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Re: Fiches culture générale 2012

Message par papillon54 »

Jonathan1 a écrit :Sur un topique j'ai mis les 25 thèmes de culture général qui peuvent tomber.
quel topique ?? :roll:
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Re: Fiches culture générale 2012

Message par papillon54 »

Bonjour à tous !

je n'arrive pas à cerner l'actualité sanitaire et social en ce moment :oops:
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Jonathan1
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Re: Fiches culture générale 2012

Message par Jonathan1 »

Déjà il y à le changement politique pour commencer: Par exemple connaît-tu le nom de la ministre de la santé ?
Secondement le débat sur l'euthanasie
Troisiémement les éthylotest qui deviennent obligatoire le 1 Juillet
Quatrièmement la loi du 31 mars 2012 qui permet aux inf de prescrire de nouveaux soins (bandes, gaz,....)
.....
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Re: Actualités 2012

Message par Memo »

Les malades se sentent mal informés par leur médecin

Par Delphine Chayet - le 04/06/2012
Les procès se multiplient du fait d'une incompréhension entre les praticiens et leurs patients, notamment après une intervention chirurgicale.

En 2005, Catherine a subi une intervention chirurgicale visant à retirer une masse graisseuse sous un bras. Purement esthétique, l'opération lui a laissé des douleurs et une large cicatrice. Se plaignant de ne pas avoir été prévenue de ces séquelles prévisibles, elle a attaqué son chirurgien en justice. Le praticien a été condamné à 2600 euros de dommages et intérêts pour manquement au devoir d'information.

André, lui, a été opéré d'une tumeur bénigne de l'oreille à l'hôpital Henri-Mondor de Créteil. Depuis, il souffre d'une paralysie faciale complète et définitive. L'intervention chirurgicale était vitale, mais le sexagénaire affirme que son chirurgien ne l'a pas informé des risques courus et des autres stratégies de traitement (non exemptes de risque elles non plus). Il a saisi la justice.

Un principe inscrit dans la loi

Obligatoire, l''information du patient avant tout geste chirurgical est un exercice très délicat dans la pratique quotidienne. Ce devoir qui pèse sur les épaules des médecins donne lieu à un contentieux judiciaire de plus en plus important. Il est inscrit dans la loi Kouchner du 4 mars 2002: sauf intervention en urgence, le médecin doit exposer à son malade les différentes stratégies thérapeutiques disponibles et détailler tous les risques «fréquents ou graves, normalement prévisibles», mais aussi les conséquences de l'opération. Le but est d'obtenir un consentement éclairé du patient.

Dans les faits, pourtant, une énumération exhaustive n'a aucun sens, selon les médecins. «Une trop grande quantité d'informations peut être difficile à digérer, voire s'avérer anxiogène pour le patient», explique le Dr Marc Galiano, urologue à Paris. «L'information complète et totale est matériellement impossible: lister toutes les complications décrites dans la littérature médicale prendrait des heures et serait contre-productif», renchérit le Pr Dan Benhamou, président de la Société française d'anesthésie et de réanimation. Ainsi, la mort est rarement évoquée dans une consultation préopératoire, alors que c'est un risque de l'anesthésie. Tout comme les complications exceptionnelles, même si elles sont gravissimes.

La pression des assureurs

Or les juges rendent des décisions le plus souvent favorables aux plaignants. Depuis 1997, c'est au médecin de prouver qu'il a correctement accompli son devoir d'information. Une simple décharge signée de la main du malade ne suffit pas. Une lettre envoyée au médecin traitant, le nombre de consultations préopératoires, le délai de réflexion pourront aussi être pris en compte. En cas de manquement, le malade sera indemnisé même si l'opération était vitale pour lui, donc inévitable. Toutes les spécialités sont concernées, mais aussi la médecine générale.

Conséquence: les médecins ont tendance à se «couvrir» en distribuant des fiches standardisées élaborées par les sociétés savantes, qui décrivent les gestes techniques et leurs risques. Ils font aussi signer des consentements écrits qui, sous la pression des assureurs, sont de plus en plus complets. Au point de faire redouter à certains une dérive à l'américaine, où l'écrit a pris une place démesurée. «Cette fuite en avant a des effets pervers, regrette ainsi Me Georges Lacœuilhe, avocat spécialisé dans la défense des médecins. À vouloir en dire trop, on fait porter beaucoup de choses sur les épaules des malades.»

