Quand une étudiante en troisième année....
Modérateurs : Modérateurs, Infirmiers
j'ai parfois l'impression, en discutant avec les étudiants de ma promotion, que quand on est en troisième année nous sommes censé avoir tout vu.
En effet certains (pas tous heureusement) IDE s'étonnent souvent : "tu n'as pas encore vu ce soin, et tu es en troisième année!!"
rien de tel pour te déstabilisé. Tu te dis alors, oh lala je suis vraiment nulle...je ne sais toujours pas faire ce soin........
et puis tu réfléchi tu regarde en arrière, ton parcours de stage et tu vois que à aucun moment tu n'as pu aborder ce soin car il ne faisait parti d'aucun de tes lieux de stages.......
je ne sais pas si tout le monde à conscience que nos parcours de stages sont tous très variés. Et parfois, meme avec plein de bonne volonté certain soins ne se présentent pas avant l'avant ou le dernier stage de troisième année. Parfois ces soins peuvent pour certaines infirmière être considéré comme de base....
dur dur d'être stagiaire en troisième année.....
En effet certains (pas tous heureusement) IDE s'étonnent souvent : "tu n'as pas encore vu ce soin, et tu es en troisième année!!"
rien de tel pour te déstabilisé. Tu te dis alors, oh lala je suis vraiment nulle...je ne sais toujours pas faire ce soin........
et puis tu réfléchi tu regarde en arrière, ton parcours de stage et tu vois que à aucun moment tu n'as pu aborder ce soin car il ne faisait parti d'aucun de tes lieux de stages.......
je ne sais pas si tout le monde à conscience que nos parcours de stages sont tous très variés. Et parfois, meme avec plein de bonne volonté certain soins ne se présentent pas avant l'avant ou le dernier stage de troisième année. Parfois ces soins peuvent pour certaines infirmière être considéré comme de base....
dur dur d'être stagiaire en troisième année.....
presque 35ans, une puce de presque 4 ans et un homme tip-top
nadiabgb a écrit : "tu n'as pas encore vu ce soin, et tu es en troisième année!!"
Ouais, comme ci elle elle avait tout vu en 3ème année, qu'en sortant du D.E elle avait acquis la pratique de tous les soins techniques possibles et imaginables, qu'elle ne rate jamais une pose de perf et qu'elle n'a jamais oublié une seule fois de donner un comprimé.
Non vraiment, ces "infirmières" là si je pouvais j'leur mettrai des claques.
Je n'ai jamais assisté à des courses de spermatozoïdes mais j'ai donné beaucoup de départs
- maxkruegger
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Je confirme que la moitié de ma promo prenait des cach'tons, certaines s'endormant même en cours...
La seule fois où j'ai essayé un 1/2 atarax 25mg j'ai dormi 12h non stop, dont 3h de cours de psy...
Depuis je n'ai plus jamais rien pris du genre ! calmé le gars !!!
Pour ma part, j'étais plutôt détendu...
(ATD naturel powaaaaa
jeune et insouciant que j'étais...)
La seule fois où j'ai essayé un 1/2 atarax 25mg j'ai dormi 12h non stop, dont 3h de cours de psy...

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Infimier D.E. de l'an 2000
Nostalgique de l'Ecrit au DE...soupirs...
Membre fondateur de la FFC
Tahiti lover
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Durden a écrit :nadiabgb a écrit : "tu n'as pas encore vu ce soin, et tu es en troisième année!!"
Non vraiment, ces "infirmières" là si je pouvais j'leur mettrai des claques.
ce qui m'épate le plus c'est que cette réflexion perdure.
que dans les années 94-97 on l'entendait c'était compréhensible, car les 2° et 3° années jusqu'en 94 ne faisaient que des stages hospitaliers
mais depuis 95 toutes les promos sortantes ont le meme cursus.
donc tout le monde sait qu'en 3 ans on ne peut pas voir tous les gestes techniques.
y a des claques qui se perdent
j'aime bien Charlie, mais Nigéria a beaucoup plus besoin de nous
#je suis Nigéria
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cedr1c a écrit :le metier demande quand même une conaissance de soi, certains y palient durant leur formation à coup de cachetons, mais ce n'est pas cela qui fait évoluer les choses, un autre travail en parralèle est peut etre à faire?
Quand à dire, la dépression, on y peut rien...on peut quand même en sortir, et cela ne se fait pas d'un coup de baguette magique.
Je reste sur les fesses de voir autant d'étudiants sous anxiolytiques, notre formation n'est pas la plus stressante, peut etre aussi que ce métier convient plus aux gens anxieux?
