Culture Générale

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shayna123
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Re: culture générale 2010

Message par shayna123 »

les accidents domestiques:

La première cause de mortalité chez les jeunes enfants est due aux accidents domestiques.
Tous les jours, 2 000 enfants de moins de 6 ans sont victimes d’accident de la vie courante, ce qui correspond sur une année à 740 000 accidents ayant motivé une consultation aux urgences.
Certaines victimes gardent des séquelles qui sont souvent à l’origine de handicaps sérieux.
L’intérieur de la maison représente le lieu principal d’accident pour cette tranche d’age (80%). En 2002, 308 enfants âgés de 0 à 15 ans sont décédés des suites d’un accident de la vie courante et parmi ces décès, 64 % concernaient des enfants de moins de 4 ans.
Les lieux à risque : Pour les enfants de moins d’un an, les accidents surviennent davantage dans la cuisine, la chambre et la salle de bain.
Quant aux accidents touchant les enfants de 1 à 4 ans, ils ont le plus souvent lieu dans la cuisine et la salle de séjour.
L’âge augmentant, ces accidents diminuent et surviennent de plus en plus à l’extérieur de la maison.
Seules la pédagogie et la surveillance peuvent limiter les accidents domestiques.
Une seconde d'inattention et les conséquences sont dramatiques (chutes, choc, brûlures, empoisonnements, noyades, étouffements...).
-80% pourraient être évités.
-400.000 brûlures par accidents domestiques par an.
-600.000 morsures de chien par an.
-250 morts par défenestration pour les enfants de 10 mois à 7 ans par an.
-2.000.000 de chutes chez les + de 65 ans, ce qui représente 10.000 morts par an.
-100 morts par an dus aux noyades (baignoire et piscine).
Par exemple, dans la cuisine ranger les sacs plastiques pour éviter que les jeunes enfants s'étouffent,ne pas laisser les ustensiles tranchants ou les couteaux a leurs porter.
Dans la salle de bains ne pas laisser les appareils électrique a proximité de l'eau.
Dans le séjour ne pas laisser briquets et allumettes a porter de main,attention de ne pas laisser des meubles sous les fenêtres qui peuvent servir d'escalade.
shayna123
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Re: culture générale 2010

Message par shayna123 »

la vieillesse:

La vieillesse est l'âge ultime de l'être humain, qui succède à l'âge mûr, appelé aussi par euphémisme le « troisième âge ».
La vieillesse est généralement perçue dans vers 60 ans, car c’est à cette période que la conscience d’un vieillissement est la plus aiguë.
Il n’y a pas réellement d’âge biologique de la vieillesse. Par contre, il y a une représentation de la vieillesse qui commence vers l'âge de soixante-cinq ans et correspond à une période de la vie où la plupart des personnes sont retirées de la vie active (retraite ou pension).
En moins de 50 ans, les personnes âgées de plus de 65 ans seront deux fois plus nombreuses qu’en 1980.
Ceci s’explique par l’espérance de vie croissante de la population, l’amélioration du niveau de vie et le progrès scientifique.
Le poids de cette population sur l’économie ne sera pas négligeable (retraites, dépenses de santé, besoin d’infrastructures spécialisées…) L’essentiel de l’aide des vieillards est fournie par l’entourage.
La vieillesse se caractairise au plan physique par les rides,cheveux blanc et chut des cheveux.
Au niveau de la fragilisation d'ordre mental, il y a la maladie d'Alzheimer. Quand une personne âgée commence à faire de l'Alzheimer, elle régresse vers l'enfance dans ce sens qu'elle devient principalement préoccupée par sa sécurité et sa survie. Quand on devient dépendant des autres, rien n'est plus réconfortant que la présence des êtres chers même si la personne malade ne semble pas reconnaître ses proches.
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Re: culture générale 2010

Message par shayna123 »

la bioéthique:

Le terme « éthique » provient de êthos qui signifie en grec « manière d'être ». Il s'agit donc, au sens strict, des comportements individuels qu'il faut adopter en matière de science du vivant, sans qu'il y ait d'interrogation sur ce qu'est un comportement moralement acceptable.
Aujourd'hui, on assiste à une évolution du sens, puisqu'elle est souvent synonyme de "morale appliquée à la science".
Elle est une recherche de normes morales applicables à la recherche biologique et à tout ce qui concerne les sciences du vivant, y compris les manipulations techniques du vivant et la médecine.
La recherche des cellules souches, les tests génétiques, le clonage : les progrès dans le domaine des sciences de la vie ont doté les êtres humains d’un nouveau pouvoir pour améliorer la santé et contrôler les mécanismes de développement de toutes les espèces vivantes.
Les interrogations concernant les implications sociales, culturelles, légales et morales de ces progrès ont mené à l’une des discussions les plus significatives du siècle passé. Un nouveau mot a été créé pour envelopper toutes les problématiques résultant de cette discussion : bioéthique.

Les lois de bioéthique de 1994:
-Le clonage, reproductif ou thérapeutique, est interdit.
-La recherche sur l’embryon et les cellules embryonnaires est en principe interdite.
-Par dérogation, les recherches peuvent être autorisées sur l'embryon et les cellules embryonnaires, pour une période limitée à cinq ans.
-Par dérogation, "le diagnostic biologique [préimplantatoire] effectué à partir de cellules prélevées sur l'embryon in vitro peut également être autorisé, à titre expérimental", pour guérir un enfant atteint d’une maladie génétique incurable grâce à la naissance d’un enfant indemne (bébés dits "du double espoir" ou "bébés-médicaments").
-La loi de bioéthique sera réexaminée par le Parlement dans un délai de cinq ans suivant son entrée en vigueur.
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Re: culture générale 2010

Message par shayna123 »

L’ETHIQUE PROFESSIONNELLE

La déontologie, ou l’éthique professionnelle, se rapporte au « code de conduite » du professionnel.
Pour l’infirmière, il s’agit de l’ensemble des règles qui régissent ses rapports avec les patients, le public et les autres professionnels. Le code de déontologie constitue un outil de référence énonçant les devoirs et les obligations qui orientent les comportements des infirmières.
shayna123
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Re: culture générale 2010

Message par shayna123 »

ETHIQUES DE LA VIE

La contraception est « l'utilisation d’agents, de dispositifs, de méthodes ou de procédures pour diminuer la probabilité de conception ou l’éviter ».
La contraception désigne les procédés temporaires et réversibles.
Le terme contraception a pour origine:
- Contra: contre
- (Con)ception, du latin conceptio, de concipere: concevoir: formation d'un nouvel être.

-En 1978, naît le premier bébé obtenu par fécondation in vitro, donc par une fécondation hors du corps de la femme.
Le principe de base est simple : un prélèvement de sperme de l'homme et un ovule de la femme sont mis en contact dans une éprouvette, et un œuf se forme. L'embryon obtenu est alors transféré dans l'utérus de la femme.
En fait, pour augmenter les chances d'avoir un embryon, il faut employer plusieurs ovules.
Les ovaires de la femme sont sur-stimulés pour obtenir une dizaine d'ovules. Le sperme de l'homme est mis en contact avec tous ces ovules, ce qui permet d'obtenir 5 ou 6 embryons.
Deux ou trois d'entre eux sont transférés dans le corps de la femme, alors que les autres sont congelés si la division cellulaire le permet. Ils pourront être utilisés pour une autre tentative, si les parents le désirent, ou bien être détruits.
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Re: culture générale 2010

Message par shayna123 »

