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aneso81
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Modestes protestations contre les franchises médicales

Message par aneso81 »

Modestes protestations contre les franchises médicales
AFP - il y a 2 heures 36 minutes

PARIS (AFP) - Des rassemblements et réunions de protestations contre le projet gouvernemental d'instauration de franchises médicales, dans plusieurs villes de France, ont réuni au total quelques milliers de personnes, pour un modeste galop d'essai avant une autre mobilisation le 13 octobre.



Le projet de loi de financement de la sécurité sociale (PLFSS) pour 2008 prévoit d'instaurer une franchise, c'est à dire une part non remboursée, sur les médicaments (50 centimes), les actes paramédicaux (50 centimes) et les transports sanitaires (2 euros), ce qui devrait permettre de réaliser une économie de 850 millions d'euros par an.

Un collectif rassemblant des partis de gauche (PCF, PS, LCR..), des organisations professionnelles comme l'Amuf (urgentistes), des syndicats (FSU, Sud) et des associations (Act up, Attac, Familles laïques...), avaient appelé à la "mobilisation" contre "cette remise en cause de la solidarité".

Plusieurs centaines de personnes (350 selon la police) se sont ainsi rassemblées à Toulouse, devant le Capitole, sous une banderole proclamant "les franchises, non, la solidarité oui ; accès aux soins pour toutes et pour tous", entre les stands de la fête annuelle des associations et la pyramide de chaussures contre les mines de Handicap International.

A Marseille, entre 200 personnes, selon la police, et 500, selon les organisateurs, s'étaient réunis près de la porte d'entrée de la Foire de Marseille pour sensibiliser le public aux "risques majeurs" que feraient peser les franchises aux plus pauvres.

Des rassemblements analogues se sont tenus à Albi (200 à 300 personnes), Tarbes (450 selon la police), Strasbourg (100 à 200), Grenoble (près d'un millier, selon les organisateurs), Clermont-Ferrand (100 à 150), Nîmes (environ 200), Périgueux (100 à 150), Guéret et Limoges (environ 300 dans les deux cités).

Dans d'autres villes, comme Paris (au gymnase Japy), Lille et Bordeaux, les organisateurs avaient organisé des réunions publiques pour développer leur arguments au projet.

Une opposition renforcée par le report à 2010 au plus tôt, annoncé vendredi, d'un "bouclier sanitaire" permettant de limiter les dépenses de santé non remboursées des ménages modestes, même si cette mesure n'avait pour but que "faire passer la pilule" des franchises, selon Bernard Teper, président de l'Union des familles laïques (Ufal) et l'un des porte-parole du collectif.

Le collectif compte participer à la manifestation contre les franchises et pour de meilleurs conditions de travail, organisée par l'Andeva (victimes de l'amiante) et la Fnath (accidentés de la vie), le 13 octobre à Paris. Il entend aussi faire pression auprès des parlementaires qu'il proposent des amendements de suppression des franchises lors de la discussion du PLFSS 2008.
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aneso81
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Manifestations en France contre les franchises médicales

Message par aneso81 »

Manifestations en France contre les franchises médicales
Reuters - il y a 3 minutes

PARIS (Reuters) - Quelques milliers de personnes ont défilé dans plusieurs dizaines de villes de France pour protester contre les franchises médicales, que le gouvernement veut mettre en place dès l'an prochain.


Des centaines de personnes se sont notamment rassemblées à Toulouse, Grenoble, Strasbourg et Marseille à l'appel d'une quarantaine d'associations et de partis de gauche.

Les manifestants dénoncent une remise en cause du principe de solidarité et demandent au gouvernement de renoncer à ces franchises, qui consistent à laisser à la charge du malade une partie des dépenses de santé.

A partir du 1er janvier 2008, sur chaque boîte de médicament et chaque acte paramédical, 50 centimes d'euros ne seront plus remboursés. Une franchise de deux euros sera instaurée sur les transports sanitaires.

