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foliemimine
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bonjour a tous
moi j ai des fiches que j avais fais pour mes concours mais maintenant que je m en sers pu je veux bien vous les envoyer! suffit que vous me donniez vos e mails par mp et ca sera bon
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ESI CRF Nantes 2007/2010
"on est cerné par les cons... c'est vrai, mais on ne se rend pas compte à quel point" coluche
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LOTUS07
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jeudi 26 juillet 2007, mis à jour à 10:32
Emploi
Trois fois plus de chômeurs sanctionnés en 2006 LEXPRESS.fr
Selon le rapport annuel de l'Unedic cité jeudi dans les colonnes du quotidien Les Echos, 24 800 sanctions ont été prononcées en 2006 à l'encontre des demandeurs d'emploi, contre 7200 en 2005. Mais ces cas représentent une part infime -2%- du nombre total de chômeurs.
Selon le bilan annuel effectué par l'Unedic, le nombre de sanctions prononcées à l'encontre des demandeurs d'emploi a été multiplié par trois entre 2005 et 2006, annonce Les Echos dans son édition de jeudi. Soit 24 800 peines prononcées en 2006, contre 7200 l'année précédente, les cas présentant des irrégularités étant signalés par les Assedic.
Plus de sévérité mais pas plus de contrôles
La progression est liée à la réforme du système de contrôle des chômeurs d'août 2005. Cette réforme permet aux préfets de prononcer une baisse de 20% des allocations sur une durée de deux à six mois à partir de la date à laquelle est prononcée la sanction, de moitié si des abus se reproduisent. Auparavant, la suspension des allocations ne pouvait être que totale.
C'est avant tout la sévérité appliquée par les préfets pour les dossiers fautifs et non pas une hausse éventuelle des contrôles effectués par l'organisme d'assurance-chômage qui explique la hausse du nombre de sanctions. Celles-ci interviennent après des absences aux entretiens, des refus d'emploi ou encore des déclarations mensongères.
Malgré tout, la proportion demandeurs d'emploi ainsi épinglés ne représente que 2% du nombre total de demandeurs d'emploi.
Emploi
Trois fois plus de chômeurs sanctionnés en 2006 LEXPRESS.fr
Selon le rapport annuel de l'Unedic cité jeudi dans les colonnes du quotidien Les Echos, 24 800 sanctions ont été prononcées en 2006 à l'encontre des demandeurs d'emploi, contre 7200 en 2005. Mais ces cas représentent une part infime -2%- du nombre total de chômeurs.
Selon le bilan annuel effectué par l'Unedic, le nombre de sanctions prononcées à l'encontre des demandeurs d'emploi a été multiplié par trois entre 2005 et 2006, annonce Les Echos dans son édition de jeudi. Soit 24 800 peines prononcées en 2006, contre 7200 l'année précédente, les cas présentant des irrégularités étant signalés par les Assedic.
Plus de sévérité mais pas plus de contrôles
La progression est liée à la réforme du système de contrôle des chômeurs d'août 2005. Cette réforme permet aux préfets de prononcer une baisse de 20% des allocations sur une durée de deux à six mois à partir de la date à laquelle est prononcée la sanction, de moitié si des abus se reproduisent. Auparavant, la suspension des allocations ne pouvait être que totale.
C'est avant tout la sévérité appliquée par les préfets pour les dossiers fautifs et non pas une hausse éventuelle des contrôles effectués par l'organisme d'assurance-chômage qui explique la hausse du nombre de sanctions. Celles-ci interviennent après des absences aux entretiens, des refus d'emploi ou encore des déclarations mensongères.
Malgré tout, la proportion demandeurs d'emploi ainsi épinglés ne représente que 2% du nombre total de demandeurs d'emploi.
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Jeudi 26 Juillet 2007 - Mise à jour : 19h51
Nouvelle action de José Bové et de militants anti-OGM
José Bové et près de 500 militants anti-OGM ont «pollinisé» jeudi en Ardèche un champ de maïs OGM. C’est-à-dire qu’ils ont épandu du pollen de maïs traditionnel. But de la manœuvre rendre les semences OGM impropres, a-t-on appris auprès de ces militants.
L'opération s'est déroulée à Lussas «sans incident», sans que personne n'ait à entrer dans la parcelle d'environ 6.000 m2, et la gendarmerie présente sur les lieux n'est pas intervenue, selon les organisateurs.
