Culture Générale
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Coucou Tigrou !
Il est très important de se garder du temps pour soi, pour décompresser car tu seras que plus productive ! Si tu as un problème de conscience dis toi que ca te servira pour l'oral !
Ils peuvent te demander ce que tu fais pendant tes loisirs. Ca leur permet de savoir si tu es sociable, dynamique... Comment tu gèreras ton stress à l'hopital ?
Pour la culture gé, c'est vrai qu'a l'ecrit on peut tomber sur tout et n'importe quoi mais bon à l'oral tu te retrouves face a ton jury pour la partie exposé. Moi, j'ai eu "y a-t-il un droit à naître handicapé ?", donc faut avoir un minimum de connaissances ! Les fiches sont donc importantes, sauf pour ceux qui ont une bonne mémoire !
A force de lire on enrichit son vocabulaire et sans le vouloir à mieux tourner ses phrases.
Pour tout ce qui est orthographe cf bled, bescherelle...
Voilà voilou !
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Pour la culture gé, c'est vrai qu'a l'ecrit on peut tomber sur tout et n'importe quoi mais bon à l'oral tu te retrouves face a ton jury pour la partie exposé. Moi, j'ai eu "y a-t-il un droit à naître handicapé ?", donc faut avoir un minimum de connaissances ! Les fiches sont donc importantes, sauf pour ceux qui ont une bonne mémoire !
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Courage à tous et à toutes !
dernière ligne droite, on y croit tous ! No stress que de la motivation !!!
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272,50 euros pour l'allocation de rentrée scolaire
L'allocation de rentrée scolaire (ARS) 2007, destinée aux familles aux revenus modestes ayant des enfants scolarisés de 6 à 18 ans, s'élèvera à 272,57 euros par enfant et par an, a indiqué lundi la Caisse nationale des allocations familiales (Cnaf) dans un communiqué. Une hausse d'un peu plus de 4 euros par rapport à 2006.
Elle sera versée à partir du 20 août, a indiqué la Cnaf.
Automatique de 6 à 16 ans
Pour toucher l'ARS, «les familles qui perçoivent au moins une prestation familiale et sociale n'ont aucune démarche administrative à effectuer», tandis que celles «ayant un seul enfant à charge et non allocataires doivent renvoyer à leur Caf un dossier de demande», indique la Cnaf.
Les Caisses d'allocations familiales (Caf) «verseront automatiquement l'Allocation de rentrée scolaire à la fin août pour les enfants de 6 à 16 ans».
Sous condition de ressources
Pour les 16-18 ans, «l'allocation est versée sur justificatif de scolarité ou d'apprentissage. Les familles doivent donc retourner au plus vite à leur Caf l'attestation de scolarité, que celle-ci leur envoie au moment de la rentrée», indique la Cnaf.
L'ARS est versée sous conditions de ressources, avec un plafond qui varie selon le nombre d'enfants à charge. Ce plafond est ainsi de 21.991 euros nets pour un enfant, de 27.066 euros pour deux enfants, et de 32.141 euros pour trois. Pour chaque enfant supplémentaire, le plafond est relevé de 5.075 euros.
«Toutefois, le dépassement du plafond, dans une certaine limite, permet de toucher l'ARS, mais son montant est dégressif, en fonction des revenus», précise la Cnaf.
En 2006, l'ARS a été versée à 2.836.100 bénéficiaires.
20Minutes.fr, éditions du 06/08/2007 - 11h28
L'allocation de rentrée scolaire (ARS) 2007, destinée aux familles aux revenus modestes ayant des enfants scolarisés de 6 à 18 ans, s'élèvera à 272,57 euros par enfant et par an, a indiqué lundi la Caisse nationale des allocations familiales (Cnaf) dans un communiqué. Une hausse d'un peu plus de 4 euros par rapport à 2006.
Elle sera versée à partir du 20 août, a indiqué la Cnaf.
Automatique de 6 à 16 ans
Pour toucher l'ARS, «les familles qui perçoivent au moins une prestation familiale et sociale n'ont aucune démarche administrative à effectuer», tandis que celles «ayant un seul enfant à charge et non allocataires doivent renvoyer à leur Caf un dossier de demande», indique la Cnaf.
Les Caisses d'allocations familiales (Caf) «verseront automatiquement l'Allocation de rentrée scolaire à la fin août pour les enfants de 6 à 16 ans».
Sous condition de ressources
Pour les 16-18 ans, «l'allocation est versée sur justificatif de scolarité ou d'apprentissage. Les familles doivent donc retourner au plus vite à leur Caf l'attestation de scolarité, que celle-ci leur envoie au moment de la rentrée», indique la Cnaf.
L'ARS est versée sous conditions de ressources, avec un plafond qui varie selon le nombre d'enfants à charge. Ce plafond est ainsi de 21.991 euros nets pour un enfant, de 27.066 euros pour deux enfants, et de 32.141 euros pour trois. Pour chaque enfant supplémentaire, le plafond est relevé de 5.075 euros.
«Toutefois, le dépassement du plafond, dans une certaine limite, permet de toucher l'ARS, mais son montant est dégressif, en fonction des revenus», précise la Cnaf.
En 2006, l'ARS a été versée à 2.836.100 bénéficiaires.
20Minutes.fr, éditions du 06/08/2007 - 11h28
Le soleil est nouveau tous les jours.
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lundi 6 août 2007, mis à jour à 08:26
Epizootie Fièvre aphteuse: deux laboratoires britanniques visés LEXPRESS.fr avec Reuters
L'enquête sur l'origine du foyer de fièvre aphteuse dans le sud-est de l'Angleterre se concentre sur un site de recherche médicale animale situé à quelques kilomètres seulement de l'exploitation affectée.
Les autorités britanniques s'efforcent d'identifier la source du foyer de fièvre aphteuse découvert dans un élevage bovin du Surrey, dans le sud de l'Angleterre, et concentrent leurs investigations sur deux laboratoires de recherche situés à quelques kilomètres de la ferme contaminée.
Un périmètre de sécurité a été mis en place dans un rayon de 10 km autour de l'Institut pour la santé animale (IAH), un organisme dépendant du gouvernement britannique, et d'un laboratoire géré par la société pharmaceutique Merial, propriété du groupe américain Merck et du français Sanofi-Aventis.
Rien ne permet toutefois pour l'instant d'affirmer que l'un des laboratoires est à l'origine de la contamination.
Les deux établissements, qui se trouvent sur un même site de recherche, Pirbright, possèdent différentes souches de la fièvre aphteuse afin de mener des recherches et d'élaborer un vaccin contre ce virus et d'autres maladies animales.
Les deux laboratoires se sont retrouvés au coeur des investigations depuis que le ministère britannique de l'Agriculture (Defra) a annoncé que la souche de fièvre aphteuse qui avait infecté 60 têtes de bétail dans un élevage situé à huit kilomètres de Pirbright "n'avait pas été retrouvée récemment sur des animaux".
Il s'agit en fait d'une souche proche de celle du virus 01 BFS67, isolée par des biologistes britanniques il y a quarante ans, a ajouté le ministère.
Le directeur de l'IAH a publié un communiqué indiquant que toutes les règles de sécurité avaient été respectées dans son laboratoire. Il n'a cependant pas exclu la possibilité que la souche qui a contaminé l'élevage du Surrey puisse venir du laboratoire de Merial, situé à côté de son établissement.
A TITRE DE PRECAUTION
Un porte-parole de Merial a annoncé que le groupe avait suspendu la production de vaccin par mesure de précaution. Dans un communiqué, il se déclare attaché au respect "des plus hautes normes internationales en matière de qualité de produits et de sécurité".
"Merial collaborera pleinement avec les autorités britanniques pour établir la source de la maladie et apportera tout son concours aux experts du Defra pour maîtriser cette épizootie de manière satisfaisante", a ajouté David Biland, directeur général de Merial pour la Grande-Bretagne.
Responsable des services vétérinaires britanniques, le dr Debby Reynolds a ordonné "un réexamen urgent de toutes les mesures de biosécurité" dans les deux laboratoires, tout en soulignant examiner les autres pistes possibles.
