Métier d'infirmière, préjugés et vérités
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Re: Métier d'infirmière, préjugés et vérités
Bonjour.blondepalatine a écrit : Bonjour,
Je m'appelle Marine, je suis depuis peu bachelière et il y a peu, je cherchais encore mon orientation professionnelle.
A votre niveau c'est une bonne chose, même si je considére que ce genre de stages sont trop mal encadrés pour apprécier le travail d'in professionnel.blondepalatine a écrit : Je n'arrivais pas à choisir entre devenir médecin ou infirmière, deux métiers bien différents je le conçois. Après m'être renseignée et avoir eu la chance de participer à stage dans un hôpital près de chez moi, je suis décidée à tenter un concours d'infirmière...
Ce détail a toute son importance. L'adéquation longueur des études et finances ne permettent pas toujours de suivre des études longues. D'autres fois on s'imagine difficilement faire 5 ans d'études voir plus.blondepalatine a écrit : même la longueur des études me correspondent mieux, je pense.
C'est normal, c'est de leur génération. A l'époque de mes parents, aller à la fac permettait d'être "sauvé" d'un travail d'execution et ouvrait les portes de l'administration (sécurité de l'emploi, poste de cadre etc ...)blondepalatine a écrit : Cependant, mes parents (et ma famille en général) semblent déçus que je ne choisisse pas la voie "royale" de médecine,
Médecine, comme dans une moindre mesure les études de droit (tu seras médecin ou avocat), était un passeport pour la réussite. Une réussite nette et franche.
Ils le visualisent très bien car les premiers concernés (les patients) nous le disent également. Cepandant même un boulanger ne fait pas deux paims de la même façon et pourtant chaque matin il se lève pour faire du paim...blondepalatine a écrit : Aussi ils visualisent le quotidien d'une infirmière comme "répétitif" et ennuyeux.
C'est aussi le cas pour les restaurateurs qui fait des repas tous les jours, comme le fonctionnaire affecté au permis en préfecture comme ...
Moi il vaut mieux que j'éviteblondepalatine a écrit : Est-ce que ce serait possible que vous me parliez un peu de votre quotidien en tant qu'IDE ?


Le seul moyen de les rassurer est de dire qu'un travail reste un travail et qu'il prouve votre crédibilité face au banquier. La vie d'aujourd'hui c'est ça. Si il y a moins de 5% de chômeurs en France on aurait moins d'infirmiers, moins de prof et même moins de médecins.blondepalatine a écrit : Peut-être arriverais-je alors à les rassurer
Toutefois, je vais vous donner le conseil que je donne aux gens de votre âge (bien que je soies pas si vieux que ça

Tentez médecine !
Vous n'y perdrez rien au contraire, même si vous n'y arriverez, même si vous vous plantez royalement, même si entre temps kiné ou sage femme aura votre préférence, ca sera toujours une année bénéfique pour vous et celà vous donnera du temps pour faire le point sur votre avenir. Et croyez bien qu'une fois qu'un parent voit un de ces enfants faire médecine ... Il finit vite par comprendre.
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Re: Métier d'infirmière, préjugés et vérités
je n'ai jamais entendu un patient me dire que j'ai un métier répétitif...Creol a écrit :Ils le visualisent très bien car les premiers concernés (les patients) nous le disent également. Cepandant même un boulanger ne fait pas deux paims de la même façon et pourtant chaque matin il se lève pour faire du paim...blondepalatine a écrit : Aussi ils visualisent le quotidien d'une infirmière comme "répétitif" et ennuyeux.
C'est aussi le cas pour les restaurateurs qui fait des repas tous les jours, comme le fonctionnaire affecté au permis en préfecture comme ...
mes journées de boulot se suivent mais ne se ressemblent jamais... je ne sais pas ou vous avez été pêché ça...

