La synthèse d'un article CG par jour
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Re: La synthèse d'un article CG par jour
Article 8
L'utilisation de la contraception régresse chez les jeunes femmes de 20-24 ans
LE MONDE | 12.09.2012 Gaëlle Dupont
Pour la première fois, l'utilisation de la contraception régresse dans une catégorie de la population française, les femmes âgées de 20 à 24 ans. Par ailleurs, même si la couverture contraceptive de la population est bonne, le modèle français reste trop figé sur le triptyque : préservatif en début de vie sexuelle, pilule ensuite, puis stérilet après avoir eu des enfants. Tels sont les principaux enseignements de la première étude sur la contraception menée depuis dix ans, publiés, mercredi 12 septembre, dans la revue Population et sociétés de l'Institut national d'études démographiques (INED)
REPRÉSENTATIONS CULTURELLES
La baisse de l'utilisation de la pilule, qui reste employée par 50% des Françaises de 15 à 49 ans, est l'un des faits marquants qui ressort de l'enquête "Fecond", menée par l'INED et l'Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm) auprès d'échantillons aléatoires de plus de 5000 femmes et 3000 hommes. Cette baisse est compensée par l'utilisation d'autres méthodes hormonales (implant, patch, anneau vaginal) dans certaines catégories, par exemple chez les 18-19 ans ou les 25-29 ans. Ce n'est pas le cas pour les 20-24 ans, chez qui l'utilisation de la pilule régresse de 10 %, alors que le recours aux autres méthodes augmente de 5 %.
"On peut explorer plusieurs hypothèses pour expliquer ce recul, comme le fait que ces femmes pourraient être plus sensibles aux discours écologiques et à la méfiance envers les produits médicamenteux, relève Nathalie Bajos, directrice de recherche à l'Inserm, coresponsable de l'étude. On ne peut pas l'écarter, mais c'est insuffisant. Il y a un enjeu financier. Le recul est plus marqué dans les milieux les plus défavorisés. C'est une tranche d'âge touchée par la crise, car on y entre dans la vie adulte sans être dans une situation stable."
Pour la chercheuse, ce phénomène "pose problème". La question du coût de la contraception est posée, d'autant que 42 % des femmes se voient prescrire des pilules de troisième ou de quatrième génération, non remboursées, bien que ces dernières ne soient pas mieux tolérées par les utilisatrices. Seules 43 % de celles qui se trouvent en situation financière difficile sont totalement remboursées.
L'enquête relève l'importance des représentations culturelles dans le choix des méthodes. Alors que les classes privilégiées s'approprient en général les premières les nouveaux produits, ce n'est pas le cas pour l'implant contraceptif, davantage utilisé par les femmes qui connaissent des difficultés financières ou par celles originaires d'Afrique subsaharienne. Ainsi l'implant, un contraceptif de longue durée, semble davantage prescrit à des femmes dont on suppose "a priori" qu'elles ne pourront pas se tenir à prendre la pilule tous les jours, relève l'étude. Autre exemple : la stérilisation définitive reste très peu utilisée en France, pays à forte tradition nataliste, contrairement à la Grande-Bretagne, par exemple.
La couverture contraceptive de la population demeure bonne. Seules 3% des femmes qui ne souhaitent pas concevoir n'utilisent pas de contraception (0,9% des 15-17ans). Elle pourrait cependant être encore améliorée. "Davantage de souplesse dans les logiques de prescription permettrait de mieux faire", affirme Mme Bajos.
LE STÉRILET PEU UTILISÉ
Le stérilet, méthode économique et dont l'efficacité ne dépend pas de la prise quotidienne, qui donc pourrait convenir à des femmes jeunes, reste trop peu utilisé. Seules 21 % des femmes y ont recours, la plupart ayant déjà eu un ou deux enfants. La majorité des femmes restent persuadées, à tort, que le stérilet n'est pas indiqué pour celles n'ayant pas eu d'enfants. La proportion atteint 69 % chez les gynécologues et 84 % chez les généralistes, malgré l'existence d'un rapport de la Haute Autorité de santé sur le sujet. La formation des médecins est donc un"enjeu essentiel", selon l'article.
