Etre nouveau en réanimation
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Re: Etre nouveau en réanimation
Je n'arrête pas d'y penser et je pense que ça ne relève même pas de la compétence des collègues... Il faudrait signaler aux cadres ces difficultés, quitte à ce qu'elle ait une période de doublure supplémentaire, ou des formations, je ne sais pas...Lenalan a écrit :Une IDE qui ne cherche pas à faire "du travail personnel" quand elle se rend compte qu'elle rame et qu'elle est sans arrêt obligée de demander aux collègues les mêmes choses c'est très très inquiétant! Je comprends même pas qu'elle soit "bien" et qu'elle reste dans ce service en fait...
Déjà je ne comprends pas que les formations ne soient pas obligatoires.
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Re: Etre nouveau en réanimation
je pense aussi que c'est aux cadres de régler ça! Et les formations oui ça devrait 

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Re: Etre nouveau en réanimation
Bonjour,
Je vais tenter de donner des explications en me mettant à la place de l'ide nouvellement arrivée. En premier lieu, je replonge dans un stage que j'ai effectué pendant mes études d'infirmier. C'était un service de réanimation avec des patients ventilés et non ventilés. C'était pour moi un calvaire : je ne comprenais rien à ce qui se passait. J'avais l'impression que les ide étaient des extra-terrestres : dès qu'elles entendaient une alarme, elles disaient « c'est le ventilateur de Truc » ou « c'est le pousse-seringue de Machin », et je me demandais comment elles faisaient pour savoir ça. Elles entraient dans une chambre, et en quelques secondes, elles avaient repéré ce qu'il y avait à faire, et ce qui déviait de la situation attendue. Elle étaient à l'aise avec les modes de ventilation, les médicaments utilisés, les complications respiratoires, les mesures correctives à prendre… Et moi, j'étais à la rue, totalement dépassé. Elles ont commencé par une période de bienveillance, on t'explique ça, on te montre ça. Et voyant que je ne m'en sortais pas, elles m'ont confié un seul malade, un des plus simples du service, non ventilé, en me surveillant comme le lait sur le feu.
En résumé, si actuellement je me débrouille concernant les techniques de ventilation, les différents médicaments utilisés, les problèmes (urgents et non urgents) posés, et les actions à mettre en œuvre, eh bien ça ne va pas de soi. Ça s'apprend. Et la formation initiale est très insuffisante pour appréhender tous les problèmes.
Ensuite, on se retrouve plongé(e) dans un service de réanimation. Comme ce service est déjà en souffrance (il est bien rare qu'un service soit en excédant de personnel), la période d'encadrement est courte. L'encadrant n'est pas déchargé d'une partie de sa charge de travail. Or encadrer prend du temps, de l'énergie et de la concentration : je trouve qu'il est beaucoup plus simple de faire que de faire faire. Parmi les encadrants, il y a des personnes naturellement doués pour ça et d'autres que ça passionne moins. Mais assez peu de professionnels auront eu le temps de se poser des questions (même de façon empirique) sur les méthodes pédagogiques, ou auront suivi une formation. Au total, on bricole comme on peut (avec le plus souvent de la bonne volonté), on essaye d'entasser dans l'apprenant une somme de connaissances, de savoir-faire et de savoir-être en un temps record.
Dernier point, rares sont les services où on formalise cet encadrement (livret d'accueil, pré-test de connaissances, évaluations…). Et encore plus rares sont les services où on complète cette période d'encadrement par des enseignements théoriques délivrés par les médecins, ou des formations externes (trop de temps, trop cher).
Maintenant, je me mets dans la peau de l'apprenant. Je peux vous le dire, j'ai occupé des postes pour lesquels je n'étais pas à la hauteur. J'ai utilisé des médicaments dont j'étais loin de comprendre tous les tenants et aboutissants. Et mon ignorance me plongeait dans un faux sentiment de sécurité : pourquoi aurais-je été inquiet, puisque je ne connaissais pas les dangers ?
L'apprenant, le plus souvent, va vouloir apprendre les gestes. Préparer un circuit de perfusion stérile, préparer le matériel pour la pose d'un cathéter, tourner un patient intubé… Il a rarement le temps de s'intéresser au pourquoi du comment. Et d'ailleurs, personne n'a le temps (ou ne prend le temps) de lui expliquer.
