Culture Générale
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Re: concours pontoise
SINGE a écrit :qui a passée le concours de pontoise l'année dernière car je voudrais savoir si le concours porte sur les connaissances ou de l'analyse de texte
Certainement des étudiants qui y sont actuellement.
Tu peux jeter un oeil dans ce ici pour en contacter

- aneso81
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La rougeole squatte l’Europe
[14 avril 2008 - 12:26]
Depuis deux ans, plusieurs flambées de rougeole ont éclaté dans l’Union européenne. Si la Suisse est le pays le plus touché, la France, le Danemark et le Royaume-Uni ne sont pas épargnés. En 2007 par exemple, près d’un millier de cas ont ainsi été enregistrés de l’autre côté de la Manche.
Dans le dernier numéro d’Eurosurveillance, les rédacteurs se sont intéressés au cas de Londres. Et plus précisément au quartier de Lewisham, dont la population est particulièrement défavorisée sur les plans économiques et sociales.
Depuis le 1er janvier, plus de 80 cas de rougeole y ont été notifiés. La raison en est simple, puisque le taux de couverture vaccinale pour la primo-vaccination n’était que de 67% en 2006-2007. Et seulement 48% des moins de cinq ans ont reçu la deuxième dose du vaccin rougeole-oreillon-rubéole (ROR). Rappelons que pour interrompre la circulation du virus, un taux de couverture de 95% est nécessaire. En France, il se situe toujours aux environs de 84% !
[14 avril 2008 - 12:26]
Depuis deux ans, plusieurs flambées de rougeole ont éclaté dans l’Union européenne. Si la Suisse est le pays le plus touché, la France, le Danemark et le Royaume-Uni ne sont pas épargnés. En 2007 par exemple, près d’un millier de cas ont ainsi été enregistrés de l’autre côté de la Manche.
Dans le dernier numéro d’Eurosurveillance, les rédacteurs se sont intéressés au cas de Londres. Et plus précisément au quartier de Lewisham, dont la population est particulièrement défavorisée sur les plans économiques et sociales.
Depuis le 1er janvier, plus de 80 cas de rougeole y ont été notifiés. La raison en est simple, puisque le taux de couverture vaccinale pour la primo-vaccination n’était que de 67% en 2006-2007. Et seulement 48% des moins de cinq ans ont reçu la deuxième dose du vaccin rougeole-oreillon-rubéole (ROR). Rappelons que pour interrompre la circulation du virus, un taux de couverture de 95% est nécessaire. En France, il se situe toujours aux environs de 84% !
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Mauvais usage du médicament : quatre substances mieux encadrées
[15 avril 2008 - 12:30]
Buprénorphine (Subutex et ses génériques), flunitrazepam (Rohypnol), methylphenidate (Ritaline/Concerta…) et méthadone. La prescription et la délivrance de ces quatre substances sont désormais plus strictement encadrées en France. Objectif : « lutter contre le mésusage et le détournement » de ces produits, indique le ministère en charge de la santé.
Pour bénéficier de la prise en charge de l’Assurance-maladie, le patient doit désormais « indiquer obligatoirement à son médecin le nom du pharmacien qui sera chargé de la délivrance ». Le médecin quant à lui, devra « mentionner ce nom sur la prescription qui devra être exécutée par le pharmacien désigné ».
Ces mesures concernent donc deux traitements de substitution des opiacés (TSO), la buprénorphine à haut dosage et la méthadone, un hypnotique (flunitrazepam) et un psychostimulant (methylphenidate). « Le choix des médicaments concernés a fait l’objet d’une large concertation au sein d’instances réunissant des professionnels et des représentants d’associations (commission nationale des stupéfiants et des psychotropes de l’AFSSaPS, commission addictions du ministère de la Santé) ».