Les animaux infectés, ainsi qu'un troupeau d'une ferme voisine, ont été isolés et abattus samedi. Jusqu'ici, deux seulement des 64 bêtes abattues ont été testées positives à la fièvre aphteuse, a souligné le Defra.
S'il est confirmé que la source du foyer de fièvre aphteuse a pour origine l'un des deux laboratoires, il s'agirait d'un grand soulagement pour le monde agricole britannique, qui peine encore à se remettre de l'épidémie de 2001.
Toutefois, cela risquerait de semer l'émoi dans la communauté scientifique en démontrant qu'un virus hautement pathogène, transporté par le vent, peut s'échapper d'un site de recherche sous haute sécurité.
En 2001, une épidémie de fièvre aphteuse avait entraîné l'abattage de plus de six millions de bovins et de moutons en Grande-Bretagne. L'épizootie s'était propagée à plusieurs pays de l'UE, dont la France, l'Irlande et les Pays-Bas.
BROWN INTERROMPT SES VACANCES
Le Premier ministre Gordon Brown est rentré précipitamment de vacances pour présider samedi une réunion de crise à Londres.
Le ministère de l'Agriculture a annoncé avoir suspendu de sa propre initiative toutes les exportations de carcasses, viande et lait à destination de l'Union européenne, les exportations d'animaux vivants tombant déjà sous le coup de l'interdiction sur les déplacements.
La Commission européenne a annoncé avoir interdit l'exportation d'animaux vivants de Grande-Bretagne, ainsi que la viande et les produits laitiers provenant de la zone touchée. De nouvelles mesures pourraient être prises après une réunion des experts vétérinaires mercredi.
A Paris, le ministère français de l'Agriculture a demandé aux services vétérinaires départementaux de recenser et de tester les bovins, ovins, caprins et porcins importés ces dix derniers jours de Grande-Bretagne.
Il s'agit "d'écarter toute suspicion clinique de fièvre aphteuse" sur le territoire français, précise un communiqué.
En attendant les résultats de ces examens, les rassemblements d'espèces "sensibles" - foires ou comices agricoles - sont suspendus dans toute la France.
Aux Etats-Unis, le ministère de l'Agriculture (USDA) a annoncé que les importations de porcs et de produits porcins en provenance de Grande-Bretagne étaient désormais interdites.
Epizootie Fièvre aphteuse: deux laboratoires britanniques visés LEXPRESS.fr avec Reuters
L'enquête sur l'origine du foyer de fièvre aphteuse dans le sud-est de l'Angleterre se concentre sur un site de recherche médicale animale situé à quelques kilomètres seulement de l'exploitation affectée.
Les autorités britanniques s'efforcent d'identifier la source du foyer de fièvre aphteuse découvert dans un élevage bovin du Surrey, dans le sud de l'Angleterre, et concentrent leurs investigations sur deux laboratoires de recherche situés à quelques kilomètres de la ferme contaminée.
Un périmètre de sécurité a été mis en place dans un rayon de 10 km autour de l'Institut pour la santé animale (IAH), un organisme dépendant du gouvernement britannique, et d'un laboratoire géré par la société pharmaceutique Merial, propriété du groupe américain Merck et du français Sanofi-Aventis.
Rien ne permet toutefois pour l'instant d'affirmer que l'un des laboratoires est à l'origine de la contamination.
Les deux établissements, qui se trouvent sur un même site de recherche, Pirbright, possèdent différentes souches de la fièvre aphteuse afin de mener des recherches et d'élaborer un vaccin contre ce virus et d'autres maladies animales.
Les deux laboratoires se sont retrouvés au coeur des investigations depuis que le ministère britannique de l'Agriculture (Defra) a annoncé que la souche de fièvre aphteuse qui avait infecté 60 têtes de bétail dans un élevage situé à huit kilomètres de Pirbright "n'avait pas été retrouvée récemment sur des animaux".
Il s'agit en fait d'une souche proche de celle du virus 01 BFS67, isolée par des biologistes britanniques il y a quarante ans, a ajouté le ministère.
Le directeur de l'IAH a publié un communiqué indiquant que toutes les règles de sécurité avaient été respectées dans son laboratoire. Il n'a cependant pas exclu la possibilité que la souche qui a contaminé l'élevage du Surrey puisse venir du laboratoire de Merial, situé à côté de son établissement.
A TITRE DE PRECAUTION
Un porte-parole de Merial a annoncé que le groupe avait suspendu la production de vaccin par mesure de précaution. Dans un communiqué, il se déclare attaché au respect "des plus hautes normes internationales en matière de qualité de produits et de sécurité".
"Merial collaborera pleinement avec les autorités britanniques pour établir la source de la maladie et apportera tout son concours aux experts du Defra pour maîtriser cette épizootie de manière satisfaisante", a ajouté David Biland, directeur général de Merial pour la Grande-Bretagne.
Responsable des services vétérinaires britanniques, le dr Debby Reynolds a ordonné "un réexamen urgent de toutes les mesures de biosécurité" dans les deux laboratoires, tout en soulignant examiner les autres pistes possibles.
Les animaux infectés, ainsi qu'un troupeau d'une ferme voisine, ont été isolés et abattus samedi. Jusqu'ici, deux seulement des 64 bêtes abattues ont été testées positives à la fièvre aphteuse, a souligné le Defra.
S'il est confirmé que la source du foyer de fièvre aphteuse a pour origine l'un des deux laboratoires, il s'agirait d'un grand soulagement pour le monde agricole britannique, qui peine encore à se remettre de l'épidémie de 2001.
Toutefois, cela risquerait de semer l'émoi dans la communauté scientifique en démontrant qu'un virus hautement pathogène, transporté par le vent, peut s'échapper d'un site de recherche sous haute sécurité.
En 2001, une épidémie de fièvre aphteuse avait entraîné l'abattage de plus de six millions de bovins et de moutons en Grande-Bretagne. L'épizootie s'était propagée à plusieurs pays de l'UE, dont la France, l'Irlande et les Pays-Bas.
BROWN INTERROMPT SES VACANCES
Le Premier ministre Gordon Brown est rentré précipitamment de vacances pour présider samedi une réunion de crise à Londres.
Le ministère de l'Agriculture a annoncé avoir suspendu de sa propre initiative toutes les exportations de carcasses, viande et lait à destination de l'Union européenne, les exportations d'animaux vivants tombant déjà sous le coup de l'interdiction sur les déplacements.
La Commission européenne a annoncé avoir interdit l'exportation d'animaux vivants de Grande-Bretagne, ainsi que la viande et les produits laitiers provenant de la zone touchée. De nouvelles mesures pourraient être prises après une réunion des experts vétérinaires mercredi.
A Paris, le ministère français de l'Agriculture a demandé aux services vétérinaires départementaux de recenser et de tester les bovins, ovins, caprins et porcins importés ces dix derniers jours de Grande-Bretagne.
Il s'agit "d'écarter toute suspicion clinique de fièvre aphteuse" sur le territoire français, précise un communiqué.
En attendant les résultats de ces examens, les rassemblements d'espèces "sensibles" - foires ou comices agricoles - sont suspendus dans toute la France.
Aux Etats-Unis, le ministère de l'Agriculture (USDA) a annoncé que les importations de porcs et de produits porcins en provenance de Grande-Bretagne étaient désormais interdites.
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Publié le 06/08 à 11:08 Les anti-OGM mobilisés ce week-end
Plusieurs centaines de militants anti-OGM ont manifesté ce week-end et effectué des arrachages symboliques
Des militants anti-OGM parmi lesquels José Bové, faucheurs volontaires, militants de la Confédération paysanne et d'associations locales, ont arraché dimanche des pieds de maïs dans l'Hérault près de Murviel-lès-Béziers.
Des manifestations ont eu lieu la veille, à Paillet (Gironde), à Avignon, Bordeaux pour réclamer un moratoire sur les cultures.
Ils demandent aussi la "transparence" sur les cultures de maïs transgénique.
