Culture Générale
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aneso81
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Quatre ou cinq « gastro » dans l’année ? Attention, ce n’est pas normal !
[27 décembre 2007 - 14:47]
Douleurs abdominales, diarrhées à répétition, fatigue… Les Maladies inflammatoires chroniques de l’Intestin (appelées aussi MICI) sont peu connues. Elles touchent pourtant près de 150 000 Français, avec un diagnostic posé entre 15 et 30 ans. La plus fréquente est la maladie de Crohn, encore trop souvent vécue dans le silence comme une maladie « honteuse ». Or l’arrivée des biothérapies en a bouleversé le pronostic, et il est plus que jamais essentiel de consulter rapidement pour se donner les meilleures chances de prise en charge optimale.
Mettre un nom sur sa maladie, c’est un premier pas pour la comprendre, la traiter, la surmonter. Sinon, c’est la descente aux enfers. Celle de Charlotte, 22 ans aujourd’hui. Douze longs mois avant de s’ouvrir à sa mère ! « J’allais aux toilettes très fréquemment et il y avait des saignements dans mes selles. J’ai tout de suite pensé au cancer. Je n’en ai parlé à personne, et pourtant je souffrais beaucoup. Ça a été la pire année de ma vie ».
Ce scénario, ils sont nombreux à le vivre seuls. Car les signes de la maladie de Crohn relèvent encore du tabou. Pendant les crises - accompagnées de vives douleurs - le passage aux toilettes doit se faire dans la minute : une fois, deux fois, dix fois par jour, plus parfois, et même la nuit ! Un cortège de contraintes difficile à vivre, surtout quand on est jeune, amoureux, qu’on a des projets plein la tête…
Pour ne pas perdre de chances, il est indispensable d’en parler très vite à son médecin dès les premiers signes. C’est le meilleur moyen d’empêcher la maladie d’évoluer au point que la chirurgie, mutilante, devienne le seul recours. Une gastro qui dure plus d’une dizaine de jours, ce n’est pas normal ! Surtout si elle se répète dans l’année. N’hésitez pas avant de consulter. Tant pis pour l’amour propre, qui ne doit pas s’opposer à la vie. Les progrès sont là, et il faut les saisir.
[27 décembre 2007 - 14:47]
Douleurs abdominales, diarrhées à répétition, fatigue… Les Maladies inflammatoires chroniques de l’Intestin (appelées aussi MICI) sont peu connues. Elles touchent pourtant près de 150 000 Français, avec un diagnostic posé entre 15 et 30 ans. La plus fréquente est la maladie de Crohn, encore trop souvent vécue dans le silence comme une maladie « honteuse ». Or l’arrivée des biothérapies en a bouleversé le pronostic, et il est plus que jamais essentiel de consulter rapidement pour se donner les meilleures chances de prise en charge optimale.
Mettre un nom sur sa maladie, c’est un premier pas pour la comprendre, la traiter, la surmonter. Sinon, c’est la descente aux enfers. Celle de Charlotte, 22 ans aujourd’hui. Douze longs mois avant de s’ouvrir à sa mère ! « J’allais aux toilettes très fréquemment et il y avait des saignements dans mes selles. J’ai tout de suite pensé au cancer. Je n’en ai parlé à personne, et pourtant je souffrais beaucoup. Ça a été la pire année de ma vie ».
Ce scénario, ils sont nombreux à le vivre seuls. Car les signes de la maladie de Crohn relèvent encore du tabou. Pendant les crises - accompagnées de vives douleurs - le passage aux toilettes doit se faire dans la minute : une fois, deux fois, dix fois par jour, plus parfois, et même la nuit ! Un cortège de contraintes difficile à vivre, surtout quand on est jeune, amoureux, qu’on a des projets plein la tête…
Pour ne pas perdre de chances, il est indispensable d’en parler très vite à son médecin dès les premiers signes. C’est le meilleur moyen d’empêcher la maladie d’évoluer au point que la chirurgie, mutilante, devienne le seul recours. Une gastro qui dure plus d’une dizaine de jours, ce n’est pas normal ! Surtout si elle se répète dans l’année. N’hésitez pas avant de consulter. Tant pis pour l’amour propre, qui ne doit pas s’opposer à la vie. Les progrès sont là, et il faut les saisir.