[15 avril 2008 - 12:30]
Buprénorphine (Subutex et ses génériques), flunitrazepam (Rohypnol), methylphenidate (Ritaline/Concerta…) et méthadone. La prescription et la délivrance de ces quatre substances sont désormais plus strictement encadrées en France. Objectif : « lutter contre le mésusage et le détournement » de ces produits, indique le ministère en charge de la santé.
Pour bénéficier de la prise en charge de l’Assurance-maladie, le patient doit désormais « indiquer obligatoirement à son médecin le nom du pharmacien qui sera chargé de la délivrance ». Le médecin quant à lui, devra « mentionner ce nom sur la prescription qui devra être exécutée par le pharmacien désigné ».
Ces mesures concernent donc deux traitements de substitution des opiacés (TSO), la buprénorphine à haut dosage et la méthadone, un hypnotique (flunitrazepam) et un psychostimulant (methylphenidate). « Le choix des médicaments concernés a fait l’objet d’une large concertation au sein d’instances réunissant des professionnels et des représentants d’associations (commission nationale des stupéfiants et des psychotropes de l’AFSSaPS, commission addictions du ministère de la Santé) ».
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Les professionnels de la vue, les yeux hors de la tête !
[15 avril 2008 - 18:27]
Roselyne Bachelot-Narquin en « posant la question (sic) d’une prise en charge intégrale des frais d’optique par les mutuelles et complémentaires de santé, a certainement poussé le bouchon… plus loin que prévu. En première ligne, le président du Syndicat national des Ophtalmologistes de France (SNOF) qualifie la sortie de la ministre de « nulle et extrêmement maladroite ». Ambiance…
A 24 heures d’Etats généraux de la Vue convoqués à l’Académie nationale de Médecine, le tollé est général. « Nous sommes bien évidement favorables à une meilleure organisation de l’accès aux soins de la vue. Mais pas de cette manière » tonne le président du SNOF Jean-Luc Seegmuller. Or il doit justement présenter aux Etats généraux « les grands enjeux de santé publique » de l’ophtalmologie : glaucome, DMLA, cataracte, rétinopathie diabétique, décollement de la rétine, maladies infantiles… autant de domaines où la « démédicalisation » de la prise en charge est utopique.
« En avril 2007 nous avons accepté la publication de deux décrets visant à faciliter l’accès des assurés sociaux au renouvellement de leur équipement optique ». Ces décrets allongeaient à 3 ans la validité des ordonnances de verres correcteurs. « Le système se mettait lentement et difficilement en place lorsqu’un an plus tard, la ministre dans un élan généreux, balaye tout à la télévision. Sans aucune concertation » se désole Jean-Luc Seegmuller.
Quant aux 150 millions d’euros d’économie avancés par la ministre de la Santé pour justifier un désengagement de l’Assurance-maladie… il n’y croit pas un instant. « Madame Bachelot sait très bien que les économies ne seront pas de 150 millions d’euros. Car les premiers bénéficiaires d’une prise en charge sont justement les enfants » (dont la prise en charge peut être 10 fois supérieure à celle des adultes, n.d.l.r.) « et les bénéficiaires de la CMU. Or pour ces derniers, les lunettes sont gratuites. Donc, des exceptions devront être mises en place pour aider ces populations. ».
Jean-Luc Seegmuller n’est pas seul. Derrière lui -et vraiment pas loin- sont massés les membres de l’Association nationale pour l’Amélioration de la Vue (ASNAV). Eux aussi brocardent un projet « qui ne serait pas seulement injuste, mais aussi une erreur économique et sociale ». Sous le titre évocateur de « Bien voir c’est obligatoire », ils mettent en ligne un « manifeste » qui va donner au débat lancé par Roselyne Bachelot-Narquin un prolongement sans doute animé.
