Culture Générale

Le forum de l'admission en IFSI

Modérateurs : Modérateurs, Concours IFSI

Répondre
LOTUS07
Accro
Accro
Messages : 1196
Inscription : 08 janv. 2007 02:35
Localisation : ici, là et ailleurs
Contact :

Message par LOTUS07 »

La letpine, hormone de l'obésité

Par Destination Santé Destination Sante - Lundi 10 septembre, 08h00

Le 6ème Prix International de Nutrition Danone a été remis au Pr Jeffrey Friedman de l'Université Rockfeller (New York) pour ses recherches sur la letpine. Une hormone secrétée par le tissu adipeux et qui intervient dans la régulation de l'appétit et du poids corporel.

Un des messages les plus importants transmis par la leptine concerne la régulation de l'appétit. Il s'agit en fait d'un signal indiquant que les réserves stockées dans le tissu adipeux sont suffisantes et qu'il faut diminuer l'apport en nourriture. Et le Pr Friedman a démontré que si les enfants obèses éprouvaient en permanence le besoin de manger, c'est parce qu'ils présentent un déficit en letpine. Il travaille désormais sur d'autres pistes, pour mieux comprendre ce qui pourrait bloquer ou stimuler l'action de cette hormone. A suivre donc…

Source : Danone Institue Nutrition for Health
Le soleil est nouveau tous les jours.
Héraclite d'Ephèse
LOTUS07
Accro
Accro
Messages : 1196
Inscription : 08 janv. 2007 02:35
Localisation : ici, là et ailleurs
Contact :

Message par LOTUS07 »

Le stress ferait aussi souffrir la bouche

Par Destination Santé Destination Sante - Lundi 10 septembre, 10h00

D'après des chercheurs américains, un niveau élevé de stress mais aussi le sentiment de solitude, augmenteraient le risque de maladie parodontale. A leurs yeux, la « positive attitude » constituerait la meilleure arme pour préserver ses dents comme ses gencives. Sans pour autant oublier l'hygiène, bien sûr !

Leur constat émane d'un méta-analyse mais, soulignent les auteurs, « des recherches complémentaires sont nécessaires pour mieux connaître les éléments qui relieraient le stress et les affections parodontales ».

Ils précisent qu'une hormone, le cortisol, « pourrait jouer un rôle » dans cette relation. Mais ils rappellent également que les personnes angoissées voire déprimées tendent à cumuler les mauvaises habitudes. « Elles sont peut-être moins attentives à leur hygiène, buccale notamment ».
Le soleil est nouveau tous les jours.
Héraclite d'Ephèse
LOTUS07
Accro
Accro
Messages : 1196
Inscription : 08 janv. 2007 02:35
Localisation : ici, là et ailleurs
Contact :

Message par LOTUS07 »

L'anorexie: loin de la mode, le vertige du vide

Par Par Annick BENOIST AFP - il y a 2 heures 35 minutes

PARIS (AFP) - "C'est le vide en soi, mais la terreur du vide autour de soi. Un besoin d'affection dévorant, mais une ascèse interdisant toute relation. L'anorexie, paradoxale, multifactorielle, ne saurait être réduite à une question de régime ou de mode".

Le Dr Sophie Criquillion-Doublet, psychiatre responsable de la Consultation au Centre des Maladies Mentales et de l'Encéphale (CMME- Hôpital Sainte-Anne), rappelle que "ses causes peuvent être génétiques, familiales, psychiques. Même si l'image de la maladie s'apparente à la seule volonté de maigrir".

"Aujourd'hui, 98% des jeunes filles font un régime le matin, mais craquent pour une pizza entre copains le soir. Seules les anorexiques +restrictives+ ne cèdent pas. Les anorexiques +boulimiques+ ingurgitent d'énormes quantités de nourriture, puis se font vomir".

La CMME, un des pôles d'excellence de Sainte-Anne, dispose de vingt lits regroupés à l'étage des Troubles du Comportement Alimentaire (TCA), que dirige le Dr Ludovic Gicquel. Une des trop rares unités en France à accueillir aussi bien adultes qu'adolescents, garçons ou filles.

Marie, 36 ans, anorexique-boulimique depuis l'âge de 20 ans, y est arrivée il y a peu, pour sa cinquième hospitalisation, pesant 38 kilos pour 1,70m. Esquarres, impossibilité de s'asseoir, immense lassitude, voix à peine audible..."