Pour Mme Bajos, une meilleure couverture contraceptive ne signifierait pas forcément une baisse du nombre d'avortements, qui se stabilise en France autour de 225000, d'autres facteurs entrant en jeu dans les décisions d'avorter. "L'intérêt d'un bon accès à la contraception est d'abord que les personnes puissent avoirune vie sexuelle à l'abri de l'angoisse d'une grossesse non prévue", explique-t-elle. Les dernières données mettent cependant en évidence une augmentation du nombre d'avortements chez les femmes de 20 à 24 ans, chez qui il concerne 27 femmes sur 1000.
Résumer en 15 lignes
L'utilisation de la contraception régresse chez les jeunes femmes de 20-24 ans
LE MONDE | 12.09.2012 Gaëlle Dupont
Pour la première fois, l'utilisation de la contraception régresse dans une catégorie de la population française, les femmes âgées de 20 à 24 ans. Par ailleurs, même si la couverture contraceptive de la population est bonne, le modèle français reste trop figé sur le triptyque : préservatif en début de vie sexuelle, pilule ensuite, puis stérilet après avoir eu des enfants. Tels sont les principaux enseignements de la première étude sur la contraception menée depuis dix ans, publiés, mercredi 12 septembre, dans la revue Population et sociétés de l'Institut national d'études démographiques (INED)
REPRÉSENTATIONS CULTURELLES
La baisse de l'utilisation de la pilule, qui reste employée par 50% des Françaises de 15 à 49 ans, est l'un des faits marquants qui ressort de l'enquête "Fecond", menée par l'INED et l'Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm) auprès d'échantillons aléatoires de plus de 5000 femmes et 3000 hommes. Cette baisse est compensée par l'utilisation d'autres méthodes hormonales (implant, patch, anneau vaginal) dans certaines catégories, par exemple chez les 18-19 ans ou les 25-29 ans. Ce n'est pas le cas pour les 20-24 ans, chez qui l'utilisation de la pilule régresse de 10 %, alors que le recours aux autres méthodes augmente de 5 %.
"On peut explorer plusieurs hypothèses pour expliquer ce recul, comme le fait que ces femmes pourraient être plus sensibles aux discours écologiques et à la méfiance envers les produits médicamenteux, relève Nathalie Bajos, directrice de recherche à l'Inserm, coresponsable de l'étude. On ne peut pas l'écarter, mais c'est insuffisant. Il y a un enjeu financier. Le recul est plus marqué dans les milieux les plus défavorisés. C'est une tranche d'âge touchée par la crise, car on y entre dans la vie adulte sans être dans une situation stable."
Pour la chercheuse, ce phénomène "pose problème". La question du coût de la contraception est posée, d'autant que 42 % des femmes se voient prescrire des pilules de troisième ou de quatrième génération, non remboursées, bien que ces dernières ne soient pas mieux tolérées par les utilisatrices. Seules 43 % de celles qui se trouvent en situation financière difficile sont totalement remboursées.
L'enquête relève l'importance des représentations culturelles dans le choix des méthodes. Alors que les classes privilégiées s'approprient en général les premières les nouveaux produits, ce n'est pas le cas pour l'implant contraceptif, davantage utilisé par les femmes qui connaissent des difficultés financières ou par celles originaires d'Afrique subsaharienne. Ainsi l'implant, un contraceptif de longue durée, semble davantage prescrit à des femmes dont on suppose "a priori" qu'elles ne pourront pas se tenir à prendre la pilule tous les jours, relève l'étude. Autre exemple : la stérilisation définitive reste très peu utilisée en France, pays à forte tradition nataliste, contrairement à la Grande-Bretagne, par exemple.
La couverture contraceptive de la population demeure bonne. Seules 3% des femmes qui ne souhaitent pas concevoir n'utilisent pas de contraception (0,9% des 15-17ans). Elle pourrait cependant être encore améliorée. "Davantage de souplesse dans les logiques de prescription permettrait de mieux faire", affirme Mme Bajos.
