Culture Générale
Modérateurs : Modérateurs, Concours IFSI
Excellente remarque de modérateur !
Si sur une réponse où il est demandé un avis personnel ou un positionnement et que l'on ne lit rien de cette nature alors je met comme mes collègues peu, très peu de points.
Mais attention à l'effet inverse. Un avis trop engagé et radical sans perspective d'écoute, de retenue ou d'ouverture d'esprit recueuille peu de points.
Tout est effectivement dans la nuance et l'ouverture d'esprit, deux critères pris en compte dans toutes les grilles de correction.
Rappel sur l'objectif de l'épreuve écrite : "a pour objet d'évaluer les capacités d'analyse et de jugement du candidat par rapport aux grandes questions sanitaires et sociales".
Souvent les candidats malheureux pensent avoir donné un avis qui leur a couté l'épreuve, donc ils recommandent de ne pas donner d'avis. Erreur. C'est la façon dont l'avis est amené qui devient pénalisant, pas l'avis.
Tout est dans la nuance !
Si sur une réponse où il est demandé un avis personnel ou un positionnement et que l'on ne lit rien de cette nature alors je met comme mes collègues peu, très peu de points.
Mais attention à l'effet inverse. Un avis trop engagé et radical sans perspective d'écoute, de retenue ou d'ouverture d'esprit recueuille peu de points.
Tout est effectivement dans la nuance et l'ouverture d'esprit, deux critères pris en compte dans toutes les grilles de correction.
Rappel sur l'objectif de l'épreuve écrite : "a pour objet d'évaluer les capacités d'analyse et de jugement du candidat par rapport aux grandes questions sanitaires et sociales".
Souvent les candidats malheureux pensent avoir donné un avis qui leur a couté l'épreuve, donc ils recommandent de ne pas donner d'avis. Erreur. C'est la façon dont l'avis est amené qui devient pénalisant, pas l'avis.
Tout est dans la nuance !
Infirmier, cadre de santé - Formateur indépendant
J'ai quelques petites questions aussi:
- Lorsque c'est marqué "discutez" dans la question, faut-il uniquement dire des arguments contre ce qui a été dit?
- Et samedi j'ai eu à donner 4 alternatives à la consommation de psychotropes, le texte parlait uniquement des psychotropes administrés chez les personnes âgées, du coup j'ai répondu uniquement en fonction de cette population mais là, je commence vraiment à douter, je me dis qu'il aurait peut-être fallu que je parle de la population en générale et pas seulement des personnes âgées...Qu'en pensez-vous?
Pff je doute vraiment c'est horrible...
- Lorsque c'est marqué "discutez" dans la question, faut-il uniquement dire des arguments contre ce qui a été dit?
- Et samedi j'ai eu à donner 4 alternatives à la consommation de psychotropes, le texte parlait uniquement des psychotropes administrés chez les personnes âgées, du coup j'ai répondu uniquement en fonction de cette population mais là, je commence vraiment à douter, je me dis qu'il aurait peut-être fallu que je parle de la population en générale et pas seulement des personnes âgées...Qu'en pensez-vous?
Pff je doute vraiment c'est horrible...
ororr a écrit :J'ai quelques petites questions aussi:
- Lorsque c'est marqué "discutez" dans la question, faut-il uniquement dire des arguments contre ce qui a été dit?
- Et samedi j'ai eu à donner 4 alternatives à la consommation de psychotropes, le texte parlait uniquement des psychotropes administrés chez les personnes âgées, du coup j'ai répondu uniquement en fonction de cette population mais là, je commence vraiment à douter, je me dis qu'il aurait peut-être fallu que je parle de la population en générale et pas seulement des personnes âgées...Qu'en pensez-vous?
Pff je doute vraiment c'est horrible...
salut ororr, pour discutez il faut d'après moi dire ce que tu penses pour le pour et le contre enfin les solutions si besoin. Pour les psychotropes d'après moi il aurait fallu parler en général, les personnes âzgées comme les jeunes qui en prennent beaucoup aussi. Panique pas moi aussi j ai pas pu faire de plan pour la dernière question concernant le relâchement face aux mst et j ai répondu comme ça. Ne t'attends pas a avoir un zéro faute dans l'examen....