quel est l'intérêt de tenter médecine si ce n’est pas un métier qui l'intéresse???? se faire chier pendant 1an à bachoter des matières qui ne servent à rien??? perdre du temps avant de rentrer dans la vie active alors qu'il faut bosser de plus en plus longtemps???Creol a écrit : Toutefois, je vais vous donner le conseil que je donne aux gens de votre âge (bien que je soies pas si vieux que ça) :
Tentez médecine !
Vous n'y perdrez rien au contraire, même si vous n'y arriverez, même si vous vous plantez royalement, même si entre temps kiné ou sage femme aura votre préférence, ca sera toujours une année bénéfique pour vous et celà vous donnera du temps pour faire le point sur votre avenir. Et croyez bien qu'une fois qu'un parent voit un de ces enfants faire médecine ... Il finit vite par comprendre.
si c'est infirmière qui te plait ben lance toi.... et tu diras à tes patients que les infirmiers sont plus au contact du patient que les "dieux' médecins... et que ce n'est pas un sous métier... on finit quand même bac+3... alors maintenant si en dessous de bac+5 on est un sous métier ben 80% des français font des sous métiers...
par curiosité, tes parents exercent quel métier?
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Re: Métier d'infirmière, préjugés et vérités
Parceque le sujet est: "Métier d'infirmière, préjugés et vérités" et sans aller très loin quand j'imagine le quotidien de mes collègues du labo je suis sûr qu'il font autre chose que de manipuler les petits tubes qu'on leur envoie, que nos collègues manip radio font autre chose que des clichés. Et donc, dans ces préjugés, les patients, les résidents dont on a la charge nous imagine en train de piquer, de faire des pansements, de donner des médocs et de faire des toilettes. Certes on fait beaucoup d'autres choses, mais eux s'arretent à ce qu'ils voient, ce qui est normal.Kenny a écrit :
je n'ai jamais entendu un patient me dire que j'ai un métier répétitif...
mes journées de boulot se suivent mais ne se ressemblent jamais... je ne sais pas ou vous avez été pêché ça...![]()
Autre point que je lis souvent, nous ne sommes pas plus proches des patients, nous avons plus d'opportunités, avec nos collègues AS et ASH d'être au près du patient. Ce qui nécessairement permet de nouer des relations professionelles de proximité.
Les kiné, les ergo, les diet, quasiment tous nos collègues paramédicaux font aussi du relationnel et lorsque l'occasion se présente, de l'éducatif. Encore une fois, c'est une question d'opportunité, de fréquence. L'AS verrra un patient 10 fois dans la journée, le kiné, 3 fois par semaine. Forcément l'as fera "plus" de relationnel.
/hors sujet
L'infirmier/ l'AS eux sont globalement formés pour agir dans l'urgence vitale, et c'est un point important à retenir car dans la relation en temps réel avec le patient on se retrouve à gérer d'autres problématiques que nos collègues.
Ce qi veut dire qu'un kiné aura des actions limités lorsqu'il se trouvera en face d'un malaise hypglycémique contrairement à l'infirmier qui lui aura surement un protocole qui trainera dans un placard
/fin du hors sujet
Enfin ces histoires de diplômes ont toujours été pris à l'envers. Un cap de cuisto, de boulanger, de plombier assure quasiment du travail et parfois à des salaires plus élevés que les notres.
Etre infirmier à ce jour, c'est être à niveau Bac+3. Personnellement ca ne me fait ni chaud ni froid puis que pour l'instant la question de suite d'étude est toujours en cours de "réflexion". Ce qui m'intéresse par contre c'est de savoir que je peux trouver du travail un peu partout en France et au delà et que je peux avoir un CDI, ce qui aujourd'hui relève du luxe.
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Re: Métier d'infirmière, préjugés et vérités
Oui le sujet c'est ça mais dans votre réponse cela semblait venir de vous et non du on dit des patients.... Alors si en tant qu'ide vous trouvez votre travail ennuyeux et répétitif... Y a pleins d'autres façons de le faire ce métier amha...
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Re: Métier d'infirmière, préjugés et vérités
Oui en me relisant j'ai compris vos propos
Je me suis inspiré de vos écits sur pas mal de choses, j'ai essayé de répondre en tenant compte de vos remarques 