LE STÉRILET PEU UTILISÉ
Le stérilet, méthode économique et dont l'efficacité ne dépend pas de la prise quotidienne, qui donc pourrait convenir à des femmes jeunes, reste trop peu utilisé. Seules 21 % des femmes y ont recours, la plupart ayant déjà eu un ou deux enfants. La majorité des femmes restent persuadées, à tort, que le stérilet n'est pas indiqué pour celles n'ayant pas eu d'enfants. La proportion atteint 69 % chez les gynécologues et 84 % chez les généralistes, malgré l'existence d'un rapport de la Haute Autorité de santé sur le sujet. La formation des médecins est donc un"enjeu essentiel", selon l'article.
Pour Mme Bajos, une meilleure couverture contraceptive ne signifierait pas forcément une baisse du nombre d'avortements, qui se stabilise en France autour de 225000, d'autres facteurs entrant en jeu dans les décisions d'avorter. "L'intérêt d'un bon accès à la contraception est d'abord que les personnes puissent avoirune vie sexuelle à l'abri de l'angoisse d'une grossesse non prévue", explique-t-elle. Les dernières données mettent cependant en évidence une augmentation du nombre d'avortements chez les femmes de 20 à 24 ans, chez qui il concerne 27 femmes sur 1000.
Résumer en 15 lignes
Concours Nancy Laxou Automne 2012
Concours APHP Automne 2012
Concours APHP Automne 2012
Re: La synthèse d'un article CG par jour
SUPER !!!!!!!!!!!
Je me joint à vous!
Je posterais mon premier résumer tous à l'heure.
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ESI 2014-2017
Re: La synthèse d'un article CG par jour
merci beaucoup amelie d'avoir remarqué que j'ai un probleme de temps car ca le jour du concors c'est la loose !! je vais voir ca mais merci beaucoup !!! je ferais le resumer du jour tous a l'heure !!
Re: La synthèse d'un article CG par jour
Voilà mon résumé pour ce sujet ! j'attends vos commentaires 
!
La contraception est un moyen permettant de se protéger des grossesses in-désirées ainsi que des maladies sexuellement transmissibles (selon le contraceptif utilisé).
La pilule fut l'un des premiers contraceptifs à voir le jour au 20ème siècle et fut très utilisé durant de très nombreuse années. Néanmoins dans une étude récente réalisé par l'INDE et l'INSERM on observe que l'utilisation de celui ci régresse: en effet on note une baisse de 10% chez les 20-24 ans ainsi que dans la tranche d'âge des 15-49 ans où l'utilisation n’excède pas 50% d'entres elles. Malgré tout la contraception reste viable,notamment par l'utilisation d'autres produits telle que l'implant et le patch ( hausse de 5%) qui sont préférés a la pilule chez les femmes de 18-19 ans et celles de 25-29 ans. Pour Nathalie Bajos, directrice de recherche pour l'INSERM ce changement peut être du dans un premier temps a l’intérêt porté par les françaises à l'écologie ainsi que la méfiance de celles-ci a l'égard de certains composés médicamenteux. Par ailleurs il existe également un autre moyen de contraception qui est le stérilet, celui trop peu connu par les jeunes femmes est peu utilisé ( seulement 21% des femmes ayant déja eu un ou deux enfants). Dans un deuxieme temps, il peut être du aux évènements économiques, en effet plus de 40% des pilule utilisées par les femmes ne sont plus remboursées, par conséquent, les milieux défavorisés sont les plus touchés par ce recul de l'utilisation de contraceptif. On recense seulement 43% des femmes en crise financière totalement remboursée. Il y a donc nécessairement des contraceptifs différents selon la classe social, par exemple les femmes en situation difficile comme les femmes africaines utiliseront plutôt un implant qui nécessite moins de contrainte que la prise de la pilule par exemple.
Malgré tout la contraception reste bonne en effet 97% des femmes ne voulant pas d'enfant utilisent un contraceptif. De plus selon Mme bajot l'utilisation de contraceptif permet d'avoir une vie sexuelle épanoui sans la crainte d'une grossesse non désirée. Mais en aucun cas une meilleur contraception entrainerais une baisse des avortements, qui a tendance à se stabiliser en France avec 225000 cas par ans. Malgré tous les récentes données montre une hausse des avortements chez les jeunes femmes de 20-24 ans avec 2,7% d'augmentation.
