Culture Générale
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Les universités françaises encore à la traîne
ANNE-NOÉMIE DORION. Publié le 04 août 2007
En légère progression, la France fait toujours figure de mauvais élève dans le classement de Shanghaï des universités mondiales.
LA PROGRESSION est modeste : en 2007, deux nouvelles universités françaises, Rennes-I et Lille-I, entrent dans le classement de Shanghaï. Bien que l'École supérieure de physique et chimie industrielles l'ait quitté, vingt-deux établissements tricolores figurent désormais dans ce recensement des 500 meilleures universités du monde, établi par l'université chinoise Jiao Tong depuis 2003.
Pour l'édition 2007, la France conserve sa place, se maintenant au 6e rang mondial, ex aequo avec le Canada. Seules quatre universités made in France font partie du top 100 : Paris-VI Pierre-et-Marie-Curie se hisse à la 6e place européenne et la 39e mondiale, gardant la tête des établissements tricolores, devant Paris-XI (52e mondiale), l'ENS-Paris (83e mondiale) et Strasbourg-I (99e mondiale), toutes mieux placées que l'année précédente. Sensible, la progression ne masque pas pour autant les piètres performances hexagonales.
Tandis que la plupart des facs françaises sélectionnées continuent de fréquenter les bas-fonds du classement, les États-Unis concentrent à eux seuls 17 des 20 meilleurs établissements, le Royaume-Uni et l'Allemagne restent loin devant l'Hexagone avec respectivement 42 et 41 facs dans le palmarès. Harvard, Stanford, Berkeley et Cambridge tiennent d'ailleurs toujours le haut du pavé.
Manque de moyens
Des résultats décevants à l'heure où le ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, Valérie Pécresse, veut redonner à l'université ses lettres de noblesse, et en faire un mode d'établissement compétitif au niveau mondial, « lieu par excellence de la construction de la connaissance ». Même les pôles de recherche et d'enseignement supérieur (Pres) créés par la loi d'avril 2006, destinée à rendre les universités plus compétitives en favorisant leur rapprochement, n'ont pas suffi à changer la donne.
Pourquoi la France est-elle incapable d'obtenir une meilleure place dans le hit-parade de l'enseignement supérieur ? « Malgré un potentiel humain extraordinaire, la France ne dépense pas assez pour son université, déplore Jean-Robert Pitte, président de Paris-IV la Sorbonne. II ne faut pas s'étonner que le dernier pays de l'OCDE en matière de coût de revient d'un étudiant soit la cinquième roue du carrosse. Ces résultats doivent attirer l'attention sur la faiblesse des financements de la formation supérieure et surtout de la recherche. Puisque même les pays émergents comme l'Inde et la Chine investissent dans ce secteur, nous risquons de finir par le payer cher. »
Néanmoins, le manque de moyens français ne semble pas être seul en cause. Principalement fondé sur les aptitudes en matière de recherche, le classement de Shanghaï ne préjuge pas forcément du niveau de formation des facs en licence et master.
En outre, le nombre de citations, de publications, ou de prix décernés, qui constituent les principaux critères de sélection, ne comptabilise pas les travaux francophones, pourtant nombreux. Ce mode d'évaluation fait la part belle aux disciplines scientifiques. « Dans les sciences humaines et sociales, les publications, souvent francophones et plus dispersées, offrent moins de visibilité. Et les prix sont moins nombreux », regrette le président Pitte. Ainsi Paris-IV, qui n'apparaît pas dans le classement de Shanghaï, est arrivée 16e dans le classement annuel par discipline du Times.
La particularité de l'enseignement supérieur français handicape aussi les établissements universitaires. Davantage enclins à se revendiquer des grandes écoles que des universités, alors que c'est dans ces dernières qu'ils effectuent leurs travaux, les chercheurs font baisser artificiellement le rendement de publication des facs. Une manie qui agace Jean-Robert Pitte. « Ce n'est pourtant pas dans les grandes écoles que réside le vrai potentiel de dynamisme et d'imagination ! »
ANNE-NOÉMIE DORION. Publié le 04 août 2007
En légère progression, la France fait toujours figure de mauvais élève dans le classement de Shanghaï des universités mondiales.
LA PROGRESSION est modeste : en 2007, deux nouvelles universités françaises, Rennes-I et Lille-I, entrent dans le classement de Shanghaï. Bien que l'École supérieure de physique et chimie industrielles l'ait quitté, vingt-deux établissements tricolores figurent désormais dans ce recensement des 500 meilleures universités du monde, établi par l'université chinoise Jiao Tong depuis 2003.
Pour l'édition 2007, la France conserve sa place, se maintenant au 6e rang mondial, ex aequo avec le Canada. Seules quatre universités made in France font partie du top 100 : Paris-VI Pierre-et-Marie-Curie se hisse à la 6e place européenne et la 39e mondiale, gardant la tête des établissements tricolores, devant Paris-XI (52e mondiale), l'ENS-Paris (83e mondiale) et Strasbourg-I (99e mondiale), toutes mieux placées que l'année précédente. Sensible, la progression ne masque pas pour autant les piètres performances hexagonales.
Tandis que la plupart des facs françaises sélectionnées continuent de fréquenter les bas-fonds du classement, les États-Unis concentrent à eux seuls 17 des 20 meilleurs établissements, le Royaume-Uni et l'Allemagne restent loin devant l'Hexagone avec respectivement 42 et 41 facs dans le palmarès. Harvard, Stanford, Berkeley et Cambridge tiennent d'ailleurs toujours le haut du pavé.
Manque de moyens
Des résultats décevants à l'heure où le ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, Valérie Pécresse, veut redonner à l'université ses lettres de noblesse, et en faire un mode d'établissement compétitif au niveau mondial, « lieu par excellence de la construction de la connaissance ». Même les pôles de recherche et d'enseignement supérieur (Pres) créés par la loi d'avril 2006, destinée à rendre les universités plus compétitives en favorisant leur rapprochement, n'ont pas suffi à changer la donne.
Pourquoi la France est-elle incapable d'obtenir une meilleure place dans le hit-parade de l'enseignement supérieur ? « Malgré un potentiel humain extraordinaire, la France ne dépense pas assez pour son université, déplore Jean-Robert Pitte, président de Paris-IV la Sorbonne. II ne faut pas s'étonner que le dernier pays de l'OCDE en matière de coût de revient d'un étudiant soit la cinquième roue du carrosse. Ces résultats doivent attirer l'attention sur la faiblesse des financements de la formation supérieure et surtout de la recherche. Puisque même les pays émergents comme l'Inde et la Chine investissent dans ce secteur, nous risquons de finir par le payer cher. »
Néanmoins, le manque de moyens français ne semble pas être seul en cause. Principalement fondé sur les aptitudes en matière de recherche, le classement de Shanghaï ne préjuge pas forcément du niveau de formation des facs en licence et master.
En outre, le nombre de citations, de publications, ou de prix décernés, qui constituent les principaux critères de sélection, ne comptabilise pas les travaux francophones, pourtant nombreux. Ce mode d'évaluation fait la part belle aux disciplines scientifiques. « Dans les sciences humaines et sociales, les publications, souvent francophones et plus dispersées, offrent moins de visibilité. Et les prix sont moins nombreux », regrette le président Pitte. Ainsi Paris-IV, qui n'apparaît pas dans le classement de Shanghaï, est arrivée 16e dans le classement annuel par discipline du Times.
La particularité de l'enseignement supérieur français handicape aussi les établissements universitaires. Davantage enclins à se revendiquer des grandes écoles que des universités, alors que c'est dans ces dernières qu'ils effectuent leurs travaux, les chercheurs font baisser artificiellement le rendement de publication des facs. Une manie qui agace Jean-Robert Pitte. « Ce n'est pourtant pas dans les grandes écoles que réside le vrai potentiel de dynamisme et d'imagination ! »
Le soleil est nouveau tous les jours.
Héraclite d'Ephèse
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La délicate surveillance des « prédateurs » dissimulés sous de fausses identités sur la Toile M. D.. Publié le 04 août 2007
Un minimum de prudence et une bonne dose de bon sens. Le rempart face aux dérives criminelles de rencontres réalisées par le biais d'Internet tient sans doute en ces deux conseils simples. Mais plusieurs affaires ont déjà conduit au renforcement des moyens de surveillance.
Un office central de la police judiciaire est chargé de détecter les comportements illégaux. Son champ d'action porte principalement sur les échanges d'images pédophiles. La veille sur le réseau, autrement dit des « cyber-patrouilles », a aussi vocation à se développer. Il s'agit de repérer les participants aux forums qui trichent sur leur identité, leur âge ou qui ont manifestement une intention litigieuse.
