Culture Générale
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Polémique à Renault-Cléon sur les accidents du travail
Polémique à Renault-Cléon sur les accidents du travail
Reuters - Jeudi 27 septembre, 15h30
CLÉON, Seine-Maritime (Reuters) - Sur la foi d'un rapport de l'inspection du travail, le syndicat CGT de l'usine Renault de Cléon (Seine-Maritime) dénonce les pressions que fait subir selon lui la hiérarchie aux salariés victimes d'accidents du travail pour qu'ils renoncent à prendre des arrêts.
Dans un courrier adressé à la direction de l'usine, l'inspecteur du travail relève qu'il a examiné 58 accidents survenus entre janvier 2005 et le premier trimestre 2007.
Selon lui, il ressort de cette enquête qu'"il existe au sein de votre établissement un système organisé de pressions visant à ce que les salariés victimes d'accident du travail, auxquels un arrêt de travail a été prescrit, renoncent à prendre tout ou partie de l'arrêt de travail".
Après ces arrêts, poursuit le rapport, 22 salariés se sont vu proposer, le jour même ou dans la semaine de leur accident, un poste aménagé afin que l'accident du travail n'occasionne pas d'arrêt malgré la prescription médicale.
Cette renonciation à l'arrêt, conclut-il, se serait faite "après 'discussion' avec leur chef d'unité ou leur chef d'atelier".
Lors d'une conférence de presse jeudi à Cléon, Philippe Saunier, secrétaire de l'union départementale de la CGT de Seine-Maritime a estimé qu'il y avait trois motivations à ces façons d'agir.
"La première est le coût de l'accident du travail qui est répercuté sur les entreprises, contrairement aux arrêts maladie, la deuxième est une question d'image de marque et la troisième serait une justification pour négliger la prévention, puisqu'il n'y aurait plus d'accident", a-t-il dit.
L'accusation de pressions organisées a été démentie "formellement" par Hubert Touboul, responsable de la communication à l'usine Renault de Cléon.
Interrogé sur des pressions qui ont pu être exercées par tel ou tel chef d'unité, Hubert Touboul a déclaré : "Je ne sais pas. Au cas par cas, on est en train de vérifier".
Hubert Touboul a également dit qu'après enquête interne une réponse serait fournie à l'inspection du travail et qu'il y aurait "un débat contradictoire".
L'usine Renault de Cléon emploie 4.890 personnes à temps complet et environ 350 intérimaires. En 2006, elle a fabriqué 798.000 boîtes de vitesse et 650.000 moteurs pour toute la gamme Renault ainsi que pour d'autres marques, comme Nissan ou Suzuki.
Reuters - Jeudi 27 septembre, 15h30
CLÉON, Seine-Maritime (Reuters) - Sur la foi d'un rapport de l'inspection du travail, le syndicat CGT de l'usine Renault de Cléon (Seine-Maritime) dénonce les pressions que fait subir selon lui la hiérarchie aux salariés victimes d'accidents du travail pour qu'ils renoncent à prendre des arrêts.
Dans un courrier adressé à la direction de l'usine, l'inspecteur du travail relève qu'il a examiné 58 accidents survenus entre janvier 2005 et le premier trimestre 2007.
Selon lui, il ressort de cette enquête qu'"il existe au sein de votre établissement un système organisé de pressions visant à ce que les salariés victimes d'accident du travail, auxquels un arrêt de travail a été prescrit, renoncent à prendre tout ou partie de l'arrêt de travail".
Après ces arrêts, poursuit le rapport, 22 salariés se sont vu proposer, le jour même ou dans la semaine de leur accident, un poste aménagé afin que l'accident du travail n'occasionne pas d'arrêt malgré la prescription médicale.
Cette renonciation à l'arrêt, conclut-il, se serait faite "après 'discussion' avec leur chef d'unité ou leur chef d'atelier".
Lors d'une conférence de presse jeudi à Cléon, Philippe Saunier, secrétaire de l'union départementale de la CGT de Seine-Maritime a estimé qu'il y avait trois motivations à ces façons d'agir.
"La première est le coût de l'accident du travail qui est répercuté sur les entreprises, contrairement aux arrêts maladie, la deuxième est une question d'image de marque et la troisième serait une justification pour négliger la prévention, puisqu'il n'y aurait plus d'accident", a-t-il dit.
L'accusation de pressions organisées a été démentie "formellement" par Hubert Touboul, responsable de la communication à l'usine Renault de Cléon.
Interrogé sur des pressions qui ont pu être exercées par tel ou tel chef d'unité, Hubert Touboul a déclaré : "Je ne sais pas. Au cas par cas, on est en train de vérifier".
Hubert Touboul a également dit qu'après enquête interne une réponse serait fournie à l'inspection du travail et qu'il y aurait "un débat contradictoire".
L'usine Renault de Cléon emploie 4.890 personnes à temps complet et environ 350 intérimaires. En 2006, elle a fabriqué 798.000 boîtes de vitesse et 650.000 moteurs pour toute la gamme Renault ainsi que pour d'autres marques, comme Nissan ou Suzuki.
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Certains cancers sont d'importants motifs de divorce
Certains cancers sont d'importants motifs de divorce
AP - il y a 2 heures 40 minutes
BARCELONE - Un cancer n'est pas un bon présage pour la survie d'un couple: un cancer du col de l'utérus chez une femme et un cancer des testicules chez un homme augmentent les risques de divorce, selon une étude norvégienne présentée jeudi lors du congrès de l'Organisation européenne du cancer.
L'étude précise que les femmes souffrant d'un cancer du col de l'utérus ont des risques de divorce plus élevés de 40% que ceux d'une autre femme. Quant aux hommes atteints de cancer des testicules, ils voient leurs risques majorés de 20%. Ces deux cancers, qui touchent en majorité des gens jeunes, peuvent être traités.
"Le sexe doit avoir quelque chose à voir avec ça", note Lesley Fallowfield, professeur de psycho-oncologie à l'Université du Sussex, qui est extérieure à l'étude. "Si les hommes et les femmes atteints ne font pas l'amour avec leurs partenaires, ça peut être un problème".
Menée depuis environ deux décennies, l'étude concerne 2,8 millions de personnes vivant en Norvège: elle compare le taux de divorce de 215.000 survivants du cancer, à celui de couples indemnes de maladie.
Les couples n'ont pas été interrogés sur les raisons de leur divorce, les scientifiques ne s'étant penchés que sur le registre des mariages et sur celui des divorces.
"Cela semble pire pour la survie d'un mariage d'avoir un cancer très tôt", estime Astri Syse, épidémiologiste au Registre norvégien du cancer, qui a conduit l'étude. Selon elle, seuls les cancers du col de l'utérus et ceux des testicules entraînent un pic de divorces. Les autres types de cancer n'ayant aucune influence, notamment le cancer du sein qui ne favorise pas le départ du conjoint. Tout comme les cancers particulièrement graves, ou déjà métastasés.
