Hommage
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- Loupiac
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Un ami qui s'en va. Adieu Pierre!
Pierre Bachelet a écrit :Un ami qui s'en va
Ça vous mets le cœur en bas
Un ami qui revient
C'est bête et ça fait du bien
Un ami qui s'en va
Ça ne se remplace pas
Mon ami t'en fait pas
On se souviendra de toi
Vancouver, en hiver
Une écharpe autour du cou
Vent du nord, sur le port
Y a les mouettes autour de nous
Un avion, un avion ça fait du bruit
Ça décolle, compagnon dis-moi
Pourquoi tu t'envoles
{au Refrain}
Boule de neige, en Norvège
Du soleil au fond des yeux
Quelques mailles, un chandail
Juste le temps d'être heureux
Un avion, un avion ça vient de loin
Ça se pose, compagnon t'en avais marre
Je suppose
{au Refrain}
Un ami qui s'en va
La la la la la la
Un ami qui revient
La la la la la la
Un ami qui s'en va
La la la la la la
Un ami qui revient
La la la la la la
Un ami qui s'en va
La la la la la la
Un ami qui revient
La la la la la la
Dernière modification par Loupiac le 15 févr. 2005 14:51, modifié 1 fois.
2 enfants en pleine forme
A nouveau infirmière, mais où ? Telle est la question
Coucou toi, ça va ? Woooohoooo Ma signature fait 4 lignes.
A nouveau infirmière, mais où ? Telle est la question

Coucou toi, ça va ? Woooohoooo Ma signature fait 4 lignes.
hé oui 61 ans
Personnellement j'aime bcoup celle ci :
Elle a de ces lumières au fond des yeux
Qui rendent aveugles ou amoureux
Elle a des gestes de parfum
Qui rendent bête ou rendent chien
Et si lointaine dans son cœur
Pour moi c'est sûr, elle est d'ailleurs
Elle a de ces manières de ne rien dire
Qui parlent au bout des souvenirs
Cette manière de traverser
Quand elle s'en va chez le boucher
Quand elle arrive à ma hauteur
Pour moi c'est sûr, elle est d'ailleurs
Et moi je suis tombé en esclavage
De ce sourire, de ce visage
Et je lui dis emmène moi
Et moi je suis prêt à tous les sillages
Vers d'autres lieux, d'autres rivages
Mais elle passe et ne répond pas
Les mots pour elle sont sans valeur
Pour moi c'est sûr, elle est d'ailleurs
Elle a de ces longues mains de dentellière
A damner l'âme d'un Werner
Cette silhouette vénitienne
Quand elle se penche à ses persiennes
Ce geste je le sais par cœur
Pour moi c'est sûr, elle est d'ailleurs
Et moi je suis tombé en esclavage
De ce sourire, de ce visage
Et je lui dis emmène moi
Et moi je suis prêt à tous les sillages
Vers d'autres lieux, d'autres rivages
Mais elle passe et ne répond pas
L'amour pour elle est sans valeur
Pour moi c'est sûr, elle est d'ailleurs
Et moi je suis tombé en esclavage
De ce sourire, de ce visage
Et je lui dis emmène moi
Et moi je suis prêt à tous les sillages
Vers d'autres lieux, d'autres rivages
Mais elle passe et ne répond pas