Les simples particuliers peuvent d'ailleurs signaler leurs soupçons en temps réel sur le site internet www.internet-mineurs.gouv.fr. Si les suspicions sont avérées, il est techniquement aisé de localiser l'internaute concerné. La réalité quotidienne est bien plus complexe. Confrontés au flot grandissant et multiforme des échanges épistolaires sur Internet (tchat ou site de rencontres grand public), les professionnels avouent qu'un véritable suivi est irréalisable. Les préconisations sont d'avantage adressées aux adolescents : « Ne donne aucune information sur toi ou sur ta famille (nom, téléphone, adresse). Et si tu envisages de rencontrer quelqu'un que tu as connu en ligne, vas-y avec un ami, ou plutôt avec tes parents. » Alarmisme ou mise en garde inconciliable avec les volontés d'indépendances de l'adolescence ? Un magistrat rétorque que dans l'affaire survenue cette semaine « le risque de dérapage encore plus grand était réel et que, comme absolument personne ne savait où se trouvait la jeune femme, nous avons eu de la chance de la sauver ».
Un minimum de prudence et une bonne dose de bon sens. Le rempart face aux dérives criminelles de rencontres réalisées par le biais d'Internet tient sans doute en ces deux conseils simples. Mais plusieurs affaires ont déjà conduit au renforcement des moyens de surveillance.
Un office central de la police judiciaire est chargé de détecter les comportements illégaux. Son champ d'action porte principalement sur les échanges d'images pédophiles. La veille sur le réseau, autrement dit des « cyber-patrouilles », a aussi vocation à se développer. Il s'agit de repérer les participants aux forums qui trichent sur leur identité, leur âge ou qui ont manifestement une intention litigieuse.
Les simples particuliers peuvent d'ailleurs signaler leurs soupçons en temps réel sur le site internet www.internet-mineurs.gouv.fr. Si les suspicions sont avérées, il est techniquement aisé de localiser l'internaute concerné. La réalité quotidienne est bien plus complexe. Confrontés au flot grandissant et multiforme des échanges épistolaires sur Internet (tchat ou site de rencontres grand public), les professionnels avouent qu'un véritable suivi est irréalisable. Les préconisations sont d'avantage adressées aux adolescents : « Ne donne aucune information sur toi ou sur ta famille (nom, téléphone, adresse). Et si tu envisages de rencontrer quelqu'un que tu as connu en ligne, vas-y avec un ami, ou plutôt avec tes parents. » Alarmisme ou mise en garde inconciliable avec les volontés d'indépendances de l'adolescence ? Un magistrat rétorque que dans l'affaire survenue cette semaine « le risque de dérapage encore plus grand était réel et que, comme absolument personne ne savait où se trouvait la jeune femme, nous avons eu de la chance de la sauver ».
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Héraclite d'Ephèse
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FIEVRE APHTEUSE
La France suspend les importations
d'animaux britanniques
| 04.08.2007 | 12:32
Un foyer de fièvre aphteuse a été détecté dans un élevage bovin au sud de l'Angleterre.Le Premier ministre britannique Gordon Brown présidera ce samedi une réunion de crise à Londres. La France suspend les importations d'animaux britanniques.
Un élevage de bovins dans le nord de la Grande-Bretagne, en 2001 lors d'une précédente épidémie de fièvre aphteuse (AFP)
Les importations d'ovins, bovins, caprins et porcins en provenance de Grande-Bretagne sont suspendus depuis la confirmation vendredi soir d'un foyer de fièvre aphteuse dans un élevage bovin du Surrey dans le sud du Royaume-Uni, a annoncé samedi 4 août le ministère français de l'Agriculture.
Ces importations sont suspendues en France et tous les pays de l'Union européenne jusqu'à nouvel ordre, conformément aux règlements communautaires.
"Un haut degré de vigilance"
Les services départementaux et vétérinaires français, selon un communiqué du ministère de l'Agriculture, ont été chargés de recenser tous les bovins, ovins, caprins ou porcins introduits en France au cours des 10 derniers jours en provenance du Royaume-Uni.
Les exploitations qui les ont reçus feront l'objet d'une visite par les vétérinaires sanitaires "en vue d'écarter toute suspicion clinique de fièvre aphteuse". Aucun cas n'a été recensé en France, selon le ministère. Parallèlement, tous les regroupements et mouvements d'animaux, sauf ceux destinés aux abattoirs, ont été interdits dans l'immédiat.
"Il est instamment demandé aux professionnels de l'élevage de maintenir un haut degré de vigilance vis à vis de tout signe clinique suspect. Ce dispositif sera régulièrement adapté en fonction de l'évolution de la situation au Royaume-Uni", ajoute le communiqué.
Sept millions d'animaux abattus en 2001
Les autorités britanniques ont imposé une zone de protection de trois kilomètres et une zone de surveillance de dix kilomètres autour de la ferme située près de Guilford (Surrey).
Une épidémie de fièvre aphteuse avait frappé la Grande-Bretagne en 2001, conduisant à l'abattage de sept millions d'animaux. Elle avait coûté au pays huit millions de livres au total. La maladie avait également été signalée à l'époque en Irlande, aux Pays-Bas et en France, où des mesures de confinement avaient empêché la propagation de la maladie.
La Grande-Bretagne mieux armée
Selon Hugh Pennington, microbiologiste de renom, la Grande-Bretagne est aujourd'hui mieux armée pour faire face à une épidémie.
"Nous avons les structures administratives, nous avons les infrastructures et nous avons les compétences scientifiques", a-t-il déclaré sur la BBC."Toutes ces choses ont été expérimentées et manquaient en 2001. Des leçons ont été tirées et je suis certain que nous ferons beaucoup, beaucoup mieux cette fois", a-t-il ajouté.
Avant 2001, la dernière épidémie de fièvre aphteuse en Grande-Bretagne datait de 1967: 440.000 animaux avaient été abattus. (AP)
La France suspend les importations
d'animaux britanniques
| 04.08.2007 | 12:32
Un foyer de fièvre aphteuse a été détecté dans un élevage bovin au sud de l'Angleterre.Le Premier ministre britannique Gordon Brown présidera ce samedi une réunion de crise à Londres. La France suspend les importations d'animaux britanniques.
Un élevage de bovins dans le nord de la Grande-Bretagne, en 2001 lors d'une précédente épidémie de fièvre aphteuse (AFP)
Les importations d'ovins, bovins, caprins et porcins en provenance de Grande-Bretagne sont suspendus depuis la confirmation vendredi soir d'un foyer de fièvre aphteuse dans un élevage bovin du Surrey dans le sud du Royaume-Uni, a annoncé samedi 4 août le ministère français de l'Agriculture.
Ces importations sont suspendues en France et tous les pays de l'Union européenne jusqu'à nouvel ordre, conformément aux règlements communautaires.
"Un haut degré de vigilance"
Les services départementaux et vétérinaires français, selon un communiqué du ministère de l'Agriculture, ont été chargés de recenser tous les bovins, ovins, caprins ou porcins introduits en France au cours des 10 derniers jours en provenance du Royaume-Uni.
Les exploitations qui les ont reçus feront l'objet d'une visite par les vétérinaires sanitaires "en vue d'écarter toute suspicion clinique de fièvre aphteuse". Aucun cas n'a été recensé en France, selon le ministère. Parallèlement, tous les regroupements et mouvements d'animaux, sauf ceux destinés aux abattoirs, ont été interdits dans l'immédiat.
"Il est instamment demandé aux professionnels de l'élevage de maintenir un haut degré de vigilance vis à vis de tout signe clinique suspect. Ce dispositif sera régulièrement adapté en fonction de l'évolution de la situation au Royaume-Uni", ajoute le communiqué.
Sept millions d'animaux abattus en 2001
Les autorités britanniques ont imposé une zone de protection de trois kilomètres et une zone de surveillance de dix kilomètres autour de la ferme située près de Guilford (Surrey).
Une épidémie de fièvre aphteuse avait frappé la Grande-Bretagne en 2001, conduisant à l'abattage de sept millions d'animaux. Elle avait coûté au pays huit millions de livres au total. La maladie avait également été signalée à l'époque en Irlande, aux Pays-Bas et en France, où des mesures de confinement avaient empêché la propagation de la maladie.
La Grande-Bretagne mieux armée
Selon Hugh Pennington, microbiologiste de renom, la Grande-Bretagne est aujourd'hui mieux armée pour faire face à une épidémie.
"Nous avons les structures administratives, nous avons les infrastructures et nous avons les compétences scientifiques", a-t-il déclaré sur la BBC."Toutes ces choses ont été expérimentées et manquaient en 2001. Des leçons ont été tirées et je suis certain que nous ferons beaucoup, beaucoup mieux cette fois", a-t-il ajouté.
Avant 2001, la dernière épidémie de fièvre aphteuse en Grande-Bretagne datait de 1967: 440.000 animaux avaient été abattus. (AP)
Courage à tous et à toutes !
dernière ligne droite, on y croit tous ! No stress que de la motivation !!!
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LA REUNION
Un garçon de 12 ans
enlevé à Saint-Denis
| 04.08.2007 | 09:30
Le plan alerte enlèvement a été déclenché après le rapt d'Alexandre vendredi soir, au domicile de ses parents. Le garçon aurait été enlevé par des hommes cagoulés, membres d'une secte.