Toutefois, les résultats varient selon l'âge: à 20 ans, les femmes présentaient un risque de divorcer majoré de 69% en cas de cancer du col, alors qu'à 60 ans, ce risque n'était plus que de 19%. La même tendance a été observée chez les hommes atteints de cancer du testicule: à 20 ans, ils avaient un risque augmenté de 34%, qui n'était plus que de 16% à 60 ans.
Pour les experts, la rupture peut certe être le fait du cancer, mais aussi du jeune âge des couples inclus dans l'étude. Les couples plus âgés pourraient être plus impliqués dans leur relation et donc avoir moins tendance à divorcer, même confrontés à des maladies potentiellement mortelles.
Lesley Fallowfield souligne que les couples touchés par un cancer au début de leur mariage seraient plus susceptibles de divorcer s'ils n'ont pas encore d'enfants, ou si la maladie entraîne d'importants efforts financiers.
Selon elle, chez les jeunes, le sexe étant un élément important de la construction du couple, l'annonce d'un cancer touchant à la vie sexuelle peut être particulièrement préjudiciable. "Aucun patient ne développe de cancer dans un vide social", ajoute-t-elle. "Le diagnostic a toujours un impact sur un être cher, qui, dans certains cas, peut décider de partir".
Pour les experts, cette étude montre en tous cas que les médecins devraient être plus sensibles aux conséquences de ce diagnostic sur la relation avec les proches.
Une autre étude présentée lors du même congrès souligne d'ailleurs que chez les enfants, l'annonce d'un cancer détecté chez un parent entraîne un stress post-traumatique.
"Nous devons vraiment faire plus attention aux répercussions de l'annonce d'un cancer sur l'entourage", conclut Lesley Fallowfield. "Le traitement du cancer ne se limite pas aux soins médicaux". AP
AP - il y a 2 heures 40 minutes
BARCELONE - Un cancer n'est pas un bon présage pour la survie d'un couple: un cancer du col de l'utérus chez une femme et un cancer des testicules chez un homme augmentent les risques de divorce, selon une étude norvégienne présentée jeudi lors du congrès de l'Organisation européenne du cancer.
L'étude précise que les femmes souffrant d'un cancer du col de l'utérus ont des risques de divorce plus élevés de 40% que ceux d'une autre femme. Quant aux hommes atteints de cancer des testicules, ils voient leurs risques majorés de 20%. Ces deux cancers, qui touchent en majorité des gens jeunes, peuvent être traités.
"Le sexe doit avoir quelque chose à voir avec ça", note Lesley Fallowfield, professeur de psycho-oncologie à l'Université du Sussex, qui est extérieure à l'étude. "Si les hommes et les femmes atteints ne font pas l'amour avec leurs partenaires, ça peut être un problème".
Menée depuis environ deux décennies, l'étude concerne 2,8 millions de personnes vivant en Norvège: elle compare le taux de divorce de 215.000 survivants du cancer, à celui de couples indemnes de maladie.
Les couples n'ont pas été interrogés sur les raisons de leur divorce, les scientifiques ne s'étant penchés que sur le registre des mariages et sur celui des divorces.
"Cela semble pire pour la survie d'un mariage d'avoir un cancer très tôt", estime Astri Syse, épidémiologiste au Registre norvégien du cancer, qui a conduit l'étude. Selon elle, seuls les cancers du col de l'utérus et ceux des testicules entraînent un pic de divorces. Les autres types de cancer n'ayant aucune influence, notamment le cancer du sein qui ne favorise pas le départ du conjoint. Tout comme les cancers particulièrement graves, ou déjà métastasés.
Toutefois, les résultats varient selon l'âge: à 20 ans, les femmes présentaient un risque de divorcer majoré de 69% en cas de cancer du col, alors qu'à 60 ans, ce risque n'était plus que de 19%. La même tendance a été observée chez les hommes atteints de cancer du testicule: à 20 ans, ils avaient un risque augmenté de 34%, qui n'était plus que de 16% à 60 ans.
Pour les experts, la rupture peut certe être le fait du cancer, mais aussi du jeune âge des couples inclus dans l'étude. Les couples plus âgés pourraient être plus impliqués dans leur relation et donc avoir moins tendance à divorcer, même confrontés à des maladies potentiellement mortelles.
Lesley Fallowfield souligne que les couples touchés par un cancer au début de leur mariage seraient plus susceptibles de divorcer s'ils n'ont pas encore d'enfants, ou si la maladie entraîne d'importants efforts financiers.
Selon elle, chez les jeunes, le sexe étant un élément important de la construction du couple, l'annonce d'un cancer touchant à la vie sexuelle peut être particulièrement préjudiciable. "Aucun patient ne développe de cancer dans un vide social", ajoute-t-elle. "Le diagnostic a toujours un impact sur un être cher, qui, dans certains cas, peut décider de partir".
Pour les experts, cette étude montre en tous cas que les médecins devraient être plus sensibles aux conséquences de ce diagnostic sur la relation avec les proches.
Une autre étude présentée lors du même congrès souligne d'ailleurs que chez les enfants, l'annonce d'un cancer détecté chez un parent entraîne un stress post-traumatique.
"Nous devons vraiment faire plus attention aux répercussions de l'annonce d'un cancer sur l'entourage", conclut Lesley Fallowfield. "Le traitement du cancer ne se limite pas aux soins médicaux". AP
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Femmes enceintes: message sanitaire
Femmes enceintes: message sanitaire sur les bouteilles d'alcool à partir de mercredi
AFP - il y a 7 minutes
PARIS (AFP) - Le message sanitaire à destination des femmes enceintes, prévu par l'arrêté ministériel du 2 octobre 2006, sera apposé sur toutes les bouteilles d'alcool à partir de mercredi prochain, rappelle l'Institut national de prévention et d'éducation pour la santé (Inpes).
Ce message peut prendre la forme d'un pictogramme illustrant le zéro alcool pendant la grossesse ou d'une phrase d'information: "La consommation de boissons alcoolisées pendant la grossesse, même en faible quantité, peut avoir des conséquences graves sur la santé de l'enfant".
L'arrêté publié en octobre dernier au Journal officiel prévoyait que les produits non conformes pouvaient être commercialisés jusqu'à écoulement des stocks, à condition d'avoir été mis sur le marché ou étiquetés avant le 3 octobre 2007.
L'Inpes lance une nouvelle campagne dans les médias, jusqu'en décembre, pour informer le grand public et les femmes enceintes de la mise en place de ce message sanitaire sur tous les conditionnements d'alcool.
L'alcoolisation foetale est la première cause non génétique de handicap mental chez l'enfant.
Il est recommandé aux femmes enceintes de s'abstenir de toute consommation d'alcool dès le début de leur grossesse et pendant toute sa durée. "Cette recommandation vaut pour toutes les occasions de consommation, qu'elles soient quotidiennes, ponctuelles ou festives", souligne l'Inpes.
AFP - il y a 7 minutes
PARIS (AFP) - Le message sanitaire à destination des femmes enceintes, prévu par l'arrêté ministériel du 2 octobre 2006, sera apposé sur toutes les bouteilles d'alcool à partir de mercredi prochain, rappelle l'Institut national de prévention et d'éducation pour la santé (Inpes).