«Nouvelle forme de sabotage»
«Jusqu'à présent ce sont les OGM qui polluent les paysans autour, et bien là pour la première fois nous allons polluer la semence en envoyant du pollen de maïs traditionnel et le semencier ne pourra rien en faire. C'est la politique de l'arroseur arrosé, on va polluer le pollueur», a déclaré José Bové, joint par téléphone.
Le semencier français Limagrain a annoncé son intention de porter plainte et qualifié l'opération de «nouvelle forme de sabotage».
Mais les organisateurs de l'opération, assurent que l'action s'est déroulée «dans un cadre légal»: personne n’est entré dans le champ. «Nous avons simplement agité des épis en fleur pour “baptiser” le champ OGM. Les pollens sont déplacés par le vent, les insectes, les humains, donc on a pas eu besoin de rentrer dans la parcelle», a affirmé Gabriel Fabregoule, responsable d'Agribio Ardèche, association de promotions des produits biologiques du département.
Nouvelle action de José Bové et de militants anti-OGM
José Bové et près de 500 militants anti-OGM ont «pollinisé» jeudi en Ardèche un champ de maïs OGM. C’est-à-dire qu’ils ont épandu du pollen de maïs traditionnel. But de la manœuvre rendre les semences OGM impropres, a-t-on appris auprès de ces militants.
L'opération s'est déroulée à Lussas «sans incident», sans que personne n'ait à entrer dans la parcelle d'environ 6.000 m2, et la gendarmerie présente sur les lieux n'est pas intervenue, selon les organisateurs.
«Nouvelle forme de sabotage»
«Jusqu'à présent ce sont les OGM qui polluent les paysans autour, et bien là pour la première fois nous allons polluer la semence en envoyant du pollen de maïs traditionnel et le semencier ne pourra rien en faire. C'est la politique de l'arroseur arrosé, on va polluer le pollueur», a déclaré José Bové, joint par téléphone.
Le semencier français Limagrain a annoncé son intention de porter plainte et qualifié l'opération de «nouvelle forme de sabotage».
Mais les organisateurs de l'opération, assurent que l'action s'est déroulée «dans un cadre légal»: personne n’est entré dans le champ. «Nous avons simplement agité des épis en fleur pour “baptiser” le champ OGM. Les pollens sont déplacés par le vent, les insectes, les humains, donc on a pas eu besoin de rentrer dans la parcelle», a affirmé Gabriel Fabregoule, responsable d'Agribio Ardèche, association de promotions des produits biologiques du département.
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Jeudi 26 Juillet 2007 - Mise à jour : 19h54
Trois fois plus de chômeurs sanctionnés par les Assedic
Les Assedic, trois fois plus sévères qu’avant? Entre 2005 et 2006, le nombre des sanctions prononcées contre les chômeurs est passé de 7.200 à 24.800, selon un bilan réalisé par l’Unedic (assurance-chômage), publié jeudi dans «les Echos». Un chiffre qui tombe alors que la CGT chômeur a dénoncé, mardi, certaines radiations «abusives». Les peines sont prononcées suite à des absences aux entretiens, à des refus d’emplois ou de contrats d’apprentissage, ou encore des déclarations mensongères.
Alors, trop strict les Assedic? Pas vraiment: les convocations pour vérifier si les chômeurs sont bien en recherche d’emploi ont baissé plus rapidement que le chômage (-13,4% contre -10,8%). Les Assedic seraient donc seulement plus efficaces, grâce à une meilleure coordination avec les préfets, saisis pour prononcer les peines, avance «les Echos». Le taux de sanctions sur les dossiers suspects atteint ainsi 57% contre 18% précédemment, ce qui traduirait un meilleur ciblage des dossiers transmis à la préfecture. Au total, les sanctions portent sur 2% des 1,7 million de chômeurs. Une preuve, pour les syndicats, que les accusations de fraude visant les chômeurs sont largement surfaites.
Suspensions graduées
A en croire aussi «les Echos», «ces suspensions […] sont plus graduées et mieux acceptées». Cette hausse du nombre de peines résulte de la réforme du contrôle des chômeurs, qui prévoit un échelonnement des peines, mise en œuvre le 21 août 2005, explique le quotidien économique.