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Re: Métier d'infirmière, préjugés et vérités
Si tu en as la capacité, je te conseille de commencer des études de médecine :
- en tant qu'IDE, je trouve très frustrant, voire humiliant, de n'avoir que des connaissances parcellaires sur le plan médical et de s'en remettre au médecin dès qu'une réelle expertise est requise ;
- quotidien professionnel plus satisfaisant sur le plan intellectuel ; croiser des données afin d’établir un diagnostic, etc...
- regard social ;
- revenus substantiellement plus élevés (salaire moyen d'un médecin généraliste = plus de 5000 euros quand même, sans parler de la situation des spécialistes).
Un conseil : va poser la même question sur un forum d'étudiants en médecine...
- en tant qu'IDE, je trouve très frustrant, voire humiliant, de n'avoir que des connaissances parcellaires sur le plan médical et de s'en remettre au médecin dès qu'une réelle expertise est requise ;
- quotidien professionnel plus satisfaisant sur le plan intellectuel ; croiser des données afin d’établir un diagnostic, etc...
- regard social ;
- revenus substantiellement plus élevés (salaire moyen d'un médecin généraliste = plus de 5000 euros quand même, sans parler de la situation des spécialistes).
Un conseil : va poser la même question sur un forum d'étudiants en médecine...
"Wem nicht zu rathen ist, dem ist auch nicht zu helfen."
Re: Métier d'infirmière, préjugés et vérités
JLM a écrit : Si tu en as la capacité, je te conseille de commencer des études de médecine

En même temps nous ne sommes pas médecins, n'empêche que je ne considère pas mes connaissances comme "parcellaires", mais comme "différentes", à un autre niveau.JLM a écrit :en tant qu'IDE, je trouve très frustrant, voire humiliant, de n'avoir que des connaissances parcellaires sur le plan médical et de s'en remettre au médecin dès qu'une réelle expertise est requise ;
JLM a écrit :quotidien professionnel plus satisfaisant sur le plan intellectuel ; croiser des données afin d’établir un diagnostic, etc...


C'est sûr, les médecins sont des "pros" du social, nous le voyons tous les jours...JLM a écrit :regard social ;

Allez dans le centre des grandes villes où il y a une plaque posée sur la façades des immeubles tous les 20 mètres : je ne suis pas sûre qu'une fois payés les impots (revenu, fonciers...) et taxes (taxes du secteur libéral, taxe habitation...et taxe sur les salaires si il y a une secrétaire à rémunérer), il y en ait beaucoup qui émargent à 5000€.JLM a écrit :revenus substantiellement plus élevés (salaire moyen d'un médecin généraliste = plus de 5000 euros quand même, sans parler de la situation des spécialistes).
A moins de faire de "l'abattage" et d'aligner 50 patients dans la journée, se lever à 6h pour se coucher à minuit : dans ce cas, on est pas médecin, on est travailleur à la chaine.
"Il suffit de nous regarder pour voir comment une forme de vie intelligente peut se développer d'une manière que nous n'aimerions pas rencontrer."
Stephen HAWKING
Stephen HAWKING
Re: Métier d'infirmière, préjugés et vérités
Votre manque total de capacité à approfondir les choses ne doit pas être imputable au metier d'infirmier.JLM a écrit : - en tant qu'IDE, je trouve très frustrant, voire humiliant, de n'avoir que des connaissances parcellaires sur le plan médical et de s'en remettre au médecin dès qu'une réelle expertise est requise ;
- quotidien professionnel plus satisfaisant sur le plan intellectuel ; croiser des données afin d’établir un diagnostic, etc...
- regard social ;
- revenus substantiellement plus élevés (salaire moyen d'un médecin généraliste = plus de 5000 euros quand même, sans parler de la situation des spécialistes).
Un conseil : va poser la même question sur un forum d'étudiants en médecine...
On peut toujours en apprendre plus et en savoir plus. Cf certaines infirmieres dans certains services ou c'est les internes/médecins qui viennent même demander des avis car "elles en ont vu plus", c'est pas non plus pour rien que les infirmieres participent aux staff c'est pas pour faire potiche dans le fond.
Aprés c'est sur qu'on PEUT exercer ce métier sans se poser de questions.
Je dirais que la frustration qu'on peut avoir en tant qu'IDE par rapport au médecin c'est le pouvoir "décisionnel". Mais bon, aprés le fait de demander au médecin quand on ne sait pas ... Oh wait je crois même que les internes quand ils savent pas ils demandent à des Ph, les ph demandent au professeur. Mince c'est normal de ne pas tout savoir