Ce système doit permettre de dégager 850 millions d'euros d'économies tout en assurant le financement de dépenses nouvelles prioritaires comme le plan Alzheimer et la lutte contre le cancer.

Une manifestation nationale contre les franchises médicales est prévue le 13 octobre à Paris.
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DANIELLA
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Message par DANIELLA »

tes fiches sont superbe, je trouve que cela peut nous aider poue le concours. As-tu fait d'autres fiches sur d'autres sujet ?
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Amiwi
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Message par Amiwi »

j'y travaille ^^
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Amiwi
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Message par Amiwi »

LES DONS D’ORGANES

La transplantation d'organes est le seul espoir de vie pour de nombreux malades atteints d'insuffisance rénale, cardiaque, pulmonaire ou hépatique. Aujourd'hui en France, de nombreux malades meurent faute de ne pouvoir recevoir une greffe à temps.
Le don d'organes est destiné lui à sauver directement des vies humaines par la greffe. C'est un acte de générosité et de solidarité, désintéressé et anonyme. Les organes sains sont prélevés par une équipe médico-chirurgicale dans le plus grand respect du défunt. Il n'entraîne aucun frais pour la famille. Après l'acte chirurgical de prélèvement, le corps est rendu aux proches du donneur pour leur permettre d'organiser les obsèques comme ils le souhaitent.
On peut donner ses organes :
 De son vivant :
Il s’agit alors de tissus qui se régénèrent spontanément comme le sang, la moelle osseuse (à ne pas confondre avec la moelle épinière), des fragments de peau. Pour les organes vitaux comme le rein, le donneur doit être majeur et apparenté au premier degré au malade en attente de greffe (père, mère, fils, fille, fratrie).
 A son décès :
Tous les organes peuvent être prélevés : coeur, foie, poumons, bloc coeur - poumons, pancréas, intestin... Pour pouvoir certifier de votre volonté à donner vos organes, vous devez porter sur vous une carte de donneur.
En cas de mort encéphalique, des familles se sont opposées au prélèvement d'organes sur le corps du défunt.
Face à ce problème de santé publique, chacun peut apporter un élément de solution en demandant une carte de donneur et en parlant autour de soi.

LA DOULEUR

La douleur est la sensation ressentie par un organisme dont le système nerveux détecte un stimulus nociceptif (qui désigne ce qui capte les excitations douloureuses). Ce mot peut également désigner des souffrances d'ordre sentimental, par exemple suite à un décès ou une rupture amoureuse.
La personne a une sensation extrêmement désagréable, voire insupportable, qui peut provoquer un mouvement réflexe de retrait ou un changement de position du corps.

L’accompagnement de la douleur
L'acharnement thérapeutique désigne le maintien artificiel en vie d'un patient mourant pour lequel on n'a plus aucun espoir d'amélioration ou de stabilisation d'un état physiologique jugé précaire : la personne ne peut plus vivre sans les machines ou les traitements douloureux que l'on met à sa disposition (respirateurs, médicaments avec de forts effets secondaires).
La différence avec l’euthanasie du non acharnement thérapeutique n'est pas sans intérêt car l'euthanasie est toujours punie par le code pénal français aux termes de l'article sur le meurtre. L'euthanasie n'est donc aux yeux de la loi qu'un crime.
De manière assez caricaturale, le non acharnement thérapeutique peut se différencier par le fait qu'il consiste en une inaction : ne pas soigner un malade. Cependant, si débrancher une machine est une action, il s'agirait plutôt d'une euthanasie.

LES MALADIES INFECTIEUSES

Les maladies infectieuses (comme le paludisme, le tétanos, les MST, la tuberculose..) sont des maladies qui se définissent par leur vecteur : virus, bactérie, parasite, mycose…
Elles sont susceptibles d’affecter n’importe quel organisme vivant (animal ou végétal). Leur mode de transmission est variable. Elles sont plus ou moins contagieuses.
Lorsque les cas se multiplient dans un lieu et une période limitée, on parle d’épidémie. Si la diffusion est beaucoup plus généralisée, on parle alors de pandémie.

