La synthèse d'un article CG par jour

[la_rollie]

bonjour,
je travaille donc je peux pas répondre aux questions mais je mettrai mes réponses ce soir après le taf

Ok bonne journée

[la_rollie]

Toujours personnes Futurini tu n'as pas bossé comme promis, surement très surchargé, bonne journée à toutes et tous!!!
plus que quelques jours pour pouvoir écrire quelques chose d'acceptable.

[futurinfi]

voila ma réponde de la 1er question,jespère qu'il y aura quelquun pour nous corriger.


1. Ayant assisté à 4000 fin de vie au cours des 40 années d'exercice en pneumologie et cancérologie,Bernard Lebeau professeur de médecine témoigne que malgré l'amélioration,les lois restent insuffisantes se basant sur les trois fondamentaux de notre pays: Liberté,egalité,fraternité

chaque individu est libre dans son choix: la loi de 2005 autorise les substances médicamenteuses permettant d'abréger la vie ainsi elle n'interdit guère,dans le cas de dépendance avancée,l'arret de la réanimation néanmoins ces soins palliatifs ne sont pas appropriés à tous.Par ailleurs, la France est un pays laïque qui sépare la loi étatique de la loi divine en conséquent dans la mesure d'un choix personnel et réfléchi en respectant les lois,un dogme se doit d’être neutre.

Le droit égalitaire:les français ne sont pas tous égaux face à la mort.en effet,ceux qui souffrent de précarité pendant leur vie subissent une autre souffrance en fin de vie puisque les patients aisés s'offrent des suicides assistés chez les pays voisins.

Geste de fraternité: certains praticiens ne respectent pas le choix du patient par ignorance de la souffrance que peut vivre ce dernier ou pour des raisons morales .

respecter le choix du malade en fin de vie ,le droit à l'égalité face a la souffrance ,appliquer un geste d'amour pour soulager son prochain sont les trois piliers de l'euthanasie

[la_rollie]

voila ma réponde de la 1er question,jespère qu'il y aura quelquun pour nous corriger.


1. Ayant assisté à 4000 fin de vie au cours des 40 années d'exercice en pneumologie et cancérologie,Bernard Lebeau professeur de médecine témoigne que malgré l'amélioration,les lois restent insuffisantes se basant sur les trois fondamentaux de notre pays: Liberté,egalité,fraternité

chaque individu est libre dans son choix: la loi de 2005 autorise les substances médicamenteuses permettant d'abréger la vie ainsi elle n'interdit guère,dans le cas de dépendance avancée,l'arret de la réanimation néanmoins ces soins palliatifs ne sont pas appropriés à tous.Par ailleurs, la France est un pays laïque qui sépare la loi étatique de la loi divine en conséquent dans la mesure d'un choix personnel et réfléchi en respectant les lois,un dogme se doit d’être neutre.

Le droit égalitaire:les français ne sont pas tous égaux face à la mort.en effet,ceux qui souffrent de précarité pendant leur vie subissent une autre souffrance en fin de vie puisque les patients aisés s'offrent des suicides assistés chez les pays voisins.

Geste de fraternité: certains praticiens ne respectent pas le choix du patient par ignorance de la souffrance que peut vivre ce dernier ou pour des raisons morales .

respecter le choix du malade en fin de vie ,le droit à l'égalité face a la souffrance ,appliquer un geste d'amour pour soulager son prochain sont les trois piliers de l'euthanasie

Je te trouve ton approche vraiment complète et chapeau tyu as fait un grand bond tu n'es plus apprenti mais connaisseur , je me trouve nulle à coté de toi.

[futurinfi]

non mais tu es sérieux(se)??j'ai beaucoup de mal avec la culture générale

ta pas mis la réponse de la 1er question?

[la_rollie]

non mais tu es sérieux(se)??j'ai beaucoup de mal avec la culture générale

ta pas mis la réponse de la 1er question?

j'ai fais la troisième question j'ai du al à rédiger la première vais sérieusement me pencher dessus cette soirée
Je suis sérieuse tu as bien bossé est ce que tu as lu ce que j'ai fait?

[futurinfi]

non j'ai pas lu,j'attend de faire la question 3 comme ca,je compare,voilà ma réponse à la question 2


2. les médecins acquièrent des principes lors de leur formation dont l'objectif est de guérir le patient,ils assurent alors dans cette perspective leurs missions avec ompétence or,l'accompagnement d'un malade en fin de vie en accomplissant un suicide assisté,s'opposent à leurs convictions morales.certains praticiens sont contre la pratique de l'euthanasie car ils sont éloignés de la vie de l'hopital et de la réalité de la mort.
cependant,dans d'autres pays,les médecins respectent la dignité et le choix de chaque individu en situation de dépendance irréversible.en effet,ils ressentent un réel plaisir de soulager le malade ainsi le patient et sa famille sont reconnaissants

[futurinfi]

la rollie je vais te dire ce que j'en pense,c'est ma remarque après je répète toujours je suis pas la mieux placer pour commenter tes écrits,j'ai des difficultés aussi.


pour répondre à la troisième question,je pense qu'il faut mettre intro,dev,conclu,,à vérifier,après en lisant ta réponse,j'avais l'impression de lire des phrases et pas un paragraphe ce qui veut dire que tu n'as pas utilisé des liens logiques sinon en général,je trouve ton vocabulaire riche et soutenu,tu reste objectif.

