Culture Générale
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Re: Fiches Culture Générale 2013
coucou les loulous
@chloé mais non tu ne retardes personne moi j'ai mis la L10 que tout à l'heure t'inquiète on est tous à la bourre et ça serre à rien d'aller trop vite car l'intérêt de ce topic c'est qu'on puisse avoir plein d'infos qui viennent de nous tous donc t'inquiète pas
fait ta L10 et s'il faut je mixerai les infos, et la L11 ensuite chaque chose en son temps!!
voilou on a tous des emplois du temps de fou!!!
gros bisous et reposez vous
demain matin je vais faire une tournée avec l'infirmière libérale c'est la suite de la semaine dernière je vous raconterai
bonne soirée et nuit
des bisous
louloute
@chloé mais non tu ne retardes personne moi j'ai mis la L10 que tout à l'heure t'inquiète on est tous à la bourre et ça serre à rien d'aller trop vite car l'intérêt de ce topic c'est qu'on puisse avoir plein d'infos qui viennent de nous tous donc t'inquiète pas
fait ta L10 et s'il faut je mixerai les infos, et la L11 ensuite chaque chose en son temps!!
voilou on a tous des emplois du temps de fou!!!
gros bisous et reposez vous
demain matin je vais faire une tournée avec l'infirmière libérale c'est la suite de la semaine dernière je vous raconterai
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Re: Fiches Culture Générale 2013




Louloute21L13 a écrit :coucou les loulous
@chloé mais non tu ne retardes personne moi j'ai mis la L10 que tout à l'heure t'inquiète on est tous à la bourre et ça serre à rien d'aller trop vite car l'intérêt de ce topic c'est qu'on puisse avoir plein d'infos qui viennent de nous tous donc t'inquiète pas
fait ta L10 et s'il faut je mixerai les infos, et la L11 ensuite chaque chose en son temps!!
voilou on a tous des emplois du temps de fou!!!
gros bisous et reposez vous
demain matin je vais faire une tournée avec l'infirmière libérale c'est la suite de la semaine dernière je vous raconterai
bonne soirée et nuit
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louloute
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Re: Fiches Culture Générale 2013


bibis
Question culture G
faut-il connaitre tous les sujets d'actualités ou bien maitriser la méthode de culture générale ?
Re: Les thèmes déjà tombés en CG
Année 2010 : Le vieillissement de la population (Sete)
Montpellier As : 18, 60 ème sur liste d'attente.
Aurillac : 6 en culture générale 10 en maths !
Nîmes via l'armée : Pas admis ! pas encore les notes !
Rodez : 18 en culture générale ! 7 en maths !
Aurillac : 6 en culture générale 10 en maths !
Nîmes via l'armée : Pas admis ! pas encore les notes !
Rodez : 18 en culture générale ! 7 en maths !
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- Fidèle
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Re: Fiches Culture Générale 2013
voici ma L10:
j ai pas trouvé grand chose :s
L10 GROSSESSE, PREMATURES, ALLAITEMENT, DENI DE GROSSESSE
Grossesse :
Prématurés :
Allaitement :
Accouchement sous X :
L'accouchement sous X désigne la possibilité pour une mère de ne pas donner son identité lors de l'accouchement.
I-Définition:
Cette procédure permet à toute future mère de mettre son enfant au monde et de le proposer à l'adoption sans obligation de dévoiler son identité. L'accouchement sous X prive à jamais l'enfant de toute possibilité de retrouver ses origines quand sa mère n'a pas jugé utile de laisser des informations.
II- But :
‐Limiter le nombre d'infanticide (En France: entre 60 et 80 /an. Tous ne concernent pas des nouveaux nés.)
‐ Permettre à la mère et l'enfant une bonne condition de naissance.
• La procédure à la maternité:
Une femme qui souhaite accoucher anonymement doit être reçue dans la maternité, que ce soit dans un établissement public, privé, conventionné ou non, sans obligation de divulguer son identité. Elle doit avertir l'équipe médicale de son souhait. Pour respecter son choix, aucune pièce d'identité ne peut lui être demandée, ni aucune enquête menée. Cependant, dès l'admission, les dispositions à prendre en cas d'accident seront envisagées avec la personne accueillie. Dans ce but, son identité et le nom d'une personne à prévenir en cas de complication grave seront remis à l'administration sous enveloppe cachetée qui sera rendue à son propriétaire au moment de son départ de l'hôpital. A titre préventif, l'équipe médicale doit l'informer des conséquences juridiques de l'abandon de l'enfant et de l'importance pour celui‐ci qu'ont les informations sur son histoire et sur son origine. Si la mère le souhaite, elle peut mettre sous enveloppe cachetée (gardée ensuite par l'administration) toutes les informations qu'elle désire transmettre à l'enfant au cas où celui‐ci, devenu adulte, désirerait connaître son identité biologique (photo, lettre...). La mère est invitée à laisser des renseignements sur :
‐ sa santé et celle du père ;
‐ les circonstances de la naissance de l'enfant ;
‐ les origines de l'enfant ;
‐ son identité...