Personnellement j'aime bcoup celle ci :
Elle a de ces lumières au fond des yeux
Qui rendent aveugles ou amoureux
Elle a des gestes de parfum
Qui rendent bête ou rendent chien
Et si lointaine dans son cœur
Pour moi c'est sûr, elle est d'ailleurs
Elle a de ces manières de ne rien dire
Qui parlent au bout des souvenirs
Cette manière de traverser
Quand elle s'en va chez le boucher
Quand elle arrive à ma hauteur
Pour moi c'est sûr, elle est d'ailleurs
Et moi je suis tombé en esclavage
De ce sourire, de ce visage
Et je lui dis emmène moi
Et moi je suis prêt à tous les sillages
Vers d'autres lieux, d'autres rivages
Mais elle passe et ne répond pas
Les mots pour elle sont sans valeur
Pour moi c'est sûr, elle est d'ailleurs
Elle a de ces longues mains de dentellière
A damner l'âme d'un Werner
Cette silhouette vénitienne
Quand elle se penche à ses persiennes
Ce geste je le sais par cœur
Pour moi c'est sûr, elle est d'ailleurs
Et moi je suis tombé en esclavage
De ce sourire, de ce visage
Et je lui dis emmène moi
Et moi je suis prêt à tous les sillages
Vers d'autres lieux, d'autres rivages
Mais elle passe et ne répond pas
L'amour pour elle est sans valeur
Pour moi c'est sûr, elle est d'ailleurs
Et moi je suis tombé en esclavage
De ce sourire, de ce visage
Et je lui dis emmène moi
Et moi je suis prêt à tous les sillages
Vers d'autres lieux, d'autres rivages
Mais elle passe et ne répond pas
Je voulais je l'avoue danser joue contre joue, je l'avoue je rêvais de te faire tournoyer respirer cet air frais, regarder rayonner le visage d'un amour qui n'a pas vu le jour..
- adrénaline_
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Pierre Bachelet
TU NE NOUS QUITTES PAS
Tant qu'il y aura une femme pour inventer la vie
Et un homme assez fou pour tenter le pari
Tant qu'il y aura un homme pour croire au petit jour
La pendule arrêtée au zénith de l'amour
Tant qu'il y aura un homme capable de pleurer
Comme pleure une fontaine sans honte et sans regret
Cette infinie distance qui sépare à jamais
Ceux qui courent l'un vers l'autre sans jamais se trouver
TU SERAS LA
ON ENTENDRA TA VOIX
OU QUE TU SOIES
TU SERAS TOUJOURS LA
TU SERAS LA
ON ENTENDRA TA VOIX
OU QUE TU SOIES
TU NE NOUS QUITTE PAS
Tant qu'il y aura un homme d'une incurable enfance
Pour suivre les soleils des bateaux en partance
Tant qu'il y aura des ports pour s'inventer la mer
Et toutes les bières du nord pour brasser la misère
Tant qu'il y aura l'amour pour s'opposer aux armes
Tant qu'il y aura des mains pour y cacher ses larmes
Tant qu'il y aura quelqu'un pour faire le dernier pas
Tant qu'il y aura un homme pour être celui-là
TU SERAS LA
ON ENTENDRA TA VOIX
OU QUE TU SOIES
TU SERAS TOUJOURS LA
TU SERAS LA
ON ENTENDRA TA VOIX
OU QUE TU SOIES
TU NE NOUS QUITTE PAS
Tant qu'il y aura l'étoile pour regarder plus haut
Tant qu'il aura la foule pour comprendre tes mots
Tant qu'il y aura le coeur pour être unique emblème
Tant qu'il y aura un homme pour oser dire je t'aime
TU SERAS LA
ON ENTENDRA TA VOIX
OU QUE TU SOIES
TU SERAS TOUJOURS LA
TU SERAS LA
ON ENTENDRA TA VOIX
OU QUE TU SOIES
TU NE NOUS QUITTE PAS
Chanson écrite en hommage à Jacques Brel

La pensée vole, et les mots vont à pieds.
- Milou_minoux
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- Localisation : Là où je ne suis pas !
C’est une hécatombe !
Villeret, Bachelet … mais à ce rythme là … que va-t-il nous rester ?
Que les navets (je n’en citerais pas … par respect !)
"Adieu ! je crois qu'en cette vie
Je ne te reverrai jamais.
Dieu passe, il t'appelle et m'oublie ;
En te perdant je sens que je t'aimais."
Alfred de Musset


Villeret, Bachelet … mais à ce rythme là … que va-t-il nous rester ?
Que les navets (je n’en citerais pas … par respect !)