"Cette fois, il faut que je m'en sorte : j'ai en vue une formation en informatique. Pour l'instant, je suis au chômage", regrette ce docteur en recherche biomédicale, qui admet s'être "longtemps réfugiée dans le travail, pour échapper au monde extérieur".

"C'est bien le problème de l'anorexique, relève Annick Brun, psychologue à la CMME. La peur de se prendre en charge, de devenir ou d'être adulte. Comme si le patient voulait vivre protégé dans une bulle".

Avant de sortir, Marie devra atteindre 57 kilos. Elle a signé un strict "contrat thérapeutique" pour changer de comportement alimentaire, corriger une image corporelle perturbée, apprendre des techniques de relaxation.

Ni laxatifs ni vomissements possibles -les toilettes sont fermées à clé-, les gratifications (courrier, visite, activité manuelle) ne sont octroyées qu'en fonction des progrès accomplis, du poids reconquis. Un "calvaire".

"L'obligation de manger me terrifie. J'ai une peur panique de grossir, de me sentir l'estomac plein. Et j'ai peur du regard des autres quand je mange".

Comme toutes les anorexiques, explique le Dr Criquillion, Marie a des rituels obsessionnels. "Cela canalise l'angoisse phénoménale de se séparer, d'être autonome. On commencera à manger à midi moins une, pas midi deux, on mettra 3/4 d'heure à manger un haricot, après avoir posé le couteau ici, et pas là, s'être essuyé cent fois les doigts : un gramme de nourriture aurait pu les souiller".

Martine, 27 ans, docteur en marketing international, anorexique-boulimique, avec addiction à l'alcool, reconnaît "la terreur de la renutrition. Je vous parle, mais je ne cesse de penser au dîner qui approche. J'en tremble. Même si je sais que c'est pour mon bien".

En fait, résume Annick Brun, "l'anorexique souffre de ce dont il a besoin".

Marie et Martine avouent cependant "la jouissance" qu'on peut avoir à ne pas manger. "Cela crée des endorphines, donne le vertige : on se sent invincible".

Maigre victoire. "Ce besoin de maîtrise est à la mesure d'un manque de confiance en soi catastrophique, note le Dr Criquillion. Une autodépréciation qui les oblige à faire toujours mieux, à avoir 22 sur 20, de peur qu'on ne les aime plus. A aller au bout de leurs limites pour se prouver qu'on est quelqu'un. A ne céder à aucun plaisir, car il serait immérité".

"D'un côté, ils se ferment à tout et à tous -pas d'intrusion possible- de l'autre, ils sont dans un appel +au secours+ sans paroles, mais permanent, ajoute Annick Brun. Car les rassurer une fois ne suffit pas. Il faut le faire constamment. C'est un puits sans fond et pourtant on peut en sortir".
Le soleil est nouveau tous les jours.
Héraclite d'Ephèse
LOTUS07
Accro
Accro
Messages : 1196
Inscription : 08 janv. 2007 02:35
Localisation : ici, là et ailleurs
Contact :

Message par LOTUS07 »

La prévention du suicide, du jeune au vieillard…

Par Destination Santé Destination Sante - il y a 2 heures 33 minutes

Chaque année dans le monde, 1 million de personnes se donnent la mort. Dont environ 12 000 en France. Beaucoup de jeunes mais pas seulement comme le rappellent aujourd'hui les organisateurs de la Journée mondiale de la prévention du suicide.

L'Association internationale pour la prévention du suicide (IASP) en collaboration avec l'OMS mettent cette année l'accent sur la Prévention du suicide aux différents stades de la vie. Dans de nombreux pays en effet, la majorité des suicides concernent des personnes âgées.

Dans certains Etats, « le risque de mourir par suicide augmente avec l'âge. Les taux les plus élevés se retrouvant chez les vieillards de 85 ans et plus ». Le constat est particulièrement inquiétant, étant donné le vieillissement de la population aussi bien dans les pays développés qu'en voie de développement.

D'après l'IASP, la dépression jouerait bien sûr un rôle important chez les aînés. Or « elle est souvent difficile à dépister dans cette population où elle peut notamment être confondue avec les effets d'une, voire plusieurs maladies », précise l'Association.

La survenue d'une affection grave augmenterait justement le risque de suicide chez le sujet âgé. « Les aînés suicidaires ont plus tendance à souffrir de maladie et les hommes âgés suicidaires sont le plus souvent veufs ou divorcés ».

