la dose d'éthanol pouvant entraîner des complications a été estimée (en 2001 par Mc Guigan) à 1,5 ml/kg de poids corporel, soit environ une cuillère à soupe pour un enfant de 10-12 kg, c’est-à-dire âgé de 1 à 2 ans ».

Des parfums attrayants

Les gels hydro-alcooliques sont une alternative aux lavages des mains quand on ne dispose pas d'un accès à une source d'eau. Le plus souvent utilisés dans les transports en commun et en voiture, leur goût est généralement mauvais afin de dissuader les plus jeunes de l'ingérer. Certains fabricants proposent cependant des parfums plus attrayants. Prescrire rappelle ainsi l'importance de tenir ces produits « hors de portée des enfants » et de veiller à ce que leur utilisation demeure « exceptionnelle ».
France soir

[Memo]

Le sperme n'était pas celui du mari : l'hôpital condamné

Le CHU d'Angers a été condamné par le tribunal administratif de Nantes à verser 4000 euros à un couple pour faute médicale.


Les faits remontent à juin 2008, un couple, souhaitant avoir un enfant, décide d'avoir recours à une insémination au centre d'assistance médicale à la procréation à l'hôpital d'Angers. Après avoir pratiqué le geste médical et en rapportant l'éprouvette vide dans son laboratoire, une technicienne réalise que le sperme que le médecin venait d'inséminer n'était pas celui du mari de la patiente comme le révèle Ouest-France. La jeune femme a aussitôt pris la pilule du lendemain pour interrompre une éventuelle grossesse.

Une erreur qui vaut une indemnisation a jugé, le 29 mars dernier, le tribunal administratif de Nantes qui a condamné l'hôpital d'Angers à verser 4000 € au couple.
Le figaro

[angelo50]

Alex, ton sujet est t-il vraiment tiré d'un sujet Concours IFSI ?

<<Être sage : savoir qu'on ne sait pas >> (Platon)

ou tu l'as sorti du chapeau ?


Je veux dire que l'on est pas là pour passer un oral de philo mais bien un oral en rapport avec un thème Sanitaire, social voir sociétal

Si perso, je tombe sur un sujet de ce type, j'essayerai de faire le lien avec les 3 thèmes précités mais là, à brûle pour poing, c'est chaud (petit jeu de mot du matin )

Angélo.

[mel73]

Qu'est-ce que soigner? de Jouliie + Réponse au plan de Mémo

Alors je me suis mise 10 min et.... Je sèche. Je dirais donc que le plan de Mémo est bien fait!
Je rajouterais peut-être (je ne sais pas dans quelle partie, ou en intro ou ccl?):
- Def Soigner : Administrer des soins médicaux en vue de maintenir et/ou de rétablir la santé.
- Faire le lien avec le métier infirmière : Acte technique est le quotidien de l'infirmière.
- Ethique : Soigner est indissociable de "prendre soin" ( tu vas pas brancher une perf en en ayant rien à faire que le patient ait peur (enfant), ait mal, ait imprévisible (parkison). D'ailleurs beaucoup de progèrs ont été fait (Loi 2002 :prise en compte douleur,Loi Léonetti : interdiction acharnement thérapeutique, dvlpt soins palliatifs, progrès en matière d'anti-douleurs et tranquilisant, formation pro de santé)

[PandoraLaeti14]

"Qu'est ce que soigner?"

Soigner : Il existe différents types de soin

I_Soin curatif
1/ d’un point de vue physique :
Lutter contre la maladie jusqu’à l’éradiquer du corps de la personne
2/Médecin : diagnostiquer la maladie
Infirmière : Application des prescriptions médicales et surveillance des complications
Patient : éducation thérapeutique

II_Soin préventif
1/Prévenir l’arrivé d’autre maladie
2/Hygiène du corps, Hygiène du matériel
Infirmière/Aide soignant/Patient : Hygiène corporel
Infirmière : Hygiène du matériel médicale
Agent de service hospitalier : Hygiène des infrastructures

III_Soin palliatif
1/Soulager la souffrance du patient
2/Médecin : Prescrit le calmant
Infirmière : Administre calmant

Memo, j’aurai également expliquer les soins curatif, palliatif et préventif (J'aurais rajouter dans préventif le fait de prévenir et informer le patient sur sa maladie.) et j'aurais rajouter les soins de confort qui me semble important aussi.

[PandoraLaeti14]

J'aimerai savoir ce que vous pensez de ce sujet.


<<Être sage : savoir qu'on ne sait pas >> (Platon)

Intro : Je promets de ne plus affirmer que les deux ans de philosophie que j'ai fais au lycée ne me seront jamais utiles dans mon parcours professionnel. Et Léa j'adore ta réponse à ce sujet.

I) SAGESSE ET SAVOIR
- Definition :
Le terme "sagesse" se traduit par les notions de bien et de mal et la capacité à engendrer une réflexion.
Le terme "savoir" correspond à l'acquisition des connaissances.
- On peut noter une première nuance entre les deux termes. La sagesse dépend de l'individu et de son contexte : les mœurs, le courant de pensée auquel il appartient, sa culture,sa religion et ainsi est changeante selon l'époque.
( La sagesse d'un épicurien ne sera pas la même que celle d'un chrétien par exemple)
Or le savoir, donc le fait d'avoir des connaissances a une notion (je dirais) de "vérité universelle". En effet : 1+1 sera toujours égal à deux (oui je sais mauvais exemple!), la Terre sera toujours une planète tellurique, perdre quelqu'un qu'on aime fera toujours mal.
- Cependant ces deux termes sont étroitement liés. Premièrement, l'un comme l'autre ils ne sont pas innés, mais s'acquiert : "Si jeunesse savait, si vieillesse pouvait". Deuxièmement,la sagesse s'acquiert par l'expérience. Comme l'expérience apporte un "savoir", le savoir semble indissociable de la sagesse. Ce qui nous conduit à l'analyse de la problématique.

