Culture Générale

[mel73]

Soraya super ton plan et tes idées! Il y a beaucoup de choses que j'ai apprises et d'autres auxquelles je n'avais pas pensé!! Un bel apport à cette problématique, pour ce qui me concerne !

[Jouliie]

Bonjour, à tous!
Pour tous ceux qui sont admissibles à l'oral et qui ne l'on pas encore passé, j'ai passé mon oral cet apres midi à gueret !
Alors si ça peut vous aider et surtout vous entraîner voici le sujet que j'ai pioché : " L'eau"
Pouvez vous me donner des idées si vous en avait...
Merci

Ah oui je vois le sujet super bref. Je pense que j'aurais fait une partie l'utilité de l'eau, et dans une seconde j'aurais parlé de la pollution et je pense qu'en conclusion j'aurais fait une petite phrase pour parler des moyens que l'on pourrait mettre en place

[Margo-44]

Pour te répondre Mel73 par rapport au sujet de "rire et guérir".
Alors j'ai répondu avec un plan, je pense que pour n'importe quel sujet il faut répondre sous forme de plan.
Je vais essayer de réécrire ce que j'ai pu mettre.

INTRO:
Aujourd'hui dans nos hôpitaux et en particulier dans les services pour enfants, nous pouvons rencontrer diverses créatures comme des clowns ou des fées qui ont pour seul but commun de faire rire.

Après pour mon développement j'ai parlé dans un 1er temps des effets du rire chez les enfants et adultes malade ainsi que chez les parents d'enfant malade.
(oublier la maladie un instant, rencontrer d'autres personnes, échanger, déstresser ...)
Et en 2nd temps comment doit être le personnel soignant et que peut entraîner le sourire du personnel envers le patient.
(amène un climat de confiance ...)

En conclusion j'ai parlé du développement des thérapies du rire ainsi que des "club du rire" (je ne sais pas si vous connaissez, ça ressemble un peu au yoga sauf que là les gens qui pratique cette activité s'esclaffe de rire).
Dans la vie quotidienne, le rire est facteur de bonheur. Il peut donc être considéré comme un moyen de parvenir au bien-être moral.

[PandoraLaeti14]

Bonjour aux nouvelles arrivantes !

Margo j'avoue que ton sujet... C'est un désastre en ce qui me concerne ! Incapable d'avoir une idée pour en parler! Même avec l'article en entier! Qu'as-tu dis à ton oral (un plan? des exemples? une idée? )

Pandora pour ce qui est de ton plan, je n'arrive pas à savoir s'il est bon ou mauvais Voici le mien pour comparer. Comme la problématique était "commentez" je l'ai fais plus en relation avec le texte. Cependant j'ai mis plus de 10 min pour le faire! Tu me diras ce que tu en penses, que ça m'aide à avoir un avis!

REPONSE A LA PROBLEMATIQUE DE L'ARTICLE DU MONDE
INTRO
Les humains naissent libres et égaux en droit, selon notre Constitution. Un droit commun à tous mis à rude épreuve par la discrimination comme nous le montre cet exemple.

I) CE QUE DÉNONCE CE TEXTE
-Il existe plusieurs type de discrimination : sexuelle,fondée sur l'âge, sur l'état de santé par exemple. Ici, l'auteur de l'article dénonce la discrimination raciale par
le fait que de jeunes ayant un physique d' "étranger" soient contrôler par les forces de l'ordre.
-Cela nous amène au "pourquoi eux" ?
.On note une sureprésentation des personnes d'origine étrangère dans la délinquance.
. Beaucoup de personnes d'origine étrangère vivent les banlieues ou des quartiers difficiles , lieux où les infractions et le trafic de drogue sont les plus importants.
. On peut donc noter de part ces deux premiers éléments que l'acte de discrimination racial peut se fonder sur des aprioris sociaux (et donc indirectement raciaux)
. Le fait que les employés des forces de l'ordre en question, étaient racistes ou xénophobes n'est pas exclure. Il se peut aussi, qu'ils avaient la volonté de "montrer qu'ils savent faire régner l'ordre" , sachant que les relations entre les jeunes d'origine étrangère et force de l'ordre sont généralement tendues.Quelques soient les raisons, il y a abus de pouvoir.