Peux-tu développer ta pensée lorsque tu dis "peut etre aussi que ce métier convient plus aux gens anxieux?"

Promo 2007-2010
C'est parti pour une troisième année ! Pourvu que ....
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cedr1c a écrit :Soutenir n'est pas forcément dire "oh mon pauvre, tu as raison, c'est dégueulasse", seulement:
- les études en ifsi, je les ai fait aussi, ce sont des années avec peut etre une pression constante, mais pas insurmontable, surement moins que lors d'autres études. J'y retournerais sans soucis, avec joie même puisque j'en garde un souvenir vraiment bon.
Les MSP aussi on est passé par là, c'est deux fois une demi journée dans l'année, c'est pas la mort non plus. J'ai passé beaucoup moins de temps en pratique ou en évaluation qu'en soirée étudiante.
- me dire aussi qu'énormément d'étudiants souffrent d'angoisse majeure ou de dépression, ça m'étonne aussi. Reste ceux donc qui prennent un anxiolytique à la moindre petite angoisse. N'y a t il pas une autre manière de gèrer son stress? N'est ce pas tout simplement humain et sain d'avoir des moments de pression? Faire du théatre, se produire en concert, faire du sport en compétition, etc, ne sont ils pas des mécanismes plus appropriés pour apprendre à gèrer un stress que de gober des cachetons?
La plupart du temps, il n'y a pas d'accoutumance physique, mais ce qui est inquiétant, c'est que cela soit pris comme un mode de résolution de problème, un peu comme donner un antalgique à quelqu'un sous une pierre.
- effectivement, la profession attire les bons anxieux, voire les dépressifs (les professions les plus touchées sont les instit, puis les ide dans les suivants, on va pas dire ancore que c'est les conditions de travail des instits qui sont anxiogènes).
On ne choisi pas un travail par hasard, sauf que pour nous cela peut avoir des conséquences pour le patient et pour soi même. Il faudra donc passer par une certaine introspection. Ceux qui solutionneront tout par des benzos décaleront le problème.
Ce n'est pas par hasard si une psychologue est présente a l'oral du concours.
Te lire me rassure car à en croire certains posts les 3 années d'esi sont un calvaire !


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C'est parti pour une troisième année ! Pourvu que ....
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coconut cherie a écrit :cedr1c a écrit :le metier demande quand même une conaissance de soi, certains y palient durant leur formation à coup de cachetons, mais ce n'est pas cela qui fait évoluer les choses, un autre travail en parralèle est peut etre à faire?
Quand à dire, la dépression, on y peut rien...on peut quand même en sortir, et cela ne se fait pas d'un coup de baguette magique.
Je reste sur les fesses de voir autant d'étudiants sous anxiolytiques, notre formation n'est pas la plus stressante, peut etre aussi que ce métier convient plus aux gens anxieux?
Peux-tu développer ta pensée lorsque tu dis "peut etre aussi que ce métier convient plus aux gens anxieux?"merci, tu penses que ce métier conviendrait mieux à des gens anxieux de nature ?
Pas convenir dans le sens "etre adapté", mais dans le sens "satisfaire". On choisi tous ce métier pour des raisons très personelles, bien plus profondes qu'une histoire de sous ou de possibilité d'emploi.
dino a écrit :nadiabgb a écrit :peut être que l'on pourrait déceler dès les 3 ans les enfants qui ont des prédisposition pour devenir infirmier ou infirmière.....
Ou pourquoi pas faire passer un test de QI ; ceux dont le score est inférieur à 80 ou qui ont un net penchant pour le masochisme feraient des recrues de choix
franchement Dino , en faisant de l'humour , je crois profondément et malheureusement , que vous retracez la réalité sans le vouloir !
tout ce qui est PLUS ( plus intelligent , plus humain , plus mature , plus autonome , plus expérimenté , ....plus tout ce que vous voulez ) tout ce qui est PLUS est mal venu dans les IFSI...
les formatrices , les employeurs ...(et même le gouvernement à mon avis ) préférent des élèves "standards"...qui encaissent sans remettre en question , qui agissent en docile technicien , soumis à ce qu'on vous dit être du "travail d'équipe";
une élève "domestiquée" sera une infirmière "domestiquée" , une salariée non revendiquante , une citoyenne passive...
qui osera me dire que nous ne sommes pas "domestiqués" ?
j'entend plein d'élèves racconter leurs misères ; j'entend plein d'infirmières racconter leurs misères...
heureusement que la pénurie nous permet de changer de poste facilement...!
mais au bout des quelques années....combien cessent de travailler ?
les médias s'obstinent à parler du manque d'infirmières...faisant croire que l'augmentation du nombre d'élèves remèdira à celà...
augmenter le nombre d'élèves augmentera le nombre d'abandon , soit pendant la formation , soit après quelques années de travail .
une seule fois j'ai entendu une chaine télé dire qu'il y avait plusieurs milliers d'infirmier(e)s en âge de travailler...qui ne travaillent pas .