LE SIDA

Quand une personne est contaminée par le VIH, son organisme n'est pas capable de l'éliminer. Elle est alors infectée par le VIH. Mais elle ne va pas se sentir malade tout de suite. Le VIH met en général plusieurs années avant de détruire les défenses immunitaires. On ne parle de sida que lorsqu'une personne souffre d'une maladie opportuniste. Donc, un malade du sida a forcément une infection par le VIH, alors que toutes les personnes infectées par le VIH n'ont pas développé le sida. Les traitements actuels ont pour but de soigner le sida chez ceux qui l'ont déjà, mais aussi d'empêcher que l'infection par le VIH évolue vers le sida.
La prise en charge des personnes infectées par le VIH s'est considérablement transformée au fil des années grâce à l'impact majeur des traitements antirétroviraux sur la santé des patients depuis 1996. La très grande majorité de ces personnes, lorsqu'elles sont suivies, bénéficient, en effet, d'un traitement antirétroviral, le plus souvent d'une trithérapie. L'incidence des infections opportunistes a fortement diminué. La fonction immunitaire de nombreux patients s'est améliorée. Plus de la moitié des personnes infectées par le VIH suivie en milieu hospitalier ont une infection contrôlée. Ces éléments encourageants ne doivent pas masquer les situations difficiles des patients en échec thérapeutique et l'importance des effets secondaires liés aux médicaments qui peuvent parfois compromettre l'observance.
L'effort doit donc être poursuivi. Il nous faut trouver des solutions pour améliorer la précocité du diagnostic, pour les situations d'échec thérapeutique et pour renforcer les actions dans le domaine de la prévention et de la recherche. Le sida reste une des priorités de santé publique de la France.



Je pense qu'elle ne sont pas exhaustives d'ailleurs si vous voyez quelque chose à rajouter n'hésitez pas à le dire :clin:
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Dowbette
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Message par Dowbette »

Fin des cours le samedi matin à l'école : la mesure concernera aussi le collège

LEMONDE.FR | 30.09.07 | 10h29 • Mis à jour le 30.09.07 | 10h29

Jeudi, le ministre de l'éducation, Xavier Darcos, annonçait la fin des cours le samedi matin à l'école primaire à partir de septembre 2008. Cette mesure devrait concerner aussi le collège, elle sera prise prochainement "pour entrer en vigueur, si cela est possible, ce que je souhaite, dès la rentrée prochaine", a confié le ministre au Journal du dimanche, daté du 30 septembre.

Les collégiens ne devraient pas bénéficier de la semaine de quatre jours. "Pour le collège, notre volonté est de transférer les enseignements du samedi au mercredi", souligne Xavier Darcos. La mesure ne se soldera donc pas par une suppression d'heures de cours.

La mesure annoncée par le gouvernement, critiquée par certaines associations de parents d'élèves, est plébiscitée par les Français. Selon un sondage CSA/ministère de l'éducation nationale réalisé les 26 et 27 septembre auprès de 1 203 personnes, révélé par le JDD, 71 % des personnes interrogées se déclarent plutôt (45 %) ou très (26 %) favorables à la suppression des cours le samedi matin à l'école primaire. Ce nombre atteint 77 % auprès des seuls parents d'élèves.
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Message par HAMLET-30 »

"Formidable espoir" contre la mucoviscidose

Après des tests concluants sur des souris, une molécule prometteuse contre la mucoviscidose est administrée pour la première fois à 25 malades.
Selon les chercheurs français à l'origine de cette découverte, un médicament pourrait voir le jour d'ici deux à trois ans.
Matthieu DURAND - le 01/10/2007 - 10h59

Des chercheurs du CNRS testent sur 25 patients une molécule prometteuse contre la mucoviscidose. L'information, révélée lundi par France Info, émane de l'association Vaincre la mucoviscidose.