II) LA LOI ET LA DISCRIMINATION
-Comme le précise l'auteur la discrimination est punit par la loi.
L'infraction commise par les forces de l'ordre en est d'autant plus importante étant donné qu'ils sont censés représenter la loi et agissent en sa faveur.
-Mesures contre la discrimination :
. Echelle individuelle : Dénoncer lorsqu'on en voit, inclure la tolérance dans l'éducation du futur adulte, éviter de stigmatiser
. Echelle législative :Ne pas hésiter à porter plainte, en 1972 la loi Pléven : relative à la lutte contre le racisme est adoptée,Législation européenne anti-discrimination,
En avez-vous d'autres pour que ce soit plus complet?
. Echelle de la société : Associations de lutte contre pratiques discriminatoires, éducation civique pour tous
. Amélioration de la détection de la discrimination et punition plus sévères (amendes, emprisonnement)

En lisant ton plan je pense que tu raison de réservé un parti au texte.
Donc plutôt:
I- Ce que dénonce le texte
II- La discrimination
III- Les solution (loi, association,...)

Mais personnellement je trouve que tu décris pas assez la discrimination.

[supercuisto]

Merci les filles pour vos réponses ! Ca permet de compléter ce qu'on peut déjà avoir et/ou connaitre !

Le sujet sur l'eau.... j'aurais pas du tout aimé !!! Dur pour moi l'environnement, la pollution....
Quelqu'un compte faire un plan sur ce sujet ?

[supercuisto]

Bonjour, à tous!
Pour tous ceux qui sont admissibles à l'oral et qui ne l'on pas encore passé, j'ai passé mon oral cet apres midi à gueret !
Alors si ça peut vous aider et surtout vous entraîner voici le sujet que j'ai pioché : " L'eau"
Pouvez vous me donner des idées si vous en avait...
Merci

Bonjour Mae !

est-ce que tu pourrais, sur le topic entrainement oral : questions, motivations... nous dire un peu comment s'est passé la partie motivation et les questions que le jury t'as posé !
merci

[Memo]

Salut tout le monde!!!

Pour le texte de Mel je dis ++++++++++ à son plan!! J'avais pas pensé à détailler le texte!! Merci Mel!!

J'aurais ajouté une ouverture sur la montée de l'islamisme: on parle de discrimination pourtant on demande aux gens d'être vigilant aux islamiques radicaux ceux qui pratiquent l'islam sont donc soumis à une discrimination toléré!!

Et après un sujet comme ça attendez vous à des questions du genre:
Si dans l'exercice de vos fonctions vous êtes confronté à une situation discriminatoire!!!

[Memo]

"On dit que rire vaut un steak. Mais la simple perspective d’une bonne partie de rigolade pourrait-elle remplacer un anxiolytique ?"

Qu'en pensez vous ?

Intro: retour sur le texte

I_Anxiolitique:
1/Différentes formes: médicaments, tabac, steak
2/Conséquences négatives sur l'être humain

Rire: ressent moins la douleur sans conséquences négatives pour l'homme

II_Le rire à l'hopital
1/Rigologie
2/Blouse rose, Nez rouge

Cclusion Ce que j'en pense!!! Rions!!!

[Jouliie]

Ce que tu peux essayer de faire sur ton plan, c'est marqué le nombre de ligne que tu devrais faire pour l'introduction, ainsi que pour chacune de tes parties. Moi je vois à peu près en fonction de mes idées. Mais c'est vrai que des fois c'est embêtant parce qu'on aimerait bien développer un peu plus certains points, pour montrer que l'on sait de quoi on parle. Moi au brouillon me marque mon introduction, ensuite je mets mon grand I, je marque les idées et leur exemple pareil pour la partie II et après je rédige la conclusion et en fonction de l'introduction et la conclusion il me reste un certain nombre de ligne pour mes parties.

Maintenant je ne fais même plus attention, je marque mon plan, mes idées et je me lance. Avec de l'entrainement, on y arrive bien

[totoro348]

Ah oui, en effet ça permet au maximum 27,5 lignes. Je me suis emballée.
Mais étant donné que parfois sur leurs feuilles, il y a des demi-lignes (dues au pliage pour l'anonymat), peut-être qu'ils seront indulgents. C'est quand même compliqué de compter exactement le nombre de lignes...

