Culture Générale
Modérateurs : Modérateurs, Concours IFSI
Re: Entraînement culture générale 2012
MErci beaucoup Angelito !
Des que j'ai 5 minutes je refait ca
Des que j'ai 5 minutes je refait ca

INFIRMIERE D.E
Re: Actualités concours 2012
La frite va se faire plus rare dans les cantines
NUTRITION - En revanche, l'eau et le pain seront désormais mis à disposition sans restriction...
Jeunes adeptes du classique steack-frites, préparez vos mouchoirs: Il y aura désormais moins de friture au menu des cantines, et ce en vertu de nouvelles règles nutritionnelles, entrées en application ce dimanche avec leur publication au journal officiel.
Ces règles, qui ne s'appliquent pas qu'aux écoles mais à toutes les structures de restauration publique collective, ont pour but notamment de veiller à la structure des repas, de garantir une variété suffisante et de limiter la fréquence des plats trop gras ou trop sucrés.
Finis le sel et les sauces en libre service
Maintenant, le nombre de produits frits ne pourra pas dépasser quatre sur 20 repas. Parmi les autres mesures, la mise à disposition sans restriction de l'eau et du pain. Par contre, le sel et les sauces ne seront plus proposés en libre service.
«Six millions d'enfants mangent à la cantine chaque jour mais un sur deux a encore faim en sortant», commente le ministre de l'Agriculture, Bruno Le Maire, dans les colonnes du Journal du Dimanche. «Les règles nutritionnelles ne sont ni appliquées, ni contrôlées. Nous les rendons obligatoires et nous allons surveiller les menus», ajoute-t-il.
«Il doit y avoir plus de produits laitiers, plus de fruits au dessert, le moins possible de friture et une alternance entre viande et poisson dans la semaine», précise le ministre. «La France doit être l'exemple mondial en matière de qualité de l'alimentation, à commencer par les enfants», conclut-il.
20 minutes.fr
NUTRITION - En revanche, l'eau et le pain seront désormais mis à disposition sans restriction...
Jeunes adeptes du classique steack-frites, préparez vos mouchoirs: Il y aura désormais moins de friture au menu des cantines, et ce en vertu de nouvelles règles nutritionnelles, entrées en application ce dimanche avec leur publication au journal officiel.
Ces règles, qui ne s'appliquent pas qu'aux écoles mais à toutes les structures de restauration publique collective, ont pour but notamment de veiller à la structure des repas, de garantir une variété suffisante et de limiter la fréquence des plats trop gras ou trop sucrés.
Finis le sel et les sauces en libre service
Maintenant, le nombre de produits frits ne pourra pas dépasser quatre sur 20 repas. Parmi les autres mesures, la mise à disposition sans restriction de l'eau et du pain. Par contre, le sel et les sauces ne seront plus proposés en libre service.
«Six millions d'enfants mangent à la cantine chaque jour mais un sur deux a encore faim en sortant», commente le ministre de l'Agriculture, Bruno Le Maire, dans les colonnes du Journal du Dimanche. «Les règles nutritionnelles ne sont ni appliquées, ni contrôlées. Nous les rendons obligatoires et nous allons surveiller les menus», ajoute-t-il.
«Il doit y avoir plus de produits laitiers, plus de fruits au dessert, le moins possible de friture et une alternance entre viande et poisson dans la semaine», précise le ministre. «La France doit être l'exemple mondial en matière de qualité de l'alimentation, à commencer par les enfants», conclut-il.
20 minutes.fr
INFIRMIERE D.E
Re: Actualités concours 2012
Un trou immense dans la couche d'ozone provoque l'inquiétude des scientifiques
Le trou fait cinq fois la taille de l'Allemagne!
Selon des chercheurs, un trou ayant la dimension qui équivaut à cinq fois la surface de l'Allemagne a été remarqué au sein de la couche d'ozone au-dessus de l'Arctique, ce qui par conséquant vient malheureusement contre-balancer la diminution observée dans l'Antarctique.
Ce grand trou aurait été, semble-t-il, provoqué par un froid hors du commen au pôle Nord. Il faut savoir que ce trou est en mouvement, étonnemment, et qu'il est venu nous visiter alors qu'il s'est déplacé tout en Europe de l'Est, en Russie et en Mongolie. Le côté négatif de ce voyage a été que les populations ont été exposées à des niveaux élevés de rayonnements ultraviolets.
Il ne faut toutefois pas s'inquiéter, simplement parce qu'on n'y peut rien. Effectivement, le froid intense demeure le facteur principal de la destruction de l'ozone, donc il ne sert à rien de paniquer. La vapeur d'eau et les molécules d'acide nitrique se condensent sous l'effet du froid pour former des nuages dans les couches basses de la stratosphère. Il y a du chlore qui se forme dans ces nuages se forme puis finit par abouttir à la destruction de l'ozone.
LE nouvel observateur
Le trou fait cinq fois la taille de l'Allemagne!
Selon des chercheurs, un trou ayant la dimension qui équivaut à cinq fois la surface de l'Allemagne a été remarqué au sein de la couche d'ozone au-dessus de l'Arctique, ce qui par conséquant vient malheureusement contre-balancer la diminution observée dans l'Antarctique.
Ce grand trou aurait été, semble-t-il, provoqué par un froid hors du commen au pôle Nord. Il faut savoir que ce trou est en mouvement, étonnemment, et qu'il est venu nous visiter alors qu'il s'est déplacé tout en Europe de l'Est, en Russie et en Mongolie. Le côté négatif de ce voyage a été que les populations ont été exposées à des niveaux élevés de rayonnements ultraviolets.
Il ne faut toutefois pas s'inquiéter, simplement parce qu'on n'y peut rien. Effectivement, le froid intense demeure le facteur principal de la destruction de l'ozone, donc il ne sert à rien de paniquer. La vapeur d'eau et les molécules d'acide nitrique se condensent sous l'effet du froid pour former des nuages dans les couches basses de la stratosphère. Il y a du chlore qui se forme dans ces nuages se forme puis finit par abouttir à la destruction de l'ozone.
LE nouvel observateur
INFIRMIERE D.E
Re: Actualités concours 2012
Les smartphones modifient le fonctionnement du cerveau
Par Jean-Philippe Lachaux, directeur de recherche, Centre de recherche en neurosciences de Lyon*
Toujours à portée de main, nos iPhone, BlackBerry et autres smartphones détournent régulièrement notre attention du moment présent pour la plonger dans un monde d'informations abstraites. Comment notre cerveau réagit-il? Les découvertes récentes des neurosciences nous aident à mieux comprendre l'attraction qu'exercent ces appareils et ses conséquences.