J'arrête là, c'est déjà un pavé…
Je vais tenter de donner des explications en me mettant à la place de l'ide nouvellement arrivée. En premier lieu, je replonge dans un stage que j'ai effectué pendant mes études d'infirmier. C'était un service de réanimation avec des patients ventilés et non ventilés. C'était pour moi un calvaire : je ne comprenais rien à ce qui se passait. J'avais l'impression que les ide étaient des extra-terrestres : dès qu'elles entendaient une alarme, elles disaient « c'est le ventilateur de Truc » ou « c'est le pousse-seringue de Machin », et je me demandais comment elles faisaient pour savoir ça. Elles entraient dans une chambre, et en quelques secondes, elles avaient repéré ce qu'il y avait à faire, et ce qui déviait de la situation attendue. Elle étaient à l'aise avec les modes de ventilation, les médicaments utilisés, les complications respiratoires, les mesures correctives à prendre… Et moi, j'étais à la rue, totalement dépassé. Elles ont commencé par une période de bienveillance, on t'explique ça, on te montre ça. Et voyant que je ne m'en sortais pas, elles m'ont confié un seul malade, un des plus simples du service, non ventilé, en me surveillant comme le lait sur le feu.
En résumé, si actuellement je me débrouille concernant les techniques de ventilation, les différents médicaments utilisés, les problèmes (urgents et non urgents) posés, et les actions à mettre en œuvre, eh bien ça ne va pas de soi. Ça s'apprend. Et la formation initiale est très insuffisante pour appréhender tous les problèmes.
Ensuite, on se retrouve plongé(e) dans un service de réanimation. Comme ce service est déjà en souffrance (il est bien rare qu'un service soit en excédant de personnel), la période d'encadrement est courte. L'encadrant n'est pas déchargé d'une partie de sa charge de travail. Or encadrer prend du temps, de l'énergie et de la concentration : je trouve qu'il est beaucoup plus simple de faire que de faire faire. Parmi les encadrants, il y a des personnes naturellement doués pour ça et d'autres que ça passionne moins. Mais assez peu de professionnels auront eu le temps de se poser des questions (même de façon empirique) sur les méthodes pédagogiques, ou auront suivi une formation. Au total, on bricole comme on peut (avec le plus souvent de la bonne volonté), on essaye d'entasser dans l'apprenant une somme de connaissances, de savoir-faire et de savoir-être en un temps record.
Dernier point, rares sont les services où on formalise cet encadrement (livret d'accueil, pré-test de connaissances, évaluations…). Et encore plus rares sont les services où on complète cette période d'encadrement par des enseignements théoriques délivrés par les médecins, ou des formations externes (trop de temps, trop cher).
Maintenant, je me mets dans la peau de l'apprenant. Je peux vous le dire, j'ai occupé des postes pour lesquels je n'étais pas à la hauteur. J'ai utilisé des médicaments dont j'étais loin de comprendre tous les tenants et aboutissants. Et mon ignorance me plongeait dans un faux sentiment de sécurité : pourquoi aurais-je été inquiet, puisque je ne connaissais pas les dangers ?
L'apprenant, le plus souvent, va vouloir apprendre les gestes. Préparer un circuit de perfusion stérile, préparer le matériel pour la pose d'un cathéter, tourner un patient intubé… Il a rarement le temps de s'intéresser au pourquoi du comment. Et d'ailleurs, personne n'a le temps (ou ne prend le temps) de lui expliquer.
J'arrête là, c'est déjà un pavé…
Re: Etre nouveau en réanimation
J'ai été un difficulté aussi dans mes 1ers postes (et c'était pas en réa), j'ai ressenti un inconfort incroyable (voire une souffrance) de me sentir dans "la non maîtrise". ça a duré un bon moment, et je suis même partie de certains services quand je voyais que ça ne s'améliorait pas (ça me procurait tellement d'inconfort et d'angoisse que je n'ai pas réussi à surmonter ça et avoir la patience d'attendre que ça aille mieux).
Cette personne a l'air "zen" et de ne pas se rendre compte que ça ne va pas, ou alors elle garde tout pour elle et ne montre rien (moi j'étais très expressive
). C'est ce côté là qui me semble beaucoup plus inquiétant que ne pas savoir faire...
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Re: Etre nouveau en réanimation
C'est tout à fait ça, on ne perçoit pas ses inquiétudes ou un malaise quelconque.
Lorsque nous sommes arrivées dans le service, nous étions sur une période où la charge de travail était moins importante que maintenan. L'avantage est que nous avions des collègues qui prenaient le temps de nous expliquer les choses. Nous avons des formations effectuées par les médecins, et nous pouvons nous impliquer dans la préparation des formations pour les collègues sur un groupe de travail.
Théoriquement, notre période d'intégration devait comprendre des tests en début, milieu et fin de période d'intégration... Mais manque de disponibilité des cadres. Du coup nous avons été lâchés avec nos incertitudes. Même un simple entretien avec les cadres et un collègue référent de notre intégration aurait pu être bénéfique.