La mucoviscidose, dont est décédé récemment le chanteur Grégory Lemarchal, est une maladie génétique qui touche les voies respiratoires et le système digestif. Elle "transforme" le mucus qui humidifie les canaux de certains de nos organes en substance épaisse et collante. Ce manque de fluidité provoque alors des infections pulmonaires et digestives.

Une équipe du CNRS de Poitiers a découvert qu'une molécule, appelée Miglustat, a la capacité de restaurer la protéine CFTR responsable de la maladie. Des tests menés sur des souris se sont avérés très positifs. Un essai clinique est désormais mené en Espagne sur 25 malades porteurs d'une mutation génétique (appelée delta F5082) présente chez environ 70% des personnes atteintes de la maladie.

"Très forte probabilité" de succès

Il faudra attendre quelques mois avant de connaître les premiers résultats du traitement sur des êtres humains. "Si [ces résultats] sont positifs, alors on aura une très grande chance d'avoir un médicament très prochainement, indique le professeur Frédéric Becq (CNRS, Poitiers) à France Info. Même si c'est dans deux ans, trois ans, c'est considérable en terme de développement thérapeutique." Soulignant qu'il existe "toujours un risque d'échec", le chercheur insiste toutefois sur la "très forte probabilité pour que ça réussisse".

Vaincre la mucoviscidose, qui a subventionné en partie ces travaux, parle quant à elle d'une "étape majeure" dans la lutte contre la maladie. Evoquant un "formidable espoir" au micro de France Info, Franck Dufour, membre de l'association, explique que c'est "une des premières fois au monde où une molécule va aller s'attaquer à la maladie" plutôt qu'à ses symptômes, comme c'est le cas avec la plupart des traitements actuels.

Si les chercheurs ont pu avancer aussi rapidement, c'est aussi parce que le Miglustat est une molécule déjà connue. Commercialisée en France sous le nom de Zavesca par le laboratoire Actelion1, elle est utilisée dans le traitement d'une maladie génétique rare, la maladie de Gaucher. De fait, les chercheurs connaissent également ses effets indésirables : tremblements, troubles gastriques et visuels, perte ou prise de poids. Et le professeur Becq de se réjouir : "Par cette découverte, nous avons gagné cinq ans sur le processus habituel de développement d'un médicament (de 5 à 10 ans habituellement)".
Courage à tous et à toutes !
dernière ligne droite, on y croit tous ! No stress que de la motivation !!!
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fleurdorangette
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Comparatif de la Culture G !

Message par fleurdorangette »

Dernièrement je me suis racheté un livre pour préparer le concours (studyrama) qui est au passage tres bien fait notamment pour les maths (avis aux nuls comme moi ;) )
Je souhaitais poster ici les différents chapitres de culture G présent dans ce livre ainsi que dans le mega guide du concours infirmier de chez Masson.
Chez noter en gras les sujets communs (que j'ai remis au passage dans le même ordre pour les deux bouquins) et mis ensuite ceux qui différaient !
Avis a celles que ca intéresse de faire comme moi ici avec d'autres livres, je trouvais l'idée intéressante histoire ensuite de pouvoir rebondir si on s'aperçoit qu'il manque quelques chapitres non traités dans nos livres mais traités par d'autres ouvrages afin de faire des recherches pour réaliser de nouvelles fiches !


Studyrama : IFSI

• Le système de la protection sociale
• Les toxicomanies
• Le handicap
• La bioéthique
• La famille
• L’enfant
• Les femmes
• Les personnes âgées
• Les principales maladies de santé publique (MCV, cancer, sida, obésité)
• Le sport
• Environnement et pollution
• Chômage, pauvreté, précarité et exclusion

• L’immigration
• Panorama de la santé et de l’action humanitaire dans le monde
• Les sectes
• Les NTIC (nouvelles technologies de l’information et de la communication


Masson : méga guide du concours infirmier


• Santé publique et économie de la santé
• Les toxicomanies et les addictions
• Le handicap
• La bioéthique
• La famille
• L’enfance et l’adolescence
• L’homme et la femme
• La personne âgée
• Les comportements a risque et les maladies d’incidence sociale
• Le sport et les loisirs
• L’environnement et l’urbanisation
• Le travail