Dimanche, à Ouzouer-sous-Bellegarde, dans le Loiret, une trentaine de militants du Centre et d'Ile-de-France ont capturé des abeilles "porteuses de pollen OGM " et les ont "jugées" pour "disséminations volontaires commises en réunion", à défaut de pouvoir entrer sur une parcelle de cultures OGM protégée par une quarantaine de gendarmes accompagnés de maîtres-chiens.
A Marçay, au sud de Chinon (Indre-et-Loire), une centaine de militants rassemblés pour un pique-nique ont tenté de convaincre un agriculteur de "détruire" la parcelle OGM qu'il cultive pour nourrir ses animaux.
Le week-end d'actions a été endeuillé par le suicide d'un agriculteur du Lot âgé de 46 ans. Il s'est pendu à un arbre dans son champ de Girac, où des manifestants anti-OGM avaient prévu d'organiser un pique-nique. Un tract appelant à la manifestation a été trouvée au pied de l'arbre. Celle-ci a été annulée.
Mardi, des militants anti-OGM, reçus au ministère de l'Ecologie, ont demandé la mise en place immédiate d'un moratoire sur les cultures en plein champ d'OGM, menaçant de procéder à de nouveaux fauchages faute d'avancée sur ce dossier.
Plusieurs centaines de militants anti-OGM ont manifesté ce week-end et effectué des arrachages symboliques
Des militants anti-OGM parmi lesquels José Bové, faucheurs volontaires, militants de la Confédération paysanne et d'associations locales, ont arraché dimanche des pieds de maïs dans l'Hérault près de Murviel-lès-Béziers.
Des manifestations ont eu lieu la veille, à Paillet (Gironde), à Avignon, Bordeaux pour réclamer un moratoire sur les cultures.
Ils demandent aussi la "transparence" sur les cultures de maïs transgénique.
Dimanche, à Ouzouer-sous-Bellegarde, dans le Loiret, une trentaine de militants du Centre et d'Ile-de-France ont capturé des abeilles "porteuses de pollen OGM " et les ont "jugées" pour "disséminations volontaires commises en réunion", à défaut de pouvoir entrer sur une parcelle de cultures OGM protégée par une quarantaine de gendarmes accompagnés de maîtres-chiens.
A Marçay, au sud de Chinon (Indre-et-Loire), une centaine de militants rassemblés pour un pique-nique ont tenté de convaincre un agriculteur de "détruire" la parcelle OGM qu'il cultive pour nourrir ses animaux.
Le week-end d'actions a été endeuillé par le suicide d'un agriculteur du Lot âgé de 46 ans. Il s'est pendu à un arbre dans son champ de Girac, où des manifestants anti-OGM avaient prévu d'organiser un pique-nique. Un tract appelant à la manifestation a été trouvée au pied de l'arbre. Celle-ci a été annulée.
Mardi, des militants anti-OGM, reçus au ministère de l'Ecologie, ont demandé la mise en place immédiate d'un moratoire sur les cultures en plein champ d'OGM, menaçant de procéder à de nouveaux fauchages faute d'avancée sur ce dossier.
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Publié le 06/08 à 08:15 62e anniversaire de Hiroshima
Le Japon a réaffirmé son rejet de l'arme nucléaire à l'occasion du 62e anniversaire du bombardement de Hiroshima
Le 6 août 1945 environ 140.000 personnes avaient instantanément péri lorsque les Américains lâchèrent une bombe atomique sur la ville à la fin de la seconde guerre mondiale.
Quelque 45.000 personnes se sont recueillies silencieusement à 08H15, l'heure exacte de l'explosion de la bombe A.
"Ma détermination à empêcher une telle tragédie de se reproduire est plus forte que jamais", a affirmé dans un discours le Premier ministre Shinzo Abe.
"Je renouvelle ma promesse de maintenir les trois principes antinucléaires", en vertu desquels le Japon s'interdit de fabriquer, de posséder ou d'admettre la présence sur son territoire d'armes atomiques, a ajouté M. Abe.
L'an dernier, des membres de l'entourage du Premier ministre conservateur avaient estimé souhaitable de réfléchir à l'éventualité de doter le Japon d'armements atomiques, après le test nucléaire effectué par la Corée du Nord ennemie.
Mais une telle éventualité est jugée inadmissible par la plupart des habitants de Hiroshima et de Nagasaki, où une deuxième bombe A avait fait 70.000 morts le 9 août, dans les dernières semaines de la Seconde guerre mondiale.
Au cours de la cérémonie commémorative, le maire pacifiste de Hiroshima, Tadatoshi Akiba, a dénoncé les puissances nucléaires, citant nommément les Etats-Unis.
"Les êtres humains sont encore sous la menace de la destruction parce qu'un petit nombre de dirigeants rétrogrades continuent à tourner le dos à la réalité de la bombe atomique et aux messages des survivants", a déploré M. Akiba.
"Le gouvernement du Japon doit dire non à la politique des Etats-Unis, qui est dépassée et erronée", a-t-il plaidé.
Le Japon, devenu après la guerre l'un des plus fidèles alliés des Etats-Unis, héberge plus de 40.000 soldats américains sur son territoire.
Le Japon a réaffirmé son rejet de l'arme nucléaire à l'occasion du 62e anniversaire du bombardement de Hiroshima
Le 6 août 1945 environ 140.000 personnes avaient instantanément péri lorsque les Américains lâchèrent une bombe atomique sur la ville à la fin de la seconde guerre mondiale.
Quelque 45.000 personnes se sont recueillies silencieusement à 08H15, l'heure exacte de l'explosion de la bombe A.
"Ma détermination à empêcher une telle tragédie de se reproduire est plus forte que jamais", a affirmé dans un discours le Premier ministre Shinzo Abe.
"Je renouvelle ma promesse de maintenir les trois principes antinucléaires", en vertu desquels le Japon s'interdit de fabriquer, de posséder ou d'admettre la présence sur son territoire d'armes atomiques, a ajouté M. Abe.
L'an dernier, des membres de l'entourage du Premier ministre conservateur avaient estimé souhaitable de réfléchir à l'éventualité de doter le Japon d'armements atomiques, après le test nucléaire effectué par la Corée du Nord ennemie.
Mais une telle éventualité est jugée inadmissible par la plupart des habitants de Hiroshima et de Nagasaki, où une deuxième bombe A avait fait 70.000 morts le 9 août, dans les dernières semaines de la Seconde guerre mondiale.
Au cours de la cérémonie commémorative, le maire pacifiste de Hiroshima, Tadatoshi Akiba, a dénoncé les puissances nucléaires, citant nommément les Etats-Unis.
"Les êtres humains sont encore sous la menace de la destruction parce qu'un petit nombre de dirigeants rétrogrades continuent à tourner le dos à la réalité de la bombe atomique et aux messages des survivants", a déploré M. Akiba.
"Le gouvernement du Japon doit dire non à la politique des Etats-Unis, qui est dépassée et erronée", a-t-il plaidé.
Le Japon, devenu après la guerre l'un des plus fidèles alliés des Etats-Unis, héberge plus de 40.000 soldats américains sur son territoire.
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La Grande-Bretagne soupçonne un second foyer de fièvre aphteuse
LEMONDE.FR avec AFP | 07.08.07 | 07h36 • Mis à jour le 07.08.07 | 07h36
La chef du département vétérinaire britannique, Debby Reynolds, a ordonné, lundi soir 6 août, l'abattage du bétail d'une ferme soupçonnée d'être un second foyer de fièvre aphteuse, situé "à quelques kilomètres" de la ferme où a été diagnostiqué le premier foyer de la maladie, vendredi dans le Surrey, à une cinquantaine de kilomètres au sud-ouest de Londres. Ce nouveau foyer se trouve "à l'intérieur de la zone protégée" mise en place samedi, constituée d'un périmètre d'exclusion de trois kilomètres et un périmètre de surveillance de 10 kilomètres autour de la ferme où s'est déclarée la maladie, ainsi qu'autour du site de Pirbright, proche de l'exploitation, où sont installés des laboratoires de recherche utilisant le virus de la fièvre aphteuse."Ces zones de protection et de surveillance doivent refléter le risque encouru", a souligné Mme Reynolds sur la chaîne télévisée de la BBC.