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L'Interdiction de fumer va s'appliquer dans la "nervosité", selon la Confédération des débitants
AFP - Jeudi 27 décembre, 12h12
PARIS (AFP) - Le décret d'interdiction de fumer dans les bars, tabacs, restaurants, discothèques et casinos au 1er janvier "va s'appliquer dans la confusion et l'énervement", affirme jeudi dans un communiqué le président de la Confédération des débitants de tabac (CDT), René le Pape.
"On nous avait annoncé que le décret d'interdiction de fumer au 1er janvier allait passer comme une lettre à la poste...nous avons aujourd'hui de bonnes raisons d'en douter", affirme dans ce texte le président de la Confédération des débitants de tabac, qui reproupe les quelque 30.000 buralistes français.
"D"après les informations qui nous remontent du terrain, les signes de confusion et d'énervement se multiplient: la signalétique nécessaire à l'information des clients n'est pas encore arrivée dans tous les établissements et les instructions auprès des forces de l'ordre semblent contradictoires, d'un service à l'autre, d'un département à l'autre", assure M. Le Pape.
"On constate une forte inquiétude des maires qui sont de plus en plus sollicités sur les problèmes d'aménagements de terrasses et de troubles éventuels de voisinage et surtout on peut noter une forte incrédulité des clients fumeurs qui cohabitent jusqu'à présent sans problème avec des non-fumeurs dans les bars-tabacs", ajoute le responsable des buralistes.
"Cela nous amène à regretter vivement qu'il n'y ait pas eu de véritable concertation avec les professionnels que nous sommes sur le terrain", note M. Le Pape qui souligne que les buralistes demandaient "de simples aménagements de bon sens qui auraient permis de respecter l'esprit du décret sans dénaturer nos établissements dont le caractère convivial participe de l'identité de notre pays".
Bon courage à tous les fumeurs!!!
AFP - Jeudi 27 décembre, 12h12
PARIS (AFP) - Le décret d'interdiction de fumer dans les bars, tabacs, restaurants, discothèques et casinos au 1er janvier "va s'appliquer dans la confusion et l'énervement", affirme jeudi dans un communiqué le président de la Confédération des débitants de tabac (CDT), René le Pape.
"On nous avait annoncé que le décret d'interdiction de fumer au 1er janvier allait passer comme une lettre à la poste...nous avons aujourd'hui de bonnes raisons d'en douter", affirme dans ce texte le président de la Confédération des débitants de tabac, qui reproupe les quelque 30.000 buralistes français.
"D"après les informations qui nous remontent du terrain, les signes de confusion et d'énervement se multiplient: la signalétique nécessaire à l'information des clients n'est pas encore arrivée dans tous les établissements et les instructions auprès des forces de l'ordre semblent contradictoires, d'un service à l'autre, d'un département à l'autre", assure M. Le Pape.
"On constate une forte inquiétude des maires qui sont de plus en plus sollicités sur les problèmes d'aménagements de terrasses et de troubles éventuels de voisinage et surtout on peut noter une forte incrédulité des clients fumeurs qui cohabitent jusqu'à présent sans problème avec des non-fumeurs dans les bars-tabacs", ajoute le responsable des buralistes.
"Cela nous amène à regretter vivement qu'il n'y ait pas eu de véritable concertation avec les professionnels que nous sommes sur le terrain", note M. Le Pape qui souligne que les buralistes demandaient "de simples aménagements de bon sens qui auraient permis de respecter l'esprit du décret sans dénaturer nos établissements dont le caractère convivial participe de l'identité de notre pays".
Bon courage à tous les fumeurs!!!Puéricultrice
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Insuffisance rénale : l’objectif, c’est d’éviter la dialyse…
[28 décembre 2007 - 07:53]
Ils sont 3 millions de Français à souffrir d’insuffisance rénale chronique, une maladie caractérisée par la perte irréversible des fonctions du rein. Et près de 50 000 en sont au stade de l’insuffisance rénale terminale, l’ultime étape avant la dialyse ou la transplantation. Aujourd’hui pourtant, nous disposons de tous les outils pour éviter d’en arriver là.