[la_rollie]

J'ai essayé d'écrire corriges moi parce que je sens que j'ai fait n'importe quoi.
question 1
L'auteur met en exergue les difficultés que rencontrent les malades en fin de vie dans la mesure où le principale respect de l’emblème national est Inexistante.

Certes les lois se sont améliorées mais il reste matière à travailler. La pratique de l'euthanasie est illégale en France mais les solutions appliquées tels que le principe de double effet en soins palliatifs et autres rendent ambiguë les décisions à prendre. La nécessité d'ouvrir un réel débat sur l'euthanasie en tenant compte du prince de laïcité de notre état est primordiale. Le religieux ou autres courants de pensées ne doivent pas influencer le droit à une mort souhaitée; d'autant plus que le déséquilibre financier rend douloureux la fin de vie des pauvres n'ayant aucune solution que peuvent se permettre les riches en allant dans les pays riverains tels que la Suisse . La disparité et le manque de structures de soins palliatifs sont autant de causes de souffrance des malades en fin de vie. Le Médecin est la clé du débat sur l'euthanasie et doit s'inspirer des réussites des pays tels que la Belgique et les Pays Bas pour outrepasser le respect de la déontologie sur la survie. Il est impératif d'avoir une approche moins bureaucrate mais plus présente et surtout respectons la volonté du malade, ceci à travers des collégiales corps médical,famille pour accompagner le mourant avec paix et respect.

Question 2

La mort est une situation difficile à accepter, vouloir la repousser voir la détourner reste la priorité des médecins.
Le malade à sa fin de vie donne réflexion, faut-il prendre en compte la décision du malade dans le processus de mort lente? L' éthique et la déontologie voudraient que seul soit pris en compte l'espoir de guérison il est pratiqué par un nombre de médecin mais dans certains cas la loi autorise certaines solutions contradictoires comme le principe de double effet et autres. Quelques pays d’Europe respectent la décision des malades et les accompagnent dans ce sens comme exemple l'on peut citer la Belgique, les Pays Bas et la Suisse. Face à la mort nos droits et devoirs doivent être égaux en respect à la constitution et surtout de l'emblème du pays. La mise en place d'n groupe constitué de médecins et des membres de la famille peuvent accompagner n malade désireux d’interrompre sa vie.

Voilà ce que j'aurais griffonné dis moi ce que tu penses

[la_rollie]

non j'ai pas lu,j'attend de faire la question 3 comme ca,je compare,voilà ma réponse à la question 2


2. les médecins acquièrent des principes lors de leur formation dont l'objectif est de guérir le patient,ils assurent alors dans cette perspective leurs missions avec ompétence or,l'accompagnement d'un malade en fin de vie en accomplissant un suicide assisté,s'opposent à leurs convictions morales.certains praticiens sont contre la pratique de l'euthanasie car ils sont éloignés de la vie de l'hopital et de la réalité de la mort.
cependant,dans d'autres pays,les médecins respectent la dignité et le choix de chaque individu en situation de dépendance irréversible.en effet,ils ressentent un réel plaisir de soulager le malade ainsi le patient et sa famille sont reconnaissants

tu as bien dit mais je ne trouve pas trop de commentaire sur le choix du choix de mourir du malade tu pouvais ajouter son droit de mourir pas que les médecins je peux me tromper tu sais qu'est ce que tu en penses?

[futurinfi]

je sais pas j'ai un problème avec la méthodologie mais suite à mon raisonnement,la phrase dit:soyons de ceux qui respectent le choix des autres.donc dans mon commentaire,jai mis ceux qui respectent et ceux qui respectent pas le choix du malade.
jespère que quelqu'un viendrait nous corriger sinon je trouve toujours que tu as un bon vocabulaire mais il manque les connecteurs

[la_rollie]

je sais pas j'ai un problème avec la méthodologie mais suite à mon raisonnement,la phrase dit:soyons de ceux qui respectent le choix des autres.donc dans mon commentaire,jai mis ceux qui respectent et ceux qui respectent pas le choix du malade.
jespère que quelqu'un viendrait nous corriger sinon je trouve toujours que tu as un bon vocabulaire mais il manque les connecteurs

c'est mon point faible et je suis de base anglophone et je ne sais pas rendre fluide pourtant j'essaie samedi je passe et j'ai la trouille.