PIERCINGS, TATOUAGES

Depuis quelques années, le tatouage connaît un véritable succès, et pour faire face à cette demande croissante, de nombreux tatoueurs ouvrent boutique. Une démarche assez simple, puisqu'en France, ces artistes échappent à toute réglementation sur le plan sanitaire. Pourtant parce qu'ils se pratiquent à l'aide d'aiguilles et autres instruments qui endommagent la chair et touchent au sang, tatouages et piercings peuvent faire courir le risque d'une infection. Quand ce n'est pas le produit injecté qui est à la source de la contamination…

Aujourd'hui, même si le piercing peut être fait sur un coup de tête pour son aspect esthétique, il a souvent une signification plus profonde, qui change avec l'âge :
Chez les adolescents, il est souvent une manière d'affirmer son identité face aux parents, en général réfractaires à cette mutilation. Pour les adultes, cette pratique véhicule, en effet, une image négative de rébellion ou de marginalité.
La signification varie aussi en fonction de la localisation du piercing : visibles - sur le nez ou la lèvre -, ils ont une signification publique. A l'inverse, placés sur les organes génitaux, ils ont un sens très personnel, intime.
Les infections peuvent être bactériennes, le risque est alors d'être contaminé par un streptocoque ou un staphylocoque. Mais des virus peuvent aussi être transmis, comme ceux des hépatites B et C, celui du sida ou encore de l'herpès.
shayna123
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Re: culture générale 2010

Message par shayna123 »

LA VIOLENCE

La violence est un terme général employé pour décrire un comportement agressif, non amical, non pacifiste, belligérant, ennemi, autrement dit une contrainte imposée, qui provoque la douleur, la peine.

La violence peut être :
>verbale : des insultes, des mots qui blessent ;
>physique : des gestes violents qui font mal, des gifles, coups de poings, coups de pieds, armes blanches, armes à feu ;
>sexuelle : une personne, consciente d'avoir un ascendant impose à une autre des actes sexuels non désirés ;
>conjugale : quand le comportement d'un conjoint est identifiable à l'une des violences décrites ci-dessus sur l'autre conjoint ;
>Raciste : quand la victime d'une forme de violence est choisie par le violenteur uniquement sur des critères "raciaux" ou nationaux ;
>froide : terme parfois utilisé pour l'opposer à la violence « chaude », agressive. Consiste à contraindre autrui à demeurer dans une situation de souffrance (séquestration, par exemple) ;
>sur soi-même : action de ne pas tenir compte de tous ses besoins dans ses actions. Donc d'accepter des tâches qui nous écrasent. (Par ex : aller à un barbecue alors que la semaine a été dure et que l'on préférerait passer l'après-midi en famille et pas au barbecue).
>éducative : on entend par "violence éducative" les violences sur enfants perpétrées à des fins dites d'éducation.
shayna123
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Re: culture générale 2010

Message par shayna123 »

AMIANTE

L’amiante est un composé de silicate de calcium et de magnésium très utilisé jusqu’alors dans l’industrie et le bâtiment car résistant au feu, à la chaleur, aux acides et à toute corrosion. Il est utilisé dans la fabrication de textiles, de feutre, de papier, de carton et de ciment.
En se dégradant, il libère des particules microscopiques qui peuvent être inhalées. Elles représente un danger pour la santé des personnes soumises à de fréquentes et longues expositions.
Cette inhalation a pour conséquences sanitaires, auprès des individus exposés, des risques de cancer, des insuffisances ou difficultés respiratoires…Il en découle des conséquences sociales : nombreux frais médicaux et, les risques étant classés comme maladie professionnelle, pensions, reconversions, reclassement sont autant des dispositions sociales nécessaires.
Le pouvoir cancérigène de l’amiante était, il y a quelques années, fort peu connu du grand public. On peut donc craindre qu’il n’ait pas été dénoncé et reconnu assez tôt.