II) ANALYSE
- Si l'on suppose que le savoir est nécessaire à la sagesse. La réciproque n'est cependant pas forcément vrai. Connaitre quelque chose ne veut pas forcément dire qu'on sait réfléchir.Par exemple si on transmet un même savoir à deux personnes différentes (la colonisation exemple), ils n'en feront pas le même usage. La sagesse suppose donc que derrière une connaissance, il y ait une réflexion.
- D'où l'importance de la deuxième partie de la phrase " c'est savoir qu'on ne sait pas". Le sage peut, en effet être dénué de toute instruction (donc de connaissances) mais peut savoir réfléchir,se poser des questions : avoir un raisonnement. Le sage sera donc conscient qu'il "ne sait pas", mais la réflexion sera là, or c'est un cheminement indispensable à la sagesse.
exemple : Les doyens des villages, nos grands-parents sont généralement moins instruits que nous, mais nous prenons toujours à cœur les conseils et les avis des anciens.
- On peut néanmoins réfuter cette philosophie, car le savoir ne réside par uniquement dans l'instruction, mais aussi dans l'expérience. En ce sens, les anciens ont un savoir supérieur au notre : Les anciennes savent ce qu'était la vie avant le droit de vote des femmes, l'ancien sera mieux faire son métier que le débutant par exemple.

CCL : Le lien et la nuance entre la sagesse et le savoir est subtile, mais il est certain que le temps joue un rôle essentiel dans l'apprentissage des deux choses. L'étude de ce sujet à constitué les 9min45 les plus longues de ma courte existence

Bravo mel! Avec un sujet comme celui ci je m'en sortirai pas! C'est vraiment possible un sujet comme celui la aux oraux infirmière?

[constance36]

Merci beaucoup Memo je lis avec beaucoup d'intérêt tout ce que tu postes !

[Memo]

Mel je t'avais dit que je traiterais tes sujets aujourd'hui

Voilà le premier:
Le don du sang ne cesse de baisser et atteint une situation dramatique. Quelles sont les raisons pouvant expliquer cette situation?

Et obligé à la fin ils te demandent: Avez vous déjà donné votre sang ???

Don: gratuit, anonyme

I/Le don du sang atteint une situation dramatique
1/Différentes formes
_Don sang total=> Transfusion+ Recherche
_Don plasma=> Sérum+Vaccin
_Don plaquette=> Cancer+Leucémie
2/Les besoins augmentent:
Vieillissement population + augmentation des maladies nécessitant des transfusions sanguines
3/Durée de vie courte
Plaquette 5j, GR 42j

II/Causes de la baisse
1/Nombre de don du sang limité: supérieur pour les homme, attention à bien espacé deux dons
2/Contre indication: femme enceinte, poids inférieur à 50kg, femme ayant accouché dans les 6 derniers mois... Pas pour les personne anémique, pas pour les moins de 18 ans ni pour les plus de 70ans...
Interdit aux patients atteints de maladie chronique, personnes ayant déjà étaient transfusés, homosexuels
3/Test effectué sur les tests sanguin=>une partie des dons non transfusé
4/La population n'est pas assez informé sur les besoins croissants et la courte durée de vie...
Après un don pensent à l'année prochaine or besoin constant
5/Localisation des infrastructures habilité à prendre en charge le donneur et horaire d'ouverture

Conclusion: Ouverture: Auto-transfusion, reconstitution de son propre sang


Une petite question en passant pour le don du sang et les témoins de Jéhovah:
Je sais qu'il refusent de se faire transfusé du sang et de se faire vacciner. Est ce qu'il refusent de se faire implanter des organes aussi??
Est ce qu'ils refusent aussi de donner: sang+ organe???
Et est ce qu'il y a d'autre religion comme ça?????

[Memo]

Merci Mel et Pandora d'avoir commenté mon plan je note vos très bonnes remarques!!!

Et je sais plus qui m'en a fait la remarque mais oui, j'avais bien traité que la partie savoir et non sagesse.
Mel et Léa j'aime bien vos idées à cette question!!

[Nanouu]

T'es sur qu'à la fin ils te demandent "Avez vous donner votre sang ?"
Car moi j'aimerai beaucoup le donner je me suis même renseigné pour le faire mais on m'a dit que ce n'était pas possible pour moi car j'ai déjà été transfusé ... Et j'ai pas trop envie de rentrer dans les détails avec eux pourquoi j'ai été transfusé c'est embetant

[Nanouu]

Merci pour le dernier rapport sur l'autisme, moi je m'emmele un peu les pinceaux avec toutes leurs différentes techniques

[constance36]

je pense qu'il le demande mais après si tu dis que tu ne peux pas donner ton sang car tu as déjà était transfusé ils n'ont pas à te demander des explications !

[Nanouu]

D'accord et puis si je sais ça c'est que j'ai fais la démarche de me renseigner ... !