[la_rollie]

J'ai essayé d'écrire corriges moi parce que je sens que j'ai fait n'importe quoi.
question 1
L'auteur met en exergue les difficultés que rencontrent les malades en fin de vie et insiste sur l'inégalité du respect de l’emblème national lorsqu'il s'agit d'accompagnement à la mort.

Certes les lois se sont améliorées mais il reste matière à travailler. La pratique de l'euthanasie est illégale en France mais les solutions appliquées tels que le principe de double effet en soins palliatifs et autres rendent ambiguë les décisions à prendre. La nécessité d'ouvrir un réel débat sur l'euthanasie en tenant compte du prince de laïcité de l' état est primordiale. Le religieux ou autres courants de pensées ne doivent pas influencer le droit à une mort souhaitée; d'autant plus que le déséquilibre financier rend douloureux la fin de vie des pauvres . inversement aux personnes aisées qui peuvent aller dans des pays riverains tels que la Suisse . La disparité et le manque de structures de soins palliatifs sont autant de causes de souffrance des malades en fin de vie. Le Médecin est la clé du débat sur l'euthanasie et doit s'inspirer des réussites des pays tels que la Belgique et les Pays Bas pour outrepasser le respect de la déontologie sur la survie. Il est impératif d'avoir une approche moins bureaucrate mais plus présente, surtout respectons la volonté du malade, ceci à travers des collégiales corps médical,famille pour accompagner le mourant avec paix et respect.

Question 2

La mort est une situation difficile à accepter, vouloir la repousser voir la détourner reste la priorité des médecins.
Le malade à sa fin de vie donne réflexion, faut-il prendre en compte la décision du malade dans le processus de mort lente? L' éthique et la déontologie voudraient que seul soit pris en compte l'espoir de guérison. Les médecins tâchent de le respecter mais dans certains cas la loi autorise certaines solutions contradictoires comme le principe de double effet et autres. Quelques pays d’Europe respectent la décision des malades et les accompagnent dans ce sens comme exemple l'on peut citer la Belgique, les Pays Bas et la Suisse. Face à la mort nos droits et devoirs doivent être égaux en respect à la constitution et surtout de l'emblème du pays. La mise en place d'n groupe constitué de médecins et des membres de la famille peuvent accompagner n malade désireux d’interrompre sa vie.

Voilà ce que j'aurais griffonné dis moi ce que tu penses

[la_rollie]

j'ai essayé de corriger un peu je suis en galère

J'ai essayé d'écrire corriges moi parce que je sens que j'ai fait n'importe quoi.
question 1
L'auteur met en exergue les difficultés que rencontrent les malades en fin de vie et insiste sur l'inégalité du respect de l’emblème national lorsqu'il s'agit d'accompagnement à la mort.

Certes les lois se sont améliorées mais il reste matière à travailler. La pratique de l'euthanasie est illégale en France mais les solutions appliquées tels que le principe de double effet en soins palliatifs et autres rendent ambiguë les décisions à prendre. La nécessité d'ouvrir un réel débat sur l'euthanasie en tenant compte du prince de laïcité de l' état est primordiale. Le religieux ou autres courants de pensées ne doivent pas influencer le droit à une mort souhaitée; d'autant plus que le déséquilibre financier rend douloureux la fin de vie des pauvres . inversement aux personnes aisées qui peuvent aller dans des pays riverains tels que la Suisse . La disparité et le manque de structures de soins palliatifs sont autant de causes de souffrance des malades en fin de vie. Le Médecin est la clé du débat sur l'euthanasie et doit s'inspirer des réussites des pays tels que la Belgique et les Pays Bas pour outrepasser le respect de la déontologie sur la survie. Il est impératif d'avoir une approche moins bureaucrate mais plus présente, surtout respectons la volonté du malade, ceci à travers des collégiales corps médical,famille pour accompagner le mourant avec paix et respect.

Question 2

La mort est une situation difficile à accepter, vouloir la repousser voir la détourner reste la priorité des médecins.
Le malade à sa fin de vie donne réflexion, faut-il prendre en compte la décision du malade dans le processus de mort lente? L' éthique et la déontologie voudraient que seul soit pris en compte l'espoir de guérison. Les médecins tâchent de le respecter mais dans certains cas la loi autorise certaines solutions contradictoires comme le principe de double effet et autres. Quelques pays d’Europe respectent la décision des malades et les accompagnent dans ce sens comme exemple l'on peut citer la Belgique, les Pays Bas et la Suisse. Face à la mort nos droits et devoirs doivent être égaux en respect à la constitution et surtout de l'emblème du pays. La mise en place d'n groupe constitué de médecins et des membres de la famille peuvent accompagner n malade désireux d’interrompre sa vie.

Voilà ce que j'aurais griffonné dis moi ce que tu penses

[najat73]

je regarde et je vous dis ce que j'en pense. Pour autant je ne vais pas prétendre que je maîtrise, je peux me tromper . Ca n'est que mon simple avis