Ce message peut prendre la forme d'un pictogramme illustrant le zéro alcool pendant la grossesse ou d'une phrase d'information: "La consommation de boissons alcoolisées pendant la grossesse, même en faible quantité, peut avoir des conséquences graves sur la santé de l'enfant".
L'arrêté publié en octobre dernier au Journal officiel prévoyait que les produits non conformes pouvaient être commercialisés jusqu'à écoulement des stocks, à condition d'avoir été mis sur le marché ou étiquetés avant le 3 octobre 2007.
L'Inpes lance une nouvelle campagne dans les médias, jusqu'en décembre, pour informer le grand public et les femmes enceintes de la mise en place de ce message sanitaire sur tous les conditionnements d'alcool.
L'alcoolisation foetale est la première cause non génétique de handicap mental chez l'enfant.
Il est recommandé aux femmes enceintes de s'abstenir de toute consommation d'alcool dès le début de leur grossesse et pendant toute sa durée. "Cette recommandation vaut pour toutes les occasions de consommation, qu'elles soient quotidiennes, ponctuelles ou festives", souligne l'Inpes.
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Alzheimer : les aidants ont besoin d’aide
Alzheimer : les aidants ont besoin d’aide
S’occuper d’un proche atteint d’Alzheimer diminue l’espérance de vie
Paris, 27/09/07
Les cellules du corps des personnes qui s’occupent d’un proche atteint de la maladie d’Alzheimer vieillissent plus vite, ce qui pourrait diminuer leur espérance de vie.
Vous prenez soin d’un proche atteint de la maladie d’Alzheimer ? Alors prudence ! Des chercheurs viennent de montrer que le stress provoqué par cette prise en charge pourrait vous faire vieillir plus vite. Responsables : nos télomères !
Les télomères sont les coiffes protectrices de l’extrémité des chromosomes dans les cellules. Au fur et à mesure que nous vieillissons, nos télomères s’usent et raccourcissent. Quand ils finissent par disparaître, la division cellulaire n’est plus possible et la cellule meurt.
Des chercheurs américains de l’institut du vieillissement de Baltimore viennent de montrer que chez les aidants d’un malade Alzheimer, les télomères seraient plus courts que chez des personnes du même âge n’ayant pas de malade à charge. Conséquence : ceux-ci vieillissent plus rapidement et leur espérance de vie peut diminuer.
Des études précédentes avaient déjà montré que le fait d’accompagner un proche atteint de la maladie d’Alzheimer multipliait par deux le risque de dépression, diminuait l’efficacité du système immunitaire et accélérait les processus inflammatoires. Avec cette nouvelle étude portant sur les chromosomes, les chercheurs viennent de mettre en évidence un nouveau facteur de risque pour les aidants.
Pour parvenir à ces conclusions, les chercheurs ont recruté 41 personnes prenant soin d’un proche atteint de cette maladie neurodégénérative depuis 5 ans en moyenne et ont comparé leurs chromosomes à ceux de 41 personnes n’ayant pas de malade à charge. Résultat : les télomères des aidants sont plus courts. Ces résultats ont été observés sur des cellules du système immunitaire mais ne se limitent probablement pas à elles. « Nous pensons que les modifications qui ont lieu dans les cellules immunitaires représentent ce qui se passe dans la plupart des cellules de l’organisme », explique le docteur Janice Kiecolt-Glaser, auteur de l’étude.
S’occuper d’un proche atteint d’Alzheimer diminue l’espérance de vie
Paris, 27/09/07
Les cellules du corps des personnes qui s’occupent d’un proche atteint de la maladie d’Alzheimer vieillissent plus vite, ce qui pourrait diminuer leur espérance de vie.
Vous prenez soin d’un proche atteint de la maladie d’Alzheimer ? Alors prudence ! Des chercheurs viennent de montrer que le stress provoqué par cette prise en charge pourrait vous faire vieillir plus vite. Responsables : nos télomères !
Les télomères sont les coiffes protectrices de l’extrémité des chromosomes dans les cellules. Au fur et à mesure que nous vieillissons, nos télomères s’usent et raccourcissent. Quand ils finissent par disparaître, la division cellulaire n’est plus possible et la cellule meurt.
Des chercheurs américains de l’institut du vieillissement de Baltimore viennent de montrer que chez les aidants d’un malade Alzheimer, les télomères seraient plus courts que chez des personnes du même âge n’ayant pas de malade à charge. Conséquence : ceux-ci vieillissent plus rapidement et leur espérance de vie peut diminuer.
Des études précédentes avaient déjà montré que le fait d’accompagner un proche atteint de la maladie d’Alzheimer multipliait par deux le risque de dépression, diminuait l’efficacité du système immunitaire et accélérait les processus inflammatoires. Avec cette nouvelle étude portant sur les chromosomes, les chercheurs viennent de mettre en évidence un nouveau facteur de risque pour les aidants.
Pour parvenir à ces conclusions, les chercheurs ont recruté 41 personnes prenant soin d’un proche atteint de cette maladie neurodégénérative depuis 5 ans en moyenne et ont comparé leurs chromosomes à ceux de 41 personnes n’ayant pas de malade à charge. Résultat : les télomères des aidants sont plus courts. Ces résultats ont été observés sur des cellules du système immunitaire mais ne se limitent probablement pas à elles. « Nous pensons que les modifications qui ont lieu dans les cellules immunitaires représentent ce qui se passe dans la plupart des cellules de l’organisme », explique le docteur Janice Kiecolt-Glaser, auteur de l’étude.
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Le nombre de chômeurs en France a augmenté de 0,6% en août
LEMONDE.FR avec AFP | 28.09.07 | 07h18 • Mis à jour le 28.09.07 | 07h22
Pas de statistiques mais une hausse du chômage en France au mois d'août. C'est ainsi que l'on pourrait résumer l'information transmise jeudi par le ministère de l'emploi selon laquelle le nombre de demandeurs d'emplois inscrits fin août à l'ANPE a augmenté de 0,6 % (+11 800) soit 1 970 600 chômeurs en France, en catégorie 1.
Après des mois de polémiques, le ministère n'a donc pas communiqué d'estimation mensuelle du taux de chômage BIT, seule référence admise au plan international. Sur un an, il reste en baisse (-8,8%). La catégorie 1 de l'ANPE retient les personnes cherchant un emploi à temps plein en CDI et qui n'ont pas travaillé plus de 78 heures dans le mois écoulé.
Dorénavant, le taux sera publié tous les trois mois, a prévenu le ministère de l'économie et de l'emploi, conformément à un rapport remis à la ministre, Christine Lagarde. Le rapport avait été commandé après les élections aux inspections des finances (IGF) et des affaires sociales (IGAS) pour tenter de sortir de la crise avivée par la période électorale et l'absence de publication de l'enquête emploi 2006 de l'Insee, attendue en mars.