C'est une visite des vétérinaires dans cette exploitation proche du premier foyer qui a permis de remarquer des symptômes inquiétants, suggérant que le bétail avait été contaminé par la fièvre aphteuse. L'abattage, qui concernait 50 bêtes, "a commencé. La maladie a été diagnostiquée rapidement et je continuerai à gérer la situation en fonction des résultats des tests effectués en laboratoire", a précisé Mme Reynolds. Les résultats des analyses des échantillons prélevés sur ces animaux doivent être connus dans la journée de mardi.
"STANDARDS INTERNATIONAUX LES PLUS ÉLEVÉS"
C'est également ce mardi que l'origine de ce retour de la fièvre aphteuse, maladie qui avait ravagé le cheptel britanniques en 2001, devrait être connue : les experts qui ont commencé à travailler sur le site de Pirbright dimanche devaient rendre leurs résultats sous 48 heures, selon le ministre de l'environnement, Hilary Benn. Sur ce site sont installés un laboratoire de recherche animale de la société Merial, qui détient le virus de la fièvre aphteuse pour fabriquer des vaccins, et un institut public.
Ces deux laboratoires ont souligné qu'il n'y avait aucune preuve à ce stade d'une défaillance de la sécurité biologique de leurs installations. Le site "fonctionne selon les standards internationaux les plus élevés et nous avons entière confiance en l'intégrité de nos activités", a ainsi indiqué dans un communiqué David Biland, le directeur opérationnel de Merial, détenu par les groupes américain Merck et français Sanofi-Aventis.
LEMONDE.FR avec AFP | 07.08.07 | 07h36 • Mis à jour le 07.08.07 | 07h36
La chef du département vétérinaire britannique, Debby Reynolds, a ordonné, lundi soir 6 août, l'abattage du bétail d'une ferme soupçonnée d'être un second foyer de fièvre aphteuse, situé "à quelques kilomètres" de la ferme où a été diagnostiqué le premier foyer de la maladie, vendredi dans le Surrey, à une cinquantaine de kilomètres au sud-ouest de Londres. Ce nouveau foyer se trouve "à l'intérieur de la zone protégée" mise en place samedi, constituée d'un périmètre d'exclusion de trois kilomètres et un périmètre de surveillance de 10 kilomètres autour de la ferme où s'est déclarée la maladie, ainsi qu'autour du site de Pirbright, proche de l'exploitation, où sont installés des laboratoires de recherche utilisant le virus de la fièvre aphteuse."Ces zones de protection et de surveillance doivent refléter le risque encouru", a souligné Mme Reynolds sur la chaîne télévisée de la BBC.
C'est une visite des vétérinaires dans cette exploitation proche du premier foyer qui a permis de remarquer des symptômes inquiétants, suggérant que le bétail avait été contaminé par la fièvre aphteuse. L'abattage, qui concernait 50 bêtes, "a commencé. La maladie a été diagnostiquée rapidement et je continuerai à gérer la situation en fonction des résultats des tests effectués en laboratoire", a précisé Mme Reynolds. Les résultats des analyses des échantillons prélevés sur ces animaux doivent être connus dans la journée de mardi.
"STANDARDS INTERNATIONAUX LES PLUS ÉLEVÉS"
C'est également ce mardi que l'origine de ce retour de la fièvre aphteuse, maladie qui avait ravagé le cheptel britanniques en 2001, devrait être connue : les experts qui ont commencé à travailler sur le site de Pirbright dimanche devaient rendre leurs résultats sous 48 heures, selon le ministre de l'environnement, Hilary Benn. Sur ce site sont installés un laboratoire de recherche animale de la société Merial, qui détient le virus de la fièvre aphteuse pour fabriquer des vaccins, et un institut public.
Ces deux laboratoires ont souligné qu'il n'y avait aucune preuve à ce stade d'une défaillance de la sécurité biologique de leurs installations. Le site "fonctionne selon les standards internationaux les plus élevés et nous avons entière confiance en l'intégrité de nos activités", a ainsi indiqué dans un communiqué David Biland, le directeur opérationnel de Merial, détenu par les groupes américain Merck et français Sanofi-Aventis.
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L'ANPE-Jeunes organise un "baby- sitting dating"
LE MONDE
Chaque année, à la même période, souffle un vent de panique chez les parents de jeunes enfants. A l'approche de la rentrée, ils partent à la recherche de l'étudiant (e) qui pourra, durant l'année scolaire, prendre les petits à la sortie de l'école, les aider, éventuellement, à faire leurs devoirs. Bref, en prendre soin jusqu'à leur retour.
Que les aoûtiens qui habitent Paris et ses environs, et qui n'ont pas encore trouvé de solution, profitent de leurs vacances : du 31 août au 6 septembre, l'équipe étudiants de l'ANPE-Jeunes et le Crous de Paris organisent le premier "baby-sitting dating" dans la capitale (39, avenue Georges-Bernanos, 75005 Paris). Chaque parent disposera d'une tranche d'une heure et demie, selon un planning préétabli, durant laquelle il s'entretiendra en tête-à-tête de cinq à dix minutes avec les étudiants.
Le hall d'exposition du Crous de Paris sera organisé en zones géographiques (nord, sud, est, ouest) correspondant aux arrondissements de résidence des parents, ce qui permettra aux étudiants de chercher en fonction de leur lieu d'habitation ou d'études. La demande de participation et la réservation d'une tranche horaire par les parents se feront uniquement par téléphone au 01-40-51-37-57 à partir du lundi 20 août, de 9 h 30 à 12 h 30 et de 13 h 30 à 16 h 30.
Martine Laronche
Article paru dans l'édition du 07.08.07.
LE MONDE
Chaque année, à la même période, souffle un vent de panique chez les parents de jeunes enfants. A l'approche de la rentrée, ils partent à la recherche de l'étudiant (e) qui pourra, durant l'année scolaire, prendre les petits à la sortie de l'école, les aider, éventuellement, à faire leurs devoirs. Bref, en prendre soin jusqu'à leur retour.
Que les aoûtiens qui habitent Paris et ses environs, et qui n'ont pas encore trouvé de solution, profitent de leurs vacances : du 31 août au 6 septembre, l'équipe étudiants de l'ANPE-Jeunes et le Crous de Paris organisent le premier "baby-sitting dating" dans la capitale (39, avenue Georges-Bernanos, 75005 Paris). Chaque parent disposera d'une tranche d'une heure et demie, selon un planning préétabli, durant laquelle il s'entretiendra en tête-à-tête de cinq à dix minutes avec les étudiants.
Le hall d'exposition du Crous de Paris sera organisé en zones géographiques (nord, sud, est, ouest) correspondant aux arrondissements de résidence des parents, ce qui permettra aux étudiants de chercher en fonction de leur lieu d'habitation ou d'études. La demande de participation et la réservation d'une tranche horaire par les parents se feront uniquement par téléphone au 01-40-51-37-57 à partir du lundi 20 août, de 9 h 30 à 12 h 30 et de 13 h 30 à 16 h 30.
Martine Laronche
Article paru dans l'édition du 07.08.07.
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63% des Français favorables au travail après 65 ans
AFP - il y a 1 heure 11 minutes
PARIS (AFP) - Soixante-trois pour cent des Français sont favorables à ce qu'un salarié puisse travailler après 65 ans s'il le souhaite, selon un sondage CSA publié mardi dans Le Parisien/Aujourd'hui en France.
(Publicité)
36% sont contre et 1% est sans-opinion d'après le sondage.
Les cadres et les professions libérales sont 82% à souhaiter travailler au-delà de 65 ans, âge légal de la retraite, alors que les ouvriers et employés sont les plus mitigés sur la question (respectivement 56% et 53%), selon CSA.
Dans le secteur privé, 63% des personnes interrogées sont d'accord pour que les salariés puissent poursuivre leur carrière après 65 ans contre seulement 55% dans le secteur public.
Sondage réalisé par téléphone les 1er et 2 août auprès d'un échantillon de 1001 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus (méthode des quotas). Notice détaillée disponible auprès de la commission des sondages.