«Un grand nombre de procès sont dus à un mauvais relationnel»

Depuis une dizaine d'années, des progrès réels ont été enregistrés dans l'information des malades. Malgré tout, les procédures se multiplient. Selon le Pr Benhamou, «ce qui compte, c'est la qualité de l'information donnée. Il existe des techniques pour créer un lien de confiance avec son patient, par exemple être clair, éviter le jargon, laisser la place à des questions… Un grand nombre de procès sont dus à un mauvais relationnel, en l'absence de toute faute médicale.»

D'autant que les patients sont de plus en plus informés quand ils poussent la porte des cabinets médicaux. Souvent ils se sont renseignés sur Internet ou ont pris un autre avis. «Le choix de la technique reste très difficile et le médecin a encore une grande influence», note le Dr Marian Gutowski, chirurgien en cancérologie, qui consacre jusqu'à quarante-cinq minutes à la consultation d'information.

L'information a d'autres contraintes, y compris pour le malade. Pour respecter la parole donnée, une fois au bloc, certains médecins ne vont pas au-delà du geste chirurgical convenu avec leur patient, sauf urgence. Mais sont alors contraints au vu des découvertes opératoires, notamment en cancérologie, de réintervenir une seconde fois pour prélever un ganglion ou faire une ablation élargie non programmée initialement.
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Re: Actualités 2012

Message par Memo »

Ne laissez pas le soleil gâcher la vue de vos enfants

Par Romy Raffin - le 08/06/2012
Les Français ne protègent pas assez les yeux des plus petits contre les UV. Il existe pourtant des astuces simples et peu coûteuses.

Se protéger des UV en portant des lunettes de soleil n'est pas encore un réflexe adopté par tous les Français, et encore moins pour les enfants. Le baromètre* de l'Association nationale pour l'amélioration de la vue (Asnav) révèle en effet que 84% des Français possèdent des lunettes solaires contre 68% des enfants. À la mer et à la montagne, les plus jeunes sont respectivement 63% et 62% à chausser leurs lunettes de soleil, et 25% seulement lors d'une activité sportive. Les Français ne sont pourtant pas inconscients des méfaits pour la vue des rayons solaires puisque 85% d'entre eux pensent en connaître les risques. Ces chiffres peuvent néanmoins alerter quand on sait que les yeux des enfants sont plus vulnérables aux rayons UV en raison d'une cornée plus fine et d'un cristallin très transparent qui protègent moins la rétine que chez les adultes.

Exposer ses yeux aux rayons UV sans les protéger les fragilise sur le long terme en favorisant le développement de la cataracte et de la DMLA (dégénérence maculaire liée à l'âge). Une protection oculaire insuffisante «entame donc le capital vue de millions d'enfants trop exposés» explique le Dr Jean-Pierre Césarini, porte-parole de l'association La Sécurité Solaire qui participe à la sensibilisation de la population aux risques des surexpositions solaires pour la santé, en collaboration avec l'Organisation Mondiale de la Santé. Et même si 37% des personnes interrogées n'ont pas tort en estimantque les rayons UV sont plus dangereux pour la peau que pour les yeux (les lésions oculaires ne tuent pas contrairement au mélanome), la protection des yeux contre les UV reste essentielle.

Conseils pratiques :

• Choisir de bons verres: Pour les plus petits comme pour les adultes, les lunettes solaires de catégorie 3 (le type de catégorie doit figurer sur les lunettes d'après la réglementation européenne) sont à privilégier pour assurer une filtration des rayons UV suffisante. Le mieux étant souvent l'ennemi du bien, la catégorie 4 est, elle, à proscrire car la lumière est nécessaire pour assurer à l'oeil en croissance un bon développement. Les verres à effet polarisant diminuent la réverbération et apportent du confort à la vision mais ne sont pas indispensables d'après le Dr Césarini. Le seul marquage «CE» (mentionné sur une étiquette ou directement sur les lunettes) certifie que les verres protègent bien des rayons UV. Gare aux lunettes «fantaisie» vendues à la sauvette et susceptibles d'être contrefaites, souvent assorties d'une étiquette «CE» factice.

• Une monture confortable: Les lunettes pour enfants doivent pouvoir tenir sur le nez et derrière les oreilles, en leur ajoutant un cordon si nécessaire. Elles doivent également être assez couvrantes pour protéger les bords de l'oeil des rayons transversaux.