Pour l'IASP, le fait d'avoir des relations sociales « significatives et rapprochées », de participer à des organisations, d'avoir des hobbies ou de présenter de fortes croyances religieuses ou spirituelles constituent autant de « facteurs de protection » contre le suicide. D'une manière générale, il est « très important que les pays investissent dans des programmes de prévention adaptés aux personnes de tous âges ». Pour en savoir davantage sur cette journée : www.iasp.info.
Le soleil est nouveau tous les jours.
Héraclite d'Ephèse
LOTUS07
Accro
Accro
Messages : 1196
Inscription : 08 janv. 2007 02:35
Localisation : ici, là et ailleurs
Contact :

Message par LOTUS07 »

Du sélénium oui… mais à petites doses !

Par Destination Santé Destination Sante - il y a 36 minutes

Selon un nouveau travail américain, la supplémentation en sélénium à hauteur de 200 microgrammes par jour augmenterait… le risque de diabète de type II. Cet oligo-élément, vanté pour ses propriétés anti-oxydantes et vendu à fortes doses en gélules, est naturellement présent dans les huîtres, les choux et les céréales notamment.

Le Pr Saverio Stranges et son équipe, de l'Université de l'Etat de New York à Buffalo, ont suivi pendant 8 ans plus de 1 200 patients qui avaient participé au Nutritional Prevention of Cancer Trial (NPC). Une étude randomisée sur la capacité éventuelle du sélénium à protéger des cancers cutanés. La moitié de la cohorte avait reçu quotidiennement 200 microgrammes de sélénium. L'autre moitié n'avait reçu qu'un placebo.

En 8 ans, 58 des 600 participants du groupe traité ont développé un diabète de type II. Ils n'ont été que 39 dans le groupe « placebo ». Pour Saverio Stranges, « il est clair que non seulement la supplémentation en sélénium ne prévient pas le diabète de type II, mais qu'en outre elle augmente le risque de développer la maladie ».

Dans ces conditions, il « déconseille le recours à une supplémentation en sélénium au-delà de 55 microgrammes par jour. » Optez plutôt pour une alimentation qui en contient naturellement. Vous en trouverez en abondance dans les huîtres, les moules cuites à l'eau, le maquereau au vin blanc, les choux et les céréales. Bon appétit !
Le soleil est nouveau tous les jours.
Héraclite d'Ephèse
Sandra64
Régulier
Régulier
Messages : 53
Inscription : 18 mai 2007 10:29
Localisation : BAYONNE

Message par Sandra64 »

Coucou à tous,

Je passe le concours le 20 septembre et je m'inquiète un peu pour cette épreuve de culture générale car certains me disent qu'il faut bosser à bloc pour ressortir des dates, des lois, des noms, des chiffres..... alors que d'autres me disent que tout est ds les textes, qu'il suffit de savoir lire, analyser, résumer et rédiger en bon français en respectant les consignes.
Pouvez-vs m'éclairer ??
Merci
Lucie76170
Régulier
Régulier
Messages : 43
Inscription : 21 mai 2007 16:35

Message par Lucie76170 »

Pour ma part je l'ai passé cette année apprendre des dates ne servirai à rien à part t'embrouiller et stresser encore plus puisque tu ne sais pas sur quoi tu vas tomber. Le tout c'est de bien s'informer de l'actualité, regarder les informations et le journal de la santé sur la 5 m'a bcp aidé aussi ! voilou. bnne chance à toi
Avatar de l’utilisateur
Amiwi
Insatiable
Insatiable
Messages : 644
Inscription : 04 sept. 2007 20:56
Localisation : Moselle

Fiches de Culture Générale

Message par Amiwi »

bonjour à tous
Je voudrais vos avis sur les quelques fiches que j'ai commencé à faire (merci Google et le blog futuresi) pour voir s'il ne me manque pas des lois ou des choses importantes dans ces thèmes (ça pourra servir à d'autres comme ça)

LA BIOETHIQUE

Le terme « éthique » provient de êthos qui signifie en grec « manière d'être ». Il s'agit donc, au sens strict, des comportements individuels qu'il faut adopter en matière de science du vivant, sans qu'il y ait d'interrogation sur ce qu'est un comportement moralement acceptable. Aujourd'hui, on assiste à une évolution du sens, puisqu'elle est souvent synonyme de "morale appliquée à la science". Elle est une recherche de normes morales applicables à la recherche biologique et à tout ce qui concerne les sciences du vivant, y compris les manipulations techniques du vivant et la médecine.
La recherche des cellules souches, les tests génétiques, le clonage : les progrès dans le domaine des sciences de la vie ont doté les êtres humains d’un nouveau pouvoir pour améliorer la santé et contrôler les mécanismes de développement de toutes les espèces vivantes. Les interrogations concernant les implications sociales, culturelles, légales et morales de ces progrès ont mené à l’une des discussions les plus significatives du siècle passé. Un nouveau mot a été créé pour envelopper toutes les problématiques résultant de cette discussion : bioéthique.