Les préfets ont prononcé au total 41.700 sanctions en 2006 contre les bénéficiaires de tous régimes confondus (Allocation de solidarité spécifique, allocation chômage,… ). Ils appliquent à plein la batterie de peines qui leur a été donnée, allant des radiations –qui sortent les chômeurs des statistiques- à la réduction de 20 ou 50% des allocations. Les exclusions définitives sont désormais «exceptionnelles», souligne «les Echos», représentant 2,7% du total des peine.
Trois fois plus de chômeurs sanctionnés par les Assedic
Les Assedic, trois fois plus sévères qu’avant? Entre 2005 et 2006, le nombre des sanctions prononcées contre les chômeurs est passé de 7.200 à 24.800, selon un bilan réalisé par l’Unedic (assurance-chômage), publié jeudi dans «les Echos». Un chiffre qui tombe alors que la CGT chômeur a dénoncé, mardi, certaines radiations «abusives». Les peines sont prononcées suite à des absences aux entretiens, à des refus d’emplois ou de contrats d’apprentissage, ou encore des déclarations mensongères.
Alors, trop strict les Assedic? Pas vraiment: les convocations pour vérifier si les chômeurs sont bien en recherche d’emploi ont baissé plus rapidement que le chômage (-13,4% contre -10,8%). Les Assedic seraient donc seulement plus efficaces, grâce à une meilleure coordination avec les préfets, saisis pour prononcer les peines, avance «les Echos». Le taux de sanctions sur les dossiers suspects atteint ainsi 57% contre 18% précédemment, ce qui traduirait un meilleur ciblage des dossiers transmis à la préfecture. Au total, les sanctions portent sur 2% des 1,7 million de chômeurs. Une preuve, pour les syndicats, que les accusations de fraude visant les chômeurs sont largement surfaites.
Suspensions graduées
A en croire aussi «les Echos», «ces suspensions […] sont plus graduées et mieux acceptées». Cette hausse du nombre de peines résulte de la réforme du contrôle des chômeurs, qui prévoit un échelonnement des peines, mise en œuvre le 21 août 2005, explique le quotidien économique.
Les préfets ont prononcé au total 41.700 sanctions en 2006 contre les bénéficiaires de tous régimes confondus (Allocation de solidarité spécifique, allocation chômage,… ). Ils appliquent à plein la batterie de peines qui leur a été donnée, allant des radiations –qui sortent les chômeurs des statistiques- à la réduction de 20 ou 50% des allocations. Les exclusions définitives sont désormais «exceptionnelles», souligne «les Echos», représentant 2,7% du total des peine.
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matt a écrit :Des amis qui pèsent lourd?
Une étude américaine publiée par le New England Journal of Medecine affirme qu'on a plus de chance de devenir obèse en fréquentant des obèses.Environ 60 millions d'Américains sont obèses.
LCI
Sympa cet article : une étude japonaise (j'arrive pas à la retrouver) indiquait qu'on a plus de chance d'augmenter son QI lorsqu'on est entouré de gens intelligent... Comme si notre entourage pouvait nous influencer... 
IDE en cancéro à Marseille!
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IDE depuis le 26/11/10 ~Projet pro : IADE~ -_-"
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C'est le moment d'arracher l'ambroisie, pour éviter les allergies
SANTé jeu 26 juil, 11:07
Très allergisante et en plein développement, l'ambroisie doit être arrachée dès maintenant, avant sa floraison, pour éviter la survenue d'allergies dues à son pollen en août et septembre, avertit la Direction générale de la santé (DGS) jeudi dans un communiqué.
La fréquence de l'allergie à l'ambroisie est importante: selon la zone, 6 à 12% de la population exposée est allergique. Quelques grains de pollen par mètre cube d'air suffisent pour déclencher les symptômes chez les sujets sensibles. Le plus souvent il s'agit d'une rhinite allergique associant écoulement nasal, conjonctivite, symptômes respiratoires (trachéite, toux, asthme parfois sévère), mais aussi urticaire ou eczéma.
La région Rhône-Alpes est la région où la densité de l'ambroisie est la plus forte. Mais cette plante sauvage a progressivement envahi la vallée de la Saône et celle du Rhône et occupe aujourd’hui un vaste territoire en France et en Europe.
Les allergies à l'ambroisie ont coûté près de 3,4 millions d'euros en 2006 à la Caisse primaire d'assurance maladie de Vienne (Isère), qui a rendu publique début juin la première étude chiffrée sur son coût.