• Et à part les lunettes? Les mères inquiètes à la vue de leur bébé refusant systématiquement de porter des lunettes peuvent se rassurer: les dommages oculaires peuvent être limités par le port d'un chapeau ou d'une casquette, et en évitant bien sûr la période de rayonnement intense de 12 heures à 16 heures (idéalement avant 11 heures et après 17 heures). Pour une journée à la plage, il est aussi possible de se prémunir contre la réverbération à l'aide d'une serviette disposée de chaque côté de son parasol pour obtenir une obscurité suffisante. Le refus des lunettes est le plus souvent temporaire , le temps que l'enfant reconnaisse et apprécie le confort visuel apporté par les lunettes de soleil.

*Baromètre réalisé par Opinionway auprès d'une échantillon représentatif de 1.100 personnes de 18 ans et plus, dont 300 de 18-24 ans, du 14 mars au 2 avril
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Re: Actualités 2012

Message par Memo »

Bac : des « applis » pour réviser avec son smartphone

À dix jours de l'épreuve de philosophie, certaines applications permettent aux élèves de se tester et de revoir leurs cours.


Après les annales, voici les «apps»! Les lycéens peuvent désormais choisir entre des centaines de petites applications à charger sur leur téléphone portable. Parmi les plus populaires, les apps qui permettent de gérer leur agenda de révisions. Car beaucoup peinent à s'organiser. Ils peuvent aussi tester leurs connaissances, réviser dans les transports avec des fiches sur leurs portables…







«Ni panacée ni gadget», selon Marc Prensky, le spécialiste américain de l'éducation numérique, et inventeur du concept de «génération Y» ces applications sont particulièrement utiles pour «préparer les examens de questions à choix multiples. L'ordinateur peut poser de nombreuses questions proches de celles posées à l'examen (et même aux examens des années précédentes)». Pour les épreuves plus complexes, avec une large part de rédaction, certaines apps proposent différentes versions et les commentent, en montrant pourquoi certaines sont meilleures. «De toute façon, l'entraînement est bon, résume Prensky, car en apprenant à faire des choix de réponses, on crée à la longue une expertise.»







Pour l'apprentissage des langues, les apps se développent à toute allure, agissant comme un précepteur. «Les adolescents les utilisent de plus en plus», assure Benoît Thieulin, spécialiste du Net, qui souligne: «Les initiatives privées viennent moderniser l'enseignement, là où l'Éducation nationale freine.» L'enseignement à la française s'est jusqu'à présent tenu à l'écart de la révolution numérique. Les initiatives digitales restent éparses et souvent lourdes à mener à bien, comme les plates-formes de savoirs. Certains professeurs préfèrent créer leurs propres sites et apps. Le secteur privé, lui, s'est emparé de l'éducation en ligne. Dans un foisonnement parfois confus. En plus des éditeurs scolaires, des grandes sociétés comme Microsoft travaillent depuis des années avec les professeurs pour créer des programmes de mathématiques, notamment. Apple vient de s'engager et mise désormais sur l'éducation en ligne. Elle a mis à disposition des outils pour créer des e-books et des applis. Tandis que de petits acteurs multiplient des applications malignes mais pas forcément savantes. Avec le temps, des applications devraient plus clairement émerger. Quant aux élèves ils apprécient de réviser, des classiques aux mathématiques, sur un mode plus ludique… même si au panthéon des applications les plus téléchargées ce mois-ci, les jeux triomphent toujours!

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Gratuites, elle permettent de revoir ses classiques ou de gérer son agenda

1-Des révisions spécialisées par filière

Comme celle, gratuite, du bac ES 2012 pour iPhone. Ses créateurs proposent notamment les «sujets probables» de cette année. Ils sont classés par degré de probabilité. Diplômes propose de répondre à des questionnaires spécialisés, en un temps limité et d'organiser un tournoi entre amis.

2-Gérer son agenda de révision

De nombreuses «applis» proposent un planning de travail par matière, comme istudiez, et vérifient s'il est bien tenu.

3- Avoir ses cours toujours sur soi

Evernote permet de synchroniser des documents sur les divers appareils électroniques. Pratique pour relire ses cours partout et prendre des notes. Google Drive permet aussi de retrouver tous ses documents Google partagés avec 'autres élèves.