Sinon, c'est vrai que c'est une bonne technique de prévoir un certain nombre de lignes pour chaque partie du développement.
C'est très peu 25 lignes, pour rédiger une vraie réponse, et complète de surcroit.

Bon, croisons les doigts!

[Memo]

Merci!!
Et voilà l'actualité d'aujourd'hui:

Ceinture de sécurité : Deux enfants sur trois sont mal ou pas attachés !

La Prévention routière met en garde : 20 ans après l'entrée en vigueur de l'obligation d'attacher les enfants en voiture, la majorité sont toujours mal sanglés.

« Les enfants sont formidables », disait Jacques Martin. Mais il semblerait, selon l'association Prévention routière, que les parents le soient beaucoup moins... En effet, lors d'une conférence de presse, associée pour la circonstance au fabriquant de sièges auto pour enfants « Bébé Confort », Prévention routière a présenté les résultats d'une enquête-test, menée les 29 février et 1er mars dans le Bois de Boulogne, à Paris.

A cette occasion, 293 enfants transportés à bord de voitures particulières ont été observés, alors que les véhicules de leurs parents étaient arrêtés par des membres de la Préfecture de police de Paris. Il en ressort que dans 66% des cas les petits observés n'étaient pas ou mal attachés. Lors d'une première enquête similaire menée au même endroit en 2007, ce taux était de 80%.




L'enfant non attaché dans 5,5% des cas

« Bien que des progrès aient été observés, les résultats n'en demeurent pas moins alarmants », assure l'association. Dans 5,5% des cas constatés, le bambin n'était pas du tout attaché. Dans 38,5% des cas il était très mal retenu (enfant mal placé, dans un dispositif mal adapté, ceinture ou harnais mal positionné) et pour 22% des cas, il aurait pu être mieux retenu.

Des progrès ont néanmoins été enregistrés par rapport à la première enquête : le taux d'enfants pas du tout attachés est passé en cinq ans de 9,5 à 5,5% et le taux de bien attachés a progressé de 19,5 à 34%. Pour rappel, selon les chiffres de l'Observatoire national interministériel de la sécurité routière (ONISR), en 2010, 54 enfants de moins de dix ans ont été tués en voiture et 1.479 blessés.

France soir

[Memo]

Alzheimer : Une plateforme téléphonique pour les malades

Le conseil général des Hauts-de-Seine a récemment mis en place un numéro d'appel entièrement consacré aux personnes souffrant de la maladie d'Alzheimer et à leurs proches.

Une démarche unique en France. Alors que 4.000 nouveaux cas d'Alzheimer sont décelés chaque annnée dans les Hauts-de-Seine, le conseil général a décidé d'expérimenter la mise en place d'un numéro d'appel unique censé aider les personnes souffrant de cette maladie et leurs proches en les mettant en liaison avec un interlocuteur idoine. Baptisé « Info Alzheimer Hauts-de-Seine », ce dispositif s'inscrit dans le cadre du plan Alzheimer lancé par l'Etat le 1er février 2008. Testé pendant une période de six mois, celui-ci pourrait ensuite s'étendre à tout le pays si son efficacité est avérée. Pour cette phase d'expérimentation, le conseil général est soutenu financièrement par la Caisse nationale de solidarité pour l'autonomie (CNSA) à hauteur de 230.000 euros




7/7 et 24/24

Joignable au 01 41 20 29 29 (prix d'un appel local), la plateforme téléphonique est opérationnelle tous les jours sans aucune interruption. Le conseil général à l'origine de cette initiative a en effet expliqué que dix employés d'une société spécialisée dans l'accueil téléphonique se relaient pour orienter les malades et leur familles vers « les ressources départementales correspondant à leurs demandes – professionnels, institutions et associations en lien avec la maladie d'Alzheimer – pour favoriser notamment l'accès aux services et aux prestations ».

« Quand il est épuisé, un aidant peut prendre de mauvaises décisions vis-à-vis du malade et parfois devenir maltraitant. C'est important qu'il puisse trouver la bonne personnes à qui parler », a par ailleurs souligné Jean-Luc Noël, psychologue à l'hôpital Sainte-Perine dans le 16e arrondissement de Paris, mercredi lors de la présentation du dispositif.