L’insuffisance rénale est liée à la destruction progressive mais irrémédiable des néphrons, qui assurent le fonctionnement des reins. Or ces derniers ont de nombreuses fonctions. Celles de laver et d’épurer le sang, de produire de l’érythropoïétine, d’activer la vitamine D et enfin de réguler la pression artérielle. C’est dire leur importance vitale…
Le Pr Gilbert Deray, néphrologue à la Pitié-Salpétrière, insiste particulièrement sur l’importance du dépistage de l’insuffisance rénale. « Il est absolument capital de dépister tôt, pour empêcher que ne se développent des complications qui deviendront irréversibles. La maladie par exemple, va entraîner des complications cardiovasculaires. Le ventricule gauche du cœur va grossir. Si la maladie est dépistée trop tard, il ne sera plus possible de ramener le cœur à la normale. Si en revanche le malade est pris en charge rapidement, on pourra éviter d’en arriver au stade ou une dialyse sera nécessaire ».
Pour dépister une insuffisance rénale, rien de plus simple. Il suffit de doser le taux de créatinine dans le sang, « essentiellement chez des patients à risque », précise Gilbert Deray. A savoir les diabétiques, les hypertendus et les plus de 65 ans. « Si ce taux est trop élevé, cela signifie que vos reins sont malades ».
Autre cheval de bataille du Pr Deray, le traitement de l’anémie consécutive à une carence en érythropoïétine. Une maladie qui entraîne une fatigue physique, intellectuelle et sexuelle, et qui augmente considérablement les risques cardiovasculaires. Elle accélère enfin la dégradation de la fonction rénale, provoquant ainsi une mise sous dialyse plus précoce. « Il faut évidemment la traiter » souligne-t-il, « et c’est d’autant plus important que nous savons le faire. Depuis 20 ans, nous disposons d’érythropoïétine sous forme de seringue tout prête qu’il suffit d’injecter par voie intraveineuse ou sous-cutanée, et qui corrige l’anémie sans aucune difficulté. »
Et d’ici la fin 2008, les patients disposeront d’un traitement à longue durée d’action qu’il suffira de prendre une fois par mois, au lieu d’une fois par semaine actuellement. Un vrai plus, à la fois pour le confort du malade et par voie de conséquence, pour l’observance du traitement.
[28 décembre 2007 - 07:53]
Ils sont 3 millions de Français à souffrir d’insuffisance rénale chronique, une maladie caractérisée par la perte irréversible des fonctions du rein. Et près de 50 000 en sont au stade de l’insuffisance rénale terminale, l’ultime étape avant la dialyse ou la transplantation. Aujourd’hui pourtant, nous disposons de tous les outils pour éviter d’en arriver là.
L’insuffisance rénale est liée à la destruction progressive mais irrémédiable des néphrons, qui assurent le fonctionnement des reins. Or ces derniers ont de nombreuses fonctions. Celles de laver et d’épurer le sang, de produire de l’érythropoïétine, d’activer la vitamine D et enfin de réguler la pression artérielle. C’est dire leur importance vitale…
Le Pr Gilbert Deray, néphrologue à la Pitié-Salpétrière, insiste particulièrement sur l’importance du dépistage de l’insuffisance rénale. « Il est absolument capital de dépister tôt, pour empêcher que ne se développent des complications qui deviendront irréversibles. La maladie par exemple, va entraîner des complications cardiovasculaires. Le ventricule gauche du cœur va grossir. Si la maladie est dépistée trop tard, il ne sera plus possible de ramener le cœur à la normale. Si en revanche le malade est pris en charge rapidement, on pourra éviter d’en arriver au stade ou une dialyse sera nécessaire ».
Pour dépister une insuffisance rénale, rien de plus simple. Il suffit de doser le taux de créatinine dans le sang, « essentiellement chez des patients à risque », précise Gilbert Deray. A savoir les diabétiques, les hypertendus et les plus de 65 ans. « Si ce taux est trop élevé, cela signifie que vos reins sont malades ».
Autre cheval de bataille du Pr Deray, le traitement de l’anémie consécutive à une carence en érythropoïétine. Une maladie qui entraîne une fatigue physique, intellectuelle et sexuelle, et qui augmente considérablement les risques cardiovasculaires. Elle accélère enfin la dégradation de la fonction rénale, provoquant ainsi une mise sous dialyse plus précoce. « Il faut évidemment la traiter » souligne-t-il, « et c’est d’autant plus important que nous savons le faire. Depuis 20 ans, nous disposons d’érythropoïétine sous forme de seringue tout prête qu’il suffit d’injecter par voie intraveineuse ou sous-cutanée, et qui corrige l’anémie sans aucune difficulté. »
Et d’ici la fin 2008, les patients disposeront d’un traitement à longue durée d’action qu’il suffira de prendre une fois par mois, au lieu d’une fois par semaine actuellement. Un vrai plus, à la fois pour le confort du malade et par voie de conséquence, pour l’observance du traitement.