4-Revoir ses classiques

Avec ibibliothèque, l'application gratuite lancée en 2008 par Le Figaro qui propose en intégralité les chefs-d'œuvre de la littérature depuis votre smartphone. On y trouve aussi des résumés et une sélection de passages clés, fort utiles le jour de l'examen.

5- Revoir les bases

Avec Mathematics Microsoft,qui intègre une calculatrice en 2D et permet de résoudre des problèmes ou tout simplement le Bled, orthographe, grammaire,conjugaison ou le Bescherelle désormais disponible sur les téléphones portables.

6- Apprendre et peaufiner les langues étrangères

Les applications proposent toutes des cours et des entraînements, comme Busuu, mais aussi Mosalingua qui relient aussi à une communauté de natifs.

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Re: Actualités 2012

Message par Memo »

Japon : Création du premier foie à partir de cellules souches

Des scientifiques japonais sont parvenus à créer un foie à partir de cellules souches pluripotentes humaines.

Une première. Un journal nippon a rapporté vendredi que des chercheurs japonais ont réussi à créer un foie à partir de cellules souches pluripotentes humaines (IPS). Cette expérience pourrait ainsi déboucher, à terme, sur la fabrication d'organes artificiels pour les personnes en attente d'une transplantation.

Créées en laboratoire

Pour parvenir à ce résultat, l'équipe de scientifiques dirigée par le professeur Hideki Taniguchi de l'Université de la ville de Yokohama, au sud de Tokyo, a implanté des cellules IPS dans la tête d'une souris et ce, afin de bénéficier d'un apport sanguin abondant. Le Pr Taniguchi a par ailleurs précisé que ces cellules ont été programmés en précurseurs du foie avant d'être associées à d'autres types de cellules. Elles ont ensuite donné naissance à un foie humain. Mesurant quelque 5 millimètres, cet organe est notamment capable de générer de protéines et de décomposer des médicaments. Cette avancée scientifique d'autant plus importante qu'elle pourrait ouvrir la voie à la fabrication d'organes artificiels, lesquels permettraient de pallier le manque constant de don d'organes.





Et alors que le prélèvement de cellules souches sur des embryons est fréquemment critiqué et jugé immoral, les cellules IPS sont, elles, créées en laboratoire grâce à l'implantation de quatre types de gènes dans des cellules de peau humaine pour les reprogrammer. Les cellules souches pluripotentes induites ainsi générées sont presque revenues au stade embryonnaire (non différencié) et ont la capacité de se développer dans n'importe quel tissu.

Des progrès restent à faire

Deux équipes de chercheurs, aux Etats-Unis et au Japon, ont découvert les cellules souches pluripotentes en 2006. Le Japon est d'ailleurs très impliqué dans ce type de recherches qui constituent un enjeu majeur. Cependant, il reste de nombreux obstacles à franchir, la méthode actuelle de création des cellules iPS -qui fait appel à des rétrovirus pour transporter les gènes reprogrammateurs-, étant susceptible de réveiller des gènes initiateurs de cancers.

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Re: Actualités 2012

Message par Memo »

Unicef : Des gestes simples pour sauver des millions d'enfants

Alors que des millions d'enfants à travers me monde meurent chaque année à cause de pneumonies ou de diarrhées, l'Unicef a récemment tenu à rappeler toute une série de gestes simples pour sauver des vies.

Le Fonds des Nations unies pour l'enfance (Unicef) a indiqué vendredi que de simples changements suffiraient à sauver la vie de millions d'enfants atteints de pneumonie ou de diarrhée. Ces deux infections sont en effet à l'origine de près d'un décès sur trois chez les moins de cinq ans, soit deux millions d'enfants chaque année dans le monde. Fort de ce constat alarmant, l'Unicef a ainsi appelé les quelque 75 pays avec les taux de mortalité infantile les plus élevés à tenter de traiter les enfants pauvres de la même manière que ceux des ménages les plus riches.