ESI 2010-2013!!!
Il est préférable d'avoir quelques doutes que d'être persuadé d'avoir des certitudes.
Mais il est inutile de repenser à ce qui a été fait sur une copie. C'est fait c'est fait.
"Discutez" semble être synonyme d'avis contraire. Non. discutez signifie simplement que vous devez apporter des arguments sur un thème donné et il n'est pas interdit d'être plutôt d'accord ou plutôt contre.
Le texte est toujours un support à la question. Mais la question n'est que très rarement exclusivement centrée sur le texte. Dans le cas cité il fallait sans doute parler en général mais si votre réponse comporte 4 alternatives argumentées à la prise de psychotropes chez la personne âgée, il n'y a aucune raison que vous soyez pénalisé.
Mais il est inutile de repenser à ce qui a été fait sur une copie. C'est fait c'est fait.
"Discutez" semble être synonyme d'avis contraire. Non. discutez signifie simplement que vous devez apporter des arguments sur un thème donné et il n'est pas interdit d'être plutôt d'accord ou plutôt contre.
Le texte est toujours un support à la question. Mais la question n'est que très rarement exclusivement centrée sur le texte. Dans le cas cité il fallait sans doute parler en général mais si votre réponse comporte 4 alternatives argumentées à la prise de psychotropes chez la personne âgée, il n'y a aucune raison que vous soyez pénalisé.
Infirmier, cadre de santé - Formateur indépendant
jjland83 a écrit :Il est préférable d'avoir quelques doutes que d'être persuadé d'avoir des certitudes.
Mais il est inutile de repenser à ce qui a été fait sur une copie. C'est fait c'est fait.
Oui c'est vrai, au moins je ne pourrais qu'avoir que des bonnes surprises...
J'avoue que c'est plus fort que moi...
jjland83 a écrit :"Discutez" semble être synonyme d'avis contraire. Non. discutez signifie simplement que vous devez apporter des arguments sur un thème donné et il n'est pas interdit d'être plutôt d'accord ou plutôt contre.
Le texte est toujours un support à la question. Mais la question n'est que très rarement exclusivement centrée sur le texte. Dans le cas cité il fallait sans doute parler en général mais si votre réponse comporte 4 alternatives argumentées à la prise de psychotropes chez la personne âgée, il n'y a aucune raison que vous soyez pénalisé.
En fait pour le "discutez" j'ai mis du pour et du contre...En laissant plutôt penser dans la conclusion que j'étais plutôt pour...(réformer les moyens de prévention mis en place par le gouvernement (pour l'auteur, le gouvernement, en gros, fait du "bourrage de crane" en ce qui concerne la prévention contre l'obésité, le tabac...))
Ensuite, en ce qui concerne les psychotropes, j'ai mis plusieurs réponses dont certaines seraient valables pour la population en générale
L'écoute: les personnes âgées font partie de la 2ème tranche d'âge où le taux de suicide est le plus fort notamment à cause de l'isolement, la solitude...Se sentir écouté, soutenu peut contribuer à diminuer l'anxiété...
La psychothérapie
Proposer des activités (adhérer à une association...pour se sentir utile...)
Proposer des médecines alternatives (acupuncture...)
Enfin voilà, comme vous dites, ça ne sert plus à rien de se torturer la tête, il n'y a plus qu'à attendre les résultats!
Merci beaucoup pour votre réponse.
Aurore
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Légionellose : la jeune femme contaminée à Blagnac est hors de danger
[31 mars 2008 - 11:18]
La légionellose, diagnostiquée la semaine dernière sur une jeune femme à Blagnac, relance les craintes autour de cette maladie pulmonaire. Dès samedi soir, les habitants de cette banlieue toulousaine ont reçu pour consigne de ne plus prendre de douche, suite à la découverte d’un taux de légionelles supérieur à la normale dans les canalisations. La malade est désormais hors de danger.