Dans le cas d'un accouchement secret, la déclaration de naissance est faite par le personnel
hospitalier. Aucune mention ne sera faite sur les registres d'Etat Civil concernant la mère, ni le père si
celui‐ci ne se fait pas connaître. Il n'est plus fait mention dans les actes de l'Etat Civil de "père et
mère inconnus". Les rubriques concernant les parents ne sont simplement pas remplies.
La femme devra être informée qu'elle peut donner des renseignements ne portant pas atteinte au
secret et qui permettront à l'enfant d'avoir connaissance de quelques éléments sur son origine, sur
l'histoire de sa naissance.
Si la mère n'a pas voulu s'exprimer au moment de la naissance, elle pourra toujours le faire à tout moment, que ce soit pour révéler son identité ou compléter les renseignements donnés. De même, la mère qui n'a pas demandé le secret lors de son admission peut cependant demander, dans les trois jours qui suivent l'accouchement, à ce que son identité n'apparaisse pas dans l'acte de naissance.
A la naissance, trois prénoms seront attribués à l'enfant, le troisième faisant office de patronyme jusqu'à une adoption éventuelle. Ces prénoms seront choisis par la mère si elle le désire, sinon par l'officier d'état civil (art.57‐al.2 du code civil).
Tout prénom inscrit dans l'acte de naissance peut être choisi comme prénom usuel.
• Le délai de réflexion:
L'abandon initial de l'enfant demeure provisoire pendant 2 mois après l'accouchement, délais accordé à la mère pour revenir sur sa décision et reconnaître l'enfant même si elle a déjà signé l'acte de remise de son enfant. Le père a les mêmes droits, dans la mesure où il connaît l'identité sous laquelle l'enfant a été déclaré Durant cette période, l'enfant n'est pas adoptable. Ces 8 semaines passées, l'enfant est admis comme pupille de l'Etat et peut alors être proposé à l'adoption.
La femme a le choix de confier l'enfant à l'Aide Sociale à l'Enfance ou à une association d'adoption agréée par l'Etat avec qui des contacts peuvent avoir été établis avant l'accouchement soit par la femme, soit par le professionnel accompagnant, à la demande de la femme.
La loi prévoit la prise en charge, par le service de l'aide sociale à l'enfance du département siège de l'établissement, des frais d'hébergement et d'accouchement pour les femmes qui confient leurs enfants en vue d'adoption sans demander le secret de leur identité. De même, pour les femmes qui ont demandé à ce que le secret de leur identité soit préservé.
• La loi dite " loi Royal":
Par une loi du 22 janvier 2002, Ségolène Royal a créé le Conseil National pour l'Accès aux Origines Personnelles (CNAOP).
=> Les mères sont invitées à remettre une déclaration concernant l'histoire ou l'identité de l'enfant qui pourra être ultérieurement consultée par l'enfant. Le CNAOP peut également recueillir des informations déposées par des descendants ou ascendants proches ou collatéraux.
=>Il peut recueillir des informations concernant juste la santé de l'enfant sans qu'il soit fait allusion à l'identité de la mère ou du père.
=> Il peut informer la mère qui voudrait savoir si son enfant a engagé des recherches pour la retrouver.
Les renseignements collectés par l'organisme seront divulgués seulement sur demande de l'enfant né dans le secret et avec l'autorisation expresse de la mère ou du père. Si le parent de naissance identifié est décédé: le CNAOP peut communiquer son identité à l'enfant ou entrer en relation avec des proches. Après le décès des parents de naissance, un enfant qui en fait la demande pourra accéder à l'histoire de ses origines ou entrer en relation avec des proches, sous réserve que ses parents de naissance ne s'y soient pas opposés formellement de leur vivant.
III- Chiffres:
‐500 enfants environ naissent sous X chaque année en France
‐400 000 personnes ne connaissent pas leurs origines.