! La contraception est un moyen permettant de se protéger des grossesses in-désirées ainsi que des maladies sexuellement transmissibles (selon le contraceptif utilisé).
La pilule fut l'un des premiers contraceptifs à voir le jour au 20ème siècle et fut très utilisé durant de très nombreuse années. Néanmoins dans une étude récente réalisé par l'INDE et l'INSERM on observe que l'utilisation de celui ci régresse: en effet on note une baisse de 10% chez les 20-24 ans ainsi que dans la tranche d'âge des 15-49 ans où l'utilisation n’excède pas 50% d'entres elles. Malgré tout la contraception reste viable,notamment par l'utilisation d'autres produits telle que l'implant et le patch ( hausse de 5%) qui sont préférés a la pilule chez les femmes de 18-19 ans et celles de 25-29 ans. Pour Nathalie Bajos, directrice de recherche pour l'INSERM ce changement peut être du dans un premier temps a l’intérêt porté par les françaises à l'écologie ainsi que la méfiance de celles-ci a l'égard de certains composés médicamenteux. Par ailleurs il existe également un autre moyen de contraception qui est le stérilet, celui trop peu connu par les jeunes femmes est peu utilisé ( seulement 21% des femmes ayant déja eu un ou deux enfants). Dans un deuxieme temps, il peut être du aux évènements économiques, en effet plus de 40% des pilule utilisées par les femmes ne sont plus remboursées, par conséquent, les milieux défavorisés sont les plus touchés par ce recul de l'utilisation de contraceptif. On recense seulement 43% des femmes en crise financière totalement remboursée. Il y a donc nécessairement des contraceptifs différents selon la classe social, par exemple les femmes en situation difficile comme les femmes africaines utiliseront plutôt un implant qui nécessite moins de contrainte que la prise de la pilule par exemple.
Malgré tout la contraception reste bonne en effet 97% des femmes ne voulant pas d'enfant utilisent un contraceptif. De plus selon Mme bajot l'utilisation de contraceptif permet d'avoir une vie sexuelle épanoui sans la crainte d'une grossesse non désirée. Mais en aucun cas une meilleur contraception entrainerais une baisse des avortements, qui a tendance à se stabiliser en France avec 225000 cas par ans. Malgré tous les récentes données montre une hausse des avortements chez les jeunes femmes de 20-24 ans avec 2,7% d'augmentation.
AP-HP : ADMISE
Re: La synthèse d'un article CG par jour
De récentes études montrent que l'utilisation de la contraception chez les femmes âgée de 20 à 24 ans est en régression. En effet, chez cette tranche d'age, l'utilisation de la pilule est en baisse de 10%, or seulement 5% utilisent un moyen de substitution de la pilule tel que l’implant, le patch etc., signifiant alors une baisse de la contraception chez les 20/24 ans. Plusieurs facteurs sont alors remis en cause.
On observe que seulement 43% des femmes connaissant des difficultés financières prennent une pilule qui leur est remboursée. Ce qui représente un coût considérable pour les 57% restant.
L'idéal serait alors de mieux informer les femmes sur la contraception, et notamment son coût, parler des autres méthodes que la pilule qui est contraignante puisqu'il faut la prendre chaque jour pour qu'elle soit efficace contrairement à l’implant ou encore le patch par exemple, dont trop peu de femme savent qu'elles y ont accès, croyant que ces méthodes sont réservées aux femmes plus âgées ou ayant déjà des enfant.
15l.
On observe que seulement 43% des femmes connaissant des difficultés financières prennent une pilule qui leur est remboursée. Ce qui représente un coût considérable pour les 57% restant.
L'idéal serait alors de mieux informer les femmes sur la contraception, et notamment son coût, parler des autres méthodes que la pilule qui est contraignante puisqu'il faut la prendre chaque jour pour qu'elle soit efficace contrairement à l’implant ou encore le patch par exemple, dont trop peu de femme savent qu'elles y ont accès, croyant que ces méthodes sont réservées aux femmes plus âgées ou ayant déjà des enfant.