Et pour finir votre généraliste a 5000 euros il est libre ? non parce que j'en ai pas croisé qui gagnaient si bien leur vie, alors bon en tant qu'IDE venale et stupide.

« Je préfère partir plutôt que d’entendre ça plutôt que d’être sourd »
Re: Métier d'infirmière, préjugés et vérités
Pour rappel, JLM était un intellectuel brillant qui s'ennuyait pendant ses études au milieu d'ESI qu'il qualifiait d'illettrés.
Par contre il a peiné lamentablement à avoir sa licence de lettre.
Sa Suffisance en a donc conclu que les études d'infirmières étaient plus simple que celles de lettres. On voit déjà tout le niveau intellectuel et les capacités de raisonnement qu'il est capable de déployer.
JLM s'est retrouvé plus ou moins par hasard et plutôt contre son gré à exercer la profession d'infirmier pendant six mois.
Six mois pendant lesquels il n'a eu pour tout objectif professionnel que la seule soumission au médecin. Pour lui c'est ça et rien d'autre l'exercice de la profession.
Heureusement pour le système de santé et malheureusement pour nos enfants, JLM sévirait actuellement dans l'éducation nationale. Où il peut à loisir gaver ses confrère de toute sa brillantissime intelligence.
Par contre il ressent le besoin régulier de venir nous dire à quel point nous sommes stupides et lui superbe.
Votre pauvre expérience ne vous a pas permis de rencontrer des médecins fatigués de travailler à la chaine. Ou intellectuellement usés par un travail qu'ils qualifient de répétitif et frustrant.
Ou alors plus simplement, votre formidable capacité d'analyse vous a semblé suffisante pour vous épargner la fastidieuse tache qui consiste à écouter autrui.
Par contre il a peiné lamentablement à avoir sa licence de lettre.
Sa Suffisance en a donc conclu que les études d'infirmières étaient plus simple que celles de lettres. On voit déjà tout le niveau intellectuel et les capacités de raisonnement qu'il est capable de déployer.
JLM s'est retrouvé plus ou moins par hasard et plutôt contre son gré à exercer la profession d'infirmier pendant six mois.
Six mois pendant lesquels il n'a eu pour tout objectif professionnel que la seule soumission au médecin. Pour lui c'est ça et rien d'autre l'exercice de la profession.
Heureusement pour le système de santé et malheureusement pour nos enfants, JLM sévirait actuellement dans l'éducation nationale. Où il peut à loisir gaver ses confrère de toute sa brillantissime intelligence.
Par contre il ressent le besoin régulier de venir nous dire à quel point nous sommes stupides et lui superbe.
Oui, oui, ...JLM a écrit : - quotidien professionnel plus satisfaisant sur le plan intellectuel ; croiser des données afin d’établir un diagnostic, etc...
Votre pauvre expérience ne vous a pas permis de rencontrer des médecins fatigués de travailler à la chaine. Ou intellectuellement usés par un travail qu'ils qualifient de répétitif et frustrant.
Ou alors plus simplement, votre formidable capacité d'analyse vous a semblé suffisante pour vous épargner la fastidieuse tache qui consiste à écouter autrui.
Les médecins sont globalement mieux payé que les infirmiers. Ca ne me semble pas anormal du tout au vu de leur niveau d'études et de leur responsabilités. Ceci dit si on prend le volume horaire effectué par un PH, je suis pas sûr qu'il s'y retrouve. Et je parle pas des attachés ou des FFI qui émargent à 2000 euros/mois pour bosser plus de 70 heures par semaines.JLM a écrit : - revenus substantiellement plus élevés (salaire moyen d'un médecin généraliste = plus de 5000 euros quand même, sans parler de la situation des spécialistes).