L’EUTHANASIE

L'euthanasie est l'ensemble des méthodes qui donnent la mort pour abréger une agonie.
Il y en a des différentes :
- euthanasie active dans le but d'abréger la vie du patient.
- euthanasie passive : un traitement est arrêté, ce qui a pour effet d'abréger la vie du patient, ce qui la distingue de l'euthanasie active car la mort est naturelle, contrairement à l'euthanasie active, où la mort est due à l'injection létale effectuée.
- euthanasie indirecte: administration d'un produit mortifère dont la conséquence non recherchée est la mort du patient.

L'euthanasie peut être volontaire, non volontaire, ou involontaire :
- volontaire, lorsqu'un individu a la capacité mentale et physique de demander de l'aide pour mourir et qu'il le demande ;
- non volontaire, lorsqu'on ne connaît pas la volonté de l'individu ;
- involontaire : effectuée contre le gré d'un individu qui est conscient et qui s'oppose formellement à cette décision.

L’ETHIQUE PROFESSIONNELLE

La déontologie, ou l’éthique professionnelle, se rapporte au « code de conduite » du professionnel. Pour l’infirmière, il s’agit de l’ensemble des règles qui régissent ses rapports avec les patients, le public et les autres professionnels. Le code de déontologie constitue un outil de référence énonçant les devoirs et les obligations qui orientent les comportements des infirmières.

ETHIQUES DE LA VIE

La contraception est « l'utilisation d’agents, de dispositifs, de méthodes ou de procédures pour diminuer la probabilité de conception ou l’éviter ». La contraception désigne les procédés temporaires et réversibles. Le terme contraception a pour origine:
- Contra: contre
- (Con)ception, du latin conceptio, de concipere: concevoir: formation d'un nouvel être.

En 1978, naît le premier bébé obtenu par fécondation in vitro, donc par une fécondation hors du corps de la femme. Le principe de base est simple : un prélèvement de sperme de l'homme et un ovule de la femme sont mis en contact dans une éprouvette, et un œuf se forme. L'embryon obtenu est alors transféré dans l'utérus de la femme.
En fait, pour augmenter les chances d'avoir un embryon, il faut employer plusieurs ovules. Les ovaires de la femme sont sur-stimulés pour obtenir une dizaine d'ovules. Le sperme de l'homme est mis en contact avec tous ces ovules, ce qui permet d'obtenir 5 ou 6 embryons. Deux ou trois d'entre eux sont transférés dans le corps de la femme, alors que les autres sont congelés si la division cellulaire le permet. Ils pourront être utilisés pour une autre tentative, si les parents le désirent, ou bien être détruits.

Je n'ai pas que ces thèmes là mais je ne veux pas tout mettre d'un coup

Merci
Dernière modification par Amiwi le 10 nov. 2007 11:18, modifié 4 fois.
Avatar de l’utilisateur
Gengis
Star VIP
Star VIP
Messages : 14614
Inscription : 21 sept. 2004 11:21

Message par Gengis »

Je me suis permis d'éditer ton titre pour plus de précision :clin:

Beau boulot :clap:
La pensée vole, et les mots vont à pieds.
Avatar de l’utilisateur
Amiwi
Insatiable
Insatiable
Messages : 644
Inscription : 04 sept. 2007 20:56
Localisation : Moselle

Message par Amiwi »

Merci beaucoup
je posterai les autres plus tard
Avatar de l’utilisateur
foliemimine
Insatiable
Insatiable
Messages : 381
Inscription : 15 mai 2007 15:17
Localisation : nantes

Message par foliemimine »

connaitre les grands textes de lois type loi evin, loi veil ca sert toujours mais faut retenir vraimentg l utile.
ESI CRF Nantes 2007/2010
"on est cerné par les cons... c'est vrai, mais on ne se rend pas compte à quel point" coluche
Avatar de l’utilisateur
Amiwi
Insatiable
Insatiable
Messages : 644
Inscription : 04 sept. 2007 20:56
Localisation : Moselle