Toute une série de recommandations

Concrètement, le Fonds préconise la vaccination, l'encouragement à l'allaitement maternel, l'amélioration de l'accès à l'eau potable et à des installations sanitaires, ainsi que la mise à disposition d'antibiotiques dans les cas de pneumonies et de solutions de réhydratation pour les diarrhées. « Des estimations avancent que, d'ici 2015, plus de 2 millions de décès d'enfants dus aux pneumonies et aux diarrhées pourraient être évités dans les 75 pays où les taux de mortalité sont les plus élevés », a-t-il par ailleurs expliqué. Son rapport précise également que près de la moitié des décès d'enfants dans le monde dus aux pneumonies et aux diarrhées surviennent dans cinq pays: Inde, Nigeria, République démocratique du Congo (RDC), Pakistan et Ethiopie.

Des progrès insuffisants

Et alors que des progrès ont été accomplis dans le domaine de la vaccination, des efforts supplémentaires sont toutefois nécessaires, assure le document, qui souligne que 783 millions de personnes dans le monde n'ont pas accès à l'eau potable. « Près de 90% des décès dus aux diarrhées dans le monde ont été attribués à une eau non potable, à de mauvaises installations sanitaires et à des mesures d'hygiène laissant à désirer », assure ainsi l'Unicef.

Les pneumonies sont à l'origine de 18% des décès d'enfants dans le monde chaque année, tandis que les diarrhées le sont à hauteur de 11%, selon le Fonds. En comparaison, le sida est à l'origine de 2% des décès d'enfants chaque année et le paludisme de 7%.
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Re: Actualités 2012

Message par Memo »

Boissons énergisantes : L'Etat veut renforcer la vigilance

Alors que deux nouvelles crises cardiaques mortelles prétendument liées aux boissons énergisantes ont récemment été révélées, le gouvernement souhaite que la vigilance soit renforcée sur ces produits.

Suite au signalement de toute une série d'effets indésirables (cardiaques, neurologiques, etc.) « suspectés » d'être liées à la consommation de boissons énergisantes, la ministre des Affaires sociales et de la Santé Marisol Tourraine a demandé à l'Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses) de renforcer sa vigilance sur ces produits. Le ministère a ainsi souligné que cette dernière a « récemment reçu plusieurs signalements d'effets indésirables suspectés d'être liés à la consommation de ces boissons dites "énergisantes", sans que le lien de causalité avec la consommation de ces boissons puisse être établi ». Et de rappeler que ces boissons contiennent généralement des ingrédients « stimulants » (taurine, caféine, guarana, ginseng, vitamines, etc.). Selon lui, certains modes de consommation courant de ces boissons (activité sportive, consommation en mélange avec de l'alcool) pourraient également être associés à des risques cardio-vasculaires, lors d'exercices physiques intenses et de perception amoindrie des effets liés à l'alcool.




Plusieurs recommandations

Le ministère a par ailleurs « recommandé » de suivre toute une série de recommandations. Il préconise ainsi que ces boissons énergisantes soient « réservées aux adultes et sont déconseillées aux femmes enceintes et aux sportifs », qu'elles soient « consommées avec modération » et selon les doses indiquées sur les étiquettes. Ainsi, « la consommation de boissons contenant l'association de caféine, taurine et glucurunolactone à des doses élevées ne doit dépasser plus de 125 ml par jour, soit, la contenance d'une demi-canette standard (250 ml) ». De plus, comme elles contiennent des « ingrédients pouvant entraîner une hyperexcitabilité, une irritabilité, une nervosité et une augmentation de l'anxiété », elles « ne doivent pas être associées à des boissons alcoolisées, substances ou des médicaments ayant une action sur le système nerveux central ou des effets neurologiques ».
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Re: Actualités 2012

Message par Memo »

Indemnisations amiante : les victimes n'auront pas à rembourser

Le Point.fr - Publié le 09/06/2012 à 09:35 - Modifié le 09/06/2012 à 10:10

Une partie de leurs indemnités va bénéficier d'une "remise gracieuse".

Les victimes de l'amiante condamnées à rembourser une partie de leurs indemnités vont bénéficier d'une "remise gracieuse" et "n'auront pas à rembourser" leur indemnisation, a-t-on appris vendredi auprès du ministère des Affaires sociales, une nouvelle qui a réjoui les associations.

La ministre Marisol Touraine a demandé au Fiva (Fonds d'indemnisation des victimes de l'amiante), "qui est sous son autorité, de procéder à une remise gracieuse", a précisé une porte-parole jointe par l'AFP.

Interrogée au micro de RTL à Orbigny (Indre-et-Loire), département où elle est candidate socialiste pour les législatives, Marisol Touraine a annoncé : "Ces personnes vont faire l'objet d'une remise de dépense, de frais."