Plus de 20.000 personnes seraient atteinte de la maladie d'Alzheimer dans les Hauts-de-Seine, d'après le conseil général.
France soir

[Memo]

Asthme : Une appli mobile pour suivre son évolution

Une application a récemment été créée pour aider les personnes asthmatiques à suivre l'évolution de leur maladie.

Une petite bouffée d'air pour les asthmatiques. Le laboratoire GlaxoSmithKiline (GSK) en partenariat avec l'association Asthme & Allergies et le Comité National contre les Maldaies respiratoires (CNMR) a en effet lancé une application pour iPhone qui permet aux personnes souffrant d'asthme de suivre l'évolution de leur maladie.




Plusieurs possibilités

Gratuite, l'application récemment mise au point permet ainsi aux patients de contrôler leur asthme. Les utilisateurs sont en effet invités à renseigner plusieurs informations les concernant. Ils peuvent ensuite évaluer le niveau de contrôle de leur asthme grâce au Test de contrôle de leur asthme (TCA), saisir le débit de leur souffle – ce qui va notamment leur permettre de contrôler leur état respiratoire, mais aussi saisir le nombre de fois où ils ont été contraints de saisir leur inhalateur en urgence pour soulager une crise. En fonction des réponses données par les patients, l'application leur propose ensuite d'envoyer un mail à leur médecin et même, dans certains cas, de l'appeler.

L'application permet par ailleurs de trouver l'école de l'asthme la plus proche de chez soi. A noter, il est également possible de rentrer plusieurs profils différents. Un véritable plus pour les famille d'asthmatiques.

L 'asthme en chiffres

L'association Asthme & Allergies précise sur son site qu'il y a plus de 4 millions d'asthmatiques en France, soit 6,7% de la population et 9% d'enfants. Première maladie chroniques chez l'enfant, l'asthme est la cause de près de 1.000 décès par an chez les moins de 65 ans. Une cause allergique est par ailleurs retrouvée chez 70 à 80% des adultes souffrant d'asthme et chez plus de 90% des enfants asthmatiques.
France soir

[Memo]

Santé : Hausse du nombre d'infirmiers dans les zones déficitaires

Dans un rapport publié jeudi, l'assurance maladie dévoile que le nombre d'infirmiers libéraux est en forte hausse dans les zones dites “très sous-dotées”. Le phénomène contraire a lieu dans les zones “sur-dotées”.

Un fait que l'on constate actuellement, il y a de plus en plus d'infirmiers libéraux dans les zones déficitaires. Les infirmiers libéraux s'installent plus facilement dans les régions où ils sont peu nombreux, un phénomène récent lié aux aides incitatives dont ils bénéficient depuis 2009, a indiqué jeudi l'assurance maladie, qui souhaite étendre ce principe à d'autres professions. Plus encore que les médecins, les infirmiers libéraux sont mal répartis sur le territoire, leur densité variant de un à neuf selon les départements (de un à deux pour les médecins).




Une hausse de 33.5% en trois ans

Comme le rappelle l'AFP, les zones « très sous-dotées » ont une densité moyenne de 85 infirmiers pour 100.000 habitants alors que les zones les mieux dotées bénéficient en moyenne de 192 infirmiers pour 100.000 habitants. La côté méditerranéenne, ou encore la Bretagne sont très bien fournies mais des départements comme la Seine-Saint-Denis ou le Val-de-Marne en manquent cruellement (entre 40 et 60 pour 100.000 habitants). Cependant, depuis trois ans, l'assurance maladie constate un retour des infirmiers dans les zones où une pénurie fait rage. Ainsi, entre fin 2008 et fin 2011, leurs effectifs y ont progressé de 33,5%, soit 354 professionnels supplémentaires. « Ce résultat est d'autant plus satisfaisant si on le compare à l'évolution globale des effectifs d'infirmiers libéraux sur cette même période: +15,3% », souligne l'assurance maladie.