15l.
Future ESI 2013-2016
15 en CG, 15 aux TP et 16 à l'oral !
15 en CG, 15 aux TP et 16 à l'oral !
Re: La synthèse d'un article CG par jour
voila le mien
D’après une étude mené par la revue Population et sociétés de l'Institut national d'études démographiques (INED) nous montre qu’il y a une diminution d’utilisation de contraception dans la catégorie de femme française âgée de 20-24 ans.
Malgré la diminution de l’utilisation de la pilule, elle reste néanmoins utilisée par la moitié des françaises. En effet, Nathalie Bajos, directrice de recherche à l'Inserm nous explique que les femmes utilisent moins la pilule pour essayer d’autre moyen de contraception comme le patch ou le stérilet. Par exemple, la catégorie de 20-24 ans, ou l’utilisation de la pilule régresse de 10% alors que l’utilisation des autres moyens de contraception connait une hausse de 5%. La chercheuse nous explique qu’il y a un enjeu économique, en effet c’est la catégorie qui subit le plus la crise financière car les pilules de 3ieme ou 4ieme génération ne sont pas remboursé qui est utilisé par 42% des femmes. De plus, l’enquête constate que les femmes qui ont des difficultés financière utilisent plus l’implant contraceptif c’est le cas des africaines subsaharienne par exemple. De plus, très peu de femme (3%) qui ne souhaite pas avoir d’enfant n’utilise pas de contraceptif qui reste raisonnable mais qui pourrait être amélioré.
Le stérilet, moyen de contraception trop peu utilisé et qui pourtant reste le plus économique. Néanmoins, le stérilet reste dans les mœurs qu’il est reservé pour les femmes ayant eu des enfants alors qu’il pourrait convenir pour des jeunes femmes.
D’après, Mme Bajos une meilleure couverture ne signifierait pas une baisse d’avortement.
temps 1h, beaucoup trop long
j'ai eu beaucoup de mal a le resumer mine de rien, j'attend vos critiques et vos conseils pour m'amelioré car je le trouve pas terrible mon resumer...
D’après une étude mené par la revue Population et sociétés de l'Institut national d'études démographiques (INED) nous montre qu’il y a une diminution d’utilisation de contraception dans la catégorie de femme française âgée de 20-24 ans.
Malgré la diminution de l’utilisation de la pilule, elle reste néanmoins utilisée par la moitié des françaises. En effet, Nathalie Bajos, directrice de recherche à l'Inserm nous explique que les femmes utilisent moins la pilule pour essayer d’autre moyen de contraception comme le patch ou le stérilet. Par exemple, la catégorie de 20-24 ans, ou l’utilisation de la pilule régresse de 10% alors que l’utilisation des autres moyens de contraception connait une hausse de 5%. La chercheuse nous explique qu’il y a un enjeu économique, en effet c’est la catégorie qui subit le plus la crise financière car les pilules de 3ieme ou 4ieme génération ne sont pas remboursé qui est utilisé par 42% des femmes. De plus, l’enquête constate que les femmes qui ont des difficultés financière utilisent plus l’implant contraceptif c’est le cas des africaines subsaharienne par exemple. De plus, très peu de femme (3%) qui ne souhaite pas avoir d’enfant n’utilise pas de contraceptif qui reste raisonnable mais qui pourrait être amélioré.
Le stérilet, moyen de contraception trop peu utilisé et qui pourtant reste le plus économique. Néanmoins, le stérilet reste dans les mœurs qu’il est reservé pour les femmes ayant eu des enfants alors qu’il pourrait convenir pour des jeunes femmes.
D’après, Mme Bajos une meilleure couverture ne signifierait pas une baisse d’avortement.
temps 1h, beaucoup trop long
j'ai eu beaucoup de mal a le resumer mine de rien, j'attend vos critiques et vos conseils pour m'amelioré car je le trouve pas terrible mon resumer...