Message par Amiwi »

Voila ma deuxième partie

LES ACCIDENTS DOMESTIQUES
La première cause de mortalité chez les jeunes enfants est due aux accidents domestiques.
Une seconde d'inattention et les conséquences sont dramatiques (chutes, choc, brûlures, empoisonnements, noyades, étouffements...).
Au total : 20.000 morts par an.
80% pourraient être évités.
400.000 brûlures par accidents domestiques par an.
600.000 morsures de chien par an.
250 morts par défenestration pour les enfants de 10 mois à 7 ans par an.
2.000.000 de chutes chez les + de 65 ans, ce qui représente 10.000 morts par an.
100 morts par an dus aux noyades (baignoire et piscine).

ALCOOL

C’est une toxicomanie légale qui correspond à un état d’intoxication chronique engendré par la consommation habituelle d’une quantité excessive d’alcool. L’alcoolisme à ne pas confondre avec la consommation régulière d’alcool est un véritable drame national.
Données statistiques
La consommation d’alcool pur par habitant et par an est d’environ 11 litres mais la consommation des français baisse régulièrement.
Les consommateurs sont principalement des hommes de 35à 55anbs appartenant à tous les milieux sociaux mais l’alcoolisme est plus fréquent chez les personnes ayant des difficultés sociales (SDF, chômeurs, milieux très défavorisés).

Les risques liés à l’alcoolisme
- Dépendance physiques et psychiques : syndrome de manque : angoisse, tremblements...
- Tolérance : amène le consommateur à augmenter sa dose
- Amaigrissement intense, complications digestives (cirrhose...)
- Chez la femme enceinte : risque d’accouchement prématuré, conséquences graves chez le fœtus : retard de croissance, malformations diverses…

Les problèmes
- Un coût social élevé
- Criminalité a l’alcoolisme :
*Coups et blessures
*Dégradations
*Incendie
*Viols ou incestes
- Un coût humain élevé : alcoolisme 3e cause de mortalité en France, entraîne parfois accidents de la route, de la vie courante, de travail, suicides, homicides.
- Problèmes familiaux : les enfants de parents alcooliques souffrent d’une carence affective et éducative
- Problèmes professionnels et sociaux : l’alcoolisme expose au licenciement, au chômage, à l’exclusion

Conséquences économiques pour la collectivité

Dépenses liées à la lutte contre l’alcoolisme :
- Dépenses de prévention
- Prise en charge des frais médicaux
- Paiement des indemnités d’arrêt du travail aux malades et aux accidentés et des pensions d’invalidité aux handicapés…

Une meilleure prévention
- Sensibilisation des dangers liés à l’alcool, de montrer une image négative de celui qui a trop bu
- Multiplication des actions d’informations dans les entreprises et écoles
- Service d’accueil téléphonique : drogues info service
- Développement des consultations pour adolescents en difficultés psychologiques
Meilleure application de la législation

- Publicité des boissons alcoolisées interdite à la télévision (loi Evin 1991) lorsqu’elle est autorisée, elle doit s’accompagner de la mention »l’abus d’alcool est dangereux pour la santé »
- Distribution des boissons alcoolisées interdite aux mineurs de moins de 16ans dans les écoles, établissements sportifs ou de loisir, stations service (entre 22h et 06h)
- Sur la conduite : taux d’alcoolémie a 0.5g/l

DROGUES

La consommation de drogues illicites fait des ravages, surtout chez le jeune et pose des problèmes délicats de prise en charge dans un contexte juridique et sanitaire pas toujours bien adapté.
La toxicomanie correspond à l’usage intensif et répété de drogues



Cet usage s’accompagne :
- D’un état de dépendance physique et /ou psychique
- D’un phénomène de tolérance (c’est-à-dire tendance à augmenter les doses pour retrouver l’effet recherché)

Principales drogues illicites utilisées en France :
 Cannabis : dépendance psychique et physique, faible diminution des défenses immunitaires responsable d’un certains nombre d’accidents de la route.