Le besoin compulsif d'utiliser son smartphone est alimenté par un petit groupe de structures cérébrales formant le «circuit de récompense» du cerveau. Ce circuit joue un rôle central dans la motivation et le plaisir et dans les phénomènes d'addiction. Les neurones constitutifs de ce circuit de la récompense réagissent dès que se profile une récompense, d'où son nom, pour encourager les actions susceptibles de l'obtenir: boire quand nous avons soif, par exemple. Une étude récente réalisée chez le singe a montré que certains neurones réagissent aussi à la perspective d'une information importante, comme le sont pour nous celles véhiculées par les mails et les SMS. L'action consistant à aller chercher une information potentiellement importante est donc très directement encouragée par ce circuit. Le cerveau a littéralement «soif» d'information, au point de causer parfois un phénomène d'addiction.
Nous ne savons pas encore si l'utilisation des smartphones a des effets durables sur l'organisation fonctionnelle du cerveau - l'apparition de zones dédiées à leur usage par exemple. En revanche, il est clair que ces nouvelles technologies mettent le cerveau dans une situation permanente de multitâche pour laquelle il n'est pas forcément conçu. La façon dont nous utilisons notre cerveau et notre attention est en train de changer.
Une hiérarchie des priorités
Le cerveau possède la capacité remarquable d'adapter spontanément ses priorités en fonction du contexte dans lequel il se trouve. Je pense à nager en voyant la piscine devant moi, plus spontanément qu'au cours d'une réunion de travail au bureau. Chaque contexte active donc spontanément certaines propositions d'actions et l'attention suit: de nombreuses expériences montrent que ce que nous percevons du monde qui nous entoure dépend à chaque moment de ce que nous avons à y faire.
Les technologies mobiles de type smartphone juxtaposent dans un même espace plusieurs contextes: au bord de la piscine, je «suis» en quelque sorte également au travail face à mon collègue, avec un ami me montrant ses photos de vacances ou au cinéma devant un film. De nombreux objectifs nécessitant notre attention sont, dès lors, accessibles. Mais l'attention s'y perd; elle ne sait plus quoi privilégier. Le cerveau doit donc «apprendre» à définir une hiérarchie dans ses priorités, auparavant imposée par le contexte unique dans lequel nous nous trouvions à chaque moment. Au bord de la piscine, nous ne pensions pas (ou presque) à notre collègue de bureau…
Par ailleurs, l'attention a aussi tendance à effacer de notre univers perceptif tout ce qui n'est pas pertinent par rapport à la petite liste de choses à faire que nous gardons en permanence en tête, consciemment ou non. Cet effet de sélection conduit à un appauvrissement de notre expérience sensorielle, pour la concentrer sur ce qui nous semble pertinent a priori: le texte que je suis en train de lire. Les expériences sensorielles les plus complètes surgissent donc à des moments «en creux» de l'existence pendant lesquels nous ne sommes pas occupés à accomplir quelque chose. Ces moments sont des phases d'écoute et de réceptivité accrue à ce qui nous entoure, ou à ce que nous ressentons. En nous plaçant continûment dans un contexte favorable à l'action, les smartphones ont tendance à éliminer ces «blancs».
Du bon usage de l'attention
Mais comme souvent, ce n'est pas tant la technologie qui doit être mise en cause que l'usage que nous en faisons. Les smartphones sont devenus une composante essentielle de l'organisation de notre vie familiale, sociale et professionnelle. Apprenons donc à les utiliser, au-delà de la simple notice technique. Soyons conscients de la charge qu'ils font peser sur nos capacités attentionnelles. Les développements récents des neurosciences cognitives permettent maintenant d'envisager de véritables programmes d'éducation de l'attention, renseignant sur ses limites et son bon usage. Dans cet univers de multitâche permanent, ce bon usage ne va plus de soi et il est peut-être temps d'envisager une véritable éducation de l'attention, notamment en milieu scolaire, qui prépare dès l'enfance à la vie connectée.
Par Jean-Philippe Lachaux, directeur de recherche, Centre de recherche en neurosciences de Lyon*
Toujours à portée de main, nos iPhone, BlackBerry et autres smartphones détournent régulièrement notre attention du moment présent pour la plonger dans un monde d'informations abstraites. Comment notre cerveau réagit-il? Les découvertes récentes des neurosciences nous aident à mieux comprendre l'attraction qu'exercent ces appareils et ses conséquences.
Le besoin compulsif d'utiliser son smartphone est alimenté par un petit groupe de structures cérébrales formant le «circuit de récompense» du cerveau. Ce circuit joue un rôle central dans la motivation et le plaisir et dans les phénomènes d'addiction. Les neurones constitutifs de ce circuit de la récompense réagissent dès que se profile une récompense, d'où son nom, pour encourager les actions susceptibles de l'obtenir: boire quand nous avons soif, par exemple. Une étude récente réalisée chez le singe a montré que certains neurones réagissent aussi à la perspective d'une information importante, comme le sont pour nous celles véhiculées par les mails et les SMS. L'action consistant à aller chercher une information potentiellement importante est donc très directement encouragée par ce circuit. Le cerveau a littéralement «soif» d'information, au point de causer parfois un phénomène d'addiction.
Nous ne savons pas encore si l'utilisation des smartphones a des effets durables sur l'organisation fonctionnelle du cerveau - l'apparition de zones dédiées à leur usage par exemple. En revanche, il est clair que ces nouvelles technologies mettent le cerveau dans une situation permanente de multitâche pour laquelle il n'est pas forcément conçu. La façon dont nous utilisons notre cerveau et notre attention est en train de changer.
Une hiérarchie des priorités
Le cerveau possède la capacité remarquable d'adapter spontanément ses priorités en fonction du contexte dans lequel il se trouve. Je pense à nager en voyant la piscine devant moi, plus spontanément qu'au cours d'une réunion de travail au bureau. Chaque contexte active donc spontanément certaines propositions d'actions et l'attention suit: de nombreuses expériences montrent que ce que nous percevons du monde qui nous entoure dépend à chaque moment de ce que nous avons à y faire.
Les technologies mobiles de type smartphone juxtaposent dans un même espace plusieurs contextes: au bord de la piscine, je «suis» en quelque sorte également au travail face à mon collègue, avec un ami me montrant ses photos de vacances ou au cinéma devant un film. De nombreux objectifs nécessitant notre attention sont, dès lors, accessibles. Mais l'attention s'y perd; elle ne sait plus quoi privilégier. Le cerveau doit donc «apprendre» à définir une hiérarchie dans ses priorités, auparavant imposée par le contexte unique dans lequel nous nous trouvions à chaque moment. Au bord de la piscine, nous ne pensions pas (ou presque) à notre collègue de bureau…
Par ailleurs, l'attention a aussi tendance à effacer de notre univers perceptif tout ce qui n'est pas pertinent par rapport à la petite liste de choses à faire que nous gardons en permanence en tête, consciemment ou non. Cet effet de sélection conduit à un appauvrissement de notre expérience sensorielle, pour la concentrer sur ce qui nous semble pertinent a priori: le texte que je suis en train de lire. Les expériences sensorielles les plus complètes surgissent donc à des moments «en creux» de l'existence pendant lesquels nous ne sommes pas occupés à accomplir quelque chose. Ces moments sont des phases d'écoute et de réceptivité accrue à ce qui nous entoure, ou à ce que nous ressentons. En nous plaçant continûment dans un contexte favorable à l'action, les smartphones ont tendance à éliminer ces «blancs».