"Dans un souci de transparence" et suivant le rapport, Mme Lagarde a jugé "important" de continuer à rendre compte chaque mois du niveau des inscriptions à l'ANPE. "Sans que cela fasse nécessairement l'objet de grand messe ou de commentaires divers et variés", a-t-elle dit, en écho aux économistes et statisticiens qui jugent les variations mensuelles peu significatives.
Le collectif "Les autres chiffres du chômage" (ACDC) a salué l'arrêt de la publication mensuelle du taux, mais a jugé "précipitée" la décision de l'Insee "d'adopter sans débat des changements de calcul".
Les chiffres de l'ANPE "sont intéressants pourvu qu'on ne leur donne pas un sens qu'ils n'ont pas. Ils indiquent le nombre d'inscrits ANPE, pas le nombre de chômeurs", a rappelé Thomas Coutrot, l'un des statisticiens du collectif au coeur de la fronde.
Les chiffres de l'ANPE sont éminemment sensibles aux changements intervenus depuis 2005 dans le service public de l'emploi, promis à une fusion prochaine avec l'Unedic (assurance chômage). Ils ont surestimé d'environ 20% la baisse du chômage ces dernières années, selon le rapport IGF/IGAS.
Pour la première fois depuis de longs mois, le nombre de demandeurs d'emploi de longue durée (inscrits depuis au moins un an) est en hausse. "Il n'y a pas lieu de s'inquiéter outre mesure", a réagi Christian Charpy, le directeur général de l'ANPE dans les Echos à paraître vendredi. "Août a été mauvais, car les conditions climatiques ont pesé sur l'activité estivale".
Si on ajoute à la catégorie 1, les chômeurs prêts à accepter un temps partiel ou un CDD, la tendance s'incrit à la baisse, de 0,3% à 2,098 millions de personnes fin août.
LEMONDE.FR avec AFP | 28.09.07 | 07h18 • Mis à jour le 28.09.07 | 07h22
Pas de statistiques mais une hausse du chômage en France au mois d'août. C'est ainsi que l'on pourrait résumer l'information transmise jeudi par le ministère de l'emploi selon laquelle le nombre de demandeurs d'emplois inscrits fin août à l'ANPE a augmenté de 0,6 % (+11 800) soit 1 970 600 chômeurs en France, en catégorie 1.
Après des mois de polémiques, le ministère n'a donc pas communiqué d'estimation mensuelle du taux de chômage BIT, seule référence admise au plan international. Sur un an, il reste en baisse (-8,8%). La catégorie 1 de l'ANPE retient les personnes cherchant un emploi à temps plein en CDI et qui n'ont pas travaillé plus de 78 heures dans le mois écoulé.
Dorénavant, le taux sera publié tous les trois mois, a prévenu le ministère de l'économie et de l'emploi, conformément à un rapport remis à la ministre, Christine Lagarde. Le rapport avait été commandé après les élections aux inspections des finances (IGF) et des affaires sociales (IGAS) pour tenter de sortir de la crise avivée par la période électorale et l'absence de publication de l'enquête emploi 2006 de l'Insee, attendue en mars.
"Dans un souci de transparence" et suivant le rapport, Mme Lagarde a jugé "important" de continuer à rendre compte chaque mois du niveau des inscriptions à l'ANPE. "Sans que cela fasse nécessairement l'objet de grand messe ou de commentaires divers et variés", a-t-elle dit, en écho aux économistes et statisticiens qui jugent les variations mensuelles peu significatives.
Le collectif "Les autres chiffres du chômage" (ACDC) a salué l'arrêt de la publication mensuelle du taux, mais a jugé "précipitée" la décision de l'Insee "d'adopter sans débat des changements de calcul".
Les chiffres de l'ANPE "sont intéressants pourvu qu'on ne leur donne pas un sens qu'ils n'ont pas. Ils indiquent le nombre d'inscrits ANPE, pas le nombre de chômeurs", a rappelé Thomas Coutrot, l'un des statisticiens du collectif au coeur de la fronde.
Les chiffres de l'ANPE sont éminemment sensibles aux changements intervenus depuis 2005 dans le service public de l'emploi, promis à une fusion prochaine avec l'Unedic (assurance chômage). Ils ont surestimé d'environ 20% la baisse du chômage ces dernières années, selon le rapport IGF/IGAS.
Pour la première fois depuis de longs mois, le nombre de demandeurs d'emploi de longue durée (inscrits depuis au moins un an) est en hausse. "Il n'y a pas lieu de s'inquiéter outre mesure", a réagi Christian Charpy, le directeur général de l'ANPE dans les Echos à paraître vendredi. "Août a été mauvais, car les conditions climatiques ont pesé sur l'activité estivale".
Si on ajoute à la catégorie 1, les chômeurs prêts à accepter un temps partiel ou un CDD, la tendance s'incrit à la baisse, de 0,3% à 2,098 millions de personnes fin août.
IDE depuis le 31 mai 2012 !

Moi je prépare avec le cned je travail à mc donald jai un contrat de 10_15H tous les matins et je vais à la bibliotheque lapres midi je travail a peu pres 4jours et les jours de repos toute la journée.
Ma methode pour la culture générale est assez longue je sais pas si vous faite pareil, je lis je souligne jessai de comprendre et apres je reprend tout le cours et je fais des fiches.
En math je fais juste les exos
Je vais essayer de faire un devoir de cg par semaine donc en une semaine il faudra que je lise la serie 1 fois puis que je fasse les fiches. Et un devoir de math tous les 15jours.
De plus je me garde une heure par semaine pour revoir les règles de grammaire et d'orthographe dans le bled car jai un gros problème avec les fautes d'orthographe depuis le lycée.
tigrou07 t'aimerai reviser comment avec quelqun ?
Ma methode pour la culture générale est assez longue je sais pas si vous faite pareil, je lis je souligne jessai de comprendre et apres je reprend tout le cours et je fais des fiches.
En math je fais juste les exos
Je vais essayer de faire un devoir de cg par semaine donc en une semaine il faudra que je lise la serie 1 fois puis que je fasse les fiches. Et un devoir de math tous les 15jours.
De plus je me garde une heure par semaine pour revoir les règles de grammaire et d'orthographe dans le bled car jai un gros problème avec les fautes d'orthographe depuis le lycée.
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Le tabac marque nos poumons, pour la vie !
[28 septembre 2007 - 09:44]
Si l’arrêt du tabac permet à terme de retrouver des fonctions cardio-vasculaires quasi-normales, le risque de cancer pulmonaire en revanche, persiste pendant des décennies. C’est la conclusion d’un travail mené par des chercheurs canadiens.
Selon le Pr Raj Chari du British Columbia Cancer Research Centre à Vancouver, « en arrêtant de fumer, vous diminuez considérablement vos risques de décès. Notamment au niveau cardio-vasculaire. Mais contrairement à la croyance populaire, votre organisme ne retrouve pas son état initial ».