Une situation inverse pour les zones “sur-dotées”

A l'inverse, les effectifs d'infirmiers libéraux ont diminué de 2,9% dans les zones dites « sur-dotées », soit 283 infirmiers libéraux en moins. Entre 2006 et 2008, ces zones avaient enregistré une progression de 8,5%. « On constate une inversion de tendance entre les installations d'infirmiers libéraux dans les zones sous-dotées et sur-dotées », affirme, par ailleurs, Mathilde Lignot-Leloup, directrice déléguée à la gestion et à l'organisation des soins.

Un dispositif d'aide élargi à d'autres professions

Cette hausse du nombre d'infirmiers dans les zones en pénurie est avant tout lié aux aides incitatives mises en place en 2009 qui ont eu un « effet très significatif », selon l'assurance maladie. Selon des projections de l'organisme de santé, ce dispositif devrait permettre de réduire « significativement » les disparités démographiques d'ici 2015. Le nombre d'infirmiers libéraux augmenterait de 8% par an entre 2012 et 2015 dans les zones sous-dotées tandis qu'il diminuerait de 2,8% par an dans les zones sur-dotées sur la même période. Les écarts de densité seraient alors réduits avec 115 infirmiers pour 100.000 habitants en zone très sous-dotée et 171 dans les zones sur-dotées. Ces aides « marchent dans les professions où il y a de fortes disparités mais l'assurance maladie veut déployer ces outils sur la quasi-totalité des professions », a déclaré Frédéric Van Roekeghem, directeur général de l'assurance maladie. Déjà, des accords sur le même principe ont été signés avec les masseurs-kinésithérapeutes et les sages-femmes. Une expérimentation est en cours avec les orthophonistes. Des négociations avec les syndicats de dentistes prévoient également des mesures incitatives. Chez les médecins, celles-ci ont été renforcées pour les zones sous-dotées.

L'assurance maladie avait signé en 2008 un accord conventionnel avec les syndicats d'infirmiers libéraux, entré en vigueur en avril 2009. Cet accord prévoit une aide à l'équipement et une prise en charge des cotisations dues au titre des allocations familiales en contrepartie de l'engagement de l'infirmier de consacrer deux tiers de son activité aux patients résidant dans une zone sous-dotée. Cet accord vise aussi à réguler les installations dans les zones sur-dotées, dans lesquelles toute installation y est conditionnée à un départ. Au mois de septembre, un avenant a d'ailleurs
France soir

[Memo]

Cancer du sein : La participation au dépistage est stable

En 2011, 2,4 millions de femmes ont eu recours au dépistage organisé du cancer du sein. Le taux de participation a été quasiment stable, avec 52,7% de la population cible contre 52% en 2010.

Seulement la moitié des femmes de 50 à 74 ans participent au dépistage organisé du cancer du sein, alors que toutes les femmes de cet âge sont invitées à le faire. « En 2011, plus de 2,4 millions de femmes ont eu recours au dépistage organisé du cancer du sein, ce qui représente 52,7% de la population cible », a annoncé ce jeudi l'Institut de veille sanitaire (INVS). Ce taux de participation a été quasiment « stable » en 2011 par rapport à 2010 (52%), rappelle l'INVS.




En 2011, ce taux a suivi « la même tendance à la stabilité observée depuis 2008 », alors qu'il était en constante augmentation jusqu'en 2008. « La participation semble avoir atteint un palier », explique l'INVS, alors que l'objectif européen est de 70%.

Participation inégale selon les régions

Toutes les régions sont pas dans le même cas. Pour la période 2010-2011, pendant laquelle près de 4,8 millions des femmes ont été dépistées, on observe des taux de participation supérieurs à 60% dans les Pays de la Loire, le Limousin, la Bretagne et le Centre, tandis qu'en Guyane, Corse et Ile-de-France, les taux sont inférieurs à 45%.

Paris fait figure de mauvais élève, avec le taux de participation au dépistage organisé le plus faible (27,4%). Au contraire, tandis les départements de la Haute-Vienne, Loire-Atlantique, Lot-et-Garonne, Maine-et-Loire, Cher, Indre-et-Loire et Deux-Sèvres ont tous les sept un taux compris entre 65% et 70%.

Le plan cancer 2009-2013 s'est donné l'ambition de faire augmenter de 15% la participation au dépistage organisé. Cette augmentation devra atteindre 50% dans les départements où ce taux est le plus faible grâce à la mise en place de mesures ciblées.
France soir