La DGS souligne que les conditions météorologiques actuelles, alternance de périodes chaudes et pluvieuses, favorisent le développement de cette plante, dont la floraison commence mi-août. Le meilleur moyen de prévenir la production de pollens allergisants -mais aussi de limiter sa reproduction- est de supprimer les plants avant la période de floraison, que ce soit par arrachage, fauchage ou désherbage chimique.
La période de juin-juillet est la plus propice. "L'arrachage manuel fin juillet, avant la floraison, est une technique efficace", précise la DGS qui recommande le port de gants.
En revanche les interventions en période de floraison "sont à limiter" et à réserver aux personnes non-sensibles. Le port de masques adaptés est alors indispensable.
L’ambroisie colonise surtout les terrains nus (bordure de routes, terre-pleins d'autoroutes, chantiers de construction...), mais aussi les cultures de colza, céréales, maïs et tournesol. "La lutte contre l’ambroisie est l’affaire de tous : collectivités, entreprises, agriculteurs, particuliers", souligne la DGS.
SANTé jeu 26 juil, 11:07
Très allergisante et en plein développement, l'ambroisie doit être arrachée dès maintenant, avant sa floraison, pour éviter la survenue d'allergies dues à son pollen en août et septembre, avertit la Direction générale de la santé (DGS) jeudi dans un communiqué.
La fréquence de l'allergie à l'ambroisie est importante: selon la zone, 6 à 12% de la population exposée est allergique. Quelques grains de pollen par mètre cube d'air suffisent pour déclencher les symptômes chez les sujets sensibles. Le plus souvent il s'agit d'une rhinite allergique associant écoulement nasal, conjonctivite, symptômes respiratoires (trachéite, toux, asthme parfois sévère), mais aussi urticaire ou eczéma.
La région Rhône-Alpes est la région où la densité de l'ambroisie est la plus forte. Mais cette plante sauvage a progressivement envahi la vallée de la Saône et celle du Rhône et occupe aujourd’hui un vaste territoire en France et en Europe.
Les allergies à l'ambroisie ont coûté près de 3,4 millions d'euros en 2006 à la Caisse primaire d'assurance maladie de Vienne (Isère), qui a rendu publique début juin la première étude chiffrée sur son coût.
La DGS souligne que les conditions météorologiques actuelles, alternance de périodes chaudes et pluvieuses, favorisent le développement de cette plante, dont la floraison commence mi-août. Le meilleur moyen de prévenir la production de pollens allergisants -mais aussi de limiter sa reproduction- est de supprimer les plants avant la période de floraison, que ce soit par arrachage, fauchage ou désherbage chimique.
La période de juin-juillet est la plus propice. "L'arrachage manuel fin juillet, avant la floraison, est une technique efficace", précise la DGS qui recommande le port de gants.
En revanche les interventions en période de floraison "sont à limiter" et à réserver aux personnes non-sensibles. Le port de masques adaptés est alors indispensable.
L’ambroisie colonise surtout les terrains nus (bordure de routes, terre-pleins d'autoroutes, chantiers de construction...), mais aussi les cultures de colza, céréales, maïs et tournesol. "La lutte contre l’ambroisie est l’affaire de tous : collectivités, entreprises, agriculteurs, particuliers", souligne la DGS.
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Interrogations au sujet d'une technique de traitement du cancer
SANTé ven 27 juil, 8:31
La radiothérapie avec modulation d'intensité (IMRT) dans le traitement de cancers présente moins d'effets secondaires que la radiothérapie classique mais les résultats sont incertains à plus long terme. C'est ce qui ressort d'une étude menée par le Centre fédéral d'expertise des soins de santé (KCE). Comme la dose d'irradiation totale est plus élevée dans le cas de l'IMRT que dans le cas de la radiothérapie classique, le risque de voir apparaître de nouvelles tumeurs à la suite de l'irradiation est théoriquement plus élevé, en particulier chez les enfants et les personnes jeunes, explique le KCE. Le Centre estime qu'un effort constant dans l'amélioration de l'appareillage est indispensable pour limiter ce risque.