Avec son équipe, Chari a analysé l’expression de différents gènes liés au système respiratoire chez des non-fumeurs, des fumeurs réguliers et d’anciens accros au tabac. « Nous avons constaté que l’expression de 124 gènes était toujours altérée parmi les anciens fumeurs », affirme-t-il. Comme si le tabac laissait une marque moléculaire, à vie…
[28 septembre 2007 - 09:44]
Si l’arrêt du tabac permet à terme de retrouver des fonctions cardio-vasculaires quasi-normales, le risque de cancer pulmonaire en revanche, persiste pendant des décennies. C’est la conclusion d’un travail mené par des chercheurs canadiens.
Selon le Pr Raj Chari du British Columbia Cancer Research Centre à Vancouver, « en arrêtant de fumer, vous diminuez considérablement vos risques de décès. Notamment au niveau cardio-vasculaire. Mais contrairement à la croyance populaire, votre organisme ne retrouve pas son état initial ».
Avec son équipe, Chari a analysé l’expression de différents gènes liés au système respiratoire chez des non-fumeurs, des fumeurs réguliers et d’anciens accros au tabac. « Nous avons constaté que l’expression de 124 gènes était toujours altérée parmi les anciens fumeurs », affirme-t-il. Comme si le tabac laissait une marque moléculaire, à vie…
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SIDA, tuberculose, paludisme : la contribution française stagne
[28 septembre 2007 - 11:06]
« La France doit revoir ses ambitions à la hausse, car la vie de millions de malades en dépend », avertit Sidaction. Les responsables de l’association s’inquiètent en effet de la stagnation du soutien de la France au Fonds mondial de lutte contre le SIDA, la tuberculose et le paludisme.
Le montant de la contribution française devrait être de 100 millions d’euros par an sur les trois prochaines années. Dans le même temps, le ministère de la santé prévoit « de diminuer d’environ 50% sa contribution aux partenariats hospitaliers avec des pays en développement, mis en place par ESTHER », souligne Sidaction.
Par ailleurs l’association dénonce le fait que « l’action de la France ne se caractérise que par des décisions financières, les autres sujets prioritaires (étant) délaissés. Par exemple, aucune initiative n’est prise sur la question critique des ressources humaines ».
[28 septembre 2007 - 11:06]
« La France doit revoir ses ambitions à la hausse, car la vie de millions de malades en dépend », avertit Sidaction. Les responsables de l’association s’inquiètent en effet de la stagnation du soutien de la France au Fonds mondial de lutte contre le SIDA, la tuberculose et le paludisme.
Le montant de la contribution française devrait être de 100 millions d’euros par an sur les trois prochaines années. Dans le même temps, le ministère de la santé prévoit « de diminuer d’environ 50% sa contribution aux partenariats hospitaliers avec des pays en développement, mis en place par ESTHER », souligne Sidaction.
Par ailleurs l’association dénonce le fait que « l’action de la France ne se caractérise que par des décisions financières, les autres sujets prioritaires (étant) délaissés. Par exemple, aucune initiative n’est prise sur la question critique des ressources humaines ».
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Des pyramides pour dire stop aux bombes à sous-minutions
[28 septembre 2007 - 12:30]
Ce samedi Handicap International organise dans 40 villes françaises, sa 13ème Pyramide de chaussures. Une opération qui vise à dénoncer le désastre provoqué par les bombes à sous-munitions (BASM)… et à mobiliser pour exiger leur interdiction.
Dans au moins 29 pays et territoires comme le Kosovo, l’Irak ou le Liban, 98% des victimes connues des BASM sont des civils. Des hommes, des femmes, des enfants tués ou mutilés lors de bombardements ou en voulant rependre le cours de leur vie. Les sous-minutions non-explosées, encore présentes dans les rues et les décombres des maisons, mais aussi dans les champs constituent un danger omniprésent.
A l’occasion de cette opération, Handicap international lance un appel solennel au gouvernement français. « L’année 2007 s’est ouverte sur une avancée capitale avec le lancement par la Norvège, de négociations internationales visant à aboutir à un traité interdisant les bombes à sous-minutions. La France, bien que partie prenante du processus, s’illustre cependant par ses réticences », soulignent les responsables de l’association.
[28 septembre 2007 - 12:30]
Ce samedi Handicap International organise dans 40 villes françaises, sa 13ème Pyramide de chaussures. Une opération qui vise à dénoncer le désastre provoqué par les bombes à sous-munitions (BASM)… et à mobiliser pour exiger leur interdiction.
Dans au moins 29 pays et territoires comme le Kosovo, l’Irak ou le Liban, 98% des victimes connues des BASM sont des civils. Des hommes, des femmes, des enfants tués ou mutilés lors de bombardements ou en voulant rependre le cours de leur vie. Les sous-minutions non-explosées, encore présentes dans les rues et les décombres des maisons, mais aussi dans les champs constituent un danger omniprésent.
A l’occasion de cette opération, Handicap international lance un appel solennel au gouvernement français. « L’année 2007 s’est ouverte sur une avancée capitale avec le lancement par la Norvège, de négociations internationales visant à aboutir à un traité interdisant les bombes à sous-minutions. La France, bien que partie prenante du processus, s’illustre cependant par ses réticences », soulignent les responsables de l’association.
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Au Nigeria, une épidémie de polio due à la vaccination
[28 septembre 2007 - 14:13]
Encore un coup dur porté à la vaccination contre la poliomyélite en Afrique. Le nord du Nigeria est actuellement frappé par une nouvelle flambée épidémique. Cette dernière n’est pas due au poliovirus sauvage, mais… aux campagnes de vaccination en cours pour « rattraper » d’urgence le terrain perdu depuis quelques années. Face à cette situation qui n’est pas nouvelle, l’OMS se veut rassurante.
Le vaccin oral utilisé lors des campagnes d’immunisation est produit à partir d’un virus atténué, mais néanmoins susceptible de provoquer des flambées plus ou moins importantes. Bien connu des spécialistes, le phénomène peut survenir dans des zones où le taux d’immunisation est particulièrement faible, comme c’est le cas dans le nord du Nigeria.
Des précédents existent. Neuf au total lors des 10 dernières années, qui ont entraîné 200 cas de poliomyélite. Au cours de la même période, plus de 33 000 enfants dans le monde ont été frappés par le poliovirus sauvage. Et 6,5 millions de cas étaient prévenus grâce à la vaccination.
Autant de chiffres rappelés par Sona Bari, porte-parole pour l’éradication de la poliomyélite à l’OMS. Elle insiste donc sur l’importance de la vaccination. « Le risque du poliovirus sauvage est tellement plus élevé pour nos enfants que le risque associé à la vaccination. Le vaccin peut provoquer une paralysie, mais le risque en est minime. La flambée (en cours au Nigeria) est certes plus importante que ce que l’on aurait imaginé. Il y a 69 cas, il ne faut pas oublier qu’au même moment, le Nigeria est confronté à 2 000 cas de poliomyélite due au virus sauvage ».