"Adieu ! je crois qu'en cette vie
Je ne te reverrai jamais.
Dieu passe, il t'appelle et m'oublie ;
En te perdant je sens que je t'aimais."
Alfred de Musset
Dernière modification par Milou_minoux le 15 févr. 2005 16:21, modifié 1 fois.
- Milou_minoux
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- Localisation : Là où je ne suis pas !
Pierre Bachelet
MARIONNETTISTE
Le réveil matin
Et tout me reviens
Je l'aime, je l'aime
J'ouvre la radio
Torrent de mots
J'aimerais qu'on le dise
Il l'aime, il l'aime
Je met ma chemise
Un coup de peigne
Je bois mon café
Deux sucres à peine
Et mes pensées
Sont toutes les mêmes
C'est insensé
Je l'aime, je l'aime
Qu'est-ce qui m'arrive
Je descend ma rue
Je prends l'avenue
Toujours la même
Feu rouge, première
Les gens derrière
Déjà le feu vert
Avenue Dumene
Comme un automate
Je tourne à droite
Déjà les problèmes
La vie, les coups
Suis-je un acrobate
Ou suis-je fous?
Mais dis-moi tout, marionnettiste
J'ai des ficelles, à mon destin
Tu me fais faire, un tour de piste
Mais où je vais, je n'en sais rien
Mais dis-moi tout, marionnettiste
Mon coeur de bois, soudain s'arrête
Que feras-tu de tes artistes
Après la fête
Je revois la scène
Exactement
Avant-hier
Elle est entrée
Au restaurant
Elle s'est assi-
Se devant moi
D'un coup j'ai compris
Que dans ma vie
J'avais dormis
Depuis trente ans
Et foudroyé
Par ce tonnerre
Je suis tombé
Dans sa lumière
C'est comme une course
Au corps à corps
Elle n'a qu'un seul mot:
Encore, encore
Elle n'a qu'un seul cri:
L'amour d'abord
Elle n'a plus qu'un corps
Et moi aussi
Et par la fenêtre
On voit Paris
J'ai rêvé peut-être,
Ou j'ai dormi
Et tout d'un coup
Je vis, je vis
Mais dis-moi tout, marionnettiste
J'ai des ficelles, à mon destin
Tu me fais faire, un tour de piste
Mais où je vais, je n'en sais rien
Mais dis-moi tout, marionnettiste
Mon coeur de bois, soudain s'inquiète
Que vas-tu faire de tes artistes
Après la fête
Et dans l'ascenseur
Cogne mon coeur
Je sonne et je vois,
Un mot pour moi
Qui dit oublie-moi
Qui me supplie,
Va-t'en, ça vaut mieux
Pour tout les deux
Chacun son chemin
Même s'il est triste
Chacun son chagrin
Adieu l'artiste
Et sur le trottoir
Je m'en vais comme ça
Mains dans les poches
Je rentre chez moi
Marie Chalfoche
Au bar - tabac
Je prends un café
Et ça me brûle
On oublie jamais
On accumule
J'aimerais arrêter
Toutes les pendules
Une voix la haut
Me dit debout
Mais dis-moi tout, marionnettiste
J'ai des ficelles, à mon destin
Tu me fais faire, des tours de piste
Mais où je vais, je n'en sais rien
Mais dis-moi tout, marionnettiste
Mon coeur de bois, soudain s'inquiète
Que fais-tu donc de tes artistes
Après la fête
La ficelle a cassé

La pensée vole, et les mots vont à pieds.
Loupiac a écrit :Y'a Soeur Lucie de Fatima aussi qui est morte....
Soeur Lucie, de son vrai nom Lucia de Jesus dos Santos, figure emblématique du catholicisme portugais, était la dernière survivante des trois petits bergers qui affirmaient avoir vu la Vierge en 1917 à Fatima.
Morte à 97 ans quand même


Pour les ignarants qui rigolent

La pensée vole, et les mots vont à pieds.
- nicodeparis
- Insatiable
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- Inscription : 21 nov. 2004 22:04
- Localisation : Ici et ailleurs...l'essentiel c'est d'y etre !!