POURQUOI NE TRAVAILLENT-ILS PLUS ?
qui se soucient d'en trouver les raisons ? ce malaise arrangerait-il plus qu'il ne dérangerait ???? !
j'ai moi aussi, malgrès ma courte expérience, le sentiment qu'il ya un malaise à tous les niveaux dans la profession.....(formation, carrière, évolution, conditions de travail, responsabilité, charge de travail.....)
besoin peut-être de changements?
Oui, Oui on recrute ailleurs, en espagne. ON importe des infirmières (bientot il y en aurat peut-être made in china)
besoin peut-être de changements?
Oui, Oui on recrute ailleurs, en espagne. ON importe des infirmières (bientot il y en aurat peut-être made in china)

presque 35ans, une puce de presque 4 ans et un homme tip-top
mareme a écrit :franchement Dino , en faisant de l'humour , je crois profondément et malheureusement , que vous retracez la réalité sans le vouloir !
tout ce qui est PLUS ( plus intelligent , plus humain , plus mature , plus autonome , plus expérimenté , ....plus tout ce que vous voulez ) tout ce qui est PLUS est mal venu dans les IFSI...
les formatrices , les employeurs ...(et même le gouvernement à mon avis
Euh...je ne pensais pas provoquer un tel écho en disant cette connerie, mais maintenant que tu le dis, c'est un fait que les étudiant(e)s sont très souvent infantilisé(e)s. Les "instituts" où ils sont formés ressemblent parfois plus à des écoles maternelles qu'à autre chose (au niveau de l'ambiance). Par ailleurs, il me semble que la profession est toujours victime (j'enfonce une porte ouverte) de son histoire ; une bonne soeur ne revendique pas, elle se dévoue sans compter et dans la mesure où elle ne fait pas de vague, tout le monde l'aime bien... Une sorte de sympathie un peu étouffante, en quelque sorte ; à mon avis, nous ne sommes pas loin du chantage affectif (inconscient, bien sûr). "Vous êtes tellement formidables ; si vous voulez continuer à l'être, ne ressemblez pas à tous ces autres fonctionnaires qui nous embêtent avec leurs grêves..."
Ca y est, j'ai dérapé ; je fais de la psychanalyse à deux balles...ça m'arrive quand je suis fatigué, excusez-moi. Bon, allez, j'arrête mon bla bla ; dites-moi à l'occasion, mareme, nadiabgb... ce que vous pensez de mon laïus. Bonne fin d'après-midi

une bonne soeur ne revendique pas , c'est sûr !
une bonne femme non plus ! et de 2 !
je me doute que vous êtes un homme , mais SVP n'allez pas penser que mes propos sont sexistes !
je suis convaincue que si cette profession était plus masculine , les choses seraient différentes !
d'ailleurs je pense que l'on devrait imposer un quotat d'hommes dans les formateurs en IFSI
ça dissuaderait peut être certaines monitrices d'abuser de leurs pouvoirs auprès des élèves , ça donnerait peut être une autre façon de travailler , une autre vision de la profession ; je pense aussi que ça nous crédibiliserait peut etre davantage auprès du "corps médical" , qui est le premier à penser que le travail infirmier est un boulot secondaire de "bonne femme"....limite dame de compagnie autorisée à pratiquer quelques menus soins...!!
je suis convaincue aussi que s'il y avait davantage d'infirmiers , le salaire et les conditions de travail seraient meilleurs ...
alors pour éviter tous ces "chamboulements"....il est préférable de privilégier la féminisation de la profession , de bien "conditionner" ( quand c'est pas casser ) les élèves....
à mon avis , le premier critère apprécié chez une infirmière n'est pas la compétence mais la docilité !
celles qui perdent leur docilité en cours de route , changent de postes , changent de secteur ...voire cessent de travailler !
il y a ausi le fait que notre médecine est assez "fermée" ; en occident , on soigne plus que l'on prévient ....( et ça c'est pas les médecins qui chercheront à le faire changer....)
or si la prévention était davantage reconnue , nous aurions là un énorme créneau...un énorme "chantier"!
minimiser la prévention , c'est maintenir la profession d'infirmièr(e) à un rang subalterne .
tout se tient !
alors faudrait pas que des élèves "originaux" se mettent à croire que les choses pourraient être différentes....