"Un processus qui pose des difficultés"


"Quel que soit le jugement, qu'il ne m'appartient pas de contester sur le plan juridique, ces personnes, je le dis, n'auront pas à rembourser les sommes qui leur sont demandées, a-t-elle dit. C'est un souci de justice et c'est dans ce sens-là que nous avons construit cette position avec le Fonds d'indemnisation des victimes."

"On ne peut pas se résoudre à ce que des gens qui ont été victimes de l'amiante soient maintenant victimes d'un processus de justice, qui, sans doute, est fondé en droit, mais qui, en équité, en justice, en humanité, pose des difficultés", a-t-elle insisté.

La cour d'appel de Douai a condamné 57 victimes à rembourser au Fiva, organisme placé sous tutelle du ministre de la Santé, une partie importante de leurs indemnités. La cour d'appel avait rendu à l'automne une décision qui pousse à revoir à la baisse l'indemnisation de victimes de l'amiante et qui devait contraindre certaines d'entre elles à rembourser des rentes déjà perçues. "Les personnes qui n'ont pas encore été l'objet d'un jugement ne sont pas en situation de difficulté", a par ailleurs souligné Mme Touraine.

Contacté par l'AFP, Pierre Pluta, président de l'Andeva (Association nationale de défense des victimes de l'amiante), s'est dit "bien entendu content d'entendre cela". Dans un communiqué, l'Andeva et la Fnath (association des accidentés de la vie) se sont réjouies de ces annonces.


Quelque 900 000 travailleurs sont potentiellement exposés à cette fibre cancérigène, qui devrait être responsable de 100 000 morts d'ici à 2025, selon les autorités sanitaires. Les plus exposés sont les salariés des chantiers de désamiantage, soit entre 2 000 et 5 000 personnes.
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Re: Actualités 2012

Message par Memo »

Bientôt des médiateurs contre la violence à l'école ?

Le Point.fr - Publié le 09/06/2012 à 14:38 - Modifié le 09/06/2012 à 15:58

Vincent Peillon a confirmé la création avant la fin de l'année de postes d'"assistant de prévention et de sécurité".

La création, avant la fin de l'année, de postes d'"assistant de prévention et de sécurité", sorte de médiateur chargé de lutter contre les violences scolaires dans certains établissements, concrétise une promesse de François Hollande. "Nous sommes en train de concevoir un nouveau métier de médiateurs qui en même temps assurent l'ordre, et qui seront affectés dans ces établissements les plus difficiles", a expliqué le ministre de l'Éducation, Vincent Peillon, sur BFMTV, vendredi soir.

Le ministère a précisé samedi qu'il s'agissait d'"assistants de prévention et de sécurité", sans autre indication sur leur profil, le type de formation, leur affectation et le mode de collaboration avec des équipes de sécurité existant déjà. Ces "personnels spécialisés", affectés "en permanence", seront "de l'ordre de 500 personnes" et débuteront sur le terrain "à la Toussaint ou à Noël", le temps de "les recruter" et de "les former", a dit le ministre. "Il y a des établissements dans notre pays, très particuliers, qui ont plus de quatre incidents graves par an. Nous ne pouvons pas admettre que des professeurs et des élèves soient en insécurité dans nos établissements", a affirmé Vincent Peillon, soulignant que ce nouveau métier était "une réclamation des chefs d'établissement depuis quelques années".

Prévention


Ce nouveau métier "n'annulera pas pour autant les équipes mobiles de sécurité (EMS), que le gouvernement précédent avait mises en place, et qu'on ne démantèlera pas", a promis Vincent Peillon. Les équipes mobiles "ont leur fonction" et "font un travail utile" mais "qui est plus de prévention, parce que, par définition, elles sont mobiles, et les délinquants font attention à faire leurs actes délictueux quand ces équipes ne sont pas là", a ajouté le ministre. Les postes de médiateur sont inscrits "dans le collectif budgétaire" qui sera discuté en juillet. "J'ai vu le Premier ministre (vendredi) après-midi qui me l'a confirmé", a dit Vincent Peillon.