Le vaccin oral permet une immunisation indirecte
Sur place, le travail des équipes de Nations Unies (OMS, UNICEF…) s’annonce difficile alors que l’éradication semblait en bonne voie. L’objectif reste plus que jamais de rassurer des populations déjà bien suspicieuses envers le vaccin oral antipolio (VPO), recommandé par l’OMS pour l’éradication de cette maladie.
Il existe bien un vaccin injectable qui d’après Sanofi-Pasteur, permet d’éviter les cas dus à la vaccination. Mais comme le rappelle Sona Bari, « la forme orale est bien l’indispensable instrument des campagnes d’éradication ». Car le virus qu’il renferme -atténué mais bien vivant- se multiplie dans l’organisme des enfants avant d’être excrété dans les selles. Il continue ensuite de vivre dans le milieu ambiant, infectant de la sorte l’entourage qui de ce fait, devient lui-même protégé. Voilà comment des enfants qui n’ont pas été directement vaccinés sont spontanément « immunisés » par des souches vaccinales.
[28 septembre 2007 - 14:13]
Encore un coup dur porté à la vaccination contre la poliomyélite en Afrique. Le nord du Nigeria est actuellement frappé par une nouvelle flambée épidémique. Cette dernière n’est pas due au poliovirus sauvage, mais… aux campagnes de vaccination en cours pour « rattraper » d’urgence le terrain perdu depuis quelques années. Face à cette situation qui n’est pas nouvelle, l’OMS se veut rassurante.
Le vaccin oral utilisé lors des campagnes d’immunisation est produit à partir d’un virus atténué, mais néanmoins susceptible de provoquer des flambées plus ou moins importantes. Bien connu des spécialistes, le phénomène peut survenir dans des zones où le taux d’immunisation est particulièrement faible, comme c’est le cas dans le nord du Nigeria.
Des précédents existent. Neuf au total lors des 10 dernières années, qui ont entraîné 200 cas de poliomyélite. Au cours de la même période, plus de 33 000 enfants dans le monde ont été frappés par le poliovirus sauvage. Et 6,5 millions de cas étaient prévenus grâce à la vaccination.
Autant de chiffres rappelés par Sona Bari, porte-parole pour l’éradication de la poliomyélite à l’OMS. Elle insiste donc sur l’importance de la vaccination. « Le risque du poliovirus sauvage est tellement plus élevé pour nos enfants que le risque associé à la vaccination. Le vaccin peut provoquer une paralysie, mais le risque en est minime. La flambée (en cours au Nigeria) est certes plus importante que ce que l’on aurait imaginé. Il y a 69 cas, il ne faut pas oublier qu’au même moment, le Nigeria est confronté à 2 000 cas de poliomyélite due au virus sauvage ».
Le vaccin oral permet une immunisation indirecte
Sur place, le travail des équipes de Nations Unies (OMS, UNICEF…) s’annonce difficile alors que l’éradication semblait en bonne voie. L’objectif reste plus que jamais de rassurer des populations déjà bien suspicieuses envers le vaccin oral antipolio (VPO), recommandé par l’OMS pour l’éradication de cette maladie.
Il existe bien un vaccin injectable qui d’après Sanofi-Pasteur, permet d’éviter les cas dus à la vaccination. Mais comme le rappelle Sona Bari, « la forme orale est bien l’indispensable instrument des campagnes d’éradication ». Car le virus qu’il renferme -atténué mais bien vivant- se multiplie dans l’organisme des enfants avant d’être excrété dans les selles. Il continue ensuite de vivre dans le milieu ambiant, infectant de la sorte l’entourage qui de ce fait, devient lui-même protégé. Voilà comment des enfants qui n’ont pas été directement vaccinés sont spontanément « immunisés » par des souches vaccinales.
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Mobilisation nationale pour le don de moelle osseuse
Vendredi 28 septembre 2007
L'Agence de la biomédecine lance la 2e semaine nationale de mobilisation pour le don de moelle osseuse, du 5 au 11 octobre 2007. Son objectif : expliquer pourquoi les malades ont dès aujourd'hui besoin qu'un nombre plus important de personnes s'inscrivent sur le Registre national de donneurs volontaires de moelle osseuse.
Trop d'idées fausses circulent encore sur l'importance de ce geste. Une récente enquête révèle ainsi que :
- 74 % des personnes interrogées croient qu'il est facile de trouver un donneur et un malade compatibles. C'est faux, la compatibilité entre deux personnes est un événement très rare : il existe environ 1 chance sur 1 million pour que deux personnes soient compatibles. D'où la nécessité d'augmenter le nombre de volontaires inscrits sur le Registre ;
- 72 % des personnes interrogées pensent que la moelle osseuse est prélevée dans la colonne vertébrale. C'est faux : il ne s'agit pas de prélever de la moelle épinière mais bien de la moelle osseuse qui se situe essentiellement dans les os plats du bassin. C'est un acte chirurgical, effectué sous anesthésie générale, qui, bien entendu, ne comporte aucun risque de paralysie. Il existe un autre mode de prélèvement : les cellules de la moelle osseuse sont tout simplement recueillies dans le sang du donneur ; le donneur doit suivre un traitement médical préparatoire auparavant.
Vendredi 28 septembre 2007
L'Agence de la biomédecine lance la 2e semaine nationale de mobilisation pour le don de moelle osseuse, du 5 au 11 octobre 2007. Son objectif : expliquer pourquoi les malades ont dès aujourd'hui besoin qu'un nombre plus important de personnes s'inscrivent sur le Registre national de donneurs volontaires de moelle osseuse.
Trop d'idées fausses circulent encore sur l'importance de ce geste. Une récente enquête révèle ainsi que :
- 74 % des personnes interrogées croient qu'il est facile de trouver un donneur et un malade compatibles. C'est faux, la compatibilité entre deux personnes est un événement très rare : il existe environ 1 chance sur 1 million pour que deux personnes soient compatibles. D'où la nécessité d'augmenter le nombre de volontaires inscrits sur le Registre ;
- 72 % des personnes interrogées pensent que la moelle osseuse est prélevée dans la colonne vertébrale. C'est faux : il ne s'agit pas de prélever de la moelle épinière mais bien de la moelle osseuse qui se situe essentiellement dans les os plats du bassin. C'est un acte chirurgical, effectué sous anesthésie générale, qui, bien entendu, ne comporte aucun risque de paralysie. Il existe un autre mode de prélèvement : les cellules de la moelle osseuse sont tout simplement recueillies dans le sang du donneur ; le donneur doit suivre un traitement médical préparatoire auparavant.
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svp !
Merci à celles qui laissent des extraits d'articles pour la culture G , cependant, au risque de faire ma rabat joie, est ce que vous pourriez mettre la réference de l'article comme le font certaine ? (site internet, journal etc...) histoire de voir la source et de pouvoir également enrichir cette "base de données"
Merci d'avance !!!
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Franchises médicales: le "bouclier sanitaire"
Franchises médicales: le "bouclier sanitaire" proposé par Hirsch attendra
AFP - Vendredi 28 septembre, 20h42
PARIS (AFP) - Le gouvernement exclut de mettre en place avant 2010 le "bouclier sanitaire" proposé par Martin Hirsch pour limiter les dépenses de santé des revenus modestes, qui pourraient s'accroître après l'instauration, de plus en plus contestée, de franchises médicales en 2008.