faut baisser la tête , serrer les poings , les dents...ce qu'ils peuvent et bouffer du médoc si besoin ( puisque notre société est basée sur le médicament...autant qu'ils s'y fassent tout de suite ! faut pas leur laisser le temps d'entrevoir qu'il y aurait d'autres alternatives...)
je sais c'est pas bien optimiste comme vision...mais réaliste non ?
une bonne femme non plus ! et de 2 !
je me doute que vous êtes un homme , mais SVP n'allez pas penser que mes propos sont sexistes !
je suis convaincue que si cette profession était plus masculine , les choses seraient différentes !
d'ailleurs je pense que l'on devrait imposer un quotat d'hommes dans les formateurs en IFSI
ça dissuaderait peut être certaines monitrices d'abuser de leurs pouvoirs auprès des élèves , ça donnerait peut être une autre façon de travailler , une autre vision de la profession ; je pense aussi que ça nous crédibiliserait peut etre davantage auprès du "corps médical" , qui est le premier à penser que le travail infirmier est un boulot secondaire de "bonne femme"....limite dame de compagnie autorisée à pratiquer quelques menus soins...!!
je suis convaincue aussi que s'il y avait davantage d'infirmiers , le salaire et les conditions de travail seraient meilleurs ...
alors pour éviter tous ces "chamboulements"....il est préférable de privilégier la féminisation de la profession , de bien "conditionner" ( quand c'est pas casser ) les élèves....
à mon avis , le premier critère apprécié chez une infirmière n'est pas la compétence mais la docilité !
celles qui perdent leur docilité en cours de route , changent de postes , changent de secteur ...voire cessent de travailler !
il y a ausi le fait que notre médecine est assez "fermée" ; en occident , on soigne plus que l'on prévient ....( et ça c'est pas les médecins qui chercheront à le faire changer....)
or si la prévention était davantage reconnue , nous aurions là un énorme créneau...un énorme "chantier"!
minimiser la prévention , c'est maintenir la profession d'infirmièr(e) à un rang subalterne .
tout se tient !
alors faudrait pas que des élèves "originaux" se mettent à croire que les choses pourraient être différentes....
faut baisser la tête , serrer les poings , les dents...ce qu'ils peuvent et bouffer du médoc si besoin ( puisque notre société est basée sur le médicament...autant qu'ils s'y fassent tout de suite ! faut pas leur laisser le temps d'entrevoir qu'il y aurait d'autres alternatives...)
je sais c'est pas bien optimiste comme vision...mais réaliste non ?
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mareme a écrit :une bonne soeur ne revendique pas , c'est sûr !
une bonne femme non plus ! et de 2 !
je me doute que vous êtes un homme , mais SVP n'allez pas penser que mes propos sont sexistes !
je suis convaincue que si cette profession était plus masculine , les choses seraient différentes !
d'ailleurs je pense que l'on devrait imposer un quotat d'hommes dans les formateurs en IFSI
ça dissuaderait peut être certaines monitrices d'abuser de leurs pouvoirs auprès des élèves , ça donnerait peut être une autre façon de travailler , une autre vision de la profession ; je pense aussi que ça nous crédibiliserait peut etre davantage auprès du "corps médical" , qui est le premier à penser que le travail infirmier est un boulot secondaire de "bonne femme"....limite dame de compagnie autorisée à pratiquer quelques menus soins...!!
je suis convaincue aussi que s'il y avait davantage d'infirmiers , le salaire et les conditions de travail seraient meilleurs ...
alors pour éviter tous ces "chamboulements"....il est préférable de privilégier la féminisation de la profession , de bien "conditionner" ( quand c'est pas casser ) les élèves....
à mon avis , le premier critère apprécié chez une infirmière n'est pas la compétence mais la docilité !
celles qui perdent leur docilité en cours de route , changent de postes , changent de secteur ...voire cessent de travailler !
il y a ausi le fait que notre médecine est assez "fermée" ; en occident , on soigne plus que l'on prévient ....( et ça c'est pas les médecins qui chercheront à le faire changer....)
or si la prévention était davantage reconnue , nous aurions là un énorme créneau...un énorme "chantier"!
minimiser la prévention , c'est maintenir la profession d'infirmièr(e) à un rang subalterne .
tout se tient !
alors faudrait pas que des élèves "originaux" se mettent à croire que les choses pourraient être différentes....
faut baisser la tête , serrer les poings , les dents...ce qu'ils peuvent et bouffer du médoc si besoin ( puisque notre société est basée sur le médicament...autant qu'ils s'y fassent tout de suite ! faut pas leur laisser le temps d'entrevoir qu'il y aurait d'autres alternatives...)
je sais c'est pas bien optimiste comme vision...mais réaliste non ?
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