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La fièvre de l’enfant ne se traite jamais avec des fonds de tiroir...
[28 décembre 2007 - 10:00]
Et surtout, bannissez toute association de médicaments contre la fièvre. Même les bithérapies sont déconseillées. En première intention, les spécialistes ne préconisent en effet qu’un seul médicament à la fois, le paracétamol. Il peut en aller de la vie de votre enfant. Convulsions, déshydratation, hyperthermie... Chez le nourrisson, les risques de complications de la fièvre sont réels. Il est donc extrêmement important d’éviter toute erreur.
Pas d’improvisation. « En première intention, il faut toujours opter pour les solutions pédiatriques au paracétamol » nous rappelle le Pr Bouchra Slaoui de la Faculté de Médecine et de Pharmacie de Casablanca. « Ces solutions pédiatriques sont très bien tolérées par le nourrisson. » La dose optimale est de 15mg par Kg de poids, à prendre toutes les 6 heures afin d’éviter les oscillations de la fièvre.
Les risques d’allergie au paracétamol sont extrêmement rares, contrairement aux anti-inflammatoires et à l’aspirine qui, pour leur part, ne doivent jamais être administrés à un enfant sans avis médical. Et pour cause. Chez le nourrisson, l’aspirine peut provoquer une maladie extrêmement grave, le Syndrome de Reye. Une fois sur trois, cette atteinte du cerveau est mortelle. Et dans les autres cas elle laisse souvent des séquelles permanentes. Dernière question : faut-il préférer une forme de médicament plutôt qu’une autre ? Pour le Pr Slaoui, mieux vaut « opter pour la voie orale plutôt que le suppositoire. Son utilisation, avec des prises toutes les 6 heures, est en effet plus compliquée ».
[28 décembre 2007 - 10:00]
Et surtout, bannissez toute association de médicaments contre la fièvre. Même les bithérapies sont déconseillées. En première intention, les spécialistes ne préconisent en effet qu’un seul médicament à la fois, le paracétamol. Il peut en aller de la vie de votre enfant. Convulsions, déshydratation, hyperthermie... Chez le nourrisson, les risques de complications de la fièvre sont réels. Il est donc extrêmement important d’éviter toute erreur.
Pas d’improvisation. « En première intention, il faut toujours opter pour les solutions pédiatriques au paracétamol » nous rappelle le Pr Bouchra Slaoui de la Faculté de Médecine et de Pharmacie de Casablanca. « Ces solutions pédiatriques sont très bien tolérées par le nourrisson. » La dose optimale est de 15mg par Kg de poids, à prendre toutes les 6 heures afin d’éviter les oscillations de la fièvre.
Les risques d’allergie au paracétamol sont extrêmement rares, contrairement aux anti-inflammatoires et à l’aspirine qui, pour leur part, ne doivent jamais être administrés à un enfant sans avis médical. Et pour cause. Chez le nourrisson, l’aspirine peut provoquer une maladie extrêmement grave, le Syndrome de Reye. Une fois sur trois, cette atteinte du cerveau est mortelle. Et dans les autres cas elle laisse souvent des séquelles permanentes. Dernière question : faut-il préférer une forme de médicament plutôt qu’une autre ? Pour le Pr Slaoui, mieux vaut « opter pour la voie orale plutôt que le suppositoire. Son utilisation, avec des prises toutes les 6 heures, est en effet plus compliquée ».
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Maladies professionnelles : un guide complet pour tout savoir
[28 décembre 2007 - 12:05]
La sixième édition du guide des maladies professionnelles vient de sortir. Réalisé par l’Institut national de Recherche et de Sécurité (INRS) et la Mutualité sociale agricole (MSA), l’ouvrage rassemble toutes les informations à connaître sur le sujet. En plus, il est accessible gratuitement, en ligne.
Ce guide regroupe les tableaux du régime général et ceux du régime agricole de la Sécurité sociale. Son accès est relativement simple, grâce à trois portes d’entrée : le lexique alphabétique par agent nocif ou situation de travail, la classification par symptôme et pathologie, ou les tableaux des maladies professionnelles classées par numéro de référence.