Le plan alerte enlèvement a été déclenché vendredi 3 août au soir à 22h (18h GMT) après le rapt d'un garçon de 12 ans au domicile de ses parents à Saint-Denis (Réunion).
Le petit Alexandre a été enlevé vers 19h30 (15h30 GMT). D'après le message diffusé dans les médias locaux, il est de race blanche, a les cheveux châtains et mesure 1,50m. Il porte un tee-shirt blanc avec le logo Nike, un pantalon noir et des baskets rouge et blanc.
Les voisins de la famille ont livré leur témoignage en direct sur Radio Freedom. "Quatre ou cinq hommes encagoulés ont fait irruption dans l'appartement et emmené le petit dans une voiture blanche", ont-ils raconté sur cette station locale. Le numéro d'une plaque d'immatriculation a été donné à l'antenne.
Secte
D'autres témoignages ont plus tard fait état d'un véhicule abandonné, en flammes, à l'entrée de Saint-Leu, à une soixantaine de kilomètres de Saint-Denis. Les ravisseurs auraient emprunté une autre voiture, de couleur sombre.
La victime du rapt, le jeune Alexandre, avait déjà disparu durant une nuit, le 10 juillet dernier à Sainte-Suzanne où il résidait, avant d'être retrouvé sain et sauf le lendemain matin près de la gendarmerie. Selon l'enquête, il avait rejoint les membres d'une secte dont le gourou est recherché depuis quatre ans. Ce dernier, Juliano Verbard, 25 ans, qui se fait appeller "Petit lys d'amour" a été condamné, par défaut, par la cour d'assises de la Réunion à 15 ans de réclusion criminelle pour le viol d'un enfant de 13 ans, le 23 octobre 2006. En 2001, il s'était fait connaître à Saint-Paul en affirmant que la vierge se présentait à lui une fois par mois à son domicile. Un an plus tard, il avait crée une secte "Coeur douloureux et immaculé de Marie" qui avait attiré de nombreux adeptes dont l'enfant victime du viol. (avec AP)
Un garçon de 12 ans
enlevé à Saint-Denis
| 04.08.2007 | 09:30
Le plan alerte enlèvement a été déclenché après le rapt d'Alexandre vendredi soir, au domicile de ses parents. Le garçon aurait été enlevé par des hommes cagoulés, membres d'une secte.
Le plan alerte enlèvement a été déclenché vendredi 3 août au soir à 22h (18h GMT) après le rapt d'un garçon de 12 ans au domicile de ses parents à Saint-Denis (Réunion).
Le petit Alexandre a été enlevé vers 19h30 (15h30 GMT). D'après le message diffusé dans les médias locaux, il est de race blanche, a les cheveux châtains et mesure 1,50m. Il porte un tee-shirt blanc avec le logo Nike, un pantalon noir et des baskets rouge et blanc.
Les voisins de la famille ont livré leur témoignage en direct sur Radio Freedom. "Quatre ou cinq hommes encagoulés ont fait irruption dans l'appartement et emmené le petit dans une voiture blanche", ont-ils raconté sur cette station locale. Le numéro d'une plaque d'immatriculation a été donné à l'antenne.
Secte
D'autres témoignages ont plus tard fait état d'un véhicule abandonné, en flammes, à l'entrée de Saint-Leu, à une soixantaine de kilomètres de Saint-Denis. Les ravisseurs auraient emprunté une autre voiture, de couleur sombre.
La victime du rapt, le jeune Alexandre, avait déjà disparu durant une nuit, le 10 juillet dernier à Sainte-Suzanne où il résidait, avant d'être retrouvé sain et sauf le lendemain matin près de la gendarmerie. Selon l'enquête, il avait rejoint les membres d'une secte dont le gourou est recherché depuis quatre ans. Ce dernier, Juliano Verbard, 25 ans, qui se fait appeller "Petit lys d'amour" a été condamné, par défaut, par la cour d'assises de la Réunion à 15 ans de réclusion criminelle pour le viol d'un enfant de 13 ans, le 23 octobre 2006. En 2001, il s'était fait connaître à Saint-Paul en affirmant que la vierge se présentait à lui une fois par mois à son domicile. Un an plus tard, il avait crée une secte "Coeur douloureux et immaculé de Marie" qui avait attiré de nombreux adeptes dont l'enfant victime du viol. (avec AP)
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dernière ligne droite, on y croit tous ! No stress que de la motivation !!!
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pour ou contre internet ?
COLERE
Quand Elton John propose
de fermer Internet
| 03.08.2007 | 17:19
"L'Internet fait que les gens ne sortent plus pour se rencontrer entre eux, et pour créer des choses", affirme, en outre, le chanteur britannique dans une longue diatribe contre la toile
Elton John (Reuters)
Sir Elton John présuppose peut-être un peu trop du pouvoir conféré par son annoblissement. Dans une interview au tabloïd britannique The Sun daté du vendredi 3 août, le chanteur anglais lance une violente diatribe contre Internet : "L'Internet fait que les gens ne sortent plus pour se rencontrer entre eux, et pour créer des choses. Au lieu de ça, ils restent assis chez eux à faire leurs propres enregistrements, ce qui peut être bien parfois, mais cela ne favorise pas une vision artistique à long terme". Et de poursuivre : "Je veux dire, sortez, communiquez. Sortez dans la rue, marchez et protestez au lieu de rester assis chez vous à tenir un blog". Puis, le lord conclut son monologue "internetophobe" par : "Je pense que ce serait une expérience formidable de fermer tout l'Internet pendant cinq ans pour voir quelle sorte d'art les gens produiront pendant ce laps de temps".
"Trop de technologie"
Dans la même interview, Elton John, 60 ans, en profite pour se décrire comme "le plus grand technophobe de tous les temps" et faire un tour d'horizon de ses maigres biens : "Je n'ai pas de téléphone portable, ni d'iPod, ni quoi que ce soit de ce genre". Toutefois, sans doute pour se rassurer, il se convainc lui-même : "Il y a trop de technologie disponible !".
Petit rappel : à l'occasion de son soixantième anniversaire, Elton John avait mis en ligne la totalité de son répertoire, soit 37 albums, à télécharger.
Quand Elton John propose
de fermer Internet
| 03.08.2007 | 17:19
"L'Internet fait que les gens ne sortent plus pour se rencontrer entre eux, et pour créer des choses", affirme, en outre, le chanteur britannique dans une longue diatribe contre la toile
Elton John (Reuters)
Sir Elton John présuppose peut-être un peu trop du pouvoir conféré par son annoblissement. Dans une interview au tabloïd britannique The Sun daté du vendredi 3 août, le chanteur anglais lance une violente diatribe contre Internet : "L'Internet fait que les gens ne sortent plus pour se rencontrer entre eux, et pour créer des choses. Au lieu de ça, ils restent assis chez eux à faire leurs propres enregistrements, ce qui peut être bien parfois, mais cela ne favorise pas une vision artistique à long terme". Et de poursuivre : "Je veux dire, sortez, communiquez. Sortez dans la rue, marchez et protestez au lieu de rester assis chez vous à tenir un blog". Puis, le lord conclut son monologue "internetophobe" par : "Je pense que ce serait une expérience formidable de fermer tout l'Internet pendant cinq ans pour voir quelle sorte d'art les gens produiront pendant ce laps de temps".
"Trop de technologie"
Dans la même interview, Elton John, 60 ans, en profite pour se décrire comme "le plus grand technophobe de tous les temps" et faire un tour d'horizon de ses maigres biens : "Je n'ai pas de téléphone portable, ni d'iPod, ni quoi que ce soit de ce genre". Toutefois, sans doute pour se rassurer, il se convainc lui-même : "Il y a trop de technologie disponible !".
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- aneso81
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- Localisation : Dans les nuages!!!xD
Le coiffeur faisait des propositions indécentes
Le coiffeur faisait des propositions indécentes dans son arrière-boutique
Une coiffeuse coupe les cheveux d'une cliente, le 14 décembre 2005 dans un salon de coiffure à Lille
Un visiteur commercial qui s'était présenté jeudi dans un salon de coiffure strasbourgeois a eu une drôle de surprise quand, invité dans l'arrière-boutique par le coiffeur, ce dernier s'est dévêtu et lui a fait des propositions indécentes, a-t-on appris de source policière.
L'homme s'est en outre livré à une séance d'onanisme devant son visiteur, qui est resté de marbre et a porté plainte.
Le coiffeur aguicheur, un quinquagénaire, a reconnu les faits et écopé d'un rappel à la loi.
Je sais que cela e servira à rien pour le concours mais j'ai trouvé cette histoire très aberrante!!
Une coiffeuse coupe les cheveux d'une cliente, le 14 décembre 2005 dans un salon de coiffure à Lille
Un visiteur commercial qui s'était présenté jeudi dans un salon de coiffure strasbourgeois a eu une drôle de surprise quand, invité dans l'arrière-boutique par le coiffeur, ce dernier s'est dévêtu et lui a fait des propositions indécentes, a-t-on appris de source policière.