‐ Le rôle du Cnaop est matériellement limité : en 2004, sur 394 femmes ayant choisi l’accouchement sous X, 40 % ont refusé de laisser leur nom
Enquête menée en 1999 par le service du droit des femmes auprès de 47 maternités en Ile‐de‐ France:
‐ Les deux tiers ont moins de 25 ans ;
‐ La moitié est sans profession, sans autonomie et sans ressources propres ;
‐ Une sur quatre vit chez ses parents : le recours à l’accouchement sous X semble alors commandé par la crainte de la réaction parentale lorsque la grossesse n’est pas découverte, par la pression parentale lorsqu’elle l’est ;
‐ Environ 10 % sont séparées ou divorcées, âgées de plus de 35 ans et ayant plusieurs enfants à
charge, en grandes difficultés économiques.
IV- Actualité : L'anonymat remis en cause
=>Dans une ordonnance rendue le 9 octobre, le juge des référés du tribunal d'Angers a accordé aux parents d'une jeune fille qui avait accouché sous X le droit de prouver leur lien de filiation avec l'enfant grâce à une expertise de sang.
Derrière la reconnaissance de la filiation, se pose la question d'une éventuelle adoption. Dans cette
dernière affaire, si les expertises de sang établissent le lien de sang entre l'enfant né sous X et ses
grands‐parents présumés, ces derniers pourront‐ils adopter l'enfant ? Ils deviendraient alors les
parents de leur petite‐fille. «Ils pourraient aussi tout à fait l'élever en étant ses tuteurs sans
forcément l'adopter», estime Pierre Verdier. L'avocate des grands‐parents, Maitre Berrué, a quant à
elle indiqué qu'elle allait demander pour les grands‐parents un droit de garde ou à titre subsidiaire
un droit de visite.
Accouchement à domicile:
Avec un total de 828.400 naissances en 2008, le nombre de naissances a augmenté de 1,2 % en France par rapport à 2007. Le taux de fécondité exceptionnel de la France se maintient donc, approchant les 2,07 enfants par femme. Aujourd’hui, 1 % à 2 % des femmes françaises font le choix d’Accouchement à Domicile.
I- Motifs de choisir l’A à D :
=> Accoucher n’est pas une maladie mais un évènement physiologique, il se déroule sans complication dans la majorité des cas.
=> Insatisfaction de certaines femmes au sujet de leur suivi de grossesse, de l’accouchement et des suites de couches ("hyper technicisation, médicalisation » de l’accouchement, systématisation des gestes comme l’épisiotomie…au détriment d’un accompagnement humain, elle est coûteuse et parfois délétère. Les soins non justifiés témoignent d’une communication insuffisante et d’un manque de respect des patientes
=> Liberté et Sentiment de confort et de sérénité à son domicile, (accoucher l’où on veut chez soi dans n’importe quelle position, dans une ambiance choisie, prendre son temps, ne pas être séparée des autres enfants, rencontre immédiate avec le bébé permettant aux frères/soeurs une plus grande acceptation de sa venue)
=> L’accueil du bébé se fait en douceur, il n’est pas retiré immédiatement à la mère, les soins sont visibles et établis sur la mère ou à côté, ne subis pas de procédure choc immédiate (lavage, désobstructions, administration de substances médicamenteuses...)
II- Législation :
=> Aucune législation entourant l’accouchement à la maison
=> l’Association Nationale des Sages‐Femmes Libérales (ANSFL) a établi une charte de l’accouchement à domicile qui énonce les conditions qui le rendent possible ou non :
‐L’A à D est possible qu’entre37 et 42 semaines d’aménorrhée,
‐ Il est exclu dans certaines situations : présentation du bébé par le siège, de grossesse gémellaire, antécédent dé césarienne.
/!\ Ce choix exclut de fait la possibilité d’avoir recours à une anesthésie péridurale.
Toutefois, opter pour un accouchement à domicile n’exclut pas de s’inscrire dans une maternité proche, au cas où un transfert serait nécessaire. D’ailleurs, l’ANSFL préconise de toujours préparer une telle éventualité : désignation de la maternité choisie, consultations dans cette structure pour présentation du dossier médical et pour rencontrer l’anesthésiste, et enfin, la prévision du moyen de transport qui sera éventuellement utilisé (voiture personnelle, pompiers, SAMU...).
En France, les compagnies d’assurance refusent de couvrir les sages‐femmes libérales pour ce type d’actes. Pour s’assurer, celles‐ci doivent donc désormais s’engager sur leurs biens personnels. Ainsi, en 2004, seule une trentaine de ces professionnelles acceptaient encore de pratiquer des accouchements à domicile.