Les alertes de ce type sont récurrentes en France. En 2007, les autorités sanitaires ont ainsi enregistré 1 443 cas de légionellose. Et 128 personnes y ont succombé. Mais pour la première fois depuis la mise en place de la surveillance en 1987, l’incidence de cette maladie s’inscrit à la baisse. Une diminution toute relative cependant, puisqu’elle n’est que de 6%.
D’ailleurs comme l’affirmait le Bulletin épidémiologique hebdomadaire (BEH) dans son dernier bilan annuel en novembre 2007, « il est trop tôt pour interpréter cette baisse et il est primordial d’attendre les prochaines années pour confirmer ou non cette tendance ». Les autorités saluent toutefois « l’amélioration de la réactivité du système de surveillance, avec une diminution des délais de déclaration. » Une amélioration qui va de pair avec les progrès dans le diagnostic de la maladie.
Quoi qu’il en soit, la France est encore bien loin de la réduction de 50% de l’incidence de la légionellose d’ici… 2008, qu’elle s’était fixée comme objectif en 2004 ! Rappelons par ailleurs, que la contamination se fait par voie respiratoire. En inhalant des micro-gouttelettes d’eau contaminée, à l’occasion d’une douche ou à cause de la proximité d’installations aéro-réfrigérantes comme celles de certains climatiseurs par exemple.
Il n’existe pas de transmission inter-humaine pour cette maladie, dont la période d’incubation varie de 2 à 10 jours.
[31 mars 2008 - 11:18]
La légionellose, diagnostiquée la semaine dernière sur une jeune femme à Blagnac, relance les craintes autour de cette maladie pulmonaire. Dès samedi soir, les habitants de cette banlieue toulousaine ont reçu pour consigne de ne plus prendre de douche, suite à la découverte d’un taux de légionelles supérieur à la normale dans les canalisations. La malade est désormais hors de danger.
Les alertes de ce type sont récurrentes en France. En 2007, les autorités sanitaires ont ainsi enregistré 1 443 cas de légionellose. Et 128 personnes y ont succombé. Mais pour la première fois depuis la mise en place de la surveillance en 1987, l’incidence de cette maladie s’inscrit à la baisse. Une diminution toute relative cependant, puisqu’elle n’est que de 6%.
D’ailleurs comme l’affirmait le Bulletin épidémiologique hebdomadaire (BEH) dans son dernier bilan annuel en novembre 2007, « il est trop tôt pour interpréter cette baisse et il est primordial d’attendre les prochaines années pour confirmer ou non cette tendance ». Les autorités saluent toutefois « l’amélioration de la réactivité du système de surveillance, avec une diminution des délais de déclaration. » Une amélioration qui va de pair avec les progrès dans le diagnostic de la maladie.
Quoi qu’il en soit, la France est encore bien loin de la réduction de 50% de l’incidence de la légionellose d’ici… 2008, qu’elle s’était fixée comme objectif en 2004 ! Rappelons par ailleurs, que la contamination se fait par voie respiratoire. En inhalant des micro-gouttelettes d’eau contaminée, à l’occasion d’une douche ou à cause de la proximité d’installations aéro-réfrigérantes comme celles de certains climatiseurs par exemple.
Il n’existe pas de transmission inter-humaine pour cette maladie, dont la période d’incubation varie de 2 à 10 jours.
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Contre les acariens dans le lit, l’option écolo…
[1er avril 2008 - 07:12]
Une toute nouvelle housse anti-acariens vient d’être mise au point. Une housse dite « écologique », et donc a priori plus rassurante que le recours aux insecticides… Elle fait appel à un tissu particulier – l’Evolon – qui n’aurait rien à voir avec ceux qui composent les classiques housses anti-acariens enduites de polyuréthane ou de PVC. Un plus pour les asthmatiques et autres victimes de rhinites allergiques.
Le secret de son efficacité résiderait dans « la structure des microfilaments intimement enchevêtrés » qui la composent, souligne son fabricant. Lequel s’est vu décerner le label de la Fondation européenne pour la Recherche sur les Allergies.