L'homme s'est en outre livré à une séance d'onanisme devant son visiteur, qui est resté de marbre et a porté plainte.
Le coiffeur aguicheur, un quinquagénaire, a reconnu les faits et écopé d'un rappel à la loi.
Je sais que cela e servira à rien pour le concours mais j'ai trouvé cette histoire très aberrante!!
Puéricultrice
Vis un rêve éveillée
Vis un rêve éveillée
coucou
coucou,
merci pour votre soutien, il est vrai qu'il faut que j'arrête de stresser et de m'affoler.
Pour mes fiches de culture générale, je vais les faire avec le livre masson et les deux autres livres je vais les lire et si des choses me semblent oublier je les rajouterai sur mes fiches par la suite mais d'abord je me fixe sur le masson.
Et puis je vais m'entrainer aux tests psychotechniques un peu tous les jours j'ai le temps jusqu'à mars 2008
Voilà merci
merci pour votre soutien, il est vrai qu'il faut que j'arrête de stresser et de m'affoler.
Pour mes fiches de culture générale, je vais les faire avec le livre masson et les deux autres livres je vais les lire et si des choses me semblent oublier je les rajouterai sur mes fiches par la suite mais d'abord je me fixe sur le masson.
Et puis je vais m'entrainer aux tests psychotechniques un peu tous les jours j'ai le temps jusqu'à mars 2008
Voilà merci
HAUTE-GARONNE
L'homme retranché chez lui
s'est suicidé
05.08.2007 | 11:27
L'homme de 36 ans, armé d'un fusil, s'était retranché chez lui samedi soir. Le corps d'un autre homme, tué par balles, a été découvert à proximité.
Le forcené qui avait tiré des coups de feu après s'être retranché samedi soir dans son appartement à Saint-Clar-de-Rivière (Haute-Garonne) s'est suicidé par balles, a annoncé dimanche 5 août la gendarmerie, qui a précisé que le corps d'un homme également tué par balles avait été retrouvé à proximité.
Des hommes du Groupe d'Intervention de la gendarmerie nationale (GIGN), arrivés de Paris vers 5h00 dimanche, ont pénétré peu après 10 heures dans l'appartement du forcené et ont retrouvé son corps sans vie dans une chambre, précise-t-on de même source.
Odeur de gaz
Ils ont également retrouvé un homme tué par balles dont le corps gisait à quelques mètres de la maison, réhabilitée en plusieurs appartements.
Le forcené avait violemment agressé sa soeur, avec qui il vivait, samedi vers 22h00, avant de se retrancher chez lui et de tirer de "nombreux coups de feu", selon les forces de l'ordre.
Près de 70 personnes résidant dans des appartements situés dans la maison du forcené et dans les maisons et habitations voisines avaient été évacuées tôt dimanche matin par mesure de précaution à la suite de la détection d'une odeur de gaz dans le quartier.
L'homme retranché chez lui
s'est suicidé
05.08.2007 | 11:27
L'homme de 36 ans, armé d'un fusil, s'était retranché chez lui samedi soir. Le corps d'un autre homme, tué par balles, a été découvert à proximité.
Le forcené qui avait tiré des coups de feu après s'être retranché samedi soir dans son appartement à Saint-Clar-de-Rivière (Haute-Garonne) s'est suicidé par balles, a annoncé dimanche 5 août la gendarmerie, qui a précisé que le corps d'un homme également tué par balles avait été retrouvé à proximité.
Des hommes du Groupe d'Intervention de la gendarmerie nationale (GIGN), arrivés de Paris vers 5h00 dimanche, ont pénétré peu après 10 heures dans l'appartement du forcené et ont retrouvé son corps sans vie dans une chambre, précise-t-on de même source.
Odeur de gaz
Ils ont également retrouvé un homme tué par balles dont le corps gisait à quelques mètres de la maison, réhabilitée en plusieurs appartements.
Le forcené avait violemment agressé sa soeur, avec qui il vivait, samedi vers 22h00, avant de se retrancher chez lui et de tirer de "nombreux coups de feu", selon les forces de l'ordre.
Près de 70 personnes résidant dans des appartements situés dans la maison du forcené et dans les maisons et habitations voisines avaient été évacuées tôt dimanche matin par mesure de précaution à la suite de la détection d'une odeur de gaz dans le quartier.
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LA REUNION
Un des ravisseurs d'Alexandre
en garde à vue
| 05.08.2007 | 11:27
Le garçon âgé de 12 ans a été enlevé à son domicile de Saint-Denis de La Réunion, par quatre hommes cagoulés, membres d'une secte.
Un des quatre ravisseurs présumés du jeune Alexandre enlevé vendredi à la Réunion par les membres présumés d'une secte a été arrêté et placé en garde à vue, a-t-on appris dimanche 5 août auprès de la police.
Le suspect a été interpellé chez un adepte de la secte samedi.
"Après un long interrogatoire, il a avoué faire partie des ravisseurs et a donné un lieu de cache, mais sur place on n'a rien trouvé" a déclaré le commissaire François Perrault, directeur départemental de la police. "Il est vraisemblable qu'ils y étaient" auparavant, a-t-il ajouté.
Trois autres personnes, adeptes de la secte, ont également été interpellées samedi dont une femme ayant loué la voiture ayant servi à l'enlèvement du jeune Alexandre.
Les recherches et les perquisitions se poursuivaient dimanche pour tenter de retrouver Alexandre, 12 ans.
Déjà victime d'un rapt
Le jeune Alexandre a été enlevé vers 19h30, vendredi soir par un groupe d'hommes cagoulés, au domicile de ses parents en plein centre-ville de Saint-Denis sur l'île de La Réunion.. La piste "la plus sérieuse" est celle de la secte du "Coeur douloureux et immaculé de Marie", a précisé à l'Associated Press le commissaire François Perrault du commissariat de la sécurité publique à Saint-Denis. Les premières perquisitions "n'ont rien donné", a-t-il ajouté.
L'enfant, enlevé vendredi soir, avait déjà fait l'objet d'un rapt le 9 juillet dernier. Il avait été retrouvé près de la gendarmerie au bout d'une vingtaine d'heures. L'enquête de gendarmerie avait alors conduit à l'incarcération d'un membre de la secte du "Coeur douloureux et immaculé de Marie". "Cette personne a été réentendue ce (samedi) matin", selon le commissaire Perrault.
"Petit lys d'amour"
Cette personne "avait rencontré la famille de l'enfant à l'église", a précisé le procureur de la République de Saint-Denis Dominique Audureau, ajoutant que la piste de Juliano Verbard, le chef de la secte "ne pouvait être écartée". Surnommé "Petit lys d'amour", cet homme d'environ 25 ans qui dit que la Vierge lui est apparue, est en cavale à La Réunion depuis trois ans. Il a été condamné par défaut à 15 ans de réclusion criminelle en octobre 2006 pour le viol et l'agression sexuelle de deux garçons mineurs.
L'évêque de La Réunion, Mgr Gilbert Aubry, a adressé un message télévisé enjoignant au principal suspect de se rendre. "Juliano, cesse de faire le mal, rends-toi à la justice". L'évêque a invoqué "le devoir de conscience" des Réunionnais leur enjoignant de ne pas "cacher" les ravisseurs, mais d'aider les autorités. Le "Coeur douloureux et immaculé de Marie" existe depuis 2002 et Mgr Aubry avait condamné quelques mois après son apparition les dérives sectaires du mouvement.
Le plan alerte enlèvement a été déclenché vendredi soir. Les ravisseurs présumés, "cinq hommes, porteurs d'armes blanches", selon le commissaire Perrault, avaient pris la fuite par l'ouest de l'île. Leur véhicule a été retrouvé abandonné en flammes à Saint-Leu par la gendarmerie, deux heures après le rapt.
Cellule de crise
Le deuxième véhicule utilisé par les ravisseurs présumés a ensuite été retrouvé renversé "sur le toit" à Petite-France dans les hauts de Saint-Paul, selon le commissaire principal Jean-François Lebon de la police judiciaire de Saint-Denis. "Il n'est pas pour autant accidenté, son propriétaire, identifié comme membre de la secte, a été placé en garde à vue", a-t-il ajouté.
Selon le commissaire Lebon, l'enquête s'annonce "très difficile". "Les personnes entendues sont des proches de la secte qui sont très conditionnées et ne délivrent que peu d'informations", a-t-il expliqué.
Par ailleurs, les autorités ont lancé un appel aux propriétaires de l'île ayant loué leur maison ces quinze derniers jours, à qui le loyer aurait été réglé en espèces et dont l'habitation aurait été transformée pour se protéger des regards. "Les gendarmes ont observé Juliano Verbard qui choisit toujours un lieu isolé, souvent dans les hauts avec beaucoup de chiens et d'où il peut s'enfuir rapidement", a expliqué le commissaire Lebon.