AFP - il y a 1 heure 11 minutes
PARIS (AFP) - Soixante-trois pour cent des Français sont favorables à ce qu'un salarié puisse travailler après 65 ans s'il le souhaite, selon un sondage CSA publié mardi dans Le Parisien/Aujourd'hui en France.
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36% sont contre et 1% est sans-opinion d'après le sondage.
Les cadres et les professions libérales sont 82% à souhaiter travailler au-delà de 65 ans, âge légal de la retraite, alors que les ouvriers et employés sont les plus mitigés sur la question (respectivement 56% et 53%), selon CSA.
Dans le secteur privé, 63% des personnes interrogées sont d'accord pour que les salariés puissent poursuivre leur carrière après 65 ans contre seulement 55% dans le secteur public.
Sondage réalisé par téléphone les 1er et 2 août auprès d'un échantillon de 1001 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus (méthode des quotas). Notice détaillée disponible auprès de la commission des sondages.
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Le FDA donne son feu vert à un nouveau médicament anti-VIH
WASHINGTON - La Food and Drug Administration (FDA), agence sanitaire américaine, a donné son feu vert lundi à un nouveau médicament anti-VIH, tout en reconnaissant qu'il s'adressait aux patients n'ayant pas d'autre option en raison de ses possibles effets à long terme.
(Publicité)
Le Selzentry du géant pharmaceutique Pfizer -qui deviendra le Celsentri hors des Etats-Unis- est le premier médicament à bloquer le récepteur CCR5, porte que le virus du SIDA force souvent pour pénétrer les globules blancs.
Pfizer a précisé que son nouveau produit, qui répond au nom chimique de maraviroc, serait disponible le mois prochain. On ignore en revanche quel sera son prix.
Sa commercialisation marque le premier lancement d'un médicament anti-VIH de nouvelle génération depuis 2003, année au cours de laquelle la FDA avait approuvé un "inhibiteur de fusion" injectable, agent capable de bloquer une phase ultérieure de l'infection.
La FDA a approuvé le Selzentry après être parvenu à la conclusion que certains patients difficiles à soigner avaient besoin de cette possibilité. L'agence a cependant demandé à Pfizer de mener des recherches complémentaires afin d'évaluer les effets secondaires de la nouvelle molécule.
Pour les patients concernés, dont le virus développe des résistances aux traitements existants, les avantages du Selzentry "contrebalancent largement les risques", a assuré le Dr Debra Birnkrant, responsable du département VIH à la FDA. "Cela ne signifie toutefois pas qu'il n'existe pas de risques", a-t-elle nuancé.
Parmi les effets indésirables figurent de graves dommages au foie, ainsi que des problèmes cardio-vasculaires et des affections respiratoires. AP
WASHINGTON - La Food and Drug Administration (FDA), agence sanitaire américaine, a donné son feu vert lundi à un nouveau médicament anti-VIH, tout en reconnaissant qu'il s'adressait aux patients n'ayant pas d'autre option en raison de ses possibles effets à long terme.
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Le Selzentry du géant pharmaceutique Pfizer -qui deviendra le Celsentri hors des Etats-Unis- est le premier médicament à bloquer le récepteur CCR5, porte que le virus du SIDA force souvent pour pénétrer les globules blancs.
Pfizer a précisé que son nouveau produit, qui répond au nom chimique de maraviroc, serait disponible le mois prochain. On ignore en revanche quel sera son prix.
Sa commercialisation marque le premier lancement d'un médicament anti-VIH de nouvelle génération depuis 2003, année au cours de laquelle la FDA avait approuvé un "inhibiteur de fusion" injectable, agent capable de bloquer une phase ultérieure de l'infection.
La FDA a approuvé le Selzentry après être parvenu à la conclusion que certains patients difficiles à soigner avaient besoin de cette possibilité. L'agence a cependant demandé à Pfizer de mener des recherches complémentaires afin d'évaluer les effets secondaires de la nouvelle molécule.
Pour les patients concernés, dont le virus développe des résistances aux traitements existants, les avantages du Selzentry "contrebalancent largement les risques", a assuré le Dr Debra Birnkrant, responsable du département VIH à la FDA. "Cela ne signifie toutefois pas qu'il n'existe pas de risques", a-t-elle nuancé.
Parmi les effets indésirables figurent de graves dommages au foie, ainsi que des problèmes cardio-vasculaires et des affections respiratoires. AP
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Chez les femmes, la caféine aiderait à conserver la mémoire
PARIS (Reuters) - La caféine a chez les femmes âgées de plus de 65 ans un effet protecteur pour la mémoire, selon un étude de chercheurs de l'Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm).
La consommation d'au moins trois tasses de café, ou de six tasses de thé, par jour protège les femmes de plus de 65 ans du déclin cognitif, lit-on dans les travaux d'une unité de l'Inserm qui sont publiés mardi 7 août dans Neurology, organe de l'Académie américaine de neurologie.
"Nos résultats montrent que plus les femmes s'éloignent de la ménopause, plus le bénéfice de la caféine est important", explique Karen Ritchie, qui coordonne une unité de l'Inserm, basée à Montpellier (Hérault), responsable de cette étude.
Les chercheurs ignorent pourquoi la caféine ne protège que les femmes. "Il est possible que les hommes et les femmes métabolisent différemment la caféine ou bien encore qu'il y a ait une interaction hormonale", ajoute Karen Ritchie, selon un communiqué publié par l'Inserm.
L'étude de l'unité Inserm 888 a été réalisée à partir de données recueillies pendant quatre ans auprès de 7.000 personnes âgées de 65 ans et plus.
PARIS (Reuters) - La caféine a chez les femmes âgées de plus de 65 ans un effet protecteur pour la mémoire, selon un étude de chercheurs de l'Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm).
La consommation d'au moins trois tasses de café, ou de six tasses de thé, par jour protège les femmes de plus de 65 ans du déclin cognitif, lit-on dans les travaux d'une unité de l'Inserm qui sont publiés mardi 7 août dans Neurology, organe de l'Académie américaine de neurologie.
"Nos résultats montrent que plus les femmes s'éloignent de la ménopause, plus le bénéfice de la caféine est important", explique Karen Ritchie, qui coordonne une unité de l'Inserm, basée à Montpellier (Hérault), responsable de cette étude.
Les chercheurs ignorent pourquoi la caféine ne protège que les femmes. "Il est possible que les hommes et les femmes métabolisent différemment la caféine ou bien encore qu'il y a ait une interaction hormonale", ajoute Karen Ritchie, selon un communiqué publié par l'Inserm.
L'étude de l'unité Inserm 888 a été réalisée à partir de données recueillies pendant quatre ans auprès de 7.000 personnes âgées de 65 ans et plus.
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Asie du Sud: plus de 1600 morts dans les inondations
NEW DELHI (AFP) - Plus de 1.600 personnes sont mortes en Asie du Sud à la suite des inondations provoquées par la mousson, dont 1.258 en Inde, selon le ministère indien de l'Intérieur.
"Le nombre de personnes décédées (en Inde) est de 1.258, selon les informations provisoires disponibles (...)", a indiqué lundi un communiqué du ministère qui précise que 31 millions de personnes sont touchées par les pluies diluviennes qui se sont abattues dans ce pays.
En Asie du Sud, le nombre de morts dus à ces inondations atteint ainsi 1.631 personnes, dont 282 au Bangladesh et 91 au Népal.
En Inde, de vastes zones dans les Etats de l'Uttar Pradesh (nord), du Bihar (est) et de l'Assam (nord-est) sont submergées par les eaux, ont indiqué des responsables.
Les pertes dues aux inondations sont estimées à 12,68 milliards de roupies (313 millions de dollars), selon le ministère de l'Intérieur.
Les zones touchées ont reçu le soutien du gouvernement fédéral qui a déployé des militaires et envoyé des hélicoptères de l'armée de l'air, des bateaux et des équipes de plongeurs.
Les sinistrés manquent cruellement d'eau potable, de nourriture et de soins. Un adolescent est mort noyé dimanche à la suite d'une rixe pour une ration d'urgence, a rapporté la police.