Si certains ont le courage de lire et de me donner leur avis je les remercie d'avance
shayna123
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Re: culture générale 2010

Message par shayna123 »

LA PAUVRETE

La pauvreté est l'insuffisance de ressources matérielles, comme la nourriture, l’accès à l’eau potable, les vêtements, le logement, et des conditions de vie en général, mais également de ressources intangibles comme l’accès à l’éducation, l’exercice d’une activité valorisante, le respect reçu des autres citoyens. Des analyses économiques et des débats portent sur la mesure de la pauvreté, ses causes, et les moyens à mettre en œuvre pour réduire cette pauvreté.
La pauvreté peut toucher des personnes isolées ou des groupes et populations entières ; elle touche principalement les pays en développement, mais elle existe également dans les pays développés. Les États mènent des politiques d’aide aux pays pauvres (économie du développement) et, pour leurs propres citoyens, mettent en place des programmes d’aide sociale pour réduire ou supprimer la pauvreté.
Selon le lieu et l'époque, plusieurs solutions ont été envisagées :
-institutions caritatives (là encore avec une impulsion religieuse), aidant les pauvres et faisant appel au public ou aux autorités pour se financer ;
-assurances privées et assurances mutuelles (notamment « caisse de secours » syndicale) ;
-intervention de l'État, sous différentes formes.
De même, la forme de l'action est très variable, et parfois même répressive :
aides en argent ;
-aides en nature ou, équivalent moderne, en bons d'achat utilisables seulement pour certains produits, ou par des services réservés (aide au logement, logement social) ;
-fourniture de travail, ponctuel ou régulier ;
-répression de l'oisiveté, de la mendicité ;
-encouragement à la migration, (parfois : expulsion) ;
-voire extermination ;
-contrôle des naissances, parfois sélectif.

Enfin, les pauvres aidés varient également :
vieillards et invalides ;
veuves et orphelins, enfants abandonnés faute de ressources (ou pour d'autres raisons sociales, lorsque l'enfant hors mariage représentait une tache) ;
enfants en général ;
adultes actifs sans problème de santé (mais au chômage) (plus récent, sauf marginaux).
Depuis le XIXe siècle, certains pays occidentaux ont tenté de remédier à la pauvreté en instituant des garanties de ressources minimales.
Pour les enfants :
principe de gratuité des études primaires ;
allocations familiales ;
interdiction de travail trop dur avant un âge donné (bien que la lutte contre la pauvreté future du travailleur physiquement mal développé n'ait été en l'occurrence qu'un souci secondaire par rapport à celui de disposer de soldats physiquement aptes...),
institutions pour orphelins et enfants abandonnés, et, plus récemment, pour enfants retirés à leurs parents jugés inaptes.
Pour les adultes, l'État peut chercher à :
réglementer le travail (salaire minimum, protectionnisme afin de protéger le travail et donc les revenus existant), ou au contraire à le déréglementer pour favoriser le dynamisme économique ;
organiser la circulation des denrées fondamentales (prix maximum ; mise en réserve et distribution par le souverain, ainsi qu'il est attesté dans les civilisations les plus anciennes),
favoriser des institutions caritatives ou sociales,
souvent, organiser des programmes de « grands travaux » assurant du travail au peuple, du moins en apparence (car pour financer ces travaux, il faut taxer d'autres agents économiques, ce qui limite leurs ressources nécessaires à la réalisation de leurs propres projets : l'effet global n'est donc pas forcément positif, tout dépend du type d'action, et de la valeur réelle de l'ouvrage -- une muraille, une route, l'assèchement de marais ou la construction d'une pyramide n'ont évidemment pas, à long terme, les mêmes effets sur la pauvreté).
Mais c'est surtout au milieu du xxe siècle que certains États s'engagent dans un programme d'intervention directe massive, en prenant le contrôle des institutions privées (caisses de retraite, assurances chômage) et en diversifiant ses interventions;
Les aides au revenu sans condition d'utilisation sont plus récentes. L'Allemagne fut l'une des premières à l'établir. En France, le Revenu Minimum d'Insertion (RMI) fait partie de ce filet de sécurité censé empêcher des personnes de tomber dans la pauvreté. La loi instituant le RMI fut l'une des rares lois .
Le seuil de pauvreté en France est de 645€ par mois et par personne. La crise économique à touché les classes les plus modestes. L’Etat a mis en place le RMI pour les chômeurs en attente d’insertion ou de réinsertion en 1988, l’allocation jeunes enfant à l’adresse des familles monoparentales, l’allocation adulte handicapé, l’allocation spécifique d’insertion…
Le RMI permet, à lui seul à 2 millions de personnes environ de faire face aux difficultés et besoins essentiels de la vie courante.
shayna123
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Re: culture générale 2010