A la veille d'une journée de mobilisation contre ces franchises à l'appel d'un collectif réunissant professionnels de la santé, partis, syndicats et associations, la ministre de la Santé Roselyne Bachelot, a indiqué qu'elle devrait "affiner sa réflexion" avant de décider si ce "bouclier sanitaire" était "faisable".
Mme Bachelot a fait ces déclarations peu après la publication par son ministère d'un rapport jugeant possible seulement à partir de 2010 la mise en place de ce "bouclier" proposée en juin par le Haut commissaire aux solidarités actives afin notamment de limiter les dépenses de santé non remboursées des personnes les plus défavorisées.
M. Hirsch avait alors émis publiquement des réserves sur les franchises prévues sur les médicaments (50 centimes), les actes paramédicaux (50 centimes) et les transports sanitaires (2 euros) que le gouvernement auquel il appartient compte instaurer dès 2008, lesquelles devraient rapporter quelque 850 millions d'euros par an.
Pour les auteurs du rapport publié vendredi, Raoul Briet, membre du collège de la Haute Autorité de santé (HAS), et Bertrand Fragonard, président du Haut Conseil sur l'avenir de l'assurance maladie, "la réforme étudiée -plafonner le reste à charge, le cas échéant en fonction du revenu- aurait des effets positifs. Elle protègerait mieux certains ménages", écrivent-ils.
Interrogé par l'AFP, M. Fragonard a nié "privilégier" l'hypothèse de fixer un plafond annuel de dépenses non remboursées à 800 euros, qui est davantage développée que d'autres dans le rapport, tout en précisant qu'elle "semble réaliste".
"Ce projet de bouclier a pour but de +faire passer la pilule+ des franchises", a dénoncé de son côté Bernard Teper, président de l'Union des familles laïques (Ufal) et membre, aux côtés de l'Amuf (médecins urgentistes), Attac France, la FSU ou le PS, d'un collectif qui appelle à se mobiliser samedi contre ces franchises.
Ce collectif, qui compte aussi participer à la manifestation contre les franchises et pour de meilleurs conditions de travail, organisée par l'Andeva (victimes de l'amiante) et la Fnath (accidentés de la vie), le 13 octobre à Paris, souhaite également suggérer aux députés et sénateurs plusieurs amendements au cours de la "bataille parlementaire d'octobre" sur le projet de loi de financement de la sécurité sociale (PLFSS) 2008.
Ces propositions d'amendements viseraient notamment à faire barrage aux franchises médicales, alors que, selon un sondage Ipsos réalisé pour le CISS (collectif interassociatif sur la santé, qui regroupe des associations de malades et de familles de malades), 70% des Français y seraient opposés.
Concernant leur éventuel remboursement par les complémentaires de santé, le président de la Mutualité française (FNMF), Jean-Pierre Davant, a reproché jeudi au gouvernement de "tout faire" pour en dissuader les mutuelles.
"Le gouvernement a tout fait pour qu'on ne rembourse pas ces franchises, par le biais de la fiscalité", a affirmé le président de la FNMF qui revendique 18 millions d'adhérents et 38 millions de personnes protégées par les mutuelles adhérentes, régies par le Code de la Mutualité.
AFP - Vendredi 28 septembre, 20h42
PARIS (AFP) - Le gouvernement exclut de mettre en place avant 2010 le "bouclier sanitaire" proposé par Martin Hirsch pour limiter les dépenses de santé des revenus modestes, qui pourraient s'accroître après l'instauration, de plus en plus contestée, de franchises médicales en 2008.
A la veille d'une journée de mobilisation contre ces franchises à l'appel d'un collectif réunissant professionnels de la santé, partis, syndicats et associations, la ministre de la Santé Roselyne Bachelot, a indiqué qu'elle devrait "affiner sa réflexion" avant de décider si ce "bouclier sanitaire" était "faisable".
Mme Bachelot a fait ces déclarations peu après la publication par son ministère d'un rapport jugeant possible seulement à partir de 2010 la mise en place de ce "bouclier" proposée en juin par le Haut commissaire aux solidarités actives afin notamment de limiter les dépenses de santé non remboursées des personnes les plus défavorisées.
M. Hirsch avait alors émis publiquement des réserves sur les franchises prévues sur les médicaments (50 centimes), les actes paramédicaux (50 centimes) et les transports sanitaires (2 euros) que le gouvernement auquel il appartient compte instaurer dès 2008, lesquelles devraient rapporter quelque 850 millions d'euros par an.
Pour les auteurs du rapport publié vendredi, Raoul Briet, membre du collège de la Haute Autorité de santé (HAS), et Bertrand Fragonard, président du Haut Conseil sur l'avenir de l'assurance maladie, "la réforme étudiée -plafonner le reste à charge, le cas échéant en fonction du revenu- aurait des effets positifs. Elle protègerait mieux certains ménages", écrivent-ils.
Interrogé par l'AFP, M. Fragonard a nié "privilégier" l'hypothèse de fixer un plafond annuel de dépenses non remboursées à 800 euros, qui est davantage développée que d'autres dans le rapport, tout en précisant qu'elle "semble réaliste".
"Ce projet de bouclier a pour but de +faire passer la pilule+ des franchises", a dénoncé de son côté Bernard Teper, président de l'Union des familles laïques (Ufal) et membre, aux côtés de l'Amuf (médecins urgentistes), Attac France, la FSU ou le PS, d'un collectif qui appelle à se mobiliser samedi contre ces franchises.
Ce collectif, qui compte aussi participer à la manifestation contre les franchises et pour de meilleurs conditions de travail, organisée par l'Andeva (victimes de l'amiante) et la Fnath (accidentés de la vie), le 13 octobre à Paris, souhaite également suggérer aux députés et sénateurs plusieurs amendements au cours de la "bataille parlementaire d'octobre" sur le projet de loi de financement de la sécurité sociale (PLFSS) 2008.
Ces propositions d'amendements viseraient notamment à faire barrage aux franchises médicales, alors que, selon un sondage Ipsos réalisé pour le CISS (collectif interassociatif sur la santé, qui regroupe des associations de malades et de familles de malades), 70% des Français y seraient opposés.
Concernant leur éventuel remboursement par les complémentaires de santé, le président de la Mutualité française (FNMF), Jean-Pierre Davant, a reproché jeudi au gouvernement de "tout faire" pour en dissuader les mutuelles.
"Le gouvernement a tout fait pour qu'on ne rembourse pas ces franchises, par le biais de la fiscalité", a affirmé le président de la FNMF qui revendique 18 millions d'adhérents et 38 millions de personnes protégées par les mutuelles adhérentes, régies par le Code de la Mutualité.