Des hélicoptères ont largué des milliers de rations d'urgence, bougies, et bâches mais beaucoup des colis ont sombré, ont déploré des habitants.
"S'il arrive encore plus d'eau du Népal, la situation va empirer", a mis en garde Job Zachariah représentant du Fonds des Nations unies pour l'enfance (Unicef) dans le Bihar.
Au Bangladesh 282 personnes ont péri. "Toutes les maisons du village, à l'exception d'une dizaine sont submergées", a témoigné Mina, une habitante du village de Royhati Diapara dans le district de Sirajganj (sud-ouest).
"Nous ne nous attendions pas à ces inondations. On a été pris par surprise c'est la raison pour laquelle nous n'avions pas stocké de nourriture. A présent, ou ne mange qu'une seule fois ou parfois deux par jour, mais pas trois", dit-elle.
Le Bangladesh est traversé par 230 cours d'eau qui chaque année inondent au minimum le cinquième du pays. Mais, cette année, près de 40% du pays est sous l'eau.
Le chef du gouvernement intérimaire, Fakhruddin Ahmed, a lancé dimanche soir un appel à ses concitoyens. "Je lance un appel aux gens de toutes conditions, quelque soient leur appartenance sociale et leur profession, à venir spontanément en aide à ceux qui été affectés par les inondations", a-t-il dit lors d'une allocution télévisée.
Enfin, au Népal, où les Nations unies ont lancé une opération de secours pour les centaines de milliers de sinistrés, au moins 91 personnes sont décédées depuis la mi-juin.
Le Canada a annoncé lundi une contribution d'un million de dollars (950.000 USD) pour l'aide d'urgence aux populations touchées par les inondations en Asie du Sud.
"Le Canada est profondément attristé par les pertes de vie tragiques et par la destruction qui ont frappé le Bangladesh, l'Inde et le Népal au cours des dernières semaines", a déclaré le ministre des Affaires étrangères Peter MacKay.
"Le Canada tient à témoigner son soutien à ces pays dans leurs efforts" pour soulager les populations touchées, a-t-il ajouté.
NEW DELHI (AFP) - Plus de 1.600 personnes sont mortes en Asie du Sud à la suite des inondations provoquées par la mousson, dont 1.258 en Inde, selon le ministère indien de l'Intérieur.
"Le nombre de personnes décédées (en Inde) est de 1.258, selon les informations provisoires disponibles (...)", a indiqué lundi un communiqué du ministère qui précise que 31 millions de personnes sont touchées par les pluies diluviennes qui se sont abattues dans ce pays.
En Asie du Sud, le nombre de morts dus à ces inondations atteint ainsi 1.631 personnes, dont 282 au Bangladesh et 91 au Népal.
En Inde, de vastes zones dans les Etats de l'Uttar Pradesh (nord), du Bihar (est) et de l'Assam (nord-est) sont submergées par les eaux, ont indiqué des responsables.
Les pertes dues aux inondations sont estimées à 12,68 milliards de roupies (313 millions de dollars), selon le ministère de l'Intérieur.
Les zones touchées ont reçu le soutien du gouvernement fédéral qui a déployé des militaires et envoyé des hélicoptères de l'armée de l'air, des bateaux et des équipes de plongeurs.
Les sinistrés manquent cruellement d'eau potable, de nourriture et de soins. Un adolescent est mort noyé dimanche à la suite d'une rixe pour une ration d'urgence, a rapporté la police.
Des hélicoptères ont largué des milliers de rations d'urgence, bougies, et bâches mais beaucoup des colis ont sombré, ont déploré des habitants.
"S'il arrive encore plus d'eau du Népal, la situation va empirer", a mis en garde Job Zachariah représentant du Fonds des Nations unies pour l'enfance (Unicef) dans le Bihar.
Au Bangladesh 282 personnes ont péri. "Toutes les maisons du village, à l'exception d'une dizaine sont submergées", a témoigné Mina, une habitante du village de Royhati Diapara dans le district de Sirajganj (sud-ouest).
"Nous ne nous attendions pas à ces inondations. On a été pris par surprise c'est la raison pour laquelle nous n'avions pas stocké de nourriture. A présent, ou ne mange qu'une seule fois ou parfois deux par jour, mais pas trois", dit-elle.
Le Bangladesh est traversé par 230 cours d'eau qui chaque année inondent au minimum le cinquième du pays. Mais, cette année, près de 40% du pays est sous l'eau.
Le chef du gouvernement intérimaire, Fakhruddin Ahmed, a lancé dimanche soir un appel à ses concitoyens. "Je lance un appel aux gens de toutes conditions, quelque soient leur appartenance sociale et leur profession, à venir spontanément en aide à ceux qui été affectés par les inondations", a-t-il dit lors d'une allocution télévisée.
Enfin, au Népal, où les Nations unies ont lancé une opération de secours pour les centaines de milliers de sinistrés, au moins 91 personnes sont décédées depuis la mi-juin.
Le Canada a annoncé lundi une contribution d'un million de dollars (950.000 USD) pour l'aide d'urgence aux populations touchées par les inondations en Asie du Sud.
"Le Canada est profondément attristé par les pertes de vie tragiques et par la destruction qui ont frappé le Bangladesh, l'Inde et le Népal au cours des dernières semaines", a déclaré le ministre des Affaires étrangères Peter MacKay.
"Le Canada tient à témoigner son soutien à ces pays dans leurs efforts" pour soulager les populations touchées, a-t-il ajouté.
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Les retraités champions des départs en vacances
Par Brigitte HAGEMANN AFP - il y a 1 heure 33 minutes
PARIS (AFP) - Les retraités âgés de 65 ans et plus sont les champions des départs en vacances: ils se sont évadés 37 jours en moyenne en 2004, contre 26 jours pour l'ensemble des Français, selon une étude de l'Insee publiée mardi.
"Les générations nombreuses des baby-boomers" d'après-guerre, qui ont commencé à partir massivement en retraite depuis 2006, "devraient venir nourrir le phénomène de +tourisme des seniors+ dans les années à venir", commentent les auteurs de l'étude.
Libérés des contraintes professionnelles, les seniors ont tendance à étaler leurs vacances sur l'ensemble de l'année: "même s'ils apprécient toujours les mois de juillet et d'août", ils n'effectuent que 40% de leurs séjours pendant cette période, contre 60% pour les personnes en âge de travailler.
Si en 2004, les plus de 60 ans représentaient 21% de la population française, ils devraient passer à 32% en 2050, selon les dernières projections démographiques établies par l'INSEE.
Mathématiquement, il en résultera une forte croissance de la part de la clientèle des seniors sur le marché du tourisme.
"Le fort potentiel de départs en vacances" que représentent les seniors devrait "permettre une meilleure répartition des séjours sur l'ensemble de l'année", remplissant ainsi les hôtels en dehors de la haute saison.
Si le début de la retraite est une période très propice aux départs en vacances, "à partir de 70 ans, les séjours touristiques se raréfient, pour raisons de santé essentiellement".
Au fil des générations, les Français ont été toujours plus nombreux à partir en vacances: leur taux de départ est ainsi passé de 43% en 1964 à près de 65% en 2004. Si cette croissance a été très rapide jusqu'en 1989, ce taux progresse plus faiblement depuis une dizaine d'années.
Avec un taux de départ de 72,4% en 2004, les moins de 20 ans sont les plus nombreux à partir, même si le nombre de jours passés en vacances est proche de la moyenne des Français, avec 25,7.
"L'augmentation du nombre d'enfants dont les parents sont divorcés contribue à multiplier, pour cette tranche d'âge, les occasions de départs", note l'étude. Cependant, près de la moitié des jeunes qui sont partis en 2004 ont passé leurs vacances au moins une fois sans leurs parents.
Seulement 59% des 20-24 ans sont partis en vacances en 2004, car "cette période charnière, qui correspond à la fin des études et à l'entrée dans la vie active, ne favorise pas les départs nombreux et prolongés".
Une fois installés dans la vie active, les Français recommencent à partir davantage, lorsque leur portefeuille le leur permet: entre 25 et 45 ans, la moitié des non-partants déclarent renoncer aux vacances pour des raisons financières.