III- Solutions apportées :
=> Observer une meilleure écoute des patientes dans certaines maternités qui développent des pratiques obstétricales nouvelles (mobilisation et multiplicité des positions d’accouchement) et qui s’intéressent à l’allaitement maternel et à l’accueil des nouveau‐nés.
=> Il faut accepter les accouchements à domicile et autoriser la création de maisons et de centres de naissance (confiés aux sages‐femmes, dont le métier est de suivre les grossesses physiologiques). Se réapproprier la naissance de son enfant, être respectés en tant que parents ;
‐ Implication du père, que ce soit d'un point de vue matériel et émotionnel, dans l'accouchement et dans la préparation de celui‐ci ;
‐ Naissance non‐violente pour l'enfant (lumière est tamisée, le cordon est coupé lorsqu'il ne bat plus, l'enfant est maintenu contre sa mère en peau à peau, mise au sein à la demande selon les besoins de l'enfant)
=> suivi post‐partum à domicile en famille favorisant le repos, le bien‐être des autres enfants, plus faible occurrence de la dépression post‐natale.
IV- Concernant les maisons de naissance :
A l'heure actuelle, il n'existe aucun texte de loi relatif aux maisons de naissance. Ce concept n'est officiellement pas reconnu, d'où la difficulté pour les sages‐femmes et les associations intéressées de se faire entendre. Le corps médical est encore trop souvent hostile à l'alternative que représente la maison de naissance, et le soutien des obstétriciens ‐ qui devraient pouvoir être considérés comme partenaires nécessaires ‐ est quasi inexistant.
Elles existent depuis 1975 aux USA et au Canada.
Déni de grossesse :
I- Définition
- Être enceinte, sans avoir les symptômes d’une grossesse, pas de ventre rond, pas de nausées, pas de maux de ventre. Ne pas être consciente de sa grossesse.
- Il n’est pas reconnu comme une vraie pathologie.
II- Différentes sortes de déni
- Le déni partiel : la femme comprend qu'elle est mère au beau milieu de sa grossesse, cette prose de conscience s’accompagne des signes physiques de la grossesse parfois apparition très brutale.
- Le déni total : la femme ne sait pas qu'elle est enceinte, elle le découvre lors de l’accouchement.
III- Conséquences
- Conséquences psychologiques pour les mères très lourdes (culpabilité sur le fait de ne pas avoir vu leur grossesse, crises de paniques, déboussolées, ces femmes ne savent pas comment réagir lorsqu'elles n’apprennent que lors de l’accouchement qu'elles étaient enceintes).
- Mort du nourrisson accidentelle (manque de soins, pas assez d’information à propos des nouveau-nés)
- Infanticide relativement rare (concerne moins de 10% des dénis de grossesse)
- Certaines mères ne se sentent pas d’assumer leur rôle de mère car elles n’y ont pas été préparé.
IV- Quelques causes possibles
- Une stérilité supposée (la femme se sent infertile, et pense ne jamais tomber enceinte).
- Un bébé non désiré.
- Un enfant d’une liaison extra conjugale.
- Une grossesse résultant d’une agression sexuelle.
En réalité, on ne peut vraiment généraliser, chaque déni de grossesse à sa propre histoire.
V- Cause physique du déni de grossesse
- Peu de prise de poids (environ 2 kg)
- Le fœtus se loge contre la colonne vertébrale de la femme, le ventre ne gonfle donc pas.
- Pas de ressenti du bébé qui bouge dans le ventre.
VI- Législation
- Loi de 1994, l’homicide de mineur de 15 ans est passible de la perpétuité. Des femmes ont été condamnées à plusieurs années de prison pour un déni de grossesse avec décès du nouveau né.
- L’Association Française pour la Reconnaissance du Déni de Grossesse (AFRDG) dénonce un traitement inadapté de la justice. La justice ne croit pas à l’irresponsabilité de ces femmes punit donc comme des meurtrières d’enfant. Cette association se bat pour que le déni de grossesse soit reconnu comme une pathologie, et essaye de faire changer les mentalités sur ce sujet mal connu et perçu.
VII- Solution
- Aide médicale et psychologique à l’accouchement.
- Soutient de la famille, favorise l’acceptation.
j ai pas trouvé grand chose :s
L10 GROSSESSE, PREMATURES, ALLAITEMENT, DENI DE GROSSESSE
Grossesse :
Prématurés :
Allaitement :
Accouchement sous X :
L'accouchement sous X désigne la possibilité pour une mère de ne pas donner son identité lors de l'accouchement.