Cette structure très dense « crée naturellement une couche compacte de protection contre les particules allergisantes microscopiques présentes dans les matelas, les couettes et les oreillers ». Résultat, tout contact avec les acariens est évité. Or des allergiques, il y en a ! Quinze millions de Français souffrent d’une allergie. Et parmi ces derniers, 6 millions sont victimes des acariens. Alors si vous avez tout tenté et que rien ne semble y faire, vous pouvez essayer cette nouvelle housse. Pour un lit deux places, comptez 70 euros.
[1er avril 2008 - 07:12]
Une toute nouvelle housse anti-acariens vient d’être mise au point. Une housse dite « écologique », et donc a priori plus rassurante que le recours aux insecticides… Elle fait appel à un tissu particulier – l’Evolon – qui n’aurait rien à voir avec ceux qui composent les classiques housses anti-acariens enduites de polyuréthane ou de PVC. Un plus pour les asthmatiques et autres victimes de rhinites allergiques.
Le secret de son efficacité résiderait dans « la structure des microfilaments intimement enchevêtrés » qui la composent, souligne son fabricant. Lequel s’est vu décerner le label de la Fondation européenne pour la Recherche sur les Allergies.
Cette structure très dense « crée naturellement une couche compacte de protection contre les particules allergisantes microscopiques présentes dans les matelas, les couettes et les oreillers ». Résultat, tout contact avec les acariens est évité. Or des allergiques, il y en a ! Quinze millions de Français souffrent d’une allergie. Et parmi ces derniers, 6 millions sont victimes des acariens. Alors si vous avez tout tenté et que rien ne semble y faire, vous pouvez essayer cette nouvelle housse. Pour un lit deux places, comptez 70 euros.
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Pour vivre mieux et plus longtemps, bougez-vous !
[1er avril 2008 - 18:16]
L’INSERM vient de rendre publique son expertise : « L’activité physique, contextes et effets sur la santé ». Principal enseignement, « la pratique des activités physiques et sportives, même d’intensité modérée, diminue la mortalité et augmente la qualité de vie ».
Le terme « activité physique » regroupe à la fois l’exercice physique quotidien – à la maison, au travail, dans les transports - l’activité physique de loisirs et la pratique sportive. En 2007, de nouvelles recommandations ont été formulées aux Etats-Unis. Pour les 18-65 ans, il est ainsi conseillé de pratiquer une activité physique d’intensité modérée de 30 minutes quotidiennes, 5 jours par semaine. Ou une activité d’intensité élevée de 20 minutes par jour, 3 fois par semaine. Idem pour les plus de 65 ans, qui doivent particulièrement veiller au renforcement musculaire, aux exercices d’assouplissement et d’équilibre. Quant aux moins de 18 ans, les spécialistes s’accordent pour préconiser un minimum de 60 minutes par jour.
Selon l’Enquête nationale Nutrition Santé (ENNS), les deux tiers des 18-74 ans se bougent au moins 30 minutes par jour à raison de 5 séances par semaine. Plus décevant, seulement 40% des 11-14 ans (45% des garçons et 30% des filles) pratiquent une activité 30 minutes chaque jour. Les experts de l’INSERM recommandent ainsi des campagnes d’information qui devraient « cibler spécifiquement les jeunes filles de 12 à 17 ans ».
C’est d’autant plus important que l’activité physique retentit favorablement sur la santé. C’est aujourd’hui largement démontré. Chez l’enfant et l’adolescent, elle constitue un excellent rempart contre le surpoids et l’obésité. Elle réduit également le risque de dépression, de fractures, de maladies cardio-vasculaires, de diabète… Bref se bouger, c’est vraiment le geste santé par excellence ! Un exemple ? Une activité d’intensité élevée de 20 minutes quotidiennes entraîne une baisse du risque de mortalité de… 30% !
[1er avril 2008 - 18:16]
L’INSERM vient de rendre publique son expertise : « L’activité physique, contextes et effets sur la santé ». Principal enseignement, « la pratique des activités physiques et sportives, même d’intensité modérée, diminue la mortalité et augmente la qualité de vie ».