Le secrétaire d'Etat à l'Outre-Mer, Christian Estrosi, a fait savoir samedi qu'il était "informé, heure par heure, de l'évolution de cette affaire" et avait demandé au préfet "de mettre en place une cellule de crise afin que tout les moyens disponibles (police, gendarmerie nationale, douanes, office national des eaux et forêts et police municipale) soient mis au service des enquêteurs", selon un communiqué. (avec AP)
Un des ravisseurs d'Alexandre
en garde à vue
| 05.08.2007 | 11:27
Le garçon âgé de 12 ans a été enlevé à son domicile de Saint-Denis de La Réunion, par quatre hommes cagoulés, membres d'une secte.
Un des quatre ravisseurs présumés du jeune Alexandre enlevé vendredi à la Réunion par les membres présumés d'une secte a été arrêté et placé en garde à vue, a-t-on appris dimanche 5 août auprès de la police.
Le suspect a été interpellé chez un adepte de la secte samedi.
"Après un long interrogatoire, il a avoué faire partie des ravisseurs et a donné un lieu de cache, mais sur place on n'a rien trouvé" a déclaré le commissaire François Perrault, directeur départemental de la police. "Il est vraisemblable qu'ils y étaient" auparavant, a-t-il ajouté.
Trois autres personnes, adeptes de la secte, ont également été interpellées samedi dont une femme ayant loué la voiture ayant servi à l'enlèvement du jeune Alexandre.
Les recherches et les perquisitions se poursuivaient dimanche pour tenter de retrouver Alexandre, 12 ans.
Déjà victime d'un rapt
Le jeune Alexandre a été enlevé vers 19h30, vendredi soir par un groupe d'hommes cagoulés, au domicile de ses parents en plein centre-ville de Saint-Denis sur l'île de La Réunion.. La piste "la plus sérieuse" est celle de la secte du "Coeur douloureux et immaculé de Marie", a précisé à l'Associated Press le commissaire François Perrault du commissariat de la sécurité publique à Saint-Denis. Les premières perquisitions "n'ont rien donné", a-t-il ajouté.
L'enfant, enlevé vendredi soir, avait déjà fait l'objet d'un rapt le 9 juillet dernier. Il avait été retrouvé près de la gendarmerie au bout d'une vingtaine d'heures. L'enquête de gendarmerie avait alors conduit à l'incarcération d'un membre de la secte du "Coeur douloureux et immaculé de Marie". "Cette personne a été réentendue ce (samedi) matin", selon le commissaire Perrault.
"Petit lys d'amour"
Cette personne "avait rencontré la famille de l'enfant à l'église", a précisé le procureur de la République de Saint-Denis Dominique Audureau, ajoutant que la piste de Juliano Verbard, le chef de la secte "ne pouvait être écartée". Surnommé "Petit lys d'amour", cet homme d'environ 25 ans qui dit que la Vierge lui est apparue, est en cavale à La Réunion depuis trois ans. Il a été condamné par défaut à 15 ans de réclusion criminelle en octobre 2006 pour le viol et l'agression sexuelle de deux garçons mineurs.
L'évêque de La Réunion, Mgr Gilbert Aubry, a adressé un message télévisé enjoignant au principal suspect de se rendre. "Juliano, cesse de faire le mal, rends-toi à la justice". L'évêque a invoqué "le devoir de conscience" des Réunionnais leur enjoignant de ne pas "cacher" les ravisseurs, mais d'aider les autorités. Le "Coeur douloureux et immaculé de Marie" existe depuis 2002 et Mgr Aubry avait condamné quelques mois après son apparition les dérives sectaires du mouvement.
Le plan alerte enlèvement a été déclenché vendredi soir. Les ravisseurs présumés, "cinq hommes, porteurs d'armes blanches", selon le commissaire Perrault, avaient pris la fuite par l'ouest de l'île. Leur véhicule a été retrouvé abandonné en flammes à Saint-Leu par la gendarmerie, deux heures après le rapt.
Cellule de crise
Le deuxième véhicule utilisé par les ravisseurs présumés a ensuite été retrouvé renversé "sur le toit" à Petite-France dans les hauts de Saint-Paul, selon le commissaire principal Jean-François Lebon de la police judiciaire de Saint-Denis. "Il n'est pas pour autant accidenté, son propriétaire, identifié comme membre de la secte, a été placé en garde à vue", a-t-il ajouté.
Selon le commissaire Lebon, l'enquête s'annonce "très difficile". "Les personnes entendues sont des proches de la secte qui sont très conditionnées et ne délivrent que peu d'informations", a-t-il expliqué.
Par ailleurs, les autorités ont lancé un appel aux propriétaires de l'île ayant loué leur maison ces quinze derniers jours, à qui le loyer aurait été réglé en espèces et dont l'habitation aurait été transformée pour se protéger des regards. "Les gendarmes ont observé Juliano Verbard qui choisit toujours un lieu isolé, souvent dans les hauts avec beaucoup de chiens et d'où il peut s'enfuir rapidement", a expliqué le commissaire Lebon.
Le secrétaire d'Etat à l'Outre-Mer, Christian Estrosi, a fait savoir samedi qu'il était "informé, heure par heure, de l'évolution de cette affaire" et avait demandé au préfet "de mettre en place une cellule de crise afin que tout les moyens disponibles (police, gendarmerie nationale, douanes, office national des eaux et forêts et police municipale) soient mis au service des enquêteurs", selon un communiqué. (avec AP)
Courage à tous et à toutes !
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REGION PARISIENNE
Accident sur un manège
à Saint-Germain-en-Laye
| 05.08.2007 | 10:19
Deux personnes ont été tuées et deux autres grièvement blessées samedi à la Fête des Loges. Cet accident serait dû à la "rupture d'un élément mécanique" de l'attraction "Booster".
Deux personnes ont été tuées et deux autres grièvement blessées samedi 4 août à la Fête des Loges de Saint-Germain-en-Laye dans l'accident de manège, le plus grave survenu dans une fête foraine pour des raisons techniques depuis plusieurs années.
Cet accident spectaculaire, intervenu vers 18h50, est vraisemblablement dû à la "rupture d'un élément mécanique" de l'attraction "Booster", selon la préfecture des Yvelines.
Le "Booster", d'un poids total de 28 tonnes, est un grand bras articulé tournant autour d'un axe avec, à chaque extrémité, une nacelle emportant quatre passagers. Il peut atteindre la vitesse de 90 km/heure et effectuer treize tours à la minute.
"L'une des nacelles s'est écrasée au sol sur le podium central provoquant la mort de deux personnes", a précisé une source judiciaire, confirmant une information de France 2.
Selon un forain de la Fête des Loges, les deux personnes décédées se trouvaient dans la même nacelle avec les deux autres blessées. Ces quatre personnes - de la même famille - étaient installées deux par deux et dos à dos dans la nacelle où elles étaient solidement arrimées.
Le fabricant attendu sur place
"Le support de l'une des deux nacelles, avec quatre personnes, s'est alors ouvert et la nacelle est venue frapper le sol provoquant la mort de deux de ses passagers", a précisé ce forain.
Les victimes sont un père et son fils, âgés de 48 ans et 21 ans, originaires du Val-d'Oise, selon le maire-adjoint de Saint-Germain, Maurice Solignac. Selon la préfecture des Yvelines, les personnes blessées, un oncle et le frère de 14 ans du jeune homme tué, l'ont été grièvement.
Deux autres personnes, non blessées et bloquées à 36 mètres de haut dans la seconde nacelle, ont finalement été descendues en rappel peu avant 01h00 par les pompiers qui ont dû tronçonner la barre de sécurité les retenant dans la nacelle. La solution de l'hélitreuillage par un hélicoptère de la Sécurité civile n'a finalement pas été retenue.
Un représentant du groupe italien Fabbri, le fabricant de l'engin, était attendu dimanche sur les lieux. Selon le responsable des forains Xavier Saguet, il s'agit d'une machine "datant de trois ans" qui "a subi les vérifications de sécurité habituelles", lesquelles "n'avaient rien décelé d'anormal".
150 attractions
Cet accident est le plus grave survenu dans une fête foraine depuis plusieurs années en raison de problèmes de sécurité ou techniques. L'enquête a été confiée à la police judiciaire.
En avril, 23 personnes avaient été blessées dans un accident de manège d'un parc d'attractions de Tournehem-sur-la-Hem (Pas-de-Calais).
En août 2005 à Saint-Paul (Oise), quatre personnes avaient été grièvement blessées après avoir été éjectées d'une nacelle de type "grand huit" après que celle-ci s'était désolidarisée des autres.
La même année à Rambervillers (Vosges), un homme de 46 ans était mort en se penchant hors d'une nacelle, sa tête ayant heurté le bras central du manège.
La Fête des Loges, qui remonte à 1652, rassemble sur huit hectares dans la forêt de Saint-Germain-en-Laye quelque 150 attractions (manèges traditionnels, stands de tir et loteries, attractions sophistiquées). Elle s'est ouverte le 29 juin et fermera ses portes le 19 août.
Accident sur un manège
à Saint-Germain-en-Laye
| 05.08.2007 | 10:19
Deux personnes ont été tuées et deux autres grièvement blessées samedi à la Fête des Loges. Cet accident serait dû à la "rupture d'un élément mécanique" de l'attraction "Booster".