Au début je me suis sentie paniquée par le manque de compétence et la masse de choses à savoir et intégrer... J'ai appris à vivre avec cette frustration qu'il me faudra quelques mois encore avant de me sentir à l'aise. Pour essayer de palier à celà, je travaille dur à côté pour comprendre les principes de l'EER, la ventilation mécanique, les grandes fonctions, et je reviens dessus régulièrement. Malheureusement, nous apprenons également des erreurs de certains collègues : nous discutons entre nous et avec les médecins, car mine de rien les situations à risque sont quotidiennes, et il faut savoir prendre quelques secondes pour se poser, analyser, et ne pas agir de façon inadaptée sur un coup de panique.
Lorsque nous sommes arrivées dans le service, nous étions sur une période où la charge de travail était moins importante que maintenan. L'avantage est que nous avions des collègues qui prenaient le temps de nous expliquer les choses. Nous avons des formations effectuées par les médecins, et nous pouvons nous impliquer dans la préparation des formations pour les collègues sur un groupe de travail.
Théoriquement, notre période d'intégration devait comprendre des tests en début, milieu et fin de période d'intégration... Mais manque de disponibilité des cadres. Du coup nous avons été lâchés avec nos incertitudes. Même un simple entretien avec les cadres et un collègue référent de notre intégration aurait pu être bénéfique.
Au début je me suis sentie paniquée par le manque de compétence et la masse de choses à savoir et intégrer... J'ai appris à vivre avec cette frustration qu'il me faudra quelques mois encore avant de me sentir à l'aise. Pour essayer de palier à celà, je travaille dur à côté pour comprendre les principes de l'EER, la ventilation mécanique, les grandes fonctions, et je reviens dessus régulièrement. Malheureusement, nous apprenons également des erreurs de certains collègues : nous discutons entre nous et avec les médecins, car mine de rien les situations à risque sont quotidiennes, et il faut savoir prendre quelques secondes pour se poser, analyser, et ne pas agir de façon inadaptée sur un coup de panique.
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Re: Etre nouveau en réanimation
Le problème leopold c'est que j'ai le sentiment qu'elle banalise la situation de nos patients... Nous avons discuté de son parcours de stage, elle a eu un parcours bien rempli, mais centré sur l'urgence et la réanimation (je ne comprends pas que les IFSI acceptent cela), 1 seul stage en hospit conventionnelle (EHPAD et psy en plus). J'ai le sentiment qu'elle n'a pas de référence de la normalité... D'autant que ce qui est anormal est normal chez nous... Ex : un patient qui a 8 d'hémoglobine.
Lorsque je suis arrivée ça a été dur : j'avais besoin de me reposer sur des chiffres de référence, et là tout était perturbé !
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Re: Etre nouveau en réanimation
Il peut y avoir trois explications :lafolldingue a écrit :Le problème leopold c'est que j'ai le sentiment qu'elle banalise la situation de nos patients...
-c'est le sentiment qu'elle vous donne, mais si ça se trouve ça bouillonne à l'intérieur ; ça m'est arrivé, j'ai déjà été dans des situations que je considérais comme très difficiles et mon entourage me vivait comme peu impliqué ;
-on n'a conscience des problèmes que quand on les comprend ;
-il y a une période après le diplôme et au début de la vie professionnelle où certains ont du mal à se positionner dans une posture professionnelle ; ils sont encore étudiants, ils ne se rendent pas encore compte que les problèmes, c'est à eux de les résoudre.
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Re: Etre nouveau en réanimation
Tu as certainement raison... A creuser...
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Re: Etre nouveau en réanimation
Je ne comprends pas très bien l’attitude de cette équipe..lafolldingue a écrit :Le truc c'est qu'on s'entraide beaucoup entre nous, et que dès qu'une a terminé ses tours de surveillance, elle va proposer un coup de main aux autres. Elle dit qu'elle a du mal à faire des transmissions, et les préparer lui prend énormément de temps.
soit le principe est l'entraide et elle en bénéficie au même titre que les autres pour la fameuse sécurité des patients..
![]()
soit que d'autres critères ,+ subjectifs
, ( sa nonchalance par exemple ) vous agace...au point de la priver de votre aide...et ensuite de lui faire porter le chapeau de la mise en danger d'un patient...
..mais ce que tu décris c'est juste l'histoire d'une séquence de Urgencespour bien montrer qu'il y a ceux qui ont besoin de croire que leurs actions sauvent des vies..( ils sont souvent très interventionnistes et hyper actifs).et les autres ,les « glandus» les nonchalants ,les pas impliqués qui ne font aucuns efforts pour s'intégrer.