Du bon usage de l'attention
Mais comme souvent, ce n'est pas tant la technologie qui doit être mise en cause que l'usage que nous en faisons. Les smartphones sont devenus une composante essentielle de l'organisation de notre vie familiale, sociale et professionnelle. Apprenons donc à les utiliser, au-delà de la simple notice technique. Soyons conscients de la charge qu'ils font peser sur nos capacités attentionnelles. Les développements récents des neurosciences cognitives permettent maintenant d'envisager de véritables programmes d'éducation de l'attention, renseignant sur ses limites et son bon usage. Dans cet univers de multitâche permanent, ce bon usage ne va plus de soi et il est peut-être temps d'envisager une véritable éducation de l'attention, notamment en milieu scolaire, qui prépare dès l'enfance à la vie connectée.
INFIRMIERE D.E
Re: Actualités concours 2012
Accès aux soins : La santé, un luxe pour un tiers des Français
Une enquête révèle que, faute de moyen, près d'un Français sur trois renoncerait aux soins médicaux, trop coûteux.
Trop coûteux, les soins médicaux sont délaissés par 29% des Français SIPA
Aller chez le médecin, acheter des médicaments, consulter pour des caries, changer de lunettes... Autant d'actes de santé courants qu'un tiers des Français ne pourraient plus se permettre. En effet, selon un sondage CSA pour Europe Assistance publié vendredi, 29% des personnes interrogées ont dû renoncer à se faire soigner. Il y a deux ans, ils étaient 11%. La raison ? Ils n'ont pas les moyens.
Et il semblerait que la France joue à nouveau le rôle de mauvais élève. Les personnes renonçant aux soins représentent 25% de la population aux Etats-Unis, 19% en Italie, 15% en Allemagne, 10% en Autriche, 6% en Grande-Bretagne et 5% en Suède.
Soins dentaires et lunettes... Les Français renoncent
Quelles branches de la médecine sont les plus touchées ? « Les soins dentaires » et « les lunettes » ont été sacrifiés par 22% des sondés. À côté de ces secteurs réputés pour être onéreux, on se rend compte que les Français ont également fait des économies sur des soins plus courants. Cela concerne 12% des Français. 6% se sont privés de médicaments. Quant aux soins lourds, « comme les opérations, les examens et les traitements coûteux », 5% s'en sont passés.
Les personnes bénéficiant d’un minimum vieillesse ou d’une allocation adulte handicapé sont particulièrement pénalisées par la hausse des prix de médicaments. « Il y a malheureusement toute cette partie de la population, dont les revenus sont de quelques euros au-dessus du minima et de ce fait, ne peuvent pas bénéficier de cette couverture médicale universelle complémentaire » a analysé sur Europe 1 le docteur Olivier Bernard, de l'association Médecins du monde.
Peut-on alors dire que le système de santé français est en train de devenir un système à deux vitesses ? Plus de la moitié des Français le pensent en tout cas (51%). Pour eux, il ne garantit plus « l'égalité » entre les citoyens. La santé pourrait ainsi devenir un des enjeux de la présidentielle de 2012.
Sondage réalisé en mai et juin par téléphone auprès de 5.500 individus de 18 ans et dans plus dix pays, représentatifs de la population (méthode des quotas).
France soir
Une enquête révèle que, faute de moyen, près d'un Français sur trois renoncerait aux soins médicaux, trop coûteux.
Trop coûteux, les soins médicaux sont délaissés par 29% des Français SIPA
Aller chez le médecin, acheter des médicaments, consulter pour des caries, changer de lunettes... Autant d'actes de santé courants qu'un tiers des Français ne pourraient plus se permettre. En effet, selon un sondage CSA pour Europe Assistance publié vendredi, 29% des personnes interrogées ont dû renoncer à se faire soigner. Il y a deux ans, ils étaient 11%. La raison ? Ils n'ont pas les moyens.
Et il semblerait que la France joue à nouveau le rôle de mauvais élève. Les personnes renonçant aux soins représentent 25% de la population aux Etats-Unis, 19% en Italie, 15% en Allemagne, 10% en Autriche, 6% en Grande-Bretagne et 5% en Suède.
Soins dentaires et lunettes... Les Français renoncent
Quelles branches de la médecine sont les plus touchées ? « Les soins dentaires » et « les lunettes » ont été sacrifiés par 22% des sondés. À côté de ces secteurs réputés pour être onéreux, on se rend compte que les Français ont également fait des économies sur des soins plus courants. Cela concerne 12% des Français. 6% se sont privés de médicaments. Quant aux soins lourds, « comme les opérations, les examens et les traitements coûteux », 5% s'en sont passés.
Les personnes bénéficiant d’un minimum vieillesse ou d’une allocation adulte handicapé sont particulièrement pénalisées par la hausse des prix de médicaments. « Il y a malheureusement toute cette partie de la population, dont les revenus sont de quelques euros au-dessus du minima et de ce fait, ne peuvent pas bénéficier de cette couverture médicale universelle complémentaire » a analysé sur Europe 1 le docteur Olivier Bernard, de l'association Médecins du monde.
Peut-on alors dire que le système de santé français est en train de devenir un système à deux vitesses ? Plus de la moitié des Français le pensent en tout cas (51%). Pour eux, il ne garantit plus « l'égalité » entre les citoyens. La santé pourrait ainsi devenir un des enjeux de la présidentielle de 2012.
Sondage réalisé en mai et juin par téléphone auprès de 5.500 individus de 18 ans et dans plus dix pays, représentatifs de la population (méthode des quotas).
France soir
INFIRMIERE D.E
Re: Entraînement culture générale 2012
Bon je me lance.angelito94 a écrit :Oui hésitez pas à participer et mettre vos exercices c'est le but merci à toizouniaba a écrit :Bonjour à toutes et à tous,![]()
je suis nouvelle sur le forum et je prépare le concours ifsi du printemps 2012. Puis-je m'entrainer avec vous? j'ai un sujet à traiter en 2 h puis je le mettre? merci
Au travail, ne vous forcez pas à sourire
Une étude américaine souligne les effets néfastes des expressions hypocrites sur la santé et la productivité des salariés.