• La démographie française
• La citoyenneté
• Violence et délinquance
• L’hygiène
• La nutrition

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Message par Amiwi »

C'est cool ce que tu fais

Moi j'ai fait à partir d'une liste que ma soeur à eu en bac SMS car ils avaient une heure de prépa concours par semaine
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Dowbette
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Message par Dowbette »

Je vais faire la liste de tous les cours que je me suis faits :

- concept de santé
- santé publique
- prévention et éducation à la santé
- protection sociale
- risques sociaux
- assurance vieillesse
- assurance maladie
- mutuelles, assurance privée et autres institutions de protection complémentaire
- aide sociale et minima sociaux
- indemnisation du chômage et prestations familiales
- la carte vitale 2
le dossier médical personnalisé
- adoption
- état de santé des français ( nuptialité, mortalité, fécondité...)
- prévention médicosociale
- causes des décès en France
- Cancer
- MCV
- Accidents
- Drogue
- Alcoolisme
- Tabagisme
- Suicides
- Les hépatites
- PMA
- IVG
- IST
- Education sexuelle
- SIDA
- Obésité
- Obésité infantile
- Diabète ( nourrisson, gestationnel )
- Maladies mentales
- Alzheimer
- Infections nosocomiales
- Grippe aviaire
- Chikungunya
- Paludisme
- Anorexie et boulimie
- Allaitement maternel
- Audition
- Travail
- Médicaments
- Environnement
- Jeunes
- Maltraitance
- Délinquance
- Personnes âgées
- Famille
- Chômage
- Euthanasie
- Les personnes handicapées
- Piercing / Tatouages
- Bioéthique
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Message par aneso81 »

Des cellules souches pour faire repousser des poumons de… souris

[1er octobre 2007 - 11:39]

Pour la première fois, une équipe britannique de l’Imperial College à Londres, est parvenue à soigner les poumons de rongeurs grâce à la thérapie cellulaire. C’est un espoir pour des millions de patients dans le monde.

Les chercheurs ont cultivé des cellules souches embryonnaires de souris, capables de se différencier en n’importe quel type de cellule. L’objectif étant de les « nicher » dans les poumons en vue de les amener à s’y reproduire.

Pari gagné ! « Les cellules souches ont colonisé les zones de l’épithélium pulmonaire où se font les échanges gazeux » précise Síle Lane, qui a dirigé l’étude. C’est une « première » encourageante, car le poumon était jusque-là considéré comme inaccessible à la thérapie cellulaire. Notamment parce que « cet organe hautement complexe réunit une grande diversité de cellules, dont certaines ont un rythme de renouvellement très lent » a précisé l’auteur devant les participants au Congrès annuel de l’European Respiratory Society, à Stockholm (Suède).

Si la voie des cellules souches est désormais ouverte en pneumologie, les chercheurs britanniques reconnaissent que l’application de leurs travaux en médecine humaine est encore lointaine. Or la possibilité de régénérer des poumons lésés serait un événement considérable pour des dizaines de millions de patients atteints de cancers, d’asthme, de mucoviscidose ou de broncho-pneumopathie chronique obstructive (BPCO) par exemple.
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Message par aneso81 »

Du Ginkgo contre Alzheimer ? Un placebo, pas mieux…

[1er octobre 2007 - 12:50]

Le Ginkgo biloba, cette plante médicinale surnommée « l’arbre aux quarante écus » permet-il de lutter efficacement contre la maladie d’Alzheimer ? Les rédacteurs de la Revue Prescrire se sont penchés sur la littérature. Et sans grande surprise, leur quête n’a guère été couronnée de succès.

En pratique, l’extrait de Ginkgo biloba « apparaît peu ou pas différent d’un placebo dans le traitement de la maladie d’Alzheimer » soulignent-ils au terme de leur évaluation. Laquelle a pris en compte plus de 30 essais réalisés sur le sujet.