 Héroïne : dépendance physique et psychique très fortes importante dangerosité sociale : vols, prostitution, marginalisation, comportements violents, etc.…

 Cocaïne : dépendance physique faible mais psychique forte , comportements paranoïaques

 Ecstasy : dépendance physique faible, dépendance forte, possibilités d’accidents mortels, hyperthermiques du fait de la consommation associée à d’autres produits

 Crack : dépendance psychique très rapide, effets secondaires très dangereux (épilepsie, infarctus), comportements violents.

Les problèmes :

Montée de la toxicomanie :
›Le cannabis bien qu’illégal semble se banaliser chez les jeunes
›La consommation d’héroïne augmente également notamment dans les ghettos
›L’ecstasy est maintenant un produit largement distribué, disponible dans tous les milieux sociaux et de moins en moins cher.
›Le crack connaît un développement spectaculaire du fait de son coût peu élevé (dîtes drogues du pauvre) dont la consommation progresse avec la misère et l’exclusion.

Une menace pour l’ordre public :
- Les toxicomanes pour trouver l’argent nécessaire à leur consommation quotidienne de drogue sont amener a voler (argents, auto radio, bijoux chez les particuliers) ou à se prostituer.
- Ce sont souvent des personnes marginalisées, sans emplois, sans ressources, sans familles.

Une menace pour la santé publique :
- Sa consommation entraîne rapidement une dégradation de l’état physique et psychique : amaigrissement, fatigue intellectuelle avec difficultés de concentration voire délires.
- L’échange fréquent de seringues entre toxicomanes favorise la transmission du SIDA et de l’hépatite B ou C.

Les mesures :

Un renforcement de la lutte contre le trafic de drogues :
›Augmentation du nombre de gendarmes et adjoints de la sécurité surveillants les abords des établissements scolaires sensibles.

Une meilleure prévention :
›Lancement d’une campagne nationale de prévention sur les comportements
›Service d’accueil téléphonique « drogues infos service »
›Développement de consultations pour adolescents en difficultés psychologiques.

Renforcement de la prévention des risques sanitaires et sociaux chez les heroïnomanes
›Programme d’échanges de seringues
›Distributeurs automatiques de seringues dans les grandes villes


PIERCINGS, TATOUAGES

Depuis quelques années, le tatouage connaît un véritable succès, et pour faire face à cette demande croissante, de nombreux tatoueurs ouvrent boutique. Une démarche assez simple, puisqu'en France, ces artistes échappent à toute réglementation sur le plan sanitaire. Pourtant parce qu'ils se pratiquent à l'aide d'aiguilles et autres instruments qui endommagent la chair et touchent au sang, tatouages et piercings peuvent faire courir le risque d'une infection. Quand ce n'est pas le produit injecté qui est à la source de la contamination…

Aujourd'hui, même si le piercing peut être fait sur un coup de tête pour son aspect esthétique, il a souvent une signification plus profonde, qui change avec l'âge :
Chez les adolescents, il est souvent une manière d'affirmer son identité face aux parents, en général réfractaires à cette mutilation. Pour les adultes, cette pratique véhicule, en effet, une image négative de rébellion ou de marginalité.
La signification varie aussi en fonction de la localisation du piercing : visibles - sur le nez ou la lèvre -, ils ont une signification publique. A l'inverse, placés sur les organes génitaux, ils ont un sens très personnel, intime.
Les infections peuvent être bactériennes, le risque est alors d'être contaminé par un streptocoque ou un staphylocoque. Mais des virus peuvent aussi être transmis, comme ceux des hépatites B et C, celui du sida ou encore de l'herpès.



MST

Le terme MST est souvent employé pour parler du sida mais il existe d'autres MST. Les MST se transmettent lors de rapports sexuels. La majorité des MST se traitent par des médicaments. La seule manière de les éviter c'est de se protéger en utilisant un préservatif.
Le sida, acronyme de Syndrome de l’Immunodéficience Acquise, est une maladie infectieuse causée par le virus de l'immunodéficience humaine (VIH), qui entraîne la dégénérescence du système immunitaire. Depuis le début de l’épidémie, trois modes de transmission ont été observés : la transmission par voie sexuelle, la transmission par voie sanguine, la transmission de la mère à l’enfant.
Si on n’administre pas de traitement empêchant le développement du virus (bi- ou trithérapie), la maladie est quasiment toujours mortelle. Il n'existe à ce jour pas de traitement permettant de guérir définitivement du SIDA, d'où l'importance des mesures de prévention.