Vous vous êtes levé du pied gauche, mais cherchez à dissimuler vos états d'âme derrière un masque de bonne humeur? Vous n'adoptez pas nécessairement la bonne stratégie. Selon les conclusions d'une étude américaine publiée dans l'Academy of management journal, les sourires forcés seraient nuisibles à la santé des personnes intéressées, de même qu'à leur productivité.
Cette enquête menée auprès des conducteurs de bus montre que ceux qui se contraignent à être aimables voient leur humeur peu à peu se détérioré en même temps qu'ils tendent à se désinvestir de leur tâche. Elle confirme les conclusions d'études précédemment menées sur le sujet. "Les employées qui expriment leurs vrais sentiments jouissent d'une meilleur santé, ont un sentiment de relation personnelle plus fort et sont attachés à leur travail", affirmait la chercheuse canadienne Ursula Hess dans une étude publiée en 2003.
"Toutes les émotions ont un rôle fonctionnel. Elles servent à optimiser le bien être du corps, à le réguler, explique Christophe Haag, professeur de ressources humaines à l'EM Lyon et auteur de Génération QE (pour "quotien émotionnel"). Un salarié qui nie ses émotions s'expose à les voir s'exprimer d'une autre façon: insomnie, mal de dos, manque de concentration... comme un sportif, un salarié doit être à l'écoute de son corps et agir pour remédier à ce qui le perturbe".
Jouer un rôle comme un acteur
Dans certaines professions très exposées au public conducteur de bus, commercial, caissier..., les individus sont plus que d'autres amenés à composer avec leurs émotions. Un vendeur est sommé d'être aimable avec ses clients, un steward ou une hôtesse de l'air d'afficher calme et sérénité en dépit de turbulences, un médecin de se montrer empathique s'il annonce une mauvaise nouvelle...
"Ces professions requièrent de savoir de jouer un rôle, de la même façon qu'un acteur. Le salarié doit en être conscient et s'y entrainer. Même si maitriser ses émotions demeure une activité psychiquement épuisante", explique Christophe Haag. Pour ne pas friser le "burn-out", une seule solution: se connaitre et faire des pauses quand la fatigue psychologique se fait sentir.
"L'open-space est un tue-l'émotion"
D'une manière générale, l'émotion demeure une denrée précieuse dans l'entreprise, de plus en plus appréciée des managers. Si l'enthousiasme ou la joie sont évidemment stimulantes, certaines émotions jugées négatives, telles la colère, possèdent aussi certaines vertus. Dans son dernier ouvrage, petit chef ou vrai patron, Robert Sutton, professeur à Stanford, souligne que "quelques coups de gueules épisodiques créent l'impression que celui qui s'exprime sait de quoi il parle".
Mais curieusement alors même que nombre de managers prônent un usage raisonné de l'émotion au travail, la prolifération des open-spaces tend au contraire à l'en bannir! "l'open-space, adopté par près de 60 pour cent des grandes et moyennes entreprises, est un véritable "tue- l'émotion". Il crée des comportements factices, des attitudes de façade",estime Christophe Haag. L'entreprise a conscience qu'il faut laisser les individus s'exprimer, mais se dote de structures qui l'en empêche. Intéressant paradoxe.
par Marie Bartnik, le figaro,24/02/2011
consignes
1. Résumez ce texte en cent mots (plus ou moins 10 pour cent) (8points);
2. Expliquez les expressions suivantes en fonction du contexte (4points);
a."un salarié qui nie ses émotions s'expose à les voir s'exprimer d'une autre façon";
b."burn-out",
3.Pour l'auteur "l'entreprise a conscience qu'il faut laisser les individus s'exprimer, mais se dote de structures qui l'en empêche. Intéressant paradoxe." Qu'en pensez-vous?
Voila à vos crayons

Concours APHP: 15 Mars
Concours Croix Rouge: 31 Mars
Concours ST Joseph: 11 Avril.
J'espère devenir ESI 2012-2015
Concours Croix Rouge: 31 Mars
Concours ST Joseph: 11 Avril.
J'espère devenir ESI 2012-2015
Re: Fiches culture générale 2012
La mienne est plus courte...
Euthanasie
_L'euthanasie active ( ou directe) = Administrer une substance mortelle pour abréger les souffrances d'un malade → crime même avec l'accord du malade
_L'euthanasie passive = Arrêt de la réanimation ou du traitement d'un malade ( débrancher un appareil, ne pas donner un traitement ) = « arrêt de soin » ou « refus d’acharnement thérapeutique » → Pas d'infraction a la loi seulement si « mort cérébrale »
_Le suicide assisté = Une tierce personne aide un malade qui ne peut se donner la mort seul en lui donnant un produit mortel.
Avantage:
_Autorise le traitement double effet!
_Refus de l'acharnement thérapeutique
_Accompagne le malade dans la mort en le soulageant de ses souffrances.
_Décision collégiale avec prise en compte de l'avis du malade et de la famille
Inconvénients:
_Limite toujours flou pour les gens.
_Les gens qui voient toujours un espoir et qui n'acceptent pas la fin du traitement curatif
Soins palliatifs
Accompagner le malade et utiliser des antalgiques pour soulager la douleur, même si cela consiste à prendre des risques parfois mortels. Le but n'est pas ici de donner la mort au patient.
Plan de développement des soins palliatifs 2008-2012: Le programme est décliné autour de 3 axes phares : la poursuite du développement de l'offre hospitalière et l'essor des dispositifs extrahospitaliers, l'élaboration d'une politique de formation et de recherche, l'accompagnement offert aux proches.
Euthanasie
_L'euthanasie active ( ou directe) = Administrer une substance mortelle pour abréger les souffrances d'un malade → crime même avec l'accord du malade
_L'euthanasie passive = Arrêt de la réanimation ou du traitement d'un malade ( débrancher un appareil, ne pas donner un traitement ) = « arrêt de soin » ou « refus d’acharnement thérapeutique » → Pas d'infraction a la loi seulement si « mort cérébrale »
_Le suicide assisté = Une tierce personne aide un malade qui ne peut se donner la mort seul en lui donnant un produit mortel.
Avantage:
_Autorise le traitement double effet!
_Refus de l'acharnement thérapeutique
_Accompagne le malade dans la mort en le soulageant de ses souffrances.
_Décision collégiale avec prise en compte de l'avis du malade et de la famille
Inconvénients:
_Limite toujours flou pour les gens.
_Les gens qui voient toujours un espoir et qui n'acceptent pas la fin du traitement curatif
Soins palliatifs
Accompagner le malade et utiliser des antalgiques pour soulager la douleur, même si cela consiste à prendre des risques parfois mortels. Le but n'est pas ici de donner la mort au patient.