Le terme « activité physique » regroupe à la fois l’exercice physique quotidien – à la maison, au travail, dans les transports - l’activité physique de loisirs et la pratique sportive. En 2007, de nouvelles recommandations ont été formulées aux Etats-Unis. Pour les 18-65 ans, il est ainsi conseillé de pratiquer une activité physique d’intensité modérée de 30 minutes quotidiennes, 5 jours par semaine. Ou une activité d’intensité élevée de 20 minutes par jour, 3 fois par semaine. Idem pour les plus de 65 ans, qui doivent particulièrement veiller au renforcement musculaire, aux exercices d’assouplissement et d’équilibre. Quant aux moins de 18 ans, les spécialistes s’accordent pour préconiser un minimum de 60 minutes par jour.
Selon l’Enquête nationale Nutrition Santé (ENNS), les deux tiers des 18-74 ans se bougent au moins 30 minutes par jour à raison de 5 séances par semaine. Plus décevant, seulement 40% des 11-14 ans (45% des garçons et 30% des filles) pratiquent une activité 30 minutes chaque jour. Les experts de l’INSERM recommandent ainsi des campagnes d’information qui devraient « cibler spécifiquement les jeunes filles de 12 à 17 ans ».
C’est d’autant plus important que l’activité physique retentit favorablement sur la santé. C’est aujourd’hui largement démontré. Chez l’enfant et l’adolescent, elle constitue un excellent rempart contre le surpoids et l’obésité. Elle réduit également le risque de dépression, de fractures, de maladies cardio-vasculaires, de diabète… Bref se bouger, c’est vraiment le geste santé par excellence ! Un exemple ? Une activité d’intensité élevée de 20 minutes quotidiennes entraîne une baisse du risque de mortalité de… 30% !
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Syphilis : une résurgence qui inquiète…
[1er avril 2008 - 14:04]
Quasiment disparue au milieu des années 90, la syphilis effectue un inquiétant retour dans les pays développés, dont la France. Une résurgence qui ne serait pas sans poser des problèmes… aux médecins, peu formés à reconnaître cette infection sexuellement transmissible (IST).
Comme le souligne le Dr Kevin Fenton, spécialiste de la question aux Centers for Disease Control and Prevention (CDC) d’Atlanta, « après deux décennies de faible incidence de la syphilis, cette dernière n’est plus très connue des médecins. Ils doivent réapprendre à en reconnaître les signes ». Aux Etats-Unis donc, mais aussi dans les autres pays.
En France cette résurgence – associée à celle des gonococcies- a été constatée dès 2001 par l’Institut de Veille sanitaire. Entre 2000 et 2006, plus de 2 300 cas ont été recensés. « Après une diminution en 2005, le nombre de cas a de nouveau augmenté en 2006, en particulier en Ile-de-France et dans la région Nord-Pas-de-Calais. Les personnes atteintes sont majoritairement (83%) des homosexuels et bisexuels de sexe masculin. En 2006, l’épidémie de syphilis est donc toujours d’actualité », indiquait récemment l’InVS.
La syphilis est extrêmement contagieuse. L’occasion de rappeler que tout rapport sexuel -y compris une fellation- non protégé doit être évité. Au stade primaire la maladie se manifeste généralement par une ulcération de la peau et des muqueuses. Au moindre doute, rendez vous au Centre de Dépistage anonyme et gratuit (CDAG) le plus proche. La liste des CDAG est disponible sur le site de SIDA Info Service en cliquant ici.
[1er avril 2008 - 14:04]
Quasiment disparue au milieu des années 90, la syphilis effectue un inquiétant retour dans les pays développés, dont la France. Une résurgence qui ne serait pas sans poser des problèmes… aux médecins, peu formés à reconnaître cette infection sexuellement transmissible (IST).
Comme le souligne le Dr Kevin Fenton, spécialiste de la question aux Centers for Disease Control and Prevention (CDC) d’Atlanta, « après deux décennies de faible incidence de la syphilis, cette dernière n’est plus très connue des médecins. Ils doivent réapprendre à en reconnaître les signes ». Aux Etats-Unis donc, mais aussi dans les autres pays.