LA VIOLENCE

La violence est un terme général employé pour décrire un comportement agressif, non amical, non pacifiste, belligérant, ennemi, autrement dit une contrainte imposée, qui provoque la douleur, la peine.
La violence peut être :
 verbale : des insultes, des mots qui blessent ;
 physique : des gestes violents qui font mal, des gifles, coups de poings, coups de pieds, armes blanches, armes à feu ;
 sexuelle : une personne, consciente d'avoir un ascendant impose à une autre des actes sexuels non désirés ;
 conjugale : quand le comportement d'un conjoint est identifiable à l'une des violences décrites ci-dessus sur l'autre conjoint ;
 Raciste : quand la victime d'une forme de violence est choisie par le violenteur uniquement sur des critères "raciaux" ou nationaux ;
 froide : terme parfois utilisé pour l'opposer à la violence « chaude », agressive. Consiste à contraindre autrui à demeurer dans une situation de souffrance (séquestration, par exemple) ;
 sur soi-même : action de ne pas tenir compte de tous ses besoins dans ses actions. Donc d'accepter des tâches qui nous écrasent. (Par ex : aller à un barbecue alors que la semaine a été dure et que l'on préférerait passer l'après-midi en famille et pas au barbecue).
 éducative : on entend par "violence éducative" les violences sur enfants perpétrées à des fins dites d'éducation.


AMIANTE

L’amiante est un composé de silicate de calcium et de magnésium très utilisé jusqu’alors dans l’industrie et le bâtiment car résistant au feu, à la chaleur, aux acides et à toute corrosion. Il est utilisé dans la fabrication de textiles, de feutre, de papier, de carton et de ciment.
En se dégradant, il libère des particules microscopiques qui peuvent être inhalées. Elles représente un danger pour la santé des personnes soumises à de fréquentes et longues expositions.
Cette inhalation a pour conséquences sanitaires, auprès des individus exposés, des risques de cancer, des insuffisances ou difficultés respiratoires…Il en découle des conséquences sociales : nombreux frais médicaux et, les risques étant classés comme maladie professionnelle, pensions, reconversions, reclassement sont autant des dispositions sociales nécessaires.
Le pouvoir cancérigène de l’amiante était, il y a quelques années, fort peu connu du grand public. On peut donc craindre qu’il n’ait pas été dénoncé et reconnu assez tôt.


Si certains ont le courage de lire et de me donner leur avis je les remercie d'avance
sources : google et blog futuresi
gs42
Forcené
Forcené
Messages : 260
Inscription : 19 avr. 2007 12:31

Message par gs42 »

je trouve que tes fiches de révisions sont très bien faites. J'ai fais la même chose que toi avant de passer le concours.
Ceci m'a permis d'acquérir de nombreuses connaissances dans le milieu sanitaires et sociales que je n'avais pas. Cependant les connaissances que j'ai acquise pendant ma période de révision avant le concours ne m'a pas bcp servit lors du concours écrit car les sujet sont très vastes et sont en général sur l'actualité sanitaire et social.

bon courage pour ton concours ! révise bien car le jour J arrivera vite !!!

mais t'inquiète pas si tu bosses bien les tests psychotechniques et tu sais bien rédigé il n'y a pas de raison que tu ne passes pas le cap de l'écrit .
bientot la première année terminée !!!
Avatar de l’utilisateur
Amiwi
Insatiable
Insatiable
Messages : 644
Inscription : 04 sept. 2007 20:56
Localisation : Moselle

Message par Amiwi »

Tu veux dire que ce que je fais là ne me servira que si j'arrive jusqu'à l'oral ?
gs42
Forcené
Forcené
Messages : 260
Inscription : 19 avr. 2007 12:31

Message par gs42 »

l'épreuve de culture général n'est pas si difficile que ça. il faut faire attention au temps lors de l'épreuve car ça passe très vite et comme c'est écrit au dessus, 2heures pour répondre à 5 questions c'est très cours mais largement faisable. Pendant mon année de prépa ma prof de culture général nous a conseillé de passé environ 20 minutes pour chaque texte afin d'avoir le temps de tout faire. Puis il ne faut pas oublier de se relire car 5 points sont consacrer à l'orthographe, la syntaxe et le respect des consignes. Ce serait bête de perdre des points bêtement.
Surtout n'écrivez pas des pages et des pages ( ceci ne sert à rien et en plus cet méthode énerve le corecteur). Le but de cette épreuve est de montrer au jury que vous savez sinthétisé.

bon courage !!!!
bientot la première année terminée !!!
Répondre