Plan de développement des soins palliatifs 2008-2012: Le programme est décliné autour de 3 axes phares : la poursuite du développement de l'offre hospitalière et l'essor des dispositifs extrahospitaliers, l'élaboration d'une politique de formation et de recherche, l'accompagnement offert aux proches.
Montpellier: Admise sur LP!!
ESI 2012/2015!!
Stage: S1 Crèche S2 Gériatrie S3 Médecine Générale S4 Psychiatrie
ESI 2012/2015!!
Stage: S1 Crèche S2 Gériatrie S3 Médecine Générale S4 Psychiatrie
Re: Entraînement culture générale 2012
Merci pour tous tes conseils angelito!!!!
Voilà mon résumé avec pleins de synonyme!!!!
La clinique de Massy a dû fermer suite au décès de trois patients infectés par une bactérie.
La Klebessia, qui atteint les voies aériennes, n'a été détectée que 3 semaines après le retour d'une Française de Grèce permettant ainsi sa dissémination à d'autres malades.
Le 29 juillet, L'agence régional de la santé et l'institut de veille sanitaire ont alors condamnés toute récente entrée. Et le comité d'hygiène et de sécurité des conditions de travail a mis en place plusieurs mesures préventives pour enrayer cette infection.
De plus, des analyses ont été effectué sur les personnes qui avaient un risque d'être atteintes, 180 courriers de renseignement ont été expédiés. Mais les employés de santé eux n'ont pas été testé et les proches des trois défunt n'ont pas été mis au courant.
Au final, il ne reste plus qu'à attendre sachant que la bactérie peut rester plus de 6 mois dans le corps.
Et voilà
b)Prophylaxie
c)Defense, preservation
d)Insecurité, Incertitude
2)En France, la protection sociale permet la preservation de la qualité de vie en cas de maladie grace à une aide financière. Elle lutte contre l'insécurité à travers diverse campagnes encourageant la prophylaxie et l'hygienne de vie. En effet, certaines mesures de propreté peuvent éviter l'apparition de pathologie.
Voilà mon résumé avec pleins de synonyme!!!!
La clinique de Massy a dû fermer suite au décès de trois patients infectés par une bactérie.
La Klebessia, qui atteint les voies aériennes, n'a été détectée que 3 semaines après le retour d'une Française de Grèce permettant ainsi sa dissémination à d'autres malades.
Le 29 juillet, L'agence régional de la santé et l'institut de veille sanitaire ont alors condamnés toute récente entrée. Et le comité d'hygiène et de sécurité des conditions de travail a mis en place plusieurs mesures préventives pour enrayer cette infection.
De plus, des analyses ont été effectué sur les personnes qui avaient un risque d'être atteintes, 180 courriers de renseignement ont été expédiés. Mais les employés de santé eux n'ont pas été testé et les proches des trois défunt n'ont pas été mis au courant.
Au final, il ne reste plus qu'à attendre sachant que la bactérie peut rester plus de 6 mois dans le corps.
Et voilà
1_a) PropretéExercice 3 (deuxième série) : Synonymes.
1) Citez au moins 1 synonyme des mots suivants :
a)Hygiène
b)Prévention
c)Protection
d)Précarité
2)Intégrez chaque synonyme dans une phrase de votre choix sur le thème de la prévention et la protection sociale. Rédaction libre.
b)Prophylaxie
c)Defense, preservation
d)Insecurité, Incertitude
2)En France, la protection sociale permet la preservation de la qualité de vie en cas de maladie grace à une aide financière. Elle lutte contre l'insécurité à travers diverse campagnes encourageant la prophylaxie et l'hygienne de vie. En effet, certaines mesures de propreté peuvent éviter l'apparition de pathologie.
Montpellier: Admise sur LP!!
ESI 2012/2015!!
Stage: S1 Crèche S2 Gériatrie S3 Médecine Générale S4 Psychiatrie
ESI 2012/2015!!
Stage: S1 Crèche S2 Gériatrie S3 Médecine Générale S4 Psychiatrie
Re: Fiches culture générale 2012
Ma petite participation
EUTHANASIE
= Bonne mort.
Action ou omission, dont l’intention premiere est de donner la mort a un malade pour supprimer la douleur.
S’oppose a la mort naturelle.
LES DIFFERENTES FORMES D’EUTHANASIE
- Euthanasie active : Geste d’un tiers qui donne la mort
Par action : seringue de poison
Par omission : oubli de nourrir, hydrater
- Euthanasie passive : Arret des TTT (sauf soins palliatifs) Abrege la vie pour les cas desepérés
- Euthanasie d’exception : ComiT consultatif d’Ethique qui accepte exceptionnellement de provoquer la mort.
- Aide au suicide : Préparer une seringue de poison et laisser le malade se l’injecter.
- Acharnement thérapeutique : Poursuite d’un TTT lourd qui devient disproportionné par rapport au bien du patient
LEGISLATION FRANCAISE
Euthanasie = tentative de crime
Euthanasie active = Meurtre ou empoisonnement ; Punissable
Euthanasie passive : Non assistante en personne en danger ; répréhensible
Loi du 27 avril 2004 sur « les droits des malades » Autorise la suspension des soins médicaux, des qu’ils sont inutiles, disproportionnés, permettant que le maintien artificiel en vie
Loi Léonetti d’avril 2005 : Prévoit de léégaliser l’authanasie.
Refuse l’acharnement thérapeutique ; Renforce le droit des malades de décider de leur sort
DEBAT RELANCE
- Christine Malèvre qui a été condamnée pour homicide sur plusieurs de ses patients
- Vincent Humbert, sa mere ainsi que le service de réanimation du docteur Chaussoy l’on aidé a mourir (septembre 2003)
- Chantal Sébire, atteinte d’une tumeur au visage incurable s’est suicidé en mars 2008
- - Docteur Bonnemaison de l’hopital de Bayonne est soupconné d’euthanasie active sur plusieurs patients (aout 2011)
POU OU CONTRE
- Opposition a l’euthanasie : Respect de la vie humaine
- Favorable a l’euthanasie : Dignité de l personne face a la mort.
CONTRE :
- Interdiction par de nombreuses religion. La vie est un don. Exple : Christianisme
- Dérapage :
_ Pressions financières (cout élevé p les proches, et les pauvres préfèrent mourir que payer)
_ Pressions morales des proches
_ Inconscience
_ Dissimulation de meurtres
- Dérives :
_ Eugénisme : Sélection d’individu
_ Instrument de domination sociale
_ Héritage ++
- Inutilité : Progrès médicaux rendent l’euthanasie inutile (anti douleurs, tranquilisants)
POUR :
- Dignité humaine :
_ Abandon a l’hopital
_ Souffrance peu prises en charge
_ Evite la clandestinité du geste
_ Malafie = dégradation = Alteration des facultés psychique
_ Euthanasie = thérapeutique alternative
_ « « = Réponse aux difficultés budgétaire
- Fin de la souffrance
- Droit de disposer de sa propre existence
EUTHANASIE
= Bonne mort.