I-Définition:
Cette procédure permet à toute future mère de mettre son enfant au monde et de le proposer à l'adoption sans obligation de dévoiler son identité. L'accouchement sous X prive à jamais l'enfant de toute possibilité de retrouver ses origines quand sa mère n'a pas jugé utile de laisser des informations.
II- But :
‐Limiter le nombre d'infanticide (En France: entre 60 et 80 /an. Tous ne concernent pas des nouveaux nés.)
‐ Permettre à la mère et l'enfant une bonne condition de naissance.
• La procédure à la maternité:
Une femme qui souhaite accoucher anonymement doit être reçue dans la maternité, que ce soit dans un établissement public, privé, conventionné ou non, sans obligation de divulguer son identité. Elle doit avertir l'équipe médicale de son souhait. Pour respecter son choix, aucune pièce d'identité ne peut lui être demandée, ni aucune enquête menée. Cependant, dès l'admission, les dispositions à prendre en cas d'accident seront envisagées avec la personne accueillie. Dans ce but, son identité et le nom d'une personne à prévenir en cas de complication grave seront remis à l'administration sous enveloppe cachetée qui sera rendue à son propriétaire au moment de son départ de l'hôpital. A titre préventif, l'équipe médicale doit l'informer des conséquences juridiques de l'abandon de l'enfant et de l'importance pour celui‐ci qu'ont les informations sur son histoire et sur son origine. Si la mère le souhaite, elle peut mettre sous enveloppe cachetée (gardée ensuite par l'administration) toutes les informations qu'elle désire transmettre à l'enfant au cas où celui‐ci, devenu adulte, désirerait connaître son identité biologique (photo, lettre...). La mère est invitée à laisser des renseignements sur :
‐ sa santé et celle du père ;
‐ les circonstances de la naissance de l'enfant ;
‐ les origines de l'enfant ;
‐ son identité...
Dans le cas d'un accouchement secret, la déclaration de naissance est faite par le personnel
hospitalier. Aucune mention ne sera faite sur les registres d'Etat Civil concernant la mère, ni le père si
celui‐ci ne se fait pas connaître. Il n'est plus fait mention dans les actes de l'Etat Civil de "père et
mère inconnus". Les rubriques concernant les parents ne sont simplement pas remplies.
La femme devra être informée qu'elle peut donner des renseignements ne portant pas atteinte au
secret et qui permettront à l'enfant d'avoir connaissance de quelques éléments sur son origine, sur
l'histoire de sa naissance.
Si la mère n'a pas voulu s'exprimer au moment de la naissance, elle pourra toujours le faire à tout moment, que ce soit pour révéler son identité ou compléter les renseignements donnés. De même, la mère qui n'a pas demandé le secret lors de son admission peut cependant demander, dans les trois jours qui suivent l'accouchement, à ce que son identité n'apparaisse pas dans l'acte de naissance.
A la naissance, trois prénoms seront attribués à l'enfant, le troisième faisant office de patronyme jusqu'à une adoption éventuelle. Ces prénoms seront choisis par la mère si elle le désire, sinon par l'officier d'état civil (art.57‐al.2 du code civil).
Tout prénom inscrit dans l'acte de naissance peut être choisi comme prénom usuel.
• Le délai de réflexion:
L'abandon initial de l'enfant demeure provisoire pendant 2 mois après l'accouchement, délais accordé à la mère pour revenir sur sa décision et reconnaître l'enfant même si elle a déjà signé l'acte de remise de son enfant. Le père a les mêmes droits, dans la mesure où il connaît l'identité sous laquelle l'enfant a été déclaré Durant cette période, l'enfant n'est pas adoptable. Ces 8 semaines passées, l'enfant est admis comme pupille de l'Etat et peut alors être proposé à l'adoption.
La femme a le choix de confier l'enfant à l'Aide Sociale à l'Enfance ou à une association d'adoption agréée par l'Etat avec qui des contacts peuvent avoir été établis avant l'accouchement soit par la femme, soit par le professionnel accompagnant, à la demande de la femme.
La loi prévoit la prise en charge, par le service de l'aide sociale à l'enfance du département siège de l'établissement, des frais d'hébergement et d'accouchement pour les femmes qui confient leurs enfants en vue d'adoption sans demander le secret de leur identité. De même, pour les femmes qui ont demandé à ce que le secret de leur identité soit préservé.
• La loi dite " loi Royal":
Par une loi du 22 janvier 2002, Ségolène Royal a créé le Conseil National pour l'Accès aux Origines Personnelles (CNAOP).