Message par shayna123 »

LA FEMME

De nos jours la femme s’affirme par son indépendance, tient un emploi (44%), poursuit ses études et sa carrière, gère sa maternité, entretient sa forme, participe à la vie de la société et ont une espérance de vie de 83 ans (73 pour les hommes). Cette différence s’explique par le fait que les comportements à risques (alcool, vitesse…) sont plus généralement adoptés par les hommes.
Cependant, les femmes rattrapent leur « retard » en particulier avec la cigarette (cause incontestable de la multiplication des cancers) et du stress en général.

Traditionnellement, les femmes ont des fonctions différentes de celles des hommes au sein de la société.

-économique : inégalité des hommes et des femmes devant les emplois, Leurs salaires sont en moyenne plus faibles que ceux des hommes, sont dues pour une part à des différences de postes et de volume horaire, et pour une part à une discrimination sexiste.
-politique : prépondérance des hommes sur la scène politique.
-famille : des droits et devoirs différents sont attribués traditionnellement à raison du genre. Le régime de l'adultère, du divorce ou d'un autre mode de séparation peut favoriser l'homme, notamment au divorce pour faute à la demande du mari du fait de l'absence d'héritier mâle ; certaines sociétés admettent également des sévices corporels à l'encontre des femmes,la polygamie est presque toujours exclusivement masculine (un homme pour plusieurs femmes).
sexualité : une activité sexuelle en dehors du cadre institutionnalisé est beaucoup plus mal vue que pour l'homme.
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Re: culture générale 2010

Message par shayna123 »

LES DONS D’ORGANES

La transplantation d'organes est le seul espoir de vie pour de nombreux malades atteints d'insuffisance rénale, cardiaque, pulmonaire ou hépatique.
Aujourd'hui en France, de nombreux malades meurent faute de ne pouvoir recevoir une greffe à temps.
Le don d'organes est destiné lui à sauver directement des vies humaines par la greffe.
C'est un acte de générosité et de solidarité, désintéressé et anonyme.
Les organes sains sont prélevés par une équipe médico-chirurgicale dans le plus grand respect du défunt. Il n'entraîne aucun frais pour la famille. Après l'acte chirurgical de prélèvement, le corps est rendu aux proches du donneur pour leur permettre d'organiser les obsèques comme ils le souhaitent.
On peut donner ses organes :
>De son vivant : Il s’agit alors de tissus qui se régénèrent spontanément comme le sang, la moelle osseuse (à ne pas confondre avec la moelle épinière), des fragments de peau. Pour les organes vitaux comme le rein, le donneur doit être majeur et apparenté au premier degré au malade en attente de greffe (père, mère, fils, fille, fratrie).
>A son décès : Tous les organes peuvent être prélevés : coeur, foie, poumons, bloc coeur - poumons, pancréas, intestin... Pour pouvoir certifier de votre volonté à donner vos organes, vous devez porter sur vous une carte de donneur.

En cas de mort encéphalique, des familles se sont opposées au prélèvement d'organes sur le corps du défunt.
Face à ce problème de santé publique, chacun peut apporter un élément de solution en demandant une carte de donneur et en parlant autour de soi.
Le don d'organes repose, depuis la loi Caillavet de 1976, sur le principe du consentement présumé : chacun d’entre nous est considéré comme un donneur potentiel après sa mort à moins de s’y être opposé de son vivant en s'étant inscrit dans le Registre National des Refus .