En Belgique, 30.000 patients cancéreux sont irradiés annuellement. L'an dernier, 2.200 d'entre eux ont été traités par IMRT. Développée il y a une dizaine d'années, l'IMRT est de plus en plus répandue dans le traitement des cancers de la tête, du cou, de la prostate et du sein. Cette technique complexe permet d'irradier la tumeur avec une plus grande précision, ce qui s'avère essentiel quand des organes sensibles aux radiations se trouvent à proximité de la tumeur.
Cette nouvelle forme de radiothérapie permet d'augmenter la dose d'irradiation de la tumeur tout en réduisant les séquelles causées par l'irradiation des organes avoisinants. Par exemple, les glandes salivaires reçoivent ainsi moins d'irradiation durant le traitement des cancers de la tête et du cou, ce qui limite la sécheresse de la bouche. Le rectum est épargné dans le traitement du cancer de la prostate, ce qui réduit le risque de saignements intestinaux. Lors du traitement du cancer du sein, le risque d'irritation de la peau diminue chez une partie des patients.
SANTé ven 27 juil, 8:31
La radiothérapie avec modulation d'intensité (IMRT) dans le traitement de cancers présente moins d'effets secondaires que la radiothérapie classique mais les résultats sont incertains à plus long terme. C'est ce qui ressort d'une étude menée par le Centre fédéral d'expertise des soins de santé (KCE). Comme la dose d'irradiation totale est plus élevée dans le cas de l'IMRT que dans le cas de la radiothérapie classique, le risque de voir apparaître de nouvelles tumeurs à la suite de l'irradiation est théoriquement plus élevé, en particulier chez les enfants et les personnes jeunes, explique le KCE. Le Centre estime qu'un effort constant dans l'amélioration de l'appareillage est indispensable pour limiter ce risque.
En Belgique, 30.000 patients cancéreux sont irradiés annuellement. L'an dernier, 2.200 d'entre eux ont été traités par IMRT. Développée il y a une dizaine d'années, l'IMRT est de plus en plus répandue dans le traitement des cancers de la tête, du cou, de la prostate et du sein. Cette technique complexe permet d'irradier la tumeur avec une plus grande précision, ce qui s'avère essentiel quand des organes sensibles aux radiations se trouvent à proximité de la tumeur.
Cette nouvelle forme de radiothérapie permet d'augmenter la dose d'irradiation de la tumeur tout en réduisant les séquelles causées par l'irradiation des organes avoisinants. Par exemple, les glandes salivaires reçoivent ainsi moins d'irradiation durant le traitement des cancers de la tête et du cou, ce qui limite la sécheresse de la bouche. Le rectum est épargné dans le traitement du cancer de la prostate, ce qui réduit le risque de saignements intestinaux. Lors du traitement du cancer du sein, le risque d'irritation de la peau diminue chez une partie des patients.
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Des experts de l'ONU dénoncent un 'nettoyage ethnique' au Darfour
AFRIQUE ven 27 juil, 11:21
Le Comité des droits de l'homme de l'ONU (18 experts indépendants) a dénoncé vendredi "les milices qui se livrent à un nettoyage ethnique" au Darfour (ouest du Soudan) et l'impunité dont elles bénéficient de la part de Khartoum.
Le comité note avec inquiétude que "des violations graves, systématiques et étendues des droits de l'Homme, notamment des meurtres, des viols, des déplacements forcés et des attaques contre la population civile, ont été commis et continuent à être commis dans l'impunité la plus totale partout au Soudan, particulièrement au Darfour".
Parmi ses recommandations adressées au gouvernement soudanais, le rapport de neuf pages demande à Khartoum de "s'assurer qu'aucun soutien financier ou matériel n'est dirigé vers les milices qui se livrent à un nettoyage ethnique ou s'attaquent directement aux civils".
Le comité est chargé de veiller au respect par les Etats signataires du Pacte international sur les droits civils et politiques, l'une des principales applications juridiques de la déclaration universelle des droits de l'Homme.
Il se différencie du Conseil des droits de l'homme, qui réunit des Etats membres des Nations unies.
Le Darfour est en proie depuis le début de 2003 à une guerre civile qui a fait 200.000 morts directement ou indirectement, selon l'ONU. Le Soudan rejette cette estimation.
AFRIQUE ven 27 juil, 11:21
Le Comité des droits de l'homme de l'ONU (18 experts indépendants) a dénoncé vendredi "les milices qui se livrent à un nettoyage ethnique" au Darfour (ouest du Soudan) et l'impunité dont elles bénéficient de la part de Khartoum.