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Nicolas Sarkozy veut une améliorer les secours d'urgence
Nicolas Sarkozy veut une améliorer les secours d'urgence
Reuters - Samedi 29 septembre, 16h01
CLERMONT-FERRAND (Reuters) - Nicolas Sarkozy a plaidé en Auvergne pour une réorganisation des secours d'urgence en France, via une meilleure coordination entre les pompiers et le Samu.
"Il y a un problème d'organisation. Il faut le traiter et le trancher", a dit le président de la République, qui concluait le congrès de la Fédération nationale des sapeurs-pompiers de France, à Clermont-Ferrand.
Un souci d'organisation dont se plaignent précisément les soldats du feu.
Les secours d'urgence aux personnes relèvent aujourd'hui pour l'essentiel de deux entités : les 250.000 sapeurs-pompiers d'un côté, les services médicaux d'assistance d'urgence (Samu) de l'autre, avec deux numéros d'appel, le 18 pour les premiers et le 15 pour les seconds.
"Mon sentiment est que l'on a laissé les deux institutions trop longtemps vivre dans leur logique propre, s'en remettant aux relations entre les hommes", a dit Nicolas Sarkozy, soulignant les disparités entre les départements en la matière.
"Les enjeux sont tels que l'on ne peut rester en l'état. Il faut davantage d'organisation, de procédures, de mutualisation des moyens", a-t-il insisté.
Le président a plaidé pour l'instauration d'un véritable partenariat entre les deux types de services de secours afin d'éviter "redondances" et "concurrences inopportunes".
"Je souhaite que l'on conduise un vrai travail sur l'organisation de notre dispositif de secours et d'urgence, sans a priori, sans s'attacher à de fausses querelles", a-t-il dit.
Il a invité à une engager "tout de suite" une "réflexion globale" sur une "répartition plus claire" des compétences et des responsabilités "dans le respect de chacun" et sur la maîtrise des coûts. Il a aussi estimé qu'il fallait anticiper la poursuite de la réforme de la carte hospitalière.
UN CASQUE EN CADEAU
Le chef de l'Etat a demandé une meilleure coordination entre les deux administrations de tutelle - la direction de l'hospitalisation et de l'organisation des soins et celle de la défense et de la sécurité civile. "L'échange et le travail en commun doivent être permanents", a-t-il insisté.
Il a souhaité que les données des schémas d'organisation sanitaire relevant de ces directions au niveau territorial "soient intégrées afin de permettre une meilleure cohérence dans l'organisation des secours" aux personnes "dès 2008".
Nicolas Sarkozy a estimé que l'organisation des secours devait aussi tenir compte des problèmes de démographie médicale, notamment en milieu rural.
Il a souhaité que le partage des responsabilités soit "formalisé dans un référentiel de régulation des interventions" et que les systèmes d'information et de communication des deux types de services soient "totalement interconnectés" pour optimiser l'engagement de leurs moyens.
Nicolas Sarkozy a demandé qu'une expérimentation en matière de "co-production" des secours d'urgence soit conduite en 2008 en grandeur réelle dans plusieurs départements. Si elle est concluante, elle sera étendue en 2009.
A la fin de son discours, le chef de l'Etat s'est vu offrir un casque de pompier.
"Ça protège d'abord la tête. Ça peut être utile aussi pour un chef de l'Etat", a plaisanté Nicolas Sarkozy, qui a d'autre part proposé que la chorale des jeunes sapeurs-pompiers interprète l'hymne de la profession et la Marseillaise le jour de la Fête nationale sur les Champs-Elysées.
"J'aimerais que le prochain 14 juillet, les sapeurs-pompiers soient au coeur de cette Fête nationale", a-t-il dit.
Reuters - Samedi 29 septembre, 16h01
CLERMONT-FERRAND (Reuters) - Nicolas Sarkozy a plaidé en Auvergne pour une réorganisation des secours d'urgence en France, via une meilleure coordination entre les pompiers et le Samu.
"Il y a un problème d'organisation. Il faut le traiter et le trancher", a dit le président de la République, qui concluait le congrès de la Fédération nationale des sapeurs-pompiers de France, à Clermont-Ferrand.
Un souci d'organisation dont se plaignent précisément les soldats du feu.
Les secours d'urgence aux personnes relèvent aujourd'hui pour l'essentiel de deux entités : les 250.000 sapeurs-pompiers d'un côté, les services médicaux d'assistance d'urgence (Samu) de l'autre, avec deux numéros d'appel, le 18 pour les premiers et le 15 pour les seconds.
"Mon sentiment est que l'on a laissé les deux institutions trop longtemps vivre dans leur logique propre, s'en remettant aux relations entre les hommes", a dit Nicolas Sarkozy, soulignant les disparités entre les départements en la matière.
"Les enjeux sont tels que l'on ne peut rester en l'état. Il faut davantage d'organisation, de procédures, de mutualisation des moyens", a-t-il insisté.
Le président a plaidé pour l'instauration d'un véritable partenariat entre les deux types de services de secours afin d'éviter "redondances" et "concurrences inopportunes".
"Je souhaite que l'on conduise un vrai travail sur l'organisation de notre dispositif de secours et d'urgence, sans a priori, sans s'attacher à de fausses querelles", a-t-il dit.
Il a invité à une engager "tout de suite" une "réflexion globale" sur une "répartition plus claire" des compétences et des responsabilités "dans le respect de chacun" et sur la maîtrise des coûts. Il a aussi estimé qu'il fallait anticiper la poursuite de la réforme de la carte hospitalière.
UN CASQUE EN CADEAU
Le chef de l'Etat a demandé une meilleure coordination entre les deux administrations de tutelle - la direction de l'hospitalisation et de l'organisation des soins et celle de la défense et de la sécurité civile. "L'échange et le travail en commun doivent être permanents", a-t-il insisté.
Il a souhaité que les données des schémas d'organisation sanitaire relevant de ces directions au niveau territorial "soient intégrées afin de permettre une meilleure cohérence dans l'organisation des secours" aux personnes "dès 2008".
Nicolas Sarkozy a estimé que l'organisation des secours devait aussi tenir compte des problèmes de démographie médicale, notamment en milieu rural.
Il a souhaité que le partage des responsabilités soit "formalisé dans un référentiel de régulation des interventions" et que les systèmes d'information et de communication des deux types de services soient "totalement interconnectés" pour optimiser l'engagement de leurs moyens.
Nicolas Sarkozy a demandé qu'une expérimentation en matière de "co-production" des secours d'urgence soit conduite en 2008 en grandeur réelle dans plusieurs départements. Si elle est concluante, elle sera étendue en 2009.
A la fin de son discours, le chef de l'Etat s'est vu offrir un casque de pompier.
"Ça protège d'abord la tête. Ça peut être utile aussi pour un chef de l'Etat", a plaisanté Nicolas Sarkozy, qui a d'autre part proposé que la chorale des jeunes sapeurs-pompiers interprète l'hymne de la profession et la Marseillaise le jour de la Fête nationale sur les Champs-Elysées.
"J'aimerais que le prochain 14 juillet, les sapeurs-pompiers soient au coeur de cette Fête nationale", a-t-il dit.
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