En France cette résurgence – associée à celle des gonococcies- a été constatée dès 2001 par l’Institut de Veille sanitaire. Entre 2000 et 2006, plus de 2 300 cas ont été recensés. « Après une diminution en 2005, le nombre de cas a de nouveau augmenté en 2006, en particulier en Ile-de-France et dans la région Nord-Pas-de-Calais. Les personnes atteintes sont majoritairement (83%) des homosexuels et bisexuels de sexe masculin. En 2006, l’épidémie de syphilis est donc toujours d’actualité », indiquait récemment l’InVS.
La syphilis est extrêmement contagieuse. L’occasion de rappeler que tout rapport sexuel -y compris une fellation- non protégé doit être évité. Au stade primaire la maladie se manifeste généralement par une ulcération de la peau et des muqueuses. Au moindre doute, rendez vous au Centre de Dépistage anonyme et gratuit (CDAG) le plus proche. La liste des CDAG est disponible sur le site de SIDA Info Service en cliquant ici.
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Changer les regards sur les maladies mentales
[1er avril 2008 - 15:00]
« Le regard extérieur que les soignants et la société portent sur les maladies mentales est un des facteurs de la guérison des patients ». Un message fort que veulent faire passer les responsables des Cliniques psychiatriques de France.
Ils rappellent ainsi qu’en France, 30% des personnes sont concernées par des troubles psychiques. Ils dénoncent aussi, la tendance actuelle « à revenir à l’enfermement. Obsédée par la sécurité, notre société entend aujourd’hui maîtriser la folie en l’assimilant à la dangerosité, en associant criminels et malades mentaux. »
Dans un tel contexte, les Cliniques psychiatriques de France prônent un renouvellement de la prise en charge. Celle-ci devrait prendre en compte non seulement la réadaptation et l’intégration sociales du patient, mais aussi le soutien et l’attention portés à son entourage. « L’objectif est d’accompagner les patients, de les aider à retrouver le rythme d’une vie normale ».
[1er avril 2008 - 15:00]
« Le regard extérieur que les soignants et la société portent sur les maladies mentales est un des facteurs de la guérison des patients ». Un message fort que veulent faire passer les responsables des Cliniques psychiatriques de France.
Ils rappellent ainsi qu’en France, 30% des personnes sont concernées par des troubles psychiques. Ils dénoncent aussi, la tendance actuelle « à revenir à l’enfermement. Obsédée par la sécurité, notre société entend aujourd’hui maîtriser la folie en l’assimilant à la dangerosité, en associant criminels et malades mentaux. »
Dans un tel contexte, les Cliniques psychiatriques de France prônent un renouvellement de la prise en charge. Celle-ci devrait prendre en compte non seulement la réadaptation et l’intégration sociales du patient, mais aussi le soutien et l’attention portés à son entourage. « L’objectif est d’accompagner les patients, de les aider à retrouver le rythme d’une vie normale ».
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jjland83 a écrit :Bonjour,
et bien on vous demande de répondre à la question. Si on vous demande votre avis, il faut bien entendu le donner ! Mais attention, votre avis doit être nuancé et permettre une vision large des choses. En clair, vous avez le droit d'argumenter dans un sens ou dans l'autre, mais vous devez laisser ubne place pour un avis contraire.
Que pensez-vous du temps pluvieux qu'il fait ?
Je pense que le temps pluvieux n'est pas agréable, car il empêche de faire de belles promenades. D'un autre côté, la nature a besoin d'eau et la pluie est la bienvenue.
Jérôme
merci pour tous ces précieux conseils mais voilà, je suis tombée sur un sujet sur lequel l'argumentation d'un avis contraire est impossible : "Vitesse, alcool, cannabis, fatigue, jeune voici un cocktail détonnant. Qu'en pensez-vous?" donc je n'ai rien trouvé de mieux qu'à argumenter cette affirmation.
Ide au bloc op
HEPATITE C
Une protéine qui bloque le virus a été identifiée
NOUVELOBS.COM | 02.04.2008 | 08:01
Des chercheurs français ont identifié une protéine qui bloque le virus de l'hépatite C à une étape précoce de son développement. La découverte ouvre de nouvelles perspectives de mise au point de thérapies visant à empêcher le virus d'entrer dans les cellules du foie.