Le comité note avec inquiétude que "des violations graves, systématiques et étendues des droits de l'Homme, notamment des meurtres, des viols, des déplacements forcés et des attaques contre la population civile, ont été commis et continuent à être commis dans l'impunité la plus totale partout au Soudan, particulièrement au Darfour".
Parmi ses recommandations adressées au gouvernement soudanais, le rapport de neuf pages demande à Khartoum de "s'assurer qu'aucun soutien financier ou matériel n'est dirigé vers les milices qui se livrent à un nettoyage ethnique ou s'attaquent directement aux civils".
Le comité est chargé de veiller au respect par les Etats signataires du Pacte international sur les droits civils et politiques, l'une des principales applications juridiques de la déclaration universelle des droits de l'Homme.
Il se différencie du Conseil des droits de l'homme, qui réunit des Etats membres des Nations unies.
Le Darfour est en proie depuis le début de 2003 à une guerre civile qui a fait 200.000 morts directement ou indirectement, selon l'ONU. Le Soudan rejette cette estimation.
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Des médicaments contre le diabète doubleraient les risques cardiaques
SANTé ven 27 juil, 12:45
Deux médicaments largement utilisés pour traiter des diabètes tardifs pourraient doubler les risques d'insuffisance cardiaque, selon une étude publiée jeudi dans la revue Diabetes Care.
Cette étude dirigée par Sonal Singh, professeur en médecine interne au Centre médical baptiste de l'Université Wake Forest en Caroline du Nord, a été menée auprès de 78.000 patients soignant des diabètes de type II avec de l'Avandia ou de l'Actos. Elle montre, selon ses auteurs, que la prise de ces médicaments accroît les risques d'insuffisance cardiaque de 100% et qu'un malade sur 50 traités sur une période de 26 mois en souffrira. Depuis la mise sur le marché de ces médicaments, leurs fabricants ont mis en garde les patients à risque ou avec des antécédents cardiaques, et averti que les malades qui associent ces médicaments à de l'insuline ont davantage de risques de complication. Mais, selon l'étude publiée par Diabete Cares, ces effets négatifs se produisent aussi sur des patients ne présentant aucun risque, ainsi que sur de jeunes patients.
SANTé ven 27 juil, 12:45
Deux médicaments largement utilisés pour traiter des diabètes tardifs pourraient doubler les risques d'insuffisance cardiaque, selon une étude publiée jeudi dans la revue Diabetes Care.
Cette étude dirigée par Sonal Singh, professeur en médecine interne au Centre médical baptiste de l'Université Wake Forest en Caroline du Nord, a été menée auprès de 78.000 patients soignant des diabètes de type II avec de l'Avandia ou de l'Actos. Elle montre, selon ses auteurs, que la prise de ces médicaments accroît les risques d'insuffisance cardiaque de 100% et qu'un malade sur 50 traités sur une période de 26 mois en souffrira. Depuis la mise sur le marché de ces médicaments, leurs fabricants ont mis en garde les patients à risque ou avec des antécédents cardiaques, et averti que les malades qui associent ces médicaments à de l'insuline ont davantage de risques de complication. Mais, selon l'étude publiée par Diabete Cares, ces effets négatifs se produisent aussi sur des patients ne présentant aucun risque, ainsi que sur de jeunes patients.
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La Belgique est au-dessus de son poids idéal
SANTé ven 27 juil, 13:55
La Belgique est trop enrobée. Le "body mass index" de l'Etat est 3,9 points trop élevé, selon une étude menée par deux économistes louvanistes, Wim Moesen et Kristof De Witte, rapporte vendredi De Standaard. Selon eux, les dépenses pourraient augmenter de 2,58 pc au cours des quatre prochaines années.