Action ou omission, dont l’intention premiere est de donner la mort a un malade pour supprimer la douleur.
S’oppose a la mort naturelle.
LES DIFFERENTES FORMES D’EUTHANASIE
- Euthanasie active : Geste d’un tiers qui donne la mort
Par action : seringue de poison
Par omission : oubli de nourrir, hydrater
- Euthanasie passive : Arret des TTT (sauf soins palliatifs) Abrege la vie pour les cas desepérés
- Euthanasie d’exception : ComiT consultatif d’Ethique qui accepte exceptionnellement de provoquer la mort.
- Aide au suicide : Préparer une seringue de poison et laisser le malade se l’injecter.
- Acharnement thérapeutique : Poursuite d’un TTT lourd qui devient disproportionné par rapport au bien du patient
LEGISLATION FRANCAISE
Euthanasie = tentative de crime
Euthanasie active = Meurtre ou empoisonnement ; Punissable
Euthanasie passive : Non assistante en personne en danger ; répréhensible
Loi du 27 avril 2004 sur « les droits des malades » Autorise la suspension des soins médicaux, des qu’ils sont inutiles, disproportionnés, permettant que le maintien artificiel en vie
Loi Léonetti d’avril 2005 : Prévoit de léégaliser l’authanasie.
Refuse l’acharnement thérapeutique ; Renforce le droit des malades de décider de leur sort
DEBAT RELANCE
- Christine Malèvre qui a été condamnée pour homicide sur plusieurs de ses patients
- Vincent Humbert, sa mere ainsi que le service de réanimation du docteur Chaussoy l’on aidé a mourir (septembre 2003)
- Chantal Sébire, atteinte d’une tumeur au visage incurable s’est suicidé en mars 2008
- - Docteur Bonnemaison de l’hopital de Bayonne est soupconné d’euthanasie active sur plusieurs patients (aout 2011)
POU OU CONTRE
- Opposition a l’euthanasie : Respect de la vie humaine
- Favorable a l’euthanasie : Dignité de l personne face a la mort.
CONTRE :
- Interdiction par de nombreuses religion. La vie est un don. Exple : Christianisme
- Dérapage :
_ Pressions financières (cout élevé p les proches, et les pauvres préfèrent mourir que payer)
_ Pressions morales des proches
_ Inconscience
_ Dissimulation de meurtres
- Dérives :
_ Eugénisme : Sélection d’individu
_ Instrument de domination sociale
_ Héritage ++
- Inutilité : Progrès médicaux rendent l’euthanasie inutile (anti douleurs, tranquilisants)
POUR :
- Dignité humaine :
_ Abandon a l’hopital
_ Souffrance peu prises en charge
_ Evite la clandestinité du geste
_ Malafie = dégradation = Alteration des facultés psychique
_ Euthanasie = thérapeutique alternative
_ « « = Réponse aux difficultés budgétaire
- Fin de la souffrance
- Droit de disposer de sa propre existence
INFIRMIERE D.E
Re: Fiches culture générale 2012
LES SOINS PALLIATIFS
Regroupent :
- Les taches anciennes de soins aux mourants
- Emploi de thérapeutique récentes de lutte contre les douleurs de fin de vie ; pour apaiser les souffrances psychologiques et morales.
Apporte une réponse aux malades en phase avancée ou terminales de la maladie
= Intervention spécialisés de la medecine pour les derniers moments de la vie.
AUTRES DEF :
Soins palliatifs : Soins actifs de la personne atteinte d’une maladie grave évolutive ou terminale
Soulager les douleurs physique et prendre en compte les souffrances psychologiqu, sociale et spirituelle
Accompagnement interdisciplinaire : Malades, proches, familles.
Lieu : Domicile ou institution
LES BENEFICIAIRES DES SOINS PALLIATIFS :
- Malade (Maladie grave et évolutive) Soins de confort (perte d’autonomie imp, douleurs rebelles aux TTT classiques. Soins curatifs = Soins continus
- Malades en phase terminale (décès imminent)
_ Cancers
_ Maladies neurodégéneratives (SEP, SLA..)
_ Malades immunodéprimés (SIDA)
_ Perte d’autonomie +++ : Alzheimer…
_ TTT Curatifs trop agressifs et sans resultats = Epuisement de la personne
NATURES DES SOINS PALLIATIFS :
- Nouveaux modes de pratiques de la medecine : Notion de qualité de vie « droit des malades » experience du malade et son point de vue.
- Soins personnalisés et humanisés :
_ Lutte contre la souffrance
_ Solution alternative de l’Euthanasie active
_ Répond aux souhaits des malades
- Soins prodigués multiples :
_ Psychologique : parole, écoute, présence silencieuse, déco de la chambre, musique
_ Corporel : Massage, sophrologie
_ Médicaux : Lutte ctre la douleur, nutrition, hydratation, soins infirmier
- Optimiser un max, le confort des patients :
_ Favoriser le mieux etre
_ Diminuer au max les effets secondaire des TTT
_ Améliorer la qualité de vie
ORGANISATION DES SOINS PALLIATIFS :
France : 150 000 pers/an meurent d’une maladie longue est incurable => besoins de soins palliatifs
1 milliers de lit « unités de soins palliatifs »
Existe aussi des « équipes mobiles de soins palliatifs » qui se rend au chevet des malades
Regroupent :
- Les taches anciennes de soins aux mourants
- Emploi de thérapeutique récentes de lutte contre les douleurs de fin de vie ; pour apaiser les souffrances psychologiques et morales.
Apporte une réponse aux malades en phase avancée ou terminales de la maladie
= Intervention spécialisés de la medecine pour les derniers moments de la vie.
AUTRES DEF :
Soins palliatifs : Soins actifs de la personne atteinte d’une maladie grave évolutive ou terminale
Soulager les douleurs physique et prendre en compte les souffrances psychologiqu, sociale et spirituelle
Accompagnement interdisciplinaire : Malades, proches, familles.
Lieu : Domicile ou institution
LES BENEFICIAIRES DES SOINS PALLIATIFS :
- Malade (Maladie grave et évolutive) Soins de confort (perte d’autonomie imp, douleurs rebelles aux TTT classiques. Soins curatifs = Soins continus
- Malades en phase terminale (décès imminent)
_ Cancers
_ Maladies neurodégéneratives (SEP, SLA..)