Re: La synthèse d'un article CG par jour
adou: ton resumer est très bien mais tu n'as pas respecté la consigne, il fallait le faire en 15l... et pour le debut "La contraception est un moyen permettant de se protéger des grossesses in-désirées ainsi que des maladies sexuellement transmissibles (selon le contraceptif utilisé).
La pilule fut l'un des premiers contraceptifs à voir le jour au 20ème siècle et fut très utilisé durant de très nombreuse années." je trouve que tu perd des lignes car il en parle pas dans l'article par je dis ca je dis rien car je suis nul a ces exos en plus lool
amelie: je le trouve vraiment bien ton resumé
La pilule fut l'un des premiers contraceptifs à voir le jour au 20ème siècle et fut très utilisé durant de très nombreuse années." je trouve que tu perd des lignes car il en parle pas dans l'article
par je dis ca je dis rien car je suis nul a ces exos en plus loolamelie: je le trouve vraiment bien ton resumé
Re: La synthèse d'un article CG par jour
Ce texte évoque un sujet récurrent ,la contraception.
Le contraceptif le plus utilisé,en France,est la pilule;viens,ensuite les autres formes.
Cependant,selon certaines études la pilule,serait en nette régression tandis que d'autre formes de contraception prennent du terrain.
Cette tendance,se ressent fortement chez les 20-24ans.
Cela est dû, aux nombreux discours écologiques et à la méfiance des femmes vis a vis de ces procédés médicamenteux.
De plus,l'aspect financier est une autre cause du reflux de l'utilisation de méthode contraceptive.
Ensuite,les représentations culturelles entrent en jeux, car , c'est , selon ces dernières , que l'adoption ou non ,d'une contraception est faite par la femme.
Enfin,les nombreux avantages du stérilet sont sous estimer par les femmes, par peur et ignorance,ainsi que par les médecins,qui bannissent ce contraceptif chez les jeunes femmes n'ayant pas eu encore d'enfants.
Toute ces raisons,nous mène à comprendre, que le déclin de l'utilisation de ces dernières, est en partie, la cause de tous cela.
Le contraceptif le plus utilisé,en France,est la pilule;viens,ensuite les autres formes.
Cependant,selon certaines études la pilule,serait en nette régression tandis que d'autre formes de contraception prennent du terrain.
Cette tendance,se ressent fortement chez les 20-24ans.
Cela est dû, aux nombreux discours écologiques et à la méfiance des femmes vis a vis de ces procédés médicamenteux.
De plus,l'aspect financier est une autre cause du reflux de l'utilisation de méthode contraceptive.
Ensuite,les représentations culturelles entrent en jeux, car , c'est , selon ces dernières , que l'adoption ou non ,d'une contraception est faite par la femme.
Enfin,les nombreux avantages du stérilet sont sous estimer par les femmes, par peur et ignorance,ainsi que par les médecins,qui bannissent ce contraceptif chez les jeunes femmes n'ayant pas eu encore d'enfants.
Toute ces raisons,nous mène à comprendre, que le déclin de l'utilisation de ces dernières, est en partie, la cause de tous cela.
Dernière modification par Fleur1 le 13 sept. 2012 12:52, modifié 4 fois.
ESI 2014-2017
Re: La synthèse d'un article CG par jour
J' attend vos commentaires, qu'ils soient positif ou négatif.
Ameli: Bon résumer!
Elody44:C'est bien,mais ta synthèse est trop longue,essai de ne pas rentrer trop dans les détails.
Adou: C'est bien,mais ta synthèse est trop trop trop longue,essai de ne pas rentrer dans les détails.
Maximun de 15 lignes,un surplus de 2 à 3 lignes est tolérer.
Et aère ton texte,il est trop compact.
Voila!
En espérant,que vous preniez bien les remarques.Cela aide à s'améliorer.
J'espère en avoir , en retour!
Ameli: Bon résumer!
Elody44:C'est bien,mais ta synthèse est trop longue,essai de ne pas rentrer trop dans les détails.
Adou: C'est bien,mais ta synthèse est trop trop trop longue,essai de ne pas rentrer dans les détails.
