journée de 12 heures et risques de défaillance

Le forum des infirmier(e)s, discussions, débats et bien plus encore...

Modérateurs : Modérateurs, Infirmiers

Répondre
Anonyme222222

Re: journée de 12 heures et risques de défaillance

Message par Anonyme222222 »

Aucune. C'est certainement "trollesque"...
Avatar de l’utilisateur
Norma Colle
Silver VIP
Silver VIP
Messages : 4851
Inscription : 30 nov. 2004 21:32

Re: journée de 12 heures et risques de défaillance

Message par Norma Colle »

Tulipe a écrit :
duvar a écrit :De toute façon la plupart des infirmières de nuit dorment une bonne partie de la nuit et cumul après leur service, des soins en libérale ou en maison de retraite. Etre grassement payer pour dormir et après avoir une ou plusieurs autres activités c'est facile, elles peuvent même bosser 24/24. Après ne faut pas s'étonner que la qualité des soins soit de plus en plus merdique sans parler de la sécu, qui paie pour ses patients une prestation qui n'existe pas.
?

Quelle est votre qualification et votre connaissance du métier d'infirmier pour lancer de telles accusations?
Quel rapport avec les 12 heures?
Parce que balancer des trucs juste comme ça, ça ne fait pas trop avancer le débat...
ignorer ce genre de pure provocation de "fosse à purin" est la meilleure réplique .... :clin: ....
Avatar de l’utilisateur
AJazz
Forcené
Forcené
Messages : 320
Inscription : 23 juin 2007 19:48
Localisation : de l'ouest en est...

Re: journée de 12 heures et risques de défaillance

Message par AJazz »

Bonjour,

Je suis actuellement en stage prépro (donc 10 semaines) dans un service de Chir "bien rythmé" et nous travaillons en 12H. Pour ma part, j'étais ravie au départ car j'y voyais l'intéret par rapport aux journées libres en semaine.

Je suis rendue à la fin de la 7ème semaine et si je vois les avantages des 12H, je découvre aussi le côté "face": en ce qui me concerne, au niveau vigilance et fatigue, je suis obligée de faire très attention pendant le dernier tiers du travail, car je ne suis plus au top, mais la cadence ne baisse pas pour autant. Je me suis même fait peur par moment au regard de certains oublis côté surveillance et la diffculté (temporaire) à mobiliser des connaissances pourtant basiques.

Certes, je suis encore en apprentissage et j'ai beaucoup à intégrer sur ce terrain, mais je pense que par la suite je vais éviter des postes en 12H. Perso je ne pense pas avoir les capacités nécessaires pour assurer la sécurité des patients passé 8-9 heures de boulot intensif.
Enfin la lumière au bout du tunnel... pourvu que ce ne soit pas le train...
IDE en Pédiatrie
Répondre