Les auteurs admettent que l’utilisation de cette plante est « temporairement acceptable dans certains contextes ». Mais gare au risque hémorragique. « Quelques observations d’hémorragies incitent à la prudence, notamment en présence de facteurs de risque : association à un traitement anticoagulant ou antiagrégant etc… ». Une bonne raison pour demander systématiquement conseil à son médecin avant d’entamer tout traitement. Y compris sous forme de plantes médicinales
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Message par aneso81 »

Pauvres, séropositifs et… montrés du doigt !

Lundi 1 octobre, 07h45
Aux Etats-Unis, nombreux sont les patients infectés par le VIH qui se sentent stigmatisés… par leur médecin. Une nouvelle étude menée à Los Angeles révèle en fait que ce sentiment, réel ou imaginaire, freine même certains malades dans leur visite chez le praticien. Leur point commun : des revenus faibles.


Plus qu'une attitude de rejet de la part des médecins américains, ce sont plutôt le statut socio-économique et l'environnement social auquel appartiennent les patients, qui seraient à l'origine de leur sentiment de stigmatisation.

Six malades ayant déclaré souffrir d'un rejet sur dix, disposent en effet de faibles revenus et ne bénéficient pas d'une vraie couverture sociale… Ce qui rappelons-le, est le cas de plus de 40 millions de citoyens américains. L'étude dirigée par le Pr Janni J. Kinsler (Université de Californie) a inclus 223 séropositifs au VIH résidant à Los Angeles. Tous ont répondu à un questionnaire concernant leurs rapports avec leur médecin traitant.

Résultat, 26% ont déclaré ressentir une forme de rejet ou de stigmatisation. Parmi ces derniers, 58% ont affirmé avoir un accès limité aux services médicaux ! Ce qui n'est pas vraiment étonnant. Aux Etats-Unis en effet, il n'existe pas « d'assurance santé pour tous ». Pour se soigner convenablement, mieux vaut donc être riche à défaut d'être bien portant.
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Message par aneso81 »

Les internes en grève pour défendre la liberté d'installation des médecins

il y a 19 minutes
PARIS (AFP) - Les internes en médecine se sont lancés depuis jeudi dans une grève des gardes et astreintes, sans incidence sur l'accès aux soins, pour défendre la liberté d'installation des praticiens que le gouvernement entend limiter dans les zones où ils sont déjà très nombreux.


L'ISNCCA (chefs de clinique assistants), le SNJMG (jeunes généralistes), l'Isnih (internes des hôpitaux) et l'Anemf (étudiants en médecine) ont entamé jeudi dernier un premier mouvement de grève "illimité".

Une autre organisation d'internes en médecine générale, l'Isnar-IMG, a à son tour appelé les 5.000 internes généralistes (sur un total de 15.000 internes) à ne plus assurer leurs tours de gardes dans les hôpitaux à compter de lundi soir.

Soutenus par les syndicats professionnels et l'Ordre des médecins, les internes veulent des garanties concernant leur liberté d'installation, un des principes de la médecine libérale avec la liberté de prescription et le paiement à l'acte.

L'assurance maladie et la Cour des comptes ont pourtant souligné, en septembre, les limites de ce principe, la Cour appelant le gouvernement à "mettre en place des mécanismes de pénalisation financière" pour dissuader les médecins de s'installer dans les zones où ils sont trop nombreux (Sud, villes, centres-villes).

"Nous sommes d'accord sur la nécessité de réformer en profondeur notre système de soins mais nous voulons être directement associés à la préparation des réformes et nous ne voulons pas de mesures coercitives, comme des incitations financières négatives", explique à l'AFP le porte-parole de l'Isnar-IMG, Lionel Michel.

Le gouvernement a finalement invité, dans son projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS) 2008, médecins et caisses de Sécurité sociale à "définir les outils pour réguler l'installation de nouveaux professionnels de santé dans les zones où ils sont déjà nombreux".