A consulter également, la synthèse de la réglementation relative aux maladies professionnelles. Mais aussi les nombreuses annexes consacrées aux modes de réparation, au système de reconnaissance et même les coordonnées des organismes intervenant dans ce domaine. Pour tout savoir : http://inrs.dev.optimedia.fr/mp3/
[28 décembre 2007 - 12:05]
La sixième édition du guide des maladies professionnelles vient de sortir. Réalisé par l’Institut national de Recherche et de Sécurité (INRS) et la Mutualité sociale agricole (MSA), l’ouvrage rassemble toutes les informations à connaître sur le sujet. En plus, il est accessible gratuitement, en ligne.
Ce guide regroupe les tableaux du régime général et ceux du régime agricole de la Sécurité sociale. Son accès est relativement simple, grâce à trois portes d’entrée : le lexique alphabétique par agent nocif ou situation de travail, la classification par symptôme et pathologie, ou les tableaux des maladies professionnelles classées par numéro de référence.
A consulter également, la synthèse de la réglementation relative aux maladies professionnelles. Mais aussi les nombreuses annexes consacrées aux modes de réparation, au système de reconnaissance et même les coordonnées des organismes intervenant dans ce domaine. Pour tout savoir : http://inrs.dev.optimedia.fr/mp3/
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aneso81
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Pour le 31, celui qui conduit ne boit pas !
[28 décembre 2007 - 14:02]
Sans jouer les rabats-joie, n’oubliez pas – en ce moment moins que jamais – que les bars vous servent exactement la même dose d’alcool dans chaque consommation. Un demi de bière, un apéritif, un verre de rouge ou de champagne représentent une alcoolémie d’environ 0,20 g/l chez un homme, 0,33 g/l chez une femme.
Pourquoi cette différence ? Parce que les femmes métabolisent davantage l’alcool que les hommes. Résultat, il leur fait plus d’effet ! Enfin n’oubliez pas qu’après avoir bu, votre alcoolémie diminue lentement. Au rythme d’environ 0,1 g/l toutes les heures.
Alors achetez-vous un éthylotest ! Pas pour jouer au plus alcoolisé bien sûr ! Mais pour vérifier que vous pouvez prendre la route sans risque. Vous en trouverez en pharmacie, dans les stations service, dans beaucoup de bureaux de tabac et même dans les supermarchés.
[28 décembre 2007 - 14:02]
Sans jouer les rabats-joie, n’oubliez pas – en ce moment moins que jamais – que les bars vous servent exactement la même dose d’alcool dans chaque consommation. Un demi de bière, un apéritif, un verre de rouge ou de champagne représentent une alcoolémie d’environ 0,20 g/l chez un homme, 0,33 g/l chez une femme.
Pourquoi cette différence ? Parce que les femmes métabolisent davantage l’alcool que les hommes. Résultat, il leur fait plus d’effet ! Enfin n’oubliez pas qu’après avoir bu, votre alcoolémie diminue lentement. Au rythme d’environ 0,1 g/l toutes les heures.
Alors achetez-vous un éthylotest ! Pas pour jouer au plus alcoolisé bien sûr ! Mais pour vérifier que vous pouvez prendre la route sans risque. Vous en trouverez en pharmacie, dans les stations service, dans beaucoup de bureaux de tabac et même dans les supermarchés.
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Pour l'épreuve de culture générale...
SVP je voulais savoir si pour l'épreuve de culture générale il fallait répondre de la manière d'une dissertation c'est à dire=>intro, developpement, conclusion. Merci
ESI 2010-2013!!!
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Bonne Année 2008 à tous et à toutes!!! 
Je vous souhaite beaucoup de bonheur, de la réussite, de la prospérité...
La France « publique » est aujourd’hui 100% sans tabac
[1er janvier 2008 - 08:00]
Nous y voilà ! Il est désormais interdit en France, de fumer dans tous les lieux « affectés à un usage collectif ». Après les entreprises, les administrations, les établissements scolaires et universitaires, le décret du 15 novembre 2006 s’applique dès aujourd’hui aux cafés, hôtels, restaurants, débits de tabac, discothèques et casinos.
Certes, des emplacements spécifiques peuvent être mis à disposition des fumeurs. Il s’agit de « salles closes affectées à la consommation de tabac et dans lesquelles aucune prestation de service n’est délivrée. Aucune tâche d’entretien ni de maintenance ne peut y être exécutée sans que l’air ait été renouvelé, en l’absence de tout occupant, pendant au moins une heure », précise le texte. Ce dernier fixe également des modalités techniques draconiennes aux systèmes d’extraction d’air.