Une protéine capable de bloquer le virus de l'hépatite C à une étape précoce de son cycle infectieux a été mise en évidence par des chercheurs de l'Institut de Biologie de Lille (CNRS/Universités Lille 1 et 2/Institut Pasteur de Lille) en collaboration avec des chercheurs de l'Inserm et d'un laboratoire américain de l'université de Stanford.
Leurs travaux, soutenus par l'Agence nationale française de recherche sur le sida et les hépatites (ANRS), sont publiés mercredi 2 avril dans la revue américaine en ligne PLoS ONE.
Ces recherches "laissent entrevoir de nouvelles perspectives dans le développement de thérapies visant à bloquer le virus avant qu'il n'entre dans la cellule", annoncent les chercheurs.
130 millions de personnes contaminées
L'hépatite C, contre laquelle il n'existe pas de vaccin préventif, touche environ 130 millions de personnes à travers le monde. En France, avec quelque 5.000 nouveaux cas par an, on estime qu'un demi-million de personnes pourraient être atteintes par cette infection.
L'infection par ce virus (le VHC) est le plus souvent chronique (60 à 80 % des cas) et peut conduire à long terme au développement d'une cirrhose et d'un cancer du foie. Les traitements actuels ont une efficacité limitée (40% d'échec environ) et présentent des effets secondaires non négligeables. D'où l'importance de trouver de nouvelles molécules antivirales.
Le VHC utilise au moins trois récepteurs (dont le récepteur CD81) pour entrer dans la cellule du foie et l'infecter.
C'est en étudiant les protéines associées au récepteur CD81 que les chercheurs ont identifié la molécule EWI-2wint. Cette molécule empêche le virus de reconnaître le récepteur CD81 dont il se sert pour entrer dans la cellule.
Les chercheurs notent que la présence de cette molécule dans d'autres types de cellules expliquerait pourquoi elles ne sont pas infectées par le virus de l'hépatite C.
Une protéine qui bloque le virus a été identifiée
NOUVELOBS.COM | 02.04.2008 | 08:01
Des chercheurs français ont identifié une protéine qui bloque le virus de l'hépatite C à une étape précoce de son développement. La découverte ouvre de nouvelles perspectives de mise au point de thérapies visant à empêcher le virus d'entrer dans les cellules du foie.
Une protéine capable de bloquer le virus de l'hépatite C à une étape précoce de son cycle infectieux a été mise en évidence par des chercheurs de l'Institut de Biologie de Lille (CNRS/Universités Lille 1 et 2/Institut Pasteur de Lille) en collaboration avec des chercheurs de l'Inserm et d'un laboratoire américain de l'université de Stanford.
Leurs travaux, soutenus par l'Agence nationale française de recherche sur le sida et les hépatites (ANRS), sont publiés mercredi 2 avril dans la revue américaine en ligne PLoS ONE.
Ces recherches "laissent entrevoir de nouvelles perspectives dans le développement de thérapies visant à bloquer le virus avant qu'il n'entre dans la cellule", annoncent les chercheurs.
130 millions de personnes contaminées
L'hépatite C, contre laquelle il n'existe pas de vaccin préventif, touche environ 130 millions de personnes à travers le monde. En France, avec quelque 5.000 nouveaux cas par an, on estime qu'un demi-million de personnes pourraient être atteintes par cette infection.
L'infection par ce virus (le VHC) est le plus souvent chronique (60 à 80 % des cas) et peut conduire à long terme au développement d'une cirrhose et d'un cancer du foie. Les traitements actuels ont une efficacité limitée (40% d'échec environ) et présentent des effets secondaires non négligeables. D'où l'importance de trouver de nouvelles molécules antivirales.
Le VHC utilise au moins trois récepteurs (dont le récepteur CD81) pour entrer dans la cellule du foie et l'infecter.
C'est en étudiant les protéines associées au récepteur CD81 que les chercheurs ont identifié la molécule EWI-2wint. Cette molécule empêche le virus de reconnaître le récepteur CD81 dont il se sert pour entrer dans la cellule.
Les chercheurs notent que la présence de cette molécule dans d'autres types de cellules expliquerait pourquoi elles ne sont pas infectées par le virus de l'hépatite C.
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