=> Les mères sont invitées à remettre une déclaration concernant l'histoire ou l'identité de l'enfant qui pourra être ultérieurement consultée par l'enfant. Le CNAOP peut également recueillir des informations déposées par des descendants ou ascendants proches ou collatéraux.
=>Il peut recueillir des informations concernant juste la santé de l'enfant sans qu'il soit fait allusion à l'identité de la mère ou du père.
=> Il peut informer la mère qui voudrait savoir si son enfant a engagé des recherches pour la retrouver.
Les renseignements collectés par l'organisme seront divulgués seulement sur demande de l'enfant né dans le secret et avec l'autorisation expresse de la mère ou du père. Si le parent de naissance identifié est décédé: le CNAOP peut communiquer son identité à l'enfant ou entrer en relation avec des proches. Après le décès des parents de naissance, un enfant qui en fait la demande pourra accéder à l'histoire de ses origines ou entrer en relation avec des proches, sous réserve que ses parents de naissance ne s'y soient pas opposés formellement de leur vivant.
III- Chiffres:
‐500 enfants environ naissent sous X chaque année en France
‐400 000 personnes ne connaissent pas leurs origines.
‐ Le rôle du Cnaop est matériellement limité : en 2004, sur 394 femmes ayant choisi l’accouchement sous X, 40 % ont refusé de laisser leur nom
Enquête menée en 1999 par le service du droit des femmes auprès de 47 maternités en Ile‐de‐ France:
‐ Les deux tiers ont moins de 25 ans ;
‐ La moitié est sans profession, sans autonomie et sans ressources propres ;
‐ Une sur quatre vit chez ses parents : le recours à l’accouchement sous X semble alors commandé par la crainte de la réaction parentale lorsque la grossesse n’est pas découverte, par la pression parentale lorsqu’elle l’est ;
‐ Environ 10 % sont séparées ou divorcées, âgées de plus de 35 ans et ayant plusieurs enfants à
charge, en grandes difficultés économiques.
IV- Actualité : L'anonymat remis en cause
=>Dans une ordonnance rendue le 9 octobre, le juge des référés du tribunal d'Angers a accordé aux parents d'une jeune fille qui avait accouché sous X le droit de prouver leur lien de filiation avec l'enfant grâce à une expertise de sang.
Derrière la reconnaissance de la filiation, se pose la question d'une éventuelle adoption. Dans cette
dernière affaire, si les expertises de sang établissent le lien de sang entre l'enfant né sous X et ses
grands‐parents présumés, ces derniers pourront‐ils adopter l'enfant ? Ils deviendraient alors les
parents de leur petite‐fille. «Ils pourraient aussi tout à fait l'élever en étant ses tuteurs sans
forcément l'adopter», estime Pierre Verdier. L'avocate des grands‐parents, Maitre Berrué, a quant à
elle indiqué qu'elle allait demander pour les grands‐parents un droit de garde ou à titre subsidiaire
un droit de visite.
Accouchement à domicile:
Avec un total de 828.400 naissances en 2008, le nombre de naissances a augmenté de 1,2 % en France par rapport à 2007. Le taux de fécondité exceptionnel de la France se maintient donc, approchant les 2,07 enfants par femme. Aujourd’hui, 1 % à 2 % des femmes françaises font le choix d’Accouchement à Domicile.
I- Motifs de choisir l’A à D :
=> Accoucher n’est pas une maladie mais un évènement physiologique, il se déroule sans complication dans la majorité des cas.
=> Insatisfaction de certaines femmes au sujet de leur suivi de grossesse, de l’accouchement et des suites de couches ("hyper technicisation, médicalisation » de l’accouchement, systématisation des gestes comme l’épisiotomie…au détriment d’un accompagnement humain, elle est coûteuse et parfois délétère. Les soins non justifiés témoignent d’une communication insuffisante et d’un manque de respect des patientes
=> Liberté et Sentiment de confort et de sérénité à son domicile, (accoucher l’où on veut chez soi dans n’importe quelle position, dans une ambiance choisie, prendre son temps, ne pas être séparée des autres enfants, rencontre immédiate avec le bébé permettant aux frères/soeurs une plus grande acceptation de sa venue)
=> L’accueil du bébé se fait en douceur, il n’est pas retiré immédiatement à la mère, les soins sont visibles et établis sur la mère ou à côté, ne subis pas de procédure choc immédiate (lavage, désobstructions, administration de substances médicamenteuses...)