Dès qu'il eut franchi le pont, les fantomes vinrent à sa rencontre.
Re: Métier d'infirmière, préjugés et vérités
http://www.journaldunet.com/economie/sa ... iste.shtml
http://psychotherapeute.wordpress.com/2 ... neraliste/
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2009/ ... -86300.php
http://psychotherapeute.wordpress.com/2 ... neraliste/
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2009/ ... -86300.php
"Wem nicht zu rathen ist, dem ist auch nicht zu helfen."
Re: Métier d'infirmière, préjugés et vérités
Et pour les PH :
http://www.professionmedecin.fr/tout-su ... raticiens/
Cela sans compter les consultations privées et autres gardes...
Ne rêvez pas trop, l'écart de revenus avec les para-médicaux est immense...
C'est pour cela qu'à mon sens, si l'on souhaite travailler dans le milieu médical, il faut être médecin.
http://www.professionmedecin.fr/tout-su ... raticiens/
Cela sans compter les consultations privées et autres gardes...
Ne rêvez pas trop, l'écart de revenus avec les para-médicaux est immense...
C'est pour cela qu'à mon sens, si l'on souhaite travailler dans le milieu médical, il faut être médecin.
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Re: Métier d'infirmière, préjugés et vérités
J''employais cette expression selon son acception sociologique, soit en évoquant le regard des autres sur le professionnel.Jo_bis a écrit :JLM a écrit :C'est sûr, les médecins sont des "pros" du social, nous le voyons tous les jours...JLM a écrit :regard social ;![]()
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Re: Métier d'infirmière, préjugés et vérités
Non, c'est une erreur.Jo_bis a écrit : A moins de faire de "l'abattage" et d'aligner 50 patients dans la journée, se lever à 6h pour se coucher à minuit : dans ce cas, on est pas médecin, on est travailleur à la chaine.
Un généraliste gagne cela sans faire de l'"abattage".
Pour votre information, lisez ceci, par exemple:
http://boree.eu/?tag=revenu-des-medecins
"Wem nicht zu rathen ist, dem ist auch nicht zu helfen."
- MAGNANOU
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Re: Métier d'infirmière, préjugés et vérités
quand on a choisi un métier et qu'on l'aime,on ne s'arete pas sur le salaire,il me semble.
on le prend avec ses avantages et ses inconvénients.
bien sur que je préferais gagner plus,je serais moins en galére en fin de mois!
mais je préfère etre ide et épanouie dans mon boulot,que faire un boulot qui ne me plait pas du tout uniquement pour avoir un salaire plus important.
perso,je n'envie pas du tout les médecins et leur travail ne m'intéresse pas.
on le prend avec ses avantages et ses inconvénients.
bien sur que je préferais gagner plus,je serais moins en galére en fin de mois!
mais je préfère etre ide et épanouie dans mon boulot,que faire un boulot qui ne me plait pas du tout uniquement pour avoir un salaire plus important.
perso,je n'envie pas du tout les médecins et leur travail ne m'intéresse pas.
"guerir parfois,soigner souvent,ecouter toujours" (louis pasteur)
IDE depuis 2003.
en ehpad depuis 2006.
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Re: Métier d'infirmière, préjugés et vérités
Tout à fait.
Mais à l'heure du choix c'est intéressant me semble-t-il de disposer d'une information complète.
Mais à l'heure du choix c'est intéressant me semble-t-il de disposer d'une information complète.
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