Maximun de 15 lignes,un surplus de 2 à 3 lignes est tolérer.
Et aère ton texte,il est trop compact.
Voila!
En espérant,que vous preniez bien les remarques.Cela aide à s'améliorer.
J'espère en avoir , en retour!
ESI 2014-2017
Re: La synthèse d'un article CG par jour
Est ce qu'il faut utiliser les chiffres du texte dans notre commentaire?????ou s'abstenir de cela?????????
ESI 2014-2017
Re: La synthèse d'un article CG par jour
ba je pense que ca depend, il faut les utiliser si il apporte de l'interet et de la valeur a ton arguments sinon non je ne pense pas !! enfin je sais pas si tu mas comprise!!!
Re: La synthèse d'un article CG par jour
Hello, voici le mien, j'espere que vous pourrez le commenter...
Article 8
Après une étude menée par l’INED et l’INSERM sur les modes de contraception pendant les 10 dernières années, certains résultats ont été démontrés.
La pilule est le moyen le plus utilisé aujourd’hui mais sa consommation est à la baisse alors que d’autres méthodes sont en hausse (implant, patch, anneau vaginal). Ces fluctuations s’égalent chez les 18-19 ans et les 25-29 ans alors que la baisse est notoire chez les 20-24ans : -5%. Les causes seraient d’origines écologiques et économiques, d’après la chercheuse Nathalie Bajos. A cette question du cout, sont associés les problèmes de remboursements et la difficulté de se payer la pilule dans les milieux défavorisés.
Il a été révélé également le lien fort entre la méthode contraceptive et les différentes cultures. Le taux d’utilisation des différentes méthodes est propre à chaque pays.
Vient l’étonnant problème du stérilet, mal aimé, alors qu’il associe facilités économiques et facilités d’utilisation, cause d’un manque certain de communication.
Finalement Mme Bajos rappel que le taux de contraception n’est pas intimement lié au taux d’avortements.
15 lignes
Article 8
Après une étude menée par l’INED et l’INSERM sur les modes de contraception pendant les 10 dernières années, certains résultats ont été démontrés.
La pilule est le moyen le plus utilisé aujourd’hui mais sa consommation est à la baisse alors que d’autres méthodes sont en hausse (implant, patch, anneau vaginal). Ces fluctuations s’égalent chez les 18-19 ans et les 25-29 ans alors que la baisse est notoire chez les 20-24ans : -5%. Les causes seraient d’origines écologiques et économiques, d’après la chercheuse Nathalie Bajos. A cette question du cout, sont associés les problèmes de remboursements et la difficulté de se payer la pilule dans les milieux défavorisés.
Il a été révélé également le lien fort entre la méthode contraceptive et les différentes cultures. Le taux d’utilisation des différentes méthodes est propre à chaque pays.
Vient l’étonnant problème du stérilet, mal aimé, alors qu’il associe facilités économiques et facilités d’utilisation, cause d’un manque certain de communication.
Finalement Mme Bajos rappel que le taux de contraception n’est pas intimement lié au taux d’avortements.
15 lignes
Re: La synthèse d'un article CG par jour
je le trouve très bien sego ton resumer...
par contre faudrait qu'on trouve un systeme de correction ou je ne sais quoi car faire des resumer sans correction ou sans avis je ne sais pas si ca sert a grand chose !!! enfin bref vous en pensez quoi??
par contre faudrait qu'on trouve un systeme de correction ou je ne sais quoi car faire des resumer sans correction ou sans avis je ne sais pas si ca sert a grand chose !!! enfin bref vous en pensez quoi??
Re: La synthèse d'un article CG par jour
Allez j'essaie de me lancer... Dites moi ce que vous en pensez, je sais pas vraiment comment m'y prendre... 
Les méthodes contraceptives sont aujourd'hui le quotidien de nombreuses femmes.
Cependant, plusieurs points restent problématiques dans la prise de contraceptif.
Tout d'abord, le prix de ceux-ci, parfois très élevé et peu remboursé. Les médecins prescrivent à leurs patientes des pilules dernière génération, sans faire de lien avec leur situation économique (seules 43% des femmes en situation précaire sont remboursées pour leur contraception).