II- Législation :
=> Aucune législation entourant l’accouchement à la maison
=> l’Association Nationale des Sages‐Femmes Libérales (ANSFL) a établi une charte de l’accouchement à domicile qui énonce les conditions qui le rendent possible ou non :
‐L’A à D est possible qu’entre37 et 42 semaines d’aménorrhée,
‐ Il est exclu dans certaines situations : présentation du bébé par le siège, de grossesse gémellaire, antécédent dé césarienne.
/!\ Ce choix exclut de fait la possibilité d’avoir recours à une anesthésie péridurale.
Toutefois, opter pour un accouchement à domicile n’exclut pas de s’inscrire dans une maternité proche, au cas où un transfert serait nécessaire. D’ailleurs, l’ANSFL préconise de toujours préparer une telle éventualité : désignation de la maternité choisie, consultations dans cette structure pour présentation du dossier médical et pour rencontrer l’anesthésiste, et enfin, la prévision du moyen de transport qui sera éventuellement utilisé (voiture personnelle, pompiers, SAMU...).
En France, les compagnies d’assurance refusent de couvrir les sages‐femmes libérales pour ce type d’actes. Pour s’assurer, celles‐ci doivent donc désormais s’engager sur leurs biens personnels. Ainsi, en 2004, seule une trentaine de ces professionnelles acceptaient encore de pratiquer des accouchements à domicile.
III- Solutions apportées :
=> Observer une meilleure écoute des patientes dans certaines maternités qui développent des pratiques obstétricales nouvelles (mobilisation et multiplicité des positions d’accouchement) et qui s’intéressent à l’allaitement maternel et à l’accueil des nouveau‐nés.
=> Il faut accepter les accouchements à domicile et autoriser la création de maisons et de centres de naissance (confiés aux sages‐femmes, dont le métier est de suivre les grossesses physiologiques). Se réapproprier la naissance de son enfant, être respectés en tant que parents ;
‐ Implication du père, que ce soit d'un point de vue matériel et émotionnel, dans l'accouchement et dans la préparation de celui‐ci ;
‐ Naissance non‐violente pour l'enfant (lumière est tamisée, le cordon est coupé lorsqu'il ne bat plus, l'enfant est maintenu contre sa mère en peau à peau, mise au sein à la demande selon les besoins de l'enfant)
=> suivi post‐partum à domicile en famille favorisant le repos, le bien‐être des autres enfants, plus faible occurrence de la dépression post‐natale.
IV- Concernant les maisons de naissance :
A l'heure actuelle, il n'existe aucun texte de loi relatif aux maisons de naissance. Ce concept n'est officiellement pas reconnu, d'où la difficulté pour les sages‐femmes et les associations intéressées de se faire entendre. Le corps médical est encore trop souvent hostile à l'alternative que représente la maison de naissance, et le soutien des obstétriciens ‐ qui devraient pouvoir être considérés comme partenaires nécessaires ‐ est quasi inexistant.
Elles existent depuis 1975 aux USA et au Canada.
Déni de grossesse :
I- Définition
- Être enceinte, sans avoir les symptômes d’une grossesse, pas de ventre rond, pas de nausées, pas de maux de ventre. Ne pas être consciente de sa grossesse.
- Il n’est pas reconnu comme une vraie pathologie.
II- Différentes sortes de déni
- Le déni partiel : la femme comprend qu'elle est mère au beau milieu de sa grossesse, cette prose de conscience s’accompagne des signes physiques de la grossesse parfois apparition très brutale.
- Le déni total : la femme ne sait pas qu'elle est enceinte, elle le découvre lors de l’accouchement.
III- Conséquences
- Conséquences psychologiques pour les mères très lourdes (culpabilité sur le fait de ne pas avoir vu leur grossesse, crises de paniques, déboussolées, ces femmes ne savent pas comment réagir lorsqu'elles n’apprennent que lors de l’accouchement qu'elles étaient enceintes).
- Mort du nourrisson accidentelle (manque de soins, pas assez d’information à propos des nouveau-nés)
- Infanticide relativement rare (concerne moins de 10% des dénis de grossesse)
- Certaines mères ne se sentent pas d’assumer leur rôle de mère car elles n’y ont pas été préparé.
IV- Quelques causes possibles
- Une stérilité supposée (la femme se sent infertile, et pense ne jamais tomber enceinte).
- Un bébé non désiré.
- Un enfant d’une liaison extra conjugale.
- Une grossesse résultant d’une agression sexuelle.
En réalité, on ne peut vraiment généraliser, chaque déni de grossesse à sa propre histoire.