[15 avril 2008 - 18:27]
Roselyne Bachelot-Narquin en « posant la question (sic) d’une prise en charge intégrale des frais d’optique par les mutuelles et complémentaires de santé, a certainement poussé le bouchon… plus loin que prévu. En première ligne, le président du Syndicat national des Ophtalmologistes de France (SNOF) qualifie la sortie de la ministre de « nulle et extrêmement maladroite ». Ambiance…
A 24 heures d’Etats généraux de la Vue convoqués à l’Académie nationale de Médecine, le tollé est général. « Nous sommes bien évidement favorables à une meilleure organisation de l’accès aux soins de la vue. Mais pas de cette manière » tonne le président du SNOF Jean-Luc Seegmuller. Or il doit justement présenter aux Etats généraux « les grands enjeux de santé publique » de l’ophtalmologie : glaucome, DMLA, cataracte, rétinopathie diabétique, décollement de la rétine, maladies infantiles… autant de domaines où la « démédicalisation » de la prise en charge est utopique.
« En avril 2007 nous avons accepté la publication de deux décrets visant à faciliter l’accès des assurés sociaux au renouvellement de leur équipement optique ». Ces décrets allongeaient à 3 ans la validité des ordonnances de verres correcteurs. « Le système se mettait lentement et difficilement en place lorsqu’un an plus tard, la ministre dans un élan généreux, balaye tout à la télévision. Sans aucune concertation » se désole Jean-Luc Seegmuller.
Quant aux 150 millions d’euros d’économie avancés par la ministre de la Santé pour justifier un désengagement de l’Assurance-maladie… il n’y croit pas un instant. « Madame Bachelot sait très bien que les économies ne seront pas de 150 millions d’euros. Car les premiers bénéficiaires d’une prise en charge sont justement les enfants » (dont la prise en charge peut être 10 fois supérieure à celle des adultes, n.d.l.r.) « et les bénéficiaires de la CMU. Or pour ces derniers, les lunettes sont gratuites. Donc, des exceptions devront être mises en place pour aider ces populations. ».
Jean-Luc Seegmuller n’est pas seul. Derrière lui -et vraiment pas loin- sont massés les membres de l’Association nationale pour l’Amélioration de la Vue (ASNAV). Eux aussi brocardent un projet « qui ne serait pas seulement injuste, mais aussi une erreur économique et sociale ». Sous le titre évocateur de « Bien voir c’est obligatoire », ils mettent en ligne un « manifeste » qui va donner au débat lancé par Roselyne Bachelot-Narquin un prolongement sans doute animé.
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Les sujets de l ecrit demain...
Bonjour à vous tous
Je passe pour la premiere fois mon comcours demain et je vous dis pas les crampes au ventre...
J ai beaucoup de lacunes en maths car un niveau 3eme... et nulle avant...
J ai peur de buter sur des questions de maths.
Rien ne rentre malgré les revisions.
Et je ne sais pas quels sujets vont etre demandé...
J ai un plus de facilité je pense en culture genarale...Mais bon...
A votre avis est ce qu il faut repondre meme si on ne sait pas?
Je passe demain a Rabelais dans le 18eme
Merci beaucoup...
Je passe pour la premiere fois mon comcours demain et je vous dis pas les crampes au ventre...
J ai beaucoup de lacunes en maths car un niveau 3eme... et nulle avant...

J ai peur de buter sur des questions de maths.
Rien ne rentre malgré les revisions.
Et je ne sais pas quels sujets vont etre demandé...
J ai un plus de facilité je pense en culture genarale...Mais bon...
A votre avis est ce qu il faut repondre meme si on ne sait pas?
Je passe demain a Rabelais dans le 18eme
Merci beaucoup...

L'inconvénient des concours c'est que tu peux passer sur n'importe quoi puisqu'il n'y a pas de programme. Tu auras toujours l'impression de ne pas assez savoir et donc, l'impression que tu n'es pas prêt.
Par contre comme tu passes Rabelais, on peut peut-être poursuivre la conversation ici.