Deux personnes ont été tuées et deux autres grièvement blessées samedi 4 août à la Fête des Loges de Saint-Germain-en-Laye dans l'accident de manège, le plus grave survenu dans une fête foraine pour des raisons techniques depuis plusieurs années.
Cet accident spectaculaire, intervenu vers 18h50, est vraisemblablement dû à la "rupture d'un élément mécanique" de l'attraction "Booster", selon la préfecture des Yvelines.
Le "Booster", d'un poids total de 28 tonnes, est un grand bras articulé tournant autour d'un axe avec, à chaque extrémité, une nacelle emportant quatre passagers. Il peut atteindre la vitesse de 90 km/heure et effectuer treize tours à la minute.
"L'une des nacelles s'est écrasée au sol sur le podium central provoquant la mort de deux personnes", a précisé une source judiciaire, confirmant une information de France 2.
Selon un forain de la Fête des Loges, les deux personnes décédées se trouvaient dans la même nacelle avec les deux autres blessées. Ces quatre personnes - de la même famille - étaient installées deux par deux et dos à dos dans la nacelle où elles étaient solidement arrimées.
Le fabricant attendu sur place
"Le support de l'une des deux nacelles, avec quatre personnes, s'est alors ouvert et la nacelle est venue frapper le sol provoquant la mort de deux de ses passagers", a précisé ce forain.
Les victimes sont un père et son fils, âgés de 48 ans et 21 ans, originaires du Val-d'Oise, selon le maire-adjoint de Saint-Germain, Maurice Solignac. Selon la préfecture des Yvelines, les personnes blessées, un oncle et le frère de 14 ans du jeune homme tué, l'ont été grièvement.
Deux autres personnes, non blessées et bloquées à 36 mètres de haut dans la seconde nacelle, ont finalement été descendues en rappel peu avant 01h00 par les pompiers qui ont dû tronçonner la barre de sécurité les retenant dans la nacelle. La solution de l'hélitreuillage par un hélicoptère de la Sécurité civile n'a finalement pas été retenue.
Un représentant du groupe italien Fabbri, le fabricant de l'engin, était attendu dimanche sur les lieux. Selon le responsable des forains Xavier Saguet, il s'agit d'une machine "datant de trois ans" qui "a subi les vérifications de sécurité habituelles", lesquelles "n'avaient rien décelé d'anormal".
150 attractions
Cet accident est le plus grave survenu dans une fête foraine depuis plusieurs années en raison de problèmes de sécurité ou techniques. L'enquête a été confiée à la police judiciaire.
En avril, 23 personnes avaient été blessées dans un accident de manège d'un parc d'attractions de Tournehem-sur-la-Hem (Pas-de-Calais).
En août 2005 à Saint-Paul (Oise), quatre personnes avaient été grièvement blessées après avoir été éjectées d'une nacelle de type "grand huit" après que celle-ci s'était désolidarisée des autres.
La même année à Rambervillers (Vosges), un homme de 46 ans était mort en se penchant hors d'une nacelle, sa tête ayant heurté le bras central du manège.
La Fête des Loges, qui remonte à 1652, rassemble sur huit hectares dans la forêt de Saint-Germain-en-Laye quelque 150 attractions (manèges traditionnels, stands de tir et loteries, attractions sophistiquées). Elle s'est ouverte le 29 juin et fermera ses portes le 19 août.
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OGM
Des centaines de manifestants
anti-OGM ce week-end
| 05.08.2007 | 10:19
Plusieurs centaines de militants anti-OGM représentant divers collectifs, dont les Faucheurs volontaires et la Confédération paysanne, ont manifesté dans différentes villes de France, pour réclamer la mise en place d'un moratoire.
Un faucheur volontaire anti-OGM, le 4 août 2007 à Paillet (Gironde), après avoir arraché un pied de maïs transgénique (AFP)
Plusieurs centaines de militants anti-OGM représentant divers collectifs, dont les Faucheurs volontaires et la Confédération paysanne, ont manifesté samedi 4 août dans différentes villes de France, pour réclamer la mise en place d'un moratoire sur les OGM, selon des militants.
D'autres actions anti-OGM sont prévues dimanche en France, notamment en Midi-Pyrénées, dans le Centre et en Vendée, a indiqué Dominique Bohn, une faucheuse volontaire du Sud-Ouest, précisant qu'une journée d'action nationale centralisée serait organisée les 25 et 26 août, "sans doute en Midi-Pyrénées".
A Bordeaux, près de 200 militants anti-OGM venus de plusieurs départements d'Aquitaine et de Bretagne ont manifesté samedi après-midi pour demander au gouvernement la "transparence" sur les cultures de maïs OGM et la mise en place d'un "moratoire sur la culture en plein champ des OGM".
Des faucheurs volontaires et des représentants du comité Vigilance OGM, de la Confédération paysanne, d'Attac, de Greenpeace et des Verts ont défilé en brandissant une centaine de pieds de maïs transgéniques "prélevés" le matin même dans un champ à Paillet (Gironde) par des faucheurs volontaires, et qu'ils sont allés jeter dans le jardin de la résidence du préfet de Gironde.
Actions symboliques
Pour cette journée de mobilisation, des "actions symboliques" ont remplacé les fauchages, mais "nous continuerons à entrer dans les champs", a déclaré Mme Bohn, évoquant un devoir de "désobéissance civile" devant la menace de pollution OGM.
D'autres actions de sensibilisation ont été menées samedi dans le Sud-Ouest, à Came dans les Pyrénées-Atlantiques, et à Montmoreau en Charente, a-t-elle indiqué.
A Avignon, quelque 200 personnes ont participé à un rassemblement anti-OGM samedi après-midi devant la préfecture du Vaucluse, à l'appel du collectif anti-OGM de la région Provence-Alpes-Côte-d'Azur (Paca) et de la Confédération paysanne de Paca, réclamant qu'un moratoire soit appliqué "dans les plus brefs délais".
Venus du Vaucluse mais aussi du plateau de Sault, des Alpes-de-Haute-Provence et du Var, les manifestants parmi lesquels un certain nombre d'apiculteurs ont participé à "une marche funèbre" en portant une gerbe "Ci-Git la biodiversité".
20.000 ha en France
Les organisateurs entendaient protester contre la culture annoncée par les autorités d'une parcelle de 1.000 m2 de maïs transgénique dans le canton d'Orange (Vaucluse).
En Maine-et-Loire, une centaine de militants anti-OGM ont mené samedi une opération symbolique, coordonnée par le collectif "Nos campagnes sans OGM", en prélevant des pieds de maïs transgénique dans une parcelle située à Charcé-Saint-Ellier-sur-Aubance, avant de se rendre à la mairie d'Angers où les pieds ont été détruits et enterrés.
Les cultures de maïs OGM représentent plus de 20.000 ha en France, dont 19.000 dans le Sud-Ouest et, dans cette zone, 15.000 pour la seule région Midi-Pyrénées. (AFP)
Des centaines de manifestants
anti-OGM ce week-end
| 05.08.2007 | 10:19
Plusieurs centaines de militants anti-OGM représentant divers collectifs, dont les Faucheurs volontaires et la Confédération paysanne, ont manifesté dans différentes villes de France, pour réclamer la mise en place d'un moratoire.
Un faucheur volontaire anti-OGM, le 4 août 2007 à Paillet (Gironde), après avoir arraché un pied de maïs transgénique (AFP)
Plusieurs centaines de militants anti-OGM représentant divers collectifs, dont les Faucheurs volontaires et la Confédération paysanne, ont manifesté samedi 4 août dans différentes villes de France, pour réclamer la mise en place d'un moratoire sur les OGM, selon des militants.
D'autres actions anti-OGM sont prévues dimanche en France, notamment en Midi-Pyrénées, dans le Centre et en Vendée, a indiqué Dominique Bohn, une faucheuse volontaire du Sud-Ouest, précisant qu'une journée d'action nationale centralisée serait organisée les 25 et 26 août, "sans doute en Midi-Pyrénées".
A Bordeaux, près de 200 militants anti-OGM venus de plusieurs départements d'Aquitaine et de Bretagne ont manifesté samedi après-midi pour demander au gouvernement la "transparence" sur les cultures de maïs OGM et la mise en place d'un "moratoire sur la culture en plein champ des OGM".
Des faucheurs volontaires et des représentants du comité Vigilance OGM, de la Confédération paysanne, d'Attac, de Greenpeace et des Verts ont défilé en brandissant une centaine de pieds de maïs transgéniques "prélevés" le matin même dans un champ à Paillet (Gironde) par des faucheurs volontaires, et qu'ils sont allés jeter dans le jardin de la résidence du préfet de Gironde.
Actions symboliques
Pour cette journée de mobilisation, des "actions symboliques" ont remplacé les fauchages, mais "nous continuerons à entrer dans les champs", a déclaré Mme Bohn, évoquant un devoir de "désobéissance civile" devant la menace de pollution OGM.