_ Malades immunodéprimés (SIDA)
_ Perte d’autonomie +++ : Alzheimer…
_ TTT Curatifs trop agressifs et sans resultats = Epuisement de la personne
NATURES DES SOINS PALLIATIFS :
- Nouveaux modes de pratiques de la medecine : Notion de qualité de vie « droit des malades » experience du malade et son point de vue.
- Soins personnalisés et humanisés :
_ Lutte contre la souffrance
_ Solution alternative de l’Euthanasie active
_ Répond aux souhaits des malades
- Soins prodigués multiples :
_ Psychologique : parole, écoute, présence silencieuse, déco de la chambre, musique
_ Corporel : Massage, sophrologie
_ Médicaux : Lutte ctre la douleur, nutrition, hydratation, soins infirmier
- Optimiser un max, le confort des patients :
_ Favoriser le mieux etre
_ Diminuer au max les effets secondaire des TTT
_ Améliorer la qualité de vie
ORGANISATION DES SOINS PALLIATIFS :
France : 150 000 pers/an meurent d’une maladie longue est incurable => besoins de soins palliatifs
1 milliers de lit « unités de soins palliatifs »
Existe aussi des « équipes mobiles de soins palliatifs » qui se rend au chevet des malades
INFIRMIERE D.E
Re: Actualités concours 2012
Bon je regarde le magazine de la santé aujourdhui !
Je vous poste le resumé tout a l'heure !
Je vous poste le resumé tout a l'heure !
INFIRMIERE D.E
Re: Entraînement culture générale 2012
L’hôpital privé de Massy a dut fermer ses portes cet été, à cause de la contamination par la bactérie super résistante "Klesbiella pneumonae".
Depuis juin, ou le diagnostic est tombé sur une vacancière rapatriée en urgence de Grèce, par mesure de prévention une partie du service a été mis a été isolée.
La dissémination sur certains patients à été découverte, ont enregistrera 13 malades et 3 décès, fin juillet.
L'invs et l'ARS décident d'interdire les nouvelles admissions le 29 juillet.
La CHSCT est convoqués pour mettre en place des mesures, que le personnel soignant juge lente, dut au manque de personnel.
Les procédures d'hygiène et de dépistages sont alors renforcées, les patients contaminés sont transférés dans d'autres hôpitaux.
Apres la reprise des activités de l’hôpital, des courriers seront envoyés aux personnes ayant séjournées a l'hôpital.
Les moyens prophylactiques n'ont pas été tous mis en oeuvres, le personnel soignant n'ayant pas fait partie de la procédure et les familles des victimes n'ayant pas été prévenus.
La bactérie peut séjourné 6 mois dans l'organisme.
Bon, j'ai retenté
qu'est ce que vous en pensez ?
Je ferai le 3. Plus tard. Je vais regarder le magazine de la santé aprés
Depuis juin, ou le diagnostic est tombé sur une vacancière rapatriée en urgence de Grèce, par mesure de prévention une partie du service a été mis a été isolée.
La dissémination sur certains patients à été découverte, ont enregistrera 13 malades et 3 décès, fin juillet.
L'invs et l'ARS décident d'interdire les nouvelles admissions le 29 juillet.
La CHSCT est convoqués pour mettre en place des mesures, que le personnel soignant juge lente, dut au manque de personnel.
Les procédures d'hygiène et de dépistages sont alors renforcées, les patients contaminés sont transférés dans d'autres hôpitaux.
Apres la reprise des activités de l’hôpital, des courriers seront envoyés aux personnes ayant séjournées a l'hôpital.
Les moyens prophylactiques n'ont pas été tous mis en oeuvres, le personnel soignant n'ayant pas fait partie de la procédure et les familles des victimes n'ayant pas été prévenus.
La bactérie peut séjourné 6 mois dans l'organisme.
Bon, j'ai retenté


Je ferai le 3. Plus tard. Je vais regarder le magazine de la santé aprés

INFIRMIERE D.E
Re: Entraînement culture générale 2012
Exercice 3 (deuxième série) : Synonymes.
1) Citez au moins 1 synonyme des mots suivants :
a)Hygiène, propreté
La propreté de la maison fait partie des mesures de prévention face a la propagation des microbes
b)Prévention, prophylaxie,
La prophylaxie des maladies est le fait d'en éviter la propagation.
c)Protection, protéger, aider,
La protection sociale permet d'aider les personnes d'un pays dans les soins médicaux.
d)Précarité, pauvreté
La pauvreté est l'une des causes de propagation de la tuberculose
2)Intégrez chaque synonyme dans une phrase de votre choix sur le thème de la prévention et la protection sociale. Rédaction libre.
1) Citez au moins 1 synonyme des mots suivants :
a)Hygiène, propreté
La propreté de la maison fait partie des mesures de prévention face a la propagation des microbes
b)Prévention, prophylaxie,
La prophylaxie des maladies est le fait d'en éviter la propagation.
c)Protection, protéger, aider,
La protection sociale permet d'aider les personnes d'un pays dans les soins médicaux.
d)Précarité, pauvreté
La pauvreté est l'une des causes de propagation de la tuberculose
2)Intégrez chaque synonyme dans une phrase de votre choix sur le thème de la prévention et la protection sociale. Rédaction libre.
INFIRMIERE D.E
Re: Fiches culture générale 2012
Merci les filles pour vos fiches pour les soins palliatifs pas grand chose à ajouter par rapport à la fiche de Debella juste ceci:
1986 : Introduction des soins palliatifs en France
1990 : création de la SFAP (Société Française d'Accompagnement et de soins Palliatifs)
http://www.sfap.org/content/actualit%C3%A9s-en-france
Et qu'il existe une journée mondiale des soins palliatifes cette année elle à lieu le 8 octobre
1986 : Introduction des soins palliatifs en France
1990 : création de la SFAP (Société Française d'Accompagnement et de soins Palliatifs)
http://www.sfap.org/content/actualit%C3%A9s-en-france
Et qu'il existe une journée mondiale des soins palliatifes cette année elle à lieu le 8 octobre
Maman de trois filoups, 32a, ESI 2012-2015 St Quentin- Picardie
Laborantine en reconversion
S1: MAS
S2: SSR
S3: Médecine gériatrique
S4: EHPAD
Laborantine en reconversion
S1: MAS
S2: SSR
S3: Médecine gériatrique
S4: EHPAD
Re: Fiches culture générale 2012
L’EUTHANASIE
2 novembre : Journée mondiale pour le droit de mourir dans la dignité
DEFINITION :
Euthanasie : action destinée à abréger, sans souffrance la vie d’un individu atteint de maladie incurable.
Euthanasie passive : arrêt des thérapeutiques permettant de prolonger la vie d’un malade incurable.
Euthanasie active : acte donnant la mort.
Aide au suicide ou suicide assisté : méthode qui consiste à mettre du poison dans la seringue et à faire appuyer par la malade afin d’éviter les poursuites.