Ces dernières décennies, le nombre de séjours par an n'a cessé d'augmenter: les vacanciers partaient en moyenne 1,5 fois en 1968 et 2,2 fois en 2004. Dans le même temps, la durée des séjours a diminué, passant de 19,6 jours en 1964 à 11,8 jours en 2004.
Si en 1964 les Français effectuaient 12,2% de leurs séjours à l'étranger, cette proportion est passée à 19,4% en 2004.
Cette tendance à passer davantage de vacances à l'étranger concerne l'ensemble des générations: grâce à la "diversification de l'offre" et des "prix plus abordables", "partir à l'étranger devient de plus en facile".
Par Brigitte HAGEMANN AFP - il y a 1 heure 33 minutes
PARIS (AFP) - Les retraités âgés de 65 ans et plus sont les champions des départs en vacances: ils se sont évadés 37 jours en moyenne en 2004, contre 26 jours pour l'ensemble des Français, selon une étude de l'Insee publiée mardi.
"Les générations nombreuses des baby-boomers" d'après-guerre, qui ont commencé à partir massivement en retraite depuis 2006, "devraient venir nourrir le phénomène de +tourisme des seniors+ dans les années à venir", commentent les auteurs de l'étude.
Libérés des contraintes professionnelles, les seniors ont tendance à étaler leurs vacances sur l'ensemble de l'année: "même s'ils apprécient toujours les mois de juillet et d'août", ils n'effectuent que 40% de leurs séjours pendant cette période, contre 60% pour les personnes en âge de travailler.
Si en 2004, les plus de 60 ans représentaient 21% de la population française, ils devraient passer à 32% en 2050, selon les dernières projections démographiques établies par l'INSEE.
Mathématiquement, il en résultera une forte croissance de la part de la clientèle des seniors sur le marché du tourisme.
"Le fort potentiel de départs en vacances" que représentent les seniors devrait "permettre une meilleure répartition des séjours sur l'ensemble de l'année", remplissant ainsi les hôtels en dehors de la haute saison.
Si le début de la retraite est une période très propice aux départs en vacances, "à partir de 70 ans, les séjours touristiques se raréfient, pour raisons de santé essentiellement".
Au fil des générations, les Français ont été toujours plus nombreux à partir en vacances: leur taux de départ est ainsi passé de 43% en 1964 à près de 65% en 2004. Si cette croissance a été très rapide jusqu'en 1989, ce taux progresse plus faiblement depuis une dizaine d'années.
Avec un taux de départ de 72,4% en 2004, les moins de 20 ans sont les plus nombreux à partir, même si le nombre de jours passés en vacances est proche de la moyenne des Français, avec 25,7.
"L'augmentation du nombre d'enfants dont les parents sont divorcés contribue à multiplier, pour cette tranche d'âge, les occasions de départs", note l'étude. Cependant, près de la moitié des jeunes qui sont partis en 2004 ont passé leurs vacances au moins une fois sans leurs parents.
Seulement 59% des 20-24 ans sont partis en vacances en 2004, car "cette période charnière, qui correspond à la fin des études et à l'entrée dans la vie active, ne favorise pas les départs nombreux et prolongés".
Une fois installés dans la vie active, les Français recommencent à partir davantage, lorsque leur portefeuille le leur permet: entre 25 et 45 ans, la moitié des non-partants déclarent renoncer aux vacances pour des raisons financières.
Ces dernières décennies, le nombre de séjours par an n'a cessé d'augmenter: les vacanciers partaient en moyenne 1,5 fois en 1968 et 2,2 fois en 2004. Dans le même temps, la durée des séjours a diminué, passant de 19,6 jours en 1964 à 11,8 jours en 2004.
Si en 1964 les Français effectuaient 12,2% de leurs séjours à l'étranger, cette proportion est passée à 19,4% en 2004.
Cette tendance à passer davantage de vacances à l'étranger concerne l'ensemble des générations: grâce à la "diversification de l'offre" et des "prix plus abordables", "partir à l'étranger devient de plus en facile".
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Du vinaigre pour détecter le cancer du col de l’utérus 06/08/2007 23:52 (Par Salim A. Bourras)
Du vinaigre pour détecter le cancer du col de l’utérus
Une nouvelle méthode bon marché de détection du cancer du col de l’utérus, pourrait sauver des millions de femmes dans les pays pauvres. Une équipe de chercheurs franco-indienne propose en effet une technique à la portée de tous, utilisant du vinaigre, de la gaze et une lampe halogène. Selon cette étude publiée dans le journal médical The Lancet, le test a permis de réduire, sur une période de sept ans, le nombre de cas de cancer du cool de l’utérus de près d’un quart, et le nombre de morts liées à la maladie de plus de 35 pour cent.
« Ce test très bon marché pourrait sauver la vie de millions de femmes dans le monde » indique l’équipe française de l’Agence internationale de recherche sur le cancer (IARC), citée par nos confrères de cyberpresse.ca. « C’est une étude référence » estime le Dr. Harshad Sanghvi, directeur médical au JHPIEGO, une organisation médicale internationale affiliée à l’Université Johns Hopkins, et qui a travaillé sur la prévention du cancer du col de l’utérus dans les pays pauvres.
Le cancer du col de l’utérus peut être évité. C’est la deuxième cause de mortalité par cancer chez les femmes, avec plus de 250.000 morts chaque année. Près de 80 pour cent des cas sont enregistrés dans les pays en voie de développement. L’examen visuel est pratiqué par une infirmière ou un travailleur médical qualifié. Ce dernier ou cette dernière, lave avec du vinaigre et de la gaze, l’utérus de la patiente maintenu ouvert par un spéculum. Après une minute, n’importe quelle lésion précancéreuse devient blanche et peut être visualisée à l’œil nu grâce à une lampe halogène.
Les chercheurs de français de l’IARC et leurs collègues indiens du Tamil Nadu, ont utilisé cette technique pour dépister 49.311 femmes dans le district de Dindigul, entre 2000 et 2003. Lorsque des lésions précancéreuses étaient découvertes, les médecins ont administré immédiatement un traitemement pour détruire les tissus cancéreux. Un autre groupe de 30.958 femmes a quant a lui reçu un traitement standard. Les volontaires ont été invitées à surveiller le moindre symptôme du cancer. Elle ont été suivie sur une période de sept ans, de 2000 à 2006.
Au final, les chercheurs ont enregistré 167 cas de cancer du col de l’utérus dont 83 mortels, chez les femmes dépistées par ce test. En comparaison, 158 cas de cancer dont 92 mortels, ont été enregistrés chez les femmes qui ne l’ont pas été. On d’autre terme, il y a eu 25 pour cent mois de cas et 23 pour cent moins de morts chez les femmes dépistées du premier groupe. Les chercheurs indiquent que toutes les femmes ayant participé à l’étude étaient en bonne santé au début de l’étude, et âgées de 30 à 59 ans.
« Ceci est la preuve définitive qu’avec un test extrêmement simple, nous pouvons avoir un impact considérable sur les taux de cancer » explique le Dr. Sanghvi. Pour sa part, le Dr. David Kerr, Professeur au Clinical Pharmacology and Cancer Therapeutics à l’Université d’Oxford, estime que cette étude ouvre la voie vers une application plus large de cette technique dans le monde. Notons que ces recherches ont été financées la Fondation Bill & Melinda Gates
Du vinaigre pour détecter le cancer du col de l’utérus 06/08/2007 23:52 (Par Salim A. Bourras)
Du vinaigre pour détecter le cancer du col de l’utérus
Une nouvelle méthode bon marché de détection du cancer du col de l’utérus, pourrait sauver des millions de femmes dans les pays pauvres. Une équipe de chercheurs franco-indienne propose en effet une technique à la portée de tous, utilisant du vinaigre, de la gaze et une lampe halogène. Selon cette étude publiée dans le journal médical The Lancet, le test a permis de réduire, sur une période de sept ans, le nombre de cas de cancer du cool de l’utérus de près d’un quart, et le nombre de morts liées à la maladie de plus de 35 pour cent.