Chantre de la lutte anti-tabac, le Pr Bertrand Dautzenberg, Président de l’Office français de Prévention du Tabagisme (OFDT) n’hésite pas à parler de « changement de norme ». A ses yeux, « l’interdiction totale de fumer dans les lieux clos et couverts, outre le fait qu’elle protège les non-fumeurs, contribue à la dénormalisation du tabac. Fumer dans ces lieux apparaît de moins en moins normal aux fumeurs, comme aux non-fumeurs ».
Les associations de lutte contre le tabagisme sont sur le qui-vive. Les établissements seront-ils contrôlés ? Des procès verbaux d’infraction seront-ils dressés ? L’association Droits des non-fumeurs (DNF) avoue son inquiétude. « Sans les agents de contrôle, ce décret aura malheureusement le même destin que les précédents textes de la loi Evin ». A moins que le civisme ne l’emporte et que ces contrôles ne s’avèrent finalement inutiles… Pour en savoir davantage, rendez-vous sur le site de l’Alliance contre le tabac, qui regroupe 34 associations de lutte contre le tabagisme en France, à l’adresse http://www.alliancecontreletabac.fr/
Je vous souhaite beaucoup de bonheur, de la réussite, de la prospérité...
La France « publique » est aujourd’hui 100% sans tabac
[1er janvier 2008 - 08:00]
Nous y voilà ! Il est désormais interdit en France, de fumer dans tous les lieux « affectés à un usage collectif ». Après les entreprises, les administrations, les établissements scolaires et universitaires, le décret du 15 novembre 2006 s’applique dès aujourd’hui aux cafés, hôtels, restaurants, débits de tabac, discothèques et casinos.
Certes, des emplacements spécifiques peuvent être mis à disposition des fumeurs. Il s’agit de « salles closes affectées à la consommation de tabac et dans lesquelles aucune prestation de service n’est délivrée. Aucune tâche d’entretien ni de maintenance ne peut y être exécutée sans que l’air ait été renouvelé, en l’absence de tout occupant, pendant au moins une heure », précise le texte. Ce dernier fixe également des modalités techniques draconiennes aux systèmes d’extraction d’air.
Chantre de la lutte anti-tabac, le Pr Bertrand Dautzenberg, Président de l’Office français de Prévention du Tabagisme (OFDT) n’hésite pas à parler de « changement de norme ». A ses yeux, « l’interdiction totale de fumer dans les lieux clos et couverts, outre le fait qu’elle protège les non-fumeurs, contribue à la dénormalisation du tabac. Fumer dans ces lieux apparaît de moins en moins normal aux fumeurs, comme aux non-fumeurs ».
Les associations de lutte contre le tabagisme sont sur le qui-vive. Les établissements seront-ils contrôlés ? Des procès verbaux d’infraction seront-ils dressés ? L’association Droits des non-fumeurs (DNF) avoue son inquiétude. « Sans les agents de contrôle, ce décret aura malheureusement le même destin que les précédents textes de la loi Evin ». A moins que le civisme ne l’emporte et que ces contrôles ne s’avèrent finalement inutiles… Pour en savoir davantage, rendez-vous sur le site de l’Alliance contre le tabac, qui regroupe 34 associations de lutte contre le tabagisme en France, à l’adresse http://www.alliancecontreletabac.fr/
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Au sujet de l'actualité
Bonjour,
J'aimerais savoir si vous seriez intéressé pour que l'on fasse des fiches sur l'actu du moment (franchise médicale etc...), tout le monde pourrait y mettre sa petite touche perso. Comme ça cela permettrait à tout le monde de se tenir informer car c'est un boulot fastidieux, de regrouper toutes les infos...
Deb
J'aimerais savoir si vous seriez intéressé pour que l'on fasse des fiches sur l'actu du moment (franchise médicale etc...), tout le monde pourrait y mettre sa petite touche perso. Comme ça cela permettrait à tout le monde de se tenir informer car c'est un boulot fastidieux, de regrouper toutes les infos...
Deb
Oral passé, plus qu'à attendre le 17 décembre.....
oui ! ce serait super et ça aiderait tout le monde ! C'est difficile de suivre l'actualité en menant partiels/concours ! Donc je suis partante ! Dès que je sais quelque chose, je viens sur ce post ! 
merci pour cette idée ! 
merci pour cette idée ! Ide en chir ortho depuis novembre 2011 ---> démission !
Début a l'hôpital des enfants le 29 octobre puis ...
Etudiante puer' à Toulouse 2013 !
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cecile0112
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