D'autres actions de sensibilisation ont été menées samedi dans le Sud-Ouest, à Came dans les Pyrénées-Atlantiques, et à Montmoreau en Charente, a-t-elle indiqué.
A Avignon, quelque 200 personnes ont participé à un rassemblement anti-OGM samedi après-midi devant la préfecture du Vaucluse, à l'appel du collectif anti-OGM de la région Provence-Alpes-Côte-d'Azur (Paca) et de la Confédération paysanne de Paca, réclamant qu'un moratoire soit appliqué "dans les plus brefs délais".
Venus du Vaucluse mais aussi du plateau de Sault, des Alpes-de-Haute-Provence et du Var, les manifestants parmi lesquels un certain nombre d'apiculteurs ont participé à "une marche funèbre" en portant une gerbe "Ci-Git la biodiversité".
20.000 ha en France
Les organisateurs entendaient protester contre la culture annoncée par les autorités d'une parcelle de 1.000 m2 de maïs transgénique dans le canton d'Orange (Vaucluse).
En Maine-et-Loire, une centaine de militants anti-OGM ont mené samedi une opération symbolique, coordonnée par le collectif "Nos campagnes sans OGM", en prélevant des pieds de maïs transgénique dans une parcelle située à Charcé-Saint-Ellier-sur-Aubance, avant de se rendre à la mairie d'Angers où les pieds ont été détruits et enterrés.
Les cultures de maïs OGM représentent plus de 20.000 ha en France, dont 19.000 dans le Sud-Ouest et, dans cette zone, 15.000 pour la seule région Midi-Pyrénées. (AFP)
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CIRCULATION
Carambolage sur l'A6 :
quatre morts et neuf blessés
05.08.2007 | 12:10
Les victimes décédées sont trois touristes allemands, une mère de famille et deux de ses trois enfants, ainsi qu'un automobiliste qui tentait de leur porter secours
Quatre personnes ont été tuées et neuf autres blessées dont trois grièvement dans un carambolage sur l'autoroute A6 dimanche matin vers 4h près de Mâcon (Saône-et-Loire), a-t-on appris auprès de la préfecture.
Deux véhicules légers et un poids lourd de petit tonnage ont été impliqués dans l'accident survenu peu avant la sortie de Mâcon dans le sens Paris-Lyon. Les victimes décédées sont trois touristes allemands, une mère de famille et deux de ses trois enfants, ainsi qu'un automobiliste qui tentait de leur porter secours, a précisé à l'Associated Press Xavier Pelletier, directeur de cabinet de la préfecture.
Neuf personnes ont par ailleurs été blessées, dont trois grièvement, évacuées en "urgence absolue" vers l'hôpital de Mâcon. Les identités des victimes n'ont pas été précisées dans l'immédiat.
Trafic fluide et visibilité
Selon les premiers éléments de l'enquête, une première voiture avec à bord une famille de cinq touristes allemands s'est arrêtée sur la bande d'arrêt d'urgence après un début d'incendie dans le moteur en surchauffe, a expliqué M. Pelletier. Un automobiliste s'est garé plus loin sur la bande d'arrêt d'urgence. Il est sorti de son véhicule avec un extincteur pour porter secours aux occupants du premier véhicule en difficulté.
C'est alors qu'un fourgon est venu percuter de plein fouet la voiture des touristes allemands, fauchant sur le coup une femme, deux de ses trois enfants et l'automobiliste qui leur portait secours. Sous la violence du choc, le fourgon a été projeté au-delà de la glissière de sécurité, a ajouté M. Pelletier, joint sur les lieux de l'accident.
Un troisième véhicule léger est venu ensuite percuter les deux premiers. Les conditions météo étaient satisfaisantes et le trafic était fluide au moment de l'accident. L'audition par la gendarmerie des deux occupants du fourgon, légèrement blessés, devrait fournir plus de précisions sur les circonstances du drame. Le père et le dernier des enfants du couple allemand ont été blessés.
Les opérations de secours des pompiers, du Samu et de la gendarmerie étaient terminées vers 8h. La circulation sur l'A6 n'a pas été coupée, tandis que l'enlèvement des véhicules accidentés et le nettoyage de la chaussée se poursuivaient. (AP)
Carambolage sur l'A6 :
quatre morts et neuf blessés
05.08.2007 | 12:10
Les victimes décédées sont trois touristes allemands, une mère de famille et deux de ses trois enfants, ainsi qu'un automobiliste qui tentait de leur porter secours
Quatre personnes ont été tuées et neuf autres blessées dont trois grièvement dans un carambolage sur l'autoroute A6 dimanche matin vers 4h près de Mâcon (Saône-et-Loire), a-t-on appris auprès de la préfecture.
Deux véhicules légers et un poids lourd de petit tonnage ont été impliqués dans l'accident survenu peu avant la sortie de Mâcon dans le sens Paris-Lyon. Les victimes décédées sont trois touristes allemands, une mère de famille et deux de ses trois enfants, ainsi qu'un automobiliste qui tentait de leur porter secours, a précisé à l'Associated Press Xavier Pelletier, directeur de cabinet de la préfecture.
Neuf personnes ont par ailleurs été blessées, dont trois grièvement, évacuées en "urgence absolue" vers l'hôpital de Mâcon. Les identités des victimes n'ont pas été précisées dans l'immédiat.
Trafic fluide et visibilité
Selon les premiers éléments de l'enquête, une première voiture avec à bord une famille de cinq touristes allemands s'est arrêtée sur la bande d'arrêt d'urgence après un début d'incendie dans le moteur en surchauffe, a expliqué M. Pelletier. Un automobiliste s'est garé plus loin sur la bande d'arrêt d'urgence. Il est sorti de son véhicule avec un extincteur pour porter secours aux occupants du premier véhicule en difficulté.
C'est alors qu'un fourgon est venu percuter de plein fouet la voiture des touristes allemands, fauchant sur le coup une femme, deux de ses trois enfants et l'automobiliste qui leur portait secours. Sous la violence du choc, le fourgon a été projeté au-delà de la glissière de sécurité, a ajouté M. Pelletier, joint sur les lieux de l'accident.
Un troisième véhicule léger est venu ensuite percuter les deux premiers. Les conditions météo étaient satisfaisantes et le trafic était fluide au moment de l'accident. L'audition par la gendarmerie des deux occupants du fourgon, légèrement blessés, devrait fournir plus de précisions sur les circonstances du drame. Le père et le dernier des enfants du couple allemand ont été blessés.
Les opérations de secours des pompiers, du Samu et de la gendarmerie étaient terminées vers 8h. La circulation sur l'A6 n'a pas été coupée, tandis que l'enlèvement des véhicules accidentés et le nettoyage de la chaussée se poursuivaient. (AP)
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- Insatiable
- Messages : 607
- Inscription : 07 juin 2007 08:48
Les pieds des quelque 60 000 infirmières québécoises peuvent être rassurés car ils pourront continuer à se promener dans leurs sandales Crocs au boulot... en autant qu'elles n'aient pas de trous.
La popularité de ces confortables sandales était telle depuis quelques mois que l'Ordre des infirmières et infirmiers du Québec (OIIQ) a décidé cet été d'analyser la sandale sous tous ses angles afin d'émettre un avis à ses membres.
L'organisme conclut que «le modèle qui n'a pas d'ouverture à l'avant et muni d'une sangle qui empêche le pied de sortir accidentellement de la sandale» convient au milieu hospitalier au même titre que les autres chaussures autorisées. Le modèle troué - qui est aussi le plus populaire - est donc interdit.
Selon le guide vestimentaire de l'OIIQ, les infirmières doivent porter des chaussures fermées qui comportent des talons bas et des semelles antidérapantes et silencieuses et il faut que le soulier couvre le talon et les orteils.
«[Les chaussures] doivent être faciles à entretenir et nettoyées régulièrement. De plus, elles doivent être exclusivement réservées au travail», peut-on également lire dans le document d'une vingtaine de pages.
Prévention
En réglementant le type de soulier à porter, l'Ordre cherche à prévenir les accidents de travail et les maux de dos. On veut ainsi s'assurer que les infirmières sont protégées contre les éclaboussures de sang et les chutes d'objets lourds ou tranchants.
L'OIIQ signale cependant que les sandales Crocs «sont susceptibles d'engendrer de l'électricité statique», ce qui pourrait avoir un impact sur les appareils électroniques utilisés dans les hôpitaux. L'organisme demande donc aux infirmières qui travaillent avec de tels outils de choisir un autre soulier de travail.
«Il y a un petit nombre d'infirmières qui en portent. Pour l'instant, les sandales Crocs ne sont pas interdites. Notre politique est claire, nous demandons des souliers fermés pour que nos employés soient protégés contre les accidents», explique le porte-parole du Centre universitaire de santé McGill (CUSM), Alex Fretier.
Même son de cloche dans les hôpitaux du Centre hospitalier de l'Université de Montréal (CHUM). «Il n'y a pas de directive particulière pour interdire ce type de chaussure. Les infirmières et les auxiliaires se réfèrent au code vestimentaire de leur ordre», a laissé savoir la porte-parole Lucie Dufresne.