« Ce test très bon marché pourrait sauver la vie de millions de femmes dans le monde » indique l’équipe française de l’Agence internationale de recherche sur le cancer (IARC), citée par nos confrères de cyberpresse.ca. « C’est une étude référence » estime le Dr. Harshad Sanghvi, directeur médical au JHPIEGO, une organisation médicale internationale affiliée à l’Université Johns Hopkins, et qui a travaillé sur la prévention du cancer du col de l’utérus dans les pays pauvres.
Le cancer du col de l’utérus peut être évité. C’est la deuxième cause de mortalité par cancer chez les femmes, avec plus de 250.000 morts chaque année. Près de 80 pour cent des cas sont enregistrés dans les pays en voie de développement. L’examen visuel est pratiqué par une infirmière ou un travailleur médical qualifié. Ce dernier ou cette dernière, lave avec du vinaigre et de la gaze, l’utérus de la patiente maintenu ouvert par un spéculum. Après une minute, n’importe quelle lésion précancéreuse devient blanche et peut être visualisée à l’œil nu grâce à une lampe halogène.
Les chercheurs de français de l’IARC et leurs collègues indiens du Tamil Nadu, ont utilisé cette technique pour dépister 49.311 femmes dans le district de Dindigul, entre 2000 et 2003. Lorsque des lésions précancéreuses étaient découvertes, les médecins ont administré immédiatement un traitemement pour détruire les tissus cancéreux. Un autre groupe de 30.958 femmes a quant a lui reçu un traitement standard. Les volontaires ont été invitées à surveiller le moindre symptôme du cancer. Elle ont été suivie sur une période de sept ans, de 2000 à 2006.
Au final, les chercheurs ont enregistré 167 cas de cancer du col de l’utérus dont 83 mortels, chez les femmes dépistées par ce test. En comparaison, 158 cas de cancer dont 92 mortels, ont été enregistrés chez les femmes qui ne l’ont pas été. On d’autre terme, il y a eu 25 pour cent mois de cas et 23 pour cent moins de morts chez les femmes dépistées du premier groupe. Les chercheurs indiquent que toutes les femmes ayant participé à l’étude étaient en bonne santé au début de l’étude, et âgées de 30 à 59 ans.
« Ceci est la preuve définitive qu’avec un test extrêmement simple, nous pouvons avoir un impact considérable sur les taux de cancer » explique le Dr. Sanghvi. Pour sa part, le Dr. David Kerr, Professeur au Clinical Pharmacology and Cancer Therapeutics à l’Université d’Oxford, estime que cette étude ouvre la voie vers une application plus large de cette technique dans le monde. Notons que ces recherches ont été financées la Fondation Bill & Melinda Gates
Infirmière aux urgences 

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Danemark : un Français retrouvé chez lui 3 ans après sa mort
Sans nouvelles de leur père depuis 20 ans, les deux enfants ont appris que la commune où il résidait au Danemark réclamait le remboursement de 15 000 euros de pensions.
Contacté par LCI.fr, le fils du défunt a indiqué que la requête a été annulée.
Julien FANCIULLI - le 06/08/2007 - 19h44
En 20 ans, Raphaël et Déborah n'ont reçu aucun signe de vie de la part de leur père. Après son divorce en 1987, Jean-Marie Hunzinger décide de quitter l'Alsace et la France, direction le Danemark et la commune d'Odense. Il ne laissera aucune adresse et n'enverra aucune nouvelle. Et pour cause. En juin dernier, la police danoise découvre le corps d'un homme seul et isolé dans un appartement.
Les légistes sont formels : il s'agit de l'expatrié français. Ils indiquent que l'individu est décédé de mort naturelle et ajoutent que la mort remonte à novembre 2004. "L'Ambassade de France au Danemark a fait l'intermédiaire avec les enfants du défunt à qui nous avons raconté cette macabre découverte", a indiqué Luc de Williencourt, premier conseiller à l'ambassade de France, à LCI.fr
Payer pour un tombeau
Au micro de France Info, Déborah Hunzinger a confié lundi : "Quand j'ai appris la nouvelle, j'étais toute émue, retournée. L'ambassade m'a dit qu'il vivait en retrait. Ce qui me choque le plus, c'est que personne ne s'est soucié de l'état de mon père pendant trois ans".
L'histoire et les mauvaises surprises ne s'arrêtent pas là. La famille du défunt apprend que la commune d'Odense leur réclame 15 000 euros, soit trois ans de pension d'invalidité, des indemnités de versées au père qui souffrait d'arthrose. A cela s'ajoute une requête du propriétaire du studio qui réclame 2 000 euros. "Demander une telle somme pour un logement qui a servi de tombeau pendant trois ans, je trouve cela désolant", s'est indigné Raphaël, toujours sur France Info. Joint par LCI.fr, celui-ci a confié lundi que la réclamation venait d'être annulée."La commune a renoncé à nous faire payer. Le fait d'avoir pris un avocat et la médiatisation de l'affaire ont du jouer", s'est-il félicité.
Sans nouvelles de leur père depuis 20 ans, les deux enfants ont appris que la commune où il résidait au Danemark réclamait le remboursement de 15 000 euros de pensions.
Contacté par LCI.fr, le fils du défunt a indiqué que la requête a été annulée.
Julien FANCIULLI - le 06/08/2007 - 19h44
En 20 ans, Raphaël et Déborah n'ont reçu aucun signe de vie de la part de leur père. Après son divorce en 1987, Jean-Marie Hunzinger décide de quitter l'Alsace et la France, direction le Danemark et la commune d'Odense. Il ne laissera aucune adresse et n'enverra aucune nouvelle. Et pour cause. En juin dernier, la police danoise découvre le corps d'un homme seul et isolé dans un appartement.
Les légistes sont formels : il s'agit de l'expatrié français. Ils indiquent que l'individu est décédé de mort naturelle et ajoutent que la mort remonte à novembre 2004. "L'Ambassade de France au Danemark a fait l'intermédiaire avec les enfants du défunt à qui nous avons raconté cette macabre découverte", a indiqué Luc de Williencourt, premier conseiller à l'ambassade de France, à LCI.fr
Payer pour un tombeau
Au micro de France Info, Déborah Hunzinger a confié lundi : "Quand j'ai appris la nouvelle, j'étais toute émue, retournée. L'ambassade m'a dit qu'il vivait en retrait. Ce qui me choque le plus, c'est que personne ne s'est soucié de l'état de mon père pendant trois ans".
L'histoire et les mauvaises surprises ne s'arrêtent pas là. La famille du défunt apprend que la commune d'Odense leur réclame 15 000 euros, soit trois ans de pension d'invalidité, des indemnités de versées au père qui souffrait d'arthrose. A cela s'ajoute une requête du propriétaire du studio qui réclame 2 000 euros. "Demander une telle somme pour un logement qui a servi de tombeau pendant trois ans, je trouve cela désolant", s'est indigné Raphaël, toujours sur France Info. Joint par LCI.fr, celui-ci a confié lundi que la réclamation venait d'être annulée."La commune a renoncé à nous faire payer. Le fait d'avoir pris un avocat et la médiatisation de l'affaire ont du jouer", s'est-il félicité.
Infirmière aux urgences 

le plus important est que tu structures tes écrits.
Dans la plupart des concours, un nombre de lignes t'es imposé, il faut le respecter scrupuleusement et répondre au plus près.
Fais très attention à ton ortographe et ta grammaire.
Difficile d'en dire plus.
Si tu as d'autres questions n'hésite pas à me les poser en perso si tu veux.
Je pourrai peut-être t'aider dans la mesure du possible.
Bonne chance
Corinne
ESI 2007/2010
Dans la plupart des concours, un nombre de lignes t'es imposé, il faut le respecter scrupuleusement et répondre au plus près.
Fais très attention à ton ortographe et ta grammaire.
Difficile d'en dire plus.
Si tu as d'autres questions n'hésite pas à me les poser en perso si tu veux.
Je pourrai peut-être t'aider dans la mesure du possible.
Bonne chance
Corinne
ESI 2007/2010