Refus d’acharnement thérapeutique.
Soins palliatifs : accompagner le malade et utiliser des antalgiques pour soulager la douleur, même si cela consiste à prendre des risques parfois mortels.
LOI :
* loi Leonetti 2005 : interdit tout acharnement thérapeutique et instaure un droit aux soins palliatifs.
Elle accorde le droit de laisser mourir le patient lorsqu’il en fait la demande.
Elle reconnait le patient et sa dignité sans autoriser l’euthanasie active.
* programme de développement des soins palliatifs en 2008 :
Il devrait permettre de doubler d’ici 2012, les capacités de prise de charge des patients de fin de vie et de former le personnel médical et paramédical à cette « préparation à la mort ».
* loi du 4 mars 2002 : toute personne a le droit de recevoir des soins visant à soulager sa douleur. Celle-ci doit être en toute circonstance prévenue, évaluée, prise en compte et traitée. Les professionnels de santé mettent en œuvre tous les moyens à leur disposition pour assurer à chacun une vie digne jusqu’à la mort.
* loi du 22 avril 2005 : dispositif complémentaire en matière de soins palliatifs et à la fin de vie.
* loi du 9 juin 1999 : garantir le droit à l’accès des soins palliatifs.
PRINCIPAUX DROITS :
- respect de la dignité de la personne malade.
- à l’information du malade sur son état de santé.
- au refus de tout traitement.
- prohibition de l’acharnement thérapeutique.
- absolu au soulagement de la souffrance.
- à l’accès aux soins palliatifs.
- à la rédaction de directives anticipées.
- de se faire représenté par une personne de confiance.
- l’accès au dossier médical.
- de quitter l’hôpital.
CHIFFRES :
- 2 000 patients ont eu recours à l’euthanasie depuis sa dépénalisation.
- 495 euthanasies en 2007 sur 100 000 décès enregistrés.
- dans 90% des cas, le décès est par injection de Penthotal puis un paralysant neuromusculaire qui provoque un arrêt respiratoire.
- dans 10% des cas par un barbiturique et un paralysant neuromusculaire.
- 70% de la population meurent à l’hôpital ou en institut.
AFFAIRES :
- 2003 : Vincent HUMBERT : paralysé après un accident demande le droit de mourir. Sa mère et le Dr CHAUSSOIX prennent en charge sa mort.
- 2008 : Chantal SEBIRE : tumeur incurable, elle demandait une révision de la loi Leonetti pour avoir le droit de mourir. Elle refusait le suicide er les soins palliatifs.
ARGUMENTS POUR L’EUTHANASIE :
- éviter les actes clandestins en autorisant l’euthanasie.
- liberté de choix de la personne malade.
- respect de la dignité.
- maintenir une autonomie
- lutter contre l’acharnement thérapeutique.
- lutter contre la souffrance physique et morale.
ARGUMENTS CONTRE L'EUTHANASIE :
- la religion
- raison morale : « meurtre » pour l’euthanasie.
- soins palliatifs
- problème de consentement libre et éclaire.
- risque de dérapage.
- pression financière et morale.
2 novembre : Journée mondiale pour le droit de mourir dans la dignité
DEFINITION :
Euthanasie : action destinée à abréger, sans souffrance la vie d’un individu atteint de maladie incurable.
Euthanasie passive : arrêt des thérapeutiques permettant de prolonger la vie d’un malade incurable.
Euthanasie active : acte donnant la mort.
Aide au suicide ou suicide assisté : méthode qui consiste à mettre du poison dans la seringue et à faire appuyer par la malade afin d’éviter les poursuites.
Refus d’acharnement thérapeutique.
Soins palliatifs : accompagner le malade et utiliser des antalgiques pour soulager la douleur, même si cela consiste à prendre des risques parfois mortels.
LOI :
* loi Leonetti 2005 : interdit tout acharnement thérapeutique et instaure un droit aux soins palliatifs.
Elle accorde le droit de laisser mourir le patient lorsqu’il en fait la demande.
Elle reconnait le patient et sa dignité sans autoriser l’euthanasie active.
* programme de développement des soins palliatifs en 2008 :
Il devrait permettre de doubler d’ici 2012, les capacités de prise de charge des patients de fin de vie et de former le personnel médical et paramédical à cette « préparation à la mort ».
* loi du 4 mars 2002 : toute personne a le droit de recevoir des soins visant à soulager sa douleur. Celle-ci doit être en toute circonstance prévenue, évaluée, prise en compte et traitée. Les professionnels de santé mettent en œuvre tous les moyens à leur disposition pour assurer à chacun une vie digne jusqu’à la mort.
* loi du 22 avril 2005 : dispositif complémentaire en matière de soins palliatifs et à la fin de vie.
* loi du 9 juin 1999 : garantir le droit à l’accès des soins palliatifs.
PRINCIPAUX DROITS :
- respect de la dignité de la personne malade.
- à l’information du malade sur son état de santé.
- au refus de tout traitement.
- prohibition de l’acharnement thérapeutique.
- absolu au soulagement de la souffrance.
- à l’accès aux soins palliatifs.
- à la rédaction de directives anticipées.
- de se faire représenté par une personne de confiance.
- l’accès au dossier médical.
- de quitter l’hôpital.
CHIFFRES :
- 2 000 patients ont eu recours à l’euthanasie depuis sa dépénalisation.
- 495 euthanasies en 2007 sur 100 000 décès enregistrés.
- dans 90% des cas, le décès est par injection de Penthotal puis un paralysant neuromusculaire qui provoque un arrêt respiratoire.
- dans 10% des cas par un barbiturique et un paralysant neuromusculaire.
- 70% de la population meurent à l’hôpital ou en institut.
AFFAIRES :
- 2003 : Vincent HUMBERT : paralysé après un accident demande le droit de mourir. Sa mère et le Dr CHAUSSOIX prennent en charge sa mort.
- 2008 : Chantal SEBIRE : tumeur incurable, elle demandait une révision de la loi Leonetti pour avoir le droit de mourir. Elle refusait le suicide er les soins palliatifs.
ARGUMENTS POUR L’EUTHANASIE :
- éviter les actes clandestins en autorisant l’euthanasie.
- liberté de choix de la personne malade.
- respect de la dignité.
- maintenir une autonomie
- lutter contre l’acharnement thérapeutique.
- lutter contre la souffrance physique et morale.
ARGUMENTS CONTRE L'EUTHANASIE :
- la religion
- raison morale : « meurtre » pour l’euthanasie.
- soins palliatifs
- problème de consentement libre et éclaire.
- risque de dérapage.
- pression financière et morale.
ESI 2013-2016 VILLE EVARD à Neuilly sur Marne (93)