V- Cause physique du déni de grossesse
- Peu de prise de poids (environ 2 kg)
- Le fœtus se loge contre la colonne vertébrale de la femme, le ventre ne gonfle donc pas.
- Pas de ressenti du bébé qui bouge dans le ventre.
VI- Législation
- Loi de 1994, l’homicide de mineur de 15 ans est passible de la perpétuité. Des femmes ont été condamnées à plusieurs années de prison pour un déni de grossesse avec décès du nouveau né.
- L’Association Française pour la Reconnaissance du Déni de Grossesse (AFRDG) dénonce un traitement inadapté de la justice. La justice ne croit pas à l’irresponsabilité de ces femmes punit donc comme des meurtrières d’enfant. Cette association se bat pour que le déni de grossesse soit reconnu comme une pathologie, et essaye de faire changer les mentalités sur ce sujet mal connu et perçu.
VII- Solution
- Aide médicale et psychologique à l’accouchement.
- Soutient de la famille, favorise l’acceptation.
se prépare aux concours de printemps de 2013
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* avoir le concours
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Re: Fiches Culture Générale 2013
voilà, j espère que tu pourra un peu compléter 
bisoux !!!

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Re: Fiches Culture Générale 2013
coucou à tous
merci pour ta fiche chloé bon ben je fais le résumé de la L10 vu que tout le monde est bien speed
on se dit L11 pour lundi ou mardi dites moi???
@chloé j'espère que ça va ça fait longtemps
@will ça va? si tu as envie de faire une ou deux fiches n'hésite pas!!!
@tous bisous
merci pour ta fiche chloé bon ben je fais le résumé de la L10 vu que tout le monde est bien speed
on se dit L11 pour lundi ou mardi dites moi???
@chloé j'espère que ça va ça fait longtemps
@will ça va? si tu as envie de faire une ou deux fiches n'hésite pas!!!
@tous bisous
- Miss Cakahuette 26
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Re: Fiches Culture Générale 2013
oui lundi ça devrait aller 
ouioui moi ça va super bien ( j appréhende un peu cette semaine avec mon groupe que j aime pas : mon "ex-copine" et un mec qu on avait accepté ds le groupe pr pas kil soit tt seul)
j aurai vraiment mieux fait de me faire mon groupe avec une autre pote, ça aurait mieux marché :s
bref!!
on verra bien.
bsx a tous et à demain je pense pr la L11

ouioui moi ça va super bien ( j appréhende un peu cette semaine avec mon groupe que j aime pas : mon "ex-copine" et un mec qu on avait accepté ds le groupe pr pas kil soit tt seul)
j aurai vraiment mieux fait de me faire mon groupe avec une autre pote, ça aurait mieux marché :s
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Re: Fiches Culture Générale 2013
@chloé bon courage pour ta semaine et ta fiche est très bien il y a des trucs que j'ai pas traité donc c'est nikkel c'est ça qu'il faut je fais le résumé très vite
bisous à tous les loulous
bisous à tous les loulous
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Re: Fiches Culture Générale 2013
Dès que j'ai fini de résumer mon livre je pourrais vous aider pour les fiches.Louloute21L13 a écrit :coucou à tous
merci pour ta fiche chloé bon ben je fais le résumé de la L10 vu que tout le monde est bien speed
on se dit L11 pour lundi ou mardi dites moi???
@chloé j'espère que ça va ça fait longtemps
@will ça va? si tu as envie de faire une ou deux fiches n'hésite pas!!!
@tous bisous


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- Forcené
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Re: Fiches Culture Générale 2013
@will c'est mimi mais ne te sens pas obligé tu fais du bon boulot déjà sur la mag de la santé !! c'est juste que là à 2 avec chloé c'est un peu dure... j'espère que notre chany préférée va vite revenir elle nous manque
des bisous
célinette
des bisous
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- Accro
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Re: Fiches Culture Générale 2013
Dès que j'ai fini mes fiches j'aurai beaucoup de temps. 

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Re: Fiches Culture Générale 2013
oui, ne te sens pas obligé, Will
j espere qu elle va bien notre petite Chany
qq 1 a de ces nouvelles?
tkt Louloutte, on va gérer
j espere qu elle va bien notre petite Chany

qq 1 a de ces nouvelles?
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Re: Question
tu connaîtras jamais tous les sujets
travaille la méthode oui, et fais des sujets d'annales et puis suis l'actualité sans tout apprendre par coeur 


ESI 2013/2016 