Les deux économistes ont calculé une sorte de body mass index (BMI) pour les pays. Le poids est la part de richesse que les autorités d'un pays prélèvent via différents types d'impôts et dépensent ensuite. Cela s'exprime en pour cent du produit intérieur brut (PIB). Pour la Belgique, les chercheurs sont arrivés à un poids optimal de 43,66 pc du PIB. Si le score est en dessous, le gouvernement n'en fait pas assez; si le chiffre est trop élevé, le gouvernement est "trop gras". Le score obtenu pour la période entre 1988 et 2004 est de 47,5. Comme "régime", les deux économistes proposent une diminution de 2,7 points du prélèvement des autorités, pour atteindre 45,2 pc du PIB, et ce avant la fin de 2011. (TAS)
SANTé ven 27 juil, 13:55
La Belgique est trop enrobée. Le "body mass index" de l'Etat est 3,9 points trop élevé, selon une étude menée par deux économistes louvanistes, Wim Moesen et Kristof De Witte, rapporte vendredi De Standaard. Selon eux, les dépenses pourraient augmenter de 2,58 pc au cours des quatre prochaines années.
Les deux économistes ont calculé une sorte de body mass index (BMI) pour les pays. Le poids est la part de richesse que les autorités d'un pays prélèvent via différents types d'impôts et dépensent ensuite. Cela s'exprime en pour cent du produit intérieur brut (PIB). Pour la Belgique, les chercheurs sont arrivés à un poids optimal de 43,66 pc du PIB. Si le score est en dessous, le gouvernement n'en fait pas assez; si le chiffre est trop élevé, le gouvernement est "trop gras". Le score obtenu pour la période entre 1988 et 2004 est de 47,5. Comme "régime", les deux économistes proposent une diminution de 2,7 points du prélèvement des autorités, pour atteindre 45,2 pc du PIB, et ce avant la fin de 2011. (TAS)
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Les profs un peu moins malmenés cette année
«Seuls» 1.760 enseignants ont été victimes de menaces, insultes ou agressions pour l'année scolaire 2006-2007. Un chiffre en légère baisse par rapport à celui de 2005-2006 (1.774), selon la Fédération des autonomes de solidarités (FAS), qui se base sur les dossiers qui font l'objet d'une suite judiciaire (consultation d'un avocat, procès) ainsi que sur ceux réglés à l’amiable.
Cette association loi 1901 qui regroupe les Autonomes de solidarité laïques (antennes départementales) a pour mission d'assurer quelque 600.000 personnels de l'Education nationale «contre les risques du métier»: conflit, accident, mise en cause, accusation etc.
Surtout des «insultes» et des «menaces»
Sur les 1.260 dossiers faisant l'objet d'un traitement judiciaire, les «insultes et menaces restent encore parmi les délits les plus représentés» (511 dossiers, soit 40% des dossiers traités), suivies par les agressions physiques (264 dossiers, doit 21%) et la diffamation (257 dossiers, soit 20%)», écrit la FAS ce vendredi. A ceux-là, «il faut ajouter environ 500 autres dossiers qui sont, eux, réglés à l'amiable.
«Les parents restent le premier agresseur au sein de l'école (527 dossiers, soit 42%). Les élèves arrivent en deuxième position (437 dossiers, 35%)», selon la FAS. «L'école élémentaire et le collège sont les établissements les plus propices aux agressions avec respectivement 447 dossiers (35%) et 424 dossiers (34%)».
20Minutes.fr, éditions du 27/07/2007 - 16h26
«Seuls» 1.760 enseignants ont été victimes de menaces, insultes ou agressions pour l'année scolaire 2006-2007. Un chiffre en légère baisse par rapport à celui de 2005-2006 (1.774), selon la Fédération des autonomes de solidarités (FAS), qui se base sur les dossiers qui font l'objet d'une suite judiciaire (consultation d'un avocat, procès) ainsi que sur ceux réglés à l’amiable.
Cette association loi 1901 qui regroupe les Autonomes de solidarité laïques (antennes départementales) a pour mission d'assurer quelque 600.000 personnels de l'Education nationale «contre les risques du métier»: conflit, accident, mise en cause, accusation etc.
Surtout des «insultes» et des «menaces»
Sur les 1.260 dossiers faisant l'objet d'un traitement judiciaire, les «insultes et menaces restent encore parmi les délits les plus représentés» (511 dossiers, soit 40% des dossiers traités), suivies par les agressions physiques (264 dossiers, doit 21%) et la diffamation (257 dossiers, soit 20%)», écrit la FAS ce vendredi. A ceux-là, «il faut ajouter environ 500 autres dossiers qui sont, eux, réglés à l'amiable.