La ministre de la Santé, Roselyne Bachelot, a lancé un appel "à la concertation", lundi lors d'une visite à Phalempin (Nord), et exprimé son attachement à la liberté d'installation.

Elle a également assuré qu'aucun déconventionnement des médecins qui s'installeraient dans des zones déjà pourvues en professionnels de santé n'était prévu.

"Il y a un vrai problème de démographie médicale avec des zones sur-denses et des zones sous-denses. (...) Ce problème, il faut le résoudre", a toutefois affirmé la ministre, interpellée dans la matinée par des internes lors d'une visite des urgences au CHR de Lille.

Ce mouvement n'a pas d'incidence sur l'accès aux soins, assurent leurs organisateurs. "Les médecins ont un peu plus de travail sur les interventions non urgentes, mais les soins urgents sont évidemment assurés", assure Olivier Mir, président de l'Isnih.

Les établissements hospitaliers ont d'ailleurs la possibilité d'assigner les internes pour garantir les soins.

Selon M. Mir, les centres hospitalo-universitaires (CHU) de Lyon, Toulouse, Nice et Clermont-Ferrand sont "les plus touchés, avec des taux de grévistes proches de 100%, contre une moyenne nationale de 80%".

"Dans l'attente de nouvelles du ministère de la Santé", selon M. Michel, les internes et étudiants en médecine menacent de "durcir" leur mouvement en organisant vendredi une "journée sans internes" dans l'ensemble des hôpitaux.
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Message par aneso81 »

Surdose de radiations à Toulouse: les victimes vont demander des indemnisations

AFP - il y a 7 minutes
TOULOUSE (AFP) - Deux associations de patients victimes d'une surdose de radiations lors de leur traitement au CHU toulousain de Rangueil entre avril 2006 et avril 2007 ont indiqué, lundi à Toulouse, qu'elles allaient demander des indemnisations, l'une des deux envisageant d'aller au pénal.


Lors d'une réunion d'information organisée à Toulouse, l'association "SOS irradiés 31", qui regroupe 44 des 145 victimes de ces surirradiations, qui a réclamé la mise en place d'une commission d'indemnisation, a déclaré envisager de porter plainte d'ici fin octobre.

"La plainte au pénal contre X va permettre de synthétiser les différentes enquêtes administratives en cours, donc d'avoir une vision globale du dossier et, à terme, de déterminer qui est responsable", a indiqué son avocat, Me Christophe Léguevaques.

De son côté, l'Association des accidentés de la vie-Fnath a, par son avocat-conseil Me Robert-François Rastoul, estimé qu'il n'y avait "aucune raison d'aller au pénal" et a préféré retenir la solution de l'indemnisation des victimes, en s'appuyant sur l'exemple de ce que l'association a obtenu pour les sinistrés de la catastrophe d'AZF.

Il s'agit pour la Fédération nationale des accidentés du travail et des handicapés (Fnath) de "négocier pour répondre au sentiment d'injustice, au manque d'information, de reconnaissance dont ces gens souffrent actuellement", a souligné Me Rastoul.

"Les victimes n'ont pas de haine particulière", a affirmé la secrétaire générale de la Fnath de la Haute-Garonne, Nadine Herrero, pour qui son association s'appuie sur l'exemple des indemnisations d'AZF pour obtenir "un règlement immédiat".

Réagissant à ce manque d'information dénoncé par les associations, l'avocate du CHU toulousain de Rangueil, Me Aimée Carat, a déclaré: "Dès qu'il a été informé, le CHU a averti les patients et leur a demandé de revenir en consultation". L'avocate a par ailleurs indiqué qu'une cellule de soutien psychologique avait été mise en place.

Selon Me Carat, les responsables du CHU toulousain de Rangueil ne sont pas opposés à une commission d'indemnisation, "sous réserve que toutes les parties soient d'accord".

"Ce serait une commission présidée par un magistrat professionnel, avec des représentants d'associations de patients, le CHU et un collège d'experts" non Toulousains, a-t-elle précisé.
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