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- alexandra.lep
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Zona, encéphalites à tiques : les vaccinations pas recommandées
[24 avril 2008 - 07:45]
Dans son dernier avis, le Haut conseil de la santé publique (HCSP) ne recommande ni la vaccination contre le zona, ni celle contre les encéphalites à tiques. Le vaccin zostavax contre le zona, bénéfie depuis juin 2006 d’une Autorisation européenne de mise sur le marché (AMM). Il vise à prévenir l’infection de l’adulte par le virus de la varicelle, également responsable du zona.
Caractérisée par des éruptions unilatérales essentiellement situées sur le trajet des nerfs sensitifs cette maladie provoque des phénomènes douloureux intenses qui peuvent durer plusieurs mois, voire davantage : les douleurs post-zostériennes. Ce qui empêche de recommander le vaccin dans l’état actuel des choses, souligne le HCSP, c’est le manque de données concernant son efficacité à long terme.
Concernant l’encéphalite à tiques enfin, le HCSP estime « qu’au vu des données présentées par l’Institut de veille sanitaire et par le Centre national de référence, il n’y a pas lieu de recommander le vaccin aux personnes résidant en France ».
[24 avril 2008 - 07:45]
Dans son dernier avis, le Haut conseil de la santé publique (HCSP) ne recommande ni la vaccination contre le zona, ni celle contre les encéphalites à tiques. Le vaccin zostavax contre le zona, bénéfie depuis juin 2006 d’une Autorisation européenne de mise sur le marché (AMM). Il vise à prévenir l’infection de l’adulte par le virus de la varicelle, également responsable du zona.
Caractérisée par des éruptions unilatérales essentiellement situées sur le trajet des nerfs sensitifs cette maladie provoque des phénomènes douloureux intenses qui peuvent durer plusieurs mois, voire davantage : les douleurs post-zostériennes. Ce qui empêche de recommander le vaccin dans l’état actuel des choses, souligne le HCSP, c’est le manque de données concernant son efficacité à long terme.
Concernant l’encéphalite à tiques enfin, le HCSP estime « qu’au vu des données présentées par l’Institut de veille sanitaire et par le Centre national de référence, il n’y a pas lieu de recommander le vaccin aux personnes résidant en France ».
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Sept règles d’or avant de prendre un médicament
[24 avril 2008 - 09:35]
La notice d’un médicament, c’est bien davantage qu’un simple mode d’emploi. Dans une brochure intitulée Toujours lire la notice de votre médicament, l’Agence française de Sécurité sanitaire des Produits de Santé (AFSSaPS) rappelle 7 règles d’or. Notez bien ces conseils de bon sens :
Respectez les indications ;
Attention aux contre-indications : certains médicaments sont à proscrire si vous êtes par exemple, allergique ou enceinte ;
Soyez attentifs aux situations modifiant les conditions d’emploi : l’AFSSaPS attire ainsi l’attention du patient sur les risques d’interactions médicamenteuses ;
Adaptez votre mode de vie : la prise de certaines molécules contre-indique la conduite. D’autres ne doivent pas être administrées avec des jus de fruits et notamment, le jus de pamplemousse ;
Respectez les modalités de prise du médicament ;
Redoublez d’attention si vous prenez un médicament sans ordonnance ;
Adoptez la bonne attitude si vous constatez un effet secondaire : au moindre doute, contactez votre médecin ou votre pharmacien. Et face à une intoxication, appelez le centre anti-poison le plus proche.
[24 avril 2008 - 09:35]
La notice d’un médicament, c’est bien davantage qu’un simple mode d’emploi. Dans une brochure intitulée Toujours lire la notice de votre médicament, l’Agence française de Sécurité sanitaire des Produits de Santé (AFSSaPS) rappelle 7 règles d’or. Notez bien ces conseils de bon sens :
Respectez les indications ;
Attention aux contre-indications : certains médicaments sont à proscrire si vous êtes par exemple, allergique ou enceinte ;
Soyez attentifs aux situations modifiant les conditions d’emploi : l’AFSSaPS attire ainsi l’attention du patient sur les risques d’interactions médicamenteuses ;
Adaptez votre mode de vie : la prise de certaines molécules contre-indique la conduite. D’autres ne doivent pas être administrées avec des jus de fruits et notamment, le jus de pamplemousse ;
Respectez les modalités de prise du médicament ;
Redoublez d’attention si vous prenez un médicament sans ordonnance ;
Adoptez la bonne attitude si vous constatez un effet secondaire : au moindre doute, contactez votre médecin ou votre pharmacien. Et face à une intoxication, appelez le centre anti-poison le plus proche.