«Les parents restent le premier agresseur au sein de l'école (527 dossiers, soit 42%). Les élèves arrivent en deuxième position (437 dossiers, 35%)», selon la FAS. «L'école élémentaire et le collège sont les établissements les plus propices aux agressions avec respectivement 447 dossiers (35%) et 424 dossiers (34%)».
20Minutes.fr, éditions du 27/07/2007 - 16h26
Le soleil est nouveau tous les jours.
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Le préservatif du XXIe siècle
On n’arrête plus le progrès. Voici le préservatif en spray, l’invention de l’été. La trouvaille, conçue par un Allemand, Jan Krause, est encore à l’état de prototype mais devrait être commercialisée à l’été 2008.
Comment ça marche? Un aérosol vaporise sur le sexe masculin un liquide qui, quelques instants plus tard, se solidifie, promettant une protection très près du corps, si fine qu’on ne «la sent pas», assure l’inventeur.
Autre avantage: le calibrage personnalisé. «On est toujours mieux dans un costume taillé sur mesure… Le préservatif en spray fonctionne sur le même principe», explique encore Jan Krause au «Parisien». Le prêt-à-porter de la capote, pas toujours ajustée au client, serait bientôt de l’histoire ancienne. Sauf que le système est tellement près du corps qu’il ne permet pas la formation d’un réservoir.
Plusieurs problèmes se posent. Pour l’instant, le latex met une minute à sécher. Une durée un poil longuette. Le laboratoire allemand travaille pour la réduire à 10 secondes environ. Par ailleurs, pour diffuser le liquide sur la zone concernée, il faut mettre ladite zone dans un étui. En plein ébat, certains craignent que la pause vienne comme un cheveu sur la soupe.
Enfin, reste à ce préservatif futuriste de réussir les tests sanitaires et d'être homologué. En attendant, découvrez l'invention dans cette vidéo (en allemand).
DR ¦ Les aérosols du préservatif en spray
Infos pratiques:
Ce préservatif d’un nouveau genre sera vendu sur ce site. Il coûtera 15 à 25 euros pour l’aérosol et 7 à 10 euros la cartouche de latex liquide (qui permet de fabriquer entre 10 et 20 préservatifs).
20Minutes.fr, éditions du 27/07/2007 - 12h19
On n’arrête plus le progrès. Voici le préservatif en spray, l’invention de l’été. La trouvaille, conçue par un Allemand, Jan Krause, est encore à l’état de prototype mais devrait être commercialisée à l’été 2008.
Comment ça marche? Un aérosol vaporise sur le sexe masculin un liquide qui, quelques instants plus tard, se solidifie, promettant une protection très près du corps, si fine qu’on ne «la sent pas», assure l’inventeur.
Autre avantage: le calibrage personnalisé. «On est toujours mieux dans un costume taillé sur mesure… Le préservatif en spray fonctionne sur le même principe», explique encore Jan Krause au «Parisien». Le prêt-à-porter de la capote, pas toujours ajustée au client, serait bientôt de l’histoire ancienne. Sauf que le système est tellement près du corps qu’il ne permet pas la formation d’un réservoir.
Plusieurs problèmes se posent. Pour l’instant, le latex met une minute à sécher. Une durée un poil longuette. Le laboratoire allemand travaille pour la réduire à 10 secondes environ. Par ailleurs, pour diffuser le liquide sur la zone concernée, il faut mettre ladite zone dans un étui. En plein ébat, certains craignent que la pause vienne comme un cheveu sur la soupe.
Enfin, reste à ce préservatif futuriste de réussir les tests sanitaires et d'être homologué. En attendant, découvrez l'invention dans cette vidéo (en allemand).
DR ¦ Les aérosols du préservatif en spray
Infos pratiques:
Ce préservatif d’un nouveau genre sera vendu sur ce site. Il coûtera 15 à 25 euros pour l’aérosol et 7 à 10 euros la cartouche de latex liquide (qui permet de fabriquer entre 10 et 20 préservatifs).
20Minutes.fr, éditions du 27/07/2007 - 12h19
Le soleil est nouveau tous les jours.
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LittleEmbryon a écrit :matt a écrit :Des amis qui pèsent lourd?
Une étude américaine publiée par le New England Journal of Medecine affirme qu'on a plus de chance de devenir obèse en fréquentant des obèses.Environ 60 millions d'Américains sont obèses.
LCI
C'est le fameux proverbe: Dis moi avec qui tu traîne , je te dirais qui tu es....
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