..vous êtes arrivées ensemble et toi tu es déjà opérationnelle...alors qu"elle est a la traîne selon vos impressions d'équipe..
Auriez vous un souci avec le non effort,le calme intérieur
![]()
Sauf que là clairement elle a mis en danger un patient, et si je n'étais pas passée dans le secteur pour proposer un coup de main (j'étais sur un autre secteur) , on aurait pu compter un patient de moins (sans détailler, un soucis sur le respi qui sonnait pleine balle, et le patient qui désaturait) les alarmes du respi ne l'ont pas faite percuter ... J'ai couru dans la chambre et ai ventilé au BAVU, ai essayé de rassurer le patient comme je pouvais, et lui ai demandé le respi de transport immédiatement et d'appeler le MAR de garde. Le MAR est arrivé en chambre avant le respi de transport... Elle avait pris le temps d'aller chercher une collègue plus ancienne en renfort...
Une fois la situation réglée, je lui ai expliqué qu'un respi qui sonne ce n'est pas normal de façon intempestive, et qu'il faut bien penser à vérifier ses alarmes. Qu'en l'occurence une désaturation n'est jamais à négliger, qu'il faut vérifier les fausses données sur le scope des vraies (elle néglige beaucoup les alarmes, les acquite et ne va pas vérifier en chambre). Et qu'il faut prioriser : d'abord on ventile, on assure la supléance par le respi de secours, et on demande à faire appeler le doc...
C'est fou le nombre de gens qui se font de la peine parce qu'ils ne savent pas se servir du langage. Howard Buten.
Re: Etre nouveau en réanimation
lafolldingue a écrit :Le problème leopold c'est que j'ai le sentiment qu'elle banalise la situation de nos patients... Nous avons discuté de son parcours de stage, elle a eu un parcours bien rempli, mais centré sur l'urgence et la réanimation (je ne comprends pas que les IFSI acceptent cela), 1 seul stage en hospit conventionnelle (EHPAD et psy en plus). J'ai le sentiment qu'elle n'a pas de référence de la normalité... D'autant que ce qui est anormal est normal chez nous... Ex : un patient qui a 8 d'hémoglobine.
Lorsque je suis arrivée ça a été dur : j'avais besoin de me reposer sur des chiffres de référence, et là tout était perturbé !



C'est fou le nombre de gens qui se font de la peine parce qu'ils ne savent pas se servir du langage. Howard Buten.
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Re: Etre nouveau en réanimation
Vanille, je trouve le ton que tu emoloies hyper condescendant ! Je ne suis pas prétentieuse au point de dénigrer tel ou tel parcours.
Ensuite il suffit de te renseigner un minimum sur un service de réanimation ou de t'y intéresser pour te douter qu'on y trouve des patients à surveiller comme le lait sur le feu... Mais vu les réflexions que tu te permets de faire aux gens de façon complètement gratuite, tu dois bien avoir la réponse, je ne t'apprendrai rien !
Ensuite il suffit de te renseigner un minimum sur un service de réanimation ou de t'y intéresser pour te douter qu'on y trouve des patients à surveiller comme le lait sur le feu... Mais vu les réflexions que tu te permets de faire aux gens de façon complètement gratuite, tu dois bien avoir la réponse, je ne t'apprendrai rien !
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Re: Etre nouveau en réanimation
lafolldingue a écrit :Vanille, je trouve le ton que tu emoloies hyper condescendant ! Je ne suis pas prétentieuse au point de dénigrer tel ou tel parcours.Lafoldingue le ton condescendant que tu m’attribue ne reflète que ce que tu éprouves à la lecture des mes interrogations et ce que tu ressens est tout à fait respectable
, moi je cherches seulement à comprendre la dynamique relationnelle dans laquelle tu sembles être en difficulté et si je ne me trompe pas. un peu seule et démunie..
![]()
lafolldingue a écrit :
Ensuite il suffit de te renseigner un minimum sur un service de réanimation ou de t'y intéresser pour te douter qu'on y trouve des patients à surveiller comme le lait sur le feu... Mais vu les réflexions que tu te permets de faire aux gens de façon complètement gratuite, tu dois bien avoir la réponse, je ne t'apprendrai rien !








J'ai le même zèle pour « les enrhumés » soignés au doliprane


lafolldingue a écrit :
.Dans ce service on n'a pas des patients qui viennent soigner un rhume à coup de doliprane...on n'a pas vraiment le droit à l'erreur.


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