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Un enfant victime d'un incident grave avec une table de kinésithérapie
AFP - il y a 5 minutes
PARIS AFP) (AFP) - L'Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps) a appelé vendredi les masseurs et kinésithérapeutes à la vigilance après la survenue d'un incident grave où un enfant handicapé s'est retrouvé coincé sous une table de traitement.
Posé au sol après avoir reçu des soins de rééducation et laissé sans surveillance pendant un court instant par le personnel médical soignant, l'enfant s'est déplacé sous la table et a appuyé sur la barre périphérique entourant la table, provoquant sa descente. Il s'est alors retrouvé coincé et n'a pu être "désincarcéré" qu'avec de grandes difficulté, selon l'Afssaps.
L'enfant "était inconscient et cyanosé" et l'incident "aurait pu avoir des conséquences cliniques graves", a précisé l'agence.
"Certains patients peuvent s'avérer potentiellement dangereux pour eux-mêmes" et "nécessitent l'attention du personnel médical soignant", a-t-elle indiqué dans une "mise au point" à l'attention des masseurs et kinésithérapeutes. "C'est pourquoi il convient de rappeler qu'une surveillance des patients dans un environnement de soin est indispensable pour prévenir ce type d'incident".
L'Afssaps recommande de préférer des tables offrant la possibilité d'inverser le système de commande : "au lieu de provoquer la descente par appui sur le commande périphérique, ceci provoque la montée du plateau".
AFP - il y a 5 minutes
PARIS AFP) (AFP) - L'Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps) a appelé vendredi les masseurs et kinésithérapeutes à la vigilance après la survenue d'un incident grave où un enfant handicapé s'est retrouvé coincé sous une table de traitement.
Posé au sol après avoir reçu des soins de rééducation et laissé sans surveillance pendant un court instant par le personnel médical soignant, l'enfant s'est déplacé sous la table et a appuyé sur la barre périphérique entourant la table, provoquant sa descente. Il s'est alors retrouvé coincé et n'a pu être "désincarcéré" qu'avec de grandes difficulté, selon l'Afssaps.
L'enfant "était inconscient et cyanosé" et l'incident "aurait pu avoir des conséquences cliniques graves", a précisé l'agence.
"Certains patients peuvent s'avérer potentiellement dangereux pour eux-mêmes" et "nécessitent l'attention du personnel médical soignant", a-t-elle indiqué dans une "mise au point" à l'attention des masseurs et kinésithérapeutes. "C'est pourquoi il convient de rappeler qu'une surveillance des patients dans un environnement de soin est indispensable pour prévenir ce type d'incident".
L'Afssaps recommande de préférer des tables offrant la possibilité d'inverser le système de commande : "au lieu de provoquer la descente par appui sur le commande périphérique, ceci provoque la montée du plateau".
Puéricultrice
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Remise à niveau CG : conseil & programmes TV
pour remettre ma culture générale à niveau quel revue pouvez vous me conseiller et quel programmes TV ?
[Titre modifié => Juju5544]
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culture generale
bonsoir STeph , regardes le journal televisé c'est super important apres tu as une emissin sur la 5 l'am c'est le journal de la sante et ensuite achetes toi un livre sur les themes sanitaires et sociaux
voila bon courage tu as passé un concours déja ou pas? ,
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helene
promo 2008/2011 j'irais au bout de mon reve !!!!!!!
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