Pendant la campagne présidentielle, en janvier, François Hollande avait présenté plusieurs propositions pour prendre à bras-le-corps la violence et le décrochage scolaires. Il avait indiqué que "des personnels de l'Éducation nationale" seraient formés à ce "nouveau métier de la prévention et de la sécurité". "La violence augmente et s'intensifie", avait-il dénoncé, faisant valoir que, sur les deux dernières années, le nombre d'incidents avait progressé de 20 % et que 5 % des établissements "concentr(ai)ent à eux seuls un tiers des incidents". "Face aux phénomènes de violence", il faut "agir avec tous les personnels concernés : école, justice, police". "C'est un travail de coproduction pour qu'il y ait compréhension de la situation et intervention commune", avait ajouté François Hollande.

"Policier référent"


À la rentrée 2009, l'ancien ministre de l'Éducation Luc Chatel et l'ancien ministre de l'Intérieur Brice Hortefeux avaient mis en place la première équipe mobile de sécurité (composée de personnels de l'Éducation nationale et de policiers ou gendarmes) au lycée Jean-Zay d'Aulnay-sous-Bois (Val-de-Marne). C'est l'ancien président Nicolas Sarkozy qui avait voulu ces équipes après l'intrusion musclée au printemps, dans un lycée professionnel de Gagny (Seine-Saint-Denis), d'une vingtaine de personnes cagoulées et armées de barres de fer, bâtons et couteaux.


À la rentrée 2010, MM. Chatel et Hortefeux avaient installé le premier "policier référent" dans un lycée de Moissy-Cramayel (Seine-et-Marne), portant son arme de service à la ceinture. Le dispositif avait été mal accueilli par des chefs d'établissement, des enseignants et des parents.
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Re: Entraînement à l'oral 2012 : sujet/exposé/culture généra

Message par Jonathan1 »

J'ai employé des arguments philosophiques dans mon écrit de culture générale, pour l'instant j'ai été admissible donc je vous dirrait la noté définitive le 2 juillet, pour voir si sa a passé ou pas
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Re: Actualités 2012

Message par kysa »

Loire: Electrocutée sur un manège, l'adolescente va mieux
Créé le 09/06/2012 à 19h56 -- Mis à jour le 10/06/2012 à 19h49
INCIDENT - La jeune fille de 17 ans est sortie de l'hôpital et son état n'inspire pas d'inquiétude...


La jeune fille qui avait reçu un choc électrique samedi dans un manège de la Loire est sortie de l'hôpital dimanche, et son état n'inspire pas d'inquiétude, a déclaré à l'AFP le parquet de Saint-Etienne.

L'adolescente de 17 ans avait reçu une décharge électrique samedi après-midi à Rive-de-Gier (Loire) sur un manège forain, pour des raisons encore inconnues, et avait été hospitalisée, a-t-on appris auprès des pompiers et de la police. L'accident s'était produit vers 17h45 à la fête foraine municipale, alors que la jeune fille prenait place sur une attraction constituée d'avions montés sur des axes attachés un plateau tournant, «pouvant monter jusqu'à 5 ou 6 mètres», ont détaillé les pompiers.

Les forains «a priori en règle»

Elle avait ressenti une décharge électrique en touchant un point de l'avion, non précisé pour l'instant, avec l'une de ses mains. Elle n'avait pas perdu conscience mais son rythme cardiaque s'était emballé et les secours avait dû la masser, avant de la transporter à l'hôpital voisin de Saint-Chamond.

Les enquêteurs arrivés sur place ont décidé d'arrêter le manège qui restera fermé jusqu'aux résultats des expertises techniques menées sur l'appareil, selon la préfecture. La fête foraine doit prendre fin dimanche. D'après le maire de Rive-de-Gier, Jean-Claude Charvin, les forains venus pour cette manifestation étaient «a priori en règle» et avaient fourni tous les certificats nécessaires à l'exploitation de leurs manèges.

Avec AFP
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Re: Fiches culture générale 2012

Message par papillon54 »

ok merci à toi !
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Re: Entraînement à l'oral 2012 : sujet/exposé/culture généra

Message par stepit42 »

Jonathan1 a écrit :J'ai employé des arguments philosophiques dans mon écrit de culture générale, pour l'instant j'ai été admissible donc je vous dirrait la noté définitive le 2 juillet, pour voir si sa a passé ou pas
Oui je sais que tu aimes les phrases philosophiques! :D Pourrais-tu me donner qq idées sur chacun des sujets s'il te plait?
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