Pour les grands représentants des principales religions monothéistes présentes en France (catholicisme, judaïsme, islam), la vie humaine est primordiale, tout ce qui peut la sauver ne rencontre pas d’opposition de principe.
En 2008, 2,2 % des donneurs avaient moins de 16 ans, 30,1 % de 16 à 45 ans, 34,2 % de 46 à 60 ans et 33,5 % plus de 60 ans.
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Re: culture générale 2010

Message par shayna123 »

LA DOULEUR

La douleur est la sensation ressentie par un organisme dont le système nerveux détecte un stimulus nociceptif (qui désigne ce qui capte les excitations douloureuses). Ce mot peut également désigner des souffrances d'ordre sentimental, par exemple suite à un décès ou une rupture amoureuse.
La personne a une sensation extrêmement désagréable, voire insupportable, qui peut provoquer un mouvement réflexe de retrait ou un changement de position du corps.

L’accompagnement de la douleur
L'acharnement thérapeutique désigne le maintien artificiel en vie d'un patient mourant pour lequel on n'a plus aucun espoir d'amélioration ou de stabilisation d'un état physiologique jugé précaire : la personne ne peut plus vivre sans les machines ou les traitements douloureux que l'on met à sa disposition (respirateurs, médicaments avec de forts effets secondaires).
La différence avec l’euthanasie du non acharnement thérapeutique n'est pas sans intérêt car l'euthanasie est toujours punie par le code pénal français aux termes de l'article sur le meurtre. L'euthanasie n'est donc aux yeux de la loi qu'un crime.
De manière assez caricaturale, le non acharnement thérapeutique peut se différencier par le fait qu'il consiste en une inaction : ne pas soigner un malade. Cependant, si débrancher une machine est une action, il s'agirait plutôt d'une euthanasie.
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Re: culture générale 2010

Message par shayna123 »

LES MALADIES INFECTIEUSES

Les maladies infectieuses (comme le paludisme, le tétanos, les MST, la tuberculose..) sont des maladies qui se définissent par leur vecteur : virus, bactérie, parasite, mycose…
Elles sont susceptibles d’affecter n’importe quel organisme vivant (animal ou végétal). Leur mode de transmission est variable. Elles sont plus ou moins contagieuses.
Lorsque les cas se multiplient dans un lieu et une période limitée, on parle d’épidémie. Si la diffusion est beaucoup plus généralisée, on parle alors de pandémie.
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Re: culture générale 2010

Message par shayna123 »

LE SIDA

Quand une personne est contaminée par le VIH, son organisme n'est pas capable de l'éliminer. Elle est alors infectée par le VIH. Mais elle ne va pas se sentir malade tout de suite. Le VIH met en général plusieurs années avant de détruire les défenses immunitaires. On ne parle de sida que lorsqu'une personne souffre d'une maladie opportuniste. Donc, un malade du sida a forcément une infection par le VIH, alors que toutes les personnes infectées par le VIH n'ont pas développé le sida. Les traitements actuels ont pour but de soigner le sida chez ceux qui l'ont déjà, mais aussi d'empêcher que l'infection par le VIH évolue vers le sida.
La prise en charge des personnes infectées par le VIH s'est considérablement transformée au fil des années grâce à l'impact majeur des traitements antirétroviraux sur la santé des patients depuis 1996. La très grande majorité de ces personnes, lorsqu'elles sont suivies, bénéficient, en effet, d'un traitement antirétroviral, le plus souvent d'une trithérapie. L'incidence des infections opportunistes a fortement diminué. La fonction immunitaire de nombreux patients s'est améliorée. Plus de la moitié des personnes infectées par le VIH suivie en milieu hospitalier ont une infection contrôlée. Ces éléments encourageants ne doivent pas masquer les situations difficiles des patients en échec thérapeutique et l'importance des effets secondaires liés aux médicaments qui peuvent parfois compromettre l'observance.
L'effort doit donc être poursuivi. Il nous faut trouver des solutions pour améliorer la précocité du diagnostic, pour les situations d'échec thérapeutique et pour renforcer les actions dans le domaine de la prévention et de la recherche. Le sida reste une des priorités de santé publique de la France.
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Re: culture générale 2010