Les sandales Crocs sont une invention québécoise.
La popularité de ces confortables sandales était telle depuis quelques mois que l'Ordre des infirmières et infirmiers du Québec (OIIQ) a décidé cet été d'analyser la sandale sous tous ses angles afin d'émettre un avis à ses membres.
L'organisme conclut que «le modèle qui n'a pas d'ouverture à l'avant et muni d'une sangle qui empêche le pied de sortir accidentellement de la sandale» convient au milieu hospitalier au même titre que les autres chaussures autorisées. Le modèle troué - qui est aussi le plus populaire - est donc interdit.
Selon le guide vestimentaire de l'OIIQ, les infirmières doivent porter des chaussures fermées qui comportent des talons bas et des semelles antidérapantes et silencieuses et il faut que le soulier couvre le talon et les orteils.
«[Les chaussures] doivent être faciles à entretenir et nettoyées régulièrement. De plus, elles doivent être exclusivement réservées au travail», peut-on également lire dans le document d'une vingtaine de pages.
Prévention
En réglementant le type de soulier à porter, l'Ordre cherche à prévenir les accidents de travail et les maux de dos. On veut ainsi s'assurer que les infirmières sont protégées contre les éclaboussures de sang et les chutes d'objets lourds ou tranchants.
L'OIIQ signale cependant que les sandales Crocs «sont susceptibles d'engendrer de l'électricité statique», ce qui pourrait avoir un impact sur les appareils électroniques utilisés dans les hôpitaux. L'organisme demande donc aux infirmières qui travaillent avec de tels outils de choisir un autre soulier de travail.
«Il y a un petit nombre d'infirmières qui en portent. Pour l'instant, les sandales Crocs ne sont pas interdites. Notre politique est claire, nous demandons des souliers fermés pour que nos employés soient protégés contre les accidents», explique le porte-parole du Centre universitaire de santé McGill (CUSM), Alex Fretier.
Même son de cloche dans les hôpitaux du Centre hospitalier de l'Université de Montréal (CHUM). «Il n'y a pas de directive particulière pour interdire ce type de chaussure. Les infirmières et les auxiliaires se réfèrent au code vestimentaire de leur ordre», a laissé savoir la porte-parole Lucie Dufresne.
Les sandales Crocs sont une invention québécoise.
Infirmière aux urgences 

UNE NOUVELLE FRANCHISE MEDICALE (AOL INFOS)
A partir de 2008, les assurés sociaux devront s'acquitter, dans la limite de 50 euros par an, d'une franchise de 50 centimes par boîte de médicament, de 50 centimes par acte paramédical, et de deux euros par transport en ambulance, ce qui devrait rapporter à l'assurance maladie 850 millions d'euros.
L'objectif affiché du gouvernement est non pas de combler le déficit de l'assurance maladie (6,4 milliards d'euros prévus pour 2007), mais de financer la lutte contre la maladie d'Alzheimer et le cancer, et de développer les soins palliatifs.
Les grandes confédérations syndicales ont fustigé le projet, en rappelant que ces trois nouvelles franchises s'ajoutent à d'autres forfaits déjà non pris en charge par la collectivité.
Ainsi, depuis 2004, les assurés sociaux de plus de 18 ans, à l'exclusion des femmes enceintes et des plus démunis, doivent déjà s'acquitter d'un forfait d'un euro, pour chaque consultation ou acte médical, non remboursé par les complémentaires, jusqu'à un plafond annuel de 50 euros également.
En octobre 2006, 41 médicaments ont par ailleurs vu leur taux de remboursement passer de 35% à 15%, après une première vague de déremboursements de 156 médicaments en mars de la même année.
"L'accumulation de ces mesures, présentées au nom de la responsabilisation (...) vide en réalité la Sécurité sociale de son contenu, sans rien régler des problèmes posés", a dénoncé la CGT.
Ces franchises sont "des mesures injustes", qui "vont reposer sur les patients déjà largement mis à contribution", a déclaré la CFDT, déplorant "des conséquences néfastes sur les malades", avec "un grand risque de renoncement aux soins". FO, Unsa et Solidaires ont adopté le même ton.
Le président de la Mutualité française, Jean-Pierre Davant, a souligné pour sa part ses doutes sur la hauteur du financement prévu. "Je ne vois pas comment en mettant en place un dispositif de franchises, à partir d'une assurance maladie qui est déjà très déficitaire, on peut dégager des sommes nécessaires sur ces trois pathologies qui sont très préoccupantes", a indiqué M. Davant.
Une préoccupation également partagée par le Nouveau Centre et la CSMF, le premier syndicat de médecins libéraux.
Pour la CFTC, "le plus terrible, c'est qu'on casse complètement le principe fondateur de la +Sécu+, la solidarité inter-générationnelle, pour adopter une logique d'assurance individuelle", a déclaré son président Jacques Voisin.
Dans notre système de santé, "on a déjà 10% des dépenses de santé qui restent globalement à la charge du patient, avec 13 à 15% pris en charge par les complémentaires et 75% par la Sécurité sociale", a-t-il rappelé.
Ces restes à charge pour les malades peuvent varier fortement, surtout pour les 8% de Français qui n'ont pas d'assurance santé complémentaire.
Le plafond total pour ces quatre contributions est donc de 100 euros par an.
Depuis 2004 également, un forfait de 18 euros est prévu pour les actes hospitaliers de plus de 91 euros, mais il peut être pris en charge par les complémentaires.
Les patients qui n'ont pas de médecin traitant ne sont plus remboursés qu'à 50% par la Sécu, au lieu de 70% pour les autres, une différence qui n'est pas non plus prise en charge par les mutuelles.
A partir de 2008, les assurés sociaux devront s'acquitter, dans la limite de 50 euros par an, d'une franchise de 50 centimes par boîte de médicament, de 50 centimes par acte paramédical, et de deux euros par transport en ambulance, ce qui devrait rapporter à l'assurance maladie 850 millions d'euros.
L'objectif affiché du gouvernement est non pas de combler le déficit de l'assurance maladie (6,4 milliards d'euros prévus pour 2007), mais de financer la lutte contre la maladie d'Alzheimer et le cancer, et de développer les soins palliatifs.
Les grandes confédérations syndicales ont fustigé le projet, en rappelant que ces trois nouvelles franchises s'ajoutent à d'autres forfaits déjà non pris en charge par la collectivité.
Ainsi, depuis 2004, les assurés sociaux de plus de 18 ans, à l'exclusion des femmes enceintes et des plus démunis, doivent déjà s'acquitter d'un forfait d'un euro, pour chaque consultation ou acte médical, non remboursé par les complémentaires, jusqu'à un plafond annuel de 50 euros également.
En octobre 2006, 41 médicaments ont par ailleurs vu leur taux de remboursement passer de 35% à 15%, après une première vague de déremboursements de 156 médicaments en mars de la même année.
"L'accumulation de ces mesures, présentées au nom de la responsabilisation (...) vide en réalité la Sécurité sociale de son contenu, sans rien régler des problèmes posés", a dénoncé la CGT.
Ces franchises sont "des mesures injustes", qui "vont reposer sur les patients déjà largement mis à contribution", a déclaré la CFDT, déplorant "des conséquences néfastes sur les malades", avec "un grand risque de renoncement aux soins". FO, Unsa et Solidaires ont adopté le même ton.
Le président de la Mutualité française, Jean-Pierre Davant, a souligné pour sa part ses doutes sur la hauteur du financement prévu. "Je ne vois pas comment en mettant en place un dispositif de franchises, à partir d'une assurance maladie qui est déjà très déficitaire, on peut dégager des sommes nécessaires sur ces trois pathologies qui sont très préoccupantes", a indiqué M. Davant.
Une préoccupation également partagée par le Nouveau Centre et la CSMF, le premier syndicat de médecins libéraux.
Pour la CFTC, "le plus terrible, c'est qu'on casse complètement le principe fondateur de la +Sécu+, la solidarité inter-générationnelle, pour adopter une logique d'assurance individuelle", a déclaré son président Jacques Voisin.
Dans notre système de santé, "on a déjà 10% des dépenses de santé qui restent globalement à la charge du patient, avec 13 à 15% pris en charge par les complémentaires et 75% par la Sécurité sociale", a-t-il rappelé.
Ces restes à charge pour les malades peuvent varier fortement, surtout pour les 8% de Français qui n'ont pas d'assurance santé complémentaire.
Le plafond total pour ces quatre contributions est donc de 100 euros par an.
Depuis 2004 également, un forfait de 18 euros est prévu pour les actes hospitaliers de plus de 91 euros, mais il peut être pris en charge par les complémentaires.
Les patients qui n'ont pas de médecin traitant ne sont plus remboursés qu'à 50% par la Sécu, au lieu de 70% pour les autres, une différence qui n'est pas non plus prise en charge par les mutuelles.
SeSsIoN *2008-2011* Théodorienne 2ème année...