Les représentations ensuite. La pilule contraceptive jouit aujourd'hui d'une image négative, pour la santé comme pour l'environnement, celle ci pouvant entraîner, comme bon nombre de produits médicamenteux des effets secondaires néfastes.
Enfin, le manque d'information reste un point essentiel dans le domaine de la contraception. Le stérilet pourrait devenir une bonne alternative pour les femmes ne souhaitant ni devoir penser à leur contraception au quotidien, ni avoir recours à un processus définitif. Cependant, un grand nombre de praticiens pensent encore à tort que ce dernier ne peut être utilisé qu'après avoir eu au moins un enfant. "La formation des médecins est donc un enjeu essentiel", d'après la Haute Autorité de santé.
Tout ceci pourrait permettre à terme de diminuer le nombre d'avortements, notamment chez les femmes de 20 à 24 ans, qui sont aujourd'hui 27 sur 1000 à y avoir recours.
Les méthodes contraceptives sont aujourd'hui le quotidien de nombreuses femmes.
Cependant, plusieurs points restent problématiques dans la prise de contraceptif.
Tout d'abord, le prix de ceux-ci, parfois très élevé et peu remboursé. Les médecins prescrivent à leurs patientes des pilules dernière génération, sans faire de lien avec leur situation économique (seules 43% des femmes en situation précaire sont remboursées pour leur contraception).
Les représentations ensuite. La pilule contraceptive jouit aujourd'hui d'une image négative, pour la santé comme pour l'environnement, celle ci pouvant entraîner, comme bon nombre de produits médicamenteux des effets secondaires néfastes.
Enfin, le manque d'information reste un point essentiel dans le domaine de la contraception. Le stérilet pourrait devenir une bonne alternative pour les femmes ne souhaitant ni devoir penser à leur contraception au quotidien, ni avoir recours à un processus définitif. Cependant, un grand nombre de praticiens pensent encore à tort que ce dernier ne peut être utilisé qu'après avoir eu au moins un enfant. "La formation des médecins est donc un enjeu essentiel", d'après la Haute Autorité de santé.
Tout ceci pourrait permettre à terme de diminuer le nombre d'avortements, notamment chez les femmes de 20 à 24 ans, qui sont aujourd'hui 27 sur 1000 à y avoir recours.
- IDE -
Re: La synthèse d'un article CG par jour
Fleur1,
Je pense pas qu'il faut reprendre tous les chiffres, ça ferait trop .. Juste quelques uns quand même pour illustrer les propos à mon avis.
Elody44,
Je trouve que le texte était difficile à synthétiser parce qu'il contenait plein d'info importantes, donc c'est normal je pense d'avoir mis plus de temps. (Moi aussi j'ai mis du temps ^^)
Oui ce serait bien de trouver un système de correction mais comment ?
Je pense qu'ils veulent voir qu'on est capable de ressortir les éléments les plus importants du texte en montrant qu'on les a compris, donc en les formulant avec nos mots. Et j'ai lu aussi sur mon livre de préparation qu'il faut faire des paragraphes, ne pas tout écrire dans un même bloc, c'est moins plaisant à lire.
Vous en pensez quoi ?
Je pense pas qu'il faut reprendre tous les chiffres, ça ferait trop .. Juste quelques uns quand même pour illustrer les propos à mon avis.
Elody44,
Je trouve que le texte était difficile à synthétiser parce qu'il contenait plein d'info importantes, donc c'est normal je pense d'avoir mis plus de temps. (Moi aussi j'ai mis du temps ^^)
Oui ce serait bien de trouver un système de correction mais comment ?
Je pense qu'ils veulent voir qu'on est capable de ressortir les éléments les plus importants du texte en montrant qu'on les a compris, donc en les formulant avec nos mots. Et j'ai lu aussi sur mon livre de préparation qu'il faut faire des paragraphes, ne pas tout écrire dans un même bloc, c'est moins plaisant à lire.
Vous en pensez quoi ?
Future ESI 2013-2016
15 en CG, 15 aux TP et 16 à l'oral !
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