Message par shayna123 »

LA CMU

-CMU=COUVERTURE MALADIE UNIVERSELLE.
-C’est une prestation sociale française permettant l’accès au soin, remboursement des soins (accès aux prestation des soins et des médicaments) a toute personne résidant en France et qui n’est déjà pas couvert par un autre régime obligatoire d’assurance maladie. Ce dispositif a remplacé la couverture « carte santé » qui été du ressort des départements et assurer les mêmes services depuis 2000.De même, les bénéficiant des la CMU ont le droit au tiers payant c’est-à-dire que le bénéficiaire n’a rien a payer au professionnels.

- Le plafond mensuel pour pouvoir bénéficier de la CMU est de 621 euro (depuis le 1er juillet 2008).

-Les « exclut de la santé » sont environs 1 millions des jeunes de 18-25 ans, 2 millions de rmistes,les chômeurs et les salariés précaires.
Protection sociale et système de santé / CMU

La protection sociale désigne tous les mécanismes de prévoyance collective, permettant aux individus de faire face aux conséquences financières des "risques sociaux". Il s’agit de situations susceptibles de compromettre la sécurité économique de l’individu ou de sa famille, en provoquant une baisse de ses ressources ou une hausse de ses dépenses (vieillesse, maladie, invalidité, chômage, maternité, charges de famille, etc.).

il y a 3 systèmes :
>Une logique d’assurance sociale, dont l’objectif est de prémunir contre un risque de perte de revenu (chômage, maladie, vieillesse, accident du travail). Les prestations sociales sont financées par des cotisations sur les salaires (comme dans une assurance privée) et sont donc réservées à ceux qui cotisent ;

> Une logique d’assistance, qui a pour objectif d’instaurer une solidarité entre les individus pour lutter contre les formes de pauvreté. Elle consiste à assurer un revenu minimum, qui ne couvre pas forcément un risque spécifique. Il est versé sous condition de ressources, mais non de cotisations préalables (revenu minimum d’insertion, allocation adulte handicapé) ;

> Une logique de protection universelle, qui a pour but de couvrir certaines catégories de dépenses pour tous les individus. Les prestations sont donc accordées sans conditions de cotisations ni de ressources, mais sont les mêmes pour tous (prestations familiales).

Le rôle principal dans l'administration du système de santé revient à l'Etat, garant de l'intérêt public et de l'amélioration de l'état sanitaire de la population. L'Etat intervient parfois directement dans la production ou le financement des soins. Il exerce un contrôle sur les relations entre institutions de financement, professionnels et malades au nom des impératifs sanitaires et économiques généraux

La CMU (Couverture Maladie Universelle) a été votée dans le cadre de la loi du 27 juillet 1999 sous le gouvernement de Lionel Jospin, à l'initiative de Martine Aubry.
C’est une garantie offerte à toutes les personnes résidant régulièrement en France depuis plus de trois mois, de la prise en charge des soins par les régimes obligatoires de la Sécurité Sociale.
La CMU complémentaire est accordée condition de ressources.
Elle permet en théorie de bénéficier d’une prise en charge à 100 % des dépenses de santé, sans avoir à faire l’avance des frais.(source publique, caisse d'assurance maladie)
Le plafond annuel de ressources pour bénéficier de la CMU Complémentaire est fixé depuis le 1er juillet 2007 à 7272,00 euros par an, soit 606,00 euros par mois pour une personne seule en métropole. Ce montant évolue en fonction de la situation familiale et du lieu de résidence
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